Omar Abdi Saïd, ministre djiboutien du Travail chargé de la Formalisation et de la Protection sociale, a été reçu le lundi 9 décembre 2024 à Cotonou par Olushegun Bakari, ministre béninois des Affaires étrangères.
En lice à la présidence de l'Union Africaine dont l'élection est prévue pour le 25 février 2025, Djibouti mise sur l'appui du Bénin pour la victoire de son candidat. C'est dans cette perspective que le ministre djiboutien du Travail chargé de la Formalisation et de la Protection sociale, Omar Abdi Saïd a rendu visite à Olushegun Bakari, ministre béninois des Affaires étrangères le lundi 09 décembre 2024.
La candidature de Mahmoud Ali Youssouf, Ministre djiboutien des affaires étrangères a été présentée comme celle qui permettra de revitaliser la Commission de l'Union africaine, notamment en matière d'intégration économique, de sécurité collective et des enjeux du continent.
Lors des échanges, le ministre Omar Abdi Saïd a mis en avant la solidité des relations entre le Bénin et Djibouti.
Quatre candidats sont en lice pour succéder à Moussa Faki Mahamat à la présidence de l'UA. Il s'agit de Mahmoud Ali Youssouf (Djibouti), Raila Odinga (Kenya), Richard Randriamanto (Madagascar) et Anil Kumarsingh Gayan (Maurice).
L'Union africaine (UA) est une organisation intergouvernementale d'États africains créée le 9 juillet 2002 en remplacement à l'Organisation de l'unité africaine (OUA). Elle œuvre à la promotion de la démocratie, des droits humains et du développement à travers l'Afrique, surtout par l'augmentation des investissements extérieurs.
M. M.
Le ministre des Affaires étrangères, Olushegun Adjadi Bakari a reçu en audience lundi 09 décembre 2024 à Cotonou, un envoyé spécial du roi Mswati III d'Eswatini.
Porteur d'un message du roi Mswati III d'Eswatini à l'endroit du chef de l'Etat béninois Patrice Talon, le Ministre de la fonction publique eswatinien, Buthelezi Phila Wiseman, a été reçu en audience par le ministre béninois des Affaires étrangères Olushegun Adjadi Bakari.
Le renforcement des liens de coopération entre l'Eswatini et le Bénin a été abordé au cours de l'audience tenue, lundi 09 décembre 2024 à Cotonou.
M. M.
L'Agence béninoise pour l'environnement (ABE) reconnait les mérites de la Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), en matière de respect des normes environnementales. Elle a délivré une attestation de reconnaissance à la structure en charge de l'exploitation et du développement de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ).
La SIPI-BENIN dans le top des meilleures unités respectant les prescriptions environnementales et sociales en 2024. Elle a reçu à cet effet une attestation de reconnaissance, délivrée par l'Agence béninoise pour l'environnement.
Cette distinction est la preuve de l'engagement sans relâche de la société à promouvoir l'excellence en matière de développement durable et de respect des « normes écologiques les plus strictes ». Par cette attestation de reconnaissance, l'ABE vient saluer « les efforts constants » de la SIPI-BENIN, destinés à concilier industrialisation et préservation de la planète.
Située à environ 45 Km de Cotonou, la Zone industrielle de Glo-Djigbé, est un vaste projet d'industrialisation mis en œuvre par le gouvernement du président Patrice Talon. L'ambition exprimée est de transformer les matières premières, créer de la valeur ajoutée, et résoudre l'épineux problème du chômage des jeunes.
Au terme d'une première phase de 400Ha, trois principaux produits sont transformés dans la zone économique spéciale. Il s'agit du coton, du soja, et des noix de cajou. L'approche innovante et responsable adoptée par la SIPI-BENIN, permet d'avoir au terme du processus, zéro déchet ». Une approche très perceptible au niveau des unités de transformation de cajou où un usine d'extraction de Cashew Nut Shell Liquid (CNSL) de la coque de noix de cajou, et une usine de fabrication de biochar sont implantées.
F. A. A.
Les avocats de Steve Amoussou ont demandé ce lundi 9 décembre 2024 au juge chargé du dossier d'ordonner un sursis à statuer sur les exceptions en inconstitutionnalité et de saisir la Cour constitutionnelle. Libre Express vous raconte une nouvelle journée de procès dans l'affaire « Frère Hounvi ».
Un nouvel épisode dans l'affaire Frère Hounvi devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Alors que tout le monde s'attendait à ce que le juge de la chambre correctionnelle se prononce sur les exceptions en inconstitutionnalité de la procédure de Steve Amoussou, sa défense en a décidé autrement. Un peu après 18 heures ce lundi 9 décembre 2024, la troisième audience dans ce dossier s'est ouverte à la CRIET. Steve Zountidé Amoussou est à la barre.
Au nom de la défense, c'est l'avocat Julien Togbadja qui prend la parole en premier. « Nous déposons entre vos mains un recours en inconstitutionnalité que vous allez transmettre à la Cour constitutionnelle », a-t-il déclaré. L'avocat demande ensuite à la Cour d'ordonner un sursis à statuer jusqu'à ce que la Cour constitutionnelle ne rende sa décision sur l'inconstitutionnalité de la procédure judiciaire. « Nous sommes tous Steve Amoussou », scandent Me Aboubacar Baparapé et son confrère Julien Togbadja. L'audience est immédiatement suspendue, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
À la reprise, Me Hermann Yves Yenonfan, avocat de Steve Amoussou, monte à la charge. « Vous ne pourrez pas apprécier en l'état », affirme-t-il. Il cite ensuite les articles 577, 578 et 579 du Code de procédure pénale qui attestent que l'arrestation et le procès de Steve Amoussou viole la loi. « C'est le juge constitutionnel qui appréciera. Quelle est cette norme qui vous permet de le détenir », va ajouter Me Togbadja.
Après les avocats de la défense, c'est autour du ministère public représenté par Armand Donald Reagan Hounguè, le premier substitut du procureur spécial de se prononcer. Dans sa réquisition, le procureur a procédé à la lecture d'une kyrielle d'articles du Code de procédure pénale, de la loi organique de la Cour constitutionnelle ainsi que de la Constitution. Mais, il s'est basé sur un alinéa de l'article 37 de la loi organique sur la Cour constitutionnelle. Cet alinéa dispose que : « le sursis à statuer prévu à l'article 122 de la Constitution et à l'alinéa précédent ne suspend pas l'instruction de l'affaire qui se poursuit sans discontinuité devant la juridiction concernée ».
Sur cette base, le ministère public a souligné que la CRIET peut continuer à instruire l'affaire. « Le sursis à statuer n'est en rien un sursis à instruire », a précisé le parquetier. Citant d'autres articles du Code de procédure pénale, il a souligné que le juge dispose de 8 jours pour transmettre le recours des avocats de Steve Amoussou à la Cour constitutionnelle et que celle-ci dispose de 30 jours pour trancher. Pour l'élégance de la procédure, le procureur a demandé à la Cour de faire droit à la demande des avocats de Steve Amoussou. Le dossier a été immédiatement renvoyé au lundi 20 janvier 2024 pour continuation, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express
Le monde du football béninois est en deuil. Ékoué Moïse, ancien sélectionneur des Guépards du Bénin n'est plus.
C'est dans une note datant de ce lundi 09 décembre 2024 que l'Association Nationale des Entraîneurs de Football du Bénin (ANEFB) a annoncé la mauvaise nouvelle. L'ANEFB informe que Ékoué Moïse, ancien sélectionneur des Guépards du Bénin est décédé dans la journée de dimanche 08 décembre.
Ékoué Moïse a été également le directeur technique national de la Fédération Béninoise de Football.
L'ANEFB présente ses condoléances à la famille éplorée.
J.S
Au Bénin, la CRIET a rendu ce lundi 9 décembre 2024 son verdict dans le dossier de l'autoproclamé « général Faléti ». Son complice a écopé d'une peine de prison ferme mais moins sévère. Il leur est reproché des faits d'atteinte à l'intégrité du territoire national après les violences postélectorales survenues à Savè entre décembre 2019 et janvier 2020.
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Le verdict de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) est tombé dans le procès du nommé Faléti Biaou Ayodele Prudence alias « Général Faleti ». Un peu avant 18 heures, ce lundi 9 décembre 2024, le général autoproclamé Faléti et son complice ont été reconnus coupables des faits « d'atteinte à l'intégrité du territoire national et complicité d'atteinte à l'intégrité du territoire national ».
Pour ces faits, l'autoproclamé général Faléti a été condamné à dix (10) ans de prison ferme et son complice Alfred Agani a écopé de 58 mois fermes et de deux millions FCFA d'amendes.
Lors de l'audience du lundi 4 novembre, le ministère public a présenté les faits reprochés aux deux prévenus. Selon le parquet spécial de la CRIET, les faits reprochés aux prévenus se sont déroulés entre décembre 2019 et janvier 2020. Le prévenu Faléti a fait publier sur les réseaux sociaux des vidéos appelant à la révolte et à l'insurrection contre les autorités béninoises et les Forces de défense et de sécurité.
Alors que les sages de Savè étaient venus chez le nommé Alfred Agani chez qui l'autoproclamé général a trouvé refuge, ce dernier a fait usage de son arme. Selon le ministère public, c'est grâce à cet agissement de Alfred Agani que le général autoproclamé Faleti a pu se soustraire. Les deux prévenus ont fait également usage de pratiques mystiques et de fusils artisanaux pour bloquer la route inter-Etat et pour s'en prendre aux forces de l'ordre.
Le ministère public avait alors demandé à la cour de retenir dans les liens de la prévention des faits d'atteinte à l'intégrité du territoire national le nommé Prudence Faleyti Biaou. Il avait requis à son encontre dix (10) ans de prison ferme et cinq (5) millions FCFA d'amendes.
Quant à Alfred Agani, présenté comme un chasseur, le procureur avait demandé de le retenir pour complicité et de le condamner à 55 mois de prison ferme et un million FCFA d'amendes.
Quatre ans d'instruction à la CRIET
Dans ce dossier, les deux prévenus comparaissent après l'ordonnance de la commission d'instruction de la CRIET qui les renvoie devant la chambre de jugement de la CRIET. Les deux prévenus ont toujours plaidé non coupable des faits mis à leur charge.
Au début de l'affaire, douze personnes, dont le nommé Faleti Biaou Ayodele Prudence, surnommé « Général Falleti » et le défunt Latif Radji, ont été interpellées par la police républicaine dans le centre du Bénin à la suite des violences post-électorales de 2019 et 2020. Elles sont toutes placées en détention préventive et renvoyées devant la commission d'instruction de la CRIET.
Après 4 ans d'instruction, neuf personnes ont bénéficié d'un non-lieu partiel le lundi 30 septembre 2024. L'action publique a été déclarée éteinte à l'endroit du nommé Latif Radji, décédé en prison. Seuls deux prévenus, dont le Général Falleti lui-même, ont été renvoyés en jugement, selon l'ordonnance de la commission d'instruction de la CRIET.
Des violences au centre du Bénin
Selon les faits, ces 11 personnes avaient attaqué la route nationale inter-Etat 2 de Savè entre décembre 2019 et janvier 2020. Ces attaques, qui ont eu lieu pendant les violences post-électorales, ont entraîné des morts et des blessés graves parmi les forces de sécurité et de défense, en plus de bloquer la circulation.
Ces violences ont suivi l'arrestation d'un proche allié du « Général Faleti ». Ce dernier avait alors ouvert le feu sur les forces de l'ordre venues l'interpeller.
Le « Général Faléti », de son vrai nom Faléti Biaou Ayodélé Prudence, a été arrêté le jeudi 23 janvier 2020 à Parakou dans un centre d'hébergement. Selon la police, il est le chef d'un groupe organisé ayant commis des actes de violence et de vandalisme dans les régions situées au centre du pays, notamment à Savè. Âgé de 34 ans, le « Général Faléti » et sa bande s'en prennent aux populations et les empêchaient de vaquer librement à leurs occupations.
La police avait indiqué que des pillages ont été perpétrés dans diverses localités situées dans le centre du Bénin, y compris sur un véhicule du cortège du président de la Cour Suprême se rendant à Parakou le 9 janvier 2020, au cours duquel des documents importants ont été emportés.
Faleti et ses hommes ont également attaqué les forces de défense et de sécurité, les défiant avec des « armes automatiques » lors des événements de Savè, selon la police. Ils avaient aussi proféré ouvertement des menaces à l'encontre des autorités et de diverses personnalités béninoises dont le président Patrice Talon.
Découverte macabre, ce lundi 09 décembre 2024, à Maïboui dans l'arrondissement de Doutou, commune de Houéyogbé, département du Mono.
Les élèves du CEG 3 de Doutou dans la commune de Houéyogbé ont retrouvé un corps sans vie devant leur établissement dans la matinée de ce lundi 09 novembre 2024.
Il s'agit du corps d'un homme avec un visage ensanglanté. Les causes et les circonstances du décès de la victime ne sont pas encore connues.
M. M.
L'Indice Harmonisé des Prix à la Consommation (IHPC) pour le mois de novembre 2024 au Bénin a enregistré une hausse de 0,3%, s'établissant à 111,0 contre 110,6 le mois précédent. Cette augmentation est principalement due à l'augmentation des prix dans deux secteurs majeurs : les « Produits alimentaires et boissons non alcoolisées » et « Logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles ».
Selon le bulletin mensuel des prix publié le 7 décembre 2024 par l'Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSTAD), la hausse de l'Indice Harmonisé des Prix à la Consommation (IHPC) au Bénin au mois de novembre 2024 est essentiellement imputable à l'augmentation des prix des biens des fonctions de consommation « Produits alimentaires et boissons non alcoolisées » (+0,9%) et « Logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » (+0,6%).
Les principaux groupes de biens dont les prix ont contribué à cette hausse sont : « Poissons » (+7,4%), liée à une baisse de l'offre du produit sur les marchés ; « Huiles » (+5,2%), en raison de la hausse des prix de l'huile de palme et de l'huile de coton ; « Combustibles solides et autres » (+1,7%), à cause de la baisse de l'offre du bois de chauffe sur les marchés.
L'évolution observée sur le mois a été modérée par la baisse des prix des groupes de produits : « Légumes frais en fruits ou racines » (-3,6%), en lien avec la saison de l'aubergine, du gombo frais, du concombre et du poivron frais.
En comparaison à mai 2024, les prix ont diminué de 2,0%, sous l'effet essentiellement de la forte baisse au niveau des « Produits alimentaires et boissons non alcoolisées » (-5,1%).
En glissement annuel, par rapport au même mois de l'année dernière, la variation de l'IHPC est de +0,6% contre +2,1% un mois plus tôt.
Suivant la nature et l'origine du produit, en variation mensuelle, les prix des « produits frais » et ceux des « produits énergétiques » ont tous augmenté respectivement de 1,0% et de 0,2%.
En glissement annuel, les prix des « produits frais » et ceux des « produits énergétiques » ont tous baissé respectivement de 2,3% et de 3,7%.
En variation mensuelle, les prix des « produits importés » et ceux des « produits locaux » sont en hausse respectivement de 0,1% et de 0,5%. En glissement annuel, les prix des « produits importés » sont demeurés stables alors que, ceux des « produits locaux » ont tous augmenté de 0,8%.
Quant au taux d'inflation au niveau national au titre du mois de novembre 2024, il est ressorti à +1,2%, soit le même niveau par rapport à celui du mois précédent.
M. M.
Dans le cadre des Journées Nationale et Internationale de lutte contre la corruption, célébrées les 8 et 9 décembre 2024, le Haut-Commissaire à la prévention de la corruption a délivré une déclaration solennelle.
Le Haut-Commissaire a ouvert son discours en rappelant l'ampleur des défis socio-économiques auxquels le monde est confronté, défi souvent aggravé par la corruption. Selon lui, ce phénomène a des répercussions directes sur les populations, en freinant la croissance économique et le développement social. Il a également souligné l'importance des initiatives mondiales, notamment la Déclaration de Doha adoptée lors du 13ème Congrès des Nations Unies pour la prévention du crime, qui insiste sur l'éducation comme outil.
« (…) La place de l'éducation, comme vecteur de changement dans une société, n'est plus à démontrer. Elle est donc fondamentale pour prévenir la corruption. Elle doit commencer au niveau des enseignements maternel et primaire, et se poursuivre durant tout le cursus secondaire et universitaire ; l'objectif poursuivi étant de conduire et d'accompagner les enfants et les jeunes à développer et à cultiver l'intégrité », a indiqué Jacques Migan, Haut-Commissaire à la prévention de la corruption au Bénin.
La célébration du 21e anniversaire de la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) cette année, selon le Haut-Commissaire, témoigne de la détermination de la communauté mondiale à combattre la corruption sous toutes ses formes et partout.
Il n'a pas manqué de rappeler l'engagement du Bénin dans la lutte contre le fléau.
M. M.
LIRE LA DECLARATION
Déclaration solennelle de Monsieur le Haut-Commissaire dans le cadre des Journées nationale et internationale de lutte contre la corruption – 08 et 09 décembre 2024
Béninoises et Béninois,
Chers compatriotes,
Le monde est confronté à des défis socioéconomiques dont beaucoup sont liés à la corruption. Partout, elle affecte les populations qui en subissent les effets ; fait obstacle à la croissance économique et au développement socio-économique.
Dans ce contexte, la Déclaration de Doha, adoptée au 13ème Congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale, souligne l'importance essentielle d'une éducation universelle pour les enfants et les jeunes pour prévenir le crime, le terrorisme, la corruption et promouvoir les objectifs de développement durable (ODD).
C'est pour cette raison que les pouvoirs publics béninois ont fait le choix de s'inscrire dans une action préventive afin de lutter efficacement contre de tels fléaux. C'est la raison d'être du Haut-Commissariat à la prévention de la corruption en République du Bénin qui a choisi de faire de l'éducation et de la sensibilisation, des axes importants de son action.
En effet, la place de l'éducation, comme vecteur de changement dans une société, n'est plus à démontrer. Elle est donc fondamentale pour prévenir la corruption.
Elle doit commencer au niveau des enseignements maternel et primaire, et se poursuivre durant tout le cursus secondaire et universitaire ; l'objectif poursuivi étant de conduire et d'accompagner les enfants et les jeunes à développer et à cultiver l'intégrité.
Il est à noter que l'Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) a également choisi comme thème central de travail cette année « S'unir avec la jeunesse contre la corruption : former l'intégrité de demain » nous confortant dans le choix de notre propre thématique.
La campagne pour la Journée internationale de lutte contre la corruption 2024 met l'accent sur le rôle que jouent les jeunes dans le cadre de l'intégrité en les sensibilisant sur la corruption et son impact sur leurs communautés.
Cette année, le monde célèbre le 21e anniversaire de la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC), qui témoigne de la détermination de la communauté mondiale à combattre la corruption sous toutes ses formes et partout. Depuis l'adoption de cet instrument, le monde a réalisé des progrès considérables. Notre pays aussi. Mais, des défis demeurent.
Les Journées nationale et internationale contre la corruption doivent être l'occasion pour nous de réfléchir et de nous recentrer sur une nouvelle stratégie de prévention.
C'est notre engagement en vue de contribuer, aux côtés des pouvoirs publics, à donner à chaque béninoise et à chaque béninois un devenir meilleur.
Ensemble, cultivons l'intégrité !
Vive le Bénin débarrassé de toutes formes de corruption !
Vive la jeunesse en lutte contre la corruption !
Je vous remercie
John Dramani Mahama, le président élu le 7 décembre 2024 au Ghana a reçu les félicitations du Bénin. C'est à travers une publication du Ministère béninois des Affaires étrangères.
« Le Bénin félicite le peuple ghanéen pour cette belle démonstration de démocratie lors de l'élection présidentielle du 7 décembre 2024 », a indiqué le Ministère des Affaires étrangères, le 8 décembre 2024 dans une publication sur ses canaux digitaux.
De « chaleureuses félicitations » ont été également adressées au « National democratic congress (Ndc) et à John Dramani Mahama », par le Bénin qui entend œuvrer « pour une Afrique unie, démocratique et intégrée, tournée vers la prospérité partagée ».
John Dramani Mahama, l'ancien président du Ghana, a remporté l'élection présidentielle du samedi 7 décembre 2024 face à son challenger, l'actuel vice-président sortant Mahamudu Bawumia.
M. M.
La campagne nationale de vaccination contre la rougeole et la rubéole a démarré ce lundi 09 décembre 2024.
“Vacciner votre enfant, c'est protéger sa santé”. C'est le slogan de la campagne de vaccination contre la rougeole et la rubéole qui se déroule du lundi 09 décembre au dimanche 15 décembre 2024 sur toute l'étendue du territoire national.
La campagne est couplée à « la supplémentation en vitamine A, au déparasitage et au grand rattrapage vaccinal ». Elle concerne les enfants âgés de six (6) à cinquante-neuf (59) mois.
Le Bénin bénéficie du soutien des partenaires dont l'OMS, Gavi, l'USAID et l'UNICEF dans le cadre de cette campagne pilotée par l'Agence Nationale des Soins de Santé Primaire (ANSSP).
M. M.
La Béninoise est désormais disponible en canettes. Emporte-la partout avec toi dans tous tes moments spéciaux.
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Voir en ligne : www.sobebra.bjLa filiale béninoise du Groupe United Bank for Africa (UBA) a de nouveau fait sensation en remportant, pour la troisième fois, le prestigieux titre de "Banque de l'année 2024". Ce prix a été décerné le 4 décembre 2024 à Londres (Royaume Uni) lors des Bank of the Year Awards.
En cette année 2024, cinq filiales du groupe panafricain UBA ont été récompensées dans leurs pays respectifs, incluant le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Mali et la Zambie lors Bank of the Year Awards organisés par le magazine britannique The Banker.
Le sacre d'UBA Bénin en tant que "Banque de l'année" met en avant la transformation numérique significative opérée par la banque dans le secteur bancaire. L'économie béninoise, en pleine révolution numérique, bénéficie d'importants investissements dans les infrastructures technologiques, et le secteur bancaire ne fait pas exception. UBA Bénin, acteur clé dans cette évolution, participe activement à l'amélioration des services financiers du pays en développant des solutions numériques facilitant l'accès aux services bancaires à l'échelle nationale.
Innovations et accessibilité
UBA Bénin a mis en place plusieurs innovations majeures. L'une des plus remarquables est le lancement d'une application mobile révolutionnaire qui permet l'ouverture instantanée de comptes bancaires en scannant des documents. Cette application facilite également la création de comptes d'épargne à distance, une véritable avancée pour les clients béninois.
Charles Kone, directeur général de UBA Bénin, explique : « Nous avons centré notre stratégie sur nos atouts numériques. Nous avons mis en place une infrastructure digitale solide pour offrir des produits et services qui allient accessibilité, sécurité et praticité. Nos clients recherchent des solutions bancaires simples et efficaces qui facilitent leur quotidien ».
UBA Bénin s'est également distinguée en lançant le premier système de paiement mobile par une banque béninoise : B-MO (Bestcash Money), qui permet un paiement mobile simple et sécurisé, sans aucune barrière. Cette solution, accessible à tous, a pour objectif de démocratiser l'usage du paiement mobile dans le pays.
Dans une démarche inclusive, UBA Bénin a également innové en permettant à ses clients et à ceux de ses partenaires de retirer de l'argent dans ses distributeurs automatiques, même via des plateformes de paiement mobile comme MoMo ou Moov Money. Cette fonctionnalité offre un accès continu à l'argent liquide 24h/24 et 7j/7, une avancée considérable par rapport aux horaires limités des agences bancaires traditionnelles.
L'inclusion financière a aussi été au cœur de la stratégie de la banque. « Grâce à notre programme d'inclusion financière, nous avons ouvert près de 800 000 comptes d'épargne en ligne pour des clients, principalement issus des zones rurales. Cette initiative permet à cette population d'accéder aux services bancaires à distance, tout en générant des économies de coûts importantes », ajoute Charles Kone.
Avec cette nouvelle distinction, UBA Bénin confirme son positionnement de leader et ses efforts pour façonner l'avenir du secteur bancaire au Bénin et en Afrique.
A propos du Groupe United Bank for Africa (UBA)
Forte d'une histoire de plus de 7 décennies, UBA est l'une des banques les plus importantes et les plus reconnues d'Afrique subsaharienne. UBA est présente dans 20 pays africains, au Royaume-Uni, aux États-Unis, aux Émirats arabes unis et possède un bureau de représentation en France.
UBA propose des services bancaires aux entreprises, aux PME et aux particuliers (de détail) à plus de 45 millions de clients, servis par le biais de divers canaux : plus de 1 000 bureaux d'affaires et points de contact avec 2 669 distributeurs automatiques de billets, 87 223 points de vente et des services bancaires en ligne robustes. En outre, UBA propose des services de garde de pensions et des services connexes.
La banque a prouvé son expertise et ses capacités dans des secteurs clés des économies africaines, en particulier dans le pétrole et le gaz, le financement des infrastructures, l'agriculture et les matières premières/exportations, ce qui nous positionne comme un partenaire privilégié pour des solutions structurées pour les principaux gouvernements et entreprises opérant en Afrique.
M. M.
Au Bénin, le maire à l'obligation de signaler des événements survenus sur son territoire de compétence et qui sont susceptibles d'affecter la santé des populations. (Liste)
« Tout évènement de santé publique susceptible de constituer une menace pour la santé des populations est porté, sans délai, par déclaration verbale du maire, à la connaissance du préfet. Le maire en informe le médecin chef ou le responsable du service de Santé animale de la commune, selon le cas. Le préfet notifie oralement et sans délai, la déclaration du maire au ministre chargé de la Décentralisation et au ministre chargé de la Santé. La déclaration est formalisée par écrit du maire au préfet. Une copie de cette déclaration est transmise, sans délai, au ministre chargé de la Santé par le ministre chargé de la Décentralisation. Le ministre chargé de la Santé saisi, met en œuvre le dispositif de la riposte appropriée », stipule l'article 3 du décret n° 2024- 1303 en date du 06 novembre 2024.
Les événements à déclarer comme menace à la santé des populations, selon le décret, sont : « l'apparition d'un cas d'une maladie transmissible et contagieuse à potentiel épidémique ; une épidémie ; une grande inondation, un incendie de grande ampleur ou toute catastrophe naturelle ; une série de décès de personnes humaines de causes non encore élucidées dans une population donnée ; la découverte de cadavres d'animaux sans cause avérée du décès ; un accident de la circulation de grande ampleur entrainant plusieurs blessés ou morts ; le renversement de véhicules transportant des produits dangereux ; un déplacement subit de plusieurs personnes d'une seule localité du territoire national ou provenant d'un État voisin vers une localité du territoire national ; l'utilisation, par des personnes non averties, de produits chimiques dangereux et prohibés en quantité importante ; la découverte de quantités importantes de produits manufacturés impropres à la consommation, mais en vente ou ensevelis dans une localité par des personnes non qualifiées ; le constat fait par un ou plusieurs pharmaciens de la sollicitation par la population, d'un produit habituellement peu demandé ».
Signé conjointement par le président de la République Patrice Talon ; Yvon Détchénou, le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et de la Législation et Benjamin Ignace B. Hounkpatin, le ministre de la santé, le décret fixant les modalités et conditions de déclaration, par les maires, des évènements susceptibles de constituer une menace pour la santé des populations vient en application aux dispositions de la loi n° 2020-37 du 03 février 2021 portant protection de la santé des personnes en République du Bénin, telle que modifiée par la loi n° 2022-17 du 19 octobre 2022.
M. M.
LIRE LE DECRET
La ville historique de Ouidah a vibré, le samedi 7 décembre 2024, au rythme de la 129e édition de la fête identitaire ‘' Gléxwé Xwé''. La célébration a réuni des filles, fils et sympathisants de Ouidah, des têtes couronnées, députés et autorités à divers niveaux.
La fête identitaire Gléxwé Xwé, édition 2024 a été célébrée dans la sobriété avec des actions concrètes pour le développement socio-économique de la commune. L'événement a été organisé par l'Union Générale pour le Développement de la commune de Ouidah (UGDO). « Ouidah s'ouvre au monde et avec les grands projets qui se déroulent dans notre ville, nous avons l'obligation de suivre la cadence et c'est pour cela que l'édition 2024 de Gléxwé Xwé a voulu être sobre en festivités mais avec un grand impact pour l'amélioration des conditions de vie des communautés à la base », a affirmé Dr Victor Gbedo, Président du Comité d'organisation Gléxwé Xwé.
La 129e édition des retrouvailles des filles et fils de Ouidah (3e édition depuis la refondation de l'UGDO) a permis de mener des activités socio communautaires dans au moins 6 localités. Il s'agit de Adjra Hounvè, Ahozon, de Gakpé, de Savi Ouèssè, Houakpé-Daho et de Kindjito. Plus de 200 tables bancs ont été distribués dans les écoles et collèges de la commune. Des blocs de latrines ont été réalisés au centre de santé de Kindjito et au centre de formation professionnelle de Pahou à Adjra Hounvė. « Des kits solaires pour les ménages démunis et des équipements de transformation pour nos braves femmes productrices de sel et de gari ont été offerts par l'UGDO », informe le Vice-président du Conseil d'administration Servais Adjovi, représentant du Président de l'UGDO.
La fête identitaire a été également l'occasion de procéder à la réhabilitation du Monument de la cité historique et à l'aménagement d'un jardin lumineux a Vassého. Selon le représentant du Président de l'UGDO « ces trois objectifs se retrouvent dans l'architecture organisationnelle de Gléxwé Xwé pour laquelle l'UGDO apporte chaque année des innovations pour les concrétiser ».
Dans son intervention, le maire de Ouidah, Christian Houétchénou, a salué les efforts de l'UGDO et du comité d'organisation. « Aujourd'hui, nous vivons une transformation, une transfiguration profonde et totale de notre cité et même la fête que nous organisons en est un témoignage », a déclaré le maire de la commune de Ouidah, Christian Houétchénou. Il a félicité le bureau du conseil d'administration de l'UGDO qui travaille depuis trois ans inlassablement aux côtés des autorités de la mairie afin de relever les défis qui incombent à Ouidah. « Je reste convaincu que la nouvelle marche que nous avons décidé de faire ensemble dans la solidarité et la fraternité, nous conduira à bon port et permettra de résoudre progressivement mais assurément les problèmes de nos frères et sœurs et de bâtir une cité Ouidah prospère (…) », a ajouté le maire de la commune de Ouidah.
Ouidah, avec son patrimoine riche et varié s'impose de plus en plus comme un pôle touristique majeur grâce aux actions du gouvernement béninois. Le député Maxient Djeigo s'est réjoui de l'implication des autorités politico administratives ainsi que des populations dans le développement de Ouidah. « Depuis que le bureau de l'UGDO a été reconstitué, nous avons une approche inclusive (…). Nous arrivons à mobiliser toutes les forces vives de Ouidah afin que chacun puisse apporter sa contribution au développement de Ouidah », a confié le député.
Pour l'ex-député et directrice de l'Institut Parlementaire du Bénin, Sèdami Medegan Fagla, Gléxwé Xwé reste un moment d'union et de communion pour les filles et fils de Ouidah.
Au-delà des réalisations socio communautaires, la célébration de Gléxwé Xwé a été entre autres marquée par des messes, campagne de salubrité, foire, pique-nique spectacles et animations culturelles, match de football et un concert géant.
L'édition 2024 de Gléxwé Xwé (du 4 au 8 décembre) a démontré que l'union des filles et fils de Ouidah, combinée aux actions structurantes de l'UGDO peut transformer durablement la ville. La synergie entre les autorités locales, les communautés, et les partenaires privés favorise le développement socio-économique de Ouidah.
Akpédjé Ayosso
Les gros grains du championnat professionnel béninois n'ont pas eu la tâche facile ce week-end. C'est notamment lors de la 11e journée de la Ligue Pro. Chez lui, Dadjè FC a été devancé par Damissa FC 2-0. De son côté, Loto Popo qui était en déplacement a subit le même sort sur le même score face à Dynamo d'Abomey. Après sa défaite lors de la dernière journée, le champion en titre s'est contenté d'un nul à l'occasion de cette 11e journée. Coton FC et JSP ont fait nul sur score vierge.
Un match n'a pu être disputé ce weekend. C'est celui qui devrait opposer AYEMA FC à REQUINS FC. La rencontre est reportée.
Les résultats de cette 11e journée :
AZIZA FC (0-2) SOBEMAP
DADJÈ FC (0-2) DAMISSA FC
PANTHÈRES (1-0) BANI GANSÉ FC
TAKUNNIN (2-0) ESPOIR SAVALOU
AS TONNERRE (2-0)DYNAMO P
AS COTONOU (1-1) ASPAC
JSO (2-0) ADJIDJA FC
SITATUNGA FC (1-0) JAK
BOA FC (1-1) ABEILLES FC
BUFFLES FC (0-0) HODIO FC
DYNAMIQUE FC (0-1) BÉKÉ FC
DYNAMO D'ABOMEY (2-0) LOTO-POPO
RÉAL SPORT (1-1) CAVALIERS FC
AS POLICE (1-3) DRAGONS FC
AVRANKOU OMN (0-2) USS KRAKÉ
ÉTOILES FILANTES (1-3) ASVO
JSP (0-0) COTON FC
J.S
Au Bénin, un homme qui faisait chanter des femmes sur Tiktok en se faisant passer pour une lesbienne pour faire chanter de vraies lesbiennes sur Tiktok est poursuivi devant la CRIET. L'homme risque désormais cinq (5) ans de prison ferme et un million FCFA d'amendes. C'est la réquisition du ministère public lors de l'audience du jeudi 21 novembre 2024.
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Un homme qui aimait se faisait passer pour une jeune femme lesbienne sur Tiktok va répondre de ses faits devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Jeudi 21 novembre 2024, le prévenu poursuivi pour s'être fait pour une lesbienne a comparu devant les juges. Il répond de deux chefs d'accusation : escroquerie via internet et harcèlement par le biais d'un système.
Selon le ministère public, le prévenu utilisait le réseau social Tiktok pour appâter de vraies jeunes femmes lesbiennes. Son mode opératoire, il contacte ses victimes en faisant passer pour une lesbienne à la recherche de partenaires. Ce présumé cybercriminel réussissait ensuite à gagner la confiance de ses victimes qui lui envoyaient des nudes. Plus d'une dizaine de vidéos de nudes ont été retrouvées dans son téléphone.
Une fois, les vidéos des nudes en sa possession, il faisait chanter ses victimes contre de l'argent. Pour ne pas voir sa vidéo diffusée sur internet, chaque victime devrait payer cinquante cinq mille (55 000) FCFA, selon le procureur.
Convoquée à la barre, la fausse lesbienne a reconnu les faits qui lui sont reprochés par le parquet spécial de la CRIET. Il a expliqué à la Cour qu'il arnaquait les lesbiennes sur Tiktok afin de les décourager et de les montrer que le lesbianisme était contre les valeurs africaines.
Le parquet spécial de la CRIET a demandé à la Cour de retenir la fausse lesbienne dans les liens de la prévention des faits d'escroquerie et de harcèlement par voie électronique. Il a requis à son encontre cinq (5) de prison et un million FCFA d'amendes. Le verdict de son procès a été renvoyé au jeudi 30 janvier 2024, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Après une première phase de 31km de voirie, 60 nouvelles rues sont en cours de construction à Abomey-Calavi, dans le cadre de la phase 2 du projet asphaltage.
Le réseau routier en pleine modernisation à Abomey-Calavi, ville dortoir de milliers de fonctionnaires exerçant à Cotonou, la capitale économique du Bénin. A travers la phase 2 du projet asphaltage, notamment les lots 10B1 et 10B2, plusieurs rues seront bientôt reconstruites.
Le lot 10B1 de cette seconde phase selon le gouvernement, prend en compte 12 rues principales et 6 bretelles pour un linéaire total de 25,97 Km. 75% de ce linéaire est constitué de voiries bitumées et le reste des voiries pavées. Les axes concernés sont les suivants : Pavés Parana-Carrefour Séminaire-Carrefour Aïtchédji-Carrefour Satellite-Carrefour Zoundja-Croisement suite voie KEREKOU y compris ses bretelles ; RNIE 2 (en face du domaine des Témoins Jéhovah) - Domaine du Génie militaire ; Carrefour Satellite - Cite Administrative y compris ses bretelles ; EPP Amangasa - Carrefour Séminaire ; Rue 300-12 - Hôpital St Augustin ; Bretelle Clôture Témoins Jéhovah - Rue 300-16 ; Bretelle 2 bis ; Voirie Cité CNSS ; Ceinture du Cimetière PK14 ; Carrefour IITA - Carrefour Tankpè (Réhabilitation) ; Carrefour Togoudo - Allègléta (Réhabilitation) et Bretelle 100-1Y. Les travaux de ce lot ont démarré le 25 février 2024, et dureront 30 mois.
Selon les services de communication du gouvernement, trois rues primaires sont prévues pour être aménagées en deux fois deux voies. Il s'agit de la rue qui part de la RNIE 2 (en face du domaine des Témoins Jéhovah) et qui mène au domaine du Complexe de défense de Calavi, et la voie bitumée qui part du marché de gros et mène jusqu'à la voie pavée de Parana en passant par le Carrefour Satellite, le Carrefour Aïtchédji et le Carrefour Séminaire ; la plus longue du lot qui s'étend sur un peu moins de 8 kilomètres.
La troisième rue principale est celle qui mène à la Cité administrative en cours de réalisation à Ahossougbéta, lorsqu'on quitte le Carrefour Satellite. Il y est également prévu l'aménagement de plusieurs bretelles aux fins de régler le problème de circulation des riverains et celui de l'assainissement de la zone, renseigne une publication du gouvernement.
Pour ce qui concerne le lot 10B2, il est composé de 03 rues principales et de plusieurs bretelles. Il s'agit notamment de la Voie pavée Versailles - Voie pavée Privilège ; Carrefour Arconville - Pavé ICC et le Remplacement (remise en état) de Grilles avaloirs, tampons de regards et de dallettes de caniveaux pour un total de 48 rues en tout.
Outre ces grands chantiers de route, la commune d'Abomey-Calavi sous la gouvernance du président Talon a bénéficié de grands projets de développement, notamment le Centre hospitalier international (CHIC), une Cité administrative, les 20.000 logements de la Cité moderne de Ouèdo, le marché de Gros et très bientôt le Contournement Nord de Cotonou, et plusieurs autres projets.
F. A. A.