Agrégateur de flux

Bulgaria has opted to go with local distributor Lomini to equip its army with 52 manual reconnaissance terminals over the

Saudi Arabia/UK - Date set for MbS London visitSaudi Crown Prince and Prime Minister Mohammed bin Salman (MbS) is planning to

Jean-Yves Le Drian, who serves as Emmanuel Macron's special envoy for Lebanon and as such toured the Middle East in

Intelligence Online has learned that Chinese President Xi Jinping is to visit France in early 2024, his first post-Covid trip

One of the witnesses to give oral evidence at the UK parliament Foreign Affairs Committee's hearing on the international counter-terrorism

Akár 5 millió forintos, 66%-os vissza nem térítendő támogatás lesz igényelhető napelemek telepítésére háztartások számára 2024 januárjában a Napenergia Plusz Program keretében.

The Fleet Air Arm unit will be jointly operated by the Royal Navy and Royal Air Force, similarly to the other frontline unit, the 617 Dambusters Squadron. The Royal Navy’s 809 Naval Air Squadron has [...]

The post 809 Naval Air Squadron Returns As UK’s Second Frontline F-35B Squadron appeared first on The Aviationist.

Az amerikai hadsereg OH-6 Cayuse könnyű helikopterének kifejlesztése ugyanakkor kezdődött, mint a korábban már bemutatott forgószárnyasé, az OH-58 Kiowáé. A mindössze négy változatban készült Kiowa története viszonylag egyszerűen nyomon követhető, a Cayuse esetében azonban sokkal összetettebb a feladat. Az alaptípustól indulva a kisebb-nagyobb módosítások miatt számtalan alváltozattal lesz dolgunk, amelyeknek nemcsak a típusjelzése és a neve változott, hanem a képességeik is folyamatosan bővültek.

A Cayuse és a Kiowa történetének közös szála az a felhívás volt, amelyet a US Army egy könnyű megfigyelő helikopterre (LOH – Light Observation Helicopter) írt ki 1960-ban. A helikopterek a második világháború után terjedtek el az amerikai hadseregben, elsősorban tüzérségi megfigyelő és szállító feladattal. A dugattyús motorral felszerelt Bell OH-13 Sioux, és a Hiller OH-23 Raven is ebben az időszakban állt rendszerbe, és becsülettel szolgálta a békeidős feladatokat otthon és a harctéri műveleteket Koreában. Üzemeltetésük során rengeteg tapasztalat halmozódott fel.

[...] Bővebben!

(B2) Le Conseil européen jeudi et vendredi prochain (14-15) décembre s'annonce comme une réunion cruciale pour les 27 sur tous les plans. Seront-ils capables de surmonter leurs divisions ? De sortir par le haut de leurs réticences croisées ? L'enjeu est notable.

Au sommet UE-Amérique latine, les sourires et applaudissements sont de sortie... pour la photo de famille (Photo : Conseil de l'UE)

Un sommet à grand risque

De la division à l'Union, un rite bien précis

Les rencontres au sommet ne sont jamais un grand moment de convivialité unie. Malgré les apparences, les sourires et les accolades. Elles sont plutôt le lieu où les Chefs se confrontent. Ces batailles sont parfois homériques. Leurs idées, leurs intérêts divergent bien souvent avant la réunion. C'est le jeu et même le rite habituel. Cette rencontre étant souvent le moment de resserrer les rangs et définir quelques orientations communes. Le mot division est ainsi souvent concomitant à celui de sommet comme celui d'unité. La réunion de jeudi n'est donc pas exceptionnelle sur ce point.

Un lot de dossiers non réglés

Ce qui semble exceptionnel aujourd'hui, ce n'est donc pas tant l'absence de consensus avant la réunion au sommet, c'est le nombre de dossiers, de première importance, sur lequel les 27 ne sont pas d'accord, de façon profonde et ouverte. Sur l'avenir de l'Europe, ses règles intérieures, son budget, son rôle dans le monde, derrière les mots généreux et souvent creux, les Chefs n'ont plus d'affectio societatis. Les Européens ne sont d'accord sur rien ni au plan extérieur ni au plan intérieur.

Le soutien à l'Ukraine ne recueille plus le consensus

Au niveau extérieur, ils n'arrivent plus ainsi à s'accorder sur le nécessaire soutien militaire à l'Ukraine. Ce point était depuis février 2022 un facteur de consensus. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Entre ceux qui estiment que le soutien à l'Ukraine commence à coûter cher et qu'ils préfèrent dépenser en national que via l'Europe (ex. l'Allemagne) et ceux qui estiment qu'aider militairement l'Ukraine est une impasse (Hongrie, Slovaquie, Autriche), une minorité certaine s'est formée pour refuser les dernières propositions du Haut représentant. Même l'ouverture des frontières suscite une levée de bouclier des pays les plus proches (Pologne, Slovaquie, Bulgarie, etc.), pourtant la plupart ardents soutiens de Kiev.

La summa divisio d'Israël et Palestine

L'attaque du 7 octobre du Hamas en terre israélienne a causé un traumatisme, non encore cautérisé, chez les Européens. Elle a fait exploser la ligne de consensus. Au point que l'antique message européen d'une solution à deux États, de peuples vivant pacifiquement côte à côte, avec Jérusalem comme capitale des deux États, le caractère illégal des colonies, etc. semble aujourd'hui impossible à réitérer dans son entier. Pour quelques uns prompts à suivre la stratégie Netanyahu, il faut en finir avec les Palestiniens et réoccuper Gaza. Pour d'autres, la solution à deux États est la seule issue possible. Entre les deux, se meut un marais d'États membres au langage plus flou. Seule l'aide humanitaire aux Palestiniens (et encore !) semble retrouver un semblant d'accord.

Pas d'affectio societatis sur l'avenir européen

Les Européens ne sont pas d'accord sur les questions intérieures vitales. Ni sur le budget futur pour 2024-2027 (dépenser plus ou économiser plus, trouver de nouvelles ressources), ni sur le plan migrations (restreindre encore les règles d'arrivées ou permettre une voie légale limitée pour certains potentiels), ni sur les règles budgétaires (faut-il revenir à une règle plus stricte des déficits et d'endettement et quelle marge laisser aux États membres). Autant de sujets primordiaux

... ni sur les frontières futures

Quant à l'élargissement européen à l'Ukraine, il est devenu aujourd'hui un point crispant. La Hongrie a mis son veto à toute décision du Conseil européen sur ce sujet en décembre. Mais il serait vain de mettre Budapest dans un corner. Plusieurs pays se satisfont en coulisses de ce Nem hongrois de dernière minute, leur permettant d'afficher une position plus généreuse en apparence, et évite d'afficher leurs réticences tout aussi grandes. Bref les Européens ne sont plus d'accord sur le projet européen...

Le nombril du monde

Cette absence de consensus et surtout de décision est dangereuse. Le reste du monde bouge, vite et sans les Européens. La Russie a relevé la tête. La Chine est sûre de son destin de leader mondial, l'Inde s'affirme comme puissance économique. Des puissances régionales, du Brésil à la Turquie en passant par l'Arabie saoudite ou l'Afrique du Sud prennent leurs aises dans ce monde nouveau. Des pays à l'importance plus secondaire — tels le Niger, le Mali, le Burkina Faso — ont déjà jeté par dessus bord l'aide et les "recommandations" européennes, préférant d'autres alliances. D'autres n'hésitent plus à "panacher" leur aide pour ne pas dépendre que des Européens. Et ce mouvement ne semble pas prêt de s'éteindre.

Une Europe en peine de leaders

Face à cette révolution planétaire, l'Europe ne semble pas effet au rendez-vous. Plusieurs Chefs sont sur le départ et non des moindres : le Néerlandais Mark Rutte, le Polonais Mateusz Morawiecki notamment. D'autres ont de grosses difficultés internes à commencer par le principal d'entre eux, le chancelier allemand Olaf Scholz en proie à des dissensions au sein de sa coalition. Même le Français Emmanuel Macron, vers qui les regards souvent se tournent à la recherche d'une impulsion, est en minorité au Parlement et son gouvernement ne tient qu'à coups d'articles 49-3 (vote bloqué).

Une absence de prise de risques

Le président du Conseil européen, le Belge Charles Michel, ne brille pas par son opiniâtreté. Si sa perspicacité politique, son sens de la manœuvre sont bien connus, ce n'est en effet pas le courage politique qui l'étreint. Il répugne aux confrontations trop fortes et préfère souvent botter en touche, repoussant à plus tard la résolution des problèmes, nous précise un bon connaisseur de la machine européenne. D'où le nombre de dossiers qui sont "non réglés". Quant au couple franco-allemand, il semble aux abonnés absents. Et ce n'est le fait de Paris. Du moins cette fois (lire : [Analyse] Un coup de grisou sur le couple franco-allemand aux racines plus profondes).

Une majorité rognée par les extrêmes

Enfin la campagne pour les élections européennes semble s'annoncer difficile pour la plupart des dirigeants. Les changements qui s'annoncent — faiblesse des centristes libéraux et des verts, montée attendue de l'extrême droite et des conservateurs — menacent l'équilibre politique européen interne. Ce qui ne facilite pas vraiment un engagement trop fort et des concessions.

Le précipice de l'histoire

Les Européens tout occupés par leur nombril sont-ils en train de perdre pied. Pas encore tout à fait. Mais le précipice n'est pas loin. Si chacun n'y prend pas garde. À force de petite défense des intérêts et de médiocrité, les Européens pourraient passer demain à côté de l'Histoire.

(Nicolas Gros-Verheyde)

- Agenda / Région parisienne

A 178,59 millió forint összköltségű projekt során a cég balmazújvárosi-nagyháti telephelyén ingatlanjait korszerűsítette, valamint technológiai fejlesztés keretében új eszközök beszerzése mellett képzés és tanácsadás igénybevétele is megvalósult.
A beruházáshoz a Kender Logistic Kft. a Széchenyi Terv Plusz program Gazdaságfejlesztési és Innovációs Operatív Program Plusz pályázati felhívásán nyert el 125,02 millió forint feltételesen vissza nem térítendő európai uniós támogatást.

A Kender Logistic Kft. 2012-ben alapított vállalkozás, mely jelenleg 3 telephelyen – Tállya, Balmazújváros, Mesztegnyő – működtet logisztikai szolgáltató központot. A telephelyeken főleg gabonafélék, olajos magvak és műtrágya raktározása folyik, de a raktárépületek kiválóan alkalmasak egyéb, raklapos darabáru tárolására is. A cég főbb szolgáltatásai a raktározás, tárolás, minőség ellenőrzés, közúti be- és kitárolás, vasúti be- és kitárolás, közút-vasút átrakás, vagonberakás, vasúti mérlegelés, gabona árukezelése, áttárolása, valamint forgatása.

A projekt keretében az infrastruktúra fejlesztése a raktárépületet és az iroda-szociális épületet érintette. Az épületek az 1960-as, '70-es években épültek, felújításuk időszerű volt. Az épületek komplex energetikai felújítása csökkenti az energiaigényt a költségmegtakarítás és a fenntarthatóság jegyében. A megújuló energiaként telepített napelem havonta szintén jelentős költségmegtakarítást jelent a cég számára.

A beruházás során beszerzett eszközök a T-265V típusú mobil vagonürítő szállítószalag, a T-428-2-15 szalag, 2 db JCB 542-70 AGRI XTRA típusú teleszkópos rakodógép, 1 db Automata szemestermény mintavevő - sínen futó kivitelben, Linear Drive kamerarendszerrel, valamint 1 db Infracont XGrain gabonaelemző készülék.

Az új eszközök használatával a telephelyre beszállítandó termény minőségének ellenőrzését, az áruraktárba történő elhelyezését tudták könnyíteni, és gyorsítani a be és kitárolás folyamatát. Az árut magasabban tudják tárolni, így a magasabb tárolás jobb raktár kihasználtságot, mindezen betárolási megoldások pedig költségmegtakarítást jelentenek. Az új gépek továbbá alacsonyabb költséggel üzemeltethetők, megfelelnek a legkorszerűbb környezetvédelmi előírásoknak, és biztonságosabb az üzemeltetésük.

A Széchenyi Terv Plusz program GINOP_PLUSZ-1.2.3-21 számú, „A mikro-, kis- és középvállalkozások modern üzleti és termelési kihívásokhoz való alkalmazkodását segítő fejlesztések támogatása a leghátrányosabb helyzetű régiókban” című kiírásán 125 015 221 forint támogatást elnyert, 178 593 173 forint összköltségvetésű fejlesztés 2022. április 30-án indult és 2023. december 31-én zárult.

F-16 Fighting Falcons of the RNLAF 312th Squadron took part in a readiness exercise at Volkel Air Base. On Dec. 8, 2023, the 312 Squadron of the Royal Netherlands Air Force (RNLAF) held an impressive [...]

The post Last Dutch F-16 Squadron Carries Out Readiness Exercise at Volkel AB appeared first on The Aviationist.

(B2) Si vous n'avez pas encore vu l'exposition de l'artiste graphiste français Jean Jullien au Mima, le musée des arts urbains de Bruxelles, situé dans un quartier en pleine reconversion de Molenbeek au bord du Canal de Bruxelles. Courrez-y.

Cette « première exposition muséale personnelle » en Europe joue les prolongations : jusqu'au 7 janvier prochain. Elle mêle des peintures intimistes de l’artiste, des tableaux naturalistes à des commentaires et réflexions peints directement sur les murs. Les représentations de la mer, les plages, les forêts semblent si réalistes qu'on peut s'attendre à tout moment à se faire surprendre par une vague ou oiseau sorti du tableau.

(Crédit : Jean Jullien / MIMA)

Au détour des couloirs, tout en haut presque au pigeonnier du musée, vous pourrez découvrir une fresque géante, présentant sur un demi-cercle, un raccourci de l'histoire des guerres récentes, de l'antiquité à l'actualité, en passant par le Moyen-âge. Édifiant

(Crédit : Jean Jullien / MIMA)

(Nicolas Gros-Verheyde)

Au Musée MIMA, Quai du Hainaut 41, Molenbeek-Saint-Jean 1080 jusqu'au 31 décembre 2023

Le site de Jean Jullien

At least one IRIAF (Islamic Republic of Iran Air Force) F-14 Tomcat flew alongside the Russian presidential aircraft and its Su-35S Flanker escort over Iran. On Dec. 6, 2023, Russia’s President Putin made a rare, [...]

The post Iranian F-14 Tomcat Escorted Putin’s Il-96 And Accompanying Flankers On Their Way To UAE appeared first on The Aviationist.

The 10-year deal covers the entire syllabus from the basic jet training to the lead-in fighter training. The chief of the Swedish Air Force, Maj. Gen. Jonas Wikman, and the chief of the Italian Air [...]

The post Sweden Signs Agreement To Train Combat Pilots In Italy For The Next Decade appeared first on The Aviationist.

On Monday, 11 December 2023, Members of the Committee on Foreign Affairs, Committee on Development and Sub-committee on Human Rights will meet 2023 Sakharov Prize laureates: Jina Mahsa Amini and the Woman, Life, Freedom movement, represented by Afsoon Najafi and Mersedeh Shahinkar.

By awarding the 2023 Sakharov Prize to Jina Mahsa Amini and the Woman, Life, Freedom Movement in Iran, the Parliament recognises their brave efforts to stand up for fundamental rights and women's rights. Through this debate, Members will have the opportunity to express their strong support for the aspiration of the Iranian people to live in a free, stable, inclusive and democratic country.

Sakharov Prize
Press Release
Source : © European Union, 2023 - EP

With annual population increases of 7 per cent, Nigeria’s capital, Abuja, has become the fastest-growing city in Africa in the past 20 years. A population of a mere 880,000 people at the turn of the millennium will have grown to more than 5 million by 2030. Abuja thus embodies the continental trend: Africa is urbanising at an historically unprecedented pace and scale. The world’s 10 fastest-growing cities are all in Africa, and the urban population will increase by around 900 million people by 2050, thereby nearly tripling. And two-thirds of the African cities that will exist in 2050 have yet to be built.

Since more than half of the residents in most African cities currently live in informal settlements with limited access to basic services and jobs, this rapid urbanisation is a daunting scenario. However, the positive social and economic effects from Africa’s urbanisation in the past decades are often overlooked. They offer insights into the opportunities and necessary steps needed to make Africa’s future urbanisation a success.

The overlooked successes of Africa’s urbanisation

Based on the most comprehensive analysis of Africa’s urbanisation, the report “Africa’s Urbanisation Dynamics 2022” provides a new, more positive understanding of urbanisation on the continent during the period between 1990 and 2020. Compared to rural regions, cities offer significantly better living conditions, especially regarding job opportunities and higher wages, but also better public and private services. Although larger cities are better off overall, the conditions in small and medium-sized cities are much better than in rural regions. These advantages that cities enjoy over rural regions have been maintained, despite a tripling of the urban population since 1990. The underlying expansion of urban infrastructure, services and economic opportunities to the approximately 500 million new urban dwellers during this period is, for all its shortcomings, an often overlooked achievement.

Urban population growth has also directly contributed to the economic growth of African countries through economic agglomeration effects. Almost one-third of Africa’s average annual per capita growth since 2001 can be attributed to this alone. In rural areas, too, urbanisation has improved income opportunities and living conditions by creating rural–urban value chains, especially around smaller cities. City clusters also promote trade and growth.

Despite these positive developments, many African cities are characterised by high levels of inequality, poverty and an insufficient number of formal and well-paid jobs, all of which has been exacerbated by the Covid pandemic. These factors are related to the biggest weakness of the urbanisation process in Africa so far: urbanisation without structural economic transformation. Increased productivity, diversification, and thus growth in manufacturing and higher-value services, which lead to significantly more and better-paid jobs, have mostly failed to materialise. However, for the successful urbanisation of the continent, such a structural transformation is necessary.

Africa’s urban future as historic opportunity

There are two scenarios that can help with imagining the possible changes to Africa’s cities through urbanisation over the next two and a half decades. In the first scenario, the growth and emergence of cities is largely unregulated and without sufficient investment. This would exacerbate already existing urban problems. Inequality would be even more extreme in 2050, with extraordinarily rich residential and business districts being separated from the rest of the city, including the poorer neighbourhoods where the majority of the city’s residents live. These neighbourhoods would sprawl much further into the urban periphery than they already do now, housing standards would remain low as costs rise, public services would be almost non-existent, traffic jams would become even longer than they already are and insecurity would increase. People would also suffer more from the increasing effects of climate change, such as floods and life-threatening heatwaves. These living conditions could lead to political instability and increased migration to neighbouring countries and beyond.

In the second scenario, urbanisation would be planned in advance and supported through public and private investments. A structural economic transformation with a growing manufacturing sector and higher-value services could create many jobs and improve living conditions. These cities would stimulate economic growth in rural areas as well, and local revenue would finance the expansion of urban infrastructure and public services adapted to climate change. Political stability would be more likely and migration pressures would decrease.

These extreme scenarios show the range of possible developments over the next two and a half decades. Some structural conditions favourable to the successful governance of urbanisation include the fact that Africa has by far the youngest population, the increasing availability of alternative energy sources, digitalisation and the African Continental Free Trade Area (AfCFTA).

What to do

Whether Africa’s urbanisation will be a success or not depends on how it is governed in the coming years. But time is running out – cities grow and develop, creating material structures every day that limit the room for manoeuvre. For example, one of the decisive factors for the economic performance and climate impact of a city is its agglomeration. Simply put, a high density strengthens economic performance and reduces climate damage. Uncontrolled urbanisation, on the other hand, leads to urban sprawl. This is not only harmful to the climate in itself, but subsequent adjustments to the infrastructure are much more expensive and often politically challenging to enforce. Therefore, with every year that urbanisation proceeds without proactive governance, the negative scenario described above becomes more likely.

African and international organisations, think tanks and academics have developed recommendations for governing Africa’s urbanisation. There are four key aspects:

• Governance: The role of cities and local governments in national development planning should be significantly upgraded. In a multi-level approach, they should be understood and supported as central, independent actors of economic and social development. Small cities in particular, which have a strong impact on rural areas, have an important role to play. More local autonomy, revenues, and the use of participatory and experimental formats such as “urban labs” are important to promote local embeddedness and innovation.
• Planning: Due to the diversity of cities, planning should be based on local urban characteristics and potentials. Western planning paradigms should be questioned, and locally appropriate approaches and resources should be prioritised. For example, cooperatives and religious organisations play a major role in the provision of housing and infrastructure in many African cities. The inclusion of women and disadvantaged groups as well as the consideration of nature-based solutions are of particular importance.
• Financing and investment: Based on the calculations for selected countries, the resources needed to finance the climate-friendly growth and construction of new cities in Africa until 2050 amount to trillions of euros and cannot possibly be raised by African countries alone. Public and private as well as national and international investments are needed, while at the same time cities need to increase own-source revenues, which are comparatively low in Africa.
• Infrastructure and services: The proactive provision of urban infrastructure and services is the most important and most cost-effective lever to positively influence the productivity of cities as well as their climate impact. In addition to secure land tenure, electricity and transport routes, this includes education and health care, affordable housing and social protection systems, which increase productivity and quality of life.  

Apart from the people and countries most directly affected on the African continent, the consequences of successful or failed urbanisation in the coming decades will also be felt in Europe. It is therefore in Europe’s and Germany’s interests to more systematically and comprehensively support the proactive governance of urbanisation in Africa. One new approach for doing that would be Just Urban Transformation Partnerships (JUTPs), based on the model of the Just Energy Transition Partnerships (JETPs). JUTPs would be multilateral, multi-actor cooperation and investment agreements in which a group of countries would work with national governments, including relevant national actors such as the Ministry of Urban Development and the Association of Cities or Mayors’ Forums, for example, and selected cities as well as local governmental, non-governmental and private-sector stakeholders. JUTPs would complement the cooperation of national governments with a more territorial approach. Germany could also build on existing city partnerships and its longstanding engagement in decentralisation processes. Another possibility would be to support international city networks more strongly (“urban diplomacy”). There are many potential approaches for collaborating on urbanisation. First of all, however, actors need to realise what a unique opportunity Africa’s urbanisation presents for the continent’s structural transformation and development.

Michael Roll is a researcher at the German Institute of Development and Sustainability (IDOS). He currently works on the governance of urban sustainability transformations in the Transformative Urban Coalitions (TUC) project.

Responsibility for the content, opinions expressed and sources used in the articles and interviews lies with the respective authors.

Ukraine's domestic intelligence service, the SBU, is hitting Russia's industrial infrastructure using a new type of kamikaze drone, the Morok

Low-cost airline Wizz Air is resuming operations in December at its key hub in Moldova after an almost nine-month hiatus

As the Russian government has been communicating a lot about producing new satellites, launching a new space station and building