Algérie 360

Mohamed Belkecir

En traversant le village de Tizi, situé à 10 km de Mascara, le chef de l’exécutif a été surpris de constater qu’au centre de la localité se trouvent deux terrains vagues contenant des arbres centenaires isolés par une clôture métallique encombrante. Il tenta de connaitre, dans un premier temps, leur impact sur la population. Les réponses ne l’ont guère convaincu même s’ils figurent dans un vaste plan d’aménagement non encore lancé.

Le wali, ayant remarqué que des enfants jouaient en dehors de l’enceinte seulement sur un petit trottoir surplombant la chaussée, a donné instruction à la directrice de la DUCH d’entamer immédiatement les travaux d’aménagement de ces deux espaces pour la réalisation d’un jardin de détente pour les riverains et une aire de jeux pour les enfants. «Pour le moment, laissez les gamins occuper les lieux en commençant par l’enlèvement de ces barreaux inutiles qu’il faut fixer plutôt à proximité des lotissements pour empêcher les extensions sauvages», a indiqué le wali. Cette initiative a été bien accueillie par les citoyens qui étaient présents et bien pressés de bénéficier de ces deux placettes qui vont égayer, dans les prochains jours, le cadre urbain de cette localité qui en avait besoin.

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Belkecir Mohamed

La sûreté de wilaya a traité au mois d’août 283 affaires dans le cadre de la lutte contre la criminalité, impliquant 318 individus dont 6 femmes et 3 mineurs. Parmi eux, 58 ont été placés en détention. En Juillet, 266 affaires avaient été enregistrées, impliquant 324 individus.

Parmi les affaires, 166 sont relatives à des atteintes aux personnes (homicide, violences sur ascendants, menaces…), impliquant 175 individus.

Les mêmes services ont traité également six affaires relatives à des atteintes à la famille et aux bonnes mœurs. Pour ce qui est des atteintes aux biens, le bilan fait état de 57 affaires impliquant 65 personnes. D’autres types d’affaires ont aussi été traités, à savoir dégradation de biens d’autrui avec 13 affaires.

En matière de lutte contre les stupéfiants, la brigade compétente a mis hors d’état de nuire 29 personnes impliquées dans 23 affaires de trafic et consommation. À l’issue de leurs présentations devant les autorités judiciaires, 13 suspects ont été placés en détention provisoire.

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A. Mallem

Dans la nuit de mardi à mercredi, une fuite de gaz qui s’est produite à la cité ‘Boussouf’ située, à l’ouest de la ville de Constantine, a provoqué une peur panique collective dans le quartier, nécessitant l’intervention urgente d’une équipe technique du service du gaz de la société de distribution du même nom. Selon des résidents que nous avons contactés, hier, de nombreux habitants ont été alertés par cette fuite, à cause des odeurs caractéristiques du gaz de ville qui s’étaient répandues, dans l’environnement.

«L’inquiétude a gagné les habitants, au fur et à mesure, que le temps passe, d’autant que personne n’est parvenu à localiser la fuite.

Cette angoisse n’avait commencé à se dissiper qu’après l’intervention de l’équipe technique de la Société du gaz dont les éléments, arrivés sur les lieux ont procédé à la fermeture des conduites de distribution du gaz», ont déclaré nos interlocuteurs. Contacté, hier, M. Kherchouche, directeur de la société de distributuion de Constantine (SDC), a confirmé l’incident en ajoutant que les agents de la Société du gaz ont commencé à intervenir dans la nuit même, quelque temps après le déclenchement de l’alerte. «Ils ont éprouvé des difficultés pour détecter cette fuite et il y a eu même un feu qui s’était produit à l’air libre.

Ce n’était pas du tout méchant», a estimé M. Kharchouche affirmant que «la situation a été maitrisée, sans le moindre dommage». «Aussi, les travaux de réparation de la fuite ont été achevés le matin et l’approvisionnement en gaz de la cité a été rétabli à 13h», a conclu le directeur de la SDC.

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A. Mallem

Depuis plus de deux semaines, les riverains, résidents et commerçants, de la rue Benlaib à Bab El-Kantara inférieur vivent dans l’angoisse de voir un pan de la plate-forme de la terrasse du bâtiment de cinq étages, abritant au rez-de-chaussée les bureaux de la 13ème Sûreté urbaine, s’effondrer. Les commerçants nous ont raconté, hier, que la chose s’est déjà produite, il y a deux semaines de cela, quand la moitié de ce mur s’était détachée et tombée cinq étages plus bas, aux pieds du bâtiment, sans faire heureusement de victime, ni de dégâts matériels. «Quand cette moitié de la plate-forme de la terrasse est tombée, ont expliqué nos interlocuteurs, les responsables techniques de la commune, ainsi que la protection civile, ont été alertés par les responsables du secteur urbain de Bab El-Kantara et ils sont venus faire un constat de visu, puis sont repartis sans retour. Depuis, ils ne sont plus réapparus et le danger reste suspendu sur nos têtes, car, il suffirait de quelques pluies comme celles qui se déclenchent, maintenant, régulièrement en début de soirée ou dans la nuit pour que ce pan de la terrasse, qui sera érodée, davantage, par les eaux, s’effrite et tombe».

Pour le moment, nous avons constaté que la 13ème Sûreté urbaine a pris des mesures conservatoires à cet endroit, en établissant une barrière pour interdire que les véhicules automobiles empruntent l’entrée de la rue Belaib. Toutefois, tant que le danger d’effondrement est encore latent, les craintes des riverains n’ont pas été dissipées et ces

derniers, quand ils passent tout près de l’endroit , ont le réflexe

de lever la tête pour regarder en haut afin de voir s’il n’y a aucun risque d’effondrement. Nous avons contacté à ce sujet la déléguée du Secteur urbain de Bab El-Kantara, Mme Bouhouche, qui a répondu que la daïra a été saisie de ce problème avec un dossier technique et le problème se trouve, maintenant, à ce niveau.

Et puis, a ajouté la déléguée, le problème n’est pas si simple qu’on le croit car il y a danger à toucher ce pan de la plate-forme de la terrasse sans étude préalable de destruction. «C’est ce que les Services techniques concernés ont recommandé de faire, avant d’entreprendre quoi que ce soit, pour enlever cette plate-forme en béton». A ces restrictions, Mme Bouhouche a ajouté la question de la propriété de l’immeuble qu’il faut d’abord établir. «S’il est propriété de l’OPGI, cette administration sera, également, impliquée dans le règlement du problème auquel elle sera appelée à prendre ses responsabilités».

En définitif, nous a fait comprendre la déléguée, seule l’étude technique pourra déterminer, par quel moyen, cette plate-forme, en béton, doit être détruite sans danger pour le voisinage.

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L’Algérie, au nom du groupe des Etats d’Afrique, a plaidé pour une approche globale pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité en haute mer lors des travaux de la Conférence intergouvernementale tenue sur ce thème à New York, indique l’Organisation des Nations-unies sur son site web. Le cadre institutionnel du traité, qui doit émerger à l’issue de la conférence, prévoirait une conférence des parties qui en serait l’organe suprême et décisionnel, un secrétariat responsable de la gestion administrative au jour le jour et un comité scientifique ouvert aux scientifiques et experts de toutes les régions du monde. Cet aménagement institutionnel proposé par l’Algérie au nom du groupe des Etats d’Afrique « a reçu le soutien de plusieurs participants », note le communiqué de l’ONU. L’Algérie a précisé que le comité scientifique devrait examiner les propositions qu’on lui fait avec toutes les organisations pertinentes. « En dehors des Etats parties, les organisations compétentes pourraient également être autorisées à faire des propositions pour la création des aires marines protégées », poursuit le communiqué citant l’intervention de l’Algérie lors de ces travaux. En outre, les pays africains représentés par l’Algérie ont plaidé pour que le nouveau traité établisse des normes et des exigences minimales pour les études d’impact. L’Algérie et le groupe des Etats d’Afrique, lit-on dans le communiqué, ont appelé à ce que le futur traité fixe des seuils en vertu desquels les études d’impact deviendraient obligatoires, suggérant, comme l’a aussi fait le Brésil, de se référer à l' »annexe I du Protocole au Traité sur l’Antarctique, relatif à la protection de l’environnement ». A noter que les travaux de la conférence intergouvernementale sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine en haute mer se déroulent entre le 4 et le 17 septembre à New York et doivent compléter le régime existant, notamment fixé par la Convention des Nations unies sur le Droit de la mer. N. B.

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« Tout à l’heure, Emmanuel Macron va reconnaître la responsabilité de l’État »dans la disparition de Maurice Audin en juin 1957, a annoncé jeudi 13 septembre sur France Inter le député LREM et mathématicien Cédric Villani, qui porte ce combat « depuis des années ». « La vérité c’est que Maurice Audin faisait partie de tous ceux qui ont été victimes d’un système. Pour moi, c’est un moment historique » Cédric Villani à France Inter

Le 11 juin 1957, à Alger, « Maurice Audin est arrêté par l’armée française, et à partir de là, l’histoire officielle pendant très longtemps s’est arrêtée », a rappelé Cédric Villani. Maurice Audin, mathématicien, membre du Parti communiste et militant anticolonialiste, a été torturé par des parachutistes français.

Le corps de Maurice Audin jamais retrouvé

« La version que la famille Audin recevra systématiquement pendant des années, c’est que Maurice Audin s’est évadé et qu’il a disparu sans laisser de traces. Et quand on y repense, avec le recul, ce serait simplement risible si ce n’était pas aussi tragique », a poursuivi l’élu LREM.

Le président français va se rendre jeudi 13 septembre chez Josette Audin, la veuve de Maurice Audin et prononcera un discours. Une prise de parole « où on regarde l’histoire en face et où on prend bien garde de ne pas jeter le blâme sur tout le monde sans distinction mais où on invite tout le monde à parler et à panser les plaies », a précisé Cédric Villani. « Le président s’attachera à faire de ce moment, non pas un moment d’accusation mais un moment de vérité » Cédric Villani à France Inter

Le député LREM a par ailleurs affirmé avoir eu Pierre Audin, le fils de Maurice Audin, au téléphone : « Pierre m’a dit : ‘Je ne vois pas ce que j’aurais pu demander de plus à un président’. Voilà 61 ans que la famille attend cela », a conclu Cédric Villani.

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M. B.

Pour le compte du match avancé de la sixième journée du championnat de Ligue 1 Mobilisa, l’AS Aïn M’lila, qui reste sur une cuisante défaite à Oran face au MCO, tentera de se racheter à Batna (le stade Demande Debbie n’ayant toujours pas été homologué), face au champion sortant, le CS Constantine en l’occurrence (17 h 00). Une rencontre importante pour les locaux qui avaient bien entamé la saison avant de se faire rejoindre par les autres prétendants.

Cette fois, les hommes de Mohamed Adjani n’ont pas droit à l’erreur, et seule une victoire est susceptible de leur éviter de tomber dans le piège du doute. En face, le CSC n’est pas non plus au mieux de sa forme comme en témoignent les résultats en dents de scie enregistrés par la bande à Armani et attestent la difficulté de la tâche des Sanatorial, notamment en dehors de leurs bases. Quoi qu’il en soit, on devrait assister à une belle affiche très ouverte sur la belle pelouse du stade du 1er Novembre de Batna, qui est en très bon état et qui devrait favoriser le jeu technique.

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Abid Djebbar

  Le CRBF, drivé par l’entraîneur Bot Abdelaziz en ce début de saison, secondé par son adjoint Kamir Mourad un enfant du club, se dit confiant de jouer les premiers rôles et réaliser l’exploit de l’accession au palier supérieur de division amateur Centre-Ouest.

Afin de réunir les paramètres favorisant ce projet, il a été procédé à un sérieux renforcement de l’effectif par des joueurs de bon niveau dans les trois compartiments afin d’apporter le plus à l’équipe.

A ce propos, il est utile de rappeler que le Chabab a visé durant deux saisons successives l’objectif d’accession, en 2016 – 2017 et 2017 – 2018, échouant de peu dans ses tentatives.

Le président du club Djaâfri Abdelkader et le responsable de la section football Abbache Mokhtar demeurent toutefois optimistes quant à l’avenir de leur club, espérant que, cette fois, ce sera la bonne quant à cette consécration tant espérée par les fans de la ville de Froha qui ont de tout temps soutenu à fond leur équipe, aussi bien à domicile qu’à l’extérieur.

On notera que le Chabab accueillera lors de son premier match du championnat l’IRB Aflou au stade Bendoukha Lahcène de la ville. Un match attendu impatiemment par les fans du club. Donc, la victoire est impérative ce week-end si les Ferhaouas entendent jouer les premiers rôles cette saison.

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Un seul match de la cinquième journée duChampionnat de Ligue 1Mobilis est au programme dedemain vendredi et mettraaux prises le CS Constantineet l’AS Aïn M’lila, au stade du1er-Novembre de Batna, dansun match à six points.

Les Sanafir, champions d’Algérie en titre, effectueront un déplacementpérilleux à Batna pour yaffronter le nouveau promu. Leshommes d’Abdelkader Amrani, quirestent sur une belle victoire à domicilecontre l’USM Bel Abbès (3-0), seprésenteront dans la capitale desAurès avec la ferme intention de d’enchaîner un autre succès.

Trois points qui vont leur permettre de s’installerprovisoirement sur lefauteuil de leader. Avec huit points aprèsquatre journées, les coéquipiersd’Abid ne comptent pas s’arrêter en sibon chemin. La totalité des points sera l’unique mot d’ordre des Sanafir, selon l’entraîneur Amrani. Devant une équipede Aïn M’lila trèsvolontaire, les camarades du revenant Walid Bencherifa sont appelés à rester concentrés sur leur sujet. Les Sanafir, qui ont offert à leurs inconditionnels le niveau qu’ils espéraient depuis l’entame de cet exercice, ne comptent pas lâcher prise.Après un début en dents de scie, les Constantinois commencent à retrouver leur niveau. Les coéquipiers de Djabout sont appelés non seulement àjustifierleur statut de champion, mais surtout présenter un niveau digne du tenant du titre.

Sans trop chamboulerni l’effectif ni le staff technique, le club phare des Ponts suspendus possède les moyens nécessaires pour atteindre ses objectifs. S’exprimant à la fin de la rencontre face à l’USMBelAbbès, l’entraîneurdu CSC, Abdelkader Amrani, appelle tout le monde à garder lespieds surterre et prendre au sérieux chaqueadversaire. « Il ne faut pas trop s’enflammer et crier victoire. Le cheminest encore long et périlleux. Il s’agit d’un championnat où les matchs sesuccèdent et ne se ressemblent pas. Il faut garder les pieds sur terre et penserau prochain match contre Aïn M’lila »,a-t-il dit.En face, le nouveau promu, quioccupe la 6e place avec 8 points, se présentera demain sur « sa pelouse » dustade 1er-Novembre de Batna avec l’intention de confirmer sans invincibilité à domicile. Cette formation de Aïn M’lila, qui continue à recevoir ses adversaires dans la capitale des Aurès,commence à sentir la fatigue des longsdéplacements.

« En continuant àrecevoirnosadversaires en dehors de nos bases, les joueurs commencent à sentir la fatigue. J’essaie à chaque fois d’apporter des changements dans le onzerentrant. N’empêche, on défendra nos chances à fond. Nous avonsun contratavec ce club et nous sommes appelés à l’honorer. Nous allons aborder le match contre le CSCavec lemême état d’esprit et mêmeenvie de gagner les trois points. Laqualité de l’adversaire ne change enrien nos ambitions. On fera tout pour l’emporter et maintenir notre belle lancée », a indiqué, quant à lui,l’entraîneur de l’ASAM, Lakhdar Adjali.

Par Mourad Salhi

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M. Aziza

  La secrétaire générale du Parti des Travailleurs Louisa Hanoun continue à défendre bec et ongles son initiative et celle de son parti, portant sur la mise en place d’une Assemblée constituante. Tout en estimant que «l’organisation des élections présidentielles dans les conditions actuelles serait un saut dans l’inconnu», selon son avis.

La première responsable du PT a affirmé dans ce sens, qu’aucun projet de loi ne devrait être présenté devant les deux assemblées (l’APN et le Sénat) à l’exception de la loi de finances 2019 qui devrait être signée par le président de la République durant cette période. Et d’affirmer que son parti est contre la présentation, à l’heure actuelle des choses, du projet de loi de droit politique. Le parti s’oppose également, selon sa SG, à la présentation du nouveau projet de code du travail. Un projet qualifié de «moyenâgeux» par Louisa Hanoun.

Pour Louisa Hanoun, le pays n’est pas du tout immunisé, notamment avec les scandales qui ont démasqué un bon nombre d’oligarques et d’opportunistes. Et ce, dit-elle, à travers l’affaire de la cocaïne, dont l’enquête se poursuit toujours. La conférencière a également évoqué l’épidémie du choléra, en précisant que le ministère de la Santé n’est pas le seul responsable de cet état de fait. «Toutes les institutions sont concernées par ce dossier». Elle a évoqué en outre, la fuite des capitaux vers l’étranger et le transfert illicite de la devise sans aucune déclaration qui fragilise davantage notre économie.

Commentant les faits marquants de cette semaine, notamment ceux relatifs aux menaces du maréchal libyen Haftar contre l’Algérie, Louisa Hanoun a rappelé que la position de l’Algérie est claire et inchangeable. «L’Algérie plaide pour une solution politique qui doit être inter-libyenne et issue de la volonté du peuple libyen». Mais dit-elle, il ne faut pas négliger ce «genre de menace», précisant qu’il faut être vigilant car il ne s’agit pas de la première menace ni de la dernière. Mais, dit-elle, la question qui se pose est «qui a intérêt à la détérioration des relations entre l’Algérie et la Libye ?». Répondant à sa propre question : «nous savons que ce sont les forces impérialistes qui tirent profit de cette détérioration, ceux qui se sont toujours opposés à toutes les initiatives de solution pacifique du conflit».

La SG du PT a également commenté l’affaire des slogans pro-Saddam scandés par les supporters de l’USM Alger, lors du match retour de Coupe arabe face à une équipe irakienne. En affirmant que le peuple algérien a été toujours solidaire avec le peuple Irakien, s’interrogeant «de quoi s’excuse notre ministre des Affaires étrangères ?». En précisant que les supporters algériens sont libres de s’exprimer. «Ils ont souvent critiqué à travers leurs slogans des officiels algériens». Et d’indiquer que ces jeunes ont la liberté absolue à s’exprimer dans un espace démocratique qui reste le seul possible en Algérie pour le moment. Et de rappeler que les Algériens n’ont jamais applaudi l’assassinat de Saddam, ni même l’assassinat de Maamar El Kadhafi. En poursuivant «cela ne veut pas dire qu’on défendait le pouvoir irakien ou libyen de l’époque». Elle a tenu à préciser encore une fois que nos supporters n’ont nullement une idéologie sectaire contre les Chiites ou d’autres confessions.

Louisa Hanoun a affirmé, par ailleurs, que la réunion regroupant le bureau politique du parti, tenue hier au siège du PT, a pour but la collecte des signatures autour de la lettre qui doit être adressée au président de la République, demandant la tenue des élections pour la mise en place d’une Assemblée constituante. Et pour élaborer un plan de travail pour faire aboutir cette initiative.

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Tayeb Zgaoula

L’USM Annaba, qui a marqué le pas en concédant une défaite face au MCS dans une rencontre que les Annabis ont dominée en première période du jeu avant de céder en deuxième mi-temps, entend se racheter. Dans un bref entretien, le coach Kamel Mouassa justifie ce revers par les incidents survenus à la mi-temps dans le hall des vestiaires. « Tout se déroulait normalement. Mais voilà qu’à la pause, des incidents ont éclaté entre les dirigeants et d’autres personnes au moment où nos joueurs regagnaient les vestiaires. Ces incidents ont provoqué la colère dans notre camp, ce qui fait que nos joueurs étaient déconcentrés. Ensuite, il y a eu la forte pression exercée sur l’arbitre qui a accordé de nombreux coups francs en faveur de l’équipe locale. Pour ma part, je considère que cette défaite est injuste du fait du contexte », estime l’entraîneur annabi. Questionné sur le match de vendredi contre la JSMS, il dira : « c’est un derby entre deux formations qui pratiquent un bon football. Il intervient dans une situation délicate où les formations ont besoin de réagir. En ce qui nous concerne, on doit rectifier le tir pour chasser le doute, car on ne perd pas espoir de réduire l’écart qui nous sépare du peloton de tête. Le championnat n’en est qu’à son début. Je dois dire aussi que notre équipe est appelée à parfaire sa cohésion ».

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Ghania Oukazi

Le lancement des travaux de l’extension du gazoduc Pedro Duran Farell (GPDF) El Aricha-Beni Saf a été effectué hier par le ministre de l’Energie et le PDG de Sonatrach.

D’une longueur de 197 km, l’extension en question se fera entre El Aricha, commune de la wilaya de Tlemcen et Beni Saf, commune de Aïn Témouchent. C’est un nouveau couloir qui sera à cheval, selon une note de Sonatrach, sur quatre wilayas à raison de 116 km situés sur celle de Tlemcen, 39 km à Naama, 4 km à Sidi Bel Abbès, et 39 autres à Ain Temouchent. La pose de la première pierre du projet a été mise en fait, sur les territoires de la wilaya de Naâma, précisément dans la commune de Kazdir. Mais si ce nom n’est pas mentionné sur la carte du projet c’est parce que, expliquent les cadres de Sonatrach, «l’appellation de El Aricha est consacrée dans le manuel opératoire depuis 1996, année de la signature de contrat de commercialisation du gaz avec l’Espagne et le Portugal.» Elle est surtout issue du découpage territorial de l’époque.

L’on note qu’avant qu’il ne porte ce nom, le tracé du gazoduc GPDF devait s’appeler «Machraâ Enouar» en plus, soutiennent nos interlocuteurs «il n’était pas possible d’inscrire sur la cartographie du projet le nom de Kazdir qui veut dire bidonville en arabe, parce que ça pourrait laisser une mauvaise appréciation chez les étrangers.» Les élus locaux le la wilaya de Naama sont allés jusqu’à interrompre la présentation du projet d’extension qui était faite hier au ministre pour lui exposer le problème. Ils avaient surtout insisté sur le recrutement pour les besoins des travaux qui, selon eux «ne se fait que du côté de Tlemcen, je vous défie de trouver un seul chef de parc de Naâma et Mechria qui est tout près d’ici,» se lamentent-ils. «Nos enfants souffrent, monsieur le ministre, ils n’ont pas d’emplois(…),» disait un élu de Naâma à Guitoni. «Faux !» dira plus tard Ould Kaddour aux journalistes en précisant que «nous avons enquêté pour savoir s’il y avait des femmes de ménage de Tlemcen, il n’y en a aucune ! » Le ministre de l’Energie leur promet dans son discours que «le projet créera de nouveaux postes d’emploi dans la région.» Il a surtout noté que «le GPDF renforcera la position de l’Algérie à l’avenir sur le marché international.» L’extension du GPDF, gazoduc qui passe depuis 96 par le Maroc, «s’inscrit dans le programme de développement et du renforcement des capacités d’approvisionnement en gaz naturel algérien au continent européen et pour permettre à notre pays de disposer d’une flexibilité d’exploitation pour répondre aux besoins croissants du marché national,» souligne Sonatrach.

Prévue sur un nouveau couloir que celui desservant en gaz naturel l’Espagne et le Portugal, l’extension El Aricha-Beni Saf approvisionnera d’autres pays européens. Le GPDF assurera ainsi «un écoulement bi-directionnel.» Il permettra, une fois construit, de «sécuriser et augmenter l’approvisionnement de la péninsule ibérique en gaz naturel algérien et ce en prévision de l’augmentation de la capacité du Medgaz par le rajout du 4ème TC à station de compression de Beni Saf.» Il est précisé en outre, que l’extension permettra de «dévier le flux gazier transitant par le GPDF d’El Aricha vers Beni Saf, d’optimiser l’utilisation de la capacité de réserve, de sécuriser l’approvisionnement en gaz naturel du marché national en particulier de la région ouest du pays et enfin, de disposer d’une flexibilité d’exploitation «capacité de réserve» sur l’axe GPDF en cas de besoin.»

«Ce sont 2 à 3 milliards de dollars à ne plus importer»

Le projet sera réalisé à «100%» par des entreprises algériennes à savoir Cosider et sa filiale ENAC pour un montant de 31,59 milliards de dinars. Sa réception est prévue en 2020. Dans le point de presse qu’il a animé dans le salon de l’aéroport de Tlemcen, Ould Kaddour a indiqué à propos de l’appellation de l’extension du GPDF que «si on la change, on doit changer toutes les données géographiques, c’est difficile de revoir tout ça(…).» Il affirmera que «le recrutement se fera systématiquement localement, quel que soit l’endroit, les règles sont claires et nettes, on prend des locaux.»

Le PDG de Sonatrach fera savoir que «l’Algérie approvisionne actuellement l’Europe par Medgaz à hauteur de 8 milliards de m³ en gaz naturel, nous sommes en train de travailler pour augmenter la quantité à 10 milliards de m³, c’est notre objectif, nous voulons augmenter nos capacités d’export, dans ce cas, il faudra qu’on ramène plus de gaz de Hassi R’Mel.» Le contrat avec la société marocaine qui assure à son niveau le passage du gaz algérien vers l’Europe arrivera à terme en 2021. «D’ici là, on verra, les Marocains sont sur le projet, on va discuter avec eux, je ne pense pas qu’il y aurait des problèmes,» dit Ould Kaddour. Il rappelle que «nous avons 20 000 km de pipelines, l’extension nous permettra d’exporter plus de gaz.» Il évoquera aussi «le gros contrat de gaz avec les Espagnols de 9 milliards, qui va sur 9-10 ans, c’est à long terme.» Et indiquera que «nous avons beaucoup de clients, on est en train d’en discuter avec eux.» Ould Kaddour rappelle que «la chose la plus importante pour nous est la pétrochimie, nous allons signer la joint-venture avec Total avant la fin de l’année, on discute par ailleurs, avec les Turcs pour la production de 450 000 tonnes de polypropylène, sans compter nos engagements avec nos partenaires traditionnels ENI, ENEL, TOTAL…» Le projet de la pétrochimie à Hassi Messaoud est prévu à la fin de l’année ou au plus tard début de l’année prochaine. «Ce sont 2 à 3 milliards de dollars de moins à ne plus importer si on arrive à produire notre pétrochimie,» dira Ould kaddour.

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PARIS – Le cancer continue sa progression « alarmante » dans le monde avec 18,1 millions de nouveaux cas et 9,6 millions de décès en 2018, d’après les dernières estimations publiées mercredi, du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC/IARC), qui dépend de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Un homme sur cinq et une femme sur six dans le monde développeront un cancer au cours de leur vie, et un homme sur huit et une femme sur onze meurent de cette maladie.

Le cancer du poumon est de loin le plus meurtrier avec 1,8 million de décès (18,4% du total). Il devance le cancer colorectal (881.000 décès, soit 9,2 % du total), le cancer de l’estomac (783.000 décès) et le cancer du foie (782.000 décès), selon ces nouvelles estimations établies pour 36 cancers dans 185 pays.

Sans les cancers cutanés autres que les mélanomes, retirés pour pouvoir établir une comparaison avec les années précédentes, les nouveaux cas de cancer dans le monde atteignent 17 millions en 2018 contre 14 en 2012 selon la précédente estimation.

« Ces nouveaux chiffres montrent qu’il reste beaucoup à faire pour répondre à l’augmentation alarmante du fardeau mondial du cancer et que la prévention doit y jouer un rôle clé », selon le Dr Christopher Wild, directeur du CIRC, basé en France, à Lyon.

« Des politiques efficaces de prévention et de détection précoce doivent être mises en oeuvre de toute urgence pour compléter les traitements pour lutter contre cette maladie dévastatrice à travers le monde », ajoute-t-il dans un communiqué.

Près de la moitié des nouveaux cas et plus de la moitié des décès par cancer dans le monde en 2018 surviennent en Asie, principalement en Chine, en partie parce que cette région concentre près de 60% de la population mondiale. 43,8 millions de personnes vivent avec un cancer dans le monde dans les cinq ans suivant le diagnostic, note l’agence spécialisée.

Le cancer du poumon arrive en tête des cancers le plus fréquemment diagnostiqués chez les hommes et constitue leur principale cause de décès par cancer avec environ un décès sur cinq.

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GENEVE – Les Nations unies ont alerté mercredi sur la situation catastrophique dans laquelle vivent les Palestiniens dans la bande de Ghaza, estimant que l’arrêt des aides américaines pour les réfugiés allait aggraver leur situation socio-économique.

La secrétaire générale adjointe de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), Isabelle Durant, a présenté un rapport sur la situation économique et sociale dans la bande de Ghaza et en Cisjordanie occupée.

« C’est catastrophique à Ghaza. Maintenir des gens dans un système de pauvreté organisé. Ca devient de plus en plus intenable », a déclaré la secrétaire générale adjointe de la Cnuced lors d’une conférence de presse.

Le rapport a pointé du doigt « les risques qui se profilent à l’horizon politique et l’évolution défavorable de l’aide, de la reconstruction de Ghaza et de l’expansion de la consommation financée par le crédit ».

En 2017, avant l’annonce américaine de supprimer toute aide à l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), le soutien des donateurs avait déjà fortement diminué (-10,5% par rapport à 2016) pour ne plus représenter qu’un tiers de ce qu’il était en 2008, atteignant 720 millions de dollars (620,6 millions d’euros), selon le rapport.

Les experts de la Cnuced ont relevé aussi que « l’établissement de colonies israéliennes illégales et l’annexion de terres palestiniennes se sont accélérés » tandis que « Ghaza continue de glisser sur la pente du développement ».

Le chômage dans l’enclave palestinienne a atteint les 44%, constituant le taux le plus élevé dans le monde, alors que Ghaza est soumise depuis plus de dix ans à un blocus illégal par l’occupant israélien.

En 2012, l’ONU avait mis en garde contre le fait que si l’évolution de la situation n’était pas inversée, Ghaza serait « inhabitable et inadaptée à la vie humaine en 2020 ».

Depuis, selon le rapport, tous les indicateurs socioéconomiques se sont dégradés et les conditions de vie à Ghaza se sont détériorées.

« L’arrêt de l’aide américaine aux palestiniens va créer plus de misère », a prévenu de son côté Mahmoud El khafif, coordinateur du programme d’assistance de la Cnuced aux Palestiniens.

Dans son rapport, la Cnuced a mis également en avant « des preuves de l’annexion progressive de grandes parties de la Cisjordanie, y compris le transfert de population dans les colonies de peuplement et de l’expulsion de la population palestinienne ».

Pour permettre aux Palestiniens de faire face à cette situation économique difficile, la CNUCED a recommandé la levée du blocus sur Ghaza et de permettre à l’Autorité palestinienne d’exploiter les gisements sous-marins de gaz naturel découverts en Méditerranée.

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La branche Seat du Groupe Sovac a livré 1000 Seat issues de l’usine Sovac Production SPA de Relizane au cours du mois dernier, révèle le bilan du mois d’août du constructeur ibérique.

Après avoir terminé le meilleur semestre de son histoire et un mois de juillet en hausse de 35,7 % en juillet par rapport au même mois de 2017, Seat maintient sa progression et a écoulé 41.200 unités en août, soit un total de 383.900 ventes depuis le début d’année.

Avec 13.900 ventes, soit 1000 unités écoulées en août, le marché algérien fait toujours partie du top 10 des marchés du constructeur ibériques en étant le premier marché hors Europe, avec un 7ème position au classement général avec le gros des ventes qui revient à la nouvelle Seat Ibiza, la Léon et l’Arona faisant à peine leur entrée sur le marché au début de cet été 2018.

En tête du classement des ventes, l’Allemagne et ses 83.100 ventes devance l’Espagne (79.100) et le Royaume-Uni (45.200 ventes).

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Deux jours nous séparent de la présentation officielle de la DS3 Crossback, première DS 100% électrique, et Thierry Métroz, directeur du style de la marque, nous en montre quelques bouts.

Habitué de l’exercice, Thierry Métroz, directeur du style de la marque Premium du Groupe PSA, a partagé une photo composée dévoilant certaines parties de la DS3 Crossback à l’image de la calandre en nid d’abeilles, le bouclier avant accueillant des feux de jours à diode positionnés verticalement et rappelant la DS3 mais sans laisser voir entièrement les optiques afin de confirmer la présence de deux blocs séparés comme le laissent croire les fuites desimages de brevets de propriété intellectuelle, des feux qui profiteront de la technologie « DS LED Vision ».

Appelée à prendre le relais de la DS3 pour une présentation au prochain Mondial de Paris avant un début de commercialisation en 2019, la DS3 Crossback sera la première DS 100% électrique et devrait offrir 450 km d’autonomie avec 50 kWh de batteries et un moteur de 115 ch.

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Trois ans après son lancement, le Renault Kadjar passe par la case restylage et ce dévoile officiellement avant sa première sortie mondiale au Salon de Paris.

Pour ce restylage, Renault a fait dans le minimum côté esthétique, estimant que « le style de Renault Kadjar, selon des études auprès de la clientèle, était sa première raison d’achat ». Cela se traduit par une calandre élargie avec de nouveaux inserts chromés, de l’adoption de la signature lumineuse identitaire en forme de C (C-Shape) de la gamme Renault, l’intégration des clignotants LED aux feux de jour et des logements d’antibrouillard rectangulaires et à LED. À l’arrière, les clignotants adoptent aussi des LED, tout comme les feux de recul et de brouillard, désormais intégrés au bouclier, ce dernier étant habillé de chromes. Enfin, le Kadjar restylé propose deux nouveaux types de jantes de 17 et 19 pouces, ainsi que trois coloris inédits : « Vert Oural », « Bleu Iron » et « Gris Highland ».

L’habitacle reçoit également un coup de jeune mais sans profiter pour adopter l’écran tactile vertical 8,7″ des derniers modèles du Losange, se contentant de son écran de 7″ mais que Renault annonce plus réactif. Les commandes de la climatisation ont également été revues avec trois boutons rotatifs intégrant les affichages de température et de ventilation en leur centre. La console centrale dispose de deux porte-gobelets plus grands, ajustables, et donc plus pratiques à l’usage et e vide-poches situé devant le levier de vitesses est désormais éclairé. Les contreportes, qui peuvent désormais accueillir une grande bouteille d’eau, adoptent de nouvelles platines de commande des vitres et rétroviseurs électriques, rétro-éclairées et des touches de chrome satiné habillent les contours d’aérateurs, les poignées de portières et la console centrale. De nouvelles selleries sont au programme, dont certaines à effet 3D et une en Alcantara, habilleront des sièges revus qui disposent désormais d’un réglage de la longueur d’assise. Des sièges que Renault annonce plus confortable et au maintien amélioré avec des renforts latéraux plus fermes. Pour finir, les passagers arrière profiteront de l’intégration de nouveaux aérateurs au dos de la console centrale pour un meilleur confort thermique.

Sous le capot et après avoir revu son offre durant l’été pour répondre aux normes WLTP, le Kadjar disposera également d’un 1.7 BluedCi de 150 ch, associé uniquement à la boîte manuelle, s’offrant ainsi plus de puissance en diesel, lui qui culminait à 130 canassons. Et si la gamme dispose de l’offre 4×4, les acquéreurs des 4×2 peuvent également jouer en dehors du bitume avec le système Extended Grip à l’antipatinage optimisé et ses trois modes sélectionnables à l’aide d’une molette placée sur la console centrale, derrière le levier de vitesses.

Portfolio

          

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L’organisation du trophée européen “Car Of The Year” , qui récompense la voiture de l’année en Europe , vient de dévoiler une liste provisoire de 50 candidates pour l’édition 2019.

Les membres du jury du concours de « Car Of The Year » publient une première liste qui constitue la présélection des voitures éligibles au titre de voiture de l’année. Ces modèles doivent être nouveaux, avoir été commercialisés avant la fin de l’année en question et faire valoir des prévisions novembre prochain de ventes dépassant les 5 000 unités. La liste des 7 finalistes sera connue le 26 novembre.

Le successeur de la Volvo XC40 , vainqueur en 2018, sera dévoilé la veille de l’ouverture du Salon de Genève, soit le 4 mars 2019.

– Alpine A110
– Aston Martin Vantage
– Aston Martin DBS Superleggera
– Audi A1
– Audi A6
– Audi A7
– Audi e-tron
– Audi Q3
– Audi Q8
– BMW 3-series
– BMW Z4
– BMW 8-series
– BMW X2
– BMW X4
– BMW X5
– Borgward BX7
– Citroën Berlingo /Opel Combo/Peugeot Rifter
– Citroën C5 Aircross
– Dacia Duster
– DS7 Crossback
– Ford Focus
– Honda CR-V
– Hyundai Nexo
– Hyundai Santa Fe
– Jaguar E-Pace
– Jaguar I-Pace
– Jeep Wrangler
– Kia Ceed
– Lamborghini Urus
– Lexus ES
– Lexus LS
– Lexus UX
– Lynk & Co 01
– Mazda 3
– Mercedes-Benz A-series
– Mercedes-Benz B-series
– Mercedes-Benz CLS
– Mercedes-Benz GLE
– Mercedes-Benz G-series
– Mercedes-Benz AMG GT 4-door
– Nissan Leaf
– Peugeot 508
– Polestar 1
– Range Rover Evoque
– Rolls Royce Cullinan
– Seat Tarraco
– Suzuki Jimny
– VW T-Cross
– Toyota Camry
– VW Touareg
– Volvo V60

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Le constructeur espagnol Seat mise énormément sur le GNC pour son développement futur en marge de l’électrification. Un carburant qui a également été au centre des discussions avec les responsables algériens.

Ils sont écologiques et roulent au moyen d’un carburant moins cher et tout aussi sûr que l’essence ou le diesel. Mais connaissons-nous vraiment le fonctionnement des véhicules au gaz naturel ? Andrew Shepherd et Antonio Calvo, experts en gaz naturel comprimé (CNG) chez SEAT, nous en disent plus à ce sujet :

Double goulot de remplissage derrière la trappe de réservoir

Les deux goulots de remplissage pour les carburants respectifs sautent aux yeux lors de l’ouverture de la trappe de réservoir. « Le plein s’effectue comme pour une voiture essence ou diesel. Le goulot de remplissage est situé au même endroit et le temps nécessaire est pratiquement équivalent. De plus, faire un plein de gaz naturel ne s’accompagne pas de l’inconfort des odeurs et du pistolet à carburant qui goutte », explique Antonio Calvo, directeur de la mobilité durable chez SEAT.

Réservoirs hermétiques

Ils sont situés sous le plancher du coffre, là où se trouve normalement la roue de secours, et sont fabriqués en acier à haute résistance traité contre la corrosion. Un ensemble d’électrovannes de sécurité enferme hermétiquement le gaz à l’intérieur et ne s’ouvre que lorsque le contact est mis. Leur état est homologué tous les 4 ans et les composants ont été testés pour résister à des conditions extrêmes : « Les réservoirs de cette voiture résistent à une pression de 200 bars, mais ils sont conçus pour résister à plus du double afin de garantir une sécurité totale », déclare Antonio.

Deux types de carburant et un seul moteur

Les voitures au CNG sont équipées d’un moteur à combustion interne dernière génération qui fonctionne indifféremment au gaz naturel ou à l’essence. Par défaut, les voitures roulent au gaz jusqu’à ce que celui-ci soit épuisé, puis passent automatiquement à l’essence. Le conducteur ne peut pas dire quand la transition a lieu étant donné que les performances du moteur sont parfaitement identiques avec les deux carburants. « Le moteur est doté de nombreux composants spécialement renforcés pour la combustion du gaz naturel. Il satisfait aux normes d’émission les plus strictes, comme en témoigne l’Ecolabel délivré aux voitures au CNG par la Direction générale de la circulation (Espagne) », explique Andrew Shepherd, responsable produit CNG chez SEAT.

Résistance aux chocs

Les véhicules au CNG observent les normes les plus sévères de l’industrie. Tout au long de la phase de développement, ils sont soumis à une batterie de tests, y compris un crash test, afin de garantir qu’ils sont parfaitement sûrs. « Dans le cas le plus extrême de températures élevées à la suite d’un incendie, le gaz sera libéré de manière continue et contrôlée grâce aux fusibles thermiques disposés dans chaque réservoir, évitant ainsi une accumulation excessive de pression », indique Andrew.

Pression adaptable et commandée électroniquement

Le gaz naturel est stocké dans les réservoirs à environ 200 bars, mais est injecté dans le moteur à une pression maximale de 10 bars. Un régulateur de pression à deux étages placé dans le compartiment moteur réduit la pression et garantit un approvisionnement optimal en gaz, tandis que le module de commande du moteur surveille constamment ce régulateur électronique.

Un témoin indique le type de carburant utilisé

Au volant, la sensation est la même, que le véhicule roule au gaz naturel ou à l’essence. Par conséquent, pour pouvoir faire la différence, le conducteur n’a pas d’autre moyen que le témoin affiché sur le combiné d’instruments. S’il est allumé, le véhicule roule au gaz naturel ; s’il est éteint, le véhicule est en mode essence. En outre, deux autres indicateurs fournissent le niveau de chaque type de carburant et l’ordinateur de bord donne des informations telles que la consommation et l’autonomie restante.

Les voitures au CNG sont des voitures comme les autres

Andrew Shepherd explique que « les voitures au gaz sont conçues, construites et homologuées selon les normes de qualité les plus strictes de l’industrie ». « Il n’y a aucune différence, ni pendant leur production, ni pendant leur utilisation. J’aime dire qu’une voiture au gaz n’a absolument rien d’inhabituel et qu’elle est tout aussi sûre et fiable que toutes les autres », conclut Antonio Calvo.

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Le lancement de la Classe M en 1997 a fait de Mercedes-Benz le fondateur d’un nouveau segment, celui des SUV haut de gamme. Portant la dénomination GLE depuis 2015, le n°1 des ventes de SUV dans l’histoire de la marque ce renouvelle.

Voilà donc arrivée une quatrième génération depuis le lancement du ML, engendrant plus de 2 millions d’acquéreurs entre-temps. Une nouvelle mouture qui se veut plus moderne et plus technologique.

Ainsi, le train de roulement actif E-ACTIVE BODY CONTROL alimenté en 48 V devrait rendre le GLE plus agile et plus confortable tandis que les systèmes d’assistance à la conduite font un nouveau pas en avant avec l’arrivée de l’assistant d’encombrements actif. L’habitacle gagne encore en volume et en confort, une troisième rangée de sièges pouvant être installée en option. Le système d’infodivertissement dispose d’écrans de plus grande taille, d’un affichage tête haute entièrement en couleur d’une résolution de 720 x 240 pixels ainsi que de l’assistant intérieur MBUX, auxiliaire précieux pour le pilotage des fonctions souhaitées grâce à sa capacité de reconnaître différents mouvements des mains et des bras. Pour la première fois sur des modèles six et huit cylindres ainsi que sur la version hybride rechargeable, Mercedes-Benz propose une transmission intégrale entièrement variable (Torque on Demand ou TonD) capable de réguler la répartition du couple entre les essieux avant et arrière selon un rapport de 0 à 100 % en fonction du programme de conduite choisi. Une transmission intégrale entièrement variable avec gammes route et tout-terrain est également proposée en option aux clients optant pour le Pack Offroad.

Dégageant une impression de puissance et de force, la face avant du nouveau GLE se caractérise par une calandre droite déclinée dans une version octogonale spécifique aux SUV, des phares MULTIBEAM LED une protection chromée du soubassement imposante et un capot moteur orné de deux bossages. Vu de l’arrière, le GLE affiche ses épaules musclées qui s’étirent des montants C aux feux arrière. Les catadioptres ont été déplacés vers le bas pour que les feux arrière puissent être aplanis. A noter que ces derniers sont subdivisés, ce qui accroît visuellement la largeur du véhicule et permet de réaliser un éclairage nocturne inédit avec les optiques spécifiques aux SUV Mercedes-Benz déclinés ici en version rétroéclairée Edge Light.

L’habitacle du nouveau GLE respire le luxe,il ne pouvait en être autrement, et la technologie avec l’intégration du « Widescreen » et ses deux écrans juxtaposés de 12,3 pouces entourée de deux aérateurs, celui de droite étant factice et n’est présent que pour la symétrie du design, comme l’avait déjà révélé le skecth de la planche de bord dévoilé par Mercedes-Benz en été. Autre nouveauté, la disparition de la casquette de tableau de bord.

Le nouveau GLE a grandi d’une pointure, comme l’indique son empattement de 2 995 mm nettement rallongé par rapport à celui de son prédécesseur (+80 mm). Il en résulte un gain d’espace substantiel qui profite particulièrement aux passagers installés aux places arrière. L’espace aux jambes au niveau de la deuxième rangée de sièges a gagné 69 mm et s’élève désormais à 1 045 mm. La garde au toit aux places arrière a également progressé de 33 mm et affiche 1 025 mm avec la banquette fixe de série équipée d’un dossier fractionnable selon un rapport de 40/20/40. Cette nouvelle génération apporte également concernant le nombre de passager, Mercedes-Benz proposant, en option, une troisième rangée de sièges arrière rabattable offrant deux places supplémentaires permet de gagner encore en souplesse d’utilisation.

Sous le capot, la nouvelle Mercedes-Benz GLE fait son entrée sur scène avec un nouveau moteur essence à six cylindres en ligne. Disponible sur le GLE 450 4MATIC, ce six cylindres en ligne totalement hybridable à l’électricité en 48 V affiche une puissance de 367ch et 500 Nm de couple auxquels peuvent être ajoutés ponctuellement 250 Nm de couple et 22 ch supplémentaires avec la fonction EQ Boost. D’autres motorisations, dont des versions diesel et un modèle hybride rechargeable, suivront au fil du temps. Les différentes motorisations du nouveau GLE seront associées à une boîte automatique à 9 rapports 9G-Tronic.

Portfolio

           

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