L’avènement du Ramadhan est, pour la Fondation de jeunes « Ness El Khir », synonyme de mobilisation renouvelée en faveur de l’action bénévole et caritative, en s’appuyant sur une « armée » de jeunes volontaires, tous mus par le don de soi, la générosité et le dévouement.
En plus de leur forte et remarquable présence, durant les deux premières semaines de ce mois sacré, dans les grandes surfaces et marchés, les « brigades » « Ness El Khir » se sont illustrées cette année par l’organisation d’une grande Kheima au niveau de la Place E Kittani à Bab El Oued, et qui se transforme à l’approche de l’heure de l’Iftar, à la faveur de l’invitation « Aji Teftar » (venez partager un Iftar), en un rendez-vous festif pour des gens de passage, des habitants du quartier, des familles démunies et nécessiteuses et parfois même pour des touristes, venus partager une expérience humaine hors du commun.
Le choix a été porté sur ce site, dira le Secrétaire général de « Ness El Khir », Mohamed Mounir Kourbi, d’accueillir les gens dans le respect des valeurs d’hospitalité ancrées dans le legs et les traditions de la société algérienne et de les recevoir en tant qu’invités et non nécessiteux.
Précisant que beaucoup de ces « invités » donnent un coup de main à l’organisation et au nettoyage aussi bien avant qu’après le Ftour, M. Kourbi a déclaré que « ces dernières années, nombreux sont les jeunes qui sont passés d' »invités » aux repas collectifs à membres actifs et cadres au sein de la Fondation ».
« Le Ramadhan est une occasion pour le renouvellement de la mobilisation en faveur de l’action bénévole et caritative, grâce aux différents projets programmés chaque année », a-t-il ajouté.
La Kheima de l’Iftar, d’une capacité de 1000 personnes, s’inscrit dans le cadre de la 8ème édition du programme spécial Ramadhan « Rana h’na » (nous sommes là), qui a trouvé un « très bon écho » auprès des différentes institutions officielles et plusieurs opérateurs économiques pour offrir des repas riches et variés préparés par un cuisinier professionnel.
Très calme la matinée, la Kheima se transforme, au fil des heures, en véritable ruche où s’activent les « brigades » avec beaucoup de professionnalisme pour accueillir, comme chaque jour depuis le début du Ramadhan « près de 900 personnes », entre sans abris, démunis, gens de passage, travailleurs des chantiers de bâtiment, étudiants, migrants de différentes nationalités africaines et arabes, et même des touristes européens, attirés par la curiosité et l’ambiance fraternelle. A tout ce monde s’ajoutent des familles qui préparent leurs repas et viennent le partager avec d’autres.
En plus un quota des repas préparés est acheminé par les bénévoles vers les catégories nécessiteuses qui ne peuvent faire le déplacement, a-t-on encore précisé.
Louée pour « environ 300 millions de centimes », dont la moitié est prise en charge par une société privée et l’autre grâce aux bienfaiteurs, la Kheima de « Ness El Khir » est approvisionnée par les dons collectés à travers les grandes surfaces et marchés de gros et même auprès des entreprises de l’agroalimentaire. Quotidiennement, 300 bénévoles sont mobilisés pour les opérations de collecte de dons, de préparation et distribution des repas et de nettoyage, et l’intervention de chaque équipe est orchestrée de manière précise et méthodique.
La Kheima de l’Iftar a reçu plusieurs personnalités nationales à l’instar du président du réseau Nada, Abderrahmane Arrar, et d’autres sont attendues comme le président de la Fondation Emir Abdelkader, le moudjahid Lakhdar Bouragaa ainsi que des figures sportives comme le sélectionneur national Rabah Madjer et l’ancien joueur Amar Amor.
Par ailleurs, la Fondation « Ness El Khir » a initié le programme « Khir Rabi » (les biens d’Allah) à travers la distribution de 5.000 couffins de plus de 7.000 DA de produits alimentaires.
Depuis le début du mois sacré, quelque 1.000 couffins ont été distribués dans les communes d’Alger alors que le reste est destiné aux différentes régions du pays à partir de trois points de distribution, à Oran, Biskra et Annaba.
Une convention signée avec la start-up de transport « Tem Tem » permet l’acheminement des dons, en utilisant une application intelligente, vers les points de ralliement.
Pour la deuxième moitié du mois, la Fondation a programmé également une opération de circoncision au profit de 200 garçons de familles démunies au niveau de la capitale et de 50 autres de chacune des quatre régions du pays alors que les préparatifs vont bon train pour l’opération de distribution de vêtements d’enfants à l’occasion de l’Aïd El Fitr.
Mettre à profit le potentiel de la jeunesse pour consacrer le professionnalisme de la société civile
Depuis sa création, il y a 8 ans, la Fondation « Ness El Khir » s’emploie à la consécration du principe de professionnalisme de la société civile à travers la promotion de son action en tant qu’acteur de la société civile, l’adoption du professionnalisme dans l’élaboration de ses programmes, la présence sur le terrain et la coordination avec les différents partenaires en matière d’humanitaire, d’environnement et de social, tout au long de l’année.
Le président de « Ness El Khir », Tarek Zerrouki, également et l’un de ses fondateurs a expliqué que tout a commencé par un groupe de jeunes sur les réseaux sociaux, dont la première action de solidarité a été l’affaire de la vieille dame « El-Hadja Rahma » de la wilaya de Laghouat, et dont le nom est désormais celui du programme humanitaire de la Fondation.
Suite à l’écho de cette affaire, les jeunes ont convenu de poursuivre leur action de solidarité sous l’appellation de « Ness El Khir », puisé dans le legs social, avec un slogan, un organigramme et un programme d’action pour 2010, a-t-il ajouté rappelant que la première action d’envergure a été l’opération de volontariat pour le nettoyage des plages tout le long du littoral national, à la faveur de « Blue Day » (la journée bleue).
S’appuyant sur la Constitution qui stipule que le bénévolat est un droit consacré par la loi, « Ness El Khir » est devenue en 2016 une Fondation légale à caractère caritatif et a gagné en professionnalisme. Désormais, son action fait appel au sponsoring et au partenariat avec des opérateurs économiques.
Constituée d’une Direction générale chapotant sept Sous-directions animées par des groupes de travail spécialisés qui se réunissent périodiquement au nouveau siège social à Ben Aknoun, la Fondation compte trois programmes d’action, à savoir humanitaire « Rahma », de protection de l’environnement « Blue Day » et social « Chaabi ». Des programmes qui traduisent sa ligne de conduite et constituent le cadre général pour tout bénévole désirant rejoindre le Fondation, qui dit « se démarquer de toute personne activant en dehors de ce cadre ».
S’appuyant largement sur les réseaux sociaux, « Ness El Khir » possède 48 pages web à travers l’ensemble du territoire national et compte plus d’un (1) million de bénévoles et d’adhérents, dont 90% âgés entre 15 et 35 ans.
Après le mois de Ramadhan, la Fondation, très active tout au long de l’année, lancera l’opération « Blue Day » et des actions sont d’ores et déjà en préparation en prévision de la prochaine rentrée sociale et de l’Aïd Al-Adha.
Les responsables de « Ness El Khir » souhaitent impliquer les jeunes cadres au sein d’instances officielles de la société civile dans l’élaboration d’une vision et d’une stratégie d’avenir pour promouvoir les différents secteurs dans le pays, bénéficier de plus de facilités au niveau administratif et voir les entreprises publiques s’engager davantage dans leurs actions. Ils ont affirmé œuvrer à mettre leurs actions de bénévolat à l’abri de toute instrumentalisation politique, soutenant que « l’Algérie est leur seule et unique appartenance ».
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L’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.
L’État algérien a consenti beaucoup d’efforts en matière de promotion et de protection de l’enfant, à se fier à l’organisation non-gouvernementale (ONG) britannique Save the Children (sauvez les enfants), qui a publié, ce week-end, son rapport mondial intitulé “Les multiples visages de l’exclusion” qui a touché 175 pays. Ce document rendu public à l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance a, en effet, classé l’Algérie à la 65e place en termes de prise en charge des besoins de l’enfant, notamment la nutrition, la lutte contre la violence, l’éducation, l’intégration et l’épanouissement.
Selon ledit rapport, l’Algérie est classée parmi les pays où les enfants sont le moins confrontés aux risques, affirmant que “plus de 1,2 milliard d’enfants dans le monde, soit plus d’un sur deux enfants, notamment en Afrique, sont menacés par la pauvreté, la discrimination ou encore les conflits, d’une part, et que 240 millions d’enfants vivent dans des pays en guerre”. Et si le Singapour et la Slovénie sont les deux pays les mieux classés, devant la Norvège, la Suède et la Finlande, cette ONG déplore, encore une fois, que le bas du tableau soit toujours occupé par 10 pays du continent noir, dont le Niger classé à la 175e et dernière position. Cela étant dit, les grandes puissances, à l’image des États-Unis (36e place), la Russie (37e place) et la Chine (40e place) arrivent derrière tous les pays d’Europe occidentale dans ce classement, malgré, précise l’ONG, “leur puissance économique, militaire et technologique”. Autre source de violence qui épargne l’Algérie, mais qui touche 20 pays dans le monde, comme la Somalie, l’Afghanistan, le Yémen ou le Soudan du Sud, “les préjugés sexistes qui touchent 575 millions de filles”. Face à cette situation dégradante, Save the Children a interpellé les gouvernements du monde à faire preuve de diligence et à mener “une action urgente (…) sans cela, les promesses faites par tous les pays à l’ONU en 2015 de permettre à chaque enfant de vivre, d’apprendre et d’être protégé ne seront pas tenues”.
En ce sens, l’Algérie poursuit actuellement ses efforts pour le parachèvement de la promulgation des textes d’application issus de la loi 12-15 du 15 juillet 2015, relative à la protection de l’enfant, notamment les aspects qui devront régir les centres de protection des enfants en détresse et les services d’action éducative en milieu ouvert pour renforcer la protection et la promotion de l’enfance. L’objectif est d’arriver à instaurer durablement d’un nouveau plan d’action national sur la protection de l’enfant et son bien-être, le gouvernement algérien est tenu de garantir la protection des droits des enfants sans famille et d’épargner cette frange vulnérable de la déperdition scolaire, des exploitations abusives sur le marché informel et la contrebande, des fléaux sociaux et des phénomènes émergents sur le cyberespace.
Si les chiffres avancés par les pouvoirs publics et ceux avancés par la société civile diffèrent, il n’en demeure pas moins que l’Algérie a encore du chemin à faire quand on sait que plus de 64 000 enfants sont nés sous X et que l’exploitation sur le marché noir touche plus de 200 000 enfants âgés entre 6 et 18 ans. La déperdition scolaire étant un facteur majeur de cet état de fait déplorable, l’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.
En milieu rural, la situation est encore plus inquiétante. Raison pour laquelle il a été créé une Délégation nationale pour la protection de l’enfant, rattachée au Premier ministère, le lancement par la Sûreté nationale de 50 cellules d’écoute et de prise en charge des enfants en danger et la création de brigades de prise en charge des mineurs dans chaque wilaya par la Gendarmerie nationale.
FARID BELGACEM
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Lors de sa visite de travail dans la wilaya de Boumerdès, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a exhorté ses collaborateurs à faire des efforts nécessaires pour réaliser le programme de reconversion de 500 000 véhicules en sirghaz avant la fin de l’année 2021.
Il a, par ailleurs, donné instruction pour que désormais tout projet d’installation d’une nouvelle station de services, un atelier de reconversion soit également concrétisé. «A partir de Boumerdès, je vous le dis, dorénavant, vous mentionnerez obligatoirement dans le cahier des charges de chaque projet de construction de stations-services l’obligation d’ouvrir un atelier de reconversion de véhicules en sirghaz.»
C’est l’instruction qui a été adressée au DG de Naftal lors de l’inauguration d’une station de services au niveau de Seghirat sur la RN24.
Le ministre n’a pas manqué de rappeler que l’Etat finance une partie de cette reconversion. Sur la disponibilité régulière de ce carburant — ce n’est, en effet, pas toutes les stations de services qui disposent de distributeurs — le ministre n’a pas pris d’engagement mais a promis de faire plus d’efforts pour rendre sirghaz disponible partout.
Abachi L.The post Sirghaz: 500 000 véhicules à reconvertir avant la fin de 2021 appeared first on .
L’ambassade d’Algérie à Bruxelles a dénoncé vendredi le « détournement inacceptable » de symboles de l’Union européenne (UE) et du siège du Parlement européen pour « attenter à l’honneur et à la dignité des institutions » algériennes.
« A la suite de la publication, par une pseudo journaliste d’origine algérienne, d’une vidéo offensante attentant à l’honneur et à la dignité des institutions de la République algérienne, l’ambassade a effectué ce jour des démarches officielles pressantes auprès des responsables de différentes instances de l’Union européenne (…) pour dénoncer énergiquement le détournement inacceptable des symboles de l’UE et de l’espace réservé par le Parlement européen aux journalistes professionnels », a indiqué l’ambassade d’Algérie à Bruxelles dans un communiqué.
La représentation diplomatique de l’Algérie à Bruxelles a regretté que des symboles de l’UE et un siège de l’une de ses institutions aient « servi de cadre à cette misérable mise en scène qui rentre dans le cadre de ‘la feuille de route’ de cet agent invétéré de la subversion et de la sédition ».
Rappelant que cette ancienne correspondante de l’ENTV à Bruxelles a été congédiée à cause de son « incivisme » et de son « comportement bipolaire », l’ambassade d’Algérie à Bruxelles a déploré l’attitude de cette « pseudo-journaliste » qui a mis « servilement sa voix et sa plume mercenaires au service de puissances étrangères hostiles à l’Algérie ».
« Dans sa litanie de contrevérités suintant l’aigreur et la frustration, cette ancienne correspondante de l’ENTV à Bruxelles (…) a choisi, pour des considérations purement mercantiles et opportunistes, de vomir sa haine de l’Algérie, ses symboles et ses institutions », a-t-on ajouté.
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MUR FR - Auf einem Bauernhof in Mur FR ist eine Lithium-Batterie im Haus explodiert.
Ein Brand in einem Abstellraum in Mur FR hat am Freitag zwei Verletzte gefordert. Die beiden Personen mussten mit Verdacht auf Rauchgasvergiftung zur Kontrolle ins Spital.
Verursacht wurde der Brand durch die Explosion einer Lithium-Batterie, wie aus einer Mitteilung der Freiburger Kantonspolizei vom Samstag hervorgeht. Dabei hatte der kleine Raum in dem zu einem Bauernhaus gehörenden Depot Feuer gefangen. (SDA)
By WAM
DUBAI, Jun 2 2018 (WAM)
Dubai Electricity and Water Authority (DEWA) has again invited Dubai’s citizens and residents to benefit from the Shams Dubai smart initiative, following the outstanding success and the great adoption rate the initiative has achieved since its launch.
Shams Dubai encourages DEWA customers to install solar photovoltaic panels on the roofs of their premises to generate electricity from solar power and export any excess to the power grid. This is part of DEWA’s effort to promote Dubai’s sustainable and comprehensive development, and support national efforts to increase reliance on clean energy, protect the environment and our natural resources sustainably, and support further transformation towards a green economy.
Shams Dubai gives Dubai’s residents the opportunity to transform their buildings into sustainable ones, reduce the Emirate’s carbon footprint, and increase the proportion of solar power in Dubai's environmentally-friendly energy mix
“Shams Dubai gives Dubai’s residents the opportunity to transform their buildings into sustainable ones, reduce the Emirate’s carbon footprint, and increase the proportion of solar power in Dubai’s environmentally-friendly energy mix. Through this initiative, community members will promote sustainable development in Dubai and transform the Emirate into a global hub for clean energy and green economy, and support the Dubai Clean Energy Strategy 2050, launched by His Highness Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, the Vice President, Prime Minister and Ruler of Dubai, to generate 7% of Dubai’s total power output from clean energy by 2020, 25 percent by 2030 and 75 percent by 2050. This will also support the Smart Dubai initiative launched by His Highness to make Dubai the smartest and happiest city in the world,” said Saeed Mohammed Al Tayer, MD and CEO of DEWA.
“Shams Dubai has been instrumental to the development of the flourishing solar industry in Dubai, and supports the long-term Green Economy for Sustainable Development initiative, to build a green economy in the UAE. Moreover, the project contributes to the UAE Vision 2021, to make the UAE one of the best countries in the world by 2021, and namely to its sustainable environment and infrastructure objectives, through the improvement of air quality and increasing the share of clean energy,” added Al Tayer.
Al Tayer praised the efforts of institutions and individuals who have participated in the Shams Dubai initiative and have already installed photovoltaic panels on 1032 buildings with a total capacity of 43.77 megawatts (MW). This will increase in the future to eventually cover all buildings in the Emirate by 2030.
“DEWA has outlined easy steps to install photovoltaic systems on buildings to generate solar power as part of the Shams Dubai initiative. The installation process starts with the customer contacting one of the solar consultants or contractors accredited by DEWA to study the possibility of installing the solar power system and suggesting the best solution. The consultant or contractor then obtains the necessary approvals from DEWA,” noted Al Tayer.
In addition, DEWA’s Shams Dubai Calculator was launched on DEWA’s website to support customers who want to install solar panels on rooftops, by providing detailed comparisons and additional information with ease, using innovative tools, he added.
To date, DEWA has certified over 446 solar photovoltaic experts, and a total of 96 companies are currently enrolled with DEWA for Shams Dubai: 85 contractors and 11 consultants. The equipment eligibility scheme has attracted interest from 100 manufacturers who have registered so far, and 800 equipments have been made eligible for use by Shams Dubai, such as panels, inverters, and interface protections.
WAM/MOHD AAMIR
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PONT-LA-VILLE - FR - Ein Auto hat sich am Samstagmorgen in Pont-la-Ville FR selbstständig gemacht und ist im Greyerzersee gelandet. Der Besitzer hatte das Fahrzeug nur ungenügend gesichert.
Der 50-jährige Mann hatte das Fahrzeug vor seinem Haus abgestellt, um einen Anhänger abzukoppeln, wie die Freiburger Kantonspolizei mitteilte. Während er den Anhänger in eine Scheune schob, setzte sich das nur ungenügend gesicherte Fahrzeug in Bewegung. Es rollte rund 100 Meter einen Abhang hinunter und kam schliesslich im See zum Stillstand.
Mit einem Traktor und der Mithilfe von Polizeitauchern konnte das in einer Tiefe von 2.50 Metern versunkene Fahrzeug aus dem See geborgen werden. Eine Gewässerverschmutzung sei nicht festgestellt worden, schreibt die Polizei. (SDA)
Micheline Calmy-Rey übt scharfe Kritik an Aussenminister Ignazio Cassis. Mit seinen umstrittenen Aussagen zum Palästinenser-Hilfswerk gefährde er die Schweizer Neutralität.
Die Kritik von Aussenminister Ignazio Cassis (57) am Uno-Hilfswerk für Palästinenser sorgte über die Landesgrenzen hinaus für Wirbel. Der FDP-Bundesrat hatte das Flüchtlingshilfswerk als «Teil des Problems» im Nahostkonflikt bezeichnet, weil es bei palästinensischen Flüchtlingen die Hoffnung aufrecht erhalte, dass sie eines Tages in ihre Heimat, aus der sie wegen des Krieges 1948 fliehen mussten, zurückkehren könnten.
Nicht nur die Palästinenser waren empört. Auch Diplomaten waren irritiert. Und der Bund sah sich genötigt, in einer Stellungnahme zu betonen, dass sich an der Nahost-Politik der Schweiz nichts geändert habe.
Nun äussert sich mit Micheline Calmy-Rey (72) eine Vorgängerin Cassis' zu den umstrittenen Aussagen. Im «Tages-Anzeiger» kritisiert sie den Aussenminister und wirft ihm vor, die Rolle der Schweiz als neutrale Vermittlerin zu gefährden. «Das macht mir Sorgen», sagt sie.
Cassis disqualifiziere sich als FriedensbotschafterCalmy-Rey, Aussenministerin von 2003 bis 2011, glaubt, dass sich Cassis mit den Aussagen im rechten Lager anbiedern wolle. Dabei disqualifiziere er sich als Friedensbotschafter. Sie vergleicht Cassis mit US-Präsident Donald Trump und seiner Art, Politik zu machen: Er provoziere, um zu schauen, wie seine Anhänger auf die Äusserungen darauf reagieren.
Die Aussagen Cassis' werden auch am Montag in der Fragestunde des Nationalrats Thema sein. Gleich neun Fragen der Parlamentarier an den Bundesrat drehen sich um die Äusserungen des Aussenministers. Die Tessiner SP-Nationalrätin Marina Carobbio will wissen, ob die Schweiz weiterhin bereit ist, das Palästinenser-Hilfswerk der Uno zu unterstützen. Und ihr Genfer Parteikollege Carlo Sommaruga befürchtet, dass Cassis mit seiner Kritik die Wahl der Schweiz in den Uno-Sicherheitsrat gefährdet hat. (lha)
Bei den EVZ-Junioren funktionierte Leo Schumacher (65) Luca Sbisa einst vom Stürmer zum Verteidiger um. Matchentscheidend für dessen Karriere.
Zarte 16 Jahre alt ist Luca Sbisa und talentiert, als er 2006 als Novize bei den Elite-Junioren des EV Zug mitspielt. Sein Trainer damals: Leo Schumacher (65), heute Headcoach der GCK Lions.
«Er war gross und stark, hatte einen guten Schuss von der blauen Linie», sagt Schumacher. «Aber er war läuferisch zu langsam für einen Stürmer.» Schumacher will Sbisa vom Stürmer zum Verteidiger umfunktionieren. Als er ihm dies mitteilt, ist Sbisa alles andere als begeistert.
Doch bereits im ersten Spiel macht er seine Sache so gut, dass ihn der Trainer für seine Leistung, seinen Körpereinsatz loben kann. «Mit Komplimenten habe ich Luca so weit gebracht, dass er es als Verteidiger weiter probieren wollte.» Schumacher prophezeit ihm, dass er es als Abwehrspieler in jede Nati schaffen werde. «Denn er war ein junger Krieger, der sich nicht einschüchtern liess.»
Als Junior oft schikaniertTeenie Sbisa träumt aber schon von der NHL. «Wir waren etwas enttäuscht, als er nur ein Jahr später in die kanadische Junioren-Liga wechselte», so Schumacher. Sbisa startet in Nordamerika durch. Nach einer Saison bei den Lethbridge Hurricanes wird er 2008 von Philadelphia in der ersten Runde als Nr. 19 gedraftet und stösst damit die Tür zur NHL auf.
Philadelphia, Anaheim, Vancouver – und nun Las Vegas. Der Stanley-Cup-Final! Schumacher ist stolz, dass er mit dem Entscheid, Sbisa umzufunktionieren, dessen Karriere wohl entscheidend beeinflusst hat.
«Luca hat sich auch durchgeschlagen, wortwörtlich», so Schumacher, der regelmässigen Kontakt zum einstigen Schützling pflegt. «Er musste sich drüben zuerst Respekt verschaffen.» Oft sei er in den Junioren-Camps schikaniert und niedergemacht worden. «Erst nach einigen gewonnenen Fights nahm man ihn ernst.» Solche findet man noch immer auf Youtube.
Nun spielt Sbisa um den Stanley Cup. 1:1 stehts im Final gegen Washington. Nach den Goalies David Aebischer (2001 mit Colorado) und Martin Gerber (2006 mit Carolina) sowie Mark Streit (2017 mit Pittsburgh) könnte Sbisa der vierte Schweizer Stanley-Cup-Sieger werden.