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24 Heures au Bénin

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Webzine, Quotidien Béninois indépendant, d'analyses et d'information en ligne
Updated: 5 hours 43 min ago

Qui est Merveille Hountongbé 1ère au BAC 2019

Wed, 07/24/2019 - 01:01

Agé de 16 ans, Merveille Claudia Thalia Hountongbe occupe le premier rang au plan national à l'examen du Baccalauréat, session de juin 2019. Elle a obtenu le BAC en série C, avec une moyenne de 18,13 sur 20. Merveille a fréquenté le Collège catholique Saint Pierre-Claver de Lokossa, situé dans le département du Mono.

Benjamine d'une fratrie de 03 enfants, la surdouée Merveille Hountongbe est orpheline de mère depuis l'âge de 8 ans. Elle a grandi en bénéficiant de l'amour de ses tantes et oncles qui se réjouissent face à cette prouesse réalisée par leur fille.
A en croire ses tantes interviewées par Eden Tv, Merveille Hountongbé s'est donnée réellement au travail puisqu'elle avait fait la promesse d'occuper le premier rang à l'examen du Baccalauréat. « C'était une promesse et elle a tenue », a déclaré l'une de ses tantes.

Résultats définitifs du #BAC 2019 au #Bénin : à la découverte de la première au plan national https://t.co/ZR9Fi9A2ii via @YouTube

— Benin Eden TV (@BeninEdenTV) July 23, 2019

Merveille Hountongbé heureuse d'avoir tenu son engagement remercie tous ceux qui l'ont aidée dans cette réussite. « D'abord à papa, je lui dis merci pour tout le soutien qu'il m'a donné. A mon frère, c'est lui qui a été mon repère, c'est à lui que je dois ça », a-t-elle confié au micro de Eden Tv. Elle a également remercié ses professeurs qui ont œuvré pour son succès.
L'un des enseignants Gilles Kangni affirme : « Quand nous sentons déjà qu'il y a ce petit génie en eux, il y a cette méthode là que nous avons en demandant à nos apprenants d'aller au-delà de ce qu'ils accomplissent. Et c'est ça qui conduit à ces résultats ».
Selon le père de Merveille, ses 03 ans enfants ont toujours fait leur preuve aux examens du BAC. « L'aîné a eu le BAC avec la mention assez bien, celui qui l'a suivi dans le souci de relever le défi a eu le BAC avec la mention Bien. Il ne restait qu'une chose pour Claudia, c'était d'avoir la mention très bien. Elle nous a promis d'aller toucher le plafond et aujourd'hui nous voilà les mains contre le plafond », se réjoui Urbain Hountongbé, délégué médical et père de la plus brillante au BAC 2019.
Le souhait des parents est que les autorités béninoises trouvent une bourse d'études supérieures à ce génie afin qu'elle puisse accomplir d'autres merveilles.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Liste des Écureuils retenus pour le match contre le Togo

Tue, 07/23/2019 - 23:25

Moussa Latoundji le Sélectionneur National a rendu publique la liste des 23 joueurs retenus pour la double confrontation Bénin-Togo, Togo-Bénin dans le cadre des préparatifs CHAN 2019. Le match aller contre les Éperviers est prévu pour le 26 juillet tandis que le retour est pour 2 août 2019.

Conférence de presse : liste des 23 joueurs pour le #CHAN 2020 https://t.co/52ARxKUqHT via @YouTube

— Benin Eden TV (@BeninEdenTV) July 23, 2019

Liste des joueurs sélectionnés pour le CHAN

1- KAKPO Chérif (Buffles)
2- DAMILOLA Shey W. (Ayema)
3- DOUYEME Batori (USS krake)
4- HASSANE Imourane (Académie Poté )
5- BADAROU N. NAfiou (Aspac)
6- FASSINOU Rodrigue (Aspac)
7- DOSSA Honoré (Ayema)
8- OGOUCHI Jean (Tonnerre)
9- YAROU Nabil (Buffles)
10- AKPLOGAN Éric (Esae)
11- OUOROU Djalilou (Jac)
12- HOUNGBEDJI K. Gaston (Aspac)
13- BONOU Jérôme A. (Aspac)
14- SENI Atikou (Buffles)
15- SEDJAME Patrick (Buffles)
16- DJIBRIL Naïm (Asvo)
17- AGOGNON Julien (Buffles)
18- ABOKI Warris (Aspac)
19- ODO CHABI Bio (Soleil)
20- IDRISSOU Saliou (Panthère)
21- ALLABANI A. Balla (Dragon)
22- MARTIN'S Friday (Upi Unm)
23- ADANGNANDE Gilbert (Energie).

Categories: Afrique

La 12ème édition officiellement lancée

Tue, 07/23/2019 - 22:58

L'édition 2019 de la Foire internationale de l'indépendance se déroule du 19 juillet au 04 août 2019, au Stade Général Mathieu Kérékou de Cotonou. La cérémonie de lancement a eu lieu dans l'après-midi de ce mardi 23 juillet, 2019 en présence de M. Serge Ahissou, ministre de l'Industrie et du Commerce, de Mme Bintou Chabi Adam Taro, ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance et Modeste Kérékou, ministre des Petites et moyennes entreprises et de la promotion de l'emploi.
La Foire internationale de l'indépendance est marquée par l'exposition de nombreux produits artisanaux d'origine béninoise. Elle constitue aussi une occasion d'échanges et de bonnes affaires. Avec plus de 100 000 visiteurs et 400 exposants attendus, le public est invité à faire massivement le déplacement pour visiter les différents stands.
Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Voici les responsables des différents organes de la HAAC

Tue, 07/23/2019 - 21:27

Après l'installation officielle des nouveaux membres de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC), les responsables des différentes commissions techniques ont été mis en place ce mardi 23 juillet.

#Bénin : quelle presse avec une #Haac sans moyens d'assurer la protection et des médias sous contrats occultes | La Nouvelle Tribune https://t.co/zKxcP4HI48 @lntribune

— La Nouvelle Tribune (@LNTribune) July 23, 2019

Rémi Prosper MORETTI Président de la HAAC, 6ème mandature
Cécile AHOUMENOU VP de la HAAC
GBAGUIDI Fernand 1er Rapporteur de la HAAC
Bilikissou ALI MACHIFFA 2eme Rapporteur de la HAAC
Marianne DOMINGO présidente de la Commission de la législation et du contentieux
Armand HOUNSOU présidente de la Commission de la Formation et de la documentation
Cécile AHOUMENOU présidente de la Commission des techniques et des nouvelles technologies de la communication
Bilikissou ALI MACHIFA présidente de la Commission chargée des relations extérieures et de la coopération.
Bastien SALAMI président de la Commission chargée de la carte de presse, de l'éthique et de la déontologie
Ali CAMAROU président de la Commission des médias du secteur privé
Fernand GBAGUIDI président de la Commission des relations publiques et communications

KPOTCHEME Franck Président Commission médias du service public

Extrait du discours d'installation du #Prbenin #PatriceTALON, des nouveaux membres de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC). #Wasexo pic.twitter.com/vYzQVtdAzY

— Présidence du Bénin (@PresidenceBenin) July 22, 2019

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Tabé Gbian réélu président du CES

Tue, 07/23/2019 - 18:17

Les membres du bureau du Conseil Économique et Social (CES), 6ème mandature sont connus depuis l'après-midi de ce mardi 23 juillet 2019 au terme d'une plénière élective.
Augustin Tabé Gbian a été réélu à la tête de l'institution. Nestor Wadagni est élu vice-président, Claude Balogoun, trésorier, Moudachirou Bachabi et Issifou Sidi respectivement 1er et 2eme secrétaire.
A.A.A

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700 kg de faux médicaments saisis

Tue, 07/23/2019 - 18:13

Les agents du Service d'intervention rapide Mono-Couffo de la Douane béninoise ont saisi dans la matinée de lundi 22 juillet 2019 plus de 3000 boîtes de faux médicaments à hauteur de Sègbohouè.
Les produits ont été interceptés suite à la poursuite d'un minibus en provenance du Togo pour Cotonou.
Le conducteur qui a essayé d'éviter les contrôles douaniers transportait des produits de la contrebande.
Au niveau de l'arrondissement de Sègbohouè, le conducteur s'est enfui, ce qui a permis à la douane de mettre la main sur 3000 boîtes de faux médicaments pesant environ 700 kg.

A.A.A

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800 000 conteneurs à traiter d'ici 2025

Tue, 07/23/2019 - 17:32

Le DG du port autonome de Cotonou (PAC), Joris Thys impulse un nouveau dynamisme au poumon de l'économie nationale. Après quelques mois de gestion, il établit un nouveau plan. Dans le but d'accueillir dans ses bassins des bâtiments de 300 mètres d'ici à la fin de 2019, il entrevoit dès le mois d'août, huit semaines de travaux à cet effet, selon un publication de JA du 23 juillet.
Aussi devra-t-il engager des travaux de dragage et d'agrandissement qui démarrent en avril 2020. Ces travaux entrent dans le cadre d'un plan de 591 milliards de FCFA (900 millions d'euros) impulsé par PAI, en cours de bouclage auprès de banques et de bailleurs de fonds internationaux.
La vision qui sous-tend cette initiative est d'atteindre d'ici à trois ans les 15 à 16 m de tirant d'eau partout dans la darse (de 11,5 à 13,5 m actuellement) et une surface de près de 270 hectares (soit 25 ha de plus).

Jeune Afrique économie - Logistique : le belge PAI accélère la mue du port de Cotonou https://t.co/pxNsqUmc5Q pic.twitter.com/IWtJWtEXWC

— Afropages (@Afropages) July 23, 2019

Lesdits travaux qui restent la grande préoccupation du directeur général, faciliteront l'accostage des bateaux plus longs, de 340 m (contre 275 m aujourd'hui).
Aussi pourra-t-on passer de 526 000 à 800 000 conteneurs équivalents vingt pieds (EVP) d'ici à 2025.
L'érection d'un terminal vraquier et une zone logistique sous douane de 50 ha sont en projet pour desservir l'hinterland.
G.A.

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Ces établissements à 100% et ceux à 0%

Tue, 07/23/2019 - 17:28

Ils sont 11 établissements à donner le sourire à tous les candidats présentés au baccalauréat. 2019.
Il y a le Séminaire Notre Dame de Fatima (Parakou) avec 35 présentés et 35 admis. Il est suivi de CP La Rose (Cotonou) avec 33 sur 33.
Le Prytanée Militaire (Bembèrèkè) a présenté 30 candidats tous admis. Pareil pour le Lycée Militaire des jeunes filles GMK (Natitingou) pour ses 23 candidates.
Le CP Le Challenge de Calavi ayant présenté 19 candidats n'a enregistré aucun échec. Le CP Champagnat de Kandi s'en sort avec 0 échec contre 18 admis.
A Calavi, le CP Octave Denise s'en sort avec ses 11 candidats tandis que le CP La formation de Cotonou a 6 admis sur 6.
Le CP Le pivot (Calavi) avec obtenu aussi 100% avec 5 candidats. Le CP La grâce se réjouit avec ses 3 candidats et CP Wend Panga (Ouidah) avec 2/2.
Contrairement à ces établissements qui s'en sortent avec 100%, d'autres n'ont même pas un candidat admis.
Ils sont dix établissements à garder la lanterne rouge. Ce sont :
CP Marie Denise (Zè) avec 20 candidats ;
CP Château du Nord (Parakou) 11 ;
CP Quartier latin (Comé) 7 ;
CP Avenir garanti (Sèmè-Podji) 6 ;
CP La référence d'Igolo (Ifangni) 5 ;
CP King amacheree international school (Sèmè Podji) 5 ;
CP Les merveilles du monde (Adjarra) 4 ;
CP ECDS (Albarika- Parakou) 3 ;
UP Peace (Porto-Novo) 2 ; et
CP Miracle de Dieu (Calavi) 1.
Aucun de ces établissements n'a franchi la barre de 0%.
G.A.

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Vue panoramique de Koussoukouingou

Tue, 07/23/2019 - 14:22

Vue panoramique de Koussoukouingou depuis les montagnes de la chaîne de l'Atacora à Boukombé.

Voir en ligne : Vue panoramique de Koussoukouingou
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« Les bourses sont données par quota et par ordre de mérite... »

Tue, 07/23/2019 - 12:15

« Enseignement supérieur au Bénin, fer de lance de l'innovation ». Tel est le thème sur lequel le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique s'est entretenu avec les internautes le jeudi 18 juillet dernier. Elle a montré que la formation universitaire subit des réformes qui redonne à l'enseignement supérieur sa valeur réelle.
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique était face aux internautes le 18 juillet dernier. Elle a apporté des réponses aux questions posées tout en montrant les différentes réformes dans le sous-secteur de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique.
En ce qui concerne par exemple la question d'octroi de bourses, Marie-Odile Atanasso explique que depuis 2016, les méthodes d'attribution de bourses et secours ont changé. « Il n'y a plus de bourses pour la forme », martèle-t-elle. Elle explique que « Nous partons des besoins exprimés par les ministères sectoriels. Ensuite, nous envoyons des courriers aux entités universitaires pour savoir leur capacité d'accueil en tenant aussi compte des contraintes budgétaires. Nous mettons en place une commission qui travaille sur des critères bien définis pour l'exécution du PAG ».
Aussi souligne-t-elle que « Les bourses sont données par quota aux entités et par ordre de mérite selon la moyenne obtenue au baccalauréat ». Tout ceci est régit par le décret 155-2017 du 10 mars 2017, portant attribution de bourses au Bénin.
Quant à l'avantage induit par ce décret, le ministre dira que « le nombre de boursiers a augmenté ». A titre d'exemple, elle rappelle que « En 1ére année, nous avons donné plus de 15.000 bourses en licence cette année en battant tous les records. Cela fait environ 45.000 boursiers sur les 3 ans, si tous les étudiants passent avec succès leurs semestres ».
Le ministre ajoute que « Ce décret nous permet aussi de maîtriser les effectifs et faire des projections dynamiques ». Selon Mme Attanasso, « L'âge d'accès à la bourse doctorale est amélioré en passant de 26 à 29 ans tenant ainsi compte des contraintes de notre pays ». Mieux, « dans la vision d'améliorer les conditions de vie des étudiants, nous avons défini un quota d'accès aux secours universitaires. Sur instructions du Chef de l'Etat, quelques étudiants non boursiers seront repêchés au semestre 3 pour bénéficier des allocations », a-t-elle indiqué.
Malgré ces réformes, une autre situation se pose, celle de la mensualisation du payement des bourses. A cette question Marie-Odile Atanasso explique que « le gouvernement n'a jamais été indifférent aux problèmes des étudiants car ils constituent un maillon important de la jeunesse ».
« On peut relever des dysfonctionnements dans l'administration. (...) les étudiants sont censés avoir la bourse en 1ère année de façon mensuelle et régulière. Lorsque nous passons en 2e année, c'est-à-dire le semestre 3, il faut vérifier si l'étudiant est passé au semestre 3 », explique-t-elle.
Selon la ministre, « Les difficultés proviennent du fait que les années commencent très tard et aussi les résultats ne sont pas donnés à bonne date. Si nous n'avons pas les résultats fournis par les établissements, facultés, écoles, … nous n'aurons pas de dossiers à soumettre à la commission des bourses. Cela fait que toutes nos prévisions et efforts sont frappés par cette faiblesse ». Pour cela, « La responsabilité n'est pas au niveau du gouvernement mais plutôt au niveau des recteurs, doyens et autres responsables académiques », a-t-elle indiqué. Néanmoins, le Chef de l'Etat et son gouvernement s'attèlent à corriger ces imperfections qui plombent nos efforts envers les étudiants, précise-t-elle. Outre les questions relatives aux bourses, les internautes ont voulu être mieux éclairés sur les aides aux étudiants qui ont décidé de pouvoir leurs études hors du territoire béninois. Le ministre souligne que tout dépend du type de bourse d'études. « Le Bénin donne assez de bourses étrangères à ses étudiants : Sénégal, Cameroun, France… Nous accompagnons aussi ceux qui ont les bourses au Canada sans oublier les appuis des partenaires », souligne la ministre. Elle fait savoir que « L'attribution de ces bourses tient rigoureusement compte des besoins réels de notre pays ». Et par rapport à cela, « Nous avons mis fin à la politique de bourse pour bourse ». Ceci parce qu', « Il y a quelques réserves par rapport aux bourses canadiennes. Et pour cause, la plupart des étudiants envoyés au Canada ne sont plus revenus alors que ce sont des bourses qui nous coûtent beaucoup ».
L'autre sujet non moins important est la difficulté d'authentification des diplômes chinois par l'ambassade du Bénin en chine. Marie Odile Atanasso dira à ce propos que « ce qu'il faut savoir, c'est l'école qui délivre le diplôme qui donne l'authentification ». Elle confie que la possibilité a été donnée aux ambassades de certifier les diplômes. « Mais la certification n'est pas l'authentification. Les dispositions sont prises pour la célérité dans les différentes correspondances à travers des valises diplomatiques afin de pallier ces difficultés pour les étudiants qui se font former à l'étranger ».
Quant à la question relative à la recherche, un internaute estime que les gens soutiennent leurs mémoires qui sont placés dans les tiroirs alors que sans recherche pas de développement. « Il faut savoir que la recherche ne se fait pas seulement dans le supérieur mais dans tous les sectoriels à savoir l'INRAB, la santé, etc. Notre souhait est de créer un cadre institutionnel qui valorise les chercheurs. C'est cela qui a motivé la création de l'Agence pour la Recherche et l'Innovation. C'est dans cette optique que les startups sont vulgarisées », a-t-elle répondu.
G.A.

Categories: Afrique

« Les bourses sont données par quota et par ordre de mérite... »

Tue, 07/23/2019 - 12:15

« Enseignement supérieur au Bénin, fer de lance de l'innovation ». Tel est le thème sur lequel le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique s'est entretenu avec les internautes le jeudi 18 juillet dernier. Elle a montré que la formation universitaire subit des réformes qui redonne à l'enseignement supérieur sa valeur réelle.
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique était face aux internautes le 18 juillet dernier. Elle a apporté des réponses aux questions posées tout en montrant les différentes réformes dans le sous-secteur de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique.
En ce qui concerne par exemple la question d'octroi de bourses, Marie-Odile Atanasso explique que depuis 2016, les méthodes d'attribution de bourses et secours ont changé. « Il n'y a plus de bourses pour la forme », martèle-t-elle. Elle explique que « Nous partons des besoins exprimés par les ministères sectoriels. Ensuite, nous envoyons des courriers aux entités universitaires pour savoir leur capacité d'accueil en tenant aussi compte des contraintes budgétaires. Nous mettons en place une commission qui travaille sur des critères bien définis pour l'exécution du PAG ».
Aussi souligne-t-elle que « Les bourses sont données par quota aux entités et par ordre de mérite selon la moyenne obtenue au baccalauréat ». Tout ceci est régit par le décret 155-2017 du 10 mars 2017, portant attribution de bourses au Bénin.
Quant à l'avantage induit par ce décret, le ministre dira que « le nombre de boursiers a augmenté ». A titre d'exemple, elle rappelle que « En 1ére année, nous avons donné plus de 15.000 bourses en licence cette année en battant tous les records. Cela fait environ 45.000 boursiers sur les 3 ans, si tous les étudiants passent avec succès leurs semestres ».
Le ministre ajoute que « Ce décret nous permet aussi de maîtriser les effectifs et faire des projections dynamiques ». Selon Mme Attanasso, « L'âge d'accès à la bourse doctorale est amélioré en passant de 26 à 29 ans tenant ainsi compte des contraintes de notre pays ». Mieux, « dans la vision d'améliorer les conditions de vie des étudiants, nous avons défini un quota d'accès aux secours universitaires. Sur instructions du Chef de l'Etat, quelques étudiants non boursiers seront repêchés au semestre 3 pour bénéficier des allocations », a-t-elle indiqué.
Malgré ces réformes, une autre situation se pose, celle de la mensualisation du payement des bourses. A cette question Marie-Odile Atanasso explique que « le gouvernement n'a jamais été indifférent aux problèmes des étudiants car ils constituent un maillon important de la jeunesse ».
« On peut relever des dysfonctionnements dans l'administration. (...) les étudiants sont censés avoir la bourse en 1ère année de façon mensuelle et régulière. Lorsque nous passons en 2e année, c'est-à-dire le semestre 3, il faut vérifier si l'étudiant est passé au semestre 3 », explique-t-elle.
Selon la ministre, « Les difficultés proviennent du fait que les années commencent très tard et aussi les résultats ne sont pas donnés à bonne date. Si nous n'avons pas les résultats fournis par les établissements, facultés, écoles, … nous n'aurons pas de dossiers à soumettre à la commission des bourses. Cela fait que toutes nos prévisions et efforts sont frappés par cette faiblesse ». Pour cela, « La responsabilité n'est pas au niveau du gouvernement mais plutôt au niveau des recteurs, doyens et autres responsables académiques », a-t-elle indiqué. Néanmoins, le Chef de l'Etat et son gouvernement s'attèlent à corriger ces imperfections qui plombent nos efforts envers les étudiants, précise-t-elle. Outre les questions relatives aux bourses, les internautes ont voulu être mieux éclairés sur les aides aux étudiants qui ont décidé de pouvoir leurs études hors du territoire béninois. Le ministre souligne que tout dépend du type de bourse d'études. « Le Bénin donne assez de bourses étrangères à ses étudiants : Sénégal, Cameroun, France… Nous accompagnons aussi ceux qui ont les bourses au Canada sans oublier les appuis des partenaires », souligne la ministre. Elle fait savoir que « L'attribution de ces bourses tient rigoureusement compte des besoins réels de notre pays ». Et par rapport à cela, « Nous avons mis fin à la politique de bourse pour bourse ». Ceci parce qu', « Il y a quelques réserves par rapport aux bourses canadiennes. Et pour cause, la plupart des étudiants envoyés au Canada ne sont plus revenus alors que ce sont des bourses qui nous coûtent beaucoup ».
L'autre sujet non moins important est la difficulté d'authentification des diplômes chinois par l'ambassade du Bénin en chine. Marie Odile Atanasso dira à ce propos que « ce qu'il faut savoir, c'est l'école qui délivre le diplôme qui donne l'authentification ». Elle confie que la possibilité a été donnée aux ambassades de certifier les diplômes. « Mais la certification n'est pas l'authentification. Les dispositions sont prises pour la célérité dans les différentes correspondances à travers des valises diplomatiques afin de pallier ces difficultés pour les étudiants qui se font former à l'étranger ».
Quant à la question relative à la recherche, un internaute estime que les gens soutiennent leurs mémoires qui sont placés dans les tiroirs alors que sans recherche pas de développement. « Il faut savoir que la recherche ne se fait pas seulement dans le supérieur mais dans tous les sectoriels à savoir l'INRAB, la santé, etc. Notre souhait est de créer un cadre institutionnel qui valorise les chercheurs. C'est cela qui a motivé la création de l'Agence pour la Recherche et l'Innovation. C'est dans cette optique que les startups sont vulgarisées », a-t-elle répondu.
G.A.

Categories: Afrique

6728 candidats à l'assaut du parchemin

Tue, 07/23/2019 - 11:39

Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique a procédé ce lundi 22 juillet au lancement des épreuves de l'examens national de licence.
Ils sont 6728 candidats à l'assaut de cet examen toutes catégories confondues. Cet effectif est en hausse par rapport à celui de 2017 et 2018. Ce dont se réjouit le ministre Marie Odile Attanasso, qui n'a pas manqué de féliciter les établissements privés d'enseignement supérieur pour leur engagement. Marie Odile Attanasso a au cours du lancement des épreuves indiqué aux candidats qu'il ne s'agit pas d'un concours mais un examen ou tous ceux qui auront la moyenne seront déclarés admis. Il n'est point question de s'agiter. Elle appelle chacun à se concentrer afin de donner le meilleur de lui-même. Car souligne-t-elle les épreuves sont à leur portée et ils pourront s'en sortir aisément avec un peu d'effort et de concentration.
G.A.

Categories: Afrique

6728 candidats à l'assaut du parchemin

Tue, 07/23/2019 - 11:39

Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique a procédé ce lundi 22 juillet au lancement des épreuves de l'examens national de licence.
Ils sont 6728 candidats à l'assaut de cet examen toutes catégories confondues. Cet effectif est en hausse par rapport à celui de 2017 et 2018. Ce dont se réjouit le ministre Marie Odile Attanasso, qui n'a pas manqué de féliciter les établissements privés d'enseignement supérieur pour leur engagement. Marie Odile Attanasso a au cours du lancement des épreuves indiqué aux candidats qu'il ne s'agit pas d'un concours mais un examen ou tous ceux qui auront la moyenne seront déclarés admis. Il n'est point question de s'agiter. Elle appelle chacun à se concentrer afin de donner le meilleur de lui-même. Car souligne-t-elle les épreuves sont à leur portée et ils pourront s'en sortir aisément avec un peu d'effort et de concentration.
G.A.

Categories: Afrique

Le contrôleur Soumaïla Yaya aux commandes

Tue, 07/23/2019 - 11:36

Nazaire Hounnonpkè, désormais ex-directeur général de la police Républicaine a passé la main à son successeur, Soumaïla Yaya ce lundi 22 juillet 2019.
La cérémonie a eu lieu dans les locaux de la direction générale de l'institution en présence du ministre de l'Intérieur, Sacca Lafia, du Haut Commandement Militaire et de diverses personnalités politico-administratives.

Passant le témoin à son successeur, le directeur général sortant Nazaire Hounnonpkè a remercié le chef de l'Etat qui lui a permis de faire ses preuves à la tête de l'institution. « Vous m'avez donné l'occasion de mettre en œuvre une réforme phare. Vous avez estimé que le moment est venu pour que je puisse vous servir ailleurs », a-t-il déclaré.
L'ex directeur général part « en espérant que la mission est accomplie ». Il promet apporter son soutien à son successeur ‘'pour continuer l'œuvre entamée.''
Installé officiellement dans ses fonctions, le nouveau patron de la Police Républicaine, Soumaïla Yaya veut ensemble avec ses coéquipiers « faire de la Police Républicaine une institution humaine, forte et efficace au service du peuple ». Il s'agira d'œuvrer dans le but de transformer profondément la police républicaine en une force garante des institutions de la République (…), une force spécialement dédiée à la sécurité ».
Soumaïla Yaya s'engage à « une meilleure exécution des missions, au rayonnement de la Police à l'intérieur et à l'extérieur du pays ».
A en croire le ministre de l'intérieur « l'attente des populations en matières de sécurité est très grande ». Sacca Lafia invite les agents de sécurité à assurer convenablement leur mission. Aussi, a-t-il annoncé le recrutement de 500 nouveaux policiers. Ce qui va renforcer davantage l'institution qui a pour missions fondamentales d'assurer le respect de l'ordre public, la sécurité et la protection des institutions de l'État, aussi des libertés publiques et la protection des personnes et des biens sur toute l'étendue du territoire national.
Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Le contrôleur Soumaïla Yaya aux commandes

Tue, 07/23/2019 - 11:36

Nazaire Hounnonpkè, désormais ex-directeur général de la police Républicaine a passé la main à son successeur, Soumaïla Yaya ce lundi 22 juillet 2019.
La cérémonie a eu lieu dans les locaux de la direction générale de l'institution en présence du ministre de l'Intérieur, Sacca Lafia, du Haut Commandement Militaire et de diverses personnalités politico-administratives.

Passant le témoin à son successeur, le directeur général sortant Nazaire Hounnonpkè a remercié le chef de l'Etat qui lui a permis de faire ses preuves à la tête de l'institution. « Vous m'avez donné l'occasion de mettre en œuvre une réforme phare. Vous avez estimé que le moment est venu pour que je puisse vous servir ailleurs », a-t-il déclaré.
L'ex directeur général part « en espérant que la mission est accomplie ». Il promet apporter son soutien à son successeur ‘'pour continuer l'œuvre entamée.''
Installé officiellement dans ses fonctions, le nouveau patron de la Police Républicaine, Soumaïla Yaya veut ensemble avec ses coéquipiers « faire de la Police Républicaine une institution humaine, forte et efficace au service du peuple ». Il s'agira d'œuvrer dans le but de transformer profondément la police républicaine en une force garante des institutions de la République (…), une force spécialement dédiée à la sécurité ».
Soumaïla Yaya s'engage à « une meilleure exécution des missions, au rayonnement de la Police à l'intérieur et à l'extérieur du pays ».
A en croire le ministre de l'intérieur « l'attente des populations en matières de sécurité est très grande ». Sacca Lafia invite les agents de sécurité à assurer convenablement leur mission. Aussi, a-t-il annoncé le recrutement de 500 nouveaux policiers. Ce qui va renforcer davantage l'institution qui a pour missions fondamentales d'assurer le respect de l'ordre public, la sécurité et la protection des institutions de l'État, aussi des libertés publiques et la protection des personnes et des biens sur toute l'étendue du territoire national.
Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Ce que Talon a dit aux nouveaux conseillers

Tue, 07/23/2019 - 00:20

Les membres de la nouvelle mandature de la Haute Autorité de l'Audiovisuelle et de la Communication (HAAC) ont été installés ce lundi 22 juillet 2019. C'est le chef de l'État qui a procédé en personne à l'installation de cette 6ème mandature.
La nouveaux conseillers de la Haute Autorité de l'Audiovisuelle et de la Communication ont officiellement pris service ce lundi. Installée par le chef de l'Etat, cette mandature à de nombreux défis à relever. Cette « investiture me donne l'occasion de réaffirmer mon attachement au pluralisme des opinions et à leur libre expression. Cette liberté, nous devons la préserver et la protéger. Mais nous avons aussi le devoir de la réguler », a déclaré Patrice Talon. Tout en félicitant la 5ème mandature et son Président, le chef de l'Etat rappelle qu' « Ils ont notamment contribué à une plus grande professionnalisation du secteur des médias et œuvré à la valorisation de la carte professionnelle. Ils ont également été, aux côtés des Gouvernements successifs, des acteurs non moins importants de l'avènement du Code de l'Information et de la Communication, du Code du Numérique et de la loi sur la radiodiffusion numérique ».
Pour le président de la République, « Il n'est un secret pour personne, et les professionnels des médias le soulignent eux-mêmes, que 30 ans de pratique libérale n'ont pas suffi à assainir les mœurs ». Pour cela, dira-t-il, « après votre investiture, il vous faudra sans tarder vous emparer de la pertinente question de l'éthique et de la déontologie dans les médias, pour en faire le principal instrument de la discipline au sein de la corporation, en concertation avec les associations professionnelles. Ce faisant, vous devez tenir compte de ce que, bien des travers trouvent leur origine dans la précarisation de la profession que rien n'a préparé à la concurrence des réseaux sociaux et autres médias alternatifs. Ce qui, bien entendu, pose le problème des sources de financement des médias et du modèle économique à mettre en place à leur profit ».
Avec l'avenement des nouvelles technologie et l'explosion des réseaux sociaux, Patrice Talon relève que « les métiers des médias doivent se réinventer dans un environnement de plus en plus rude où, à la faveur de l'explosion des réseaux sociaux, n'importe qui se découvre la vocation d'informateur voire de journaliste, en s'affranchissant de la responsabilité sociale, des normes déontologiques et du devoir de preuves qui vont avec ». Il poursuit en disant que désomais « on ne dénombre plus les médias emblématiques voire légendaires qui ont disparu ou sont menacés de faillite à cause de la révolution numérique. Or, nous le savons tous, la liberté de presse, c'est le droit de dire, d'écrire ou de diffuser ce que l'on veut, mais c'est aussi et surtout le devoir de l'assumer et d'en répondre ».
Pour cette mandature, le chef de l'Etat invite à « déployer des trésors d'ingéniosité, d'habilité et sans doute aussi beaucoup d'audace et de fermeté pour engager les uns et les autres dans les voies qui permettront de sortir le métier de l'amateurisme et de la vénalité ». Car a-t-il indiqué « C'est cet engagement qui permettra d'initier une prise de conscience déontologique, d'apporter des réponses pertinentes à la problématique de l'amélioration des conditions de vie et de travail des professionnels des médias, et d'asseoir les bases de l'émergence de grands organes de presse au Bénin ». Il rassure de l'accompagnement du gouvernement pour atteindre les objectifs.

G.A.

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Ce que Talon a dit aux nouveaux conseillers

Tue, 07/23/2019 - 00:20

Les membres de la nouvelle mandature de la Haute Autorité de l'Audiovisuelle et de la Communication (HAAC) ont été installés ce lundi 22 juillet 2019. C'est le chef de l'État qui a procédé en personne à l'installation de cette 6ème mandature.
La nouveaux conseillers de la Haute Autorité de l'Audiovisuelle et de la Communication ont officiellement pris service ce lundi. Installée par le chef de l'Etat, cette mandature à de nombreux défis à relever. Cette « investiture me donne l'occasion de réaffirmer mon attachement au pluralisme des opinions et à leur libre expression. Cette liberté, nous devons la préserver et la protéger. Mais nous avons aussi le devoir de la réguler », a déclaré Patrice Talon. Tout en félicitant la 5ème mandature et son Président, le chef de l'Etat rappelle qu' « Ils ont notamment contribué à une plus grande professionnalisation du secteur des médias et œuvré à la valorisation de la carte professionnelle. Ils ont également été, aux côtés des Gouvernements successifs, des acteurs non moins importants de l'avènement du Code de l'Information et de la Communication, du Code du Numérique et de la loi sur la radiodiffusion numérique ».
Pour le président de la République, « Il n'est un secret pour personne, et les professionnels des médias le soulignent eux-mêmes, que 30 ans de pratique libérale n'ont pas suffi à assainir les mœurs ». Pour cela, dira-t-il, « après votre investiture, il vous faudra sans tarder vous emparer de la pertinente question de l'éthique et de la déontologie dans les médias, pour en faire le principal instrument de la discipline au sein de la corporation, en concertation avec les associations professionnelles. Ce faisant, vous devez tenir compte de ce que, bien des travers trouvent leur origine dans la précarisation de la profession que rien n'a préparé à la concurrence des réseaux sociaux et autres médias alternatifs. Ce qui, bien entendu, pose le problème des sources de financement des médias et du modèle économique à mettre en place à leur profit ».
Avec l'avenement des nouvelles technologie et l'explosion des réseaux sociaux, Patrice Talon relève que « les métiers des médias doivent se réinventer dans un environnement de plus en plus rude où, à la faveur de l'explosion des réseaux sociaux, n'importe qui se découvre la vocation d'informateur voire de journaliste, en s'affranchissant de la responsabilité sociale, des normes déontologiques et du devoir de preuves qui vont avec ». Il poursuit en disant que désomais « on ne dénombre plus les médias emblématiques voire légendaires qui ont disparu ou sont menacés de faillite à cause de la révolution numérique. Or, nous le savons tous, la liberté de presse, c'est le droit de dire, d'écrire ou de diffuser ce que l'on veut, mais c'est aussi et surtout le devoir de l'assumer et d'en répondre ».
Pour cette mandature, le chef de l'Etat invite à « déployer des trésors d'ingéniosité, d'habilité et sans doute aussi beaucoup d'audace et de fermeté pour engager les uns et les autres dans les voies qui permettront de sortir le métier de l'amateurisme et de la vénalité ». Car a-t-il indiqué « C'est cet engagement qui permettra d'initier une prise de conscience déontologique, d'apporter des réponses pertinentes à la problématique de l'amélioration des conditions de vie et de travail des professionnels des médias, et d'asseoir les bases de l'émergence de grands organes de presse au Bénin ». Il rassure de l'accompagnement du gouvernement pour atteindre les objectifs.

G.A.

Categories: Afrique

Les conseillers invités à amplifier l'œuvre de leurs prédécesseurs

Tue, 07/23/2019 - 00:13

Les nouveaux membres du Conseil économique et social (CES) ont été officiellement installés ce lundi 22 juillet 2019 par le chef de l'État. Confiant de leur rôle, Patrice Talon les exhorte à poursuivre l'oeuvre de la précédente mandature dont beaucoup ont d'ailleurs été reconduits.
Dans sa déclaration, Patrice Talon a félicité la nouvelle mandature ‹‹ pour ce rôle noble qu'elle est appelée à perpétuer ».
Il rappelle que « Selon notre Loi fondamentale, le Conseil Economique et Social donne son avis sur les projets de loi, d'ordonnance ou de décret ainsi que les propositions de loi qui lui sont soumis ».
Il est plus que confiant que « Cette mission, le Conseil Economique et Social a les moyens de la remplir d'autant plus efficacement qu'il réunit en son sein, des femmes et des hommes venus d'horizons professionnels et sociaux variés, et pétris d'expériences diverses ».
Pour Patrice Talon, « Le brassage qui s'opère au sein de l'Institution, entre les représentants de diverses couches sociales de notre pays, en fait un laboratoire de la Nation béninoise telle que nous la rêvons, unie, harmonieuse et préoccupée par son développement. Sa légitimité, au-delà de la Constitution, réside dans sa composition qui transcende toutes nos différences et les sublime pour les mettre au service de l'intérêt national ».
« C'est sans doute pourquoi le Constituant a voulu en faire l'Assemblée des forces vives de la Nation à l'abri de toute influence politique. Cela est le gage de l'objectivité de ses recommandations dont j'ai pu apprécier la hauteur de vue et la pertinence », a-t-il ajouté.
Le président de la République exhorte les nouveaux conseillers à poursuivre et à amplifier l'œuvre entamée par la mandature précédente dont la plupart des membres ont été reconduits. ‹‹ C'est à mon sens, l'heureux présage d'une certaine continuité et cohérence dans l'action de votre Institution pour le plus grand bien du Bénin laborieux et dynamique qu'elle représente », a-t-il conclu.
G.A.

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Les conseillers invités à amplifier l'œuvre entamée par la mandature précédente

Tue, 07/23/2019 - 00:13

Les nouveaux membres du Conseil économique et social (CES) ont été officiellement installés ce lundi 22 juillet 2019 par le chef de l'État. Confiant de leur rôle, Patrice Talon les exhorte à poursuivre l'oeuvre de la précédente mandature dont beaucoup ont d'ailleurs été reconduits.
Dans sa déclaration, Patrice Talon a félicité la nouvelle mandature ‹‹ pour ce rôle noble qu'elle est appelée à perpétuer ».
Il rappelle que « Selon notre Loi fondamentale, le Conseil Economique et Social donne son avis sur les projets de loi, d'ordonnance ou de décret ainsi que les propositions de loi qui lui sont soumis ».
Il est plus que confiant que « Cette mission, le Conseil Economique et Social a les moyens de la remplir d'autant plus efficacement qu'il réunit en son sein, des femmes et des hommes venus d'horizons professionnels et sociaux variés, et pétris d'expériences diverses ».
Pour Patrice Talon, « Le brassage qui s'opère au sein de l'Institution, entre les représentants de diverses couches sociales de notre pays, en fait un laboratoire de la Nation béninoise telle que nous la rêvons, unie, harmonieuse et préoccupée par son développement. Sa légitimité, au-delà de la Constitution, réside dans sa composition qui transcende toutes nos différences et les sublime pour les mettre au service de l'intérêt national ».
« C'est sans doute pourquoi le Constituant a voulu en faire l'Assemblée des forces vives de la Nation à l'abri de toute influence politique. Cela est le gage de l'objectivité de ses recommandations dont j'ai pu apprécier la hauteur de vue et la pertinence », a-t-il ajouté.
Le président de la République exhorte les nouveaux conseillers à poursuivre et à amplifier l'œuvre entamée par la mandature précédente dont la plupart des membres ont été reconduits. ‹‹ C'est à mon sens, l'heureux présage d'une certaine continuité et cohérence dans l'action de votre Institution pour le plus grand bien du Bénin laborieux et dynamique qu'elle représente », a-t-il conclu.
G.A.

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Le chef de l'Etat appelle à un renouveau de l'intitution

Tue, 07/23/2019 - 00:12

Le Président de la République, Patrice Talon a procédé à l'installation des nouveaux membres de la Haute Cour de Justice ce lundi 22 juillet 2019 à l'annexe de la Présidence à Sèmè City. Occasion pour lui de dire sa joie de voir l'institution réellement opérationnelle.
« En prenant acte du serment que viennent de prêter les nouveaux membres de la Haute Cour de Justice, je veux réitérer ici l'exigence de nos concitoyens d'une justice égale pour tous. Certes, l'article 136 de notre Loi fondamentale instaure au profit du Président de la République et des membres du Gouvernement, un privilège de juridiction en instituant la Haute Cour de Justice, seule habilitée à connaître des faits qualifiés de haute trahison, des infractions qu'ils commettent dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions. Mais cela n'est pas en soi incompatible avec l'égalité de tous devant la loi », déclare le chef de l'Etat dans ses propos liminaires. Il souligne que « tout observateur objectif de notre vie politique récente conviendra que c'est avant tout, le jeu des petits arrangements et des grandes compromissions, favorisé par un système partisan peu fiable, qui a perverti les privilèges de juridiction et fait d'eux le paravent de l'impunité ». Pour lui, « Les lacunes textuelles aidant, la Haute Cour de Justice a ainsi été reléguée au rang de simple épouvantail. Ce constat de bon sens, largement partagé, m'avait amené dans mon projet de société, à envisager sa suppression ou, en tout cas, sa refonte complète ». Il se désole donc que la générosité du projet de réforme institutionnelle porté en son temps par son Gouvernement et lui-même, n'avait pas été perçue à sa juste valeur. Néanmoins, « Ma détermination à donner un autre visage à notre pays et à ses institutions n'en a pas été pour autant émoussée. Elle se décline actuellement en réformes structurelles d'envergure destinées à garantir à tous nos concitoyens, d'égales chances de succès et de reddition de compte », a-t-il indiqué.
« Notre marche, que je crois irréversible vers un développement équitable, réclame de nous tous davantage de sacrifices afin de briser définitivement les entraves qui ont pour noms : concussion, corruption, abus de fonction, etc. C'est pourquoi, je n'ai de cesse d'en appeler à la rigueur dans l'action publique. Cette rigueur doit logiquement inspirer, animer et orienter la Haute Cour de Justice », a précisé Patrice Talon.
A en croire le chef de l'Etat, « Depuis un quart de siècle, l'impuissance de la Haute Cour de Justice n'a pas souvent permis d'engranger de grands succès en matière de lutte contre l'impunité. De sorte que, malgré les victoires remportées ces trois dernières années sur ce front, grâce notamment à la volonté du Gouvernement, les défis à relever en la matière restent essentiels ». Soulignant que le peuple béninois assoiffé de justice attend toujours plus de chacun de nous, il rappelle qu' « Il veut à juste titre être rassuré que la loi est la même pour tous et que nul n'est absout de ces fautes par le seul fait de sa position politique ».
Patrice Talon dira aux membres de cette institution que « Le Peuple béninois veut se convaincre que la réforme du système partisan a mis à bas la « République des arrangements entre coquins ».
« Pour ma part, je forme le vœu que la Haute Cour de Justice dont vous avez aujourd'hui la charge, assume dorénavant pleinement son rôle de gendarme du Gouvernement », a émis le président de la République.
Patrice Talon reconnaît « que la mission est difficile, notamment à cause d'un cadre institutionnel qui fait dépendre le sort des poursuites de considérations politiques, et donc potentiellement politiciennes plutôt que juridiques ».
C'est pourquoi il rassure de sa disponibilité de tout le concours dont aura besoin l'institution et ses membres.

G. A.

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