24 Heures au Bénin

Les nouveaux membres du Conseil économique et social (CES) ont été officiellement installés ce lundi 22 juillet 2019 par le chef de l'État. Confiant de leur rôle, Patrice Talon les exhorte à poursuivre l'oeuvre de la précédente mandature dont beaucoup ont d'ailleurs été reconduits.
Dans sa déclaration, Patrice Talon a félicité la nouvelle mandature ‹‹ pour ce rôle noble qu'elle est appelée à perpétuer ».
Il rappelle que « Selon notre Loi fondamentale, le Conseil Economique et Social donne son avis sur les projets de loi, d'ordonnance ou de décret ainsi que les propositions de loi qui lui sont soumis ».
Il est plus que confiant que « Cette mission, le Conseil Economique et Social a les moyens de la remplir d'autant plus efficacement qu'il réunit en son sein, des femmes et des hommes venus d'horizons professionnels et sociaux variés, et pétris d'expériences diverses ».
Pour Patrice Talon, « Le brassage qui s'opère au sein de l'Institution, entre les représentants de diverses couches sociales de notre pays, en fait un laboratoire de la Nation béninoise telle que nous la rêvons, unie, harmonieuse et préoccupée par son développement. Sa légitimité, au-delà de la Constitution, réside dans sa composition qui transcende toutes nos différences et les sublime pour les mettre au service de l'intérêt national ».
« C'est sans doute pourquoi le Constituant a voulu en faire l'Assemblée des forces vives de la Nation à l'abri de toute influence politique. Cela est le gage de l'objectivité de ses recommandations dont j'ai pu apprécier la hauteur de vue et la pertinence », a-t-il ajouté.
Le président de la République exhorte les nouveaux conseillers à poursuivre et à amplifier l'œuvre entamée par la mandature précédente dont la plupart des membres ont été reconduits. ‹‹ C'est à mon sens, l'heureux présage d'une certaine continuité et cohérence dans l'action de votre Institution pour le plus grand bien du Bénin laborieux et dynamique qu'elle représente », a-t-il conclu.
G.A.

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Le Président de la République, Patrice Talon a procédé à l'installation des nouveaux membres de la Haute Cour de Justice ce lundi 22 juillet 2019 à l'annexe de la Présidence à Sèmè City. Occasion pour lui de dire sa joie de voir l'institution réellement opérationnelle.
« En prenant acte du serment que viennent de prêter les nouveaux membres de la Haute Cour de Justice, je veux réitérer ici l'exigence de nos concitoyens d'une justice égale pour tous. Certes, l'article 136 de notre Loi fondamentale instaure au profit du Président de la République et des membres du Gouvernement, un privilège de juridiction en instituant la Haute Cour de Justice, seule habilitée à connaître des faits qualifiés de haute trahison, des infractions qu'ils commettent dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions. Mais cela n'est pas en soi incompatible avec l'égalité de tous devant la loi », déclare le chef de l'Etat dans ses propos liminaires. Il souligne que « tout observateur objectif de notre vie politique récente conviendra que c'est avant tout, le jeu des petits arrangements et des grandes compromissions, favorisé par un système partisan peu fiable, qui a perverti les privilèges de juridiction et fait d'eux le paravent de l'impunité ». Pour lui, « Les lacunes textuelles aidant, la Haute Cour de Justice a ainsi été reléguée au rang de simple épouvantail. Ce constat de bon sens, largement partagé, m'avait amené dans mon projet de société, à envisager sa suppression ou, en tout cas, sa refonte complète ». Il se désole donc que la générosité du projet de réforme institutionnelle porté en son temps par son Gouvernement et lui-même, n'avait pas été perçue à sa juste valeur. Néanmoins, « Ma détermination à donner un autre visage à notre pays et à ses institutions n'en a pas été pour autant émoussée. Elle se décline actuellement en réformes structurelles d'envergure destinées à garantir à tous nos concitoyens, d'égales chances de succès et de reddition de compte », a-t-il indiqué.
« Notre marche, que je crois irréversible vers un développement équitable, réclame de nous tous davantage de sacrifices afin de briser définitivement les entraves qui ont pour noms : concussion, corruption, abus de fonction, etc. C'est pourquoi, je n'ai de cesse d'en appeler à la rigueur dans l'action publique. Cette rigueur doit logiquement inspirer, animer et orienter la Haute Cour de Justice », a précisé Patrice Talon.
A en croire le chef de l'Etat, « Depuis un quart de siècle, l'impuissance de la Haute Cour de Justice n'a pas souvent permis d'engranger de grands succès en matière de lutte contre l'impunité. De sorte que, malgré les victoires remportées ces trois dernières années sur ce front, grâce notamment à la volonté du Gouvernement, les défis à relever en la matière restent essentiels ». Soulignant que le peuple béninois assoiffé de justice attend toujours plus de chacun de nous, il rappelle qu' « Il veut à juste titre être rassuré que la loi est la même pour tous et que nul n'est absout de ces fautes par le seul fait de sa position politique ».
Patrice Talon dira aux membres de cette institution que « Le Peuple béninois veut se convaincre que la réforme du système partisan a mis à bas la « République des arrangements entre coquins ».
« Pour ma part, je forme le vœu que la Haute Cour de Justice dont vous avez aujourd'hui la charge, assume dorénavant pleinement son rôle de gendarme du Gouvernement », a émis le président de la République.
Patrice Talon reconnaît « que la mission est difficile, notamment à cause d'un cadre institutionnel qui fait dépendre le sort des poursuites de considérations politiques, et donc potentiellement politiciennes plutôt que juridiques ».
C'est pourquoi il rassure de sa disponibilité de tout le concours dont aura besoin l'institution et ses membres.

G. A.

Le Président de la République, Patrice Talon a procédé à l'installation des nouveaux membres de la Haute Cour de Justice ce lundi 22 juillet 2019 à l'annexe de la Présidence à Sèmè City. Occasion pour lui de dire sa joie de voir l'institution réellement opérationnelle.
« En prenant acte du serment que viennent de prêter les nouveaux membres de la Haute Cour de Justice, je veux réitérer ici l'exigence de nos concitoyens d'une justice égale pour tous. Certes, l'article 136 de notre Loi fondamentale instaure au profit du Président de la République et des membres du Gouvernement, un privilège de juridiction en instituant la Haute Cour de Justice, seule habilitée à connaître des faits qualifiés de haute trahison, des infractions qu'ils commettent dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions. Mais cela n'est pas en soi incompatible avec l'égalité de tous devant la loi », déclare le chef de l'Etat dans ses propos liminaires. Il souligne que « tout observateur objectif de notre vie politique récente conviendra que c'est avant tout, le jeu des petits arrangements et des grandes compromissions, favorisé par un système partisan peu fiable, qui a perverti les privilèges de juridiction et fait d'eux le paravent de l'impunité ». Pour lui, « Les lacunes textuelles aidant, la Haute Cour de Justice a ainsi été reléguée au rang de simple épouvantail. Ce constat de bon sens, largement partagé, m'avait amené dans mon projet de société, à envisager sa suppression ou, en tout cas, sa refonte complète ». Il se désole donc que la générosité du projet de réforme institutionnelle porté en son temps par son Gouvernement et lui-même, n'avait pas été perçue à sa juste valeur. Néanmoins, « Ma détermination à donner un autre visage à notre pays et à ses institutions n'en a pas été pour autant émoussée. Elle se décline actuellement en réformes structurelles d'envergure destinées à garantir à tous nos concitoyens, d'égales chances de succès et de reddition de compte », a-t-il indiqué.
« Notre marche, que je crois irréversible vers un développement équitable, réclame de nous tous davantage de sacrifices afin de briser définitivement les entraves qui ont pour noms : concussion, corruption, abus de fonction, etc. C'est pourquoi, je n'ai de cesse d'en appeler à la rigueur dans l'action publique. Cette rigueur doit logiquement inspirer, animer et orienter la Haute Cour de Justice », a précisé Patrice Talon.
A en croire le chef de l'Etat, « Depuis un quart de siècle, l'impuissance de la Haute Cour de Justice n'a pas souvent permis d'engranger de grands succès en matière de lutte contre l'impunité. De sorte que, malgré les victoires remportées ces trois dernières années sur ce front, grâce notamment à la volonté du Gouvernement, les défis à relever en la matière restent essentiels ». Soulignant que le peuple béninois assoiffé de justice attend toujours plus de chacun de nous, il rappelle qu' « Il veut à juste titre être rassuré que la loi est la même pour tous et que nul n'est absout de ces fautes par le seul fait de sa position politique ».
Patrice Talon dira aux membres de cette institution que « Le Peuple béninois veut se convaincre que la réforme du système partisan a mis à bas la « République des arrangements entre coquins ».
« Pour ma part, je forme le vœu que la Haute Cour de Justice dont vous avez aujourd'hui la charge, assume dorénavant pleinement son rôle de gendarme du Gouvernement », a émis le président de la République.
Patrice Talon reconnaît « que la mission est difficile, notamment à cause d'un cadre institutionnel qui fait dépendre le sort des poursuites de considérations politiques, et donc potentiellement politiciennes plutôt que juridiques ».
C'est pourquoi il rassure de sa disponibilité de tout le concours dont aura besoin l'institution et ses membres.

G. A.

Trois joueurs béninois, Jules Koundé (Séville), Colin Dagba (PSG) et Ange-josué Tchibozo sont des talents à récupérer pour renforcer équipe nationale. Dans l'une de ses parutions Lemagafrik informe que la Juventus pourrait se pencher sur le cas du prodige béninois Ange Josué Tchibozo qui évolue au sein de la réserve de la vieille dame.
Le club est séduit par les capacités du jeune joueur béninois.
Il a très tôt entamé sa formation au centre CNFS (Codjia Nedville Football Scuola ) au Bénin avant d'atterrir à l'Inter de Milan et puis à la Juve juvénile, où il évolue depuis près de 2 ans, indique Lemagafrik. Plusieurs fois élu meilleur de sa catégorie, il est l'un des joueurs les plus en vue ces deux dernières années. Bien que les autorités italiennes misent sur un probable transfert, le jeune joueur tout comme Jules Koundé et Colin Dagba doivent être approchés pour renforcer l'équipe nationale.
En ce moment où le Bénin a fait une excellente participation à la phase finale de la Coupe d'Afrique des Nations, il faut garder ce cap les prochaines années.
Pour cela, la Fédération Béninoise de Football (FBF) et le ministère des sports doivent mettre les bouchées doubles pour que ces jeunes talents participent au rayonnement du football béninois.

G. A.

Trois joueurs béninois, Jules Koundé (Séville), Colin Dagba (PSG) et Ange-josué Tchibozo sont des talents à récupérer pour renforcer équipe nationale. Dans l'une de ses parutions Lemagafrik informe que la Juventus pourrait se pencher sur le cas du prodige béninois Ange Josué Tchibozo qui évolue au sein de la réserve de la vieille dame.
Le club est séduit par les capacités du jeune joueur béninois.
Il a très tôt entamé sa formation au centre CNFS (Codjia Nedville Football Scuola ) au Bénin avant d'atterrir à l'Inter de Milan et puis à la Juve juvénile, où il évolue depuis près de 2 ans, indique Lemagafrik. Plusieurs fois élu meilleur de sa catégorie, il est l'un des joueurs les plus en vue ces deux dernières années. Bien que les autorités italiennes misent sur un probable transfert, le jeune joueur tout comme Jules Koundé et Colin Dagba doivent être approchés pour renforcer l'équipe nationale.
En ce moment où le Bénin a fait une excellente participation à la phase finale de la Coupe d'Afrique des Nations, il faut garder ce cap les prochaines années.
Pour cela, la Fédération Béninoise de Football (FBF) et le ministère des sports doivent mettre les bouchées doubles pour que ces jeunes talents participent au rayonnement du football béninois.

G. A.

Finançant des projets innovants de lutte contre le changement climatique dans les pays en développement, the Nordic Climate Facility (NCF)a lancé son appel à propositions 2019 dont le thème est « Tester la viabilité de solutions climatiques innovantes ».
Le Bénin fait partie des pays éligibles à ce projet.
Les entreprises, organismes, instituts de recherche et universités peuvent donc soumettre leur candidature et recevoir une subvention allant de 250 000 à 500 000 euros compte tenu de la qualité de leur projet.

Le #Benin fait partie des 21 pays éligibles pour cet appel à projets du Nordic Developement Fund pr le financement de solutions innovantes pr faire face au #ChangementClimatique. Avis donc aux Entreprises & ONG https://t.co/2tQgB823qA @wasexo @Benin_retweet @PNUDBenin @gouvbenin

— Luc Gnacadja (@LucGnacadja) July 21, 2019

Accroître la capacité des pays à faible revenu à atténuer les effets du changement climatique et à s'y adapter ; tel est le premier objectif du Fonds nordique pour le climat (Nordic Climate Facility NCF) qui est un fonds d'intervention finançant des projets novateurs en matière de changement climatique.
Ayant déjà financé plus de 80 projets depuis son lancement en 2009, NCF peut intervenir dans 21 pays à savoir : Bénin, Burkina Faso, Éthiopie, Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Ouganda et Zambie en Afrique, Bangladesh, Cambodge, Laos, Népal, Sri Lanka et Vietnam en Asie et Bolivie, Honduras et Nicaragua pour l'Amérique latine.
C'est donc une opportunité pour les entreprises et organisations à but lucratif ;
les organismes à but non lucratif et entreprises sociales, les organisations de la société civile (OSC) ; et instituts de recherche et universités ayant une solution climatique de soumettre leur idée de projet. Les idées de projets les plus solides recevront entre 250 000 (163 750 000 FCFA) et 500 000 euros (327 500 000 FCFA).
Les projets devraient être mis en œuvre par le biais de partenariats entre des partenaires nordiques et locaux dans un pays NCF éligible et va contribuer ainsi à la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies (ODD).
La phase de soumission des candidatures lancée depuis le 5 juin 2019 prend fin le 5 septembre 2019.
Aussi, les partenaires qui ont déjà reçu un financement du NCF sont-ils éligibles pour faire une nouvelle demande.

À propos de NCF

The Nordic Climate Facility (NCF) en français Fonds nordique pour le climat, est un fonds d'investigation créé en 2009 dans le but de financer des projets de démarrage relatifs aux changements climatiques dans les pays en développement. L'objectif est de « constituer un portefeuille de concepts commerciaux innovants qui ont été testés, qui ont fait leurs preuves et qui sont prêts à être développés et reproduits ».
NCF est financé et géré par le Fonds de développement nordique (Nordic Development Fund : NDF).
Akpédjé AYOSSO

Finançant des projets innovants de lutte contre le changement climatique dans les pays en développement, the Nordic Climate Facility (NCF)a lancé son appel à propositions 2019 dont le thème est « Tester la viabilité de solutions climatiques innovantes ».
Le Bénin fait partie des pays éligibles à ce projet.
Les entreprises, organismes, instituts de recherche et universités peuvent donc soumettre leur candidature et recevoir une subvention allant de 250 000 à 500 000 euros compte tenu de la qualité de leur projet.

Accroître la capacité des pays à faible revenu à atténuer les effets du changement climatique et à s'y adapter ; tel est le premier objectif du Fonds nordique pour le climat (Nordic Climate Facility NCF) qui est un fonds d'intervention finançant des projets novateurs en matière de changement climatique.
Ayant déjà financé plus de 80 projets depuis son lancement en 2009, NCF peut intervenir dans 21 pays à savoir : Bénin, Burkina Faso, Éthiopie, Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Ouganda et Zambie en Afrique, Bangladesh, Cambodge, Laos, Népal, Sri Lanka et Vietnam en Asie et Bolivie, Honduras et Nicaragua pour l'Amérique latine.
C'est donc une opportunité pour les entreprises et organisations à but lucratif ;
les organismes à but non lucratif et entreprises sociales, les organisations de la société civile (OSC) ; et instituts de recherche et universités ayant une solution climatique de soumettre leur idée de projet. Les idées de projets les plus solides recevront entre 250 000 (163 750 000 FCFA) et 500 000 euros (327 500 000 FCFA).
Les projets devraient être mis en œuvre par le biais de partenariats entre des partenaires nordiques et locaux dans un pays NCF éligible et va contribuer ainsi à la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies (ODD).
La phase de soumission des candidatures lancée depuis le 5 juin 2019 prend fin le 5 septembre 2019.
Aussi, les partenaires qui ont déjà reçu un financement du NCF sont-ils éligibles pour faire une nouvelle demande.

À propos de NCF

The Nordic Climate Facility (NCF) en français Fonds nordique pour le climat, est un fonds d'investigation créé en 2009 dans le but de financer des projets de démarrage relatifs aux changements climatiques dans les pays en développement. L'objectif est de « constituer un portefeuille de concepts commerciaux innovants qui ont été testés, qui ont fait leurs preuves et qui sont prêts à être développés et reproduits ».
NCF est financé et géré par le Fonds de développement nordique (Nordic Development Fund : NDF).
Akpédjé AYOSSO

Le président de la République, Son Excellence Patrice Talon a officiellement installé les nouveaux membres de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC), ce lundi 22 juillet 2019.
Au cours de la cérémonie d'installation, le chef de l'Etat a exhorté la nouvelle mandature à redorer le blason de la presse béninoise et à se mettre en œuvre pour son émergence. La presse béninoise perd des plumes depuis quelques années et les médias emblématiques menacés de disparition ou de faillite à cause de la révolution numérique, a regretté le président de la République. A cet effet, il a invité la nouvelle mandature à se mettre au travail et corriger le tir.

F. A. A.

Le président de la République, Son Excellence Patrice Talon a officiellement installé les nouveaux membres de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC), ce lundi 22 juillet 2019.
Au cours de la cérémonie d'installation, le chef de l'Etat a exhorté la nouvelle mandature à redorer le blason de la presse béninoise et à se mettre en œuvre pour son émergence. La presse béninoise perd des plumes depuis quelques années et les médias emblématiques menacés de disparition ou de faillite à cause de la révolution numérique, a regretté le président de la République. A cet effet, il a invité la nouvelle mandature à se mettre au travail et corriger le tir.

F. A. A.

A la faveur d'une Conférence de presse ce lundi 22 juillet 2019, l'entraîneur des Ecureuils locaux, Moussa Latoundji a fait le point des préparatifs du match contre le Togo dans le cadre des éliminatoires du Championnat d'Afrique des Nation (CHAN 2020).
Se prononçant sur la liste des joueurs retenus, l'entraîneur béninois a précisé que les meilleurs ont été sélectionnés sur toute l'étendue du territoire.
Les blessés ont été remplacés au même titre que ceux qui n'avaient pas le niveau, a-t-il souligné.
Dans la perspective des préparatifs pour cette rencontre, des matches tests ont été livrés pour mieux apprécier le comportement des joueurs a indiqué Moussa Latoundji. « Aujourd'hui, nous avons un effectif qui va aborder ces éliminatoires », a-t-il rassuré avant d'exhorter les jeunes de l'équipe à travailler pour pousser ceux de l'équipe A dehors. Pour cela, il leur faudra faire de bons résultats, a notifié l'entraîneur car, « c'est trop facile de dire qu'ils sont vieux. Les pousser dehors veut dire ils doivent travailler ».
Selon Moussa Latoundji, l'objectif aujourd'hui c'est la qualification. Après ce que les séniors ont fait, l'encadrement technique n'entend pas s'arrêter là. « C'est aussi le moment pour moi de prouver ma capacité », a-t-il martelé convaincu d'un bon résultat dimanche prochain face au Togo.

F. A. A.

Liste des joueurs retenus

A la faveur d'une Conférence de presse ce lundi 22 juillet 2019, l'entraîneur des Ecureuils locaux, Moussa Latoundji a fait le point des préparatifs du match contre le Togo dans le cadre des éliminatoires du Championnat d'Afrique des Nation (CHAN 2020).
Se prononçant sur la liste des joueurs retenus, l'entraîneur béninois a précisé que les meilleurs ont été sélectionnés sur toute l'étendue du territoire.
Les blessés ont été remplacés au même titre que ceux qui n'avaient pas le niveau, a-t-il souligné.
Dans la perspective des préparatifs pour cette rencontre, des matches tests ont été livrés pour mieux apprécier le comportement des joueurs a indiqué Moussa Latoundji. « Aujourd'hui, nous avons un effectif qui va aborder ces éliminatoires », a-t-il rassuré avant d'exhorter les jeunes de l'équipe à travailler pour pousser ceux de l'équipe A dehors. Pour cela, il leur faudra faire de bons résultats, a notifié l'entraîneur car, « c'est trop facile de dire qu'ils sont vieux. Les pousser dehors veut dire ils doivent travailler ».
Selon Moussa Latoundji, l'objectif aujourd'hui c'est la qualification. Après ce que les séniors ont fait, l'encadrement technique n'entend pas s'arrêter là. « C'est aussi le moment pour moi de prouver ma capacité », a-t-il martelé convaincu d'un bon résultat dimanche prochain face au Togo.

F. A. A.

Liste des joueurs retenus

Le ministre du tourisme, de la culture et des sports, Oswald HOMEKY a reçu à son cabinet dans la matinée de ce lundi 22 juillet 2019, Daniel CHAUSSE, 1er Vice-Président de la Fédération Française de Tennis (FFT).
Au cœur des échanges entre les deux hommes, le projet d'édification de l'Académie Francophone de Tennis au Bénin. Il s'agit d'un Centre international de Tennis qui accueillera les jeunes de 10 à 13 ans de l'Afrique francophone, et de la Francophonie de façon générale.
Au terme de l'audience, Daniel CHAUSSE s'est dit heureux que le sport de tennis soit une habitude chez les petits enfants à l'école.
A l'école, souligne-t-il, les apprenants utilisent déjà leurs ardoises et un petit ballon qu'il soit jaune ou pas, pour pratiquer ce sport. Il s'agira selon le 1er vice-président de la Fédération Française de Tennis, d'aider, d'apporter les équipements nécessaires pour que le tennis et l'école, pour les plus jeunes et pour tout le monde, avancent ensemble.

Le #MTCS #OswaldHOMEKY reçoit en audience à son Cabinet @DanielCHAUSSE , 1er Vice Président de la Fédération Française de Tennis. L'entretien porte sur le projet d'édification de l'Académie Francophone de Tennis au #Bénin , un centre international . #MediapartBenin #SportBenin pic.twitter.com/1Wo6rrE1Bb

— MÉDIAPART BÉNIN (@MediapartBenin) July 22, 2019

Le président de la FBT, Jean-Claude Talon, a rappelé que pour ce projet, le ministre des sports a retenu un site sur la route des pêches ; une zone qui abritera des infrastructures balnéaires et touristiques dans le cadre du Programme d'actions du gouvernement (Pag).
La FBT renseigne-t-il, a alors voulu s'insérer et bénéficier de cette zone de développement qui sera constituée avec plusieurs infrastructures qui seront propices à la fois au développement du tourisme et à la pratique du sport.
Selon Jean-Claude Talon,

Suivez un extrait des propos du Président de la Fédération Béninoise de Tennis M. @JeanclaudeTALON à la sortie de l'audience d'avec le #MTCS #OswaldHOMEKY sur l'édification très prochaine de la 1ère Académie Francophone de Tennis au #Benin. #MediapartBenin #SportBenin pic.twitter.com/W4BeSAxz4i

— MÉDIAPART BÉNIN (@MediapartBenin) July 22, 2019

le sport de tennis n'a pas la même audience que d'autres, mais depuis quelques années, on en parle. Avec ce grand projet, il a rassuré que des places seront ouvertes aux jeunes Béninois dans cette académie à partir de 5, 6, ou 7 ans, et plusieurs d'entre eux seront recrutés au cours des prochaines années.
F. A. A.

Le ministre du tourisme, de la culture et des sports, Oswald HOMEKY a reçu à son cabinet dans la matinée de ce lundi 22 juillet 2019, Daniel CHAUSSE, 1er Vice-Président de la Fédération Française de Tennis (FFT).
Au cœur des échanges entre les deux hommes, le projet d'édification de l'Académie Francophone de Tennis au Bénin. Il s'agit d'un Centre international de Tennis qui accueillera les jeunes de 10 à 13 ans de l'Afrique francophone, et de la Francophonie de façon générale.
Au terme de l'audience, Daniel CHAUSSE s'est dit heureux que le sport de tennis soit une habitude chez les petits enfants à l'école.
A l'école, souligne-t-il, les apprenants utilisent déjà leurs ardoises et un petit ballon qu'il soit jaune ou pas, pour pratiquer ce sport. Il s'agira selon le 1er vice-président de la Fédération Française de Tennis, d'aider, d'apporter les équipements nécessaires pour que le tennis et l'école, pour les plus jeunes et pour tout le monde, avancent ensemble.

Le #MTCS #OswaldHOMEKY reçoit en audience à son Cabinet @DanielCHAUSSE , 1er Vice Président de la Fédération Française de Tennis. L'entretien porte sur le projet d'édification de l'Académie Francophone de Tennis au #Bénin , un centre international . #MediapartBenin #SportBenin pic.twitter.com/1Wo6rrE1Bb

— MÉDIAPART BÉNIN (@MediapartBenin) July 22, 2019

Le président de la FBT, Jean-Claude Talon, a rappelé que pour ce projet, le ministre des sports a retenu un site sur la route des pêches ; une zone qui abritera des infrastructures balnéaires et touristiques dans le cadre du Programme d'actions du gouvernement (Pag).
La FBT renseigne-t-il, a alors voulu s'insérer et bénéficier de cette zone de développement qui sera constituée avec plusieurs infrastructures qui seront propices à la fois au développement du tourisme et à la pratique du sport.
Selon Jean-Claude Talon,

Suivez un extrait des propos du Président de la Fédération Béninoise de Tennis M. @JeanclaudeTALON à la sortie de l'audience d'avec le #MTCS #OswaldHOMEKY sur l'édification très prochaine de la 1ère Académie Francophone de Tennis au #Benin. #MediapartBenin #SportBenin pic.twitter.com/W4BeSAxz4i

— MÉDIAPART BÉNIN (@MediapartBenin) July 22, 2019

le sport de tennis n'a pas la même audience que d'autres, mais depuis quelques années, on en parle. Avec ce grand projet, il a rassuré que des places seront ouvertes aux jeunes Béninois dans cette académie à partir de 5, 6, ou 7 ans, et plusieurs d'entre eux seront recrutés au cours des prochaines années.
F. A. A.

La prochaine campagne cotonière s'annonce grande au regard de la mobilisation à la fête des cotonculteurs samedi dernier à Savalou. Sous la houlette de l'association interprofessionnelle du coton (AIC) et la société pour le développement du coton (Sodeco) la fête nationale du coton (FNC) a été célébrée avec plusieurs lots octroyés aux producteurs méritants. Une cérémonie rehaussée par la présence des Ministres de l'agriculture et du Commerce

La société pour le développement du coton (Sodeco) prépare activement la prochaine campagne agricole. Au regard des résultats satisfaisants des trois dernières années, il y a lieu de prendre un temps pour célébrer les producteurs. C'est l'acte qui a lieu samedi dernier avec une touche spéciale de la société pour le développement du coton (Sodeco). Organisée depuis trois ans par l'Association Interprofessionnelle du coton, cette nouvelle édition vient stimuler d'avantage les producteurs à battre leur propre record pour la prochaine campagne en 2019-2020. Une campagne où la Sodeco apprète déjà 260 000 tonnes d'engrais cotons et 60 000 tonnes d'engrais viviers pour son bon déroulement.
Au cours de la troisième édition de la fête Nationale du Cotonculteur (FNC), célébrée au stade de Savalou dans le département des Collines plusieurs récompenses ont été faites aux cotonculteurs.
Le prix national "UCOM performantes ", le prix communal " Meilleures coopératives ", le prix communal " coopératives performantes " et le prix spécial "coopérative - meilleur espoir". Ces lots ont été attribués grâce à une sélection rigoureuse sur la base de deux critères. Il s'agir de la production agricole lors de la campagne écoulée et la capacité à consommer et à rembourser les crédits obtenus. Au terme de la fête, les cotonculteurs sont rentrés avec des tonnes d'engrais, des houes semeuses, des tracteurs, des motos, des tricycles et des ordinateurs.
A cette occasion, le Préfet intérimaire des Collines, Firmin Kouton a fait savoir que « les performances de la filière coton ces dernières années au Bénin sont le fruit des réformes courageuses du président Patrice Talon dont le gouvernement accompagne les producteurs avec des moyens jamais injectés dans la filière ». C'est dire que le nouveau record de la production cotonnière est le fruit d'un travail cohérent issu des courageuses réformes engagées par le chef de l'Etat.

Selon le président de l'AIC, Mathieu Adjovi, il ne faut point baisser les bras. Notons par ailleurs que depuis l'avènement du gouvernement de la Rupture, le Benin a battu des records qui l'ont hissé au rang des meilleurs producteurs de coton en Afrique. Pour preuve, la campagne 2016-2017 : 451.000 tonnes ; 2017-2018 : 598.000 tonnes et 2018-2019 : 678.000 tonnes. Des records jamais enregistrés dans l'histoire de l'or blanc au Bénin. Une performance saluée par le Réseau national des ONG actives dans l'agriculture durable (RENOVA).
Le ministre de l'industrie et du commerce indique que « les enjeux du coton sont au-delà de nos frontières et constituent un raccourci pour révéler le Bénin ». Il se réjouit de la performance de cette campagne et rassure de la disponibilité du gouvernement à les accompagner davantage. Quant au ministre en charge de l'agriculture Gaston Dossouhoui, cette fête est témoin de « la reconnaissance de la détermination de nos producteurs à contribuer à l'essor du pays ».

G.A

La prochaine campagne cotonière s'annonce grande au regard de la mobilisation à la fête des cotonculteurs samedi dernier à Savalou. Sous la houlette de l'association interprofessionnelle du coton (AIC) et la société pour le développement du coton (Sodeco) la fête nationale du coton (FNC) a été célébrée avec plusieurs lots octroyés aux producteurs méritants. Une cérémonie rehaussée par la présence des Ministres de l'agriculture et du Commerce

La société pour le développement du coton (Sodeco) prépare activement la prochaine campagne agricole. Au regard des résultats satisfaisants des trois dernières années, il y a lieu de prendre un temps pour célébrer les producteurs. C'est l'acte qui a lieu samedi dernier avec une touche spéciale de la société pour le développement du coton (Sodeco). Organisée depuis trois ans par l'Association Interprofessionnelle du coton, cette nouvelle édition vient stimuler d'avantage les producteurs à battre leur propre record pour la prochaine campagne en 2019-2020. Une campagne où la Sodeco apprète déjà 260 000 tonnes d'engrais cotons et 60 000 tonnes d'engrais viviers pour son bon déroulement.
Au cours de la troisième édition de la fête Nationale du Cotonculteur (FNC), célébrée au stade de Savalou dans le département des Collines plusieurs récompenses ont été faites aux cotonculteurs.
Le prix national "UCOM performantes ", le prix communal " Meilleures coopératives ", le prix communal " coopératives performantes " et le prix spécial "coopérative - meilleur espoir". Ces lots ont été attribués grâce à une sélection rigoureuse sur la base de deux critères. Il s'agir de la production agricole lors de la campagne écoulée et la capacité à consommer et à rembourser les crédits obtenus. Au terme de la fête, les cotonculteurs sont rentrés avec des tonnes d'engrais, des houes semeuses, des tracteurs, des motos, des tricycles et des ordinateurs.
A cette occasion, le Préfet intérimaire des Collines, Firmin Kouton a fait savoir que « les performances de la filière coton ces dernières années au Bénin sont le fruit des réformes courageuses du président Patrice Talon dont le gouvernement accompagne les producteurs avec des moyens jamais injectés dans la filière ». C'est dire que le nouveau record de la production cotonnière est le fruit d'un travail cohérent issu des courageuses réformes engagées par le chef de l'Etat.

Selon le président de l'AIC, Mathieu Adjovi, il ne faut point baisser les bras. Notons par ailleurs que depuis l'avènement du gouvernement de la Rupture, le Benin a battu des records qui l'ont hissé au rang des meilleurs producteurs de coton en Afrique. Pour preuve, la campagne 2016-2017 : 451.000 tonnes ; 2017-2018 : 598.000 tonnes et 2018-2019 : 678.000 tonnes. Des records jamais enregistrés dans l'histoire de l'or blanc au Bénin. Une performance saluée par le Réseau national des ONG actives dans l'agriculture durable (RENOVA).
Le ministre de l'industrie et du commerce indique que « les enjeux du coton sont au-delà de nos frontières et constituent un raccourci pour révéler le Bénin ». Il se réjouit de la performance de cette campagne et rassure de la disponibilité du gouvernement à les accompagner davantage. Quant au ministre en charge de l'agriculture Gaston Dossouhoui, cette fête est témoin de « la reconnaissance de la détermination de nos producteurs à contribuer à l'essor du pays ».

G.A

Les personnes arrêtées par la police pour avoir pissé dans les rues de Cotonou le 15 juillet dernier sont désormais fixées sur leur sort.
Le tribunal de première instance de première classe de Cotonou s'est prononcé sur leur dossier ce lundi 22 juillet 2019. Trois mois d'emprisonnement avec sursis et vingt mille (20.000) FCFA, c'est la peine retenue contre les mis en cause.
Au terme d'une rencontre entre le procureur de la République et les forces de sécurité publique, il y a quelques jours, les hommes en uniforme ont été instruits de réprimer les actes de pollutions (sonore et environnementale) dans la capitale économique du Bénin, les populations ayant renoué avec les sales habitudes malgré les campagnes de sensibilisation.
F. A. A.

Les personnes arrêtées par la police pour avoir pissé dans les rues de Cotonou le 15 juillet dernier sont désormais fixées sur leur sort.
Le tribunal de première instance de première classe de Cotonou s'est prononcé sur leur dossier ce lundi 22 juillet 2019. Trois mois d'emprisonnement avec sursis et vingt mille (20.000) FCFA, c'est la peine retenue contre les mis en cause.
Au terme d'une rencontre entre le procureur de la République et les forces de sécurité publique, il y a quelques jours, les hommes en uniforme ont été instruits de réprimer les actes de pollutions (sonore et environnementale) dans la capitale économique du Bénin, les populations ayant renoué avec les sales habitudes malgré les campagnes de sensibilisation.
F. A. A.

La direction de l'Office du baccalauréat a publié le classement des meilleurs candidats admis à l'examen du Bac session de juin 2019 sur le plan national. Selon ce classement, Hountongbo Claudia Merveille Thalia, élève au Collège catholique de Lokossa occupe le premier rang avec 18,13. Agée de 16 ans, elle a fait la série C. Votre journal publie ici la liste des candidats avec Mention Très Bien

La direction de l'Office du baccalauréat a publié le classement des meilleurs candidats admis à l'examen du Bac session de juin 2019 sur le plan national. Selon ce classement, Hountongbo Claudia Merveille Thalia, élève au Collège catholique de Lokossa occupe le premier rang avec 18,13. Agée de 16 ans, elle a fait la série C. Votre journal publie ici la liste des candidats avec Mention Très Bien

Au terme des épreuves orales, sportives et facultatives, la direction de l'Office du baccalauréata publié le classement des meilleurs candidats admis à l'examen du Bac session de juin 2019 sur le plan national. Selon ce classement, Hountongbo Claudia Merveille Thalia, élève au Collège catholique de Lokossa occupe le premier rang avec 18,13. Agée de 16 ans, elle a fait la série C. Votre journal publie ici la liste des meilleurs par département