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Updated: 1 day 13 hours ago

L'Afrique doit adopter le système d'échange de droits d'émission de carbone

Thu, 03/09/2023 - 19:00

Les projets climatiques qui bénéficient de ce système vont du reboisement et de la conservation des forêts aux énergies renouvelables et aux pratiques agricoles qui stockent le carbone

Par NJ Ayuk, président exécutif, Chambre africaine de l'énergie (http://www.EnergyChamber.org)

L'un des résultats les plus prometteurs de la conférence sur le climat COP27 de novembre dernier a été le lancement de l'Initiative africaine sur les marchés du carbone (ACMI). Cette initiative, dirigée par l'Afrique, vise à accroître considérablement la participation du continent aux marchés volontaires du carbone.

Les marchés du carbone sont des plateformes d'échange de droits d'émission de carbone : l'achat et la vente de crédits qui permettent à des entités de rejeter une quantité donnée de dioxyde de carbone ou d'autres gaz à effet de serre. Essentiellement, l'échange de droits d'émission permet aux pays (ou aux entreprises) de financer des projets qui réduisent les émissions au lieu de réduire leurs propres émissions.

Les projets climatiques qui bénéficient de ce système vont du reboisement et de la conservation des forêts aux énergies renouvelables et aux pratiques agricoles qui stockent le carbone.

La Chambre africaine de l'énergie, comme d'autres défenseurs, est enthousiasmée par le potentiel de l'échange de droits d'émission de carbone à stimuler l'investissement dans les technologies et les projets verts, en particulier dans les pays en développement. Nous sommes optimistes quant à la perspective de voir le système d'échange de carbone conduire à davantage d'investissements dans les projets climatiques africains, ce qui pourrait aider les États africains à générer les revenus nécessaires à la mise en place d'un secteur des énergies renouvelables.

Cependant, nous sommes préoccupés par le fait que l'Afrique n'est pas incluse dans le commerce mondial du carbone dans la mesure où elle devrait l'être. Selon Good Governance Africa, seuls 2 % environ des projets climatiques mondiaux financés par le commerce du carbone se trouvaient sur notre continent, et la majorité d'entre eux ont eu lieu en Afrique du Sud et dans la région de l'Afrique du Nord.

Comme je l'ai indiqué dans mon livre récemment publié, « Une transition juste : Résorber la pauvreté énergétique grâce au mix énergétique », certains affirment que nous n'avons tout simplement pas la volonté politique de saisir cette opportunité. D'autres affirment que nous ne disposons pas de la technologie nécessaire ou que nous avons besoin d'un cadre réglementaire pour aller de l'avant. Je pense qu'il y a une part de vérité dans toutes ces affirmations, mais nous devons trouver des moyens de surmonter ces obstacles.

La création de l'ACMI est certes très prometteuse, mais il reste encore beaucoup à faire pour que l'Afrique tire pleinement parti de ce que le commerce du carbone a à offrir. Nous devons commencer dès maintenant.

Limiter la participation de l'Afrique au marché du carbone est une grave erreur. Ce serait une occasion manquée pour notre continent que nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre.

L'utilité du système d'échange de quotas d'émission de carbone

En 1997, la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques a établi le protocole de Kyoto pour réduire les émissions mondiales de carbone en obligeant les pays à limiter les gaz à effet de serre en fonction d'objectifs individuels. Le protocole demande aux pays participants d'essayer d'abord d'atteindre leurs objectifs en matière d'hydrocarbures par des mesures nationales, mais s'ils n'y parviennent pas, le protocole leur permet d'atteindre leurs objectifs par le biais du marché. Si un pays émet plus que son objectif, il peut acheter des « crédits excédentaires » à ceux qui ont atteint leurs objectifs.

Le concept de base est que l'endroit où les émissions sont réduites n'a pas d'importance, il suffit qu'elles soient éliminées de l'atmosphère.

D'un point de vue écologique, le commerce du carbone soutient les objectifs de réduction des émissions, et ce en favorisant une situation gagnant-gagnant : Un émetteur d'hydrocarbures peut dépasser son objectif, à condition d'acheter des permis ou des crédits générés par des projets de réduction des émissions. Dans le cadre d'une transaction typique, un pays industrialisé investit ses crédits dans des projets environnementaux dans les pays en développement, ce qui permet également d'accélérer la mise en place d'infrastructures plus récentes et plus propres auxquelles ces régions n'auraient peut-être jamais eu accès ou qu'elles n'auraient jamais eu les moyens de mettre en place.

Les ramifications de cette situation sont profondes.

Prenons l'exemple de ce que l'International Emissions Trading Association a déclaré en 2019 sur le potentiel du commerce du carbone à couvrir les coûts des contributions déterminées au niveau national (CDN) des pays africains, c'est-à-dire ce qu'ils se sont engagés à faire pour lutter contre le changement climatique dans le cadre de l'Accord de Paris.

« La coordination transfrontalière sous forme d'échange de droits d'émission de carbone pourrait réduire de moitié le coût de la mise en œuvre des CDN d'ici à 2030, ce qui permettrait de réduire les émissions de 50 % de plus, sans coût supplémentaire. »

D'un point de vue économique, l'échange de droits d'émission de carbone est un mécanisme brillant parce qu'il tient compte de la réalité du monde : Certaines nations ou régions du monde (généralement les zones industrialisées) ne peuvent ou ne veulent pas réduire suffisamment leurs émissions, tandis que d'autres (principalement les économies en développement) produisent beaucoup moins d'émissions. L'échange de crédits de carbone en tant que marchandise répond aux besoins et aux objectifs des pays industrialisés et des pays en développement.

L'Afrique doit tirer parti de l'échange de droits d'émission de carbone

Outre les possibilités environnementales, l'échange de droits d'émission de carbone est aussi une vache à lait.

Le marché de l'échange de droits d'émission de carbone s'est considérablement développé depuis sa création : En 2021, la valeur des crédits carbone échangés atteignait 851 milliards de dollars. Il existe aujourd'hui environ 70 instruments de tarification du carbone (IPC) dans le monde, y compris des taxes et des systèmes d'échange de droits d'émission, qui concernent environ 23 % des émissions mondiales.

Il est fascinant de constater que la réduction des émissions de carbone est désormais suivie et échangée comme n'importe quelle autre marchandise. Et il est clair qu'il s'agit d'un marché énorme.

Malheureusement, à ce jour, une grande partie de l'Afrique a raté le coche lorsqu'il s'est agi de participer pleinement et dans des conditions équitables aux marchés mondiaux du carbone.

Dans un récent rapport, les fondateurs de l'ACMI ont identifié certains des obstacles qui doivent être surmontés pour que l'Afrique réalise son potentiel en matière de marché du carbone. La liste est longue. En voici quelques-uns :
Un nombre limité de développeurs de projets, environ 100, opèrent en Afrique.
Le lancement de projets de crédits carbone nécessite des capitaux initiaux importants.
Il existe des défis réglementaires qui varient d'un pays à l'autre.
La fragmentation des actifs rend plus difficile le déploiement de projets climatiques à grande échelle.
Favoriser l'adhésion de la communauté peut s'avérer difficile.
La facilité de faire des affaires varie selon les pays et les communautés.
La méthodologie de conception des projets de crédit carbone n'est pas toujours adaptée aux pays africains, où les infrastructures et les technologies peuvent être limitées.
La validation et la vérification requises pour les projets de crédits carbone peuvent être coûteuses et impliquer de longs délais.
L'Afrique manque de capacités de vérification des projets.
La voie à suivre pour surmonter ces obstacles sera complexe et multiforme. Je pense qu'une étape importante sera la collaboration transfrontalière sur les marchés du carbone.

Les résultats positifs d'une telle collaboration sont visibles dans d'autres régions du monde. Le système d'échange de quotas d'émission de l'Union européenne (ETS), par exemple, s'est étendu à près de la moitié des émissions européennes depuis sa création en 2005. La Chine a lancé son propre système d'échange en 2021. L'UE est en train de planifier la liaison de son système avec le marché suisse indépendant, tandis que la Chine s'efforce de relier son système d'échange à un marché régional de pays d'Asie du Sud-Est afin d'accroître la coopération et d'améliorer l'efficacité du système.

Le moment est venu d'appeler les dirigeants des pays industrialisés à renforcer leur collaboration avec leurs collègues africains. Les grands émetteurs doivent être encouragés à canaliser les investissements - par le biais du mécanisme d'échange de droits d'émission de carbone - vers les initiatives vertes africaines.

Suivons l'exemple de la Suède et du Rwanda. Ils négocient leur propre système de financement climatique de gouvernement à gouvernement qui, au Rwanda, a déjà permis de restaurer 100 000 hectares d'écosystèmes dégradés, de créer 176 000 emplois et de fournir de l'énergie renouvelable hors réseau à 88 000 ménages. Ce partenariat a le potentiel de financer l'ambitieuse réduction de 38 % des émissions de gaz à effet de serre du Rwanda d'ici à 2030.

Nous avons besoin d'une participation africaine encore plus importante dans des collaborations de ce type.

Le leadership africain dans le commerce du carbone est une NÉCESSITÉ !

L'Afrique aurait tort de ne pas adopter l'échange de droits d'émission de carbone et de ne pas discuter avec les pays riches pour canaliser davantage d'investissements vers les projets africains de lutte contre le changement climatique. Mais surtout, les Africains doivent prendre l'initiative dans ce domaine.

En attendant une « invitation » et en n'étant pas assez pragmatique pour adopter l'échange de droits d'émission de carbone dans son intégralité, l'Afrique aura du mal à rattraper son retard par la suite.

Cela signifie que nous, les Africains, devons mener ces discussions. Nous devons également nous assurer - et être assurés - que les investissements dans les projets climatiques africains sont justes. Nous avons déjà vu des exemples de projets qui ont lésé les Africains. Il y a plusieurs années, par exemple, les agriculteurs kenyans se sont vu promettre des paiements pour le stockage du carbone dans leurs sols et dans les arbres de leurs exploitations. Mais le prix du carbone sur le marché s'est effondré et les agriculteurs n'ont pas reçu grand-chose.

La dernière chose dont nous avons besoin, c'est d'être enfermés dans un marché restrictif qui victimise l'Afrique en permettant aux investisseurs de profiter de nous. Nous devons définir la juste valeur des investissements dans les projets africains et veiller à ce que les pays riches nous paient réellement ce qu'il faut.

Cela nous ramène à l'ACMI qui a été lancée lors de la COP27. Elle s'engage à développer une approche transparente, pratique et durable des marchés du carbone pour l'Afrique. Ce faisant, elle affirme qu'elle débloquera des milliards de dollars de recettes pour les projets climatiques africains et créera plus de 100 millions d'emplois d'ici à 2050.

Je pense que les gouvernements, les entreprises, les institutions et les organisations d'Afrique devraient soutenir cette initiative et faire tout ce qui est en leur pouvoir pour accroître le rôle de l'Afrique dans l'échange de droits d'émission de carbone.

Cette démarche offre la perspective d'une contribution massive aux économies africaines, non seulement par la création d'emplois, mais aussi par l'élargissement de l'accès à l'énergie grâce aux projets d'énergie renouvelable qui bénéficient d'un financement. Dans le même temps, nous soutiendrons des causes environnementales en protégeant la biodiversité et en encourageant l'action en faveur du climat.

Ces avantages sont trop importants pour être négligés.

Categories: Afrique

La BRVM promeut l'égalité du genre face à l'innovation et la technologie

Thu, 03/09/2023 - 18:58

« Éduquer un homme, c'est éduquer un individu. Éduquer une femme, c'est éduquer toute une nation » affirmait dans les années 1920 James Emman AGGREY (18 octobre 1875 - 30 juillet 1927) intellectuel, missionnaire et enseignant ghanéen.

« Je suis tenté de dire que cette citation résume à elle seule, l'enjeu de l'égalité des genres pour un développement harmonieux des nations » a indiqué Dr Edoh Kossi AMENOUNVE, Directeur Général de la BRVM, à l'entame de son propos à l'occasion de la célébration de la Journée internationale des droits de la Femme sous le concept du « Ring the bell for gender equality » .
Le thème de l'édition 2023 de la Journée Internationale des droits des femmes qui est « Pour un monde digital inclusif : innovation et technologie pour l'égalité des genres », devrait contribuer à accélérer la réduction de l'écart persistant entre les hommes et les femmes à tous les niveaux, en raison de la place et du rôle prépondérant qu'occupe aujourd'hui le digital dans la vie.
Pour mener la réflexion et célébrer les droits de la femme à l'occasion de cette journée, la BRVM a accueilli à son siège à Abidjan et en visioconférence, plusieurs femmes chefs d'entreprises dirigeantes de sociétés et d'institutions financières, présidentes et responsables de fondations et d'associations féminines, entrepreneurs etc.
Mme Dior Latifa DIACK, Directrice Adjointe Innovation et Solutions B2B chez Orange Côte d'Ivoire a fait l'honneur à l'institution régionale d'être le Keynote Speaker pour cette édition. Pour elle, l'innovation et les technologies peuvent jouer un rôle crucial dans la promotion de l'égalité des sexes et du développement durable. Il est primordial ajoute-t- elle de travailler ensemble pour créer un monde numérique inclusif où chacun, quelle que soit son sexe, peut participer pleinement à l'économie numérique et bénéficier des avantages qu'elle offre. Cela nécessite des efforts concertés des hommes et des femmes pour développer une économie durable.
L'appropriation par la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) du concept « Ring the Bell For Gender Equality » et la signature du Women's Empowerment Principales (WEPs) en 2019 marquent l'engagement de la BRVM à promouvoir les genres pour le développement du secteur financier en général, et du Marché Financier en particulier, au sein de l'Union.
Dr AMENOUNVE a saisi l'opportunité de cette célébration pour rendre un hommage appuyé à toutes ces femmes qui contribuent à faire vivre le marché financier régional, pour leur leadership, leurs actions et pour l'exemple qu'elles constituent pour les générations actuelles et futures. En effet, des évolutions sensibles ont été réalisées en la matière au cours des dernières années sur notre marché :
1

• 03 femmes siègent désormais au Conseil d'Administration de la BRVM ;
• 03 femmes dirigent des ANB sur les 07 actives dans la sous-région ;
• Les dirigeantes des SGI, SGO, BTCC et sociétés cotées sont au nombre de vingt-deux
(22) ;
• 02 femmes président l'Association Professionnelle des SGI et des BTCC.
« Ces exemples illustrent bien la place qu'occupent actuellement les femmes dans les instances de gouvernance et de gestion de notre marché. Les efforts doivent être néanmoins poursuivis pour plus de représentativité » a conclu le Directeur Général de la BRVM.
Pour rappel, les places boursières se sont engagées, depuis bientôt une décennie, à sonner leurs cloches à travers le monde pour la promotion de l'égalité du genre sous le concept « Ring the Bell for Gender Equality », à l'occasion de la célébration de la Journée Internationale des Droits de la Femme. Ce concept né du Sustainable Stock Exchanges Initiative qui est une initiative conjointe aux Nations Unies et à plusieurs autres Organisations internationales comme le World Federation of Exchanges (WFE) dont la BRVM est membre. Elle est mise en œuvre par ONU Femmes, l'Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes avec qui la BRVM collabore depuis plusieurs années pour l'organisation de cette journée.

Categories: Afrique

Un film tourné au Bénin reçoit 03 prix au Fespaco

Thu, 03/09/2023 - 16:44

Le film "Mami Wata", tourné au Bénin a reçu trois prix à la 28e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).

Prix de la critique Africaine Paulin Soumanou Vieyra, meilleure image et meilleur décor ; ce sont les prix décernés au film "Mami Wata" réalisé par le Nigérian C.J Fiery Obasi. Le film, long métrage fiction a été tourné à Dahe, sur la plage de Grand-Popo.Dans une publication sur page Facebook, le Béninois Arnold Setohou, producteur associé sur cette œuvre a déclaré que le prix du meilleur décor "témoigne du potentiel du Bénin à accueillir des productions ambitieuses". Il met en avant la beauté, la variété des décors et la culture du Bénin. D'une durée de 1h 47, Mami Wata est sorti en janvier 2023.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

La 2ème édition du Salon du Livre Africain de Paris prévue du 17 au 19 mars

Thu, 03/09/2023 - 15:29

Le Salon du Livre Africain de Paris, plus grand événement dédié à la littérature africaine, organise sa 2ème édition en mettant à l'honneur la Guinée et en proposant la rencontre avec près de 200 auteurs et 60 éditeurs venus d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et des Caraïbes. Cette édition qui se tiendra dans la capitale du 17 au 19 mars se déroulera dans l'enceinte de la Mairie du 6ème arrondissement.

Cette nouvelle édition a pour ambition de pérenniser un rendez-vous annuel avec le livre africain et celui de la diaspora, quelque soit le genre littéraire, du livre écrit et édité en Afrique aux ouvrages et à publiés hors du continent.

« L'objectif du salon est ainsi de valoriser à la fois la pluralité de la littérature et de la culture africaine avec l'organisation d'une vingtaine de débats, d'expositions, de spectacles (slam, poésie, contes, musique) et de projections ainsi que sa richesse et son dynamisme avec la présence des nombreux auteurs africains, dont de grands noms de la littérature africaine comme Yasmina Kadhra, Souleymane Bachir Diagne, Djaïli, Amadou Amal, Nimrod, Eugène Ebodé pour n'en citer que quelques-uns », précise Erick MONJOUR, Directeur du salon.

Rendre la littérature africaine accessible en célébrant sa diversité. Ainsi, Le salon se déroulant à Paris, la littérature francophone sera évidemment mise en avant. Pour autant, aucune des littératures africaines ne sera oubliée, qu'elle soit écrite en anglais, en arabe, en portugais mais aussi dans une des 1800 langues parlées dans les cinquante-quatre pays du continent. L'occasion pour tous les participants de se plonger dans la beauté et la complexité des civilisations africaines et de découvrir certaines des nouvelles voix les plus passionnantes de leur littérature.

Ouvert à tous, le salon commencera cependant par un temps dédié aux professionnels du monde de l'édition, auteurs, éditeurs, mécènes, partenaires institutionnels et journalistes. Durant cette journée professionnelle, trois tables rondes seront organisées afin d'échanger sur des sujets sectoriels. Une partie de la matinée sera également consacrée au « Carrefour des droits », un temps de rencontre et d'échange entre les éditeurs français, européens et africains et les auteurs.

L'invité d'honneur de cette édition 2023 étant la Guinée, le Salon du Livre Africain sera heureux d'accueillir M. Alpha Soumah, Ministre de la culture, du tourisme et de l'artisanat de Guinée, Mme Aminata Kaba, Ministre de l'information et de la communication de Guinée, Mme Catherine Kathungu Furaha, Ministre de la Culture de la République Démocratique du Congo fera aussi l'honneur de sa présence, Mme Lydie Pongault, Ministre de la culture de la République du Congo, Monsieur Maurice Bandaman, ambassadeur de la Côte d'ivoire en France.

Le Salon du Livre Africain pourra également compter sur le soutien d'un ensemble de partenaires comme la Mairie du 6ème arrondissement, la Sofia, la Région Ile de France, l'Institut Français ou la Fondation Michalski, Orange Money, Editis et la Maison de l'Afrique, l'agence 35° Nord.

Pour découvrir le programme dans son intégralité, les horaires des conférences et débats, les séances de dédicaces ainsi que la liste complète des participants et s'inscrire aux tables rondes, rendez-vous sur site internet du salon : www.salondulivreafricaindeparis.com

le

Categories: Afrique

La liste des joueuses présélectionnées pour le Challenge Trophy

Thu, 03/09/2023 - 14:22

Du 11 au 15 avril 2023 aura lieu la phase zonale Challenge Trophy des équipes féminines junior et cadette de handball à Accra au Ghana.

Dans ce cadre, Basile Nouatin, directeur technique national du handball a publié la liste de 28 joueuses juniors et 31 joueuses cadettes retenues pour la préparation de la compétition. Les noms des joueuses présélectionnés ont été publiés ce mercredi 8 mars 2023.

Liste des joueuses présélectionnées}

J.S

Categories: Afrique

Le verdict de la Cour constitutionnelle attendu ce jeudi

Thu, 03/09/2023 - 13:46

C'est ce jeudi 09 mars 2023 que la Cour constitutionnelle rend sa décision sur le recours du parti Les Démocrates. La formation politique de l'opposition avait formé un recours contre l'élection des membres des commissions permanentes à l'Assemblée nationale.

Le parti Les Démocrates n'est pas représenté au sein des commissions permanentes à l'Assemblée nationale du Bénin, 9e législature. La formation politique de l'opposition au régime du président TALON a alors saisi la Cour constitutionnelle. Eric HOUNDETE et les siens estiment que la composition des commissions permanentes devraient tenir compte de l'ossature du parlement.
Les sages de la haute juridiction après examen des recours le 02 mars dernier, ont prévu rendre leur décision ce jeudi 09 mars 2023.
Tous les regards sont tournés vers la Haute juridiction.

F. A. A.

Categories: Afrique

Délai de dépôt de dossiers rallongé aux expropriés de Togbin

Thu, 03/09/2023 - 13:35

Les retardataires qui n'ont pas déposé leurs dossiers dans le cadre de la procédure d'expropriation du périmètre de la zone 4 de Togbin sont invités à le faire en vue de la clôture définitive de la procédure, informe le Ministre de l'Economie et des Finances, Président des Commissions d'Expropriation en République du Bénin, dans un communiqué en date du 09 mars 2023.

Des personnes dont les biens sont impactés par l'expropriation du périmètre devant abriter les projets d'aménagement le long de la route des pêches n'ont pas déposé leurs dossiers dans la période du 03 octobre au 02 novembre 2022.
En prélude au démarrage imminent des travaux, le Ministre de l'Economie et des Finances, Président des Commissions d'Expropriation en République du Bénin, invite ces retardataires à passer au siège de la Commission interministérielle à Fidjrossè, rue de l'Eglise Saint François d'Assises pour procéder au dépôt de leurs dossiers en vue de la clôture définitive de la procédure d'expropriation.

Il est prévu dans le cadre du projet, l'aménagement d'une piste cyclable, une promenade piétonne, des kiosques et toilettes publiques, des infrastructures de sports et loisirs dont un Boulodrome de standing international, des aménagements confortatifs, et autres.
M. M.

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Les Etats-Unis dans la dynamique de promouvoir les intérêts de sécurité communs

Thu, 03/09/2023 - 13:34

L'ambassadeur Bonnie Denise Jenkins, Sous-secrétaire d'État chargée du contrôle des armements et de la sécurité internationale a réitéré ce mercredi 8 mars 2023, l'engagement des Etats-Unis à œuvrer pour le renforcement des relations avec le Bénin dans le domaine de la sécurité. C'était lors d'une rencontre avec les professionnels des médias, en présence de l'Ambassadeur Brian Shukan.

Face à des journalistes ce mercredi 8 mars, l'ambassadeur Bonnie Denise Jenkin a fait part de la volonté des Etats-Unis de renforcer les relations avec le Bénin dans le domaine de la sécurité. Selon elle, les Etats-Unis interviennent dans le renforcement des capacités des forces de sécurité béninoises et la création d'opportunités économiques dans le Nord du Bénin.

Depuis 2021, informe-t-elle, des forces d'opérations spéciales américaines sont déployées au Bénin pour des formations d'échange avec les forces armées béninoises. Ces exercices militaires conjoints ont permis aux forces armées béninoises de veiller davantage à la sécurité des populations civiles. A cela s'ajoute la fourniture de kits de santé aux forces armées béninoises.

Selon l'Ambassadeur Brian Shukan, la sécurité au Bénin surtout dans le nord est une question qui préoccupe les Etats-Unis. Il soutient que les Etats-Unis ont fourni de l'assistance médicale aux populations qui subissent les attaques notamment avec des engins explosifs improvisés. Le diplomate relève que la question n'est pas seulement sécuritaire. A l'en croire, il s'agit également « de développement économique et social dans ces régions situées au nord du Bénin ».

« Les Etats-Unis s'engagent à améliorer non seulement la situation sécuritaire mais aussi à se focaliser sur le plan économique et social », a-t-il affirmé. L'objectif pourrait être atteint à travers une stratégie globale élaborée par le gouvernement des Etats-Unis. Elle sera mise en œuvre de concert avec les autorités du Bénin.

A Cotonou depuis ce mardi, la Sous-Secrétaire d'Etat chargée du contrôle des armements et de la sécurité internationale Bonnie Denise Jenkin va rencontrer les autorités du pays et les hauts responsables militaires. Les échanges seront axés sur les questions liées à la sécurité.

Avec les autorités béninoises, souligne-t-elle, il sera question de discuter de notre engagement commun pour promouvoir les intérêts de sécurité communs des États-Unis et du Bénin. La Sous-Secrétaire d'Etat chargée du contrôle des armements et de la sécurité internationale a remercié le diplomate Brian Shukan pour le rôle qu'il joue dans le renforcement des relations entre les Etats et le Bénin.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

Liste des AME déployés dans le Borgou, l'Alibori, la Donga et l'Atacora

Thu, 03/09/2023 - 13:34

Une troisième vague d'Aspirants au Métier d'Enseignants (AME) a été déployée dans les départements du Borgou, l'Alibori, la Donga et l'Atacora.
Voici la liste des AME

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Liste des AME déployés dans le Borgou, l'Alibori, la Donga et l'Atacora

Thu, 03/09/2023 - 13:34

Une troisième vague d'Aspirants au Métier d'Enseignants (AME) a été déployée dans les départements du Borgou, l'Alibori, la Donga et l'Atacora.
Voici la liste des AME

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Liste des AME déployés dans le Borgou, l'Alibori, la Donga et l'Atacora

Thu, 03/09/2023 - 13:34

Une troisième vague d'Aspirants au Métier d'Enseignants (AME) a été déployée dans les départements du Borgou, l'Alibori, la Donga et l'Atacora.
Voici la liste des AME

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Le journaliste Mohamed Alidou a tiré sa révérence

Thu, 03/09/2023 - 13:34

Le premier directeur de la radio ‘'Banigansé FM'' de Banikoara n'est plus. Mohamed Alidou a tiré sa révérence mercredi 08 mars 2023.

Deuil au sein de la presse béninoise. Mohamed Alidou, directeur de la radio ‘'Banigansé FM'' est mort mardi 08 mars 2023 des suites d'une maladie. Il fut journaliste de l'Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (ORTB).
Mohamed Alidou durant sa carrière, a inspiré de nombreux jeunes.
A travers son Ong APEM, il a facilité l'insertion et la réinsertion de nombreux jeunes dans les départements du Borgou et de l'Alibori.
Le journaliste décédé est un membre actif du parti Bloc Républicain dans la commune de Segbana.

F. A. A.

Categories: Afrique

Le journaliste Mohamed Alidou a tiré sa révérence

Thu, 03/09/2023 - 13:34

Le premier directeur de la radio ‘'Banigansé FM'' de Banikoara n'est plus. Mohamed Alidou a tiré sa révérence mercredi 08 mars 2023.

Deuil au sein de la presse béninoise. Mohamed Alidou, directeur de la radio ‘'Banigansé FM'' est mort mardi 08 mars 2023 des suites d'une maladie. Il fut journaliste de l'Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (ORTB).
Mohamed Alidou durant sa carrière, a inspiré de nombreux jeunes.
A travers son Ong APEM, il a facilité l'insertion et la réinsertion de nombreux jeunes dans les départements du Borgou et de l'Alibori.
Le journaliste décédé est un membre actif du parti Bloc Républicain dans la commune de Segbana.

F. A. A.

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Le journaliste Mohamed Alidou a tiré sa révérence

Thu, 03/09/2023 - 13:34

Le premier directeur de la radio ‘'Banigansé FM'' de Banikoara n'est plus. Mohamed Alidou a tiré sa révérence mercredi 08 mars 2023.

Deuil au sein de la presse béninoise. Mohamed Alidou, directeur de la radio ‘'Banigansé FM'' est mort mardi 08 mars 2023 des suites d'une maladie. Il fut journaliste de l'Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (ORTB).
Mohamed Alidou durant sa carrière, a inspiré de nombreux jeunes.
A travers son Ong APEM, il a facilité l'insertion et la réinsertion de nombreux jeunes dans les départements du Borgou et de l'Alibori.
Le journaliste décédé est un membre actif du parti Bloc Républicain dans la commune de Segbana.

F. A. A.

Categories: Afrique

Un jeune homme retrouvé mort à Dogbo

Thu, 03/09/2023 - 12:16

A Ayomi, un arrondissement de la commune de Dogbo, le corps sans vie d'un jeune homme a été découvert. Il aurait été assassiné par des malfrats qui ont emporté sa moto.

Découverte macabre à Ayomi, commune de Dogbo. Le corps sans vie d'un jeune homme a été retrouvé. On évoque la thèse d'un assassinat. Le corps ainsi découvert est amputé de certains organes. Il s'agit d'après nos sources, de la langue, des dents, du cœur, et autres organes.
Les enquêtes policières ont conduit à l'interpellation de deux présumés assassins. Ils seront présentés au procureur de la République dans les prochains jours.
La découverte macabre a été faite 06 jours après que le jeune homme a quitté la maison. Les assaillants après leur forfait ont emporté sa moto.

F. A. A.

Categories: Afrique

Le poste de péage de Tigninti ouvert le 13 mars

Thu, 03/09/2023 - 12:11

Un nouveau poste de péage a été installé sur l'axe Djougou-Natitingou à Tigninti. A travers un communiqué, le directeur général de la Société des Infrastructures Routières et de l'Aménagement du Territoire (SIRAT SA), Ranti Akindes, précise les tarifs applicables aux véhicules selon leur poids.

Dès le lundi 13 mars, il sera ouvert à la circulation, le poste de péage de Tigninti sur l'axe Djougou-Natitingou. C'est en application des dispositions de l'arrêté n°025/MIT-MEF-MISP/DC/SGM/CTJ/SIRAT/SA/023SGG22 du 24 novembre 2022.

Pour compter du 13 mars 2023, les droits de passage seront perçus, auprès des usagers de ce tronçon de route, au niveau dudit poste, suivant les tarifs ci-après :

Véhicules légers : 1 000 FCFA par passage :

Véhicules poids lourds 2 essieux : 2 000 FCFA par passage ;

Véhicules poids lourds 3 essieux : 4 000 FCFA par passage ;

Véhicules poids lourds 4 essieux : 6 000 FCFA par passage ;

Véhicules poids lourds 5 essieux : 8 000 FCFA par passage :

Véhicules poids lourds 6 essieux : 10 000 FCFA par passage ;

Véhicules poids lourds 7 essieux et plus : 18 000 FCFA par passage.

« L'exploitation dudit poste sera assurée en continu, soit 7jours/7, 24 heures/24 », informe le directeur de la SIRAT SA.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

Plus de 100 ménages sans abri après une pluie à Bantè

Thu, 03/09/2023 - 12:11

La forte pluie qui s'est abattue sur Akpassi, un arrondissement de la commune de Bantè dans la nuit du lundi au mardi 07 mars 2023, a causé d'importants dégâts. Plusieurs maisons ont été décoiffées.

Des ménages sans abri à Akpassi, une localité de la commune de Bantè. C'est le constat désolant après la pluie du lundi 06 mars. Le vent violent qui l'a précédé a emporté les toits de plusieurs habitations. Le nombre de maisons décoiffées d'après les autorités locales, est estimé à 135.
Aucune perte en vie humaines n'a été enregistrée. Les autorités d'après nos sources sont à pieds d'œuvre pour trouver une solution aux ménages sans abri.

F. A. A.

Categories: Afrique

L'ICOMOS lance un projet pour sauvegarder les sites patrimoniaux

Thu, 03/09/2023 - 11:57

L'ICOMOS a annoncé aujourd'hui une nouvelle initiative mondiale pour sauvegarder les sites d'importance culturelle des impacts du changement climatique. Preserving Legacies : A Future for our Past (Sauvons notre patrimoine : Un futur pour notre passé) fournira aux communautés du monde entier les outils nécessaires pour évaluer avec précision la progression des impacts climatiques sur les sites du patrimoine culturel - afin de les sauver avant qu'il ne soit trop tard.
L'ICOMOS travaille en partenariat avec la National Geographic Society et le Climate Heritage Network, ainsi qu'avec les communautés locales et les équipes de gestion des sites pour mener à bien le projet financé par Manulife.
Les populations et leur patrimoine culturel, matériel et immatériel, sont de plus en plus vulnérables aux risques liés au changement climatique. Les impacts sur les monuments, les traditions héritées de génération en génération et les systèmes de connaissances affectent à leur tour les valeurs, les moyens de subsistance et l'identité, avec des conséquences dévastatrices pour les communautés. Pourtant, le patrimoine culturel est rarement considéré comme une priorité dans les programmes nationaux et internationaux de lutte contre le changement climatique. Pour combler cette lacune, il est urgent de doter les communautés du monde entier d'outils leur permettant d'anticiper et d'évaluer avec précision la progression des effets du climat sur la culture, et de les aider à transformer ces connaissances scientifiques en mesures de protection des sites.
Preserving Legacies : A Future for our Past réalise le projet sur 10 sites patrimoniaux, dont 2 sites principaux :
● Rizières en terrasses des cordillères des Philippines, Philippines ;
● Petra, Jordanie ; et 8 sites observateurs :
● Parc archéologique d'Angkor, Cambodge ;
● Border Fields, États-Unis ;
● Ville-mosquée historique de Bagerhat, Bangladesh ;
● Nan Madol, Micronésie ;
● Levuka, Fidji ;
● Koutammakou, le pays des Batammariba, Togo et Bénin ;
● Sceilg Mhichil, Irlande ;
● Port, forteresses et ensemble monumental de Carthagène, Colombie.
Sur les deux sites principaux, Preserving Legacies établira un lien entre la science du climat et la conservation des sites en donnant accès à des modélisations de changement climatique adaptées au niveau local et en aidant les gardiens des sites à se former à l'organisation d'évaluations de la vulnérabilité climatique des sites et des impacts sur les communautés locales, menées par les communautés elles-mêmes et fondées sur un système de valeurs. Les membres des sites observateurs participeront entièrement aux formations sur le patrimoine climatique et à une expérience d'apprentissage entre pairs.
Les participants de tous les sites contribueront au développement d'une communauté internationale dont les pratiques seront axées sur l'action climatique, à l'intersection du patrimoine culturel et de l'adaptation au changement climatique.

Le programme intègre des connaissances scientifiques, locales et autochtones pour trouver des solutions durables et culturellement compatibles à la préservation des sites du patrimoine culturel sur le long terme. L'objectif est de favoriser de meilleures approches d'adaptation et d'apprentissage en s'inspirant de pratiques ancestrales passées. Le but est de sauvegarder un système de valeurs pouvant être transmis aux générations futures.
‘Notre approche ambitieuse de la question du patrimoine et du changement climatique ne mènera pas seulement à une protection tangible des sites du patrimoine culturel ; elle changera également radicalement l'accès à l'adaptation du patrimoine et transformera la conservation pour la préparer à relever les défis d'un monde à jamais changé par le climat.'
Dr Victoria Herrmann, Exploratrice National Geographic et Directrice du Projet Preserving Legacies
'L'ICOMOS croit fermement au pouvoir de la culture et du patrimoine pour l'action climatique. Cet important projet permettra aux communautés et aux gardiens de sites de protéger leur patrimoine des effets du changement climatique. Il leur offrira également une plateforme pour partager avec le monde entier leur histoire et leurs expériences, précieuses.'
Dr Will Megarry, Point Focal du Groupe de Travail sur l'Action Climatique ICOMOS, maître de conférence à la Queen's University Belfast
‘Tout comme les sites patrimoniaux ancrent les communautés, ils devraient être à l'avant-poste de la réponse au changement climatique. Le CHN est fier de participer au travail de Preserving Legacies afin d'accélérer l'action climatique dans les lieux d'importance culturelle grâce à l'apprentissage par les pairs, au réseautage, au storytelling et aux nouvelles ressources en libre accès.'
Andrew Potts, Coordinateur, Climate Heritage Network
‘Le changement climatique menace les rizières en terrasses et leurs traditions vivantes. Le SIRT et l'ICOMOS Philippines sont ravis de s'associer à ce projet important et ainsi de bénéficier d'une expérience riche en apprentissages et échanges avec des professionnels de la protection du patrimoine et de la préparation au changement climatique.'
Tina Paterno, Présidente d'ICOMOS Philippines
‘Le partage d'expériences lié au projet favorisera l'apport de solutions basées sur la culture à de nombreux défis climatiques et permettra de construire des communautés plus résilientes. Les efforts conjoints permettront de documenter, d'étudier et d'utiliser des connaissances, des compétences et des pratiques diverses, des méthodes d'apprentissage héritées et adaptées et un savoir-faire technique pour renforcer la résilience et transformer les communautés afin qu'elles atteignent les objectifs d'adaptation au climat.'
Zeina Khashashneh, Gestionnaire Projet, Petra National Trust

Categories: Afrique

BIO TCHANE examine avec la SIPI-BENIN et l'APIEx les défis à la GDIZ

Thu, 03/09/2023 - 10:38

Le ministre d'Etat en charge du développement et de la coordination de l'action gouvernementale, Abdoulaye BIO TCHANE a effectué en début de semaine, une énième visite à la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ). Avec les directeurs généraux de la SIPI-BENIN et de l'APIEx, il a évalué les progrès et mesuré un certain nombre de défis afin d'envisager les solutions sur le site de la GDIZ.

Quelques mois après son dernier passage, BIO TCHANE a constaté avec satisfaction lors d'une visite mardi 07 mars 2023 que le site de la GDIZ (1ère phase de 400 ha) est totalement occupé par des investisseurs. Au moins 36 entreprises sont installées et certaines d'entre elles ont déjà commencé leurs productions. Pour le ministre d'Etat, il s'agit de « progrès importants pour les béninois » en termes d'emplois pour les jeunes, de valeur ajoutée pour l'économie nationale, et de visibilité pour le pays.
Au cours de la séance de travail avec Lethondji BEHETON et Laurent GANGBES, respectivement directeurs généraux de la SIPI-BENIN et de l'APIEx, il a évalué les progrès sur le site de la GDIZ. Les problèmes logistiques et la question de sécurité sur le site ont été examinés, et les solutions envisagées. Selon BIO TCHANE, les possibilités pour certaines administrations de tenir compte des défis sur le site, et de chercher avec la SIPI-BENIN et l'APIEx les solutions, ont été étudiées.
La question de la sécurité est très importante pour les entreprises qui s'installent à la GDIZ, et il faudra selon le ministre d'Etat, s'assurer de la protection de l'ensemble des instruments de travail, des équipements qui sont installés, ainsi que des produits fabriqués.
BIO TCHANE a visité l'usine de transformation du soja, l'entrepôt de stockage et la société UNICARTON.

F. A. A.

Categories: Afrique

Bazoum chez Talon lundi prochain

Thu, 03/09/2023 - 10:30

Le Président Patrice Talon va recevoir, lundi 13 mars 2023, son homologue nigérien Mohamed Bazoum.

Le président du Niger attendu à Cotonou le 13 mars prochain. Mohamed Bazoum sera reçu par le président béninois Patrice Talon. Les deux personnalités vont échanger entre autres sur des questions économiques et sécuritaires sans oublier le renforcement de la coopération bilatérale.

Le chef de l'Etat du Niger est le président en exercice de la Conférence des chefs d'État et de gouvernement de
l'Uemoa depuis décembre 2022.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

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