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Agrégateur de flux

Décès de ZERBO G. ALEXANDRE : Faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/12/2023 - 23:00

Les grandes familles ZERBO, DRABO, LAMIZANA, TOE, SEREME à Ouagadougou, Kouy, Tougan, Bobo-Dioulasso, Côte-d'Ivoire, USA, Canada, France et Belgique.

Les familles alliées DIALLO, NACOULMA, ZIDA, SIRIMA, DRABO, TABI ? OUEDRAOGO, ZAPRE, SEREME, TAMEOGO à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Cameroun, Koudougou, Dédougou.

Ont la profonde douleur de vous annoncer le rappel à DIEU de leur fils, petit-fils, neveu, frère, cousin, époux, père, beau-frère et oncle.

ZERBO G. ALEXANDRE
24 Octobre 1981 – 26 Novembre 2023

PROGRAMME DES OBSEQUES

Mercredi 12 Décembre 2023
20h : Veillé de prières au domicile familial à Somgandé

Jeudi 14 Décembre 2023
14h : Levée du corps suivi de l'inhumation au cimetière militaire du Camp Sangoulé LAMIZANA

Catégories: Afrique

Bumba : les sinistrés des inondations demandent une assistance en vivres et médicaments

Radio Okapi / RD Congo - mar, 12/12/2023 - 22:58


Depuis deux semaines, la cité de Bumba, dans la province de la Mongala, est confrontée à de graves inondations. La catastrophe a touché plusieurs quartiers, ainsi que le bâtiment administratif, dont les activités sont délocalisées. 


Des témoins affirment que ces graves inondations à Bumba-Centre ont envahi les quartiers Lokele-Molua, Lokola, Mobutu et la majeure partie du village Bopoto, à l'embouchure de la rivière Itimbiri. 


Au centre-ville, le quartier SSEDEC et le bâtiment administratif sont sous l'eau.  

Catégories: Afrique

Les députés britanniques approuvent le projet de loi pour expulser des migrants au Rwanda

RFI (Europe) - mar, 12/12/2023 - 22:34
Le projet de loi controversé du gouvernement britannique pour expulser vers le Rwanda des migrants arrivés illégalement au Royaume-Uni a franchi mardi soir 12 décembre un premier obstacle au Parlement. Le texte reconnaît la sûreté du Rwanda, et donc permet d’y envoyer les demandeurs d’asile, pour contourner l’invalidation par la justice.
Catégories: Union européenne

Ituri : près de 10 000 habitants du Sud d’Irumu hésitent de retourner dans leurs villages

Radio Okapi / RD Congo - mar, 12/12/2023 - 22:21

  


Plusieurs habitants des villages de la chefferie de Banyari Tchabi au sud d’Irumu hésitent d’y retourner à cause des menaces permanentes des rebelles des ADF dans leurs entités. Selon les autorités coutumières locales, plus de dix mille personnes, membres de cette communauté, attendent depuis cinq ans de retourner dans leurs villages. 

Catégories: Afrique

Gilbert Makelele : « L’année passée, nous avons exporté environ 13 OOO tonnes de café et 48 000 tonnes de cacao »

Radio Okapi / RD Congo - mar, 12/12/2023 - 22:07


« L’année passée, nous avons exporté pour environ 13.OOO tonnes de café et 48.000 tonnes de cacao. Ce qui est encore faible, car nous avons un climat très propice à la culture du café », a affirmé Gilbert Makelele, coordonnateur du réseau de coopératives de producteurs de café et Cacao de la RDC. 

Catégories: Afrique

Sondage sur la Différence dans le traitement de l'information entre les activistes et les journalistes

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/12/2023 - 22:00

Dans le cadre de la rédaction de mon mémoire de fin de cycle qui porte sur " Différence dans le traitement de l'information entre les activistes et les journalistes : traitement des attaques terroristes par Lefaso.net et Naïm Touré au cours du premier semestre 2023", je sollicite votre collaboration pour renseigner ce questionnaire.
Je m'engage à garantir l'anonymat dans le traitement des données collectées. Votre participation et votre disponibilité seront grandement appréciées. Merci d'avance.

https://docs.google.com/forms/d/19-o50laBSEqMH0_keorjMbuM32srh0y5aDzVqaGI0g8/edit

Catégories: Afrique

Examen du marché des produits de Santé Sexuelle et Reproductive (SSR) au Burkina Faso : Un regard critique sur les défis et les perspectives

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/12/2023 - 22:00

Plongez dans l'analyse approfondie du marché des produits de Santé Sexuelle et Reproductive (SSR) au Burkina Faso. Cette étude rigoureuse met en lumière les insuffisances majeures du marché des produits de SSR, qui vont de la dépendance financière aux lacunes de coordination. Découvrez également les recommandations stratégiques essentielles pour une offre de produits de SSR robuste et durable dans ce contexte burkinabé en pleine évolution.

Introduction

Le marché des produits de SSR au Burkina Faso suscite actuellement un intérêt particulier dans le cadre d'une étude entreprise par l'initiative SEMA (Shaping Equitable Market Access for Reproductive Health). Ce pays d'Afrique de l'Ouest, marqué par une avancée dans l'amélioration des indicateurs de SSR mais qui reste toujours confronté à des défis persistants dans ce domaine.

L'objectif principal de cette évaluation est d'apporter une compréhension approfondie du paysage de la SSR, mettant en lumière non seulement les défis prévalents mais également les opportunités d'intervention stratégique. Pour ce faire, SEMA a mis en œuvre le cadre méthodologique rigoureux appelé "Healthy Markets Framework" (HMF), élaboré spécifiquement pour évaluer la santé des marchés nationaux des produits de SSR.

L'étude se fonde sur des données statistiques clés relatives à la SSR et sur des avis d'experts. C'est au travers de cette aventure intellectuelle que nous vous invitons à plonger, pour comprendre les enjeux qui jalonnent le chemin vers un marché des produits de SSR plus épanoui au Burkina Faso.

Développement

Cette évaluation du marché des produits de SSR au Burkina Faso, a dévoilé des problématiques structurelles importantes. En effet, elle a mis en exergue des défis potentiels qui, s'ils ne sont pas abordés avec précision, pourraient compromettre la durabilité et la résilience du marché des produits SSR.

Défi N°1 : Dépendance financière vis-à-vis des fonds des bailleurs : les risques qui pèsent sur la santé sexuelle et reproductive

Le secteur public et celui des ONG, représentant la majorité des soins en SSR, sont de plus en plus tributaires des financements externes. Bien que les ressources des donateurs aient connu une augmentation notable ces dernières années (2018-2021), les fonds mobilisés à l'échelle nationale n'ont pas suivi la même tendance ascendante.

Cette situation expose le marché des produits la SSR à des risques particuliers. En effet, les fluctuations annuelles dans les engagements financiers des donateurs ajoutent une couche d'incertitude, remettant en question de la résilience du marché sur les trois à cinq prochaines années. Le Burkina Faso se retrouve à la croisée des chemins, nécessitant des actions immédiates pour atténuer ces risques et assurer la pérennité des produits de la SSR.

En réponse à cette lacune critique, l'étude recommande une approche stratégique en trois volets. Tout d'abord, il est impératif d'établir une approche de financement claire pour l'achat des produits de SSR. Cette initiative informera les stratégies nationales et guidera les efforts de mobilisation des ressources.

Deuxièmement, l'élaboration d'une stratégie nationale de mobilisation des ressources nationales et des donateurs s'avère cruciale. Cette stratégie devrait explorer de manière exhaustive les opportunités de financement des donateurs, visant à maximiser leur contribution à l'approvisionnement en produits de SSR. La clé réside dans l'efficacité et une coordination stratégique pour exploiter au mieux ces opportunités.

En parallèle à ces mesures, une campagne de sensibilisation dynamique est préconisée. Elle vise à mobiliser les acteurs gouvernementaux, les collectivités territoriales ainsi que les acteurs du privé en vue de les encourager à s'inscrire activement dans la mobilisation des ressources nationales. Cette sensibilisation, cherche à susciter un engagement accru des parties prenantes nationales dans la garantie de la durabilité des produits de la SSR.

Défi N°2 : Engouement limité du secteur privé pour le marché de la santé sexuelle et reproductive : une opportunité sous-exploitée

Actuellement, le secteur privé demeure une ressource très peu exploitée, avec une demande de soins minime dans ses établissements, notamment en ce qui concerne l'accès aux produits contraceptifs.

L'analyse révèle que les établissements du secteur privé, plus que leurs homologues publics et les ONG, éprouvent des difficultés à garantir la disponibilité de produits contraceptifs. Pour pallier ce problème, des actions décisives sont nécessaires, notamment l'incitation active du secteur privé à participer davantage à la prestation de services en SSR. Cette implication pourrait, à son tour, contribuer à la viabilité financière à long terme, en particulier si les prix sont structurés équitablement en réponse à la réduction du financement des donateurs.

Face à ces constats, des recommandations stratégiques émergent.

Tout d'abord, il est essentiel de mener une évaluation approfondie du marché du secteur privé en produits de SSR. Cette évaluation doit explorer le paysage financier, l'approvisionnement, l'offre et la demande. Les résultats de cette étude deviendront les fondations sur lesquelles les stratégies pour attirer davantage le secteur privé pourront être élaborées.

Deuxièmement, une évaluation exhaustive visant à comprendre les raisons qui poussent les patients à choisir le secteur public ou les ONG pour les produits de SSR est préconisée. Ces données seront utilisées pour informer les stratégies visant à orienter la demande vers le secteur privé.

En outre, le soutien actif des parties prenantes de la SSR dans l'élaboration d'une stratégie nationale d'engagement du secteur privé est une recommandation majeure. Cette stratégie devrait définir des objectifs clairs et les moyens par lesquels le secteur privé pourrait être utilisé et soutenu pour garantir un accès équitable aux produits et services de SSR au Burkina Faso.

Enfin, une invitation pressante est lancée aux acteurs clés du secteur privé pour une participation plus active aux groupes de travail et aux forums techniques existants mais aussi d'amener les autres acteurs privés qui n'y participent pas pour le moment à rejoindre ces cadres. Leur contribution conjointe à l'élaboration d'une analyse de rentabilité contribuera à stimuler leur engagement croissant sur le marché de la SSR.

Défi N°3 : Prédominance d'un nombre restreint de fabricants : un défi crucial dans la sécurité de l'approvisionnement en produits de SSR

Cette lacune représente une préoccupation majeure, d'autant plus qu'elle pourrait exposer la Centrale d'Achat des Médicaments Essentiels Génériques (CAMEG) à des difficultés d'accès à une base d'approvisionnement diversifiée et fiable, considérée comme une priorité par les principales parties prenantes.

Des retards mineurs ou des pénuries pourraient déstabiliser l'équilibre délicat entre l'offre et la demande de contraceptifs et inciter les utilisateurs à se tourner vers le marché parallèle, engendrant ainsi des risques de consommation de produits de moindre qualité. Par exemple, les défaillances de diversification de l'offre ont été manifestes en 2021, lorsqu'une rupture nationale d'implants a entraîné des retards de livraison, forçant la CAMEG à solliciter un soutien d'urgence de l'UNFPA pour l'approvisionnement.

Face à ces défis, les experts proposent un certain nombre de points d'action.
Tout d'abord, une évaluation approfondie des facteurs contribuant à la limitation de la diversité et de la qualité des fournisseurs est impérative. Cette analyse servira de base à l'élaboration d'une stratégie visant à surmonter les défis identifiés.

En parallèle, il est crucial de soutenir les efforts visant à accroître le nombre de fabricants enregistrés localement pour chaque produit de SSR. Cela implique la fourniture d'une assistance technique à la CAMEG et/ou à l'Agence nationale de réglementation pharmaceutique (ANRP) pour simplifier les processus d'enregistrement. Les fabricants doivent être encouragés par des incitations et des analyses de rentabilité afin de surmonter les obstacles qui les découragent de s'enregistrer.

En outre, le développement d'un cadre décisionnel est préconisé pour guider la CAMEG dans l'identification et la sélection d'options d'approvisionnement flexibles, permettant d'avoir plusieurs fournisseurs par produit. Ceci est particulièrement crucial en cas de ruptures de stock ou de retards des fournisseurs, minimisant ainsi le risque de pénuries nationales.

De plus, la promotion de la fabrication locale et/ou régionale de produits de SSR est recommandée à travers des politiques incitatives, y compris des avantages fiscaux et un soutien aux fabricants locaux pour obtenir la préqualification de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Enfin, pour renforcer la résilience régionale, des efforts conjoints régionaux, tels qu'une politique d'achat groupé entre les pays, devraient être soutenus. Par exemple, par le biais de l'Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS), ces initiatives visent à accroître les volumes d'acquisition de produits de SSR.

Défi N°4 : Prise en compte insuffisante des données sur les préférences des utilisateurs : un obstacle dans la marche vers un marché des produits de SSR axé sur les besoins des utilisateurs.

L'absence de collecte et d'intégration systématique des préférences des consommateurs dans les décisions budgétaires et d'achat crée des lacunes dans le suivi et l'assurance que les produits disponibles sur le marché répondent effectivement aux besoins de la population. Cela a des implications majeures sur la capacité des fournisseurs à optimiser des ressources limitées pour satisfaire au mieux la demande des consommateurs et à introduire de nouveaux produits en fonction des besoins émergents.

Face à cette réalité, deux mesures pourraient guider le système de santé vers une approche plus centrée sur les utilisateurs dans le domaine de la SSR.

D'une part, il est impératif de mettre en place un groupe de travail dédié au sein du Ministère de la santé, ou par le biais d'une plateforme technique existante, réunissant les parties prenantes du gouvernement, les chercheurs et les partenaires. Ce groupe aura pour mission d'élaborer un plan stratégique visant à recueillir des données sur les préférences des utilisateurs. Ceci peut nécessiter la mise en œuvre d'enquêtes dédiées ou l'inclusion d'indicateurs sur les préférences des consommateurs dans des enquêtes nationales existantes, telles que les enquêtes démographiques et de santé (EDS).

D'autre part, l'intégration des données sur les préférences des utilisateurs dans le processus de prise de décision est essentielle pour garantir un marché des produits de SSR aligné sur les besoins réels des populations. Cela implique d'améliorer l'intégration des données relatives aux préférences des consommateurs dans les quantifications nationales et les décisions d'achat et de financement à travers le Tableau d'Acquisition des Contraceptifs (TAC). Cette approche permettra de garantir que les ressources sont allouées de manière efficiente, en maximisant l'impact sur la santé reproductive de la population.

Défi N°5 : Coordination du marché des SSR au Burkina Faso : une harmonie à construire

En dépit des cadres nationaux existants et des mécanismes de planification, des lacunes persistent dans la capacité à analyser et discuter des questions du marché globalement, notamment les préférences des consommateurs, l'adoption des produits et la conception de stratégies financières durables.

Il apparaît que le manque de mécanismes dédiés à l'analyse des aspects liés aux préférences des consommateurs et à la conception de stratégies financières robustes devient de plus en plus critique, surtout à la lumière des récentes modifications des priorités gouvernementales, entraînant une réduction des engagements des partenaires extérieurs sur le marché des produits de la SSR.

Face à cette réalité, des pistes claires pour construire une harmonie dans la coordination du marché de la SSR au Burkina Faso pourraient être dégagées en appliquant certaines mesures.

Tout d'abord, il est essentiel d'élaborer une stratégie de marché spécifique aux produits de la SSR au Burkina Faso. Au cours des cinq à dix prochaines années, cette stratégie devrait servir de feuille de route alignant les principales parties prenantes sur des priorités communes et définissant des mesures concrètes pour surmonter les obstacles identifiés.

Parallèlement, la création et le soutien d'un groupe de travail technique dédié au marché de la SSR sont impératifs pour renforcer la coordination entre les acteurs des secteurs public, ONG et privé. Ce groupe fournira une plateforme pour discuter des défis actuels, explorer des solutions novatrices et faciliter une collaboration étroite.

Une meilleure utilisation des données existantes, notamment celles sur les commandes et les expéditions capturées par le réseau FPVAN (Global Family Planning Visibility and Analytics Network), est également essentielle. Cela peut nécessiter la révision des outils analytiques existants ou la conception de nouveaux, afin d'améliorer la coordination et le partenariat.

Enfin, l'établissement d'un cadre de dialogue entre le secteur privé et le Ministère de la santé émerge comme une recommandation clé. Ce cadre permettra de prendre en compte les intérêts de toutes les parties, favorisant une compréhension mutuelle et renforçant la collaboration entre les secteurs public et privé pour relever les défis du marché des produits de la SSR.

Conclusion

L'analyse approfondie du marché des produits de SSR au Burkina Faso met en exergue des défis majeurs. La dépendance financière aux ressources des donateurs menace la durabilité, soulignant l'impératif d'établir des objectifs de financement clairs et d'adopter une stratégie nationale pour mobiliser efficacement les ressources. Le secteur privé, confronté à des politiques restrictives, nécessite une stratégie nationale d'accompagnement et d'engagement et une participation accrue dans les forums existants.

Les défis d'approvisionnement, notamment le nombre limité de fabricants, exigent des évaluations approfondies et des incitations à la diversification des fournisseurs. Le déficit en données sur les préférences des consommateurs requiert la création d'un groupe de travail et l'intégration de ces données dans les processus d'achat, visant à aligner l'offre sur les besoins réels. La lacune globale dans les fondements du marché souligne le besoin d'une coordination renforcée, avec des recommandations telles que l'élaboration d'une stratégie de marché et l'amélioration de l'utilisation des données existantes pour favoriser la collaboration entre les secteurs public, privé et les ONG.

Toutes fois des questionnements persistent : Comment ces recommandations seront-elles concrètement mises en œuvre, et quel impact auront-elles sur les marchés des produits SSR au Burkina Faso ? Ces interrogations appellent à des actions supplémentaires et à une surveillance continue du marché pour garantir des progrès significatifs dans le domaine de la santé sexuelle et reproductive.

Auteurs :

Charlemagne TAPSOBA, Médecin de Santé Publique, Chercheur Associé à RESADE, Coordonnateur du Consortium RESADE-R4D-RAME.
Noéllie Teine H. KONSEBO, Médecin de Santé Publique, Chercheure Associée à RESADE
Yamba KAFANDO, Géographe de la santé, Chercheur à RESADE

Informations sur l'étude :
Il s'agit d'une étude multi sites qui a concerné trois pays (Burkina Faso, Nigeria, Sénégal). La présente étude a été réalisée en 2022-2023 au Burkina Faso par le consortium RESADE (www.resasde.org)- R4D (https://r4d.org/) - RAME (http://www.rame-int.org/) avec l'accompagnement du Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique (MSHP) du Burkina Faso. Elle a été financée par la fondation BMGF, l'AFD et la Fondation du Fonds d'investissement pour l'enfance (CIFF) à travers AMREF Health Africa.

Partenaires

Catégories: Afrique

Campagne électorale : le meeting de Moïse Katumbi interrompu à Moanda par des jets de pierres

Radio Okapi / RD Congo - mar, 12/12/2023 - 21:53


Alors que Moïse Katumbi s’adressait à ses sympathisants à Moanda dans la province du Kongo-Central, des personnes non identifiées ont fait irruption au milieu de la foule qui écoutait le candidat numéro 3. A la suite des jets de pierres, la Police nationale congolaise (PNC) a tiré des coups de feu.


Selon Africa News, plusieurs cas de blessés graves ont été enregistré. L’un des gardes rapprochés de Moïse Katumbi, atteint à la tête, est admis dans un centre de santé.

Catégories: Afrique

AirPowerNews 129. (2023. dec.)

Air Power Blog - mar, 12/12/2023 - 21:36

Radarok a hóban.

Zord


Catégories: Biztonságpolitika

Kinshasa : de dégâts matériels à la suite des inondations au quartier CPA

Radio Okapi / RD Congo - mar, 12/12/2023 - 21:21


Les habitants du quartier CPA-Mishie dans la commune de Mont-Ngafula (Kinshasa) vivent, depuis quelques jours, les pieds dans l’eau depuis près de deux semaines. Ces personnes qui résident non loin de la rivière Boyo et du fleuve Congo plaident pour une assistance. 


Ces inondations ont causé plusieurs dégâts matériels. Mais bien plus, de nombreuses familles sont séparées, à la recherche des refuges.

Catégories: Afrique

[Actualité] La menace Houthis en mer Rouge continue. Un pétrolier norvégien atteint par un missile

Bruxelles2 - mar, 12/12/2023 - 21:05

(B2) L'attaque d'un pétrolier norvégien a failli tourner au drame dans la soirée du lundi (11 décembre) en mer Rouge. Les Houthis donnent réalité à leur volonté de viser tout navire ayant pour destination Israël.

La frégate Languedoc en mer rouge (Flux video : Etat major des armées / sélection B2)

Un pétrolier norvégien visé délibérément

Le pétrolier Strinda, battant pavillon Norvégien, a été victime d’une « attaque aérienne complexe » impliquant un missile et un drone, dans le sud de la mer rouge, selon les informations diffusées par la défense française et américaine. Deux navires l'un de la marine française, Le Languedoc, l'autre de l'US Navy, l'USS Mason, se sont portés au secours du navire marchand.

Un missile qui fait mouche, un drone intercepté

Le pétrolier a en effet été atteint par un missile, provoquant un incendie à bord. Missile de croisière anti-navire (ASCM) lancé depuis une zone contrôlée par les Houthis au Yémen, selon l'US Navy. L'incendie a pu être maitrisé. Aucun blessé n'est à déplorer.

Marines française et US au secours

Le drone, qui « menaçait directement le Strinda », a pu être intercepté et détruit par la frégate française multi-missions FREMM Languedoc (D-653), qui patrouillait dans la zone (1). Le Languedoc s’est ensuite placé en protection du bâtiment touché, « empêchant la tentative de détournement du navire », indique la défense française.

Le destroyer américain USS Mason (DDG-87) a ensuite pris le relais et escorté le Strinda vers le golfe d’Aden hors de la zone de menaces. Tandis que la frégate Languedoc reprenait sa patrouille vers le Nord.

Une attaque revendiquée par les Houthis

Le ciblage du pétrolier a été revendiqué par les forces armées yéménites. « L'équipage du navire [norvégien] a ignoré tous les appels d'avertissement », a affirmé Yahya Sare'e, porte-parole des forces armées, selon al Massirah, la télévision liée au groupe yéménite. Une stratégie affirmée.

Viser tout navire à destination d'Israël

Les Houthis avaient indiqué, samedi (9 décembre), vouloir intercepter les navires se dirigeant vers Israël, « quelle que soit leur nationalité ». « Tout navire en route vers Israël sera considéré comme une cible légitime pour les forces armées yéménites » a ainsi indiqué Yahya Sare'e, porte-parole des forces armées. Une réponse « aux atrocités continues commises par Israël (...) et le blocus imposé à la population de Gaza ».

Le Languedoc visé délibérément

La semaine dernière, samedi (9 décembre), la frégate Languedoc avait abattu deux drones qui se dirigeaient « droit sur elle, en provenance des côtes du Yémen ». L’interception et la destruction de ces deux « menaces caractérisées » ont eu lieu vers 21h30 puis vers 23h30 (heures françaises) à 110 km des côtes du Yémen, à hauteur de Al Hudaydah, indique la défense française.

(Nicolas Gros-Verheyde)

  1. Le Languedoc a fait partie du dispositif Emasoh Agenor en protection du détroit d'Ormuz est en position pour remonter vers la Méditerranée. Il a aussi été intégré dans le groupe naval assurant la protection du porte-avions américain USS Dwight D. Eisenhower (CVN 69) dans cette même zone fin novembre.

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Catégories: Défense

Uvira : la rareté du carburant au Burundi booste le petit commerce transfrontalier congolais

Radio Okapi / RD Congo - mar, 12/12/2023 - 20:56


Les petits commerçants transfrontaliers congolais de Kavimvira, dans la ville d’Uvira, (Sud-Kivu) se sont lancés depuis une semaine, dans la vente de carburant à la frontière avec le Burundi, a constaté, samedi 9 décembre, un reporter de Radio Okapi. L’ampleur de ce commerce ferait suite à une carence de carburant observée du côté du Burundi voisin. 

Catégories: Afrique

Santé communautaire au Burkina : Le rapport final de l'évaluation de la stratégie nationale de santé communautaire 2019-2023 validé

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/12/2023 - 20:18

Le ministre en charge de la santé, Robert Kargougou, représenté par son chargé de mission, Jeannette Tougma, a procédé à la validation du rapport final de l'évaluation de la stratégie nationale de santé communautaire 2019-2023. C'était ce mardi 12 décembre 2023, à Ouagadougou.

L'évaluation de la stratégie de santé communautaire, mise en œuvre dans un contexte difficile marqué par la crise sécuritaire mais aussi par la pandémie à COVID-19, a été confrontée à une série de difficultés dont le retard accusé dans son démarrage, la programmation répétitive des activités, l'organisation de rencontres improvisées. Mais malgré cela, elle a pu adapter l'offre de soins aux besoins de la population en développant des stratégies de résilience.

« Malgré ce contexte difficile, on peut citer donc la stratégie de vaccination qui a été revue, l'utilisation des accoucheuses villageoises pour réaliser des accouchements hygiéniques qui a permis de sauver les vies de femmes et d'enfants en faisant moins de 5% de morts nés ce qui dénote de leur capacité de pouvoir surveiller le travail. Il y a aussi le dispositif minimum d'urgence qui a été développé et beaucoup de participation. On note aussi que le renforcement de la surveillance des agences de santé à base communautaire notamment pendant la période de la COVID, a été apprécié ; c'est un maillon essentiel pour la riposte contre également les épidémies », a confié Boezemwende Kaboré/Ouoba, directrice de la promotion et de l'éducation pour la santé.

Le rapport a été bien élaboré car il coïncide avec les objectifs des différents plans élaborés par le ministère de santé Dr Soumaila Coulibaly, évaluateur de la stratégie,

Selon elle, ce rapport validé ce jour permet d'affirmer que le ministère de la Santé dispose d'éléments essentiels pour aller à l'élaboration de la nouvelle stratégie de santé communautaire 2024-2028.
A entendre un des évaluateurs de la stratégie, Dr Soumaila Coulibaly, nous pouvons noter que le rapport est bien élaboré avec une vision qui coïncidait avec les objectifs des différents plans que le ministère de la Santé a conçus.

« Nous avons aussi noté la participation de tous les acteurs dans ce processus d'élaboration et dans la mise en œuvre nous avons retrouvé vraiment l'engagement des différents acteurs. Et nous avons aussi noté la participation des partenaires techniques et financiers dans tous les aspects de la stratégie de l'élaboration à la mise en œuvre », Dr Soumaila Coulibaly, un des évaluateurs de la stratégie.
Selon lui, les grands traits de la stratégie consistent à donner à la population la capacité de pouvoir se prendre en charge avec les soins de qualité.

« Nous avons noté qu'il y a eu des activités qui ont été menées dans ce sens et même au-delà des attentes. Dans le cadre de la mise en œuvre nous avons aussi noté des innovations qui ont été introduites dans la mise en œuvre des activités dont notamment le renforcement des soins et de la santé reproductive qui ont permis des accouchements dans de bonnes conditions dans le cadre où les agents de santé étaient disponibles », a-t-il également souligné.

Le ministre dans son mot n'a pas manqué de souligner l'importance de la prise en compte des recommandations formulées au cours de cette évaluation et qui doivent constituer des opportunités pour orienter positivement l'écriture de la stratégie 2024-2028.

Hanifa Koussoubé
Lefaso.net

Catégories: Afrique

Propriété intellectuelle : La 63e session du conseil d'administration de l'OAPI se penche sur la problématique du financement des projets structurants

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/12/2023 - 20:17

La capitale burkinabè, Ouagadougou, a abrité, ce 12 décembre 2023, la 64e session ordinaire du conseil d'administration des ministres de l'organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI). La cérémonie d'ouverture de ce conseil d'administration des ministres a été présidée par le chef du gouvernement burkinabè, Dr Apollinaire Kyélèm, aux côtés de la vice-présidente de l'OAPI et ministre centrafricaine en charge du commerce, Koyassoum Doumta Léa et du représentant du président de la commission de l'UEMOA et commissaire, le Pr Filiga Sawadogo.

En lisant le discours d'ouverture de cette grand'messe de la propriété intellectuelle des 17 pays membres de l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), le ministre en charge du commerce burkinabè, Serge G. Poda, s'est appesanti sur l'importance que revêt cette instance de l'OAPI qu'est le conseil d'administration des ministres.

Serge G..Poda, ministre burkinabè en charge du commerce

Une importance qui se justifie, selon l'autorité, par le fait qu'à chaque fois que ce conseil se tient, il permet aux pays membres de cette organisation de remettre en place les bases de la solidarité lui permettant de mener à bien ses missions.

Ainsi, venus des Etats membres de l'OAPI, les 17 ministres vont délibérer sur plusieurs questions importantes relatives à la vie de l'OAPI. En clair, il s'agit de passer en revue, selon le ministre dans son allocution, le rapport d'activités de la direction générale de l'OAPI, les questions financières, mais aussi celles stratégiques qui permettent à l'organisation de gérer de façon efficace toutes les missions qui lui ont été confiées. Et d'ajouter que c'est également le moment de travailler à renforcer l'innovation et la créativité, ainsi que la propriété intellectuelle dans son ensemble pour le bonheur des peuples.

Vue des acteurs du monde de l'OAPI venus des 17 pays membres

Quant à la vice-présidente de l'OAPI, elle estime que la tenue de cette 63e session a été un défi relevé, parce qu'elle permet à l'organisation d'être à la hauteur de la modernité des réformes au niveau du monde. Mieux, selon elle, l'Afrique doit être au diapason des nouvelles technologies et c'est pourquoi ces rencontres sont importantes, parce qu'elles permettront de se questionner pour accompagner la jeunesse à avoir une vie meilleure que celle qu'ont eu leurs parents.

Dr Dénis Bohousssou, directeur général de l'OAPI

En renchérissant, le directeur général de L'OAPI, Dr Dénis Bohoussou, a souligné que ça sera aussi l'occasion de délibérer sur le nouveau plan d'action stratégique 2023-2027 qui se penchera sur des projets structurants comme la mise en place du mécanisme de financement de l'invention et de l'innovation en matière de propriété intellectuelle dans les Etats membres.

Photo de famille

L'autre point figurant dans ce plan stratégique sur lequel il est également revenu, c'est l'accompagnement des nationaux pour la protection de leurs propriétés intellectuelles à l'international.

Tout en soulignant que ça sera également l'occasion de mesurer les progrès opérés et de questionner l'avenir de l'organisation.

Koyassoum Doumta Léa, ministre en charge du commerce de la République centrafricaine et vice présidente de l'OAPI

Présidée par le chef du gouvernement burkinabè, Dr Apollinaire Kyélèm, aux côtés de la ministre centrafricaine en charge du commerce, Koyassoum Doumta Léa, l'ouverture de cette réunion des ministres de l'OAPI a connu la mobilisation des acteurs du domaine.

Yvette Zongo
Crédit photo : Auguste Pare
Lefaso.net

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Burkina : La Commission nationale des droits humains se fait connaître des forces vives de la région du Centre-sud

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/12/2023 - 19:41

La Commission nationale des droits humains (CNDH) veut mieux se faire connaître. Pour ce faire, elle organise ce mardi 12 décembre 2023 à Manga, dans la région du Centre-sud, un atelier de présentation de la CNDH et de sa fonction de traitement des plaintes et de lutte contre les violations des droits humains.

Créée par décret n°628 2001/PRES/MJPDH du 20 novembre 2001, la Commission nationale des droits humains (CNDH) a été réformée par la loi n°062-2009/AN du 21 décembre 2009 et désormais sa création repose sur la loi n°001-2016/AN du 24 mars 2016 modifié par la loi n°002-2021/AN du 30 mars 2021 pour être en phase avec les “Principes de Paris”, qui sont les directives des nations unies relatives aux institutions nationales des droits de l'homme.

La CNDH a des missions de concertation, de consultation, d'évaluation, de proposition en matière de promotion, de protection et de défense des droits humains et d'examen des requêtes concernant les allégations de violations des droits humains. Elle est également chargée du suivi de la situation des droits humains au Burkina Faso.

Les forces vives de la région du Centre-sud devraient connaître au sortir de la rencontre les attributions et le fonctionnement de la CNDH.

Malgré ses missions importantes, l'institution n'est pas suffisamment connue des populations et aussi des pouvoirs publics. Une situation qui s'explique en partie par le fait que la CNDH n'a pas encore déployé ses délégations dans les régions. C'est ce qui a prévalu à l'organisation d'une tournée de présentation de la CNDH dans plusieurs régions du Burkina Faso au profit des acteurs publics et privés, forces de défense et de sécurité et de l'ensemble de la population.

“On s'est rendu compte que la CNDH n'est pas suffisamment connue. Normalement elle est censée avoir des délégations dans toutes les régions, mais ce n'est pas encore le cas. Donc en attendant qu'on installe les délégations dans toutes les régions du Burkina Faso, nous avons entrepris une tournée de présentation de la commission dans les différentes régions”, explique la commissaire Valérie Edwige Soma/Kaboré qui a représenté la présidente de la CNDH à la rencontre.

Photo de famille

Après Kaya dans le Centre-nord, Banfora dans les Cascades et Bobo-Dioulasso dans les Hauts-Bassins en 2021 et 2022, pour cette année 2023, la CNDH s'est déporté à Tenkodogo dans la région du Centre-est, puis ce 12 décembre à Manga dans la région du Centre-sud en vue de se faire connaître davantage. Au sortir de la rencontre, les participants connaîtront mieux les missions de la CNDH et sa fonction de traitement des plaintes et de lutte contre les violations des droits humains.

Cette rencontre est aussi l'occasion de sensibiliser les populations afin qu'elles sachent qu'elles peuvent saisir la CNDH si elles sont victimes de la violation de leurs droits. “Ce n'est pas si vous vous êtes disputés avec votre voisin que vous devez saisir la CNDH. C'est si c'est l'État qui est l'auteur du tort que vous avez subi, que vous pouvez saisir la commission. Quand on parle de violation des droits humains, on est dans une situation où l'auteur de la violation, c'est l'État, notamment à travers ses organes, ses forces de défense et de sécurité”, précise Mme Soma.

Commissaire Valérie Edwige Soma/Kaboré souligne que les violations des droits humains sont celles dont l'auteur est l'État.

Le conseiller technique représentant la gouverneure de la région du Centre-sud, a salué la tenue de cette rencontre, qui de son point de vue, est une opportunité pour les forces vives de la région de connaître l'organisation et le fonctionnement de cette institution, ainsi que ses attributions. “Une meilleure connaissance de la CNDH nous permettra de mieux collaborer avec elle afin d'assurer une meilleure protection des droits humains dans notre région. Nous devons encourager nos concitoyens à se tourner vers la commission lorsqu'ils sont confrontés à des situations de violations de leurs droits, et nous devons également soutenir les efforts de sensibilisation pour que chacun comprenne l'importance de respecter les droits fondamentaux de tous les individus, peu importe leur origine, leur religion ou leur statut social”, a laissé entendre Moustapha Konaté, conseiller technique représentant la gouverneure de la région du Centre-sud à la rencontre.

Moustapha Konaté, conseiller technique de la gouverneure salue la tenue de la rencontre.

39 plaintes reçues de janvier à septembre 2023

Du 1er janvier au 30 septembre 2023, la CNDH a reçu 39 plaintes, sans les statistiques de Bobo-Dioulasso. Sur ces 39 plaintes, 32 ont été jugées recevables et les sept autres irrecevables. Deux investigations sur des cas de violations des droits humains ont également été menées.

En ce qui concerne l'année 2022, ce sont 105 plaintes qui été enregistrées à la CNDH dont 81 jugées recevables et 25 non recevables. Au cours de la même année, six missions d'investigations pour des cas de violations des droits humains ont été conduites par la commission.

Justine Bonkoungou
Lefaso.net

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Lualaba : accalmie à Fungurume après des échauffourées entre militants d’Ensemble et de l’UDPS

Radio Okapi / RD Congo - mar, 12/12/2023 - 19:08


Le calme est revenu ce mardi 12 décembre à Fungurume (Lualaba) après une vive tension qui y a prévalu samedi 9 et lundi 11 décembre.


Les membres de l’UDPS et ceux d’Ensemble se sont affrontés à coup des projectiles, perturbant ainsi la circulation sur la route menant vers la ville de Kolwezi.


Une personne a été tuée par balle d’un policier. Ce dernier serait déjà aux arrêts. Il y a aussi des blessés de part et d’autre, selon plusieurs sources.

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Élections en Serbie : les extrêmes droites en concurrence

RFI (Europe) - mar, 12/12/2023 - 18:51
On vote à la fin de la semaine en Serbie (17 décembre 2023). Le parti de l’actuel dirigeant populiste Alexsandar Vucic est déjà donné gagnant. Dans un climat de fortes tensions, marqué par les manifestations contre la violence de l’année passée (2022), par la guerre en Ukraine et les conséquences de l’épidémie de Covid, l’extrême droite a le vent en poupe. Y compris auprès de la jeunesse qui n’hésite pas à glorifier les chefs de guerre des années 90. C’est le reportage à Belgrade de Louis Seiller. 
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L’Espagne a de nouveau proposé des Eurofighter EF-2000 d’occasion à la Colombie

Zone militaire - mar, 12/12/2023 - 18:45

Ayant estimé, peu après son élection, que l’achat de nouveaux avions de combat n’était pas prioritaire par rapport aux réformes sociales qu’il entendait mener, le président colombien Gustavo Petro fit part de son intention, en décembre 2022, de finalement commander 16 Rafale auprès de Dassault Aviation. Cette volte-face pouvait alors s’expliquer par l’urgence de remplacer...

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Ukraine: une cyberattaque massive paralyse le premier opérateur mobile du pays

RFI (Europe) - mar, 12/12/2023 - 18:06
L’Ukraine vient d’ouvrir une enquête sur la cyberattaque massive qui frappe depuis ce mardi matin 12 décembre tout le pays, et touche de manière massive le réseau Kyivstar, le plus grand opérateur de téléphonie mobile du pays.
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Espagne: début du parcours législatif du projet de loi d'amnistie

RFI (Europe) - mar, 12/12/2023 - 18:02
En Espagne, c’est le début du parcours législatif de la loi d'amnistie, loi qui concerne quelque 500 cas de séparatistes catalans, jugés ou inculpés pour plusieurs délits, dont malversations de fonds publics. Logiquement, la loi devrait être approuvée, mais cela se fait dans une ambiance délétère, avec un recours de la droite auprès du Tribunal constitutionnel et des insultes de l’extrême-droite contre Pedro Sanchez
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