En prélude à l'examen du Certificat de Qualification aux Métiers (CQM), session d'octobre 2023, la Chambre des Métiers de l'Artisanat du Bénin (CMA-Bénin) organise depuis le lundi 18 septembre, un atelier de quatre jours afin de renforcer les capacités opérationnelles des concepteurs d'épreuves.
La Chambre des Métiers de l'Artisanat du Bénin prépare l'examen du Certificat de Qualification aux Métiers (CQM), session d'octobre 2023. Dans le but de renforcer les capacités opérationnelles des concepteurs d'épreuves, elle a organisé un atelier de quatre jours qui réunit plus de 170 participants dans 152 corps de métiers. L'atelier a mobilisé des inspecteurs de l'Enseignement Technique et de la formation professionnelle, des maîtres artisans et d'apprentissages, des artisans formateurs endogènes des Centres de formation professionnelle, des enseignants formateurs des Centres de formation professionnelle, et les directeurs des centres de formation professionnelle. Le guide méthodologique d'orientation du concepteur d'épreuves a été présenté aux participants. Ces derniers sont appelés à proposer des épreuves qui respectent les normes et la structure.
Le Certificat de Qualification aux Métiers (CQM) est un diplôme de fin d'apprentissage reconnu par l'Etat. Il est délivré à la suite d'un examen officiel dans les différents corps de métiers.
Akpédjé Ayosso
En prélude à l'examen du Certificat de Qualification aux Métiers (CQM), session d'octobre 2023, la Chambre des Métiers de l'Artisanat du Bénin (CMA-Bénin) organise depuis le lundi 18 septembre, un atelier de quatre jours afin de renforcer les capacités opérationnelles des concepteurs d'épreuves.
La Chambre des Métiers de l'Artisanat du Bénin prépare l'examen du Certificat de Qualification aux Métiers (CQM), session d'octobre 2023. Dans le but de renforcer les capacités opérationnelles des concepteurs d'épreuves, elle a organisé un atelier de quatre jours qui réunit plus de 170 participants dans 152 corps de métiers. L'atelier a mobilisé des inspecteurs de l'Enseignement Technique et de la formation professionnelle, des maîtres artisans et d'apprentissages, des artisans formateurs endogènes des Centres de formation professionnelle, des enseignants formateurs des Centres de formation professionnelle, et les directeurs des centres de formation professionnelle. Le guide méthodologique d'orientation du concepteur d'épreuves a été présenté aux participants. Ces derniers sont appelés à proposer des épreuves qui respectent les normes et la structure.
Le Certificat de Qualification aux Métiers (CQM) est un diplôme de fin d'apprentissage reconnu par l'Etat. Il est délivré à la suite d'un examen officiel dans les différents corps de métiers.
Akpédjé Ayosso
Un vieil homme a trouvé la mort vendredi 15 septembre 2023 à Zinvié, une localité de la commune d'Abomey-Calavi. Il s'agit d'un puisatier qui après avoir creusé un puits de 32 mètres environ, n'est plus ressorti.
Drame à Abomey-Calavi. Un vieil homme âgé de 60 ans environ est mort vendredi 15 septembre 2023. Le puisatier après avoir creusé un puits de 32 mètres environ n'est plus ressorti. Il serait mort par asphyxie. Il a été repêché par ses collègues puisatiers de la localité avant l'arrivée des sapeurs-pompiers.
La campagne 2023-2024 de commercialisation des amandes de Karité est prévue du 18 septembre au 31 mai 2024. L'information a été rendue publique à travers un communiqué conjoint du ministre de l'Industrie et du Commerce et son collègue de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche.
Les conditions de déroulement de la campagne 2023-2024 de commercialisation des amandes de Karité sont connues. C'est à l'issue de la rencontre du ministère de l'Industrie et du Commerce tenue le 27 juillet 2023 avec les acteurs de la filière karité. Selon le communiqué conjoint du ministre de l'Industrie et du Commerce et son collègue de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche, un bilan de la campagne précédente a été fait au cours de la réunion. Les acteurs ont proposé les conditions de déroulement de la campagne de commercialisation 2023-2024. Elle démarre le 18 septembre 2023. La campagne sera clôturée le 31 mai 2024.
Les ministres appellent tous les acteurs de la filière au respect strict des conditions de déroulement de la campagne et des textes en vigueur.
A.A.A
La Ligue des Champions fait son retour ce mardi 19 septembre 2023. Après plus de deux mois d'arrêt, la plus prestigieuse des compétitions européennes reprend ce mardi soir pour le compte de la saison 2023-2024.
Le coup d'envoi de la première journée de la phase de groupes sera donné à 17h45. Des chocs sont à suivre. Le tenant du titre Manchester City accueille l'Etoile Rouge de Belgrade. Le PSG finalement avec Mbappé, devra éviter un faux pas face à Dortmund au Parc des Princes.
Voici le programme de cette première journée :
Mardi 19 septembre
Milan vs Newcastle (17h45)
Young Boys vs Leipzig (17h45)
Barcelone vs Antwerp (20h)
Feyenoord vs Celtic (20h)
Lazio vs Atlético (20h)
Manchester City vs Belgrade (20h)
PSG vs Dortmund (20h)
Shakhtar vs Porto (20h)
Mercredi 20 septembre
Galatasaray vs Copenhague (17h45)
Real Madrid vs Union Berlin (17h45)
Arsenal vs PSV (20h)
Bayern vs Manchester United (20h)
Benfica vs Salzburg (20h)
Braga vs Naples (20h)
Séville vs Lens (20h)
Sociedad vs Inter (20h)
C'est donc partie pour une nouvelle saison de folie !
J.S
La Ligue des Champions fait son retour ce mardi 19 septembre 2023. Après plus de deux mois d'arrêt, la plus prestigieuse des compétitions européennes reprend ce mardi soir pour le compte de la saison 2023-2024.
Le coup d'envoi de la première journée de la phase de groupes sera donné à 17h45. Des chocs sont à suivre. Le tenant du titre Manchester City accueille l'Etoile Rouge de Belgrade. Le PSG finalement avec Mbappé, devra éviter un faux pas face à Dortmund au Parc des Princes.
Voici le programme de cette première journée :
Mardi 19 septembre
Milan vs Newcastle (17h45)
Young Boys vs Leipzig (17h45)
Barcelone vs Antwerp (20h)
Feyenoord vs Celtic (20h)
Lazio vs Atlético (20h)
Manchester City vs Belgrade (20h)
PSG vs Dortmund (20h)
Shakhtar vs Porto (20h)
Mercredi 20 septembre
Galatasaray vs Copenhague (17h45)
Real Madrid vs Union Berlin (17h45)
Arsenal vs PSV (20h)
Bayern vs Manchester United (20h)
Benfica vs Salzburg (20h)
Braga vs Naples (20h)
Séville vs Lens (20h)
Sociedad vs Inter (20h)
C'est donc partie pour une nouvelle saison de folie !
J.S
Chose si ancienne que presque totalement oubliée, la Mauritanie et Madagascar avaient décidé de quitter la zone franc en 1973, soit quelques années après le Guinée et le Mali, qui en étaient sortis en 1960 et en 1962, respectivement. Cinquante ans plus tard, ces pays n'ont guère réalisé de meilleures performances que celles des ceux restés dans la zone franc, et en particulier Madagascar, autrefois pays le plus développé de toute l'Afrique de l'Est, et devenu un des six pays les plus pauvres du continent.
Une décennie environ après la sortie de la Guinée et du Mali, concrétisée par la création du franc guinéen en 1960 (que les autorités font fabriquer au Royaume-Uni) et du franc malien en 1962 (fabriqué en Tchécoslovaquie), la Mauritanie et Madagascar quittèrent à leur tour la zone franc en 1973, sur simple demande adressée aux autorités françaises, comme le prévoient les accords de coopération signés avec la France.
À Madagascar, le franc malgache, qui fonctionnait comme le franc CFA (et aujourd'hui dénommé ariary), coupait ainsi tout lien avec la Banque de France au mois de mai 1973, tandis que le franc CFA était remplacé fin juin par l'ouguiya en Mauritanie (aujourd'hui produite en Allemagne). Sur la Grande île, plus vaste que la France et à la position stratégique dans l'Océan indien, les autorités « révolutionnaires » qui s'étaient emparées du pouvoir en 1972 avaient également mis fin à la présence militaire française dans le pays (comme récemment au Mali, au Burkina Faso, en Centrafrique, et peut-être également bientôt au Niger), en faisant notamment fermer la grande et ancienne base militaire de Diego Suarez, dans l'extrême nord du territoire.
Ainsi, il est intéressant de noter que cela fait désormais cinquante années que les deux pays disposant des plus importantes richesses minières connues à l'époque pour toute l'Afrique de l'Ouest francophone, à savoir la Guinée (notamment deuxième producteur mondial de bauxite, dont elle possède les plus grandes réserves) et la Mauritanie (entre autres deuxième producteur africain de fer, après l'Afrique du Sud), ne font ensemble plus partie de la zone franc.
Quant à Madagascar, cinquième plus grande île du monde, celle-ci renferme également de très nombreuses richesses, faisant d'elle, par exemple, le premier producteur mondial de saphir, le troisième pour le graphite, ou encore le deuxième producteur africain de nickel, après l'Afrique du Sud.
De même, le pays est aussi le premier producteur mondial de vanille, entièrement introduite par la France sur le territoire et qui constitue la deuxième épice la plus chère au monde, après le safran.
Par ailleurs, il est également intéressant de constater qu'aucun des dirigeants politiques ayant été à l'origine de la sortie de la zone franc de ces trois pays stratégiques que sont la Mauritanie, la Guinée et Madagascar, n'a été assassiné, tout comme pour le Mali. Ce qui contredit très clairement les affirmations de certains propagandistes manipulateurs des foules africaines et déstabilisateurs du continent, qui accusent régulièrement la France d'empêcher depuis des décennies toute sortie d'un pays de la zone franc, en assassinant tout Président africain qui le souhaiterait...
50 ans plus tard… des objectifs loin d'être atteints
Un demi-siècle après leur sortie de la zone franc, période si longue que la grande majorité des Africains ignorent aujourd'hui totalement ce double fait, force est de constater que les résultats obtenus ont été largement inférieurs aux promesses initialement faites. Alors que Madagascar était en 1973 le pays le plus riche de toute l'Afrique de l'Est, devançant notamment le Kenya, la Grande île est aujourd'hui le quatrième pays le plus pauvre de la région et le sixième du continent. Avec un PIB par habitant de seulement 505 dollars début 2023, selon les dernières données de la Banque mondiale, elle se classe ainsi devant la Somalie, le Soudan du Sud (pays africain le plus pauvre, à tel point que les données économiques sont souvent indisponibles), la Sierra Leone (pays le plus pauvre d'Afrique de l'Ouest), le Burundi, autre pays francophone situé en dehors de la zone franc, et la Centrafrique, pays de la zone franc connaissant de graves difficultés depuis plusieurs années et passé sous le contrôle de la Russie dans d'inquiétantes proportions (cas unique en Afrique, le pays ne contrôle même plus ses douanes, et a ainsi fait un bond de plusieurs décennies en arrière en matière de souveraineté, pour revenir à une situation semblable à celle de l'époque de la colonisation).
Dernière illustration de cette extrême pauvreté, Madagascar, et malgré son gigantesque potentiel agricole, a connu une importante famine dans le sud du territoire fin 2021. Une tragédie qui suscita l'émotion de la communauté internationale, notamment avec des images de très jeunes enfants squelettiques essayant de manger le cuir de leurs chaussures…
Quant à la Mauritanie, celle-ci n'a heureusement pas connu la même trajectoire dramatique que Madagascar, réussissant même à poursuivre tranquillement son développement économique. Toutefois, force est de constater, là encore, que le pays n'a pas fait mieux que le Sénégal voisin, ou encore que la Côte d'Ivoire et le Cameroun, malgré de considérables richesses naturelles (fer, cuivre, or…) et une très faible population. À titre d'exemple, et selon les dernières données de la Banque mondiale, le taux d'accès à l'électricité n'a atteint que 47,7 % de la population en Mauritanie fin 2021, contre 68,0 % au Sénégal, ce qui la place ainsi presque exactement au même niveau que la Guinée (46,8 %) ou encore que le Rwanda, un des pays les plus pauvres et les moins industrialisés d'Afrique (48,7 % seulement, soit moins de la moitié de la population malgré un territoire 7,5 fois plus petit que celui du Sénégal, et le pillage désormais incontesté des richesses de l'Est du Congo-Kinshasa).
La zone franc CFA, zone économiquement la plus dynamique du continent
Ces différentes trajectoires, ainsi que celles de la Guinée et du Mali (sorti en 1962, avant de revenir au franc CFA en 1984, soit 22 ans plus tard, suite à de graves difficultés résultant de la mauvaise gestion économique du pays), est l'occasion de rappeler que la zone franc est globalement et historiquement la partie la plus dynamique économiquement du continent, la moins touchée par l'inflation et la mieux gérée. En effet, ce vaste ensemble qui recouvre 54 % de la population de l'Afrique subsaharienne francophone, et en rassemble 14 des 22 pays (dont la Guinée équatoriale, partiellement francophone, et les Comores, avec leur franc comorien), ainsi que la Guinée-Bissau, a réalisé en 2022 les meilleures performances économiques du continent pour la neuvième année consécutive et la dixième fois en onze ans, affichant un taux de croissance annuel de 3,3 % en moyenne sur la décennie 2013-2022 (et même 4,0 % hors cas très particulier de la pétrolière Guinée équatoriale), contre seulement 2,3 % pour le reste de l'Afrique subsaharienne (moyenne globale tirée vers le bas par les niveaux de croissance des espaces anglophone et lusophone). Quant à l'inflation, les 15 pays de la zone franc (donc les 14 pays ayant pour monnaie le franc CFA + les Comores) n'ont enregistré qu'un taux d'inflation annuel de 1,9 % sur cette même décennie, contre non moins de 15,1 % pour le reste de l'Afrique subsaharienne (7,6 % pour la partie francophone de cet ensemble).
Grâce à leur dynamisme, la Côte d'Ivoire est récemment devenue le pays le plus riche d'Afrique de l'Ouest continentale en termes de PIB par habitant, malgré de très modestes richesses naturelles, en comparaison avec le Ghana et le Nigeria (ce dernier a produit ces dernières années entre 40 et 60 fois plus de pétrole que la Côte d'Ivoire, et le Ghana a extrait six fois plus de pétrole et trois à quatre fois plus d'or), tandis que le Gabon continue d'affirmer son statut de pays le plus riche d'Afrique continentale, en devançant le Botswana, pourtant deuxième producteur mondial de diamants depuis des décennies, après la Russie. À titre de comparaison, seuls 8,2 % de la population gabonaise n'est pas encore raccordée au réseau électrique, contre non moins de 26,3 % pour le Botswana, soit plus d'un quart de la population de ce pays, présenté par certains, dont la connaissance de l'Afrique est assez limitée, comme un modèle de développement pour le continent…
La Côte d'Ivoire est même devenue le seul pays africain, assez modestement pourvu en matières premières non renouvelables (et hors très petits pays de moins d'1,5 million d'habitants), à dépasser en richesse un pays d'Amérique hispanique, à savoir le Nicaragua dont le PIB par habitant atteignait 2 255 dollars début 2023 (contre 2 486 dollars). La Côte d'Ivoire devrait d'ailleurs assez bientôt devancer également le Honduras (3 040 dollars par habitant). De son côté, le Sénégal est devenu le pays le plus industrialisé d'Afrique de l'Ouest (devant le Nigeria, selon le dernier rapport de la Banque africaine de développement, publié en novembre 2022), a mis en service en décembre 2021 le train le plus rapide d'Afrique subsaharienne, à égalité avec le Gautrain sud-africain (160 km/heure), et devrait assez bientôt, lui aussi et avec le Cameroun, dépasser le Nigeria pétrolier et gazier en termes de richesse par habitant, grâce à des taux de croissance largement supérieurs (et dont la valeur de la monnaie a été divisée par plus de mille depuis sa création, entraînant une forte dollarisation du pays, ainsi qu'une utilisation grandissante du franc CFA dans les zones frontalières).
Quant au Niger, ce pays enclavé n'est désormais plus le pays le plus pauvre d'Afrique de l'Ouest, ayant récemment dépassé la Sierra Leone (533 dollars par habitant, contre 461 dollars). Le dynamisme économique observé au cours des quelques dernières années se manifeste notamment par la construction actuelle d'un grand barrage hydroélectrique sur le fleuve Niger, qui devait entrer en activité en 2025. Attendu depuis des décennies, et enfin en chantier grâce à la détermination des autorités nigériennes d'avant le putsch, ce gigantesque projet, aujourd'hui à l'arrêt, devrait permettre d'accélérer considérablement le développement du pays tout en réduisant grandement sa dépendance vis-à-vis de l'étranger. Et ce, en augmentant fortement sa production électrique, en l'affranchissant de sa dépendance en la matière à l'égard du Nigeria, et en offrant à son agriculture non moins de 45 mille hectares de nouvelles terres irriguées et hautement fertiles (qui réduiront également les importations de produits alimentaires).
Si la politique de développement, aujourd'hui interrompue par le coup d'État militaire, devait reprendre, le Niger quittera assez prochainement la liste des dix pays les plus pauvres du continent. Il est d'ailleurs à noter que le Niger dépasse désormais non moins de neuf pays africains en matière de développement humain, selon le dernier classement de la fondation Mo Ibrahim, publié en janvier 2023. Un classement plus fiable que celui de l'ONU, qui comporte de nombreuses incohérences, et qui a longtemps et étrangement placé systématiquement le Niger, au taux de fécondité le plus élevé au monde, à la dernière position du classement (même derrière un pays comme le Soudan du Sud, réputé être le moins développé du continent - avec la Somalie, non classée…).
La supériorité économique de la zone franc CFA est d'ailleurs à l'origine de l'adhésion de deux pays n'ayant aucun lien historique avec la France, à savoir la Guinée équatoriale en 1985 (ancienne colonie espagnole, devenue partiellement francophone) et la Guinée-Bissau en 1997 (ancienne colonie portugaise). Deux pays dans lesquels il n'existe d'ailleurs aucune hostilité populaire ou médiatique à l'égard du franc CFA, ni aucune accusation farfelue de pillage et de domination à l'égard de la France… Par ailleurs, cela explique aussi probablement pourquoi le Mali, le Burkina Faso, la Centrafrique et le Niger ne demandent toujours pas de sortir du franc CFA…
Suite à la catastrophe naturelle, qui a frappé plusieurs provinces du Royaume du Maroc, les Etats-Unis par la voix de leur Président Joseph Biden, ont présenté leurs sincères condoléances au Souverain et au peuple marocain. C'est par un appel téléphonique à SM le Roi Mohammed VI, que le Président des Etats-Unis d'Amérique, Joseph R. Biden, a exprimé lundi 18 septembre sa compassion au Royaume du Maroc.
Au cours de cet entretien téléphonique, le Président américain a exprimé ses condoléances personnelles, ainsi que celles du peuple et gouvernement américains, à Sa Majesté le Roi, et au peuple marocain, suite au tremblement de terre douloureux qui a frappé plusieurs provinces du Royaume.
Le numéro 1 de la Maison blanche n'a pas manqué de saluer la rapidité et l'efficacité de la gestion, conformément aux Hautes Instructions Royales, des conséquences de cette tragique catastrophe naturelle.
Le Président Biden a assuré de la disposition des Etats-Unis à apporter l'aide et le soutien nécessaires au Royaume sur la base des besoins identifiés par les autorités marocaines et tels qu'ils s'inscrivent dans le cadre du plan d'action multiforme déployé par le Royaume pour faire face à ce drame.
L'ancien député à l'Assemblée nationale, Pascal Kouagou N'Dah-Sékou n'est plus. Il a tiré sa révérence dans la journée du lundi 18 septembre 2023.
Le parlement béninois endeuillé. L'ex député, Pascal Kouagou N'Dah-Sékou est décédé dans la journée du lundi 18 septembre 2023 à l'âge de 77 ans. Le regretté est un magistrat à la retraite. Il a été élevé au rang d'Officier de l'Ordre national sous le régime du président Mathieu Kérékou.
Son âme repose en paix.
Le Bénin ne parvient pas à ouvrir depuis le mardi 05 septembre 2023, un couloir humanitaire afin d'acheminer son aide destiné au Niger. La situation a été notifiée au président de la Commission de la CEDEAO à travers une correspondance en date du 18 septembre 2023 signée du ministre des Affaires Étrangères du Bénin, Olushegun Adjadi Bakari.
Le Bénin a pris des dispositions pour ouvrir, et ce depuis le mardi 05 septembre 2023, un couloir humanitaire afin de faciliter, sur son territoire, l'acheminement de l'aide humanitaire destiné au "Peuple frère et ami du Niger". Selon le ministre des Affaires Étrangères du Bénin, Olushegun Adjadi Bakari, il lui est revenu que des barrages érigés à l'entrée du Niger par des forces de défense et de sécurité entravent l'acheminement de cette aide. Pour le ministre, la levée de tous les blocages s'avère indispensable pour améliorer l'opération humanitaire visant à améliorer les conditions de vie de la population nigérienne. Le Niger traverse une crise après le coup d'Etat militaire perpétré fin juillet par des militaires.
A.A.A
Voici la liste des candidats déclarés provisoirement admis au concours 2023 d'entrée à l''institut National Supérieur des classes Préparatoires aux Etudes d'Ingénieurs (INSPEI).
« Besoin d'une information à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin, composez le 7444 ».
Avec le 7444, la CCI Bénin est plus proche des entreprises »
Ceci est un communiqué de Arnauld AKAKPO, Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin.
« Besoin d'une information à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin, composez le 7444 ».
Avec le 7444, la CCI Bénin est plus proche des entreprises »
Ceci est un communiqué de Arnauld AKAKPO, Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin.
À travers un communiqué, le Directeur Général de l'Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB) annonce l'organisation des Journées Portes Ouvertes, les 20 et 21 septembre 2023 à Abomey-Calavi.
L'Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB) organise des Journées Portes Ouverte. L'évènement aura lieu les 20 et 21 septembre 2023, à son siège sis à Agonkanmey dans la commune d'Abomey-Calavi. Le directeur général de l'INRAB invite les pépiniéristes, producteurs et productrices, transformateurs et transformatrices, organisations paysannes agricoles, acteurs du conseil agricole à découvrir des variétés améliorées, résilientes aux risques climatiques, des produits alimentaires pour assurer une bonne croissance de leurs animaux et poissons d'élevage, des biostimulants pour la nutrition accrue des plantes, etc.
« Venez prendre connaissance des technologies mises au point par la recherche agricole nationale ! Venez discuter avec les chercheurs, présentez vos contraintes, vos défis, posez toutes vos questions et obtenez de très bons inputs qui vous aideront à avancer », a-t-il ajouté.
A.A.A
Le Responsable du service financier du Centre National de Sécurité Routière (CNSR) Ouidah, le Chef d'antenne de Tangbo et d'autres personnes ont été écoutés à la Brigade Economique et Financière (BEF) ce lundi 18 septembre 2023.
Une affaire de légèreté dans la gestion des ressources secoue le Centre National de Sécurité Routière (CNSR) Ouidah.
Le jeudi 14 septembre dernier, le Chef d'antenne et la caissière ont été arrêtés par la Brigade Economique et Financière (BEF), suite à une plainte du Directeur général du CNSR.
Le Responsable du service financier du CNSR Ouidah, le Chef d'antenne de Tangbo et plusieurs autres personnes ont été écoutés à la BEF ce lundi 18 septembre 2023 pour la même affaire.
Les faits porteraient sur un détournement de près de 50 millions FCFA, selon les informations.
M. M.
La commission Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) a initié un atelier de renforcement de capacité à Saly Portudal au Sénégal, au profit des journalistes des 8 pays de l'union. L'ouverture de la session a été présidée ce 18 septembre 2023 par la Représentante Résidente de la Commission au Sénégal, Aïssa KABO, en présence de la Directrice de la Communication, Aminata MBODJ et du Coordonnateur de la Plateforme Médias UEMOA, Léonard DOSSOU.
« Enjeux de la conjoncture économique dans l'espace UEMOA » c'est le thème de l'atelier de formation qui regroupe une quarantaine de journalistes à l'hôtel "Les Amaryllis" de Saly Portudal au Sénégal. L'objectif de la formation est de renforcer la capacités des journalistes de l'espace UEMOA, dans le traitement des informations économiques et financière dans la sous-région pour une compréhension plus facile et appropriée de la population de l'espace UEMOA.
Le coordonnateur de la Plateforme Médias UEMOA, Léonard DOSSOU a rappelé que la mise en oeuvre de la plate forme de l'UEMOA répond a un besoin, celui de créer un creuset entre la Commission de l'UEMOA et les médias des différents pays de l'espace communautaire.
« (...) depuis des années il n'existait pas un cadre d'échange entre la commission de l'UEMOA et les médias de notre espace communautaire. Aujourd'hui, c'est devenu une réalité. Il y a une nouvelle saison de collaboration et d'échanges et d'activités entre les médias de notre espace communautaire. Notre plateforme est là pour accompagner les différents organes de la Commission de l'UEMOA », a-t-il souligné. Au nom des membres de la plateforme et de l'ensemble des journalistes présents, il a remercié le Président de la Commission Abdoulaye DIOP, qui a bien voulu offrir cette opportunité aux journalistes de renforcer leurs capacités.
Avant de lancer les travaux, la Représentante Résidente de la Commission de l'UEMOA au Sénégal, Aïssa KABO a fait savoir : « Notre souhait est que par vos plumes, vos sons et vos images, les populations soient davantage sensibilisées sur les questions de développement portées par l'Union notamment à travers le Cadre d'Actions Prioritaires de la Commission de l'UEMOA pour la période 2021-2025 (CAP 2025) ».
Pendant cinq jours, les journalistes seront entretenus sur les problématiques liées aux questions économiques et financières pour maîtriser au mieux le langage et les mécanismes économiques et financiers.
Il faut préciser que c'est le Professeur Seydi Ababacar DIENG, Maître de Conférences Agrégé de l'Université Cheikh Anta DIOP, qui se chargera de la formation assisté du Directeur de la Prévision et des Etudes Economiques de la Commission de l'UEMOA, Kalidou THIAW.
Elèves et enseignants ont repris le chemin de l'école ce lundi 18 septembre 2023, premier jour de la rentrée. Une délégation gouvernementale composée des ministres des trois ordres de l'éducation a procédé au lancement officiel de la rentrée à l'EPP de Donoukin Lissessa dans la municipalité de Porto-Novo.
La rentrée scolaire 2023-2024 effective sur toute l'étendue du territoire national. C'est du moins le constat fait par une délégation gouvernementale composée des ministres Salimane Karimou des enseignements maternel et primaire, Kouaro Yves Chabi, des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, et Eléonore Yayi Ladékan de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Cette délégation après le lancement officiel à l'EPP Donoukin Lissessa à Porto-Novo, s'est rendue successivement à l'Ecole Primaire Publique de Anavié, au Lycée Behanzin et à l'Institut National des Educations Physique et Sportive (INEPS). L'objectif selon le ministre Kouaro Yves Chabi, est de « faire le constat du démarrage de la rentrée ». « À l'issue du périple, je puis vous dire que le constat est satisfaisant. Les apprenants, enseignants et membres du corps administratif de nos écoles et collèges ont tous répondus présent et les cours ont effectivement démarrés », a-t-il informé à travers une publication sur sa page Facebook. Il a également informé avoir rappelé à l'occasion à tous les acteurs du système éducatif, que la réussite d'une année scolaire se prépare dès les premiers jours de classes. Le système éducatif béninois selon Kouaro Yves Chabi, s'améliore d'année en année. Le gouvernement fait beaucoup d'effort et cela doit être constaté dans les résultats de fin d'année scolaire, a-t-il souligné.
F. A. A.
Après plusieurs semaines de vacances, élèves et enseignants ont repris le chemin des classes ce lundi 18 septembre 2023. Au complexe scolaire de Fifadji, dans le 9e arrondissement de Cotonou, des ‘'évaluations diagnostiques'' sont organisées dans le but d'apprécier le niveau des apprenants avant le démarrage effectif des activités pédagogiques dès le jeudi 21 septembre 2023.
Ce lundi 18 septembre 2023, élèves et enseignants ont repris le chemin de l'école après les grandes vacances. Au complexe scolaire de Fifadji à Cotonou, des ‘'évaluations diagnostiques'' seront organisées pendant les trois premiers jours de la rentrée pour apprécier le niveau des apprenants après les vacances. Mais avant ces évaluations diagnostiques qui ont démarré en fin de matinée aux environs de 11h ce lundi 18 septembre, il y a eu selon le directeur du groupe C, Johannes Dadjo, la ‘'prise en main'' avec les apprenants. Une activité qui a permis de confier les écoliers à leurs enseignants, et à chaque enseignant de retrouver sa classe. Cette prise en main a été suivie de la ‘'mise en condition'' pour le démarrage effectif des ‘'évaluations diagnostiques'', a-t-il expliqué.
Dans le cadre de ces évaluations diagnostiques, les écoliers ont été évalués en compréhension de l'écrit et en lecture. Ils seront soumis à l'épreuve de dictée dans l'après-midi, suivie de la correction des copies. Le lendemain mardi, ces évaluations vont se poursuivre avec les épreuves d'expression écrite et de mathématique. Mercredi, ce sera la finition suivie de la correction des copies et la remédiation, a expliqué le directeur du groupe C. L'objectif à l'en croire, est de permettre à l'enseignant de savoir les notions sur lesquelles il va mettre l'accent dans chaque matière à la reprise des activités pédagogiques dès le jeudi 21 septembre.
La rentrée scolaire 2023-2024 est effective sur toute l'étendue du territoire national. Le lancement officiel a eu lieu à l'EPP Donoukin Lissessa dans la municipalité de Porto-Novo, en présence des ministres de trois ordres de l'éducation.
F. A. A.
La Banque mondiale a approuvé, vendredi 15 septembre 2023, un financement de 230 millions de dollars de l'Association internationale de développement (IDA) en faveur de la République du Bénin.
Pour « aider le gouvernement du Bénin à renforcer la croissance tirée par le secteur privé, stimuler la collecte des recettes nationales, et renforcer la résilience sociale et climatique », la Banque Mondiale a approuvé un financement un financement de 230 millions de dollars, soit plus de 141 milliards de FCFA.
Selon le responsable des opérations de la Banque mondiale pour le Bénin, il est essentiel pour le Bénin de « poursuivre les réformes transformationnelles pour maintenir ses performances de croissance et améliorer les conditions de vie des populations vulnérables ».
« Ce financement permettra au Bénin de mener des réformes pour reconstruire l'espace budgétaire, faciliter les investissements créateurs d'emplois par le secteur privé, et renforcer la résilience sociale et climatique », a ajouté Nestor Coffi. Le responsable des opérations de la Banque mondiale pour le Bénin précise qu' « en dépit des chocs externes enregistrés ces dernières années », le Bénin « est sur une bonne trajectoire de croissance ».
Le financement approuvé le 15 septembre 2023 s'inscrit dans le cadre de l'opération d'appui des politiques de développement destinée à soutenir des réformes favorables à une croissance inclusive, résiliente et tirée par le secteur privé.
« Cette opération a été conçue en alignement avec le Plan d'action du gouvernement béninois 2021-2026. Le programme de réformes soutient le programme de développement vert, résilient et inclusif en renforçant l'adaptation et la résilience du pays au changement climatique grâce à l'amélioration des pratiques de prévention, de préparation et de réponse aux chocs climatiques. Il aide le gouvernement à être mieux préparé financièrement en cas de besoins immédiats d'une catastrophe naturelle ».
« Le programme repose sur trois piliers. Le premier pilier soutient la mise en place d'un nouveau cadre de partenariat public-privé (PPP), la création d'un nouvel écosystème pour le développement des micros, petites et moyennes entreprises, et l'amélioration du climat d'investissement. Le deuxième appuie des réformes pour stimuler la collecte des recettes nationales, en créant un espace fiscal nécessaire à l'investissement public et à la viabilité de la dette. Le troisième cible des réformes destinées à une résilience sociale et climatique accrue, à travers notamment une couverture médicale subventionnée aux personnes pauvres, une protection sociale adaptative, et un renforcement de la gestion des risques de catastrophes », a indiqué un communiqué de la Banque Mondiale.
M. M.
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Bénin : 230 millions de dollars pour soutenir la croissance et la résilience sociale et climatique
WASHINGTON, 15 septembre 2023 – La Banque mondiale a approuvé aujourd'hui un financement de 230 millions de dollars de l'Association internationale de développement (IDA)* pour aider le gouvernement du Bénin à renforcer la croissance tirée par le secteur privé, stimuler la collecte des recettes nationales, et renforcer la résilience sociale et climatique.
Cette première opération d'appui des politiques de développement est destinée à soutenir des réformes favorables à une croissance inclusive, résiliente et tirée par le secteur privé. Le programme repose sur trois piliers. Le premier pilier soutient la mise en place d'un nouveau cadre de partenariat public-privé (PPP), la création d'un nouvel écosystème pour le développement des micros, petites et moyennes entreprises, et l'amélioration du climat d'investissement. Le deuxième appuie des réformes pour stimuler la collecte des recettes nationales, en créant un espace fiscal nécessaire à l'investissement public et à la viabilité de la dette. Le troisième cible des réformes destinées à une résilience sociale et climatique accrue, à travers notamment une couverture médicale subventionnée aux personnes pauvres, une protection sociale adaptative, et un renforcement de la gestion des risques de catastrophes,
« Le Bénin, en dépit des chocs externes enregistrés ces dernières années, est sur une bonne trajectoire de croissance. Il est essentiel pour le pays de poursuivre les réformes transformationnelles pour maintenir ses performances de croissance et améliorer les conditions de vie des populations vulnérables, » souligne Nestor Coffi, responsable des opérations de la Banque mondiale pour le Bénin. « Ce financement permettra au Bénin de mener des réformes pour reconstruire l'espace budgétaire, faciliter les investissements créateurs d'emplois par le secteur privé, et renforcer la résilience sociale et climatique. »
Le Bénin se classe 152e sur 181 pays en matière de vulnérabilité climatique extrême. L'augmentation de la fréquence des inondations a de lourdes conséquences sur la population et le secteur agricole. Son taux d'érosion côtière, l'un des plus élevés du golfe de Guinée, menaçant plus de 50 % de la population vivant dans la région côtière, les infrastructures clés existantes et l'activité économique. Afin d'aider le Bénin à mieux se préparer financièrement à répondre aux besoins immédiats des catastrophes naturelles, ce nouveau financement inclut une option de tirage différé en cas de catastrophe (Cat DDO) de 80 millions de dollars pouvant être entièrement ou partiellement décaissée en cas de catastrophe naturelle ou de situation d'urgence de santé publique.
L'adoption d'une nouvelle loi sur les PPP et la mise en œuvre des mesures d'accompagnement faciliteront la participation du secteur privé aux projets publics et contribueront à attirer les investisseurs privés pour mettre en œuvre des projets de partenariat public-privé. L'augmentation de la mobilisation des capitaux privés devrait également contribuer à répondre aux besoins de financement de la lutte contre le changement climatique.
Cette opération a été conçue en alignement avec le Plan d'action du gouvernement béninois 2021-2026. Le programme de réformes soutient le programme de développement vert, résilient et inclusif en renforçant l'adaptation et la résilience du pays au changement climatique grâce à l'amélioration des pratiques de prévention, de préparation et de réponse aux chocs climatiques. Il aide le gouvernement à être mieux préparé financièrement en cas de besoins immédiats d'une catastrophe naturelle.
* L'Association internationale de développement (IDA) est l'institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, elle accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et de programmes de nature à stimuler la croissance économique, à réduire la pauvreté et à améliorer la vie des plus démunis. L'IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 76 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l'IDA permettent d'apporter des changements positifs dans la vie de 1,6 milliard de personnes résidant dans les pays éligibles à son aide. Depuis sa création, l'IDA a soutenu des activités de développement dans 113 pays. Le volume annuel de ses engagements est en constante augmentation et s'est élevé en moyenne à 21 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 61 % environ de ce montant étant destinés à l'Afrique.