Les Ecureuils du Bénin et les Eperviers du Togo s'affrontent ce dimanche 24 mars au Stade de l'Amitié Général Mathieu Kérékou pour le compte de la 6ème et dernière journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) Egypte 2019. Un match très important pour les deux équipes car le vainqueur se qualifie pour la phase finale de la Can Égypte 2019.
Ce cet après-midi, au stade de l'amitié Général Mathieu Kérékou se joue le derby sous régional entre le Bénin et le Togo. Mais au-delà du caractère de la confrontation sous régionale, il y a un enjeux, la qualification pour ma Coupe d'Afrique des Nations Égypte 2019. Un enjeux qui donne vient rehausser la dimension de cette rencontre qui va opposer les deux pays frontaliers.
Dans le groupe D composé de l'Algérie, le Bénin, le Togo et la Gambie, le Bénin et le Togo sont les seuls concurrents qui peuvent encore décrocher une place qualificative pour la phase finale de la Can, puisque l'Algérie s'est adjugée la première place du groupe avec 11 points alors la Gambie est d'ores et déjà éliminée.
Les Écureuils ont un léger avantage
L'élimination de la Gambie vendredi dernier au stade Tchaker à Blida en Algérie (match nul entre 1 but partout entre l'Algérie et la Gambie, alors la Gambie devait gagner) a donné un léger avantage à la sélection béninoise qui n'a plus besoin que d'un match nul pour décrocher sa qualification.
Le Bénin qui compte 7 points, a deux points d'avance sur le Togo qui a 5 points. Si un match nul qualifie les Écureuils, la défaite leur est interdite. Toute défaite qualifierait d'office les Éperviers qui ont besoin nécessairement d'une victoire. La sélection béninoise n'a donc pas droit au défaite à domicile et devant son public.
Akpédjé AYOSSO
par Yazid Alilat
Vendredi 22 mars avait scellé un mois de manifestations contre le pouvoir et de protestation ininterrompues contre la volonté du président Bouteflika d’aller au delà de la date butoir de son mandat, qui s’achève le 28 avril prochain.Le vendredi 22 mars, le 5e depuis le 22 février dernier qui a délivré les Algériens de la peur de sortir manifester dignement pour leur liberté et la démocratie, le peuple a réitéré son appel au pouvoir pour partir et laisser les Algériens instaurer une période de transition qui organisera par la suite des élections propres et transparentes. La société civile est également sortie, dès les premiers moments de la protestation contre le 5e mandat, appeler le chef de l’Etat à renoncer à une candidature de tous les périls. Les manifestations imposantes des 1er et 8 mars, qui ont fait sortir pratiquement tous les Algériens dans la rue, alors que la tension s’est également exercée sur le président, hospitalisé à Genève pour des contrôles médicaux, ont pesé sur sa décision de renoncer au 5e mandat et de proposer une période de transition pour préparer une conférence nationale inclusive devant se terminer par la révision de la Constitution et l’organisation d’une élection présidentielle. Il rentre le 10 mars de Genève et annonce ses décisions le lendemain 11 mars, avec la nomination de Noureddine Bedoui au poste de Premier ministre, chargé de former un gouvernement de transition de «larges compétences» avec Ramtane Lamamra, vice-Premier ministre et nouveau ministre des Affaires étrangères. Le diplomate Lakhdar Brahimi est là également, mais quelques jours plus tard, il repart en France, avant de déclarer qu’il y a «un blocage». Ce qui a outré les Algériens n’est pas tant l’annonce de l’abandon du 5e mandat par le président Bouteflika, c’est le fait qu’il ait insisté dans son message à la nation qu’il n’a «jamais été question d’un 5e mandat», tout en prolongeant le mandat actuel, puisqu’il n’a pas annoncé qu’il partira le 28 avril prochain. Les manifestations comme les déclarations de responsables politiques de l’opposition se multiplient alors, autant pour dénoncer la volonté de «survie du système» que celle du président Bouteflika de prolonger son 4e mandat. Le samedi 16 mars denier, Louisa Hanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, a appelé le président Bouteflika à partir à la fin de son mandat, c’est-à-dire le 28 avril prochain. Mais, surtout, pour entendre les Algériens, qui ont rejeté le plan « B » qu’il a proposé le 11 mars. « Et tant qu’il est encore temps, avant qu’il ne soit trop tard, que la présidence annonce le retrait de Bouteflika à la fin de son 4e mandat, la démission du gouvernement actuel, la dissolution du Parlement et désigner un gouvernement technique provisoire, composé de femmes et d’hommes intègres, compétents et patriotes, chargé des affaires courantes», explique Louisa Hanoune. Pour le Dr Saïd Sadi, l’ex-président du RCD, Bouteflika ne partira pas « sans un rapport de forces qui le contraint à l’abdication ». Pour lui, ce qui se passe ces jours-ci en Algérie relève du «miracle», car «ce que je retiens personnellement, ce n’est pas le fait qu’il y ait une réaction de la population, c’est la manière avec laquelle elle s’est exprimée. D’une part, c’est dans l’ensemble du pays. D’autre part, elle embrasse l’ensemble des catégories. Ce ne sont pas des manifestations, je crois qu’on assiste à une nation qui est en train de renaître », a-t-il déclaré à TSA le 16 mars dernier. Mais, en dépit des manifestations chaque vendredi, des marches quotidiennes de protestation de différentes corporations professionnelles, dont les avocats, les magistrats qui se sont rebellés contre une justice aux «ordres», les syndicats et les inspecteurs de l’éducation, les médecins, pharmaciens, les syndicalistes dont ceux de l’UGTA qui ont demandé à leur SG de démissionner, les défections au niveau du FCE, les travailleurs des grandes zones industrielles, les étudiants puis les écoliers, le président Bouteflika est resté droit dans ses bottes. A l’occasion de la fête de la Victoire, le 19 mars, il donne un nouveau message, mais n’annonce point son retrait de la scène politique. Ce qui contribue à renforcer les rangs des manifestants, et, ailleurs dans le monde, un profond respect des Algériens est en train de se répandre. Dans l’intervalle, le nouveau Premier ministre a enregistré plusieurs échecs dans la formation de son gouvernement de «larges compétences», plusieurs organisations syndicales sollicitées ont refusé de se joindre aux consultations, entamées le dimanche 17 mars. Les attaques de partis et personnalités politiques contre le pouvoir et pour le départ du président Bouteflika ne faiblissent pas. C’est dans ce contexte politique absolument irréel pour les partis de la majorité que l’on enregistre les premières fissures dans le bloc des soutiens de la 5e mandature, avec des défections massives de militants et de cadres, dont des mouhafedhs, tant au sein du FLN qu’au sein du RND où le porte-parole du parti, Seddik Chihab, a lâché une bombe mercredi 20 mars en déclarant à une TV locale que le soutien à un 5e mandat a été « une erreur », et que « nous n’avons pas été perspicaces » en soutenant cette candidature. Seddik Chihab, qui ne s’est pourtant pas fait taper sur les doigts par son SG Ahmed Ouyahia, est allé plus loin en affirmant que le pouvoir en Algérie est exercé «par des forces anticonstitutionnelles».
Qui a voulu internationaliser la crise algérienne ?
Même climat de sédition au sein du FLN, où Ahmed Boumehdi, un des opposants au chef de la coordination actuelle, a estimé le 21 mars que « je ne crois pas Mouad Bouchareb quand il dit qu’il soutient le mouvement populaire, car c’est lui qui a été à l’origine du slogan ’FLN dégage » ». Bouchareb avait le 25 février dernier à Oran déclaré aux autres candidats à l’élection présidentielle, dont ceux de l’opposition, d’arrêter de « rêver », avant de comparer le président Bouteflika à « un messager de Dieu ». « C’est lui qui a retourné le peuple contre notre parti », ajoute Boumehdi. Le SG du RND, Ahmed Ouyahia, n’est pas en reste des ralliements de dernière minute au peuple, après avoir menacé de réprimer les manifestants, lorsqu’il a déclaré le 18 mars dernier qu’il faut « répondre » dans les meilleurs délais « aux revendications pacifiques » du peuple. Mais, sourd aux revendications populaires, le président Bouteflika va commettre une autre erreur, en internationalisant, en quelque sorte, la crise algérienne. Il a envoyé son ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra dans trois capitales européennes (Rome, Moscou et Berlin) défendre une feuille de route d’issue de la crise actuelle que les Algériens ont refusée et rejetée, celle d’une période de transition suivie par une conférence nationale inclusive, la réforme de la Constitution et une élection présidentielle, à l’issue de laquelle il est prêt à partir. Mais, l’initiative algérienne, vue par ailleurs comme une sorte d’avertissement à ces capitales que les manifestations actuelles peuvent déboucher sur autre chose, comme l’émergence des islamistes, n’a pas eu l’effet escompté. A telle enseigne que le chef de la diplomatie française, Jean Yves Le Drian, a manifesté son émerveillement devant le caractère pacifique des manifestations dans le pays. « La France sera aux côtés de l’Algérie, mais c’est l’Algérie qui décide de son avenir et ce n’est pas la France », a-t-il dit vendredi 22 mars sur BFMTV, avant d’ajouter : « La France ne s’ingérera pas dans la politique intérieure de l’Algérie : c’est un pays souverain ». Dmitri Pescov, porte-parole de la Fédération de Russie, a déclaré de son côté, après la visite à Moscou de Lamamra, que « la situation politique en Algérie doit être réglée sans ingérence extérieure ». «Personne n’a demandé d’aide à la Russie. Alger et Moscou souhaitent le maintien de bonnes relations dans leur coopération», a-t-il dit, avant de souligner que « nous sommes convaincus que les Algériens doivent décider eux-mêmes de leur sort, sans ingérence de pays tiers et sur la base de leur propre législation et Constitution». Enfin, l’ex-premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou, a vivement critiqué, quant à lui, la démarche du pouvoir en envoyant un émissaire à Moscou, Rome et Berlin. « Le pouvoir nous a toujours accusé d’être la main de l’étranger, mais la plus grande main de l’étranger c’est le système, et sa démarche actuelle ne fait que le confirmer », a-t-il affirmé jeudi 21 mars lors d’une conférence-débat à l’université de Tizi Ouzou. «Ce système a l’habitude de céder sur tout à l’extérieur pour garder la main basse sur l’intérieur», a-t-il ajouté.
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Le directeur général de l'Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APIEx), Laurent GANGBES et le directeur général du Groupe "Penson and Company", Ricardo PENSON ont procédé à la signature d'un protocole d'accord ce vendredi 22 mars à Cotonou. Il s'agit dans le cadre de cet accord, de permettre au Groupe "Penson and Company" de s'installer au Bénin et d'investir dans le domaine de la construction d'usines de transformation de fibres d'ananas en textile, ainsi que dans la construction et la gestion des cliniques.
Selon Monsieur Laurent GANGBES, "Penson and Company" est un groupe originaire des Philippines, spécialisé dans la conception, la construction, le financement, l'exploitation et la maintenance d'infrastructures de transport, d'énergie, d'eau et de services hospitaliers.
Pour le directeur général Ricardo PENSON, « le choix a été porté sur le Bénin parce qu'il y a tout dans ce pays ». « Le Bénin est un pays très bien positionné pour être une puissance de l'Afrique », a-t-il déclaré avant d'émettre le vœu d'y développer une industrie forte de textile, comme c'est le cas aux Philippines. Il s'agira selon le directeur général du Groupe "Penson and Company", de combiner les fibres d'ananas au coton pour produire des vêtements et ‘'plusieurs autres choses''.
Le directeur général de l'Agence de Promotion des Investissements et des Exportations a rappelé que dans le cadre des différentes réformes liées aux investissements et à la promotion du Bénin, l'APIEx joue un rôle de bras opérationnel dans la politique de développement du pays et est devenu l'interlocuteur unique des investisseurs. Il a par ailleurs annoncé l'organisation, d'ici fin mars, et durant tout le mois d'avril, de plusieurs manifestations, notamment le forum économique Bénin-Belgique, prévu pour le 27 mars 2019, la rencontre de l'APIEx avec les investisseurs Turcs le 03 avril 2019 et le Nordic-Bénin Business Forum les 04 et 05 avril 2019.
La signature du protocole d'accord entre les deux parties a été possible grâce à S.E.M BERRUTI, Ambassadeur des Philippines près le Bénin.
F. Aubin AHEHEHINNOU
La section PRD d'Akpro-Missérété a tenu ce vendredi 22 mars 2019, une séance extraordinaire à la maison des jeune de la localité. En présence de Michel Bahou, la rencontre s'est penchée sur l'actualité nationale.
Les attaques de gauche à droite contre le parti du Renouveau démocratique notamment son président n'est pas du goût des jeunes de Akpro-Missérété. Après avoir étudié de long en large et analyser la situation socio politique que traverse le pays, les membres de la section PRD d'Akpro-Missérété ont décidé de dire leur soutien indéfectible au Président Adrien HOUNGBEDJI. Ils se disent qu'ils sont véritablement engagés afin de trouver une porte de sortie pour des élections législatives inclusives. Il faut dire que cette section est la première à manifester publiquement son soutien au président de l'Assemblée nationale afin de l'encourager dans sa démarche juste et vérifiée.
G.A.
Lisez plutôt l'intégralité de leur motion de soutien adressée au Président Adrien Houngbédji
Réunis en séance extraordinaire ce vendredi 22Mars 2019,sous la présidence effective de Monsieur Michel Minankpon BAHOU, les membres de la section PRD d'Akpro-Missérété après analyse de la situation socio politique que traverse notre pays en cette veille des élections législatives, ont décidé d'apporter leur soutien indéfectible au Président Adrien HOUNGBEDJI. Ceci fait suite aux attaques répétées contre notre parti et le président Me Adrien HOUNGBEDJI sans oublier les poursuites judiciaires consécutives aux recours formulés devant la haute juridiction contre le verdict de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) par notre parti.
Fort de la mission de recherche de consensus national pour une élection inclusive et apaisée que le Chef de l'Etat SEM Patrice A. G. TALON a bien voulu confier au président Adrien HOUNGBEDJI et des multiples démarches engagées pour sortir notre pays le BENIN de l'impasse qui se profile à l'horizon, la section PRD d'Akpro-Missérété vient lui témoigner tout son soutien pour une solution négociée qui assure à chacun et à tous paix et sécurité.
En conséquence, nous demandons à Me Adrien HOUNGBEDJI de ne pas céder devant les embuches et autres dilatoires entretenus par certaines personnes de mauvaise foi dont le vil dessein est dedétruire les acquis de la Conférence des Forces Vives de Février 1990.
Section PRD d'Akpro-Missérété
Une adduction d'eau villageoise a été mise en service dans la localité de Mongnonhoui, commune de Comé. En présence des autorités locales, cette infrastructure inaugurée a été entièrement financé par l'organisation koweïtienne Direct-aid. C'était ce samedi 23 mars 2019.
D'une capacité de 4000 mètres cubes, l'infrastructure construite par l'Ong Direct-aid, vise à desservir une population en manque total du liquide vital. Étienne Djossa, chef d'arrondissement d'Akodéha, tout en souhaitant la bienvenue aux hôtes, dit que la population est heureuse pour ce dont elle a besoin, ce qu'elle a demandé et cela s'est réalisé. Le Maire, Pascal Hessou à sa suite dira merci au donnateur. "Je voudrais que vous vous associez à moi pour remercier le donnateur. L'argent utilisé pour réaliser, le temps perdu et l'eau donnée tout cela à besoin de merci", martèle la première autorité de la commune.
Le représentant résident de Direct-aid Bénin, Radouane Boukhanfa, dans son mot à la population affirme "Je suis content d'être avec la population de Comé particulièrement celle de Mongnonhoui". Il laisse entendre que " Nous mettons en service une infrastructure réalisée par Direct-aid. Cette inauguration intervient à la veille de la journée internationale de l'eau dont le thème est " ne laisser personne de côté". Cela traduit la vision de l'ONG. Il épouse notre philosophie à Direct-aid". Il souligne que " à Direct-aid, nous mettons l'homme au cœur de nos actions. C'est la raison même pour laquelle notre organisation porte fièrement son nom. D'ailleurs, il n'échappe à personne que notre raison d'être est d'aider les gouvernants africains à lutter contre le triangle de la terreur (ignorance-pauvreté-Maladie)"
Le représentant résident de l'organisation koweïtienne Direct-aid affirme que " Au Bénin selon les dernières statistiques, obtenues en juin 2017, seulement deux personnes sur cinq ont accès à l'eau potable en milieu rural. Cela va c'en dire que c'est pratiquement près de 58% de la population rurale qui n'ont pas accès à la ressource en eau potable pour les besoins élémentaires". Et pour lui, " Le choix de la commune de Comé n'est pas anodin parce qu'elle n'est pas une zone urbaine". Il n'a pas manqué de rappeler que " Nous à Direct-aid nous nous sommes alignés sur la vision du gouvernement afin de contribuer à donner un accès universel à tous les béninois d'ici 2021". Et pour cela " Notre joie extrême est de ne plus observer des femmes et des filles traînant des bassines ou des bidons jaunes sur la tête, à moto, à vélo ou sur chameau, parcourant de longs kilomètres à la recherche du liquide vital". Il Invite à bien gérer l'infrastructure. "Organisez-vous pour mieux gérer l'infrastructure", interpelle-t-il.
La Directrice départementale des affaires sociales et de la microfinance, Laure Hortense Dotou quant à elle confie que " L'eau c'est la vie" et martèle que "L'eau est source de vie". Au nom de la ministre des affaires sociales et de la microfinance, elle dira " je remercie le bailleur. Vous aviez réduire les maladie liées à l'eau". Madame Dotou souligne que "Nous vous promettons un bon usage. Nous vous rendons la main pour les autres communes du département". Pour le Directeur départemental de l'eau, Comlan Goudoui, "Je suis parmi vous à l'occasion de l'inauguration d'un AEV à Mongnonhoui. L'événement tient au lendemain de la journée internationale de l'eau " ne laisser personne" cadre avec ce qui se fait". Il rappelle que l'objectif du gouvernement est d'offrir de l'eau aux populations dans toutes les contrées. Cette vision du concrétisée par Direct-aid permet de desservir ici 42,5 % soit 12120 bénéficiaires directs. Il dira que " Les études se poursuivent pour que les objectifs assignés soient atteints. Aux populations, faites un bon usage pour le bien social".
Le Maire Pascal Hessou fait savoir que hier c'était Totchoagni, avant hier c'est sohon, aujourd'hui c'est Mongnonhoui. " Nous allons dire merci pour tout ce que vous faites. Le taux de couverture est à 42% et vous aviez voulu l'amener à 45%". Confiant de ce grand geste, il laisse croire " Vous n'imaginez pas la portée de ce que vous aviez fait. L'homme ne peut remercier pour ce que vous aviez fait, c'est Dieu qui le voit. Nous voulons que vous soyez toujours à nos côtés". Pour Pascal Hessou,"Après l'eau, il y a l'électricité. Nous sommes confiants que vous serez là pour nous". La population de Mongnonhoui sort ainsi de la précarité en matière d'accès à l'eau potable.
G.A
Le forfait de Lionel Messi (31 ans) pour le match amical entre l’Argentine et le Maroc priverait la Fédération argentine d’une belle somme de 500 000 euros comme l’indique Maxifoot. Le site Jeune Afrique expliquait au début du mois que pour convaincre l’Albiceleste de disputer cette rencontre, la Fédération marocaine s’était entendue avec les Argentins pour débourser 1 million d’euros, en plus de la prise en charge du voyage et de l’hébergement. Mais ce montant était valable seulement si la superstar du FC Barcelone était présente.
Comme Messi avait pris du recul avec sa sélection depuis la Coupe du monde 2018, le deal prévoyait que la facture serait revue à 500 000 euros en cas d’absence de la Pulga. De retour contre le Venezuela (1-3), vendredi, le Barcelonais a finalement dû renoncer à ce prochain match en raison de douleurs au pubis.
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Selon The Sun et Maxifoot.fr, le club londonien souhaite vendre l’international ivoirien afin de faire entrer de l’argent frais dans les caisses. Un chèque de 15 millions d’euros pourrait convenir aux dirigeants des Spurs.
Mauricio Pochettino souhaite utiliser l’argent de ce transfert pour recruter le latéral de Crystal Palace, Aaron Wan-Bissaka, dont le nom est également associé à Manchester United, Arsenal et Manchester City en Angleterre. Les Eagles réclament 45 millions d’euros pour le laisser partir.
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Victime du passage de Santiago Solari, l’international espagnol profite à nouveau de temps de jeu grâce à Zinédine Zidane. Titulaire contre le Celta Vigo (2-0) pour la première fois en championnat depuis le 10 octobre (défaite 5-1 face au FC Barcelone), le milieu de 26 ans a aussi été buteur pour son come-back au Santiago Bernabeu. Cette situation pourrait même jouer dans l’avenir du joueur.
D’après Calciomercato et Le 10 Sport.com, Isco voudrait respecter son contrat avec le Real Madrid qui expire en 2022. Il serait même décidé à rester afin de redevenir un acteur majeur du club dans les années à venir. Pisté dernièrement par Naples et Carlo Ancelotti, le milieu offensif serait convaincu par la relation qu’il entretient avec son entraîneur, Zinédine Zidane. De plus, les dirigeants madrilènes considéreraient comme offensante la possibilité de se séparer du joueur pour 70M€. La tâche s’annonce donc compliquée pour Naples.
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L’EN des U23 a réalisé un bon résultat à Malabo face à la Guinée Equatoriale. En effet, les hommes de Ludovic Batelli sont allés ramener le match nul (0-0) de la Guinée Equatoriale en match aller du deuxième tour aller des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations CAN 2019, qualificative au tournoi de football des Jeux Olympiques Tokyo 2020. Les Verts qui ont bien contrôlé le match ont inscrit un but au début de la deuxième mi-temps, malheureusement refusé par l’arbitre de la rencontre. Désormais, les coéquipiers de Farid El-Mellali vont devoir confirmer ce bon résultat ce mardi au stade du 5 juillet pour espérer passer au dernier tour de qualification.
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C’est un Djamel Belmadi visiblement déçu du résultat obtenu par son équipe qui s’est présenté hier soir en conférence de presse pour décortiquer la prestation de ses joueurs. Evidemment, le coach national espérait une victoire d’autant plus que les Verts ont largement dominé les débats, mais se sont finalement fait rejoindre au score dans les ultimes minutes de la partie. Il dira d’emblée : « Evidemment, on n’est pas satisfait par rapport au résultat. On a bien contrôlé le match, mais au final on s’est fait rejoindre au score. On aurait dû tuer le match bien avant. Par expérience, on sait que lorsqu’on ne tue pas un match, on n’est pas à l’abri d’une égalisation comme celle de ce soir. »
«On aurait dû plier le match avant»
Et Belmadi d’enchainer : « Malheureusement, on encaisse ce but d’une manière assez surprenante. On était à 10 après la sortie de Loucif et c’est justement à partir de sa zone que les Gambiens ont entamé l’action de ce but. C’était un peu confus, mais le ballon est rentré dans les filets au final. Avant cela, Doukha avait sorti une belle frappe. Je le répète, on aurait dû plier le match et marquer plus qu’un but.»
« Ce match va servir de leçon aux joueurs »
Le coach national a estimé que la physionomie de ce match va servir de leçon à ses joueurs afin qu’ils apprennent à mieux négocier le match à l’avenir et éviter de commettre des erreurs : « On a bien joué dans l’ensemble, mais le seul bémol est qu’on n’a pas su mettre le 2e, voire le 3e but. On a eu ce relâchement en fin de match et on prend ce but égalisateur. Les joueurs vont devoir apprendre de ce match. Ils doivent savoir qu’une rencontre dure 90’, voire plus. »
« Je suis content d’avoir vu ces jeunes »
Malgré la déception du résultat, Djamel Belmadi s’est dit toutefois satisfait du rendement des jeunes joueurs qu’il a incorporés durant cette partie : « On a fait une revue d’effectif afin de voir un maximum de joueurs. Je suis content de tous ces jeunes joueurs qui ont évolué ce soir. Je suis satisfait dans l’ensemble des Boudaoui, Bennacer, Loucif, qui ont bien assuré. Abdellaoui aussi a fourni une très belle prestation. Il y a aussi des joueurs qui étaient moins bien, mais dont je vais taire les noms.»
« Halliche a été un leader sur le terrain »
Le sélectionneur national n’a pas tari d’éloges sur Rafik Halliche, assurant que celui-ci a fait un très bon match et s’est comporté en vrai leader sur le terrain : « Halliche a fait une belle prestation. Il a été mis à contribution dans le jeu direct. Il a été très compétitif et s’est comporté en vrai leader sur le terrain. Il a bien fait sortir les ballons et a bien tenu son rôle. On est satisfaits.»
« Ounas a bien joué et aurait mérité de marquer »
Incontestablement, le jeune ailier de Naples, Adam Ounas, fut l’un des meilleurs joueurs algériens lors de ce match. Il aurait sans doute mérité de marquer au moins un but au vu des occasions qu’il s’est procurées : « Adam Ounas a été très bon. Il a eu quelques belles occasions et je pense qu’il aurait pu marquer. S’il avait réussi à mettre au fond l’une de ces occasions, on aurait alors tué le match.»
«Pour être à la CAN, il faut fournir de belles prestations»
Le coach national a refusé de tirer un bilan approfondi de cette prestation des Verts, assurant qu’il allait bien analyser le match et réfléchir profondément pour établir sa liste pour la phase finale de la CAN : « Il faut faire de belles prestations abouties pour être à la CAN. On va revoir le match et mûrement réfléchir, à tête reposée, avant de penser à cette CAN.» Et Belmadi de conclure : « Prévoir ce que je vais faire à l’avenir, ce n’est pas moi, ça ! On peut jouer dans plusieurs systèmes. On verra. On a encore le temps de travailler.»
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Le Cameroun, éternel poids lourd en Afrique, a facilement battu les Comores (3-0) grâce à des buts d’Eric-Maxim Choupo-Moting, Bassogog et Njie. Le Cameroun termine à la deuxième place du groupe B derrière le Maroc comme l’indique Goal.
Un peu plus tôt dans la journée, le Burundi avait créé la sensation en compostant également son ticket pour la compétition, et ce pour la première fois de son histoire.
Après avoir ouvert le score par Cédric Amissi, le Burundi a été rejoint par le Gabon qui a égalisé sur un but contre son camp d’Omar Ngandu mais le petit poucet a conservé ce point précieux jusqu’au coup de sifflet final. Un résultat qui empêche le Gabon de se qualifier pour la CAN, que Pierre-Emerick Aubameyang ne disputera donc pas.
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