La ville de Djougou est en couleurs depuis le samedi 9 novembre dans le cadre de la 11e édition des Jeux Universitaires du Bénin. Alors qu'il lançait les hostilités lors de la cérémonie d'ouverture, le ministre des sports a partagé la vision derrière l'organisation de cette 11e édition.
Samedi 9 novembre, Monsieur Benoît DATO, Ministre des Sports, accompagné de ses collègues Madame Eléonore YAYI LADEKAN, Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et Monsieur Kouaro Yves CHABI, Ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, a lancé la 11e édition des Jeux Universitaires du Bénin. C'était au stade omnisports de Djougou en présence de diverses autorités politico-administratives et du Roi de Djougou. "Nous avons voulu faire de ces jeux, une véritable fête du sport universitaire béninois. Nous avons voulu faire de ces jeux, une occasion pour nos jeunes talents de se révéler, de se dépasser et de nouer des liens d'amitié qui vont durer bien au-delà de ces jours", affirmait l'autorité ministérielle.
Dans son discours, le ministre a invité toutes les équipes engagées dans cette compétition au fair-play. De son côté, Dr Victor Soumon LAWIN, Directeur général de l'Office Béninois du Sport Scolaire et Universitaire (OBSSU) a rassuré les athlètes que les différentes récompenses prévues pour ces jeux sont déjà prêtes. "Les équipes gagnantes recevront des trophées marqués “JUB 2024”, des médailles, et une récompense financière. Les chèques sont prêts et n'attendent que vous", a-t-il déclaré.
Depuis le samedi, cette 11e édition des Jeux Universitaires du Bénin fait déjà des heureux. Et la fête continue du côté de Djougou et ce jusqu'au jeudi prochain. Pour rappel, les athlètes s'affrontent dans cinq disciplines que sont : football, basketball, volleyball, handball et athlétisme. Ils sont au total 669 athlètes venus de dix universités, répartis en 43 équipes.
J.S
Les éléments de la police républicaine ont mis hors d'état de nuire, trois (03) délinquants à Gnémasson, l'un des arrondissements de la commune de Péhunco, département de l'Atacora. C'est lors d'une patrouille dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 novembre 2024.
Face à la recrudescence des braquages sur l'axe routier Pehunco-Kèrou, la police républicaine a intensifié les opérations. Lors d'une patrouille dans la nuit du samedi 09 au dimanche 10 novembre 2024, les éléments de la police ont identifié trois (03) individus suspects à la sortie du village Sayakrou, à hauteur du marigot Nimbré. Ces malfrats conduisait chacun une motocyclette à vive allure. Ils ont abandonné les motos après avoir constaté la présence des forces de l'ordre sur leur axe.
Dans leur fuite, les malfrats ont ouvert le feu. La riposte de la police a été fatale pour les trois malfrats. Il a été retrouvé sur les lieux un (01) fusil de fabrication artisanale ; deux (02) munitions de calibre 12. Des clés passe partout, six (06) téléphones portables ont été aussi retrouvés dans la poche des malfrats.
A.A.A
Les candidats à l'examen national de licence, session 2024 peuvent consulter leur résultat en ligne sur la plateforme eRésultats.
Les résultats de l'examen national de Licence session 2024 sont disponibles et consultables en ligne sur la plateforme eRésultats. Les candidats doivent se rendre sur la plateforme à l'adresse suivante => https://www.eresultats.bj/consulter/licence-2024. Une fois sur la page d'accueil, le candidat doit rechercher et choisir l'examen ‘'Licence''. Il renseigne ensuite ses informations notamment le numéro de table ou d'inscription et accède à son résultat.
A.A.A
Ecobank, le premier Groupe bancaire panafricain, a remporté un nombre record de 14 prix lors des Euromoney Awards for Excellence, des Global Finance Best Investment Banks and Sustainable Finance Awards, des Global Finance Best Bank Awards et des Global Finance Transaction Banking Awards. Ces prix constituent une nouvelle reconnaissance par les experts, de l'engagement inégalé de la Banque à proposer des services financiers innovants et une expérience clientèle de qualité supérieure à travers l'Afrique.
Jeremy Awori, directeur général du Groupe Ecobank, a indiqué à propos de ces distinctions : “Notre vocation panafricaine est de proposer des services financiers de premier ordre pour permettre aux Africain.e.s et aux entreprises africaines d'accéder aux ressources essentielles dont ils ont besoin pour se développer et prospérer. Remporter ces 14 prix est un exploit sans précédent dans le secteur bancaire africain et réaffirme la force de notre engagement sur le continent. Cela démontre également l'impact croissant et le succès de notre stratégie de Croissance, Transformation et Rendements, qui place au premier plan notre clientèle et ses besoins en constante évolution. Nous continuons à tirer parti de la technologie et de toute l'étendue de notre expertise panafricaine pour accroître la valeur que nos client.e.s tirent de nos offres, tout en leur apportant une expérience inégalée à chaque point de contact, de sorte que nous devenions leur partenaire bancaire privilégié”.
Ecobank s'est vu décerner les 14 prix suivants :
Aux Euromoney Awards for Excellence 2024 :
• Meilleure Banque du Gabon - Ecobank Gabon
• Meilleure Banque du Ghana - Ecobank Ghana
• Meilleure Banque de Guinée - Ecobank Guinée
• Meilleure Banque de Sierra Leone - Ecobank Sierra Leone
• Meilleure Banque pour les PME au Ghana - Ecobank Ghana
• Meilleure Banque Digitale au Ghana - Ecobank Ghana
Aux Global Finance Best Bank Awards 2024 :
• Meilleure Banque du Bénin - Ecobank Bénin
• Meilleure Banque du Togo - Ecobank Togo
Aux Global Finance Best Investment Banks and Sustainable Finance Awards 2024 :
• Prix de la Finance Durable au Ghana - Ecobank Ghana
Aux Global Finance Transaction Banking Awards 2024 :
• Meilleure Banque pour la Gestion de trésorerie - Ecobank Transnational Incorporated
• Meilleure Banque pour les Paiements - Ecobank Transnational Incorporated
• Meilleures Solutions de Paiements Transfrontaliers pour les entreprises - Ecobank Transnational Incorporated
• Prix de la Gestion de trésorerie et de liquidité au Ghana - Ecobank Ghana
• Prix de la Gestion de trésorerie et de liquidité en Côte d'Ivoire - Ecobank Côte d'Ivoire
Les jurys de ces prix prestigieux ont évalué un large éventail de critères pour reconnaître les réalisations de Ecobank, notamment l'innovation, les résultats financiers et la solidité du modèle d'entreprise. Parmi les points forts, citons les services étendus de la Banque, son leadership numérique et la plateforme de paiement unique et unifiée qui transcende les frontières, améliorant ainsi l'accessibilité et la commodité pour la clientèle à travers l'Afrique.
Ces distinctions viennent consolider les succès de Ecobank après d'autres trophées obtenus en 2024, notamment celui de la Meilleure Banque pour les PME en Afrique et celui de la Meilleure Banque de change au Nigeria lors des Global Finance SME Bank Awards.
Ecobank a reçu les trophées lors des cérémonies de remise des prix des Global Finance Best Investment Banks and Sustainable Finance Awards 2024 au Searcys at the Gherkin, à Londres, au Royaume-Uni, le 30 avril 2024 ; des Euromoney Awards for Excellence 2024 au Peninsula Hotel, à Londres, au Royaume-Uni, le 18 juillet 2024 ; des Global Finance Transaction Banking Awards 2024 à l'InterContinental à Pékin, en Chine, le 22 octobre ; et des Global Finance Best Banks Awards au National Press Club à Washington, D.C., aux États-Unis, le 26 octobre.
À propos du Groupe Ecobank (également ‘Ecobank Transnational Incorporated' ou ‘ETI')
Le Groupe Ecobank est le premier groupe bancaire panafricain du secteur privé, doté d'une expertise africaine inégalée. Il est présent dans 35 pays d'Afrique subsaharienne, ainsi qu'en France, au Royaume-Uni, aux Emirats Arabes Unis et en Chine. Son réseau panafricain unique offre une plateforme unifiée pour les paiements, la gestion de trésorerie, le commerce et les investissements. Le Groupe Ecobank emploie près de 15 000 personnes au service de plus de 32 millions de clients et propose une gamme complète de produits, services et solutions de la Banque des Particuliers, de la Banque Commerciale et de la Banque des Grandes Entreprises et d'Investissement à travers de multiples canaux, y compris numériques. Pour plus d'informations, veuillez consulter ecobank.com.
Standard Chartered est heureux d'accorder un financement soutenu par l'Agence de Crédit à l'Exportation (ECA) au Gouvernement de Côte d'Ivoire en tant principal et unique arrangeur mandaté. Cette transaction de 171 millions d'euros représente le deuxième prêt récemment mis en place par la Banque afin de permettre le développement considérable des infrastructures sociales et sanitaires pour les communautés locales de la République de Côte d'Ivoire [1]
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Le Ministère des Finances et du Budget du gouvernement utilisera les fondsmis à disposition pour construire et agrandir au moins 43 cliniques médicales, dont le développement donnera accès à des soins de santé essentiels dans toute la Côte d'Ivoire, y compris dans les zones rurales. Quinze de ces
cliniques seront nouvellement construites et les 28 cliniques existantes (dontle développement a été soutenu par la Standard Chartered en 2021) seront améliorées et agrandies avec des ailes de maternité, des services externes et de nouveaux équipements médicaux.
Cette annonce intervient à un moment où le Gouvernement de Côte d'Ivoire a renforcé l'accent mis sur l'investissement dans le secteur de la santé à travers son Plan National de Développement 2021-2025.
Les partenariats bancaires de confiance de la Standard Chartered avec le danois ECA EIFO, le polonais ECA KUKE (réassureurs) et GCC Services [2], un entrepreneur leader en Afrique et au Moyen-Orient, sont la force motrice de ce financement et le reflet de l'expertise transfrontalière de la banque dans la facilitation du commerce international en Afrique subsaharienne.
Faruq Muhammad, Responsable Global du Développement et des Agences deFinancement chez Standard Chartered, déclare : « A la Standard Chartered, nous savons que l'accès aux soins de santé est un droit humain fondamental.
Ce financement est une opportunité importante de poursuivre notre travail essentiel en Côte d'Ivoire et de jouer notre rôle, en collaboration avec nospartenaires de l'Agence de Crédit à l'Exportation, à l'EIFO et à la KUKE, encontribuant à la prospérité de la nation pour les générations futures. Notre
participation à ce projet de santé vital reflète notre engagement selon lequelnous sommes là pour rester en Côte d'Ivoire et dans les communautés quenous servons à travers l'Afrique subsaharienne.
Peter Boeskov, CCO, EIFO, déclare : « EIFO a une vision positive à long terme de la Côte d'Ivoire et il s'agit d'un projet avec une mission importante en matière de soins de santé. Nous sommes très heureux d'y participer avec nos partenaires de choix, KUKE et Standard Chartered Bank, et cela démontre
l'intérêt stratégique de EIFO à soutenir des accords qui améliorent le bien-être et la prospérité à long terme des pays du continent africain. Avec cettetransaction, EIFO finance également les commandes d'un large éventail dePME et de grandes entreprises danoises, principalement dans les secteurs des équipements de santé et de la gestion de projets/logistique de projets,permettant ainsi la fourniture de capacités vitales à la Côte d'Ivoire.
Dorota Filant, Responsable des infrastructures et de l'immobilier chez KUKE, déclare : « Ce projet rassemble des fabricants Polonais de câbles, d'équipements sanitaires, de générateurs, de clôtures, d'éclairage, de carreaux de céramique et d'appareils électriques. Grâce à la coopération efficace des partenaires internationaux dans le projet, KUKE s'est impliqué dans la deuxième phase demodernisation du réseau des maternités en Côte d'Ivoire. Avec nos partenaires SCB, EIFO et Alliad, nous contribuons à offrir des conditions d'accouchement sûres aux femmes de ce pays. KUKE soutient avec enthousiasme et de plus enplus de projets dans les pays africains dans les domaines des soins de santé, de l'éducation, de la sécurité alimentaire, ainsi que du développement des infrastructures, notamment de l'eau, des transports et de l'énergie. Cela crée des opportunités pour les fabricants et entrepreneurs Polonais de pénétrer de nouveaux marchés potentiels grâce à notre initiative « Faire du shopping en Pologne ».
John Mokom, Directeur Général de la Standard Chartered Bank Côte d'Ivoire, a déclaré : « Notre implication dans ce projet souligne l'engagement de la Standard Chartered envers la Côte d'Ivoire. Avec une histoire riche de 23ans dans le pays, nous restons déterminés à servir de banque de liaison,
facilitant le commerce et agissant comme un pont pour les flux de capitauxinternationaux vers les marchés à travers le continent. En capitalisant sur les liquidités et l'expertise mondiale, nous jouons un rôle crucial dans le financement de grands projets durables, conformément au Plan National de
Développement de la Côte d'Ivoire 2021-2025 »
Ce financement fait suite à une longue lignée de soutien de la Banque à la Côte d'Ivoire. Au début de cette année, Standard Chartered a organisé un financement de 533 millions d'euros, soutenu par la Banque Africaine deDéveloppement (BAD), pour son Ministère des Finances et du Budget afin d'accélérer le développement économique et social du pays.
A Womey dans la commune d'Abomey-Calavi, le gouvernement a réalisé un deuxième pont après celui de l'Alliance ouvert à la circulation depuis avril 2019. Ce second ouvrage de franchissement qui débouche sur la route inter-Etats Cotonou-Lomé à Aglouza-carrefour à Cocotomey dans l'arrondissement de Godomey, reste toujours fermé à la circulation plusieurs mois après les travaux confortatifs.
Sous le régime de la Rupture et du Nouveau Départ, les populations de Womey dans la commune d'Abomey-Calavi voient un rêve de vieille date se réaliser. Les deux ponts qui devraient relier cette localité à Cocotomey, et faciliter par ailleurs les échanges et la libre circulation en direction de Cotonou, Ouidah, et autres localités, se concrétisent.
En effet, après le premier pont baptisé ‘'Pont de l'Alliance'', le gouvernement lors de la session ordinaire du Conseil des ministres du 27 novembre 2019, a autorisé les travaux de construction du deuxième pont de Womey qui débouche sur la route inter Etats Cotonou-Lomé à la hauteur de Aglouza-carrefour à Cocotomey. C'est un pont en béton, long de 350m linéaire et reposant sur des pieux de 60m de profondeur. Il est composé d'une chaussée de 2 voies de circulation de 3,5m chacune et deux trottoirs de 1,75m chacun pour les piétons. Il dispose également d'un tablier en béton armé de 350m, 18 travées, 19 appuis constitués de 38 pieux de 55m de profondeur en moyenne, ainsi que des rampes d'accès d'une longueur totale de 376 mètres linéaires avec des murs de soutènement répartis de part et d'autre de l'ouvrage. Mais plusieurs mois après les travaux, ce pont est toujours resté fermé à la circulation.
Pour Anatole K. DOVONON, éleveur de porcs à Womey, la réalisation de ce pont a surpris plus d'un. « Tout est parti comme un jeu d'amusement. Et au bout de 02 ans comme annoncé, l'infrastructure a été réalisée », a-t-il confié évoquant le souvenir des poses répétées de pierre sous le régime précédent sans aucune action concrète. Ce deuxième pont fait-il savoir, a été réalisé dans les délais requis, mais la voie pavée ou bitumée qui part du pont pour relier Aglouza-carrefour, et la seconde manche qui sort sur la voie pavée de Mahinougon ne sont pas encore aménagées. « Avec ce deuxième pont, c'est très facile de quitter Womey pour se rendre à Cocotomey. Mais la difficulté actuellement réside dans la fermeture », a-t-il ajouté plaidant pour son ouverture.
Guy GOUDOTE, revendeur à Womey salue l'infrastructure qui pour lui, est de très bonne qualité. « Avec ça, on n'est plus obligé de prendre par le Pont de l'Alliance à Womey ‘'Petit pas'' avant de rallier la route inter Etats Cotonou-Lomé au niveau de la pharmacie Concorde. « Il sert de raccourci pour beaucoup de gens qui peuvent passer par là et se rendre facilement Cotonou. Grâce à ce pont, Womey connait un bond pour son développement », a-t-il expliqué soulignant qu'en dehors des populations autochtones, des personnes venant de l'intérieur du pays peuvent l'emprunter pour leurs déplacements en direction de Cotonou, Ouidah, etc. L'ouvrage selon le revendeur, renforce les échanges intracommunautaires et fluidifie la circulation des personnes dans la commune d'Abomey-Calavi.
Wilfried OGA, ingénieur agronome estime également que ce pont une fois mis en service, permettra de « désengorger la circulation les soirs au niveau du pont de Djonou et à la pharmacie Concorde ». D'après lui, les nombreux lampadaires installés aux abords permettront de réduire les cas de vol et de braquage.
Viberton HOUNSOUNOU, jeune artiste chanteur et compositeur résident à Womey pense que le pont n'a pas une trajectoire rectiligne. « Ce n'est pas droit, ce n'est pas direct. Ça forme la lettre S », a-t-il confié. Convaincu des facilités qu'offre l'infrastructure pour les déplacements dans cette partie de la commune d'Abomey-Calavi, il plaide également pour son ouverture. « Nous sommes impatients de l'ouverture afin de pouvoir faire nos va et vient », a-t-il laissé entendre.
Comme lui, plusieurs citoyens pensent que la qualité de l'infrastructure serait la cause de la fermeture. Mais le chef quartier de Womey-centre, Adrien MALE rassure. Ce deuxième pont réalisé au profit de ses administrés est « une belle infrastructure » qui permettra de fluidifier davantage la circulation entre Abomey-Calavi, Cotonou et environs. « Avec le premier pont, ça circule bien déjà. Ce qui est salutaire. Mais pour joindre facilement les deux bouts, les populations ont également besoin du deuxième », a affirmé l'élu local rassurant de son utilité pour tout le Bénin. « C'est une infrastructure de qualité utile à toute la population du Bénin. Outre la liaison Womey et Cocotomey qui est établie, un citoyen qui quitte le Nord par exemple, peut passer par là et rallier d'autres localités du pays », a-t-il indiqué.
« Si hier les populations devraient passer par Togoudo et le CEG Godomey avant de rallier la route inter Etats Cotonou-Lomé, aujourd'hui, ce n'est plus le cas. Le pont de l'Alliance est une belle alternative qui réduit ce long trajet. Ce gouvernement n'est pas un gouvernement à éléphant blanc. C'est un gouvernement qui dit et qui fait », a poursuivi le chef quartier exhortant ses administrés à la patience.
Sur le terrain, des habitations seraient encore dans l'emprise du chantier, notamment la voie qui part du pont et débouche sur Aglouza-carrefour, et la seconde manche sur le carrefour Mahinougon à Womey. Selon certaines indiscrétions, le fait que ces propriétaires terriens ne soient encore dédommagés, expliquerait la fermeture observée jusque-là.
F. A. A.
En stage à Abidjan dans le cadre des 5e et 6e journées des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations, les Guépards ont officiellement démarré les travaux ce lundi 11 novembre 2024. Pour rappel, le Bénin affronte le Nigéria jeudi prochain avant de se déplacer en Libye.
Découvrez quelques images de la première séance :
J.S
Les abonnés au réseau électrique qui ont encore des factures d'électricité impayées sont tenus de régulariser leur situation avant le 2 décembre 2024.
Une vaste campagne de recouvrement des créances sur consommation d'énergie électrique dénommée « Recouvrement Commando » démarre sur toute l'étendue du territoire.
L'opération de recouvrement forcé, selon un communiqué de la Société Béninoise d'Energie Electrique (SBEE), débutera le lundi 02 décembre 2024. Elle concerne notamment les clients Basse Tension (BT).
La SBEE invite ses clients en situation irrégulière à s'acquitter de leurs dus dans les délais afin d'éviter tout désagrément. Les factures du mois d'octobre 2024 en cours de distribution sont accompagnées d'avis de passage notifiant les impayés, a précisé le communiqué.
M. M.
Le Code Général des Impôts de 2024 est désormais accessible en Anglais pour les opérateurs économiques internationaux. Voici la version anglaise officielle publiée par la Direction Générale des Impôts (DGI).
L'homme d'affaires Olivier Boko et l'ex ministre Oswald Homeky ont été conduits, lundi 11 novembre 2024, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) pour une nouvelle audition.
Poursuivis dans une affaire de tentative de coup d'Etat, Oswald Homeky et Olivier Boko sont à nouveau à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). C'est une nouvelle audition devant la commission d'instruction de la CRIET. Complot d'atteinte à la sûreté de l'Etat, blanchiment de capitaux et corruption d'agent public sont les chefs d'accusation retenus contre l'homme d'affaires Olivier Boko et l'ex-ministre Oswald Homeky après leur audience à la CRIET mardi 1er octobre 2024.
C'est un coup d'Etat déjoué qui a conduit à l'arrestation des mis en cause mardi 24 septembre, selon les premières investigations. Selon le procureur, le Commandant de la Garde Républicaine ayant en charge la sécurité du Chef de l'État a été entrepris par le ministre Oswald Homeky pour son compte et celui de Olivier Boko à l'effet d'opérer par la force un coup d'État dans la journée du 27 septembre 2024. L'ancien ministre a été interpellé au moment où il transmettait six sacs remplis de billets de banque au Commandant de la Garde Républicaine. Il s'agit d'une somme de 1 500 000 000 de FCFA. La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a rejeté, jeudi 31 octobre 2024, la demande de mise en liberté provisoire formulée par les avocats de Oswald Homéky et Olivier Boko.
Le promoteur du média en ligne 24 Heures au Bénin, Judicaël Sévérin ZOHOUN a reçu, samedi 9 novembre 2024, un prix de reconnaissance décerné par Afrimerge Limited. C'est à l'occasion de la 4e Exposition panafricaine des sciences et technologies au sein de la Cosmopolitan University d'Abuja (Nigeria), en présence des experts, scientifiques et passionnés de la technologie.
En reconnaissance à son soutien et ses contributions à la société Afrimerge Limited et en général à la technologie en Afrique, Judicaël Sévérin Zohoun, promoteur du média en ligne 24 Heures au Bénin a été distingué à Abuja. Afrimerge Limited dirigée par Edwin Ikechukwu, a tenu à exprimer sa gratitude envers Judicaël Zohoun pour son engagement à promouvoir les avancées technologiques et initiatives qui répondent aux besoins des Africains à travers son média en ligne 24 Heures au Bénin.
Judicaël ZOHOUN s'est dit honoré de recevoir cette distinction. Il a félicité l'équipe de Afrimerge pour leurs différentes initiatives visant à transformer le paysage technologique africain.
Société technologique panafricaine de premier plan, Afrimerge Limited est spécialisée dans la fabrication d'aéronefs télécommandés, de drones, d'hélicoptères, de robots, etc. Elle a organisé la 4e Exposition panafricaine des sciences et technologies sous le thème « Repenser et piloter les problèmes de développement de l'Afrique grâce à la technologie ». Il y a eu entre autres des panels de discussions, des expositions et du business networking.
À travers cet événement, Afrimerge Limitedrenouvelle son engagement à faire progresser l'innovation et la transformation numérique sur le continent africain et au-delà. Basée à Abuja (Nigeria), Afrimerge Limited est aussi présente au Bénin.
Akpédjé Ayosso
L'Indice Harmonisé des Prix à la Consommation du mois d'octobre 2024 s'est établi à 110,6 contre 110,3 en septembre soit une hausse de 0,4 %.
L'Indice Harmonisé des Prix à la Consommation du mois d'octobre 2024 a enregistré une hausse pour ressortir à 110,6 contre 110,3 un mois plus tôt, soit une variation de +0,4% selon le bulletin mensuel de l'Institut national de la statistique et de la démographie (INSTaD). Cette hausse est imputable à l'augmentation des prix des biens des fonctions de consommation « Produits alimentaires et boissons non alcoolisées » (+0,7%) et « Logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » (+0,5%).
Les prix de plusieurs groupes de biens ont contribué à cette hausse. Il s'agit, renseigne la même source des « Légumes frais en fruits ou racine » (+9,8%), due à la saisonnalité et aux difficultés d'approvisionnement de l'oignon frais à partir du Niger ; « Légumes secs et oléagineux » (+5,9%), liée de la hausse du prix du haricot sec ; « Huiles » (+3,2%), en raison de la hausse des prix de l'huile de palme et de l'huile de coton et les « Combustibles solides et autres » (+2,1%), à cause de la baisse de l'offre du bois de chauffe sur les marchés en saison pluvieuse.
L'évolution observée sur le mois a été modérée par la baisse des prix des groupes de produits tels que « Tubercules et plantain » (-8,4%), liée au début de saison de l'igname fraîche et de la banane plantain ; « Sel et épices » (-2,2%), en raison de la saison du piment frais.
Le taux d'inflation du Bénin au titre du mois d'octobre 2024 est ressorti à +1,2%, soit une hausse de 0,3 point de pourcentage par rapport à celui du mois précédent.
Cinq (05) présumés voleurs ont été interpellés par la police républicaine à Savi, arrondissement de la commune de Ouidah, lundi 4 novembre 2024.
Pour vol de de motocyclettes à Savi, cinq (5) personnes sont dans les mailles de la police républicaine. Leur interpellation fait suite à une plainte. Selon le plaignant des individus seraient en train de mettre en place un plan de braquage dans le village Dèkouènou, arrondissement de Savi. Les renseignements de la police ont permis de localiser des suspects dans le village Ahouikodji.
La descente des forces de l'ordre s'est soldée par l'interpellation de trois (03) présumés braqueurs. La poursuite de l'enquête a permis de mettre la main sur deux autres individus. Une télévision, motocyclettes de marque Bajaj et TVS ont été retrouvées lors des perquisitions.
A.A.A
La police républicaine a démantelé un ghetto au quartier Bon Berger de Comé. L'opération menée mardi 5 novembre 2024 a permis d'interpeller deux (02) individus.
La police républicaine poursuit la lutte contre la prolifération des ghettos. Les éléments de la police républicaine de Comè ont démantelé un ghetto au quartier Bon Berger suite à l'ouverture d'une enquête. Une zone a été identifiée comme lieu de ‘' de regroupement de malfaiteurs''. La descente de la police a permis d'interpeller deux (02) individus pour trafic de chanvre indien et association de malfaiteurs.
Des sachets de chanvre indien, un (01) panneau solaire, deux (02) cartes d'assurance et plusieurs autres objets ont été saisis lors de la perquisition. Les deux individus interpellés répondront de leurs actes devant la justice.
A.A.A
La dernière trêve internationale de l'année 2024 s'ouvre ce lundi 11 novembre. Pour démarrer les préparatifs pour les matchs des 5e et 6e journées des éliminatoires de la CAN 2025, les Guépards rejoignent déjà Gernot Rohr et sa bande du côté d'Abidjan.
Selon Roméo Aklozo, sur les 25 Guépards convoqués par le sélectionneur, une dizaine est déjà au regroupement à Abidjan en côte d'ivoire depuis ce 10 novembre. Ce lundi, ils sont 8 joueurs attendus. Il s'agit notamment de : Steve Mounié, Jodel Dossou, Marcel Dandjinou, Andreas Hountondji, Tamimou Ouorou, David Kiki, Sessi d'Almeida, Olivier Verdon.
Hier dimanche, Gernot Rohr était monté au créneau pour aborder les deux matchs à venir pour l'équipe nationale. On le rappelle, la qualification pour le Maroc se jouera contre le Nigéria et contre la Libye.
J.S
L'artiste béninois Axel Merryl a reçu le prix du meilleur artiste Afrique de l'Ouest lors de la prestigieuse cérémonie de la 9e édition du Prix international des musiques urbaines (PRIMUD), dimanche 10 novembre 2024, à Abidjan (Côte d'Ivoire).
Axel Merryl continue de faire parler de lui sur la scène musicale nationale et internationale. Au PRIMUD 2024, il a été sacré meilleur artiste Afrique de l'Ouest. Le jeune béninois s'est retrouvé dans sa catégorie avec 15 autres artistes dont entre autres Santrinos, Iba One, Sidiki Diabaté, Fanicko etc.
Axel Merryl avait été nominé l'année dernière pour la 8e édition des Prix Internationaux de la Musique Urbaine. En 2023, le jeune artiste a remporté le trophée du meilleur artiste de l'année au Bénin avec sa chanson célèbre ‘'Kimi''. Il a aussi reçu le prix du meilleur clip et celui du meilleur single de l'année.
L'auteur de l'album ''Température' s'est produit sur scène en juin 2024 dans la salle mythique parisienne, Casino de Paris en offrant un show exceptionnel à ses fans.
A.A.A
Déclaration commune des participants à la première conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique (Fédération de Russie, territoire fédéral "Sirius", 10 novembre 2024)
Nous, ministres des Affaires étrangères de la Fédération de Russie et des États africains reconnus par l'Organisation des Nations Unies (ONU), dirigeants de la Commission de l'Union africaine et organes exécutifs des principales associations africaines d'intégration, ainsi que leurs représentants, nous sommes réunis le 10 novembre. , 2024 sur le territoire fédéral de Sirius en Fédération de Russie pour participer à la première conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique.
Nous notons avec satisfaction le niveau stratégique de la coopération russo-africaine et évaluons positivement le rythme de mise en œuvre des accords conclus au cours du premier (Sotchi, 23-24 octobre 2019) et du deuxième (Saint-Pétersbourg, 27-28 juillet 2023). sommets Russie-Afrique et inscrits dans leurs documents finaux, notamment le Plan d'action du Forum de partenariat Russie-Afrique pour 2023-2026.
Nous réaffirmons notre intention de poursuivre l'interaction stratégique afin de parvenir à un ordre mondial qui garantirait la paix et la sécurité internationales pour tous, des chances de développement égales pour tous les États et la préservation de leur identité culturelle et civilisationnelle, quelles que soient les différences politiques, économiques et systèmes sociaux, position géographique, démographie, ressources et potentiel militaire.
Nous saluons l'adoption par les chefs des délégations participant à la première conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique de déclarations communes sur les mesures visant à créer un système juste, transparent et équitable de sécurité internationale de l'information ; sur le renforcement de la coopération dans la lutte contre le terrorisme ; sur les questions d'actualité liées à la recherche et à l'utilisation de l'espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques.
Nous réaffirmons la responsabilité commune de la Fédération de Russie et des États africains dans la promotion de la formation d'un ordre mondial juste et stable, fondé sur les principes de l'égalité souveraine des États, de la non-ingérence dans leurs affaires intérieures, du respect de la souveraineté, de l'intégrité territoriale et de la le droit de tous les peuples à l'autodétermination, tel que consacré, entre autres, dans la résolution 1514 (XV) de l'Assemblée générale des Nations Unies du 14 décembre 1960, ainsi que la nécessité de préserver l'identité nationale, les ressources nationales, la diversité culturelle et civilisationnelle et la protection des valeurs traditionnelles.
Nous déclarons notre volonté de continuer à coordonner les actions dans tous les domaines des relations russo-africaines, sur la base d'un engagement commun à renforcer le dialogue et l'interaction dans le cadre du Forum de partenariat Russie-Afrique et guidés par les intérêts communs de nos pays et les considérations d'intérêt mutuel. avantage.
Nous soutenons les aspirations des États africains telles qu'elles sont inscrites dans l'Agenda 2063 de l'Union africaine, « L'Afrique que nous voulons qu'elle soit », ainsi que dans l'Agenda 2030 pour le développement durable, approuvé par la résolution 70/1 de l'Assemblée générale des Nations Unies du 25 septembre. 2015.
Nous notons la nécessité d'intensifier les efforts pour renforcer la coopération mutuellement bénéfique et garantir le soutien de l'Afrique dans la réalisation de ses objectifs de développement prioritaires énoncés dans l'Agenda 2063, « L'Afrique que nous voulons qu'elle soit ».
Coopération dans le domaine politique
Nous notons une augmentation significative du nombre de contacts politiques à un niveau élevé et élevé entre la Fédération de Russie et les États africains et nous saluons l'expansion de la présence diplomatique mutuelle tant en Fédération de Russie que sur le continent africain.
Nous réaffirmons notre ferme intention de promouvoir systématiquement le renforcement de la souveraineté nationale de la Fédération de Russie et des États africains, sur la base des dispositions de l'Agenda 2063 de l'Union africaine « L'Afrique telle que nous voulons qu'elle soit », du droit international, de la législation nationale et d'autres éléments clés. des documents stratégiques, ainsi que la volonté de développer des formats multilatéraux, dans lesquels le rôle principal est joué par les pays qui respectent le principe de l'égalité souveraine des États.
Parmi les priorités de la politique étrangère de la Fédération de Russie et des États africains, nous considérons le développement d'un partenariat constructif avec l'Union africaine et les principales associations d'intégration du continent.
La Russie reconnaît les efforts déployés sur le continent africain pour accélérer le processus d'intégration des différentes régions du continent et promouvoir le développement économique à travers la mise en œuvre du premier plan décennal pour la mise en œuvre de l'Agenda 2063. Les ministres africains reconnaissent et apprécient l'engagement de la Russie à contribuer à la mise en œuvre du deuxième plan décennal de mise en œuvre, visant à réaliser les aspirations et les objectifs énoncés dans l'Agenda 2063, le cadre stratégique de l'Afrique pour le développement du continent.
Compte tenu du rôle des BRICS dans la promotion de la formation d'un système de relations internationales égal et inclusif basé sur un ordre mondial juste et l'égalité de tous les États, nous saluons l'ouverture de l'association à un travail global avec les pays africains pendant la présidence russe des BRICS. en 2024. Nous notons avec satisfaction les décisions prises sur la base des résultats du XVIe sommet des BRICS, tenu à Kazan du 22 au 24 octobre 2024, visant à promouvoir un développement et une sécurité mondiaux équitables, notamment par le dialogue et des partenariats qui renforcent la coopération avec les États africains.
Nous réaffirmons notre engagement commun à renforcer le rôle central de coordination de l'ONU dans la promotion d'un multilatéralisme inclusif et la préservation de la paix et de la sécurité. Constatant l'injustice historique exprimée par l'absence de représentants des pays africains parmi les membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU et la nécessité de l'éliminer, nous exprimons notre volonté d'interagir de manière constructive sur les questions de réforme du Conseil de sécurité de l'ONU afin de l'adapter. au monde multipolaire émergent, porteur à la fois de nouvelles menaces et de nouvelles opportunités, fondées sur la position commune des États africains, inscrite dans le « Consensus d'Ezulwini » sur la réforme du Conseil de sécurité de l'ONU et dans la Déclaration de Syrte de 2005. année.
Nous saluons le large soutien des États membres de l'ONU à la position africaine commune et à la nécessité de respecter sa légitimité, ainsi que les appels lancés aux pays africains pour qu'ils reçoivent une attention prioritaire et un traitement spécial dans le processus de réforme du Conseil de sécurité de l'ONU.
Nous saluons une coopération étroite au sein des plateformes de l'ONU, y compris avec les membres non permanents du Conseil de sécurité de l'ONU issus d'États africains et d'autres organisations internationales.
Nous réaffirmons notre engagement à déployer des efforts communs pour lutter contre toute manifestation de néocolonialisme et de formes violentes et non violentes d'exploitation des ressources des États et des peuples souverains. Nous soutenons les efforts visant à achever le processus de véritable décolonisation du continent africain sous la direction de l'ONU et conformément aux dispositions de sa Charte.
Nous envisageons la possibilité d'organiser un travail conjoint des services d'archives nationaux afin de préserver la mémoire historique des crimes et des conséquences de l'ère coloniale, ainsi que de créer un mécanisme de coordination permanent pour élaborer et convenir d'une stratégie pour achever le processus. de la décolonisation de l'Afrique et organiser une base d'archives ouverte pour l'évaluation, y compris sur les sites de l'ONU, des instruments juridiques d'indemnisation des États africains pour les dommages causés pendant la période coloniale, ainsi que la restitution des biens culturels exportés lors du pillage colonial.
Nous avons l'intention de renforcer davantage la coopération et de soutenir les initiatives mutuelles sur les plateformes internationales afin de lutter contre toute manifestation de racisme, de discrimination raciale, ainsi que de discrimination fondée sur la religion ou l'origine, y compris les manifestations de xénophobie et d'intolérance qui y est associée, le nationalisme agressif, le néonazisme et du néofascisme et sont pleinement déterminés à coopérer pour la pleine mise en œuvre de la Déclaration et du Programme d'action de Durban (DDAP) 2001.
Nous sommes déterminés à lutter contre la falsification de l'histoire, notamment à la lumière de la célébration en 2025 du quatre-vingtième anniversaire de la Victoire sur le nazisme pendant la Seconde Guerre mondiale.
Nous sommes prêts à plaider ensemble en faveur de la dépolitisation des mécanismes de justice pénale internationale, dans le cadre desquels le principe de l'égalité souveraine des États doit être pleinement respecté.
Nous avons convenu de résister à la politisation de l'agenda international des droits de l'homme et du travail de tous les autres organes techniques du système des Nations Unies.
Nous soulignons l'importance de la coopération interparlementaire russo-africaine. Nous saluons la tenue régulière de conférences parlementaires internationales au format Russie-Afrique, qui contribuent au renforcement du dialogue entre l'Assemblée fédérale de la Fédération de Russie, le Parlement panafricain, les parlements nationaux des États africains et les groupes d'amitié bilatéraux.
Coopération en matière de sécurité
Nous soulignons la nécessité d'efforts collectifs et d'approches intégrées afin de revoir et de renforcer l'architecture internationale de paix et de sécurité, en mettant l'accent sur l'élimination des causes profondes des conflits tant intraétatiques qu'interétatiques, sur la base de l'immuabilité du principe d'égalité et d'indivisibilité. sécurité.
Nous réitérons notre volonté de travailler ensemble pour renforcer et développer le cadre politique international dans le domaine du maintien de la stabilité stratégique, du désarmement, du contrôle des armements et de la non-prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs.
Nous restons attachés au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires et estimons que garantir sa pleine mise en œuvre et lui donner rapidement un caractère universel font partie des priorités en termes de maintien du système de sécurité international.
Nous appelons les parties à la Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l'emploi des armes chimiques et sur leur destruction (CIAC), qui est un document juridique important dans le domaine du désarmement et de la non-prolifération, à se conformer aux le dans son intégralité. Nous confirmons le soutien de toutes les parties à ce document à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) et préconisons la prise de décisions fondées sur le consensus afin de surmonter les divergences au sein de l'Organisation. Nous nous prononçons en faveur de l'encouragement de la coopération internationale et du développement économique et technologique dans le cadre de la Convention.
Nous notons la nécessité de lancer des négociations multilatérales pour élaborer une convention internationale visant à réprimer les actes de terrorisme chimique et biologique. Nous soulignons l'importance primordiale du respect et du renforcement de la Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction (BTWC) pour ses parties.
Nous soulignons l'importance cruciale d'accélérer la mise en œuvre des résolutions sur la création au Moyen-Orient d'une zone exempte d'armes nucléaires et d'autres armes de destruction massive, y compris la Conférence convoquée conformément à la décision 73/546 de l'Assemblée générale des Nations Unies. Nous appelons toutes les parties invitées à participer de bonne foi à la Conférence et à contribuer de manière constructive à ces efforts.
Nous réaffirmons la nécessité d'une coopération plus étroite entre les membres du Comité des Nations Unies sur les utilisations pacifiques de l'espace extra-atmosphérique, ainsi que notre engagement à garantir l'utilisation de l'espace extra-atmosphérique exclusivement à des fins pacifiques et pour le bénéfice de toute l'humanité. Nous encourageons les États africains qui ne sont pas encore membres du Comité à envisager de postuler pour y devenir membres.
Nous invitons les États africains qui ne sont pas encore membres du Comité des Nations Unies sur l'espace extra-atmosphérique à envisager de le rejoindre en vue de participer à un dialogue constructif entre les puissances spatiales et les pays en développement intéressés à garantir que l'espace extra-atmosphérique soit utilisé exclusivement à des fins pacifiques.
Nous rappelons l'adoption de la Politique et stratégie spatiale africaine par l'Assemblée de l'Union africaine lors de sa vingt-sixième session ordinaire, tenue à Addis-Abeba les 30 et 31 janvier 2016, et que cette réalisation marque la première étape vers la mise en œuvre de la programme spatial africain dans le cadre de l'Agenda 2063 de l'Union africaine, et nous notons également avec satisfaction à cet égard la création de l'Agence spatiale africaine.
Nous réaffirmons notre détermination à faire tout notre possible pour empêcher une course aux armements dans l'espace (ARMS), y compris le placement d'armes dans l'espace et en faire une arène de confrontation militaire.
Nous rappelons la nécessité urgente de mener des négociations pour élaborer un document multilatéral juridiquement contraignant qui fournirait des garanties fiables pour empêcher le déploiement de tout type d'armes dans l'espace, ainsi que la menace ou le recours à la force contre des objets dans l'espace.
Nous appelons à des efforts accrus pour créer un système juste et équitable de sécurité internationale de l'information conformément aux principes d'égalité souveraine des États et de non-ingérence dans leurs affaires intérieures.
Nous préconisons le développement d'un cadre réglementaire universel visant à prévenir et à résoudre pacifiquement les conflits dans l'espace de l'information et de la communication, ainsi qu'à empêcher l'utilisation des technologies de l'information et de la communication à des fins criminelles et à lutter contre cette utilisation des TIC.
Nous soulignons également l'importance de l'application non discriminatoire des règles, normes et principes volontaires convenus pour un comportement responsable des États dans ce domaine.
Nous avons l'intention de rechercher la création, sous les auspices de l'ONU, d'un mécanisme de négociation permanent unique sur les questions internationales de sécurité de l'information, qui fonctionnera sur la base du consensus et avec la participation de tous les États conformément à l'accord conclu en juillet 2024. dans le cadre du groupe de travail à composition non limitée concerné.
Nous notons la nécessité d'accroître la durabilité du fonctionnement des segments nationaux de l'Internet et soulignons l'importance d'efforts conjoints pour réduire la fracture numérique entre les États.
Nous réaffirmons l'importance d'adhérer au principe « problèmes africains – solutions africaines » lors de la résolution des conflits. Nous sommes prêts à coopérer pour prévenir et résoudre les situations de conflit, ainsi qu'à prendre des mesures spécifiques dans l'intérêt du rétablissement de la paix et de la stabilité sur le continent africain. Nous réaffirmons également notre engagement à œuvrer pour garantir un financement adéquat, prévisible et durable des opérations de paix dirigées par l'Union africaine, autorisées et administrées par le Conseil de sécurité des Nations Unies, conformément à la Sec. VIII de la Charte des Nations Unies. À cet égard, nous nous engageons à travailler en étroite collaboration pour la mise en œuvre efficace de la résolution 2719 du Conseil de sécurité des Nations Unies du 21 décembre 2023, qui prévoit une procédure simplifiée permettant au Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine d'obtenir l'autorisation du Conseil de sécurité des Nations Unies pour les opérations de paix. dirigé par l'Union africaine conformément au Ch. VII et VIII de la Charte des Nations Unies, accès aux contributions statutaires conformément à l'art. 17 de la Charte des Nations Unies et du Règlement financier et des règles de gestion financière des Nations Unies.
Nous réaffirmons notre engagement à respecter et à appliquer le droit international et rejetons toute autre approche qui s'écarte de ce cadre et crée un risque de porter atteinte à la stabilité régionale en Afrique, et nous nous engageons également à promouvoir une résolution diplomatique et pacifique, notamment en promouvant un dialogue inclusif pour résoudre les crises. et les conflits en Afrique.
Nous apprécions hautement les efforts des États africains, de l'Union africaine et des principales associations africaines d'intégration pour faire avancer un processus de paix global. À cet égard, nous saluons la décision du jury du Prix international Léon Tolstoï de la paix d'attribuer le premier prix de son histoire à l'Afrique, représentée par l'Union africaine, pour sa contribution significative au maintien de la paix.
Nous confirmons notre volonté d'établir un mécanisme permanent de dialogue russo-africain au plus haut niveau, qui contribuera à consolider la paix, la stabilité et la sécurité, ainsi qu'à coordonner les efforts de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme, à résoudre les problèmes environnementaux ainsi que les questions liées à l'environnement. sécurité alimentaire et informationnelle.
Nous exprimons notre profonde préoccupation face à l'activité croissante des organisations terroristes dans diverses régions d'Afrique, ainsi qu'aux menaces que ces organisations représentent pour la stabilité et la sécurité des États africains.
Nous saluons les efforts de l'Union africaine dans le domaine de la lutte et de la prévention du terrorisme et de l'extrémisme violent menant au terrorisme, ainsi que la contribution à ce travail des institutions africaines compétentes, notamment le Centre africain d'étude et de recherche sur le terrorisme (ACIST). et l'Assemblée générale de l'Organisation africaine de police de coopération (AFRIPOL).
Nous condamnons fermement tout acte de terrorisme en tant que crime injustifiable et réaffirmons notre engagement à lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations, son financement, ainsi qu'à fournir des « refuges » aux terroristes.
Nous réaffirmons avec force que le terrorisme ne peut et ne doit être associé à aucune religion, civilisation, nationalité ou appartenance ethnique, et réaffirmons que toutes les actions visant à le combattre doivent être conformes au droit international, en particulier à la Charte des Nations Unies.
Nous évaluons positivement les mesures prises par la Fédération de Russie pour promouvoir les efforts antiterroristes sur le continent africain, notamment dans le cadre des activités du programme de l'UCT.
Nous saluons les progrès réalisés grâce à la coopération entre les agences gouvernementales russes et africaines compétentes, mutuellement reconnues dans la lutte contre le financement du terrorisme et le blanchiment d'argent, et espérons poursuivre les efforts conjoints pour éradiquer ces fléaux.
Destiné à renforcer la coopération dans la lutte contre le trafic illicite de stupéfiants, de substances psychotropes et de leurs précurseurs, à échanger des informations et des bonnes pratiques dans ce domaine, ainsi qu'à traiter et à réadapter les personnes souffrant de troubles liés à l'usage de substances, à prévenir la consommation de drogues et à promouvoir mode de vie sain.
Nous notons avec une grande inquiétude les disparités persistantes dans le niveau de progrès accompli pour garantir l'accès, la disponibilité et l'accessibilité financière des substances contrôlées à des fins médicales et scientifiques, en particulier pour la gestion de la douleur et les soins palliatifs, dans les pays en développement, en particulier en Afrique, et appelons à suppression de tout obstacle à cet égard.
Nous reconnaissons la nature complexe et transfrontalière de la criminalité transnationale organisée et réaffirmons notre engagement à renforcer davantage la coopération dans la lutte contre la criminalité transnationale organisée sans politisation ni application de deux poids, deux mesures.
Nous saluons la finalisation du texte de la Convention des Nations Unies contre la cybercriminalité ; renforçant la coopération internationale dans la lutte contre certains crimes commis à l'aide des systèmes d'information et de communication et dans l'échange de preuves sous forme électronique relatives à des crimes graves, nous attendons avec impatience son entrée en vigueur rapide et réaffirmons notre engagement à accroître la coopération internationale dans la lutte contre l'utilisation des technologies des systèmes d'information et de communication à des fins criminelles.
Nous restons préoccupés par la prolifération des armes légères et de petit calibre, qui continuent de constituer une menace pour la paix et la sécurité sur le continent, et soulignons l'importance de renforcer la coopération internationale pour réaliser l'initiative Faire taire les armes 2030, conformément au programme de l'Union africaine. 2063.
Nous restons engagés dans la lutte contre la piraterie et les vols à main armée en mer. Nous confirmons notre volonté de continuer à développer une coopération internationale équitable dans ce domaine, notamment en augmentant la capacité de combat et en améliorant l'équipement technique des forces assurant la sécurité des navires.
Nous soulignons les efforts importants en cours de l'Union africaine et de l'Organisation du Traité de sécurité collective pour contribuer à assurer et à maintenir la sécurité et la stabilité régionales et sommes convaincus que l'interaction entre ces organisations présente un potentiel important.
Nous sommes profondément préoccupés par les conflits en cours au Moyen-Orient et par la détérioration de la situation dans le territoire palestinien occupé, en particulier par l'escalade sans précédent de la violence dans la bande de Gaza à la suite de l'opération militaire israélienne, qui a entraîné d'énormes pertes civiles, un grand nombre de personnes déplacées à l'intérieur du pays et la destruction des infrastructures civiles.
Nous exprimons notre préoccupation face à la situation au Liban. Nous condamnons les attaques israéliennes contre des zones résidentielles au Liban, qui ont entraîné la mort de civils et d'importants dégâts aux infrastructures civiles, et appelons à la cessation immédiate des hostilités. Nous soulignons la nécessité de préserver la souveraineté et l'intégrité territoriale du Liban et de créer les conditions d'une résolution politique et diplomatique de la crise afin de garantir la paix et la stabilité au Moyen-Orient.
Nous sommes favorables à l'adhésion à part entière de la Palestine à l'ONU, confirmons notre attachement à la solution à deux États sur une base juridique internationale généralement reconnue, y compris les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l'ONU et de l'Assemblée générale de l'ONU et l'Initiative de paix arabe, qui prévoit pour la création d'un État de Palestine souverain, indépendant, viable, vivant en paix et en sécurité, adjacent à Israël, à l'intérieur des frontières internationalement reconnues de juin 1967, avec sa capitale à Jérusalem-Est.
À cet égard, nous appelons à un cessez-le-feu immédiat et global conduisant à la libération des otages et des détenus, à une augmentation de la fourniture et de la distribution de l'aide humanitaire, ainsi qu'à un accès sûr et sans entrave à tous les Palestiniens dans le besoin, conformément à l'accord récemment signé. ont adopté les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU et se félicitent des efforts continus dans cette direction aux niveaux international et régional.
Coopération dans le domaine commercial et économique
Nous saluons la croissance progressive des économies nationales des États africains, leur intégration économique réussie à plusieurs niveaux, ainsi que le lancement réussi de la plus grande zone de libre-échange au monde – la Zone de libre-échange continentale africaine.
Nous exprimons notre volonté de continuer à travailler ensemble en vue de renforcer l'influence et d'élargir la représentation des pays du continent africain dans le système de régulation économique mondiale. À cet égard, nous nous félicitons de l'admission de l'Union africaine au G20, le principal forum de coopération économique et financière internationale, au sein duquel nous poursuivrons notre interaction pratique.
Nous saluons la présidence sud-africaine du G20 à partir du 1er décembre 2024, car c'est la première fois que cette organisation influente sera dirigée par un pays africain. Nous espérons que l'Afrique du Sud sera en mesure d'assurer une présidence inclusive et progressiste du G20 et de placer les intérêts des pays du Sud et, en particulier, de l'Afrique, au centre des questions économiques internationales.
Nous nous félicitons de l'augmentation du chiffre d'affaires des échanges commerciaux, principalement du volume des échanges de produits agricoles, alimentaires et d'engrais, entre la Fédération de Russie et les États africains, malgré les mesures coercitives unilatérales.
Nous soulignons l'importance de nos engagements en faveur de la sécurité alimentaire et de la nutrition, de l'amélioration de l'efficacité agricole, et appelons à une coopération accrue dans ces domaines pour introduire des pratiques agricoles modernes et accroître la productivité agricole, ainsi que pour accroître la production agricole en Afrique.
Nous saluons l'initiative de la Fédération de Russie d'organiser une Conférence internationale sur la sécurité alimentaire à Addis-Abeba, en Éthiopie, en 2025, avec la participation des structures compétentes de la Fédération de Russie et des États africains, des plus grands fournisseurs russes de produits alimentaires et d'engrais, d'experts agricoles et scientifiques.
Nous notons la mise en œuvre de l'initiative russe, présentée lors du deuxième sommet Russie-Afrique, sur le libre transfert des céréales russes vers les pays du continent qui en ont le plus besoin.
Nous notons le travail actif en cours visant à améliorer le cadre juridique régissant de nombreux aspects des relations russo-africaines dans les domaines commercial, économique, de crédit, financier, scientifique, technique et autres.
Nous notons avec satisfaction les efforts de la Fédération de Russie et des pays africains pour promouvoir la mise en œuvre de projets d'investissement conjoints visant au développement socio-économique des États et au renforcement de leur souveraineté industrielle et infrastructurelle. Nous accordons une attention particulière à l'approfondissement de la coopération scientifique, technique, innovante et industrielle, à l'amélioration des infrastructures de transport et de logistique, au secteur minier, à la numérisation, au transfert de technologie, au développement des technologies nucléaires énergétiques et non énergétiques, ainsi qu'au renforcement de la coopération dans le domaine de la économie « bleue ».
Nous saluons le développement de projets de coopération communs dans le secteur de l'énergie. Nous soulignons que l'accès universel garanti à des sources d'énergie abordables, fiables, durables et modernes est à la base de la croissance économique, de la stabilité sociale, de la sécurité énergétique mondiale, régionale et nationale et du bien-être de tous les peuples du monde.
Nous soulignons l'importance d'élargir l'utilisation des monnaies nationales dans les transactions commerciales et financières entre la Fédération de Russie et les États du continent africain.
Nous attirons l'attention sur la nécessité de rapprocher les approches pour créer de nouveaux corridors de transport internationaux efficaces et préserver les corridors de transport internationaux existants dans l'intérêt du développement économique mutuellement bénéfique de la Fédération de Russie et des États africains. Nous soulignons que la nécessité d'assurer leur sécurité conformément au droit international, notamment afin d'éviter toute perturbation des chaînes d'approvisionnement, constitue l'une des tâches les plus importantes.
Nous considérons qu'il est nécessaire de renforcer le dialogue entre l'Union économique eurasienne (UEE), les pays et les principales associations d'intégration du continent africain, ainsi que de soutenir les efforts des États africains cherchant à conclure des accords de libre-échange avec l'UEE.
Nous réaffirmons notre ferme soutien à un système commercial multilatéral fondé sur des règles, équitable, inclusif et non discriminatoire, dans lequel l'Organisation mondiale du commerce (OMC) jouera un rôle central.
Nous nous opposons aux mesures commerciales restrictives unilatérales qui conduisent à la fragmentation du commerce mondial, à un protectionnisme accru et à une concurrence déloyale, contraires aux règles de l'OMC, ainsi qu'à la politisation des relations économiques internationales.
Nous soulignons l'importance de réformer l'Organisation mondiale du commerce (OMC) sur la base d'un processus de négociation transparent et inclusif avec le rôle moteur des membres de l'organisation. Nous soulignons qu'un mécanisme de règlement des différends de l'OMC accessible, efficace et pleinement opérationnel est d'une importance capitale pour garantir la sécurité et la prévisibilité du système commercial multilatéral.
Nous condamnons le recours à des mesures coercitives unilatérales et exhortons à ne pas recourir à tout moyen de discrimination arbitraire ou injustifiée, de pression politique, d'obstacles restrictifs manifestes (mesures coercitives unilatérales) ou déguisés au commerce, aux marchés, à la logistique, à la finance ou à l'aide humanitaire (tels que les frontières). mécanismes d'ajustement carbone) et soulignent que de telles mesures sont inacceptables. Nous soulignons que les restrictions illégales et leur application extraterritoriale entravent le libre-échange et affectent négativement les chaînes d'approvisionnement mondiales, provoquant l'instabilité des marchés mondiaux de l'alimentation et de l'énergie, ainsi que la sécurité des transports, y compris dans le domaine de l'aviation civile.
Nous soutenons activement la réforme des règles et procédures du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale dans l'intérêt des pays en développement, en particulier des pays africains, et l'élargissement de leur représentation à la direction de ces organisations. À cet égard, nous saluons l'attribution d'un poste supplémentaire de directeur exécutif au Conseil d'administration du Fonds, qui représentera les pays d'Afrique subsaharienne. Reconnaître la nécessité de réformer les politiques et les pratiques des banques multilatérales de développement (BMD) pour accroître leur capacité de prêt, mobiliser des financements auprès de diverses sources, accroître leur influence et faciliter l'accès aux pays dans le besoin, y compris pour le financement du développement.
Nous notons l'intensification de la coopération bilatérale constructive et fructueuse dans le cadre du Processus de Kimberley - le seul mécanisme international légitime et universel de régulation de l'industrie mondiale du diamant - afin de maintenir la stabilité du marché des pierres précieuses, et nous saluons également l'expansion de l'interaction dans le cadre de l'Association africaine des producteurs de diamants pour assurer le développement durable de l'industrie africaine du diamant.
Coopération dans les domaines de l'éducation, de la santé, de la culture, du sport, de la politique de jeunesse et des médias
Nous apprécions hautement le renforcement des liens entre la Fédération de Russie et les États africains dans les domaines scientifique et éducatif, l'expansion des contacts entre les organisations éducatives et scientifiques, l'intérêt croissant des citoyens de la Fédération de Russie pour l'étude des langues et de la culture africaines. , ainsi que les citoyens des pays africains dans l'étude de la langue et de la culture russes.
Nous saluons les initiatives visant à promouvoir l'éducation, la science, la technologie et l'innovation dans le cadre de l'Année de l'éducation 2024 de l'Union africaine.
Nous apprécions hautement la mise en œuvre de grands projets par la Fédération de Russie et les pays africains, notamment l'augmentation régulière des quotas de bourses d'État de la Fédération de Russie pour l'éducation des citoyens africains dans les universités russes, la mise en œuvre de programmes de formation avancée dans les spécialités prioritaires. pour les partenaires africains, en particulier techniques et scientifiques et techniques, la formation du personnel enseignant des établissements d'enseignement complet en Afrique, le travail efficace des consortiums d'universités russes et africaines - l'Université du réseau russo-africain (RAFU), le Consortium international des universités techniques « Le sous-sol de l'Afrique » et l'Université des transports du réseau russo-africain.
Nous évaluons positivement la coopération dynamique entre la Fédération de Russie et les États africains dans le domaine culturel, notamment le renforcement des liens entre les organisations et associations concernées, l'intensification des échanges de délégations et des activités de tournée et l'organisation d'événements culturels en Fédération de Russie et dans les pays du continent africain.
Nous exprimons notre volonté de développer la coopération dans le domaine sportif, en particulier pour organiser des compétitions communes, assurer la participation des athlètes aux compétitions internationales, organiser l'échange de délégations et d'expériences entre organisations et associations spécialisées et rechercher de nouveaux domaines de coopération. dans le domaine du sport.
Nous soulignons le caractère inacceptable de la politisation des domaines de la science, de la culture et du sport, de leur utilisation comme outil de discrimination contre les scientifiques, les personnalités culturelles et les athlètes sur la base de la citoyenneté, de la langue, de la religion, des opinions politiques et autres croyances, de la race ou de l'origine sociale. . Nous appelons à une interaction internationale égale qui réponde à l'esprit et aux principes d'un monde multipolaire.
Nous notons le renforcement des contacts entre la jeunesse de la Fédération de Russie et les pays africains, notamment dans le cadre des événements du Festival mondial de la jeunesse (1er-7 mars 2024, Fédération de Russie, territoire fédéral « Sirius »).
Nous reconnaissons l'importance d'une participation plus active des femmes aux processus politiques et socio-économiques, notamment à la prévention et au règlement des conflits, à la consolidation de la paix, à la reconstruction et au développement post-conflit et au maintien de la paix.
Nous confirmons notre engagement à promouvoir le développement du tourisme bilatéral entre les pays africains et la Fédération de Russie, la participation aux forums internationaux spécialisés et à sensibiliser davantage le public aux opportunités touristiques de nos pays.
Réaffirmons les efforts accrus visant à renforcer les systèmes et les capacités de santé publique des pays africains, notamment par le transfert de technologies et l'amélioration de la prévention, de la préparation et de la réponse aux pandémies en Afrique, tout en garantissant l'accès à des services de santé sûrs, efficaces et de qualité ainsi qu'à des médicaments et vaccins vitaux et à des équipements médicaux abordables. , la formation des professionnels de la santé africains et le transfert de technologie et de savoir-faire pour la production et le financement régionaux, notamment par le biais du Fonds africain contre le cancer épidémies.
Nous apprécions grandement la coopération visant à assurer le bien-être sanitaire et épidémiologique de la population des pays africains, leur résistance aux situations d'urgence, y compris les épidémies de maladies infectieuses dangereuses, l'amélioration des infrastructures de laboratoire, la réalisation d'activités de recherche conjointes et la formation de spécialistes des départements concernés. Nous saluons la tenue par la Fédération de Russie, du 17 au 19 avril 2024 à Kampala (République d'Ouganda), de la première Conférence conjointe russo-africaine sur le contrôle des maladies infectieuses.
Nous confirmons notre volonté de coopérer pour former le concept d'un espace d'information commun, au sein duquel la liberté de diffusion de documents fiables et factuels et l'accès à ceux-ci seront garantis. Nous reconnaissons l'importance des efforts conjoints visant à promouvoir la diffusion d'informations contribuant au renforcement de la paix internationale et de la compréhension mutuelle, au développement de relations amicales entre les États et au renforcement des valeurs spirituelles et morales traditionnelles en tant que principe unificateur pour humanité.
Nous saluons le renforcement des liens entre les médias russes et africains, l'ouverture de bureaux des médias russes sur le continent africain, ainsi que la mise en œuvre de programmes éducatifs pertinents pour les journalistes.
Nous reconnaissons la nécessité d'élargir les possibilités offertes aux jeunes d'utiliser les nouvelles technologies de l'information et de la communication, de renforcer le mouvement bénévole et de promouvoir les échanges de jeunes dans le domaine de la culture et du sport.
Coopération dans le domaine de la protection de l'environnement et du climat
Nous préconisons des efforts accrus pour consolider les approches des questions internationales environnementales et climatiques au sein des plates-formes spécialisées du système des Nations Unies, en mettant fin à la politisation des activités dans ces domaines, en garantissant le droit de chaque État à déterminer les outils et mécanismes optimaux pour l'utilisation rationnelle de l'environnement. dans un délai déterminé, en tenant compte des spécificités nationales.
Nous confirmons notre volonté de développer un système de réglementation carbone mutuellement acceptable, juste et transparent. Nous saluons et soutenons pleinement les décisions de la 28e session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.
Dans le même temps, nous appelons à promouvoir la coopération internationale sur les questions liées au changement climatique, fondée sur les principes de responsabilités communes mais différenciées et de capacités respectives, fondées sur les intérêts nationaux et les caractéristiques de chaque pays, ainsi que sur les principes de neutralité technologique, de -un accès discriminatoire à un financement approprié et un accès sans entrave aux technologies énergétiques et à leur transfert, ainsi que la participation à la recherche et au développement de ces technologies.
Nous soulignons l'importance de fournir des fonds pour la mise en œuvre de la Convention à travers la fourniture d'un soutien financier et le transfert de technologies aux États africains, le développement et le renforcement des capacités, ainsi que l'adoption d'une décision lors de la 29e session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (Bakou, 11-22 novembre 2024) sur un nouvel objectif quantitatif collectif pour le financement climatique. Cet objectif devrait refléter les besoins et les priorités des pays en développement. Les subventions et les prêts concessionnels devraient cibler l'adaptation, les pertes et les dommages en tant qu'outils de financement climatique qui soutiennent les aspirations des pays en développement.
Nous réaffirmons notre engagement en faveur d'efforts communs visant à empêcher les tentatives de certains États d'utiliser les questions environnementales et climatiques pour introduire des barrières tarifaires et non tarifaires supplémentaires aux importations en provenance des pays du Sud, l'établissement de programmes, une transition accélérée vers l'énergie verte et d'autres mesures qui affaiblir le potentiel économique et industriel des pays en développement.
Nous réaffirmons l'importance de conserver la diversité biologique et soulignons la nécessité de renforcer les capacités, de développer des technologies innovantes et la coopération internationale pour réaliser des progrès sur cette question.
Nous réaffirmons notre engagement à renforcer l'action mondiale pour lutter contre la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse, améliorer la préparation du public et la résilience des écosystèmes, et faciliter l'accès à l'eau pour promouvoir le développement social et économique et éradiquer la pauvreté.
Nous appelons à une coopération internationale renforcée pour lutter contre la pollution plastique, en tenant compte des circonstances spécifiques de chaque pays.
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Les ministres des Affaires étrangères de la Fédération de Russie et des États africains reconnus par l'ONU, les dirigeants de la Commission de l'Union africaine et des organes exécutifs, les principales associations d'intégration africaines, ainsi que leurs représentants - participants à la première conférence ministérielle Russie-Afrique. Le Forum de partenariat exprime son engagement à poursuivre le travail commun afin d'approfondir la coopération et d'assurer la tenue réussie du troisième sommet Russie-Afrique en 2026.
Bonne nouvelle pour les amoureux du championnat professionnel béninois. Le dispositif de la VAR a été testé ce week-end lors d'un match de Ligue Pro. Et c'est une nouvelle page de modernisation de son football qui s'ouvre pour le Bénin.
Le stade omnisports de Ouidah a abrité les 09 et 10 novembre 2024, une démonstration de l'utilisation de la Var initiée par la FBF en collaboration avec Vogo Sports, une société certifiée par la FIFA dans la commercialisation de cet outil moderne de l'arbitrage. Les arbitres FIFA ont été mobilisés pour la circonstance. Ils ont suivi une formation sur l'utilisation de la VAR. Il faut préciser que cette démonstration a été faite offline puisqu'elle n'a pas eu d'impact sur les deux rencontres de Celtis Ligue Pro jouées ce week-end à Ouidah.
J.S
La Loterie Nationale du Bénin (LNB) SA soutient l'excellence en milieu scolaire. Des lots et attestations ont été remis, vendredi 08 novembre 2024, aux 42 lauréats du championnat national de mathématiques et de sciences physiques (CNMSP) et du concours Miss mathématiques physique-chimie (Miss-MPC).
Les 18 lauréats du championnat national de mathématiques et de sciences physiques (CNMSP) et les 24 lauréates du concours Miss mathématiques physique-chimie (Miss-MPC), édition 2024, sont repartis chacun avec une attestation et des lots. C'est lors de la cérémonie de remise de prix qui s'est tenue, vendredi 08 novembre 2024, à l'auditorium de l'Institut de Mathématiques et de Sciences Physiques (IMSP) à Dangbo.
Insignes (coupe au Champion, échappes et couronnes à la Miss et à ses Dauphines) ont été remis par la délégation de la Loterie Nationale du Bénin (LNB SA), conduite madame Nassiratou Samon Matin, représentant le Directeur Général de la Loterie Nationale du Bénin.
C'est Ramziath TADIRI du Lycée militaire des jeunes filles Général Mathieu KÉRÉKOU qui est sacrée championne du Championnat national de Mathématiques et de Sciences physiques (CNMSP) et Lucia Houéfa DOSSOU du CEG Brice SINSIN de Calavi a remporté la couronne de Miss mathématiques physique-chimie (Miss-MPC).
Le Directeur exécutif a procédé ensuite à la remise de attestations de bourses du Conseil des Activités Educatives du Bénin (CAEB) aux lauréats.
La cérémonie a connu la participation du président de l'Assemblée nationale, Louis Vlavonou.
Championnat national de mathématiques et de sciences physiques (CNMSP) et Concours Miss mathématiques physique-chimie (Miss-MPC), sont des compétitions organisées chaque année par l'IMSP de Dangbo et se déroulent sur toute l'étendue du territoire national. Elles mettent aux prises les élèves de quatrième et de troisième de nos lycées et collèges.
Les trois premiers de la phase nationale du CNMSP et les trois premières de la phase nationale du Concours Miss-MPC deviennent immédiatement des boursiers du Conseil des Activités Educatives du Bénin (CAEB) jusqu'à la fin de leur formation universitaire.
M. M.