Summary and Key Points: China's Type 003 Fujian, the People's Liberation Army Navy's (PLAN) most advanced aircraft carrier, successfully completed its third and longest sea trial, returning to port after 25 days in the Yellow Sea.
-The Fujian, equipped with electromagnetic catapults similar to those on the U.S. Navy's USS Gerald R. Ford, is the second domestically-built Chinese carrier and the largest after U.S. supercarriers.
-The trials indicate smooth progress, with the carrier expected to enter service in 2024. China aims to have six carriers by the mid-2030s, signaling a significant enhancement of its naval capabilities.
China's Third Aircraft Carrier Completes Third Sea TrialThe People's Liberation Army Navy (PLAN) completed the third sea trials of its Type 003 Fujian, its second domestically-built aircraft carrier – and the first to be equipped with advanced electromagnetic catapults that are employed to launch aircraft. The carrier returned to the Jiangnan shipyard in Shanghai on Sunday after spending 25 days in the Yellow Sea.
The carrier's return to port was anticipated after a traffic restriction notice was issued by Shanghai's maritime safety administration on Saturday that warned a large ship was scheduled to enter the Yangtze River.
A video of the Fujian returning to port escorted by tug boats was shared on X, the social media platform formerly known as Twitter.
The recently completed sea trials marks the longest period the carrier has been out of port since being launched in 2022, and further serve to highlight that the PLAN's warship is slowly but surely completing its trials while is on track to enter service sometime next year. The Type 003 Fujian had previously conducted its eight-day first sea trial that began on May 1 and lasted until May 8. It was followed by a 20-day second sea trial beginning on May 23 and concluding on June 11, according to a report from the Chinese state media outlet The Global Times.
The Beijing-based news outlet cited Chinese military analyst Fu Qianshao, who said the completion of the three sea trials indicates the testing phase of the aircraft carrier is "going very smoothly." Each sea trial also includes additional tests, beginning with basic systems including the propulsion systems and the carrier's electrical systems. That has likely been expanded to the more complicated shipborne equipment, which likely includes the electromagnetic catapults.
The Type 003 Fujian is the first warship after the United States Navy's USS Gerald R. Ford (CVN-78) to be equipped with the advanced launch system. While CVN-78 is nuclear-powered, the Fujian is still a conventionally-powered carrier – yet, it is still the 80,000-ton Chinese warship is still the largest aircraft carrier in service today after only the U.S. Navy's 10 Nimitz-class and sole Ford-class supercarriers.
China Wants 6 Aircraft Carriers to Take on U.S. NavyThe Type 003 Fujian, named after East China's Fujian Province, is expected to operate not only improved versions of the J-15 fighter jet, but also new aircraft including the next-generation stealth fighter J-35, as well as the fixed-wing early warning aircraft KJ-600, and the JL-10 advanced trainer jet. Launched in June 2022, the Type 003 Fujian completed its mooring trials, outfitting work, and equipment tests earlier this year in preparation for its sea trials.
In just over a decade, the People's Republic of China has made a great leap forward in aircraft carrier development. The PLAN's first aircraft carrier, the Type 001 Liaoning, a refurbished Soviet carrier, was commissioned in 2012. The second carrier, the Type 002 Shandong, was launched in 2017.
The PLAN has a goal of having six carriers in service by the mid-2030s, and Beijing is expected to soon reveal plans for its fourth aircraft carrier. Speculation abounds that the next carrier could be nuclear-powered, indicating that China will continue to improve its naval capabilities.
Author Experience and Expertise: Peter SuciuPeter Suciu is a Michigan-based writer. He has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites with over 3,200 published pieces over a twenty-year career in journalism. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, politics, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes and Clearance Jobs. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu. You can email the author: Editor@nationalinterest.org.
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A U.S. Navy Icon Takes to the Skies After a 17-Year Restoration. On their Facebook page, The Fagen Fighters WWII Museum, located in Granite Falls, Minnesota, announced they’d completed a test flight of their 17-year [...]
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Depuis le 24 juillet 2024, Simplice ESSOH, précédemment Directeur Central Développement, est le nouveau Directeur Général de SITARAIL, filiale ferroviaire d'AGL (Africa Global Logistics) qui fait partie du groupe italo-suisse MSC et opère la ligne de chemin de fer, Abidjan – Ouagadougou – Kaya, a annoncé l'entreprise dans un communiqué. Il remplace à ce poste Quentin GERARD, appelé à d'autres fonctions au sein d'AGL.
Ingénieur des Travaux publics, Simplice ESSOH est titulaire d'un DESS en Management de l'IAE Paris – Sorbonne Panthéon, d'un diplôme en suivi et évaluation de projet du CEFEB (AFD) et du Certificate of Program for Management Development (PMD) de MDE Business School d'Abidjan et IESE Business School de Barcelone. Il débute sa carrière en 1994, en tant que Chargé d'études Transport à la Direction et Contrôle des Grands Travaux (Ex DCGTx), actuel BNETD en Côte d'Ivoire.
Il rejoint SITARAIL en 2000, en tant que Responsable du trafic hydrocarbures par rail, puis occupe graduellement les fonctions de Chef du PCCC (Poste de Commandement de Coordination et de Contrôle) de 2001 à 2003, Directeur du Transport adjoint de 2003 à 2007 à Bobo Dioulasso, Directeur commercial de 2007 à 2011, Directeur du Transport de 2011 à 2016 et Directeur central en charge de l'Exploitation à partir 2016. En 2022, il est promu Directeur Central Développement. A ce poste stratégique, il a piloté l'élaboration du programme de renaissance du réseau et la mobilisation de partenaires techniques et financiers pour le financement dudit programme.
« C'est avec un sentiment de fierté que j'accueille cette nomination. J'exprime ma profonde reconnaissance au Conseil d'Administration et au TOP management du groupe AGL, avec à sa tête le Président Philippe LABONNE. Je salue également mon prédécesseur, Quentin GERARD pour le travail abattu durant ces sept dernières années à la tête de notre belle entreprise. Je mesure l'importance de la responsabilité qui est désormais la mienne, mais aussi les enjeux et attentes de nos partenaires étatiques, du personnel, de nos clients et des populations de nos deux pays. Je m'engage donc à travailler avec l'ensemble de nos parties prenantes, à la réussite de cette mission. », a indiqué Simplice ESSOH.
« J'adresse mes vives félicitations à Simplice pour sa nomination. Au regard de son parcours professionnel de près d'un quart de siècle au sein de SITARAIL à plusieurs postes de responsabilité, et de sa parfaite connaissance de l'activité ferroviaire en Côte d'Ivoire et au Burkina Faso, je suis convaincue qu'il réussira sa mission à la tête de SITARAIL. », a déclaré Asta-Rosa CISSÉ, Directrice Régionale d'AGL Côte d'Ivoire – Burkina Faso.
Quentin GERARD, Directeur Général sortant, a été, quant à lui, promu au sein de la Direction régionale d'AGL, où il aura en charge la gestion les grands projets du groupe en Côte d'Ivoire. Arrivé à la tête de l'entreprise ferroviaire en août 2017, il a su insuffler une nouvelle dynamique organisationnelle et opérationnelle aux équipes, permettant ainsi à SITARAIL de renouer avec le record du million de tonnes de marchandises transportées en 2019, après celui de 2001.
A propos de SITARAIL
SITARAIL (Société internationale de transport africain par rail) est la filiale ferroviaire d'AGL (Africa Global Logistics) qui opère, depuis août 1995, le chemin de fer reliant Abidjan (Côte d'Ivoire) et Ouagadougou (Burkina Faso). Elle transporte en moyenne 1 000 000 de tonnes de fret chaque année. Avant l'apparition de la COVID-19, l'entreprise transportait annuellement 200 000 voyageurs. SITARAIL emploie environ 1 500 collaborateurs directs et génère 3 000 emplois indirects via des sociétés sous-traitantes. Elle constitue, grâce à son activité et à ses actions en faveur de la santé, de l'éducation et de l'environnement, un vecteur essentiel de développement socio-économique et d'intégration régionale en Afrique de l'Ouest.
Josué Bonkoungou
Alors qu’il venait de rencontrer le Guide suprême Ali Khamenei à Téhéran, Ismaël Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas, a été tué dans la capitale iranienne par une frappe ciblée, imputée aux services israéliens. Quelques jours après l’assassinat du numéro 2 du Hezbollah libanais, Fouad Chokr, l’armée israélienne peut se targuer d’avoir fait tomber une nouvelle tête d’un dirigeant impliqué dans les attentats du 7 octobre. Malgré les réticences de Washington et le risque d’expansion du conflit, c’est une politique offensive et militaire que Benjamin Netanyahou et son gouvernement continuent de mener après bientôt 11 mois de bombardements dans la bande de Gaza. En revanche, par ce va-tout belliqueux, Benjamin Netanyahou prend également le risque de couper court à toutes possibilités de négociations pour libérer les otages encore détenus par le Hamas.
L’analyse de Pascal Boniface
Selon des sources proches de sa famille citées par des médias, le colonel-major à la retraite Boureima Kiéré est décédé ce 30 juillet 2024.
Âgé de 63 ans, il avait travaillé pendant plusieurs années à la présidence du Faso sous les régimes de Blaise Compaoré et Michel Kafando.
Il était le chef d'Etat-major particulier de la présidence du Faso à l'époque du coup d'Etat de septembre 2015, qui a conduit à la dissolution du Régiment de sécurité présidentielle (RSP).
Accusé dans le dossier du coup d'État de septembre 2015, Boureima Kiéré avait écopé de 5 ans de prison avec sursis. Il était poursuivi pour meurtre, coups et blessures volontaires et complicité d'attentat à la sûreté de l'Etat.
Le Colonel-major Boureima Kiéré était l'aide de camp du président Blaise Compaoré dès 1989. Il avait rejoint le Bureau militaire de la Présidence du Faso où il avait été nommé chef de corps de l' ex-Régiment de sécurité présidentielle (RSP) durant les mutineries de l'armée en 2011.
Cryspin Laoundiki
Lefaso.net
Lire aussi : Procès du coup d'Etat : Les confessions du colonel-major Boureima Kiéré
Les techniciens municipaux de la commune de Ouagadougou, avec à leur tête le Président de la délégation spéciale (PDS), étaient, le mardi 30 juillet 2024, en visite à la fonderie de CIM METAL SA. Ce workshop des techniciens municipaux favorisera des échanges directs avec les techniciens de la fonderie, à tous les niveaux, pour un retour d'expérience afin d'améliorer continuellement les produits et les services offerts par la commune de Ouagadougou.
Ce workshop des techniciens municipaux à l'usine de fonderie de CIM METAL SA visait deux objectifs essentiels. Il s'agissait, dans un premier temps, de visiter l'usine et de constater le travail méticuleux abattu par les techniciens de l'usine. Le second intérêt consistait à discuter directement avec les techniciens de la fonderie pour effacer toutes les zones d'ombre qui persistaient à leur niveau. À l'issue de ce workshop, ils seront désormais en mesure de faire de bons choix de matériaux pour les différentes infrastructures de la commune de Ouagadougou.
Le directeur général de CIM METAL SA, Alassane Kanazoé, était fier d'accueillir ce beau monde dans sa fonderie. « Je suis ému d'accueillir autant d'autorités administratives, venues s'imprégner de notre activité et constater de visu tout le travail mené à tous les échelons pour mettre à la disposition des Burkinabè des produits d'une qualité suprême pour la construction durable de pays », a-t-il situé.
Le DG de CIM METAL SA s'est dit fier d'accueillir les techniciens municipauxMise en place en 2016, CIM METAL SA dispose de deux laboratoires en son sein pour le contrôle de la qualité. Un laboratoire chimique et un laboratoire physique. Le Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics s'assure constamment que les produits de CIM METAL SA soient conformes aux normes. Il n'y a donc plus de raisons, selon la conviction de son DG, que du fer, dont on ignore la qualité, soit importé au Burkina Faso. « Nous osons espérer qu'à l'issue de cet atelier, nous recevrons la visite des plus hautes autorités », a-t-il souhaité.
Cette activité importante aidera à renforcer les capacités des agents techniques de la commune de Ouagadougou. Ce n'est pas le PDS, Maurice Konaté, qui dira le contraire. Parce que, selon ses dires, le Burkina Faso est en pleine croissance et cette dynamique s'accompagne d'une demande accrue en infrastructures robustes et solides. Le fer à béton, a-t-il poursuivi, est un élément crucial dans les constructions si bien qu'il doit répondre à des normes rigoureuses pour assurer la sécurité des ouvrages. C'est pourquoi M. Konaté a apprécié à sa juste valeur cette initiative de CIM METAL SA. Elle est pour lui opportune et nécessaire.
Une activité qui aidera à renforcer les capacités des techniciens municipaux, selon le PDS« Cet atelier nous offre l'occasion de mieux comprendre les avantages du fer à béton local et surtout, de voir comment il peut répondre à nos exigences en termes de qualité, de résistance et de coût », a déclaré le PDS de Ouagadougou, avant de terminer : « Je vous encourage à profiter pleinement de cette opportunité pour dialoguer directement avec les représentants de CIM METAL SA. Votre retour d'expérience est précieux pour améliorer continuellement les produits et les services offerts ».
Les techniciens municipaux sont invités à profiter de cette opportunitéPour rappel, CIM METAL SA est la première fonderie et seule usine de fer du Burkina Faso disposant d'une fonderie. Elle se démarque par son engagement pour l'innovation et la technologie de pointe.
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
Cet article L’avion ravitailleur KC-46A Pegasus de l’US Air Force présente une nouvelle « déficience majeure » est apparu en premier sur Zone Militaire.
Premier athlète burkinabè a entrer en lice, le judoka burkinabè Carmel Koné a été éliminé dès les 16es de finale, par le Sud-coréen Han Juyeop, en 1 minute 29 secondes de combat.
Carmel Koné a été surpris par son adversaire dans la catégorie des moins de 90 kg. Suite à une "fausse attaque", il s'est fait contrer par son adversaire Ju-Yeop.
Le Burkinabè a donc perdu par ippon suite à son abandon.
Lefaso.net
Source : RTB
Une cérémonie de remise de diplômes a été organisée le jeudi 25 juillet 2024, dans la salle des banquets de Ouaga 2000 par l'Institut international d'ingénierie de l'eau et de l'environnement (2iE). 640 diplômés de 16 nationalités différentes ont été célébrés en présence de personnalités publiques. La promotion porte comme nom de baptême : « Sa majesté Aboubakary Abdoulaye ».
C'est la 53e promotion de 2iE depuis sa création en 1968. Les diplômés sont ceux qui ont réussi leur année académique des sessions de janvier et de juillet 2024. Il faut préciser que la promotion porte le nom de « Sa majesté Aboubakary Abdoulaye », président du conseil d'administration de l'institut.
L'homme est le Lamido (Sultan) de Rey-Bouba, au Cameroun, depuis 2006. Il a occupé le poste de sénateur du Nord en mai 2013, puis de premier vice-président du sénat dans son pays. Auparavant, il a été administrateur civil et secrétaire d'État chargé de l'agriculture. Il est depuis 22 ans engagé fermement aux côtés de 2iE, témoignant de son attachement à la formation de la jeunesse africaine. Il n'a pas pu effectuer le déplacement, mais grâce à la magie de la technologie, il s'est exprimé au cours de la cérémonie par visioconférence.
Les 640 diplômés ont fait la promesse de s'appliquer au travailSa majesté Aboubakary Abdoulaye se dit fier du choix porté sur sa personne. Il a invité la promotion à s'appliquer au travail pour le rayonnement du continent africain et s'est par ailleurs réjoui de la pluralité de nationalités au sein de cette promotion. Selon lui, cela démontre que l'unité africaine est possible. Il a donné un cours d'histoire aux étudiants en rappelant toutes les difficultés, les sacrifices d'hommes et de femmes qui ont permis d'aboutir à l'évolution de l'institut 2iE.
Sa majesté Aboubakary Abdoulaye est l'un des pionniers de l'institut 2iEDans son allocution, le représentant des étudiants diplômés, le Camerounais Roland Césaire Ngakanou Njoya a déclaré : « C'est grâce à l'engagement sans faille de la direction générale de l'institut 2iE, de nos enseignants, de l'administration, de nos mentors, de nos familles et de nos amis, que nous avons franchi avec succès chaque étape de notre parcours académique. Nous avons traversé des moments de doute, des périodes de stress intense, mais également des instants de joie et de réussite qui ont marqué notre passage dans cette prestigieuse institution de formation et de recherche. Ces années passées ensemble resteront gravées dans nos mémoires comme un moment de développement personnel et intellectuel exceptionnel. Aujourd'hui, alors que nous nous apprêtons à franchir cette nouvelle étape de notre vie, gardons en mémoire les valeurs d'intégrité, de persévérance et de compassion qui ont guidé chacun de nos pas jusqu'à présent ».
« Nous avons le devoir d'honorer le nom de baptême de notre promotion », a fait comprendre Roland Césaire Ngakanou NjoyaL'étudiante Marie Noëlle Silué a obtenu son bachelor en gestion des infrastructures et services. Elle a confié que l'institut fait preuve de rigueur avec les étudiants. Elle a en outre souligné que la formation au sein de l'établissement est fluide. Elle a invité tous les futurs bacheliers et étudiants à poursuivre leurs études à 2iE, car, l'enseignement y est de qualité supérieure.
Marie Noëlle Silué est ivoirienne« Nos étudiants sont les meilleurs »
Le ministre de l'environnement, de l'eau et de l'assainissement, vice-président du conseil d'administration de l'institut 2iE et patron de la cérémonie, Roger Baro, a félicité le personnel administratif et professoral pour les efforts consentis dans la formation des nouveaux diplômés. Il a exhorté la promotion « Sa majesté Aboubakary Abdoulaye » à faire preuve d'exemplarité sur le terrain et à être une ressource humaine de qualité pour le développement du continent africain.
Les parents d'étudiants ont été présents à cette cérémonieRoger Baro a affirmé que cette promotion doit être considérée comme celle de la consécration du renouveau de l'Institut 2iE, de la résilience du Burkina Faso et de la diplomatie académique. Selon ses dires, c'est surtout la preuve que le pays des hommes intègres est pour toutes les nationalités une destination où il fait bon étudier, vivre et réussir.
A droite , Roger Baro et à gauche, Pr El-Hadji Bamba DiawPrenant la parole, le directeur général de 2iE, Pr El Hadji Bamba Diaw, a laissé entendre : « Nos étudiants sont les meilleurs. Ils ont intégré l'institut 2iE après une sélection rigoureuse. Ils ont été soumis à un programme de formation intense auquel seules la rigueur, la persévérance, l'intelligence, l'innovation leur ont permis de résister. Ils ont bénéficié d'infrastructures pédagogiques et scientifiques de standards internationaux, d'un enseignement de qualité avec un corps professoral et administratif d'exception, dans un centre d'excellence dont les diplômes sont reconnus aussi bien en Afrique qu'à l'international. Ils ont ainsi acquis les compétences pour s'ouvrir au monde et affronter toutes les situations. Ils sont fins prêts pour l'emploi aussi bien dans les administrations publiques que privées, les institutions internationales et dans l'entrepreneuriat ».
Pr El Hadji Bamba Diaw a rappelé aux diplômés qu'ils font désormais partie de la grande famille 2iE. Ils doivent donc mesurer les responsabilités qui pèsent sur leurs épaules. Il a souhaité qu'ils soient des mentors pour les étudiants en formation et facilitent l'insertion professionnelle des futurs diplômés.
« Travaillez avec discipline, intégrité, ponctualité et rigueur, avec humilité, loyauté et respect », a conseillé Yaya Salami Adéoti aux diplômésUn parrain produit de 2iE
Le parrain de la cérémonie est un ancien étudiant de l'Institut 2iE. Le Béninois Yaya Salami Adéoti est le président directeur général de la société de travaux publics Adéoti SA. Depuis 2004, son entreprise a réalisé des grands travaux. Elle est devenue aujourd'hui le leader au Bénin dans les infrastructures routières et compte près de 3 000 employés. « J'ai été formé à l'institut 2iE, alors EIER-ETSHER. Je peux vous affirmer que les années passées dans cette école ont été pour beaucoup dans ma carrière professionnelle. La rigueur du programme académique m'a préparé aux défis de mon métier et aux aléas du monde de l'entreprenariat. Tout a été mis en œuvre afin que chacun de nous atteigne son plein potentiel et ait les meilleures chances de se faire une place dans l'environnement socio-économique de son pays. Et, au-delà de l'excellence de la formation que j'ai reçue, je tiens à souligner l'environnement multiculturel qui m'a permis de nouer et de développer des liens d'amitié, de fraternité avec mes promotionnaires. Mesdames et messieurs les chefs d'entreprises, responsables d'institutions, potentiels employeurs, regardez ces jeunes diplômés ! Ils sont fin prêts ! Ils sont l'avenir de l'Afrique ! Ils sont impatients de vous démontrer ce qu'ils ont appris dans ce centre d'excellence ! Alors n'hésitez pas. Recrutez-les et vous ne le regretterez pas », a déclaré Yaya Salami Adéoti dans son allocution.
Les étudiants en train de recevoir leurs parcheminsEn chiffres, l'institut 2iE ce sont plus de 11 000 diplômés dont 95% travaillent en Afrique, plus de 100 partenariats académiques, scientifiques et entreprises, plus de 30 nationalités, 90% de taux d'employabilité un an après le Master, 7 plateformes pédagogiques et de recherche, plus de 1 700 lits de capacité d'hébergement.
Pour plus d'informations, consultez la page Facebook de l'institut 2iE.
SB
Lefaso.net
The release of ChatGPT in late 2022 captured the public imagination. It provided a tool everyone can play around with, making Artificial Intelligence (AI) accessible to many. It also raised a lot of urgent questions, including about protecting copyrights, fighting disinformation, and avoiding discrimination. These and other questions were dealt with in several governance and policy initiatives, developed in the context of a new hype characterized by high positive and negative expectations surrounding ChatGPT. In my recent article ‘Governance fix? Power and politics in controversies about governing generative AI’ (Ulnicane 2024), I examine emerging governance of generative AI with a particular focus on activities of the G7, Organization for Economic Co-operation and Development (OECD), and the AI Safety Summit.
Focusing on risks, neglecting purpose & society
To examine the key ideas about the generative AI governance, I draw on the Responsible Innovation approach, which already for more than ten years has been widely used in technology governance research and practice. While the Responsible Innovation approach is broad and fluid, I in particular focus on three features. First, it focuses on collective stewardship of technology towards socially beneficial goals and goes beyond individual responsibility of technology developers. Second, the Responsible Innovation approach emphasizes the importance of inclusion of the public in a two-way consultation, assigning an active role to society in co-shaping technology. Third, its approach to technology governance goes beyond mere risk management to encompass the purpose and direction of innovation.
The initial international initiatives for governance of generative AI fall short of the premises of inclusive and purposeful governance of technology, as suggested by the Responsible Innovation approach. They predominantly focus on risks, framing the public debate about generative AI largely in terms of existential vs immediate risks. Concerns about the risk management dominate over the considerations of purpose of this technology. Generative AI can be characterized as being largely a supply-driven technology push with unclear public demand. Its early governance initiatives pay relatively little attention to its contribution to tackling major societal challenges of our time. Moreover, they assign a rather passive role for society that needs to adapt and contribute to risk mitigation rather than actively co-shape the technology. This creates a kind of paradox of generative AI governance, when a technology that is used widely by society is at the same time governed narrowly by technical experts.
Governance fix: instrumental, narrow & technocratic
I coin the term ‘governance fix’ to highlight the instrumental and technocratic approach to governance in generative AI policy. To do that, I build on the concept of ‘technological fix’ that presents technology as a quick and cheap solution to complex and uncertain social problems. According to the ‘technological fix’ concept, technical solutions are seen as superior to political, economic, educational and other social science approaches to tackling problems. Accordingly, engineers are best placed to solve social problems and there is no need for public participation.
While technological fix remains a highly popular approach, it has received considerable criticism for being incomplete, ineffective, mechanical, not getting to the heart of the problem, and creating new problems as it solves the old ones. Prioritization of technical solutions allows technology companies to promote their vested interests, while letting policymakers avoid searching for more complex approaches to addressing problems that require immediate attention.
I suggest that in the case of generative AI, we can observe a ‘governance fix’ approach that, similarly to ‘technological fix’, considers governance as a technocratic endeavour that can be quickly developed and implemented by experts without public participation and deliberation regarding goals, direction and purpose of generative AI. As an alternative to this narrow and technocratic approach, I suggest participatory and inclusive governance that focuses on co-shaping technology towards socially beneficial goals.
Let’s continue the conversation!
AI, including generative AI, continues to pose major political questions. More research on politics, power and policy of AI is in the works. If you are interested to collaborate, please get in touch. Those attending the ECPR General Conference in Dublin, might be interested to attend the featured roundtable ‘Politics, Political Science, and Artificial Intelligence’ on Monday, 12 August 11:15-13:00 and a panel ‘Challenging power in Artificial Intelligence politics and policies’ on Wednesday, 14 August 16:15-18:00. Hope to see many of you there!
Reference:
Ulnicane, I. (2024) Governance fix? Power and politics in controversies about governing generative AI, Policy and Society, puae022, https://doi.org/10.1093/polsoc/puae022
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L’assemblée provinciale du Kasaï-Oriental a investi, lundi 29 juillet, le gouvernement provincial. La cérémonie s’est déroulée après la présentation par le gouverneur de province, Jean Paul Mbuebua Kapo, du programme quinquennal de son gouvernement centré sur quatorze axes prioritaires.