African School of Economics (ASE) a organisé les 20 et 21 septembre 2023, à Abomey-Calavi, un atelier de dissémination des résultats de la recherche sur l'impact socioéconomique de la Covid-19 dans 3 pays africains (Bénin, Burkina Faso et Afrique du Sud).
Une soixantaine de représentants de ministères, de l'Institut national de la Statistique et de la Démographie (INStaD), des organisations, institutions et structures nationales ainsi que des chercheurs, enseignants et étudiants se sont réunis en ligne et en présentiel du 20 au 21 septembre 2023, sur le campus de l'African School of Economics (ASE) pour participer à l'atelier de dissémination des résultats de la recherche sur les impacts socio-économiques du Covid-19.
Selon Marcel Vitouley, assistant de recherche à ASE/IREEP (Institut de Recherche Empirique en Economie Politique), il s'agit précisément des résultats issus du projet « impacts socio-économiques de la Covid-19 sur les économies africaines, la cohésion sociale et la gouvernance : cas du Bénin, du Burkina-Faso et de l'Afrique du Sud ».
Ledit projet est financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI-Canada) et mis en œuvre par l'ASE Bénin en partenariat avec le Groupe de Recherche et d'Analyse Appliquées pour le Développement (GRAAD Burkina Faso) et le Centre for the Study of Violence and Reconciliation (CSVR Afrique du Sud).
L'objectif du projet est de contribuer aux politiques et stratégies pouvant permettre de faire face aux effets immédiats et à long terme de la pandémie du Covid-19 sur les économies, la cohésion sociale et la gouvernance au Bénin, au Burkina Faso et en Afrique du Sud.
« L'atelier de dissémination nous a permis de présenter les résultats de nos recherches aux différents acteurs élaborateurs des politiques publiques mais aussi de recueillir leurs suggestions », a affirmé Marcel Vitouley.
Les participants à cet atelier, poursuit-il, ont posé des questions pertinentes pour mieux s'approprier des résultats.
Mieux faire face aux éventuelles crises
Les résultats ont été partagés à travers des panels thématiques sur l'impact économique de la Covid-19, l'analyse genre de l'impact de la Covid-19, et l'impact de la Covid-19 sur la cohésion sociale.
Les séances ont été l'occasion pour les participants d'examiner les résultats des travaux de recherche, de partager leurs connaissances et d'identifier les aspects à approfondir dans de futures recherches.
« Les principaux résultats mettent en évidence les impacts négatifs avérés de la pandémie du Covid-19 et des mesures politiques qui en ont découlé sur les conditions économiques et la cohésion sociale dans les trois pays étudiés », a confié Ségolène Eyebiyi, assistante de recherche à ASE/ IREEP.
Il ressort des résultats obtenus que la pandémie du Covid-19 a touché plusieurs couches vulnérables de la société, notamment les plus pauvres, certaines régions, les femmes, et les communautés LGBTQ (en Afrique du Sud).
« Les résultats soulignent également la nécessité d'une évaluation plus approfondie des réponses gouvernementales, en particulier en ce qui concerne l'aide gouvernementale, afin d'améliorer leur efficacité et de mieux cibler les personnes les plus vulnérables », a relevé l'assistante de recherche.
Cet atelier de dissémination des résultats de recherche, souligne-t-elle, marque « la conclusion d'une étape cruciale dans la quête de stratégies efficaces pour faire face aux répercussions de la pandémie du Covid-19 et pour mieux préparer nos sociétés à affronter des crises similaires à l'avenir ».
Damien Lankoandé du Groupe de Recherche et d'Analyse Appliquées pour le Développement n'a pas manqué de remercier tous les participants pour les échanges fructueux durant les deux jours de l'atelier.
Les suggestions des participants seront prises en compte dans la finalisation des documents élaborés selon Marcel Vitouley. Il sera procédé à la publication des résultats de la recherche via plusieurs moyens notamment les publications scientifiques, des partages de la documentation avec les parties prenantes, la participation potentielle à des séminaires scientifiques et des opportunités de collaborations futures avec les parties prenantes.
Akpédjé Ayosso
A propos de ASE
African School of Economics (ASE) est une université panafricaine fondée en 2014 par le professeur Leonard Wantchekon de l'université de Princeton. C'est l'expansion de l'Institut de recherche empirique en économie politique.
ASE propose des programmes d'études supérieures au niveau de maîtrise : Master en mathématiques, économie et statistiques (MMES), Master en administration des affaires (MBA), Master en études de développement (MDS) et Master en administration publique (MPA).
ASE dispose aussi d'un programme de formation des cadres et un doctorat. Les membres du corps professoral proviennent des meilleures universités américaines, canadiennes et européennes. L'Université est basée à Abomey-Calavi, au Bénin et a des campus en Côte d'Ivoire et au Nigeria.
ASE héberge des instituts affiliés, dont l'Institut de recherche empirique en économie politique (IREEP) et le Conseil panafricain de la recherche scientifique (PASRC).
Le Groupe de Recherche et d'Analyse Appliquées pour le Développement (GRAAD) est à Ouagadougou, Burkina Faso.
Créé en 2010, il se veut un groupe de recherche, d'appui à l'encadrement et de formation ouvert à toutes les universités dans les espaces de collaborations possibles d'une part et d'autre, un partenaire pour la décision politique.
Le Centre for the Study of Violence and Reconciliation (CSVR Afrique du Sud) est une organisation indépendante à but non lucratif. Il s'engage dans la recherche, les interventions communautaires, l'élaboration de politiques, la prestation de services, l'éducation et la formation.
Le Centre de recherches pour le développement international (CRDI) soutient et finance la recherche et l'innovation dans les régions en développement, et avec celles-ci, pour impulser le changement à l'échelle mondiale. Le Centre investit dans la recherche de haute qualité dans les pays en développement tout en partageant des connaissances avec des chercheurs et des décideurs politiques. Avec son siège à Ottawa, au Canada, le CRDI a cinq bureaux régionaux.
Énorme geste de l'international attaquant béninois Steve Mounié. La Fondation portant le nom du Guépard a fait don de kits scolaires à des élèves dans le département de Borgou ce jeudi 21 septembre 2023.
L'avant-centre du Stade Brestois Mounié Steve a frappé un joli coup qui restera graver dans les cœurs. L'international béninois a notamment pensé aux élèves en ce début de rentrée scolaire. Sa fondation a fait don de kits scolaires à 87 élèves filles du Collège d'Enseignement Général de Sinendé dans le département du Borgou.
Selon les informations divulguées par notre confrère Roméo Aklozo, la cérémonie de remise s'est déroulée ce jeudi 21 septembre 2023 en présence des bénéficiaires, des responsables de l'établissement et de Mme Dorcas SEKO, la maman de Steve Mounié.
Ce beau geste du numéro 9 béninois devrait être un message pour les autres joueurs internationaux qui pourraient eux aussi suivre cette initiative de générosité et de solidarité.
J.S
Le Maroc vient de créer un fonds spécial de gestion des impacts du séisme d'Al Haouz. En application des Instructions de SM le Roi Mohammed VI, le Conseil de gouvernement a approuvé le projet de décret relatif au compte d'affectation spécial consacré à la gestion des impacts du séisme survenu vendredi 8 septembre.
Un communiqué du Cabinet Royal, publié à l'issue de la séance de travail présidée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, samedi au Palais Royal de Rabat, et consacrée à l'examen de la situation à la suite du tremblement de terre douloureux, avait indiqué que le Souverain a donné Ses Très Hautes Instructions pour l'ouverture d'un compte spécial auprès du Trésor et Bank Al Maghrib (BAM), en vue de recevoir les contributions volontaires de solidarité des citoyens et des organismes privés et publics.
Le compte numéro 126 relatif au fonds spécial de gestion des impacts du séisme sera alimenté par plusieurs sources.
Il s'agit du budget de l'Etat, des participations des collectivités territoriales, des entreprises publiques, des contributions du secteur privé, des organismes internationaux, des dons et autres ressources.
Le compte permettra de recevoir les contributions volontaires de solidarité des citoyens et des organismes privés et publics. Ces fonds serviront à prendre en charge les dépenses liées au programme d'urgence de réhabilitation et d'aide à la reconstruction des logements détruits au niveau des zones sinistrées, la prise en charge de personnes en détresse, particulièrement les orphelins et les personnes vulnérables, les sans abri, notamment en termes d'hébergement, d'alimentation et tout autre besoin de base.
Il va couvrir aussi les dépenses liées à l'encouragement des opérateurs économiques en vue d'une reprise rapide des activités au niveau des zones concernées. Sans oublier celles liées à la constitution de réserves et stocks de première nécessité (médicaments, tentes, lits, aliments ...) au niveau de chaque région du Royaume pour parer à tout type de catastrophe.
Pour les contributions à partir du Maroc, BAM précise qu'elles peuvent être émises auprès de ses succursales et de ses agences, et auprès des agences de la Trésorerie générale du Royaume et des perceptions.
Les dons peuvent se faire également auprès des agences des banques commerciales, par virement bancaire ordinaire ou instantané, par versement en espèces, ou par chèque, pour le RIB : 001 810 00 780 002 011 062 03 18.
Les chèques bancaires devront être libellés au nom du "Fonds spécial pour la gestion des effets du tremblement de terre ayant touché le Royaume du Maroc".
Pour les virements à partir de l'étranger, ils seront émis à l'IBAN du bénéficiaire MA64 001 810 00 780 002 011 062 03 18, sous le code SWIFT BKAMMAMR, précise BAM.
Le Fonds spécial numéro 126 pour la gestion des effets du tremblement de terre a été créé sur Hautes instructions de SM le Roi Mohammed VI et dans le cadre de l'effort national pour la mise en place de mesures d'urgence pour palier l'impact du séisme ayant touché plusieurs régions du Royaume.
Depuis l'ouverture du compte de solidarité, des citoyens marocains aussi bien de l'intérieur du Royaume que de l'extérieur ne cesse de manifesté leur générosité à l'égard des sinistrés et des familles éplorées.
Le ministre délégué chargé des relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, donne la réalité des faits sur le cas des deux ressortissants français refoulés d'Al Haouz lors du séisme meurtrier survenu dans la nuit du 8 au 9 septembre dernier au Maroc.
Lors d'un point de presse tenu, jeudi 21 septembre 2023, à l'issue du Conseil du gouvernement, Mustapha Baitas, ministre délégué chargé des relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement a indiqué que « les deux ressortissants français refoulés n'ont demandé aucune autorisation pour la couverture du séisme d'Al Haouz ».
Entrés au Maroc en violation de la loi, les deux ressortissants français ont donc été refoulés, selon le ministre. Les deux ressortissants étaient venus faire du tourisme alors que pas moins de 312 journalistes étrangers, représentant 90 supports médiatiques ont couvert le séisme survenu au Maroc.
« Sur ce total, 78 journalistes, soit le quart, étaient de nationalité française et représentaient 16 supports médiatiques, dont 13 ont été accrédités pour la couverture du séisme et 03 disposaient d'accréditations permanentes », a expliqué M. Baitas.
Les journalistes accrédités ont travaillé dans un climat de liberté et de transparence dans toutes les régions affectées. Ce qui montre que le Maroc tient à la transparence et au respect des libertés.
M. M.
La fille du défunt Abdelkrim EL KHATTABI, Aicha EL KHATABBI, décédée le 20 septembre 2023, a été inhumée ce jeudi 21 septembre 2023 à Casablanca. Les obsèques de la défunte ont été rehaussées par la présence de plusieurs personnalités dont le Prince Moulay Rachid.
Aicha EL KHATABBI, fille du défunt Abdelkrim EL KHATTABI inhumée ce jeudi 21 septembre 2023 à Casablanca au Maroc. Le Prince Moulay Rachid et plusieurs autres personnalités ont marqué la cérémonie de leur présence. Cette présence aux côtés de la défunte, est la preuve de la symbiose entre le Roi et son peuple.
Contrairement à certaines allégations, la région du Rif est une priorité pour Sa Majesté le Roi.
Aïcha EL KHATTABI, lors d'une rencontre avec Sa Majesté le 30 juillet 2018 à l'occasion de la célébration de la Fête du Trône, avait témoigné tout l'intérêt que le Souverain accorde à la région du Rif. Le Roi selon la déclaration de la défunte, souhaite voir cette région « connaître davantage de prospérité ». Elle s'était dite « convaincue que la population de la région est consciente des efforts déployés par le Souverain pour promouvoir les conditions de vie des habitants, émettant l'espoir « d'un règlement de la situation des personnes détenues » dans le cadre des évènements d'Al Hoceima.
Aïcha EL KHATTABI avait également rappelé que le Souverain avait contacté sa famille, lors de son accession au Trône, pour l'informer de sa « première visite à Al Hoceima et dans la région du Rif ». Ce qui témoigne de la symbiose entre le Roi et son peuple, notamment la région du Rif.
Les pays de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) n'ont pas renoncé à la possibilité d'une intervention militaire au Niger, mais ils espèrent qu'une telle éventualité n'arrivera pas et qu'il sera possible de régler la situation par la voie diplomatique. C'est ce qu'a annoncé le président sénégalais Macky Sall.
"Toutes les possibilités ont été discutées, notamment l'option militaire. On s'attend à ce que ce soit la dernière mesure à prendre. Diverses initiatives ont été avancées, [y compris] diplomatiques, des discussions ont eu lieu sous la direction du Nigeria. L'option militaire ne saurait être faite que lorsque toutes les autres pistes auront été épuisées. Cette possibilité persiste, mais la question est de savoir si elle sera mise en œuvre, je ne le sais pas", a déclaré le dirigeant sénégalais dans un entretien à Radio France internationale (RFI) et à la chaîne France 24.
Le 26 juillet, au Niger, un groupe de militaires de la Garde présidentielle a déclenché un putsch et a annoncé la destitution du président Mohamed Bazoum. Pour gouverner le pays, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie a été créé, dirigé par le commandant de la Garde présidentielle, Abdourahamane Tchiani. Les dirigeants des États de la Cédéao ont imposé des sanctions sévères aux putschistes et ont exigé qu'ils libèrent M. Bazoum, menaçant de recourir à la force. Le 18 août, le commissaire pour la paix et la sécurité de la Cédéao, Abdel-Fatau Musah, a déclaré que la date exacte du début de l'intervention militaire au Niger avait été déterminée, mais n'a pas encore été officiellement annoncée.
Les autorités du Burkina Faso et du Mali ont déclaré dans un communiqué commun qu'elles avaient l'intention de considérer toute intervention militaire au Niger comme une déclaration de guerre à leur encontre. Elles ont promis de "prendre des mesures d'autodéfense en appui aux forces armées et au peuple nigériens". Le 16 septembre, le Burkina Faso, le Mali et le Niger ont signé une charte pour la mise en place d'une organisation de défense collective et d'assistance mutuelle dans la zone clé du Sahel.
La nommée Yemissi N. Keto, une Béninoise résident aux Etats Unis est arrêtée par la police de Waukee. Elle est poursuivie pour le meurtre de son enfant âgé d'un an.
Une Béninoise aux mains de la police à Waukee aux Etats Unis. La nommée Yemissi N. Keto selon nos sources, est accusée pour meurtre au premier degré et mise en danger d'enfant ayant entraîné la mort.
Soumise à l'interrogatoire, elle est passée aux aveux. Elle reconnait avoir versé un liquide toxique utilisé pour le nettoyage de maisons sur l'enfant. L'objectif visé à en croire ses déclarations, est d'ôter la vie à l'enfant qu'elle a porté dans ses entrailles. Les faits remontent à fin août 2023. L'équipe de police et des sapeurs-pompiers qui s'étaient rendus à sa résidence selon un communiqué de la police de Waukee rapporté par TriompheMag, avaient vu un bébé inconscient déclaré mort plus tard. Des bouteilles ouvertes de Javel et autres produits de nettoyage auraient été retrouvés à côté de la victime.
On ignore encore les raisons pour lesquelles cette jeune maman de 26 ans, a ôté la vie à son enfant.
F. A. A.
La huitième édition du Huawei Connect ouvre à nouveau ses portes à Shanghai du 20 au 22 septembre, pour la première fois depuis la crise sanitaire mondiale. Cette année, le thème de l'intelligence artificielle (IA) est à l'honneur et fait figure de priorité parmi les ambitions de Huawei sur le continent. C'est dans ce contexte que s'est tenue le 20 septembre, la Huawei Northern Africa Night, en présence de Terry HE, Président de Huawei Northern Africa (Afrique du Nord, de l'Ouest et Centrale), qui, lors de son discours, a dévoilé les contours de la nouvelle stratégie de Huawei visant à accompagner l'Afrique vers un « avenir intelligent » et connecté.
Bien plus qu'une feuille de route, cette stratégie, baptisée « Accélérer l'intelligence pour une nouvelle Afrique », se présente avant tout comme une vision pour le futur numérique et technologique de l'Afrique. Avec une population majoritairement jeune, où 60% des habitants ont 25 ans ou moins, le numérique est une source de croissance de plus en plus importante pour les États africains. Le continent se distingue également par son immense potentiel en énergie verte, créant ainsi un avantage comparatif sans précédent à l'ère de l'intelligence artificielle. Considérant ces atouts, la nouvelle stratégie de Huawei s'articule autour de l'intégration des technologies intelligentes, notamment l'IA, au sein de secteurs essentiels qui façonnent et ont un impact sur le quotidien des Africains, tels que la santé, l'éducation, les transports, la finance, l'agriculture et l'exploitation minière.
Plus précisément, cette nouvelle stratégie présente trois volets d'actions :
– Accélérer l'intelligence pour renforcer l'inclusion et ainsi améliorer la vie des populations en renforçant la couverture et la qualité des services essentiels ;
– Accélérer l'intelligence pour améliorer la gestion gouvernementale et renforcer l'attractivité de l'environnement commercial et des affaires ;
– Accélérer l'intelligence pour améliorer l'efficacité opérationnelle et la productivité au sein de l'économie, particulièrement dans les principales industries africaines.
Pour appuyer cette stratégie, Terry HE a annoncé, au cours de cette soirée, le déploiement d'un important plan d'investissement intitulé "Avenir Intelligent" dédié à la région Northern Africa englobant les 28 pays du continent au-dessus de l'équateur.
Sur une durée de cinq ans, cet ambitieux projet d'investissement s'élève à hauteur de 430 millions de dollars et est ainsi réparti : 200 millions de dollars seront injectés pour la création du premier centre de cloud public de la région qui proposera plus de 200 services cloud ainsi que 200 millions supplémentaires pour soutenir 200 partenaires logiciels locaux et renforcer 1 300 partenaires de distribution. En matière de développement des compétences, Huawei investira 30 millions de dollars pour former 10 000 développeurs locaux et 100 000 professionnels du numérique, créant ainsi une main-d'œuvre qualifiée pour stimuler la transformation intelligente dans la région.
Les défis sont immenses et les enjeux considérables. « Chaque évolution technologique est le fruit de la persévérance, de l'exploration et de l'investissement », a ainsi déclaré Terry HE, Président de Huawei Northern Africa (Afrique du Nord, de l'Ouest et Centrale), avant d'ajouter « Pour accélérer encore davantage l'intelligence régionale, Huawei continuera d'investir dans la technologie, les écosystèmes et le développement des talents. » Il a également mis en avant que la réalisation de telles ambitions exige une étroite collaboration entre les gouvernements, les entreprises, les institutions éducatives et les communautés. Dans ce contexte, il a conclu son discours en appelant à l'unité d'action, déclarant : « Unissons nos efforts pour contribuer à l'avènement d'un monde intelligent en Afrique, accélérant ainsi la réalisation des aspirations des populations en la matière. »
Pour Huawei, l'Afrique représente une composante fondamentale des ambitions de développement de l'entreprise, illustrant son engagement constant envers la transformation numérique du continent.
A PROPOS DE HUAWEI
Huawei est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'infrastructures de technologies de l'information et de la communication (TIC) et d'appareils intelligents. Grâce à des solutions intégrées dans quatre domaines clés - réseaux de télécommunications, informatique, appareils intelligents et services en Cloud - nous nous engageons à apporter le numérique à chaque personne, chaque foyer et chaque organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. Le portefeuille de produits, de solutions et de services de bout en bout de Huawei est à la fois compétitif et sécurisé. Grâce à une collaboration ouverte avec des partenaires de l'écosystème, nous créons une valeur durable pour nos clients, en œuvrant à l'autonomisation des personnes, à l'enrichissement de la vie domestique et à l'inspiration de l'innovation dans des organisations de toutes formes et de toutes tailles. Chez Huawei, l'innovation est axée sur les besoins des clients. Nous investissons massivement dans la recherche fondamentale, en nous concentrant sur les percées technologiques qui font avancer le monde. Nous sommes présents dans plus de 170 pays et sur l'ensemble du continent africain (28 implantations dans la région Northern Africa). Créé en 1987, Huawei est une société privée entièrement détenue par ses employés.
La police a arrêté un homme pour escroquerie présumée, ce mardi 19 septembre 2023, à Bohicon
Un homme qui se faisait passer pour un magistrat a été interpellé à Bohicon, mardi 19 septembre 2023.
Le faux magistrat a été arrêté à la suite d'une enquête menée par la police. Il sera présenté dans les prochains jours au procureur de la République près le tribunal de première instance d'Abomey pour des faits d'escroquerie présumée.
M. M.
Suite au nouveau classement FIFA rendu officiel ce jeudi 21 septembre 2023, les quatre différents chapeaux pour le tirage au sort de la CAN 2023 sont aussi connus.
Encore moins de quatre mois et le coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des Nations 2023 sera donné au pays des Éléphants. Si le tirage au sort aura lieu le 12 octobre prochain à Abidjan, on connait enfin les différents chapeaux. Il fallait en effet attendre le dernier classement FIFA pour déterminer les chapeaux. Et ce classement est tombé ce jeudi 21 septembre.
Découvrez donc les différents chapeaux pour le tirage au sort de la CAN 2023 :
Chapeau 1
Côte d'Ivoire (hôte)
Maroc
Sénégal
Tunisie
Algérie
Egypte
Chapeau 2
Nigeria
Cameroun
Mali
Burkina Faso
Ghana
RD Congo
Chapeau 3
Afrique du Sud
Cap-Vert
Guinée
Zambie
Guinée Équatoriale
Mauritanie
Chapeau 4
Guinée-Bissau
Mozambique
Namibie
Angola
Gambie
Tanzanie
J.S
La deuxième édition du CONCOURS 2023 DES MEILLEURES PRODUCTIONS DES MEDIAS SUR LA COOPERATION SINO-BENINOISE ORGANISE PAR « MEDIAS POUR LA COOPERATION SINO-BENINOISE » AVEC L'APPUI DE L'AMBASSADE DE LA RÉPUBLIQUE POPULAIRE DE CHINE PRÈS LE BÉNIN a été lancée.
Selon l'appel à concours, les œuvres doivent être journalistiques réalisées et diffusées entre le 13 septembre et le 31 Octobre 2023.
Les meilleures productions seront récompensées lors d'une soirée de remise de prix.
LIRE LE REGLEMENT DU CONCOURS
Le recteur de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC), Félicien Avlessi par la note de service N°417- 2023/UAC/SG/VR-RU/SA du mercredi 20 septembre 2023, a suspendu les travaux dirigés et autres activités pédagogiques sur le campus de l'UAC. Cette suspension s'explique par la tenue à l'UAC, du VIII Colloque des Sciences, Cultures et Technologies du 25 au 29 septembre 2023.
Pas de travaux dirigés et autres activités pédagogiques sur les campus de l'Université d'Abomey-Calavi du 25 au 29 septembre 2023. Le recteur Félicien Avlessi, à travers une note de service mercredi 20 septembre 2023 a informé la communauté universitaire. Cette décision de l'autorité rectorale s'explique par la tenue à l'UAC, du VIII Colloque des Sciences, Cultures et Technologies pendant cette période. « Les travaux dirigés, et toutes autres activités pédagogiques sont suspendus du 25 septembre 2023 au 29 septembre 2023 inclus », renseigne la note du recteur. Le recteur après avoir invité les responsables chargés des affaires académiques, des Unités de Formation et de Recherche de l'UAC à observer cette suspension, a exhorté ces acteurs de l'enseignement supérieur à examiner les modalités de rattrapage.
Prévu pour durer 04 jours, le VIIIè Colloque des Sciences, Cultures et Technologies de l'Université d'Abomey-Calavi va réunir des experts, des enseignants chercheurs, des politiques et même des étudiants. Il sera l'occasion pour les participants, de réfléchir autour de la thématique qui porte que « Valorisation des savoirs endogènes, comme gage d'un développement durable ».
À l'issue de sa 137ème session ordinaire mercredi 20 septembre 2023, le Conseil d'Administration de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a autorisé le financement de cinq (05) nouvelles opérations pour un montant global de 91,313 milliards FCFA. Lire le communiqué de la BOAD.
Le Conseil d'Administration de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) s'est réuni, en mode hybride, pour sa 137ème session ordinaire, sous la présidence de Monsieur Serge EKUE, Président du Conseil d'Administration, Président de la BOAD.
Après avoir approuvé le procès-verbal de la 136ème réunion, tenue le 26 juin à Abidjan (Côte d'Ivoire), le Conseil a examiné l'arrêté des comptes intermédiaires au 30 juin 2023, l'état de recouvrement des créances sur prêts de la BOAD au 31 août 2023, la note conceptuelle relative à la mise à jour des procédures de passation des marchés par les emprunteurs de la Banque, ainsi que la proposition d'actualisation de la politique de sécurité financière de la BOAD, applicable à la prévention de la lutte contre le terrorisme.
La réunion a pris acte du compte-rendu de la 44ème réunion du Comité d'Audit de la BOAD, des conclusions issues de la revue annuelle de la notation financière de la BOAD par les agences de notation internationale, du compte-rendu d'exécution d'une police d'assurance-crédit, de type portefeuille à la BOAD (Projet INDOUKAT), et de la situation des ressources mobilisées par la BOAD, au 31 juillet 2023.
Le Conseil a marqué son accord pour le financement de cinq (05) nouvelles opérations pour un montant global de 91,313 milliards FCFA, portant à 7 916,3 milliards FCFA, le total des engagements (toutes opérations confondues) de la BOAD, depuis le démarrage de ses activités opérationnelles, en 1976.
Les prêts approuvés concernent le financement partiel des projets, ci-après :
– Construction d'une sphère de stockage et d'un centre emplisseur de gaz butane à Abidjan par la société SCCI GAZ SA en Côte d'Ivoire. Cette sphère d'une capacité de 4000 tonnes sera installée sur le site de Vridi et permettra de renforcer les capacités de stockage nationales et d'améliorer l'accès au gaz butane des ménages en Côte d'Ivoire. Montant de l'opération : 9 milliards FCFA
– Construction et exploitation d'une centrale solaire photovoltaïque d'une puissance de 30 MWc avec un système de stockage 15 MW/45MWh à Niakhar, au Sénégal, par la société TERANGA NIAKHAR STORAGE. L'ouvrage contribuera à une meilleure couverture de la demande en électricité et une sécurisation de l'alimentation en énergie électrique dans le pays. Montant de l'opération :15 milliards FCFA
– Construction de l'Autoroute Bouaké-Kanawolo : tronçon Bouaké-Kobo (69,5 km), en République de Côte d'Ivoire. L'infrastructure accompagnera la croissance du trafic le long du corridor reliant le Port Autonome d'Abidjan aux pays de l'hinterland en vue de soutenir la croissance de l'économie nationale. Montant de l'opération : 30 milliards FCFA
– Proposition de prêt pour le financement partiel du projet de construction des infrastructures et des systèmes de la section Diamniadio – AIBD (19 km) du Train Express Régional (TER) en République du Sénégal. L'objectif visé est d'améliorer la mobilité des personnes et des biens dans l'agglomération de Dakar à travers les avantages offerts par le mode de transport ferroviaire. Il permettra entre autres, le déplacement journalier d'au moins 180 000 habitants tout en contribuant à la réduction d'au moins 20% de la congestion routière. Montant de l'opération : 35 milliards FCFA
– Prise de participation de la BOAD à l'augmentation du capital social de la société de Promotion et de Participation pour la Coopération Economique (PROPARCO). Cette prise de participation permettra le renforcement de la structure financière de PROPARCO. Montant de l'opération : 2,313 milliards FCFA
Enfin, les administrateurs ont approuvé quatre (04) propositions de mise à disposition de ressources destinées à soutenir l'action de la BOAD à savoir :
– Troisième ligne de crédit de la Banque de Développement de Chine (BDC) à la BOAD. Cette ressource est destinée au financement des projets dans les domaines des infrastructures de transport et des technologies de l'information et des communications, des énergies (à l'exception de la production d'énergie thermique), de l'agriculture et de la sécurité alimentaire, ainsi que de la santé et de l'éducation. Montant de l'opération : 150 millions d'euros, soit 98,393 milliards FCFA.
– ;Deuxième concours de Cassa Depositi e Prestiti (CDP) à la BOAD. Ce concours est destiné au financement des projets agricoles et agro-industriels des secteurs public et privé, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire dans l'UEMOA. Montant de l'opération : 100 millions d'euros, soit 65,596 milliards FCFA.
– Concours de First Abu Dhabi Bank (FAB) à la BOAD. Ces ressources sont destinées au financement des projets de la Banque, tous secteurs confondus. Montant de l'opération : 100 millions d'euros, soit 65,596 milliards FCFA.
– Subvention de l'Agence Française de Développement à la BOAD, destinée à la bonification des prêts du Programme d'urgence à impact rapides SONGTAABA et à la mise en place du Fonds d'Etudes Climat (FEC). Le concours est destiné d'une part au soutien des chaines d'approvisionnement dans les domaines alimentaire, énergétique, et agricoles ; d'autre part au financement d'études de faisabilité qui permettront de mobiliser des ressources pour l'exécution de projets labellisés « Climat ». Montant de l'opération : 15 millions d'euros soit 9,839 milliards FCFA.
En clôturant les travaux, le Président Serge EKUE a remercié, au nom du Conseil d'Administration de la Banque, les autorités ivoiriennes pour les moyens mis en œuvre à la tenue de cette session, dans les meilleures conditions.
La Directrice générale du Fonds monétaire internationale (FMI), Kristalina Georgieva a salué lundi 18 septembre 2023, à l'occasion de la 78e session de l'Assemblée générale de l'ONU, la solidarité dont a fait preuve le Royaume du Maroc suite au séisme qui a touché la région de Al Haouz.
La Directrice générale du Fonds monétaire internationale est sidérée par la solidarité du peuple marocain après le séisme qui a frappé la région de Al Haouz. Kristalina Georgieva l'a fait savoir à l'occasion de la 78e Assemblée générale de l'ONU à New-York.
Pour avoir été pendant 05 ans commissaire humanitaire et chargée de la réponse aux crises, elle dit avoir constaté à maintes reprises que « lorsqu'une nation s'unit, elle peut surmonter les défis les plus dramatiques ». Et c'est ce que fait le Maroc sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a-t-elle témoigné dans l'interview accordée à l'Agence marocaine de presse (MAP).
La Directrice générale du FMI a souligné qu'il est très important qu'en temps de crises, un pays se rassemble et fasse preuve de solidarité. Elle n'a pas manqué de saluer « la générosité des cœurs » de tous les Marocains qui ont fait montre d'un élan de solidarité remarquable pour venir en aide aux personnes affectées par le séisme. Cette solidarité selon Kristalina Georgieva, en dit long sur la générosité des cœurs du peuple marocain. « Je sais que lorsque nous viendrons (à Marrakech en octobre prochain pour les réunions annuelles du FMI et la Banque mondiale), nous serons accueillis avec la même générosité », a-t-elle confié annonçant les Assemblées annuelles de l'institution qu'elle dirige et celles de la Banque mondiale du 09 au 15 octobre 2023.
Le séisme qui a touché la région de Al Haouz dans a nuit du vendredi au samedi 09 septembre 2023, a fait des milliers de morts, de blessés et d'importants dégâts matériels.
F. A. A.
L'Ecole Supérieure de Management (ESM-BENIN) multiplie ses sites à travers le territoire national. 04 nouveaux sites ont été ouverts à Dassa dans le département des Collines, Pobè dans le Plateau, Kandi dans l'Alibori, et à Cocotomey, un quartier de l'arrondissement Godomey, dans la commune d'Abomey-Calavi.
Des possibilités pour les jeunes de trois départements du Bénin de bénéficier de la formation de qualité dispensée dans le cadre convivial et récréatif qu'offre l'Ecole Supérieure de Management. A Dassa dans les Collines, comme à Pobè dans le Plateau, des sites sont ouverts pour accueillir les jeunes de ces régions. En dehors de ces deux nouveaux sites, un autre site est ouvert à Kandi dans l'Alibori. Mieux, en plus du site d'Abomey-Calavi dans le département de l'Atlantique, la prestigieuse université a ouvert un autre site à Cocotomey dans l'arrondissement de Godomey. Ces 04 nouveaux sites seront ouverts dès la rentrée académique 2023-2024. Les inscriptions ouvertes depuis plusieurs semaines, se poursuivent avec des possibilités de réduction des près de 50% sur la scolarité.
L'Ecole Supérieure de Management est une université de référence dotée de plusieurs atouts qui facilitent l'insertion professionnelle des jeunes diplômés. Les étudiants inscrits dans cette université bénéficient d'un accompagnement psychologique. Des séances d'orientation et de partage d'expériences sont organisées en leur intention avec des experts et des hommes d'affaires. C'est un véritable ‘'Business school'' créé pour booster les jeunes vers un début de carrière prometteur et à l'auto-emploi.
Outre les filières classiques de formation, 06 nouvelles filières ont été ouvertes depuis la rentrée académique 2022-2023. Il s'agit du Génie Civil, Eau et Assainissement ; des Sciences Juridiques, des Sciences Economiques et de Gestion ; les Sciences Politiques ; l'Administration Générale ; et l'Administration des Finances. Toutes ces offres de formation sont disponibles en Licence et en Master, cours du jour et cours du soir.
ESM-BENIN, LE CHEMIN VERS L'EMPLOI !
Depuis sa création en 2009, le Bitcoin s'est imposé en tant que pionnier des cryptomonnaies, révolutionnant notre perception et notre interaction avec les systèmes financiers traditionnels. Grâce à sa nature décentralisée et à sa technologie de blockchain sous-jacente, le Bitcoin a eu un impact considérable sur l'économie mondiale. Cet article explore l'impact du Bitcoin sur différents aspects de l'économie, en examinant son influence sur les systèmes financiers, les entreprises, les gouvernements et les individus.
La perturbation du Bitcoin sur les systèmes financiers
La nature décentralisée du Bitcoin remet en question les systèmes financiers traditionnels régis par les banques centrales et les intermédiaires. La montée des plateformes d'échange de cryptomonnaies a donné aux individus un accès direct à un marché mondial, en contournant le besoin d'intermédiaires tels que les banques. Le Bitcoin offre une méthode rapide et sécurisée pour transférer des fonds à travers les frontières, éliminant les barrières et les coûts associés aux systèmes bancaires traditionnels. Cette perturbation a contraint les institutions financières à s'adapter et à intégrer la technologie de la blockchain pour rester compétitives.
L'essor de la technologie de la blockchain
Le succès du Bitcoin a favorisé une adoption plus large de la technologie de la blockchain, la technologie sous-jacente des cryptomonnaies. Le système de registre distribué de la blockchain offre transparence, sécurité et immuabilité, ce qui la rend attrayante pour divers secteurs. Les entreprises de différents secteurs explorent le potentiel de la blockchain pour rationaliser les processus, renforcer la sécurité et réduire les coûts. De la gestion de la chaîne d'approvisionnement aux dossiers de santé, la blockchain transforme les industries et ouvre la voie à des systèmes plus efficaces et fiables. Si vous souhaitez investir dans des bitcooins, vous pouvez utiliser des plateformes de trading comme Immediate Edge France
Le Bitcoin en tant que réserve de valeur
L'offre limitée et la nature décentralisée du Bitcoin en font une réserve de valeur potentielle, similaire à l'or. Alors que les gouvernements impriment davantage de monnaie fiduciaire, des préoccupations liées à l'inflation et à la dévaluation se posent. Le Bitcoin, avec son offre fixe de 21 millions de pièces, offre une protection contre l'inflation et l'érosion potentielle de la richesse. Cela a attiré les investisseurs institutionnels, qui diversifient de plus en plus leurs portefeuilles avec des investissements dans les cryptomonnaies. L'acceptation croissante du Bitcoin en tant que réserve de valeur a créé une classe d'actifs alternative qui peut contribuer à atténuer les risques dans les portefeuilles d'investissement traditionnels.
Le Bitcoin et l'inclusion financière
L'un des impacts notables du Bitcoin est son potentiel d'amélioration de l'inclusion financière, notamment dans les régions mal desservies. Les systèmes bancaires traditionnels échouent souvent à atteindre les zones reculées ou à répondre aux besoins de la population non bancarisée. Le Bitcoin, étant décentralisé et accessible via une connexionInternet, permet aux individus de participer à l'économie mondiale sans dépendre de l'infrastructure bancaire traditionnelle. Avec un smartphone et une connexion Internet, les personnes peuvent envoyer, recevoir et stocker de la valeur en toute sécurité. Le Bitcoin a le potentiel d'autonomiser les non-bancarisés et de leur offrir des opportunités économiques qui étaient auparavant inaccessibles.
Défis et réglementation
Bien que le Bitcoin offre de nombreux avantages, il pose également des défis aux régulateurs et aux décideurs politiques. La nature décentralisée et pseudonyme des transactions Bitcoin suscite des inquiétudes concernant le blanchiment d'argent, les activités illicites et l'évasion fiscale. Les gouvernements du monde entier cherchent à réglementer les cryptomonnaies sans entraver l'innovation. Trouver un équilibre entre la protection des consommateurs, la sécurité et la promotion de l'innovation reste un défi majeur. Alors que l'économie mondiale s'adapte à l'émergence des cryptomonnaies, les cadres réglementaires évoluent pour aborder ces préoccupations et assurer l'intégration responsable des cryptomonnaies dans les systèmes financiers existants.
L'avenir du Bitcoin et de l'économie mondiale
L'impact du Bitcoin sur l'économie mondiale est en constante évolution, avec un potentiel de perturbation et de transformation supplémentaire. À mesure que la technologie progresse et que les problèmes de mise à l'échelle sont résolus, le Bitcoin pourrait devenir plus viable pour les transactions quotidiennes, devenant ainsi une partie intégrante de l'économie numérique. L'acceptation croissante et l'intégration des cryptomonnaies par les entreprises, les institutions financières et les gouvernements suggèrent que l'influence du Bitcoin continuera de s'étendre. Cependant, le chemin à suivre n'est pas sans défis, car la coordination mondiale, la clarté réglementaire et la cybersécurité seront cruciales pour façonner l'avenir du Bitcoin et son impact sur l'économie mondiale.
Conclusion
Le Bitcoin a indéniablement eu un impact profond sur l'économie mondiale depuis sa création. Sa nature perturbatrice a remis en question les systèmes financiers traditionnels, ouvert la voie à la technologie de la blockchain et ouvert des portes pour l'inclusion financière. Alors que le monde fait face aux avancées et aux défis présentés par les cryptomonnaies, le potentiel du Bitcoin en tant que réserve de valeur et moyen d'échange continue de gagner en reconnaissance. Cependant, les cadres réglementaires et les préoccupations liées à la sécurité doivent être traités pour assurer une intégration responsable. L'avenir du Bitcoin et son impact sur l'économie mondiale recèlent un immense potentiel, mais une navigation prudente et une collaboration entre les parties prenantes seront essentielles pour une intégration réussie dans la structure de nos systèmes financiers.
Ce jeudi 21 septembre 2023, la FIFA a dévoilé son nouveau classement des sélections quelques jours après la dernière trêve internationale. Les Guépards du Bénin sont classés 94e au classement mondial et 20e au classement africain.
L'élimination du Bénin face au Mozambique lors du match de la 6e journée des éliminatoires de la CAN 2023 disputé lors de la dernière trêve internationale a fait reculer l'équipe de Gernot Rohr. Les Béninois ont perdu une place et retombent à la 94e position mondiale. Les poulains du sélectionneur Gernot Rohr conservent tout de même leur 20e place en Afrique.
Les Lions de l'Atlas du Maroc conservent eux également leur place de leader devant le Sénégal. La Tunisie occupe la 3e place suivie de l'Algérie (4e) et l'Egypte (5e). Les Lions de l'Atlas gagnent même une place au classement mondial, et retrouvent désormais la 13e position, devant la Suisse. Un bond en avant dû au succès des Marocains contre le Burkina Faso (1-0), le 12 septembre à Lens (France).
J.S
Le Royaume du Maroc a conclu avec le Fonds monétaire international (FMI), un accord au niveau des experts pour un financement de 1,3 milliards de dollars. Cet appui vise à atténuer l'impact du changement climatique.
Le FMI appuie les efforts du Maroc pour l'atténuation de l'impact du changement climatique. L'institution internationale a fourni à cet effet, un financement à long terme de 1,3 milliard de dollars au pays du Roi Mohammed VI.
Cet appui selon la directrice générale du FMI, vise à consolider la résilience du Royaume, et atténuer l'impact du changement climatique. Kristalina Georgieva a porté l'information lundi 19 septembre lors de la 78e session de l'Assemblée générale de l'ONU. Le changement climatique pour elle, fait partie des défis majeures qui se posent à la communauté internationale, et qui « affecte déjà de façon considérable ». Cette problématique selon la directrice générale du FMI dans un entretien accordé à l'Agence marocaine de presse (MAP), sera l'un des trois axes sur lesquels l'institution compte mettre l'accent durant sa participation au sommet sur les Objectifs pour le développement durable (ODD) qui se tient en marge du débat de haut niveau de l'Assemblée générale de l'ONU.
F. A. A.
L'ex président nigérien déchu, Mohamed Bazoum a saisi, lundi 18 septembre 2023, la Cour de Justice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO).
Détenu avec quelques membres de sa famille depuis le coup d'Etat du 26 juillet 2023 à Niamey, le président nigérien déchu a porté plainte contre l'Etat nigérien. C'est à travers la saisine, lundi 18 septembre 2023, de la Cour de Justice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO).
Mohamed Bazoum, par le biais de son avocat sénégalais, Maître Mohamed Seydou Diagne, demande à la juridiction, de constater la violation de sa liberté d'aller et de venir, son arrestation et sa détention arbitraire et la violation des principes de convergence constitutionnelle.
Le président nigérien déchu demande à la Cour de Justice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) d'ordonner sa libération immédiate ainsi que celle de Hadiza Bazoum, sa femme et Salem Bazoum, son fils.
M. M.
#Niger-Justice/ Plainte des avocats du Président Mohamed Bazoum pic.twitter.com/R885tgHRrm
— Serge Daniel (@sergedanielinfo) September 20, 2023