Par Yazid Alilat,
Infernal ! C’est le terme le plus courant des utilisateurs des transports urbains dans la capitale, où un trajet Place des Martyrs vers Ain Benian (environ 15 km) dure deux heures. Le plan de transport dans la capitale algérienne a été confié à une nouvelle institution, l’autorité organisatrice des transports urbains, qui est en train de mettre progressivement de l’ordre dans ce dossier pour améliorer la qualité des transports dans l’Algérois.
Krim, président de l’autorité organisatrice des transports urbains et DG de l’entreprise de transports urbains et suburbains d’Alger (ETUSA), a expliqué hier dimanche à la radio nationale que cette autorité «organise tous les transports urbains dans la capitale. Elle a été créée en 2012 suite à la mise en place des nouveaux modes de transport dans la capitale (métro, tram et téléphériques). Le but est de proposer une meilleure offre aux utilisateurs des transports à Alger». Mais cette autorité n’a été mise en place «réellement qu’en 2015», a-t-il précisé. «Nous avons mis en place des bases de données, une cartographie, lancé une étude d’amélioration des plans de déplacements urbains à Alger pour une meilleure organisation des transports dans la capitale». «Nous avons lancé une étude sur le plan de déplacement dans la capitale financée par l’UE», a-t-il ajouté. «L’autorité est là pour fédérer les différents modes de transports à Alger avec le programme des déplacements et des horaires. Quand on descend du métro, on doit trouver un bus ou un tramway». Dans la capitale, «le téléphérique se développe de plus en plus avec le train de banlieue, mais le gros problème c’est le transport privé par bus», insiste M. Krim. L’Etusa dispose, «avec le réseau affrété d’une flotte de 1.000 bus. Et, avec le réseau privé à Alger, on a 6.000 bus et 3.000 opérateurs. Donc chaque opérateur a une moyenne de deux bus». Mais, estime-t-il, «il reste encore des zones très mal desservies, même en dépit de ce nombre de bus ; 6.000 bus c’est peu ! Nous attendons les études des plans de déplacement urbain». Selon M. Krim, le dossier des transports urbains dans la capitale a été ouvert «avec l’apport des experts de l’UE qui nous ont proposé une démarche. On va organiser dans les mois à venir un forum avec les partenaires, dont les opérateurs, les banques, la SNVI, les fabricants de bus pour trouver une solution». Il s’agit, souligne-t-il, d’ «organiser et fédérer tous les transports dans la capitale». «L’étude lancée sur ce dossier sera restituée vers le mois d’octobre».
Il a annoncé par ailleurs qu’il y aura de nouvelles lignes de bus pour le rabattement vers les stations de métro, ou de tramway, et pout desservir d’autres zones comme Ain Benian, Bab El Oued…
Le DG de l’ETUSA a signalé d’autre part que toutes les grandes villes du pays ont un établissement de transports urbains et suburbains, et les entreprises sont en place. Il a également rappelé que l’ETUSA utilise «l’affrètement de bus pour répondre à la demande, et on a affrété des bus pour répondre à la demande à Oran». Cependant, face à la densité du trafic urbain dans la capitale et la difficulté des bus de l’ETUSA à circuler, il estime qu’Alger «n’est pas la ville la plus congestionnée dans le monde ; les études en cours permettent une meilleure visibilité».
Sur le coût du ticket de bus à Alger, il a indiqué que sans la subvention de l’Etat, il serait de 56 DA, alors que le prix moyen (une section) est de 25DA. «Nous sommes subventionnés à 50% et la subvention est de 150 millions de DA», a-t-il révélé. Quant au ticket unique annoncé depuis un certain moment, le DG de l’Etusa a expliqué qu’il faudrait que le système de billetterie soit compatible entre les différents modes de transports et d’opérateurs. La charte d’interopérabilité et de compatibilité sera «bientôt signée».
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Aua, das tat weh, und zwar richtig! Gestern war auf RTL zu sehen, wie schmerzhaft Beatrice Eglis Sturz in der TV-Show «Ninja Warrior Germany» tatsächlich war.
Da werden bei Beatrice Egli (29) schmerzhafte Erinnerungen wach! Vor rund drei Monaten stürzte die Schlagersängerin bei der Aufzeichnung der RTL-Show «Ninja Warrior Germany» schwer, musste ärztlich versorgt werden. Gestern nun strahlte RTL die TV-Bilder aus – und zeigte, wie dramatisch die Folgen ihres Sturzes wirklich waren.
Zunächst schlägt sich die Schwyzer Metzgerstochter wacker, Runde 1 meistert die Blondine problemlos. Und auch in Runde 2 sieht es zunächst gut aus für Egli: «Ich finde Beatrice überragend», lobt Kommentator Frank Buschmann (53).
Eglis Gesicht ist schmerzverzerrt
Doch gleich danach geschieht es: Egli bekommt das XL-Pendel nicht richtig zu fassen – und rutscht ab. Sie landet im nicht sehr tiefen Wasser und knallt mit voller Wucht auf den Boden. Später wird die Sängerin mit schmerzverzerrtem Gesicht eingeblendet. «Oh meine Knie», stöhnt sie.
«Wenn sie weggeknickt ist, dann kann das schon schmerzhaft sein», urteilt RTL-Buschmann. Und genau so ist es leider. Egli muss sogar im Rollstuhl weggebracht werden, dabei kullern ihr Tränen über die Backen. Wie Egli BLICK im März verriet, musste sie nach dem Unfall starke Schmerzmittel schlucken.
Warme, aber auch warnende Worte der FansAuf Instagram erntet die Sängerin nach der Ausstrahlung der RTL-Show von den Fans jede Menge Genesungswünsche – obwohl die Verletzung mittlerweile längst verheilt sein dürfte. Doch es finden sich auch kritische Stimmen: «Setze deine Knochen nicht für so was aufs Spiel. Das ist keine gute Werbung für dich, wenn du dich verletzt und Schmerzen hast», schreibt ein User. (wyt)
Par Mohamed Mehdi,
«L’Algérien consomme six fois plus (d’électricité) que le Tunisien et six fois plus que le Marocain», a déclaré la semaine dernière le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni. A défaut d’appuyer ses déclarations par des chiffres, le ministre s’est contenté d’une sentence : «C’est parce que nous gaspillons beaucoup et ça, tout le monde le sait». Nous avons quand même essayé d’en savoir davantage. Les résultats sont à des années-lumière des affirmations de M. Guitouni.Pour cela, il a juste suffi de consulter les statistiques de production et de consommation d’énergie que fournissent des organismes internationaux comme la Banque mondiale et l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et qui permettent d’établir une comparaison plus précise à ce sujet entre ces trois pays du Maghreb.
Sur le site web de l’AIE, la recherche statistique par pays (les chiffres les plus récents sont de l’année 2015) montre que la consommation d’électricité est de : 1,45 MWh/capita (mégawatheure par habitant) en Algérie, contre 0,89 MWh/capita au Maroc et 1,46 MWh/capita en Tunisie. Donc, d’après l’AIE, la consommation d’électricité de l’Algérien correspond à 1,62 fois celle du Marocain, alors qu’elle est quasiment identique à celle du Tunisien.
Par ailleurs, les données de l’AIE donnent plus de détails sur la production totale d’électricité pour chaque pays, les pertes d’énergie, la consommation finale (égale à la production moins les pertes et l’utilisation énergétique des centrales), ainsi que la consommation par secteurs. En comparant ces données, l’on s’aperçoit aussi que la consommation d’électricité de l’Algérien (résidentiel) n’est pas excessivement plus grande que celle de nos voisins. Ainsi, pour l’année 2015, la consommation finale en Algérie a été de 50.153 GWh dont 34,77% par le secteur de l’industrie, 2% par les transports, 39,2% par le résidentiel, 2,7% par l’agriculture et 21,3% par «autres secteurs».
Au Maroc et en Tunisie nous retrouvons quasiment les mêmes proportions de consommation par secteurs. Ainsi, toujours en 2015, pour une consommation finale d’électricité de 29.939 GWh au Maroc, 36,3% revient au secteur industriel, 1,15% aux transports, 33,6% au secteur résidentiel, 11,9% à l’agriculture et 17% pour le secteur commercial et les services publics (cette donnée est absente dans le cas de l’Algérie). En Tunisie, la consommation finale a été de 15.437 GWh, dont 35,4% pour l’industrie, 0,6% pour les transports, 30,12% pour le secteur résidentiel, 6,78% pour l’agriculture et 27% pour le secteur commercial et les services publics.
Même constat dans les indicateurs de la Banque mondiale
Dans les données de la Banque mondiale, nous retrouvons les mêmes rapports de consommation électrique par habitant dans les trois pays. Dans la rubrique «indicateurs», nous choisissons deux années comparaison (2004 et 2014), pour chacun des trois pays, pour avoir une vision de l’évolution de la consommation sur une décennie.
Ainsi, sur la période 2004-2014, la consommation d’électricité est passée de : 801 à 1356 KWh/hab (+40,9%) en Algérie, de 611 à 901 KWh/hab (32,2%) au Maroc et de 1035 à 1444 KWh/hab (28,3%) en Tunisie.
En comparant les rapports de consommation d’électricité entre ces pays, celle de l’Algérien est 24% et 33% supérieure à celle du Marocain, respectivement en 2004 et 2014. Par contre, comparée à celle du Tunisien, l’Algérien a consommé 22% de moins en 2004 et 6% de moins en 2014.
On constate donc, selon les données de l’AIE et de la Banque mondiale, que la consommation électrique de l’Algérien est très loin du facteur «six» avancé par le ministre de l’Energie. Elle n’atteint même pas un facteur «deux». En attendant d’autres chiffres, l’Algérien consomme donc autant que le Tunisien (si ce n’est légèrement moins) et environ 30% de plus que le Marocain. Rappelons qu’il y a exactement une année, M. Guitouni, alors PDG de Sonelgaz, avait déclaré que «l’Algérien consomme 10 fois plus d’électricité qu’un Européen». A ce rythme des surenchères, l’inflation va toucher aussi le KWh Algérien !
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Par Abdelkrim Zerzouri,
Depuis le temps qu’on vante les bienfaits du GPLc, ou comme on le surnomme le Sirghaz (rouler au gaz), meilleure solution pour réduire et la pollution et les coûts des carburants, on serait tenté de croire que la conversion des véhicules a touché plus de 90 % du parc auto national. Hélas, il n’en est rien. Depuis environ 17 ans, les autorités algériennes n’arrêtent pas de faire de la pub gratuite en faveur du GPLc sans s’occuper de l’essentiel, l’élargissement du réseau des installateurs des kits GPL à travers le pays. Leur nombre relativement réduit n’a pas permis de répondre à la forte demande exprimée par les automobilistes. On en est arrivé à chercher des connaissances pour conclure la conversion dans un délai réduit, sinon il faut attendre des rendez-vous lointains, dont la durée varie d’une région à une autre, puisque certaines localités n’ont aucun centre d’installation des kits GPL et il leur faut du temps pour arriver à cette conversion, qu’ils iront chercher dans d’autres wilayas. Les automobilistes dans leur grande majorité sont convaincus qu’il faut passer au GPLc, à cause de son prix qui n’a pas connu de hausse et qui reste maintenu à 9 dinars/litre, seulement ils ne trouvent pas où opérer la conversion de leurs véhicules. Il y a tout un monde entre le discours officiel et la réalité du terrain. L’Etat encourage les taxieurs à rouler au Sirghaz, en prenant sur son compte 50 % des charges d’installation des kits GPLc, dont la facture varie entre 6 et 7 millions. On a pensé également à exempter de la vignette auto les propriétaires de véhicules roulant au Sirghaz, en guise de compensation des frais déboursés pour l’installation du kit GPLc. C’est sérieux, on a tout fait pour convertir le maximum de véhicules au GPLc, mais on a occulté deux éléments de base, en l’occurrence l’installateur et le matériel.En sus de penser à approvisionner les centres existants en kits, pourquoi n’a-t-on pas encouragé et facilité l’ouverture de centres d’installation des kits GPLc à travers tout le territoire national ? Franchement incompréhensible. Peut-être qu’on croit que le nombre d’installateurs en activité peut faire l’affaire. Peut-être qu’on a intérêt à garder le monopole entre les mains de quelques centres. Peut-être qu’il y a un problème chez Naftal pour répondre à la demande des investisseurs et la fabrication des kits en nombre suffisant.
En tout cas, il y a un profond dysfonctionnement, pour ne pas dire étranglement, auquel il faut remédier sans plus tarder si on veut réaliser les prévisions sur ce registre, soit l’objectif de convertir 30% du parc automobile à motorisation essence à l’horizon 2030 (60.000 véhicules convertis en 2017). Tous les ministres de l’Energie de ces dernières années ont eu leur mot à dire sur ce sujet, plaidant pour une généralisation graduelle de l’utilisation du Sirghaz, mais tous partent sans donner un sérieux coup de dynamique à l’opération. Pourtant, on aurait à gagner des milliers de postes d’emploi et une réduction de la facture d’importation du gasoil et d’essence qui atteint un milliard de dollars/an. Si on cherchait bien, on trouverait peut-être qu’il y a un blocage pour empêcher le Sirghaz d’aller de l’avant.
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Par Ali Chabana.
L’économie de l’énergie électrique fait un sujet d’actualité de la Société de distribution Est, direction de Tébessa. Les campagnes d’information se succèdent, ciblant les usagers, particuliers et organismes publics et privés. Ainsi, après le porte-à-porte pour expliquer aux citoyens l’utilité de la maîtrise de la consommation en électricité, emploi d’ampoules économiques, appareils électroménagers mieux adaptés. Donc, les services de la direction de distribution de Tébessa se tournent vers les lieux de culte, comme vecteur pour faire parvenir ce message. Aussi, les imams sont appelés, à leur tour, à s’investir dans cette mission. Le prêche de vendredi est sollicité afin d’inciter les gens à se prémunir du gaspillage d’une énergie produite chèrement. Rationaliser son utilisation à travers un nouveau comportement, une approche économique, au final, ce sera l’usager lui-même le grand bénéficiaire, puisque outre la diminution des fameux délestages, avec la baisse de la tension sur le réseau au moment des pics, notamment en période estivale, et surtout la réduction de la facture de consommation, bête noire de nombreux abonnés à la fin du mois. Consommer moins, payer moins, en changeant tout simplement de comportement.
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Ein Auto hat am Montag bei einem Überholmanöver in Kölliken AG einen Töffli-Fahrer (86) zu Boden gerissen. Der Mann wurde schwer verletzt.
In Kölliken AG hat sich am Montagvormittag ein schwerer Unfall ereignet. Ein Autofahrer (67) und ein Töffli-Fahrer (86) waren beide in Richtung Oberentfelden unterwegs. Als der Autofahrer den 86-Jährigen überholte, kam es zu einer Streifkollision.
Der Töffli-Fahrer stürzte dabei zu Boden, wie Kantonspolizei-Sprecherin Barbara Breitschmid sagt. Der Mann wurde schwer verletzt.
Ein Ambulanz-Team brachte den Töffli-Fahrer ins Spital. Der Autofahrer und seiner Begleiterin blieben unverletzt.
Der genaue Unfallhergang wird abgeklärt. (dnp/noo)
par F. H.
Des dysfonctionnements dans l’alimentation en eau potable des communes d’Ath-Laâziz, Ath-Mensour, Ahnif, Chorfa et Oued El-Berdi, à partir du barrage de Tilesdit, ont été signalés. Renseignements pris, il s’agit de perturbations qui ont été observées dans le système de pompage de la station de traitement des eaux du barrage de Tilesdit. Pour mettre fin à cette perturbation, l’installation incessamment de 2 nouvelles pompes a été annoncée.Les habitants des communes concernées supportent péniblement les coupures fâcheuses et irrégulières dans l’alimentation en eau potable, en raison du système de pompage qui manque d’efficacité. Il faut noter que le barrage de Tilesdit, implanté dans la commune de Bechloul à une vingtaine de kilomètres à l’est de Bouira, est doté d’une capacité de stockage de 165 millions de m³. Conçu pour garantir de l’eau potable au profit de 12 communes de la wilaya de Bouira.
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Afin de fournir une feuille de route de développement durable, Sonatrach a dévoilé sa stratégie baptisée SH2030 Leading the Change (Conduire le Changement), qui fait la part belle à l’industrie pétrochimique et à la transformation locale, poursuit la même source.
« L’aval a toujours été négligé en Algérie et cela devient un important problème stratégique », explique le P-DG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, à OBG. « Nous importons plus d’un (1) milliard de dollars de carburant par an, ce qui n’a aucun sens. Nous voulons créer de la valeur ajoutée pour notre gaz et la transformation pétrochimique sera le développement le plus important que Sonatrach connaîtra au cours du siècle », avance-t-il dans cet entretien. Afin d’améliorer la situation, la compagnie procède actuellement à une modernisation de la raffinerie de Sidi R’cine (Alger) qui verra sa capacité de transformation passer de 2,8 millions de tonnes à 3,7 millions de tonnes et sa capacité de stockage du carburant augmenter de 73%. De plus, Sonatrach a conclu en mai dernier un accord de 1,5 milliard de dollars avec le groupe français Total pour la construction d’une usine pétrochimique à Arzew, rappelle OBG. Cette unité devra produire 550.000 tonnes/an de polypropylène, avec une partie de la production qui pourra être exportée vers l’Europe, la Turquie et l’Afrique du Nord.Abordant l’acquisition récente de la raffinerie d’Augusta (Italie), d’une capacité de traitement de 10 millions de tonnes/an, OBG souligne que cet achat, qui comprend aussi trois terminaux pétroliers situés à Augusta, Palerme et Naples, « représente la première acquisition de Sonatrach à l’étranger dans le domaine pétrochimique ».
En outre, Sonatrach « se penche de plus en plus vers les possibilités offertes par les énergies renouvelables, voyant dans celles-ci en particulier un moyen de réduire les coûts associés à la production énergétique ».« Nous envisageons d’utiliser l’énergie solaire dans tous nos champs pétroliers et gaziers. Dans la mesure où chaque installation consomme jusqu’à 20% de la production, l’utilisation de l’énergie solaire pour alimenter les opérations est absolument nécessaire », a noté M. Ould Kaddour, ajoutant que d’ici 2030, tous les champs fonctionneront à l’énergie solaire.
Modification de la loi sur les hydrocarbures « Si une hausse des investissements et des projets de diversification devraient soutenir la croissance dans le secteur de l’énergie, les autorités ont également évoqué des modifications à la législation actuelle dans le cadre d’une stratégie visant à attirer une plus grande participation des acteurs internationaux », souligne OBG. « Les acteurs du secteur critiquent depuis longtemps la législation en vigueur, considérée comme dissuasive pour les acteurs internationaux désireux de s’installer dans le pays, affirmant que certaines mesures ne correspondent plus à la réalité des activités du secteur dans un contexte de prix de l’énergie plus bas ». Outre les changements fiscaux, les propositions de réforme du code des hydrocarbures comportent une simplification des procédures bureaucratiques et administratives pour les investissements, ce qui devrait « encourager encore davantage les activités dans les secteurs pétrolier et gazier ». Saïd B.The post Selon Oxford Business Group : Ascension des investissements énergétiques algériens appeared first on .
Suite à la diffusion d’une vidéo jugée offensante envers le président de la république algérienne Abdelaziz Bouteflika, tournée au siège de l’Union Européenne en Belgique, par Leila Haddad, une ancienne correspondante de l’ENTV. John O’Rourk, l’ambassadeur de l’Union Européenne en Algérie, a régi à la convocation qu’il a reçu de la part du ministère algérien des affaires étrangères en Algérie.
A travers un Tweet John O’Rourk déclare avoir informer les autorités algériennes que l’institution qu’il représente ne porte en aucun cas la responsabilité des déclarations des journalistes qui sont accrédités auprès d’elle: « Nous avons souligné aux autorités algériennes que les journalistes accrédités auprès des institutions européennes ne parlent pas au nom des institutions mais en leur propre nom, en ligne avec les principes de liberté d’expression et liberté des médias » écrit l’ambassadeur de l’UE sur son compte twitter.
Le ministère des affaires étrangères, incite les autorités européennes à prendre des mesures contre la journaliste en question.
LDJ. Sarah
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Suite au Règlement Général sur la Protection des Données entré en vigueur le 25 mai 2018, nous vous informons que :
• Lorsque vous êtes simplement abonné.e à notre Bulletin des Balkans bi-hebdomadaire gratuit, seule votre adresse mail est renseignée dans nos fichiers. Vous avez la possibilité de vous en désinscrire à tout moment en cliquant sur le lien présent au bas de ce bulletin : « Vous recevez cet email car vous êtes abonné à la newsletter du Courrier des Balkans. Pour vous désabonner, cliquez ici. (...)
VIENNA, 4 June 2018 – OSCE Representative on Freedom of the Media, Harlem Désir, today expressed his concern about the continued detention of Oleg Sentsov, a writer and film director from Crimea, Ukraine, after sending a letter to the Minister of Foreign Affairs of the Russian Federation last week, urging to review the case.
“I call on the Russian authorities to review Sentsov’s case and to release him immediately,” Désir wrote in a letter to Sergey Lavrov, Minister of Foreign Affairs of the Russian Federation. “His continued detention is unjustified and creates a strong chilling effect for those in Crimea who have the right to express their views and opinions freely. His voice should not be silenced, no matter how critical.”
Sentsov was arrested in Simferopol by Russian security services in May 2014 and convicted in Rostov-on-Don in August 2015. He is currently serving a 20-year prison term on terrorism charges at a high-security penal colony in the Russian Federation. His sentence was upheld on appeal in November 2015. He has been on a hunger strike since 14 May 2018.
“I am particularly worried about the deterioration of his health condition and morale after he has started a hunger strike,” Désir added.
In his letter to Foreign Minister Lavrov, Representative Désir also noted reports indicating a number of irregularities in the judicial proceedings of the case as well as disturbing allegations of torture against Sentsov, including beatings, suffocation and threats of sexual assault.
The Representative raised Sentsov’s case in a public statement in May 2014 (see: https://www.osce.org/fom/119329).
The OSCE Representative on Freedom of the Media observes media developments in all 57 OSCE participating States. He provides early warning on violations of freedom of expression and media freedom and promotes full compliance with OSCE media freedom commitments. Learn more at www.osce.org/fom, twitter @OSCE_RFoM and on www.facebook.com/osce.rfom.
«La médiation judiciaire évite des procès lents et coûteux et permet aux citoyens de se réapproprier le procès en évitant les aléas de la justice.»
Les praticiens de la médiation des tribunaux de Sidi-Aich, Akbou, Kherrata, Amizour et Béjaïa ont rendu public leur plan d’action pour l’année sociale 2017-2018. Réunis par le bureau de l’association des médiateurs judiciaires de la wilaya de Béjaïa au siège de la cour, ces derniers ont consacré cette opportunité pour débattre du plan d’action articulé sur quatre axes stratégiques devant répondre à un ensemble de besoins dans le but d’atteindre les résultats escomptés. Il s’agit de la médiation sociale, familiale, pénale et conventionnelle. Les participants ont mis en exergue les multiples facettes de la médiation, en particulier, ses différences avec d’autres modes de résolution des conflits. Au chapitre des affaires sociales, les participants se sont appuyés sur la loi du 6 février 1990 relative à la prévention des conflits collectifs du travail.
Dans le domaine de la médiation familiale, ils ont estimé que la priorité doit être donnée au médiateur pour résoudre les litiges avant que les couples ne décident d’aller se séparer devant le juge. Selon l’Office national des statistiques (ONS), 68.000 cas de divorce ont été enregistrés au niveau national par les tribunaux en 2017 et les litiges de tous ordres sur lesquels les juridictions doivent se prononcer pour les régler, ne cessent de croître. Des chiffres effarants et les conclusions de l’enquête de l’ONS, le montrent assez bien. Ainsi, le choix devait revenir aux époux de prendre la décision. Dans cette perspective, les médiateurs interpellent le ministère de la Justice pour revoir la réglementation et procéder à la modification des dispositions des articles 439 et suivants du Code de procédure civile et administrative, qui consacrent la tentative de conciliation par un juge. En matière pénale, le médiateur algérien est exclu du champ d’application pour la confier au procureur de la République, relève-t-on bien que lors d’un séminaire international sur la médiation judiciaire, tenu à Alger les 15 et 16 juin 2009, l’ancien ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz, avait déclaré à l’époque: «La médiation judiciaire appliquée actuellement dans le domaine civil sera bientôt élargie au champ pénal.» Cette déclaration n’a pas été suivie d’effet. C’est pourquoi les médiateurs de Béjaïa souhaitent se réapproprier la médiation pénale. Pour ce qui est, enfin du cadre juridique de la médiation conventionnelle, il n’existe pour l’heure, aucune loi organisant son fonctionnement dans notre pays.
Il s’agit avant tout d’un processus «extrajudiciaire» par lequel les parties tentent de parvenir à un accord pour résoudre un différend sans passer par la case «justice».Aujourd’hui, la médiation ne doit plus être restreinte à son champ d’intervention actuel, mais doit s’élargir davantage, soutiennent les participants, relevant la nécessité de revoir le cadre réglementaire pour la porter plus loin afin d’aboutir à une médiation conventionnelle où le médiateur, en tant qu’expert en relation, est choisi en dehors des tribunaux. Aujourd’hui, les freins sont nombreux dans la pratique de la médiation judiciaire: les juges des tribunaux, contraints par la loi, recourent à la médiation mais pas toujours avec conviction, les parties n’assistent pas aux audiences civiles et les avocats craignant d’y perdre leur clientèle, pensent que la médiation leur enlève une partie de leurs prérogatives, sinon leur gagne-pain. La loi, telle qu’elle est conçue, est fermement responsable de la situation actuelle que vit le médiateur judiciaire en Algérie. Les médiateurs judiciaires de la cour, réitèrent leur demande à la chancellerie, pour la révision des dispositions de l’article 994 du Code de procédure civile et administrative, lequel constitue un «FREIN» pour le développement de la médiation judiciaire dans notre pays. Le citoyen algérien doit, en effet, être informé du recours possible à la médiation, avant toute saisine du tribunal.
Au volet formation, il a été relevé plusieurs sessions de formation dispensées par des experts internationaux en médiation de l’UE. Il est attendu la sortie de 15 promotions pour la formation de base et huit promotions pour la formation approfondie. Le président Khimoum nous a déclaré qu’«outre sa rapidité, l’intérêt de la médiation judiciaire évite des procès lents et coûteux et permet aux citoyens de se réapproprier le procès en évitant les aléas de la justice. Ainsi, la médiation civile va demeurer la meilleure manière qui va inculquer la paix dans la société».
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