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Updated: 2 months 1 week ago

ENAM : Concours direct pour le recrutement d'un (01) Ingénieur (e) des travaux informatiques et des télécommunications

Wed, 24/05/2023 - 10:30

Le Directeur général de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature

COMMUNIQUE

Un concours direct pour le recrutement d'un (01) Ingénieur (e) des travaux informatiques et des télécommunications, est ouvert le dimanche 02 juillet 2023 pour le compte de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature (ENAM), session de 2023.

A. CONDITIONS DE CANDIDATURE

Peuvent faire acte de candidature audit concours, les personnes des deux (02) sexes âgés de dix-huit (18) ans au moins et de quarante (40) ans au plus au 31 décembre 2023, remplissant les conditions suivantes :

être de nationalité burkinabé ;

être titulaire d'une Licence (BAC + 3) en informatique ou d'un diplôme d'ingénieur des travaux informatiques ou maintenance réseaux informatique, ou télécommunications ou tout autre diplôme reconnu équivalent à la date de clôture de la réception des dossiers de candidature ;

avoir de bonnes conditions physiques et mentales ;

être de bonne moralité ;

être apte à travailler sous pression et avoir l'esprit d'équipe.

B. COMPOSITION DE DOSSIERS DE CANDIDATURE

Les dossiers sont reçus tous les jours ouvrables du lundi au samedi du 29 mai au 08 juin 2023 de 8h 00 mn à 14h 30 mn au Secrétariat de la Direction des ressources humaines de l'ENAM.

Chaque dossier de candidature est composé ainsi qu'il suit :

une demande manuscrite revêtue d'un timbre fiscal de 200 francs CFA, adressée à Monsieur le Directeur général de l'ENAM, datée et signée du candidat, donnant son adresse exacte y compris un numéro de téléphone ;

un extrait d'acte de naissance ou toute autre pièce en tenant lieu ;

une photocopie légalisée du diplôme exigé ou de son attestation légalisée en cours de validité ;

une photocopie légalisée de la Carte nationale d'identité burkinabè (CNIB) ;

une Curriculum vitae actualisé et faisant ressortir les compétences du candidat.

Tout dossier incomplet ou non conforme n'est pas accepté.

En cas d'admission, le candidat sera invité à fournir des pièces complémentaires.

C. ADMINISTRATION DES EPREUVES

Les épreuves se dérouleront le dimanche 02 juillet 2023 selon les horaires ci-après :

7h 30 mn à 10h 30 mn : épreuve technique : coefficient 2 ;

11h 30 à 13h : épreuve de culture générale, coefficient 1.

Seuls les candidats déclarés admissibles après l'écrit, prendront part à la phase d'entretien, coefficient 1.

Les épreuves sont notées de 0 à 20 et toute note inférieure à 07/20 est éliminatoire.

L'accès à la salle de composition est subordonné à la présentation du récépissé d'inscription et de la Carte nationale d'identité burkinabè (CNIB) ayant servi à l'inscription.

Les candidats sont informés que les déclarations de perte de CNIB ne sont pas acceptées.

Le ou la candidat (e) déclaré (e) admis (e) est engagé (e) à l'ENAM comme contractuel en qualité d'ingénieur de travaux informatiques et des télécommunications, dans la grille en vigueur des EPE et soumis à une période d'essai de trois (03) mois pour compter de la date de sa prise de service.

NB : Les personnes déjà engagées ou intégrées dans la fonction publique et celles admises à un concours, en formation dans une école professionnelle depuis plus d'un (01) mois ne sont pas autorisées à prendre part à ce concours.

Tout contrevenant aux conditions de candidature s'expose à des sanctions conformément aux textes en vigueur.

Dr. Jacob Y. YARABATIOULA

Categories: Afrique

ENAM : Concours direct pour le recrutement d'un (e) (01) Infirmier (e)

Wed, 24/05/2023 - 10:30

Le Directeur général de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature

COMMUNIQUE

Un concours direct pour le recrutement d'un (e) (01) Infirmier (e), est ouvert le dimanche 02 juillet 2023 pour le compte de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature (ENAM), session de 2023.

A. CONDITIONS DE CANDIDATURE

Peuvent faire acte de candidature audit concours, les personnes des deux (02) sexes âgés de dix-huit (18) ans au moins et de quarante (40) ans au plus au 31 décembre 2023, remplissant les conditions suivantes :

être de nationalité burkinabé ;

être titulaire d'un diplôme d'Infirmier ou du titre d'infirmier diplômé d'Etat ou tout autre diplôme reconnu équivalent à la date de clôture de la réception des dossiers de candidature ;

avoir de bonnes conditions physiques et mentales ;

être de bonne moralité ;

être apte à travailler sous pression et avoir l'esprit d'équipe.

B. COMPOSITION DE DOSSIERS DE CANDIDATURE

Les dossiers sont reçus tous les jours ouvrables du lundi au samedi, 29 mai au 08 juin 2023 de 8h 00 mn à 14h 30 mn au Secrétariat de la Direction des ressources humaines de l'ENAM.

Chaque dossier de candidature est composé ainsi qu'il suit :

une demande manuscrite revêtue d'un timbre fiscal de 200 francs CFA, adressée à Monsieur le Directeur général de l'ENAM, datée et signée du candidat, donnant son adresse exacte y compris un numéro de téléphone ;

un extrait d'acte de naissance ou toute autre pièce en tenant lieu ;

une photocopie légalisée du diplôme exigé ou de son attestation légalisée en cours de validité ;

un certificat de visite et contre-visite revêtu d'un timbre fiscal de 300 francs CFA datant de moins trois (03) mois, attestant que le candidat à une acuité visuelle normale ou après correction et n'est atteint ni de surdité ni de bégaiement ;

une photocopie légalisée de la Carte nationale d'identité burkinabè (CNIB) ;

un Curriculum vitae actualisé et faisant ressortir les compétences du candidat.
Tout dossier incomplet ou non conforme n'est pas accepté.

En cas d'admission, le candidat sera invité à fournir des pièces complémentaires.

C. ADMINISTRATION DES EPREUVES

Les épreuves se dérouleront le dimanche 02 juillet 2023 selon les horaires ci-après :

7h 30 mn à 10h 30 mn : épreuve technique : coefficient 2 ;

11h 30 à 13h : épreuve de culture générale, coefficient 1.

Seuls les candidats déclarés admissibles après l'écrit, prendront part à la phase d'entretien, coefficient 1.

Les épreuves sont notées de 0 à 20 et toute note inférieure à 7/20 est éliminatoire.
L'accès à la salle de composition est subordonné à la présentation du récépissé d'inscription et de la Carte nationale d'identité burkinabè (CNIB) ayant servi à l'inscription.

Les candidats sont informés que les déclarations de perte de CNIB ne sont pas acceptées.

Le ou la candidat (e) déclaré (e) admis (e) est engagé (e) à l'ENAM comme contractuel en qualité d'Infirmier (e), dans la grille en vigueur des EPE, après une période d'essai de trois (03) mois pour compter de la date de sa prise de service.

NB : Les personnes déjà engagées ou intégrées dans la fonction publique et celles admises à un concours, en formation dans une école professionnelle depuis plus d'un (01) mois ne sont pas autorisées à prendre part à ce concours.

Tout contrevenant aux conditions de candidature s'expose à des sanctions conformément aux textes en vigueur.

Dr. Jacob Y. YARABATIOULA

Categories: Afrique

ENAM : Concours direct pour le recrutement d'un (e) (01) Conseiller d'éducation

Wed, 24/05/2023 - 10:30

Le Directeur général de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature

COMMUNIQUE

Un concours direct pour le recrutement d'un (e) (01) Conseiller d'éducation, est ouvert le dimanche 02 juillet 2023 pour le compte de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature (ENAM), session de 2023.

A. CONDITIONS DE CANDIDATURE

Peuvent faire acte de candidature audit concours, les personnes des deux (02) sexes âgés de dix-huit (18) ans au moins et de quarante (40) ans au plus au 31 décembre 2023, remplissant les conditions suivantes :

être de nationalité burkinabé ;

être titulaire d'un diplôme en éducation scolaire équivalent au baccalauréat plus cinq (BAC + 5) ans de formation ou de tout autre diplôme reconnu équivalent à la date de clôture de la réception des dossiers de candidature ;

avoir de bonnes conditions physiques et mentales ;

être de bonne moralité ;

être apte à travailler sous pression et avoir l'esprit d'équipe.

B. COMPOSITION DE DOSSIERS DE CANDIDATURE

Les dossiers sont reçus tous les jours ouvrables du lundi au samedi, du 29 mai au 08 juin 2023 de 8h 00 mn à 14h 30 mn au Secrétariat de la Direction des ressources humaines de l'ENAM.

Chaque dossier de candidature est composé ainsi qu'il suit :

une demande manuscrite revêtue d'un timbre fiscal de 200 francs CFA, adressée à Monsieur le Directeur général de l'ENAM, datée et signée du candidat, donnant son adresse exacte y compris un numéro de téléphone ;

un extrait d'acte de naissance ou toute autre pièce en tenant lieu ;

une photocopie légalisée du diplôme exigé ou de son attestation légalisée en cours de validité ;

une photocopie légalisée de la Carte nationale d'identité burkinabè (CNIB) ;

un certificat de visite et contre-visite revêtu d'un timbre fiscal de 300 francs CFA datant de moins trois (03) mois, attestant que le candidat à une acuité visuelle normale ou après correction et n'est atteint ni de surdité ni de bégaiement ;

un Curriculum vitae actualisé et faisant ressortir les compétences du candidat.
Tout dossier incomplet ou non conforme n'est pas accepté.

En cas d'admission, le candidat sera invité à fournir des pièces complémentaires.

C. ADMINISTRATION DES EPREUVES

Les épreuves se dérouleront le dimanche 02 juillet 2023 selon les horaires ci-après :
7h 30 mn à 10h 30 mn : épreuve technique : coefficient 2 ;
11h 30 à 13h : épreuve de culture générale, coefficient 1.

Seuls les candidats déclarés admissibles après l'écrit, prendront part à la phase d'entretien, coefficient 1.

Les épreuves sont notées de 0 à 20 et toute note inférieure à 07/20 est éliminatoire.
L'accès à la salle de composition est subordonné à la présentation du récépissé d'inscription et de la Carte nationale d'identité burkinabè (CNIB) ayant servie au dépôt des candidatures.

Les candidats sont informés que les déclarations de perte de CNIB ne sont pas acceptées.

Le ou la candidat (e) déclaré (e) admis (e) est engagé (e) à l'ENAM comme contractuel en qualité de Conseiller d'Education, de la grille en vigueur des EPE, après une période d'essai de trois (03) mois pour compter de la date de sa prise de service.

NB : Les personnes déjà engagées ou intégrées dans la fonction publique et celles admises à un concours, en formation dans une école professionnelle depuis plus d'un (01) mois ne sont pas autorisées à prendre part à ce concours.

Tout contrevenant aux conditions de candidature s'expose à des sanctions conformément aux textes en vigueur.

Dr. Jacob Y. YARABATIOULA

Categories: Afrique

National Democratic Institute : Demande de cotation pour des fournitures et prestations en assurance santé

Wed, 24/05/2023 - 10:30

Numéro de la demande de cotation : NDIBURKINA 007 /NDI/2023

Date de publication : 22/05/2023

Financement : NDI

Date de clôture : 22/06/2023

Objet : Demande de cotation pour des fournitures et prestations en assurance santé pour son personnel au BURKINA FASO pour l'année 2023.

1. Introduction

National Democratic Institute est une organisation internationale qui œuvre à la promotion de la démocratie et de la bonne gouvernance dans une centaine de pays dans le monde ; son bureau est ouvert à Ouagadougou (Burkina-Faso) depuis 2004 et accompagne la société civile, les partis politiques et les institutions dans le processus politique et démocratique.

Cette demande de cotation vise à recevoir des offres pour l'assurance santé de son personnel basé au Burkina Faso.

Soumission : Les offres doivent inclure

● Preuve d'enregistrement au Burkina.

● Informations bancaires. Le vendeur sélectionné sera payé par virement bancaire. Le paiement en espèces n'est PAS autorisé.

● Détails sur les années d'expérience, le point de contact, l'adresse de l'entreprise.

● Prix spécifique par article noté dans les détails ci-dessus en CFA. Le prix doit inclure toutes les taxes et tous les frais.

● Délai de traitement des dossiers de prestations du personnel.

● Toutes autres informations pouvant aider à garantir la prestation.

1.Pièce à joindre à la fiche technique récapitulative du fournisseur

● La lettre de cotation, datée et signée par le responsable de l'entreprise ou toute autre personne dûment mandatée à cet effet ;

● Le Bordereau Descriptif et Quantitatif dûment rempli, daté et signé ;

● Un projet de contrat ;

● La liste des pharmacies, cliniques et laboratoires conventionnés ;

● Une copie du registre de commerce

● Une copie de régularité fiscale datant de moins de 3 mois

● Une copie de l'agrément (Courtage ou Compagnie d'Assurance)

● Une attestation de l'Assurance Responsabilité Civile (en cours de validité).

Le Fournisseur complétera le Bordereau Descriptif et Quantitatif fourni dans le Dossier de Consultation Restreinte, en indiquant la nature des prestations dans la ligne qui lui est réservée, le prix unitaire pour chaque prestation qu'il se propose de fournir en exécution du présent marché.

Le Fournisseur remplira et signera le projet de lettre de marché s'il est requis.

Chaque Fournisseur devra transmettre une seule offre. Les variantes ne sont pas autorisées.



NB. : Les soumissionnaires peuvent approcher le NDI pour les autres informations concernant les membres du staff et leurs ayants droits.

Les offres devront être déposées en trois exemplaire dont 1 original et 2 copies au plus tard le 22 juin 2023 à 12 heures 00 mn GMT au siège de National Democratic Institute situé à Ouagadougou au secteur 4, Avenue Dimdolossom, Rue 10.52 Porte 43 n° Tél : +226 25 31 00 80/25 31 00 81. ou 70 27 93 08 ou par Email : ndiburkinafaso@ndi.org

Les offres reçues après cette date pourront ne pas être prises en considération. NDI peut effectuer une visite sur place pour confirmer les détails ci-dessus. NDI s'attend à ce que le fournisseur sélectionné utilise le modèle d'accord de NDI. Chaque candidat ne peut faire qu'une seule offre. Chaque offre sera valable pour une période de 60 jours à compter de sa date de soumission. NDI n'est pas responsable du coût de la préparation des offres et se réserve le droit de rejeter toutes les offres.

NDI a des normes éthiques strictes et prend des décisions d'achat sans conflit d'intérêt. Aucun membre du personnel ou vendeur de NDI ne peut chercher ou offrir des pots-de-vin pour la sélection de l'offre. Voir https://ndi.org/ethics-and-compliance.

Categories: Afrique

Tests d'entrée 2023 - 2024 à l'Ecole Supérieure Multinationale des Télécommunications (ESMT) de Dakar

Wed, 24/05/2023 - 10:00

Bacheliers, Titulaires d'un DUT, d'un DTS, d'un BTS ou d'un DUES dans le domaine des sciences, des télécommunications, de l'informatique ou de la gestion, l'Ecole Supérieure Multinationale des Télécommunications (ESMT) de Dakar (Sénégal), lance ses tests de recrutement au titre de l'année académique 2023 – 2024 dans les cycles suivants :

Date du test : 03 juin 2023

Licence (Bac + 3), avec les options suivantes : Télécommunications et Informatique (LTI), Management et Économie du Numérique (LMeN). Concours ouvert aux titulaires du Bac et aux élèves de Terminale.

Cycle Ingénieur de Conception (INGC) – BAC + 5

Test ouvert aux titulaires (ou en cours de préparation) d'un DUES, d'un DUT, d'un DTS ou d'un BTS en sciences et technique.

LIEU DES TESTS : antenne nationale de l'ESMT Ouagadougou
ATTENTION !!! Dates limites des inscriptions : 31 mai 2023

Les inscriptions se font en ligne sur le site de l'ESMT : www.esmt.sn dans la rubrique « Inscription en ligne » et le dépôt des dossiers à
antenne nationale de l'ESMT Ouagadougou

RENSEIGNEMENTS & INSCRIPTIONS :

Antenne ESMT, 01 BP 616 Ouagadougou 01, OUAGADOUGOU,

Téléphone :+226 25 33 20 66 / +226 70 26 76 62, Email : kbsmichel@yahoo.fr
Email : esmt@esmt.sn

Pour plus d'informations, consultez le site web de l'ESMT : www.esmt.sn

Terrain foyer Rocade Fann Bel Air, BP 10 000 Dakar Liberté – SENEGAL - Tel : +221 33 869 03 00 - FAX : + 221 33 824 68 90
esmt@esmt.sn - www.esmt.sn

Categories: Afrique

Décès de El Hadj Koné Nouhoun : Remerciements et faire-part

Wed, 24/05/2023 - 09:00

Les grandes familles KONE à Tiéfora, Bounouna, Banfora, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Côte d'Ivoire, France et USA ;
les familles SOMA, SOULAMA, SAGNON, TOU, ZIBA et YAO ;
les familles amies / alliées KY, KINDA, ZINGUE, TRAORE, SOMDA, PODA, CISSE, SANOGO, SERME, MOMO, COULIBALY, WERME, KONATE et NIKIEMA ;
la veuve Madame KONE Sita Adjointe Administrative à la retraite ;

les enfants Amadou Bakary, Hawa Tenemè, Alimata, Kadiatou Moussokoro, Abdoulaye Allakomi, Aminata Bintou, Allamandogo Koussali, Kader Natrigouan, M'Penda Salimata, Mariam Pieradjo, Assita , Adjara Farida et Orokia Sayar ;
les neveux ; nièces ; petits-enfants ; arrière-petits-enfants ; et
le amis ;

vous remercient sincèrement pour les marques de soutiens multiformes que vous leur avez témoigné lors de la maladie et du rappel à Dieu le 11 avril 2023, de leur époux, père, oncle, frère, beau-frère, beau-père, grand-père, arrière-grand-père et ami.
El Hadj Koné Nouhoun, militaire, Adjudant-chef major, à la retraite.
Par ailleurs, ils vous invitent au Doua du 40è jour, le 28 mai 2023 au domicile du défunt à Lafiabougou à Bobo-Dioulasso.

Union de prière !

Categories: Afrique

Funérailles chrétiennes de BAYALA Bassama Jean Marie et KANTIONON Ekèlè Hélène épouse BAYALA : Remerciements

Wed, 24/05/2023 - 09:00

La grande famille BAYALA à Bonyolo, Ouagadougou, Abidjan, Banfora, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Dakar, Guinée et au Canada ;
Les grandes familles alliées :

 BATIONO à Réo Bessyel Lyali, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Abidjan, Gagnoa, Bouaké, Saioua, en France, Belgique, Canada ;
 BAZIE à Kamédji, Goundi, Koudougou, Ouagadougou, Bobo – Dioulasso, Abidjan ;
 TASSAMBEDO à Kombissiri, Ouagadougou ;
 BABINE, BAGO à Bonyolo, Koudougou, Ouagadougou, Bobo – Dioulasso ;

Les belles familles BADO, OUATTARA, BASSOLE, SIMPORE, GNAMIEN, COULIBALY, KABRE, TIENDREBEOGO, NANA, SON, BATIONO, BASSONO, ZONGO, KABORE, TIVOLI, GOUDO, RABE, à Kyon, Tousiana, Doudou, Ouagadougou, Kombissiri, Kokologo, Oualogtinga Godin, Zorgho, Abidjan, Bonon, Man, Soubré, Paris ;

Obou Jean Marc BAYALA à Bonyolo Tianga ;
Ogno BAYALA à Wour ;
Robert BAYALA à Gagnoa en Côte d'Ivoire ;
Le Colonel à la retraite Jean-Pierre BAYALA, à Ouagadougou Wentenga ;
Jean Claude BAYALA à Abidjan en Côte d'Ivoire ;
Etienne BAYALA à Ouagadougou ;
Eloi BAYALA à Ouagadougou ;
Francis BAYALA à Ouagadougou ;
Hyppolite BAYALA à Abidjan ;

Ambroise BAYALA et épouse à Gagnoa en Côte d'Ivoire et les enfants : Blanchard Emmanuel, Séraphin Noël, Christian, Rose Léocadie, Marie Aline, Claude, Angéline, Alexandre Depardieu, Jacques, Erick - Octavi, Rodrigue, Pélagie, Nadège, Judicaël, Sandrine, Constantin ;

Bernadette TASSAMBEDO veuve BAYALA à Réo Bonyolo Tianga et enfants : Françoise, Lucie, Thomas, Victorine, Jacqueline, Elisabeth, Marcel, Martine, Anne Christelle ;
Les petits enfants et arrières petits-enfants ;

Très touchés par les nombreuses marques de compassion et de solidarité multiforme dont vous avez fait montre lors de la grande messe tenant lieu de funérailles chrétiennes de leur mère, épouse, grand-mère, tante, sœur : KANTIONON Ekèlè Hélène épouse BAYALA, décédée le jeudi 15 septembre 2016 à Gagnoa en Côte d'Ivoire à l'âge de 81 ans, et enterrée le samedi 22 octobre 2016 à Gagnoa et de leur père, époux, grand père, frère, oncle : BAYALA Bassama Jean Marie, décédé le samedi 07 mai 2022 à Ouagadougou à l'âge de 81 ans, et enterré le vendredi 13 mai 2022 à Bonyolo Tianga,

Vous réitèrent leur très profonde gratitude tout en rendant grâce à Dieu le Tout Puissant. Ils s'excusent de ne pouvoir citer de noms de peur d'en oublier. Que le Seigneur vous rende au centuple tous vos bienfaits. Que les âmes de nos Très chers défunts reposent en paix.

Categories: Afrique

Décès de OUSSENI DIALLO : Remerciements et faire part

Wed, 24/05/2023 - 08:30

« Une personne chère ne nous quitte jamais…Elle vit au plus profond de notre cœur et pour la revoir, il suffit de fermer les yeux »
Sa Majesté Djam-boury Housséni BOLY chef peulh du Canton de Dédougou, Contrôleur de la garde de sécurité pénitentiaire

Monsieur DIALLO Assane ancien combattant à Dédougou
Monsieur DIALLO Djibrillou éleveur à Passakongo
Monsieur DIALLO Sylvain administrateur civil à la retraite à Ouagadougou, ses frères et sœurs

Monsieur DIALLO Issa adjoint administratif à la retraite à Ouagadougou, ses frères et sœurs
Les Grandes familles : DIALLO, MOGMENGA, SOUNTOURA, et BOLY à Passankongo, Dédougou, Fada N'Gourma, Douroula, Sangha, Mardaga, Soudougui peulh, Allemagne, Lybie, France et Belgique.
Ses épouses

Mme DIALLO née DIALLO Banou ménagère à Kantchari
Mme DIALLO née MOGMENGA Binta Yabré ménagère à Fada N'Gourma
Mme DIALLO née DIALLO Salmata ménagère à Kantchari.
Ses enfants : Ousmane, Fatoumata, Moussa, Haoua, Aïssetou, Mariam, Omar, Boubakar, Telly, Massaoud, Oumou, Badoura Adiaratou, Idrissa, Fatou et Rachide.
Ses petits-enfants et arrière-petits-enfants,

Les familles alliées : LOMPO, COMPAORE, BERTE, ZOUNGRANA, LALLE, HAFNER, WUBDA, SAWADOGO, JOSSE, WILY, KABORE, PANDELAERS, TRAORE et TOURE.
Très touchés par les nombreuses marques de compassion, de sympathie, de solidarité et d'amitié témoignées à leurs endroits lors du rappel à Dieu le 24 Avril 2023, de l'inhumation le 28 Avril 2023 et du Doua du 7ème jour le 30 avril 2023 à Ouagadougou de leur Epoux, Père, Beau-père, Frère, Oncle, Grand-père et arrière-Grand-père :

Papy OUSSENI DIALLO Agent des Douanes à la retraite dans sa 94ème année.

Renouvèlent leurs sincères remerciements aux autorités militaires, paramilitaires, administratives, religieuses et coutumières, aux parents, amis, collègues, voisins, connaissances, à la Direction Générale des douanes du Burkina, à l'Etat Major Général des armées, à la délégation de Bobo-Dioulasso pour leurs soutiens multiformes.

Les familles et les enfants se gardent de citer des noms de peur d'en oublier.
Que DIEU le tout puissant dans sa grande miséricorde, rendre à chacun au centuple de ses bienfaits.

Par ailleurs, elle vous informe que le Doua du trente troisième (33) jour aura lieu le vendredi 26 Mai 2023 à 8h 00 au domicile du défunt à Yagma.

Categories: Afrique

Augmentation des prix des médicaments : Le Syndicat des pharmaciens s'explique

Wed, 24/05/2023 - 00:27

Le Syndicat des pharmaciens du Burkina Faso a animé une conférence de presse ce mardi 23 mai 2023 pour évoquer la situation du secteur pharmaceutique au Burkina Faso. Le principal sujet abordé a trait à l'augmentation des prix des médicaments de spécialités.

Depuis février 2023, les officines pharmaceutiques ont procédé à un réajustement des prix des médicaments de spécialités pharmaceutiques. Des explications des conférenciers du jour, depuis 1994, le syndicat a demandé aux officines d'appliquer une marge de 1,32% sur les médicaments. De cette marge sont déduites toutes leurs charges. Au fil des années et l'inflation aidant, cette marge de 1,32% ne permet plus aux pharmacies de couvrir toutes leurs charges.

Des charges qui sont pourtant à la hausse du fait d'un certain nombre de facteurs. Ce sont, entre autres, les loyers qui peuvent passer de 150 000 à 500 000 voire plus de 1 000 000 de FCFA lorsqu'il s'agit de l'installation d'une pharmacie ; la fiscalité (les pharmacies sont soumises au droit fiscal commun) ; le maintien de la chaîne de froid pour les médicaments thermosensibles ; l'imposition d'une marge incompréhensible de 32% sur les médicaments essentiels génériques CAMEG et consommables qui consacre une vente à perte dans les pharmacies.

Le même arrêté consacre une marge de 37,5% dans le public ; l'insécurité (cambriolage, braquage) qui oblige les pharmaciens à mettre des sommes importantes pour assurer la protection de leurs locaux ; l'inflation généralisée de 14,5% en 2022 ; etc.

Dr Ismaël Bidiga, président du Syndicat des pharmaciens du Burkina Faso.

C'est dans ce contexte donc, que depuis 2016, le syndicat des pharmaciens a entrepris des discussions avec le ministère de la Santé afin de revoir les marges pour leur permettre de tenir leurs engagements. « Les démarches récentes du syndicat ont débuté en 2016 et l'actuel ministre en charge de la santé était secrétaire général puis conseiller technique ; donc la situation ne lui est pas étrangère. Lors de nos discussions, il a toujours été question de fixation de la marge et nous avions proposé des marges au ministère de la Santé. A chaque fois, les autorités usaient de dilatoire en nous faisant miroiter des éventuels allègements fiscaux », a déclaré le président du syndicat, Dr Ismaël Bidiga. C'est donc de guerre lasse, que le syndicat a décidé du réajustement des prix en février 2023 engendrant ainsi une augmentation de 12% pour les médicaments de spécialités. Une augmentation qui selon le syndicat, n'atteint pas le taux d'inflation au Burkina qui est de 14,5%.

Et c'est cette augmentation qui fait grincer des dents au sein de la population et du gouvernement au point où le ministre du commerce a déclaré à l'issue du conseil des ministres du 17 mai 2023 que le gouvernement va fixer des marges plafonds pour les médicaments de spécialités. « Eu égard à l'actualité récente qui nous a permis de constater la flambée généralisée des prix des produits de spécialités dans les officines pharmaceutiques, ce rapport adopté nous permet de poursuivre la procédure en la matière pour fixer désormais des marges plafonds sur les prix des produits de spécialités », avait indiqué le ministre Serge Poda.

Cette sortie du ministre du commerce n'est pas du goût du syndicat, qui estime qu'il n'est pas contre une règlementation des prix des spécialités, mais souhaite que cela soit fait de concert avec toutes les parties comme il l'a toujours souhaité depuis 2016. Selon le syndicat, à l'issue d'une rencontre tenue avec la partie gouvernementale le 18 avril 2023, il était prévu qu'une commission technique soit mise en place pour discuter de tous les points afin d'améliorer l'apport du secteur pharmaceutique sur le système de santé au Burkina Faso.

Mais jusqu'à présent cette commission n'a pas encore été créée. Le syndicat s'interroge donc sur la volonté du gouvernement à aller au dialogue. « Le rapport du conseil des ministres du 17 mai 2023 et l'intervention du ministre en charge du commerce suscitent des interrogations quant à la volonté du gouvernement de dialoguer. « Le ministre dit par ailleurs qu'on assiste à une flambée généralisée des prix des spécialités en février. Nous tenons à rappeler que malgré les difficultés que vit notre pays pour approvisionner certaines zones difficiles d'accès aujourd'hui, le prix du médicament reste approximativement le même à Dori, Djibo, Sebba, Solenzo, Nouna, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Garango, Réo. Nous saluons au passage, le sens du devoir de nos chers confrères pharmaciens des zones à fort défit sécuritaire. Malgré les difficultés d'approvisionnement, les pertes de leurs produits au cours des attaques de convois, ils continuent de se battre pour assurer leur mission de santé publique et ne répercutent pas leurs charges supplémentaires sur le prix du médicament », a laissé entendre le président du syndicat, ajoutant que le secteur pharmaceutique ne pratique pas de spéculation sur les prix des produits de santé.

Les journalistes présents à la conférence de presse

Tout compte fait, le syndicat se dit toujours ouvert au dialogue et espère qu'il va se poursuivre avec le gouvernement afin de trouver un compromis acceptable pour tous. « Nous mettons en garde les ministres en charge du commerce et de la santé contre toute décision hasardeuse qui déstructurerait le secteur pharmaceutique privé tout comme les décisions hasardeuses sur la CAMEG en 2016 ont conduit à une déstructuration du secteur public qui souffre aujourd'hui de multiples ruptures. La rupture du circuit d'approvisionnement entraînera inéluctablement une catastrophe sanitaire dont les pharmaciens ne seront pas tenus pour responsables. Il est temps que chacun assume les conséquences de ses actes. Le Burkina vit des périodes difficiles en ce moment et il n'y a aucun intérêt à créer d'autres crises là où les acteurs sont ouverts à la discussion », ont conclu les conférenciers.

Justine Bonkoungou
Lefaso.net

Déclaration liminaire du syndicat des pharmaciens du Burkina Faso sur la situation du secteur Pharmaceutique au Burkina Faso
Déclaration liminaire du syndicat des pharmaciens du Burkina Faso
Categories: Afrique

Burkina/Utilisation des réseaux sociaux : Voici les dix commandements de Conseil supérieur de la communication

Wed, 24/05/2023 - 00:25

Le Conseil supérieur de la communication (CSC) a présenté, ce mardi 23 mai 2023, les dix conseils aux citoyens burkinabè pour des comportements responsables sur les réseaux sociaux et dans les émissions d'expression directe, dans le contexte de crise sécuritaire et de tension sociale. Le président de l'instance de régulation des médias, Abdoulazize Bamogo, a remis de façon symbolique ces « dix commandements » au secrétaire général du Conseil national de la jeunesse, Siébou Coulibaly.

Selon le président du CSC, ces dix conseils sont inspirés de « nos valeurs morales, de sagesses et de bon sens ». « Ce sont des règles qui s'imposent à chacun de nous, au regard de la situation de fragilité de notre pays, au regard du défi sécuritaire et de la nécessité de maintenir des liens solides dans notre vivre ensemble, nous devons les respecter pour donner à notre nation tous les soins dont il a besoin pour rester debout », plaide le président du CSC.

Une vue des invités présents à la présentation des dix conseils

Processus d'élaboration

Parlant du processus d'élaboration, Abdoulazize Bamogo a indiqué que le Conseil supérieur de la communication a bénéficié de l'accompagnement de techniciens du digital comme le Dr Cyriaque Paré et Hyacinthe Sanou, après un travail effectué par l'ensemble des directeurs de l'institution sur ce que peuvent être les bons comportements sur les réseaux sociaux. Par la suite, un atelier a été organisé afin d'élaborer ces dix conseils qui ont été validés par les associations actives dans le domaine de l'éducation aux médias et à l'information au Burkina Faso.

Le président du CSC, Abdoulazize Bamogo, a invité les Burkinabè au respect des conseils

Quelques conseils pour éviter les tensions

La présentation des conseils a été faite par le directeur de l'instruction des plaintes et des études au CSC, Abdoulaye Dao. Le premier conseil invite les Burkinabè à demeurer honnêtes en ne parlant que de ce dont ils ont été témoins. Dans le contexte actuel de tensions où certains Burkinabè jouent sur la fibre religieuse ou ethnique, la prudence doit être de mise. Ainsi, le CSC conseille d'éviter d'indexer une personne, une ethnie, une religion, un groupe spécifique quand il est question de faits graves qui pourraient provoquer des réactions violentes.

Contre les fausses informations

A l'heure des fakes news diffusées à profusion sur les réseaux sociaux, difficile parfois pour des jeunes de se retrouver dans ce capharnaüm. « Dans ce contexte où la saine information est un besoin vital pour les citoyens en quête de résilience face aux forces du mal, l'on constate que les réseaux sociaux ont, aujourd'hui, envahi l'espace public avec la diffusion d'informations fausses et trompeuses, conduisant l'opinion publique à une mauvaise appréciation des faits et à des comportements dangereux », regrette le président du CSC.

Le secrétaire général du Conseil national de la jeunesse (CNJ), Siébou Coulibaly, a indiqué que les dix conseils seront largement diffusés

Eviter de démoraliser les forces combattantes

Au regard de ce triste constat, le régulateur des médias conseille aux citoyens de toujours vérifier si une image, une vidéo ou un audio est authentique, si sa source est crédible avant de la/le partager. Dans la même veine, le huitième “commandement”, conseille : « Avant de publier, de partager, de liker ou de commenter, assurons-nous que le message transmis n'est pas interdit par la loi : les informations à caractère confidentiel ou personnel, les opérations sécuritaires, les données militaires, les messages de nature à démoraliser les forces combattantes ».

Plaidoyer pour une diffusion large

Le Conseil supérieur de la Communication dit compter sur l'implication des acteurs de l'éducation et de l'enseignement, des médias, des organisations de la société civile, actives auprès de la jeunesse pour promouvoir ces dix conseils.

Le président du CSC posant avec les représentants des structures invitées

En l'absence du président du Conseil national de la jeunesse (CNJ), Moumouni Dialla, c'est le secrétaire général de l'organisation Siébou Coulibaly qui a reçu le tableau des dix conseils. Il a annoncé que le CNJ va diffuser ces conseils au sein de tous ces démembrements à travers le pays, au niveau régional, provincial et communal. Le conseil compte également toucher les écoles et les universités pour répandre la bonne graine.

Présent à la cérémonie de présentation des dix conseils, le directeur de cabinet du ministre de la communication, Atéridar Galip Somé suggère que ces conseils soient traduits dans les langues nationales pour une plus large diffusion.

Fredo Bassolé
Lefaso.net

  • Les dix conseils aux citoyens burkinabè pour des comportements responsables sur les réseaux sociaux et dans les émissions d'expression directe
  • 1. Exprimons-nous toujours avec honnêteté. Parlons de ce dont nous avons été nous-mêmes témoin. Parlons des faits que nous connaissons vraiment.
  • 2. Faisons preuve de bon sens et d'esprit critique quand nous recevons des informations sensationnelles surtout si elles émanent de personnes qui ne sont ni liées aux faits, ni professionnelles de l'information.
  • 3. N'approuvons pas, ne relayons pas les messages graves quand nous ignorons la source, les vrais auteurs et leurs intentions, même si l'information nous paraît vraisemblable.
  • 4. Évitons d'indexer une personne, une ethnie, une religion, un groupe spécifique quand il est question de faits graves qui pourraient provoquer des réactions violentes.
  • 5. Évitons l'incitation à la haine, l'apologie de la violence, l'attisement des conflits et la stigmatisation des personnes en raison de leur origine, de leur race, de leur croyance.
  • 6. N'agressons personne dans nos propos. Exprimons notre point de vue avec un effort d'argumentation, dans le respect et la courtoisie.
  • 7. Avant de partager une image, une vidéo ou un audio, vérifions si elle est authentique, si sa source est crédible et si le sens qu'on lui donne à travers les réseaux sociaux correspond bien au contexte dans lequel l'élément a été enregistré.
  • 8. Avant de publier, de partager, de liker ou de commenter, assurons-nous que le message transmis n'est pas interdit par la loi : les informations à caractère confidentiel ou personnel, les opérations sécuritaires, les données militaires, les messages de nature à démoraliser les forces combattantes…
  • 9. Avant de partager, de liker ou de commenter, assurons-nous que le message transmis n'est pas incompatible avec nos convictions et nos ambitions personnelles.
  • 10. Publions, partageons, likons, commentons les contenus qui contribuent au renforcement de la cohésion sociale et à la construction de la paix.

Source : Conseil supérieur de la Communication

Lefaso.net

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Boucle du Mouhoun : La province de la Kossi dans les tourments de l'insécurité

Wed, 24/05/2023 - 00:24

La province de la Kossi, dans la région de la Boucle du Mouhoun, subit de plein fouet les affres de l'insécurité, ces dernières semaines. Une vingtaine de civils tués en l'espace de quelques jours, selon des sources locales. Face à cette situation difficile, les forces vives de la province multiplient des actions et donnent de plus en plus de la voix pour réclamer plus de protection.

Au-delà des massacres des populations civiles, la recrudescence de l'insécurité dans la province se manifeste par le contrôle quasi permanent des axes routiers par les groupes armés terroristes. En effet, la voie reliant Nouna, chef-lieu de la province, à Dédougou, capitale de la région de la Boucle du Mouhoun, est presque impraticable par ces temps qui courent.

Les terroristes y opèrent des fouilles quasi-quotidiennes. Certains des passagers sont enlevés et d'autres, malheureusement, exécutés, selon des témoignages. Des sources rapportent que sur l'axe Nouna-Djibasso, des scènes de terreur ont également lieu. Toute chose qui a entraîné l'arrêt de la circulation de certaines compagnies de transport en commun sur ces deux axes routiers. A ce tableau sombre, il faut ajouter le déguerpissement continu de villages et les exactions que les villages restés sur place subissent dans leur chair.

Pour faire entendre aux autorités nationales le martyr de la population de la province, les forces vives multiplient des actions. Déjà, le 16 mai 2023, une marche a été organisée à Nouna en guise de soutien à la transition dans sa dynamique ainsi que les efforts consentis pour la libération du territoire national de ces hordes de bandits de tous genres. A l'occasion, les manifestants ont sollicité auprès des autorités, l'accentuation des actions entreprises sur le terrain afin de « protéger les populations de la Kossi pour leur permettre de vaquer à leurs activités socio-économiques ».

Face aux tueries en série, la population réclame plus de protection

Quelques jours après cette manifestation, est intervenue la tuerie de six jeunes de Nouna, à en croire certaines sources et sept, rapportent d'autres. Elle a suscité une indignation générale et poussé les populations à redescendre dans la rue. Cette fois-ci, elles se sont rendues devant la gendarmerie de la ville de Nouna, le 18 mai, pour, disent-elles, plaider auprès des forces de défense et de sécurité (FDS) et des volontaires pour la défense de la patrie (VDP) « le renforcement des actions engagées sur le terrain pour éviter le massacre des civils et favoriser le retour des personnes déplacées internes pour la saison pluvieuse » qui s'ouvre. « Le malheur ne vient jamais seul », a-t-on coutume de dire. Les larmes provoquées par ce drame n'auront pas le temps de sécher qu'un autre plus alarmiste s'est abattu sur la province.

Dans la nuit du 19 mai 2023, plus d'une dizaine d'habitants du village de Kié, dans la commune rurale de Djibasso située à une soixantaine de kilomètres de Nouna, ont été froidement abattus par des hommes armés. Et pour dénoncer cette énième barbarie et interpeller les autorités sur l'urgence de la situation sécuritaire dans la province de la Kossi, les forces vives ont organisé une conférence de presse le samedi 20 mai 2023. Selon les conférenciers, « la situation sécuritaire dans la Kossi va de mal en pis ».

Le principal animateur de la conférence, Séraphin Simboro, a invité le gouvernement de la transition à prendre « des mesures urgentes pour éviter le pire ». Ses camarades et lui ont aussi échangé, au cours de leur point de presse, sur les possibilités de contribution des populations à la lutte contre le terrorisme. « La dénonciation des complices internes et une franche collaboration avec les forces combattantes » sont entre autres propositions avancées par les organisateurs de la conférence de presse.

Yacouba SAMA

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Burkina/Fonction publique : 5 383 postes aux concours professionnels et 7 218 postes aux concours directs sont à pourvoir

Wed, 24/05/2023 - 00:20

Le ministère de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale était face à la presse dans la matinée de ce mardi 23 mai 2023 pour le lancement des concours directs et professionnels 2023. Un point de presse présidé par le secrétaire général Hamidou Sawadogo.

Fidèle à cette tradition de communiquer avant le début des opérations d'organisation des concours, le ministère de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale a donc convoqué les hommes et femmes de média pour donner des informations sur l'organisation des concours, édition 2023.

Pour la session de 2023, ce sont au total, 5 383 postes qui sont à pourvoir pour les concours professionnels et 7 218 postes sont prévus pour les concours directs.
Selon les chiffres présentés par le secrétaire général du ministère de la Fonction publique Hamidou Sawadogo, 128 concours professionnels seront organisés dont 106 concours à composition électronique. Les 22 concours à épreuves classiques dont 15 pour le compte du ministère de l'Education nationale et 7 pour le compte du ministère de la Santé, se dérouleront sur table en raison des effectifs élevés.

Hamidou Sawadogo, SG du ministère de la Fonction publique rassure que des dispositions sont prises pour éviter les dysfonctionnements constatés lors de la session de 2022

Le dépôt des candidatures se déroule du 22 au 31 mai 2023 pour les concours professionnels. La composition des épreuves des concours professionnels se déroulera à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin 2023 pour la composition électronique et en début juillet 2023 dans les 13 chefs-lieux de région pour l'administration des concours professionnels déconcentrés pour le compte du ministère de l'Education nationale et celui de la Santé.

Au titre de la session de 2023, il est prévu l'organisation de 127 concours directs. Pour ces concours directs, les dépôts se dérouleront du 5 au 14 juin 2023 pour les concours de niveau supérieur ou égal au Baccalauréat et du 15 au 24 juin 2023 pour les concours de niveau BEPC.

Les responsables du ministère lors de cette conférence de presse

L'administration des épreuves écrites des concours directs est prévue dans le mois d'août 2023. « A l'issue de cette phase, interviendront immédiatement le scannage des copies, les corrections électroniques de concours à épreuves de questions à choix multiples (QCM) et les délibérations », a assuré le secrétaire général Hamidou Sawadogo.

Les dépôts de ces concours professionnels comme directs seront reçus exclusivement en ligne via la plateforme gouvernementale www.econcours.gov.bf.
Tenant compte des difficultés rencontrées dans l'organisation des concours de l'année passée, le département en charge de la fonction publique, a introduit des innovations pour cette session 2023. Il s'agit de l'internalisation de la plateforme e-concours avec ses 3 composantes que sont l'inscription en ligne, la composition et la correction électroniques ainsi que sa gestion domestique par des techniciens burkinabè, la mise en place d'un système SMS pour renseigner les candidats sur leurs programmations et leurs différents résultats aux concours, la diversification des moyens de paiement (SMS, mobile money), le renforcement du parc informatique des concours avec de nouvelles acquisitions de matériels informatiques (ordinateurs, scanneurs, photocopieurs et imprimantes) pour éviter les doubles flux lors de la composition électronique.

La salle d'assistance technique des candidats aux différents concours

Comme innovations, on note aussi l'administration de tous les concours professionnels déconcentrés du MENAPLN et de la santé sur table, le relèvement à la hausse du nombre de postes aux concours directs exclusivement dédiés aux personnes vivant avec un handicap (visuel, auditif et physique), la vulgarisation des consignes aux candidats sur les différentes plateformes (sites web et réseaux sociaux), la mise à disposition d'un centre d'appel pour assister les candidats ayant des difficultés d'inscription ou de paiement des frais d'inscription, la réalisation et la diffusion de spots et de tutoriels indiquant les procédures d'inscription en ligne, de composition électronique et de codage du récépissé (le récépissé du candidat sera codé sur 6 positions cette année contre 16 positions les 3 dernières années).

Les journalistes fortement mobilisés pour ce point de presse

Selon Hamidou Sawadogo, secrétaire général du ministère de la Fonction publique, ces innovations visent entre autres, l'équité, la transparence dans l'organisation des concours, la minimisation des risques d'erreurs, la facilité offerte aux candidats dans la recherche de l'information sur les concours, la réduction des délais de publication des résultats ainsi que les coûts d'organisation des concours.

Il a profité de l'occasion pour mettre en garde, « tous ceux qui s'adonnent à des publications mensongères, diffusent ou partagent de fausses informations sur les concours à travers les réseaux sociaux dans le but de discréditer le processus d'organisation des concours ». « Le ministère se réserve le droit d'engager des poursuites, à l'encontre des auteurs de la diffusion de ces fausses informations sur les concours », prévient-il.

Samson Traoré, directeur général de l'agence générale de recrutement de l'Etat

Selon Samson Traoré, directeur de l'agence générale de recrutement de l'Etat, le budget alloué pour l'organisation des concours professionnels et directs 2023 s'élève à plus de 2 milliards de FCFA contre plus de 3 milliards de FCFA en 2022.
Après ce point de presse, les journalistes se sont rendus dans la salle d'assistance technique des candidats aux différents concours.

Ousséni Gombané, directeur des systèmes d'informations du ministère de la Fonction publique

Pour Ousséni Gombané, directeur des systèmes d'informations au ministère, ce centre vise à recueillir les appels des différents candidats qui ont des difficultés à s'inscrire afin de les guider en fonction de la préoccupation. Les différents numéros à appeler en cas de difficulté sont disponibles sur la plateforme www.econcours.gov.bf.

Mamadou ZONGO
Lefaso.net

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Conseil national du patronat burkinabè : Une assemblée générale pour faire le bilan et poser les bases d'une économie de guerre

Wed, 24/05/2023 - 00:20

Le Conseil national du patronat burkinabè (CNPB) tient ce mardi 23 mai 2023 à Ouagadougou, une assemblée générale mixte. Dans un premier temps, il sera question de faire le point des activités morales et financières du CNPB puis, dans un second, de travailler sur la modification des statuts et règlements intérieurs afin d'améliorer la visibilité, le fonctionnement et la gouvernance de l'institution.

« Le défi sécuritaire et humanitaire, l'instabilité politique et institutionnelle, l'inflation, la pénurie de carburant, les nouveaux impôts pour alimenter le Fonds de soutien patriotique » tels sont, des dires du 1er vice-président du Conseil national du patronat burkinabè, Seydou Diakité, les faits marquants qui ont émaillé les activités des entreprises au niveau national. Au niveau international, la guerre en Ukraine continue de frapper de plein fouet les pays de l'hinterland qui éprouvent des difficultés à s'approvisionner. Ces situations aussi pénibles les unes que les autres n'ont pas été sans conséquences. « La preuve, sur le plan économique, le taux de croissance s'est établi à 4,2% en 2022 contre 6,9% en 2021 » a déploré Seydou Diakité.

Une vue des patrons présents à cette assemblée générale

Nonobstant ces écueils, quelques points de satisfaction sont à noter. En effet, la résilience du secteur privé a permis aux régies financières de recouvrer plus de ressources que les années antérieures. « Le secteur privé a permis aux régies financières de collecter 2400,62 milliards FCFA en 2022, soit une hausse de 21,2% par rapport au niveau de recouvrement en 2021. Ainsi donc, nous avons 110% pour la Direction générale des impôts, 122,4% pour la Direction générale des douanes et 103,1% pour la Direction générale du trésor et de la comptabilité publique » s'est réjoui le 1er vice-président du CNPB.

« C'est le lieu de féliciter toutes les entreprises citoyennes qui honorent leurs impôts afin de soutenir les actions du gouvernement dans ce contexte difficile » s'est exprimé Seydou Diakité au nom du président du CNPB

Pour lui, cette performance des entreprises pourrait être nettement meilleure. Pour que le secteur soit le plus prolifique possible et que les activités reprennent de plus belle, l'ultime souhait qu'il formule est : « la résolution du problème sécuritaire. » Pour l'heure, cette assemblée générale tablera sur les mesures à même d'asseoir une économie de guerre pour résister aux conjonctures économiques nationale et internationale. « Il y a aujourd'hui le problème d'accessibilité aux zones. S'il n'y a pas de possibilité de mobilité, il n'y a pas de business. Cela passe par l'approvisionnement en matières premières. Mais on constate que cet approvisionnement est de plus en plus une difficulté aujourd'hui avec les camions qui brûlent sur les voies principales au départ du Togo, du Ghana, etc. Il y a la guerre, alors il faut mettre en place une économie de guerre pour que les entreprises aussi puissent jouer leur partition, générer des ressources, maintenir les emplois et créer les conditions pour que l'Etat puisse avancer dans la mise en œuvre des solutions pour vaincre le terrorisme. La situation est compliquée mais elle n'est pas insurmontable. Ce n'est pas impossible de la surmonter, mais c'est dans l'unité d'action qu'on parviendra à atteindre les objectifs majeurs » dira-t-il pour conclure.

Erwan Compaoré
Lefaso.net

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Dossier Salifou Nébié : L'introuvable justice !

Wed, 24/05/2023 - 00:10

Le départ de Blaise Compaoré à la suite d'une insurrection populaire est une victoire d'étape dans la recherche de la vérité sur la mort, dans des circonstances troubles le 24 mai 2014, du juge Salifou Nébié, remarque Germain B. Nama, proche de la victime. Pour autant, constate-t-il dans la tribune qui suit, les questions essentielles restent en suspens. Qui a ordonné l'assassinat du juge et pourquoi ? Quels en sont les exécuteurs ? Ces derniers, 9 ans après, continuent de courir, regrette-t-il.

Les années s'égrènent. Neuf ans déjà sans aucune lueur dans le dossier. L'affaire Salifou Nébié est une totale omerta. Il est pourtant clair que le juge a été assassiné, même si les assassins n'ont pas été pris la main dans le sac. Souvenons-nous. Nous sommes au crépuscule du règne de 28 ans de Blaise Compaoré. Salifou Nébié, un des piliers de la justice révolutionnaire (nous étions alors sous la RDP) est parachuté au Conseil constitutionnel, après Cuba où il exerça comme premier ambassadeur du Burkina dans ce pays.

Revenu au Faso, Blaise Compaoré le garde à la présidence du Faso comme son conseiller personnel et finit par le reverser au Conseil constitutionnel pour garder le Temple. Pendant les TPRs en effet, le juge Nébié avait été particulièrement efficace en démasquant les dissimulateurs et autres trafiquants d'or. « Où est l'or ! » insistait-il d'une voix forte et ferme malgré les dénégations des prévenus. Mais en 2014, la scène politique nationale se délite et l'ami de Blaise Compaoré commence à ne plus se sentir à l'aise.

Entre ses amis d'enfance et le système dont il est censé être le fidèle gardien, rien ne va plus. Le cœur du magistrat balance ! Erreur de Gawa. La posture de balançoire est perçue au sein du système comme une trahison. Dans ce climat de suspicion généralisée, le juge constitutionnel est assassiné le 24 mai 2014.

Dans sa région natale, on crie au meurtre et on implore la justice des mânes. La mort du juge constitutionnel intervenu dans un climat insurrectionnel, en raison de l'accumulation des meurtres politiques, plombe davantage le climat social. Le compte à rebours est acté avec enchaînement des manifestations populaires. Blaise Compaoré est chassé par l'insurrection populaire d'octobre, cinq mois seulement après l'assassinat du juge Nébié. C'est une victoire d'étape qui a une saveur particulière pour les parents et nombreux amis du juge. Reste cependant l'essentiel. Qui a ordonné l'assassinat du juge et pourquoi ? Quels en sont les exécuteurs ? Ces derniers, 9 ans après, continuent de courir.

L'ordre politique a connu dans l'intervalle trois changements de régime, mais le constat demeure toujours le même : les écuries n'ont pas été nettoyées et la chape de plomb continue de voiler le dossier. C'est la toile de fond de toutes les malédictions qui nous accablent aujourd'hui. D'où viendra le sursaut ? En ce 9ème anniversaire de l'assassinat de Salifou Nébié, nous voulons par ce rappel lui renouveler l'hommage éternel que nous devons à ce grand serviteur de l'Etat.

Germain Bitiou NAMA
Administrateur général du bimensuel l'Evénement

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Burkina : Le nouveau timbre fiscal de 200 FCFA présenté officiellement

Wed, 24/05/2023 - 00:05

La Direction générale des impôts (DGI) a présenté officiellement le nouveau timbre physico-numérique FIBERTAG, ce mardi 23 mai 2023 au cours d'une conférence de presse. Il s'agit du timbre fiscal de 200 FCFA.

A 48 heures de son entrée en vigueur, le nouveau timbre fiscal fait son apparition officielle devant les professionnels de médias. Et c'est le directeur général des impôts, Daouda Kirakoya, et son équipe qui ont tenu à donner toutes les informations nécessaires concernant ce nouveau timbre.

Il y a des différences fondamentales d'avec l'ancien timbre fiscal, informe la Direction générale des impôts. C'est un timbre à la fois physique et numérique d'où son appellation "physico-numérique".

Quant à FIBERTAG, Daouda Kirakoya a indiqué qu'il s'agit d'une technologie qui contient des éléments d'empreinte. « Cela permet à chaque timbre d'être unique », a affirmé le directeur général des impôts. Toutefois, il a précisé que cela va être installé bientôt.

Le nouveau timbre fiscal va être opérationnel dès le 25 mai 2023

Caractéristiques du nouveau timbre fiscal

Le nouveau timbre fiscal permet de suivre le niveau d'évolution de la commande et de l'utilisation. « Le timbre fiscal est lié à une base de données pour savoir s'il est authentique », a affirmé Daouda Kirakoya. Une nouvelle forme pour lutter contre la contrefaçon. Et c'est l'occasion pour le premier responsable de la DGI d'inviter les citoyens à procéder, eux aussi, au contrôle afin de ne pas consommer de faux timbres fiscaux.

Le directeur général des impôts, Daouda Kirakoya, promet la digitalisation de ce timbre fiscal dans les jours à venir

Sur ce timbre fiscal, on identifie le monument des héros nationaux, les armoiries du Burkina Faso, un code d'identification et de traçabilité et une empreinte d'authentification.

Le timbre est autocollant, contrairement à l'ancien qui nécessitait du liquide pour être collé sur un papier.

Dans certaines localités, le nouveau timbre est déjà distribué, ont annoncé les conférenciers. « Il reste trois régions qui seront approvisionnées d'ici demain », a précisé Daouda Kirakoya.

Un made in France en attendant le local

A la question de savoir pourquoi c'est uniquement le timbre de 200 FCFA qui est changé, le directeur général des impôts a pointé du doigt sa rupture. Dans ses explications, il a fait savoir que les autres timbres fiscaux sont là pour le moment. « Au fur et à mesure que les timbres vont s'épuiser, nous allons les changer », a-t-il promis.

Selon le colonel Léonard Ouoba, l'actuel producteur du timbre fiscal a un contrat d'une année

Contrairement à certaines versions livrées sur les réseaux sociaux, ce nouveau timbre fiscal n'est pas produit au Burkina Faso, a clarifié la direction générale des impôts. « On se bat toujours pour que d'ici là, nous puissions avoir des timbres produits ici au Burkina », a déclaré le colonel Léonard Ouoba, directeur général des affaires immobilières et de l'équipement de l'État.

Le nouveau timbre fiscal est produit en France, ajoute-t-il. L'ancien timbre était imprimé au Canada.

Cryspin Laoundiki
Lefaso.net

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Jubilé d'or de L'Observateur Paalga : « Il y a 50 ans, c'était plus qu'un pari », assure Edouard Ouédraogo, son fondateur

Wed, 24/05/2023 - 00:00

A l'occasion de son cinquantenaire, l'Observateur Paalga a débuté ses activités commémoratives avec un colloque international ce mardi 23 mai 2023 à l'université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou qui se poursuivra jusqu'au 24 mai. Ce colloque est placé sous le thème : « Les médias traditionnels africains face au développement du numérique : résilience, opportunités et défis ».

La cérémonie d'ouverture était placée sous le patronage du ministre de la communication, Jean Emmanuel Ouédraogo et coparrainée par le vice-président de la Chambre de commerce et d'industrie, Mamady Sanoh et l'ex-présidente du Conseil supérieur de la communication, Béatrice Damiba. Elle a connu la participation de nombreuses personnes, dont des enseignants-chercheurs, des représentants d'organisations professionnelles de médias, des journalistes, des étudiants…

Une cérémonie d'ouverture qui s'est déroulée en présence du ministre des sports, de la jeunesse et de l'emploi, Boubakar Savadogo, représentant le ministre de la communication. Tout en félicitant le journal, Boubakar Savadogo a fait remarquer que ce parcours édifiant a le mérite de faire du Burkina un pionnier en matière de presse privée dans la sous-région.

« Ce quotidien a informé, édité, distrait, et sensibilisé durant cinquante ans. L'Observateur Paalga a été ce journal d'école contribuant à la formation pratique de nombreux jeunes d'ici et d'ailleurs dans le journalisme dont la plupart font notre fierté. Et depuis cinquante ans, il a contribué à la création d'emplois et aidé à booster l'économie du pays ».

L'Observateur Paalga est le premier quotidien privé indépendant d'Afrique de l'Ouest francophone. D'après son fondateur et directeur de publication, Edouard Ouédraogo, pas grand monde ne misait un kopeck sur la longévité du canard qui effectuait ses premiers pas en 1973. « Sur le plan institutionnel, c'était la première entreprise de presse puisque c'était non seulement un journal mais un journal assis. Cinquante ans après, nous sommes là. L'aventure était tellement risquée pour nous et pour les observateurs et les connaisseurs, que certains ne nous donnaient même pas trois mois de vie », se remémore-t-il.

Edouard Ouédraogo/ Fondateur, directeur de publication de L'Observateur Paalga

Le journal a traversé de nombreux régimes et connu des soubresauts dont une grande traversée du désert de sept ans quand, le 10 juin 1984, il est détruit par un incendie criminel. Ce n'est que 15 février 1991 qu'il renaît de ses cendres sous un nouveau nom à savoir L'Observateur Paalga. Depuis, il s'efforce d'être au service de la liberté de presse et de la démocratie.

Cinquante ans pour un journal sous nos tropiques, de surcroit privé, ce n'est pas commun. C'est pourquoi "L'Obs" a décidé de commémorer comme il se doit ce jubilé d'or, mais en tenant compte du contexte difficile que connaît le pays. « Ce jubilé d'or, nous l'avons voulu sobre et placé sous le sceau de la réflexion sur notre métier », dira Ousseini Ilboudo, président du comité d'organisation, lors de la cérémonie d'ouverture placée sous la présidence du ministre de la communication, représenté par son collègue en charge des sports, Boubakar Savadogo.

Boubakar Savadogo/ Ministre des sports, de la jeunesse et de l'emploi

Au lieu d'une célébration festive, le comité d'organisation a préféré placer ce cinquantenaire « sous le signe de la réflexion, l'introspection et la prospection ». Ce qui, selon Ousséni Ilboudo, explique la tenue du colloque. Deux jours durant, des débats seront menés par des journalistes, enseignants, représentants d'organisations professionnelles de médias et spécialistes du monde des médias autour de thèmes qui préoccupent actuellement les médias.

Ils échangeront en substance sur l'avenir des médias classiques burkinabè à l'ère de la convergence numérique, la fiscalité appliquée aux médias du Burkina, le basculement dans le numérique, les pratiques journalistiques à l'ère du numérique, les médias sociaux et discours de violence, la crise de confiance entre les médias et l'opinion publique au Burkina, etc.

A noter qu'en plus de ce colloque de deux jours, une journée portes ouvertes est prévue. Ce sera le 25 mai. Une action caritative en faveur des personnes déplacées internes est aussi prévue le 26 mai 2023.

Marina Ouédraogo
Lefaso.net

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Situation sécuritaire au Burkina : « Elections, élections ! Et à quelle fin ? », S'interroge Pato Dondassé

Tue, 23/05/2023 - 23:00

Alors que la situation sécuritaire est encore instable au pays des homes intègres et que certaines voix s'élèvent pour en appeler à l'organisation de nouvelles élections, Pato Dondassé, un de nos lecteurs, s'interroge sur l'opportunité d'un tel appel. Il nous le fait savoir à travers la tribune ci-après.

Que ce soit sur les réseaux sociaux, dans les media ou des conférences de presse, certains Burkinabè revendiquent l'organisation des élections dans les meilleurs délais. Certains n'y vont pas du dos de la cuillère pour accuser les autorités de la transition d'avoir un agenda caché, du fait que jusque-là, elles ne parlent pas du tout, ou parlent peu du calendrier électoral.

Certes, nous ne remettons pas en cause le droit de ces personnes à émettre leurs avis sur la gouvernance, encore moins sur l'avenir du pays. Mais ces agissements suscitent tout de même de grandes interrogations : Quelle est la pertinence d'une telle revendication, quand on connait les conditions sécuritaires et leurs conséquences sociales désastreuses pour l'ensemble des populations aujourd'hui. L'organisation d'élections constitue-t-elle véritablement une priorité pour les Burkinabè aujourd'hui ? Quelles pourraient être les motivations réelles d'une telle posture ?

La priorité actuelle du Burkina Faso n'est pas l'organisation d'élections

Notre chère patrie est à la croisée des chemins. Notre existence en tant que nation souveraine et libre n'a jamais été autant remise en cause. Des terroristes ont envahi la terre de nos ancêtres, tuant des milliers de personnes (hommes, femmes, enfants), faisant des millions de déplacés internes. C'est-à-dire que des Burkinabès sont désormais refugiés dans leur propre pays. Des Burkinabès dorment à la belle étoile, ne sachant que vêtir, que manger ou que boire dans les heures qui suivent.

La vie d'une bonne partie d'entre nous ne tient plus que sur un fil bien mince, du fait de la menace terroriste. Soyons donc honnêtes et véridiques envers nous-mêmes, ces millions de Burkinabès vivant dans les villes comme dans les campagnes, ne parlent pas du tout le langage des élections pour le moment. Ils ont pour priorité et pour soucis, tout sauf aller voter un président, un député ou un maire. Il en est ainsi, parce que les Burkinabès ne sont pas étrangers aux élections, mieux leurs récentes expériences électorales ne les encouragent pas à y retourner aussi précipitamment sans avoir réglé préalablement la question vitale de la sécurité.

2020 nous a suffisamment enseigné sur l'organisation d'élections dans un contexte sécuritaire aussi précaire que le nôtre, et les possibles conséquences dramatiques sur notre stabilité.

Si nous tenons à organiser des élections, il nous faut obligatoirement signer un pacte avec nos assassins (certains appellent cela négocier, ce que d'autres avaient plutôt qualifié de dialogue) pour qu'ils nous donnent l'autorisation de faire campagne et nous rendre dans les urnes les jours de vote. Nous aurons alors à leur faire des offres alléchantes de milliards de francs CFA, non sans accepter de nous conformer à un mode de vie qu'ils nous imposeront au nom d'un certain islamisme (refuser de jouer la musique, fermer nos espaces de loisirs, s'habiller selon un certain code…), pour qu'en retour ils marquent une trêve, juste le temps d'une élection.

Les récentes élections que nous avons organisées en 2020 en sont une belle démonstration. Le Président de la transition, le Capitaine Ibrahim Traoré lors de son dernier entretien avec la presse a levé légèrement le voile sur ces fameuses négociations pour les élections de 2020 dont beaucoup d'entre nous entendions susurrer. Des financements à coup de milliards de francs CFA aux terroristes qui nous endeuillent aujourd'hui. Les témoignages que nous entendons ici et là montrent que nos agresseurs en ont profité pour s'enrichir et bien s'équiper.

Non seulement organiser les élections dans le contexte sécuritaire actuel n'est pas une priorité, pire ces élections ne feront qu'accentuer les frustrations de plus de 80% de la population.

En 2020, nous avons non seulement fait un forcing pour tenir des élections auxquelles la grande majorité des Burkinabè en âge de voter n'a pas voté, (1 645 229 Burkinabès avaient voté le Président Roch, sur 2 849 535 suffrages exprimés pour 6 500 000 Burkinabè en âge de voter), mais surtout les conséquences de cette compromission se sont révélées être plus suicidaires que si nous n'avions pas tenu ces élections. Aussi, la légitimité des dirigeants élus sera encore posée avec acuité, ce qui va indiscutablement contribuer à fragiliser la gouvernance avec les risques de retour à la case départ. On se souvient encore qu'un élu local avait été pris en flagrant délit de connivence avec des terroristes.

Pouvons-nous tenir des élections aujourd'hui sans répéter les compromissions suicidaires de 2020 ?

Personnellement je ne pense pas du tout. Organiser des élections dans les conditions sécuritaires et sociales actuelles ne serait donc pas source de paix, pire elles pourraient être source de division et de frustration de la part de ceux qui ne savent où poser la tête actuellement. Pour être honnête avec nous-mêmes, combien sont-ils les Burkinabè à vraiment comprendre le sens et la portée réelle de nos élections, même en temps de paix ?

Dans un contexte où le vivre ensemble est fortement menacé et où le sentiment d'appartenir à une même nation est en souffrance, l'organisation d'élection est loin d'être la priorité de l'heure.

A quoi nous serviront des élections qui ne garantissent pas la légitimité des élus ?
Dans notre cas précis, les seules aspirations qui comptent pour les Burkinabè actuellement, c'est de vivre et se déplacer en toute sécurité et dans la cohésion sociale. Les problèmes que notre pays rencontre nous interpellent et nous invitent à être réalistes et pragmatiques face à cette question des élections que certains partenaires veulent nous imposer. C'est-à-dire analyser de façon objective les conditions pratiques de tenue d'élections dans un contexte où l'existence de la nation est en pointillés. Face à toutes ces forces qui tentent de nous divertir, nous devons rester lucides et concentrer nos efforts sur la priorité des priorités.

En mon sens, toute personne soucieuse de l'intérêt supérieur de notre nation devrait regarder dans cette direction. Mais, je ne doute pas que tous ne défendent pas que l'intérêt supérieur de la nation. Car, si des Burkinabè ont pris des armes aujourd'hui contre la nation, alors nous pouvons aisément comprendre que d'autres, utilisent leurs plumes, micros et autres moyens comme armes pour nourrir leurs intérêts égoïstes.

Concentrons-nous plutôt sur l'essentiel pour le moment

Plutôt que de disperser nos énergies à mener des combats anachroniques qui vont nous desservir tous, concentrons-nous plutôt sur la priorité des priorités d'abord : restaurer l'intégrité territoriale de notre chère Patrie et reloger nos PDI (personnes déplacées internes, NDLR). Les élections découleront de façon naturelle pour le bonheur de nos populations. En ce moment crucial de notre existence en tant que nation, chaque Burkinabè doit se demander : Qu'est-ce que nous voulons réellement bâtir comme Nation, et comment y arriver ? Il est important donc que tous les Burkinabè accourent au rendez-vous de l'Unité pour accompagner sans conditions nos FDS et nos VDP pour la reconquête de l'intégrité territoriale de notre Nation. Soyons vigilants pour savoir éviter toutes formes de manipulations qui viseraient à nous détourner de nos priorités vitales. Aller aux élections c'est bien, mais pas sans la Patrie.

Pato Dondassé
donaccesspato@gmail.com

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Burkina : « Forcé, on ira à la réconciliation un jour pour apaiser les cœurs », pense Karim Tapsoba (M30)

Tue, 23/05/2023 - 22:30

Suite au décret du gouvernement instituant la mobilisation générale, le Mouvement M30 Naaba Wobgo a décidé de marquer une pause. Un black-out sur les sorties médiatiques. Le chef trésorier dudit mouvement, Karim Tapsoba, a été reçu dans le studio de Lefaso TV, le mercredi 17 mai 2023, en tant que leader d'opinion pour donner sa lecture de la situation nationale. La lutte contre le terrorisme, les guéguerres au sein de l'armée, l'arrestation de leaders d'organisations de la société civile et l'actualité du M30 ont été au menu de cette interview.

Interview réalisée par Cryspin Laoundiki
Montage : Ange Auguste Paré
Lefaso.net

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Burkina/Lutte antiterroriste : Une centaine de terroristes foudroyés à Sawenga

Tue, 23/05/2023 - 22:29

Dans la localité de Bittou, dans le Centre-est du Burkina Faso, précisément dans la forêt de ‘'Sawenga'', la puissance de feu venue des vecteurs aériens, a consumé une centaine de terroristes et leurs équipements, a appris l'AIB ce mardi 23 mai 2023, de sources sécuritaires.

Cette prouesse attribuée aux services de renseignements et aux forces combattantes a permis de sauver de nombreuses vies, car la centaine de malfaiteurs préparaient une attaque de grande ampleur, précisent les interlocuteurs de l'AIB.

Les forces de défense et de sécurité (FDS) en synergie d'action avec les volontaires pour la défense de la patrie (VDP) ont également investi une grande base terroriste dans la forêt de Guibga située dans le Centre-nord du pays. Cet espace qui servait de repaire aux assaillants a été complètement détruit, des camions et des citernes volés ont été retrouvés, rapporte l'Agence.

Aussi, des tonnes de médicaments et de vivres, des motos et des véhicules pickup appartenant aux ennemis, ont été calcinés pendant l'assaut. Les sources de l'AIB assurent que les opérations se poursuivent sur plusieurs fronts, afin de restaurer l'intégrité territoriale et la paix.

Lefaso.net
Source : Agence d'information du Burkina

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Vivre-ensemble dans le Centre : « Nous devons bannir de nos comportements la haine et l'intolérance pour maintenir notre drapeau à la verticale » Abdoulaye Bassinga, gouverneur de la région

Tue, 23/05/2023 - 22:29

Du 22 au 28 mai 2023, la région du Centre tient la 1ère édition de la semaine régionale de promotion du vivre-ensemble. L'initiative qui est du gouverneur de la région du Centre, Abdoulaye Bassinga, vise à rappeler les valeurs chères à l'épanouissement de la société et expliquer davantage la vision du gouvernement sur les questions de réconciliation nationale et de cohésion sociale. La cérémonie de lancement s'est tenue ce lundi 22 mai 2023, dans la commune rurale de Saaba.

« La défiance de l'autorité de l'Etat, le non-respect des lois et du bien public, les troubles en milieu scolaire et universitaire, le non-respect du code de la route, les attaques terroristes » tels sont entre autres les comportements aux antipodes des valeurs cardinales de la société et qui fragilisent du même coup le vivre ensemble.

"Votre présence massive témoigne de l'intérêt que vous portez à la question du vivre-ensemble" Kassoum Kaboré

Selon le Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Saaba, Kassoum Kaboré, ces situations qui vont en grandissant imposent de nouvelles attitudes pour que la société puisse retrouver son lustre d'antan. A l'occasion donc du lancement de la semaine régionale du vivre-ensemble du Centre initiée par le gouverneur de la région Abdoulaye Bassinga, ce fut l'occasion pour Kassoum Kaboré de saluer l'initiative à sa juste valeur.

La commune de Saaba a offert 1076 sacs à 1076 PDI à l'occasion de la cérémonie

« La délégation spéciale de la commune de Saaba remercie le gouverneur de la région du Centre qui a pris l'initiative d'organiser la semaine du vivre-ensemble sous le thème « Promotion du vivre-ensemble harmonieux dans un contexte de défi sécuritaire dans la région du Centre ». Ce thème est une illustration de l'assertion de Blaise Pascal lorsqu'il dit « l'homme seul est quelque chose d'imparfait. Il faut qu'il trouve un second pour être heureux. » Et à Nelson Mandela de renchérir : « aucun de nous en agissant seul ne peut atteindre le succès », s'est-il exclamé.

"La conférence sur le thème choisi va se tenir le 25 mai à la mairie centrale à 9h" Abdoulaye Bassinga

Pour la réussite de cette semaine régionale, Abdoulaye Bassinga dit avoir sollicité l'accompagnement des autorités coutumières et religieuses. En outre, des missions ont été entreprises dans les six communes de la région pour la coordination des actions avec les différents PDS de chaque commune. « Les échanges ont partout été francs, fructueux, constructifs, empreints de courtoisie et de respect mutuel. Les facteurs à même de mettre à mal le vivre ensemble dans notre région ont été identifiés et des pistes de solutions dégagées. Des leaders communautaires et religieux, des femmes en passant par les jeunes - engagement a donc été pris de travailler à promouvoir le vivre-ensemble dans la tolérance dans un pays historiquement pluriel » a-t-il laissé entendre.

Le cross populaire a réuni les hommes, les femmes, les enfants, les jeunes et de tout âge et de toute situation sociale

Un cross populaire réunissant les habitants des six communes que sont Koubri, Komsilga, Pabré, Komki Ipala, Tanghin Dassouri et Saaba a marqué le début des activités de cette semaine régionale. Les six jours à venir seront consacrés à « l'organisation d'une conférence publique, une journée porte ouverte du gouvernorat, des activités de sensibilisation et des formations à l'endroit des jeunes, des activités de promotion des droits de l'enfant, des campagnes de vaccination contre l'hépatite B et des activités culturelles et sportives. »

Erwan Compaoré
Lefaso.net

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