Le département d’État évoque, notamment, “une bureaucratie enracinée”, “les difficultés dans les transferts monétaires”, les “restrictions” sur le marché des devises et une concurrence sur les prix.
Le marché algérien recèle “un potentiel important” pour les entreprises américaines, mais il est “difficile”, relève le département d’État américain, qui vient de publier son rapport 2018 sur le climat d’investissement dans le monde. Le département d’État américain évoque “un climat des affaires difficile, un environnement réglementaire incohérent et des politiques gouvernementales contradictoires” qui “compliquent les investissements étrangers”.
Ces contraintes semblent contredire, sur le terrain, l’objectif affiché par le gouvernement, de diversification de l’économie en mettant l’accent sur l’attraction des investissements étrangers directs, pour stimuler l’emploi et substituer les importations par la production locale.
Le rapport fait état “des opportunités d’affaires dans presque tous les secteurs, y compris l’énergie, l’électricité, l’eau, les soins de santé, les télécommunications, le transport, le recyclage, l’agroalimentaire et les biens de consommation”. Le département d’État relaie les avis des entreprises privées qui signalent que de multiples secteurs offrent des opportunités substantielles de croissance à long terme pour les entreprises américaines.
Néanmoins, souligne le rapport, les entreprises américaines doivent surmonter de nombreux “défis”. Outre les procédures douanières, le département d’État cite “une bureaucratie enracinée”, des “difficultés dans les transferts monétaires”, des “restrictions” sur le marché des devises et une concurrence sur les prix, en particulier de la Chine, de la Turquie et de la France.
Le rapport pointe également du doigt le changement récurrent des lois. “Les sociétés internationales qui opèrent en Algérie se plaignent parfois que les lois et les réglementations changent constamment et sont appliquées de manière inéquitable, ce qui augmente la perception du risque commercial pour les investisseurs étrangers”, constate le document.“Les contrats commerciaux sont également sujets à des interprétations et à des révisions qui se sont révélées difficiles pour les entreprises américaines et internationales”, ajoute le rapport. Autre obstacle à l’investissement, notamment, cité par le département d’État américain : la règle 51/49, “qui exige une participation algérienne majoritaire (au moins 51%) dans tous les projets impliquant des investissements étrangers”. Pour le département d’État si les grandes entreprises peuvent s’en accommoder, en multipliant les partenaires locaux, ce n’est pas le cas pour les petites et moyennes entreprises. “Les grandes entreprises peuvent trouver des moyens créatifs de travailler dans le respect de la loi, parfois avec la coopération des autorités locales, car les grandes entreprises créent généralement plus d’emplois et disposent parfois de la technologie et de l’équipement souhaités par le gouvernement”, affirme le département d’État, indiquant que “les PME ne reçoivent généralement pas cette même considération”. Selon le rapport, “plusieurs sociétés américaines ont indiqué avoir des politiques internes qui les empêchent d’investir à l’étranger sans détenir une part majoritaire”. Sur un autre plan, le rapport relève que l’adoption par l’Algérie d’une politique de substitution des importations a fortement limité le commerce extérieur. Énumérant les différentes mesures prises par le gouvernement depuis l’année dernière, le département d’État américain relève que “les politiques de substitution aux importations ont généré des pénuries d’approvisionnement et des hausses de prix”. Le rapport évoque, également, “l’inefficacité” de l’Agence nationale de développement de l’investissement, citant des entreprises américaines. Ces dernières font état “du manque de personnel” et de “l’absence du pouvoir décisionnel, notamment pour les projets industriels, qui est exercé par le ministère de l’Industrie et des Mines et, dans de nombreux cas, le Premier ministre”.
Parmi les bons points relevés par le rapport, figure le portail d’information en ligne dédié à la création et à l’enregistrement des entreprises (www.jecreemonentreprise.dz). “Il est clair et bien conçu et permet une navigation rapide vers le processus d’enregistrement approprié pour une entreprise”, souligne le rapport évoquant le manque d’informations sur certaines conditions exigées dans le processus de création d’une entreprise.
Meziane Rabhi
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Les partis de Djamel Ould Abbes et d’Ahmed Ouyahia soldent désormais leurs comptes, la presse et l’opinion sont prises à témoin.
À huit mois de l’élection présidentielle, les partis dits de “la majorité présidentielle” se déchirent. Sur fond de soutien à une éventuelle candidature d’Abdelaziz Bouteflika à sa propre succession, le FLN, le RND et, à un degré moindre, le MPA se livrent à une guerre des mots. Et de positions. Pour s’en prendre une nouvelle fois à son éternel rival, le RND d’Ahmed Ouyahia, le FLN, du moins son secrétaire général, Djamel Ould Abbes, fait feu de tout bois. Lors d’une communication donnée mardi, ce dernier a, en effet, rappelé qu’en 1999, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique de l’époque avait marchandé son soutien à Abdelaziz Bouteflika.
Djamel Ould Abbes, qui a égratigné au passage le MSP avant de revenir sur ses déclarations, a omis de préciser qu’Ahmed Ouyahia n’était pas le premier responsable du RND à l’époque. Même s’il a souligné qu’il s’agissait d’“un jeune responsable” qui “venait d’entrer en politique”. Les journalistes présents ont vite compris qu’il s’agissait de Tahar Benbaïbèche, qui avait refusé, en effet, de donner sa caution au “candidat du consensus”. Il avait été débarqué de la tête du parti et vite remplacé par Ahmed Ouyahia, qui, lui aussi, a dû connaître une infortune avant de revenir aux commandes du parti.
Se sentant visé, le RND n’a pas mis beaucoup de temps pour réagir. Il rédige et rend public un communiqué où il tente d’expliquer que c’est l’ancien secrétaire général, écarté depuis, qui s’était opposé à Abdelaziz Bouteflika et non Ahmed Ouyahia. Cela ne semble pas avoir réussi à ramener le secrétaire général du FLN à de meilleurs sentiments. Il est revenu à la charge. Ould Abbes, qui a diffusé un communiqué émanant du bureau politique de son parti pour s’expliquer sur l’implication de Mahfoud Nahnah, le leader de Hamas, disparu en 2003, dans ce “marchandage” avec Abdelaziz Bouteflika, en profite pour enfoncer davantage le RND. Ce dernier ne bronche pas.
En marge de cette nouvelle passe d’armes, un autre parti de la “majorité” présidentielle s’est démarqué du discours ambiant. Amara Benyounès, président du Mouvement populaire algérien (MPA), a décidé de ne pas se prononcer sur l’élection présidentielle. L’homme, qui fait pourtant partie des fervents soutiens au chef de l’État, entonne sa propre partition. “Personne ne doit forcer la main et ne doit obliger le Président à se représenter pour un autre mandat, comme personne n’a le droit d’empêcher le président de la République ou de lui interdire de se porter candidat, en dehors du Conseil constitutionnel”, avait indiqué le président du MPA dans une interview accordée à TSA. “Laissons ce 4e mandat se terminer et laissons le président de la République prendre sa décision en son âme et conscience et en son intimité la plus profonde”, a ajouté l’ancien ministre de l’Industrie, qui renvoie la tenue du conseil national de son parti à une date non indiquée. “Il observe et veut prendre son temps”, a confié un de ses proches. Mais, contrairement aux autres partis de “la majorité présidentielle”, Benyounès ne veut pas aller à l’aventure sans avoir suffisamment d’informations.
Pour ne rien arranger entre les soutiens du chef de l’État, le président du MPA est allé rencontrer, à sa demande, le chef d’un parti de l’opposition, à savoir Abderrezak Makri du MSP. Une initiative qui suscite des interrogations, y compris dans son propre parti.
Ouyahia, la cible
Ces tiraillements au sein des partis qui soutiennent le chef de l’État ne sont pas les premiers du genre. Au début de l’année, Djamel Ould Abbes avait juré de faire tomber Ahmed Ouyahia, le Premier ministre, s’entend. Le secrétaire général du FLN a, alors, multiplié les attaques publiques envers l’action politique du Premier ministre, allant jusqu’à créer une sorte de gouvernement parallèle. Pis encore, “le parti du Président” comme aime à le souligner Ould Abbes, a organisé une “tripartite” parallèle pour, officiellement, clarifier certaines démarches du gouvernement à commencer par le fameux “partenariat public-privé”, qui devait permettre au gouvernement de privatiser en partie certaines entreprises publiques.
Les assauts contre Ouyahia n’ont cessé qu’avec l’annonce d’un remaniement ministériel, intervenu en avril dernier. “Certains ont parié sur mon limogeage”, avait alors indiqué le Premier ministre, qui semblait ainsi savourer son maintien à la tête du gouvernement. Le secrétaire général du RND affichait ainsi sa revanche sur Ould Abbes qui a dû adoucir son discours. Depuis le printemps, Ouyahia a travaillé dans une relative sérénité. Mais, de temps en temps, le secrétaire général du FLN décoche des flèches.
C’est le cas en juin lorsqu’Ouyahia avait demandé aux hommes d’affaires de faire appel aux anciens pieds-noirs pour venir investir en Algérie. “Les pieds-noirs peuvent venir. Mais en tant que Français”, avait répliqué, sèchement, Ould Abbes qui, en même temps, avait actionné ses alliés de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM). Ces derniers ont rendu public un communiqué au vitriol pour dénoncer les propos du Premier ministre. Ouyahia et son parti ont dû s’expliquer une nouvelle fois.
Alors que le FLN entonne depuis de longs mois la rengaine appelant Abdelaziz Bouteflika à se représenter pour un nouveau mandat présidentiel, Ahmed Ouyahia entre en ligne. Il annonce, lui aussi, son soutien à un cinquième mandat pour le chef de l’État, obligeant ainsi le secrétaire général du FLN à reconnaître qu’il est favorable à un “candidat du consensus”.
Mais, contrairement à Amar Ghoul, le secrétaire général de TAJ, qui appelle à l’élargissement de la base des partis qui soutiennent “le programme du président de la République”, le chef du FLN enterre définitivement l’idée d’une alliance. “Le temps des alliances est révolu !”, avait objecté Djamel Ould Abbes lors d’un meeting à Aïn Defla.
Si les partis proches du chef de l’État affichent publiquement leur soutien à Abdelaziz Bouteflika, des observateurs et analystes politiques n’hésitent pas à lier ces tiraillements entre le FLN, le RND et le MPA à une guerre de positionnement que se livrent, dans le sérail, d’autres acteurs plus puissants que les chefs de parti. La succession à Abdelaziz Bouteflika, qui se joue en coulisses, risque d’être plus agitée.
Ali Boukhlef
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Un service d’enregistrement de demandes de ligne fixe via Internet, vient d’être lancé par Algérie Telecom, qui invite ses clients à profiter de cette nouvelle prestation, indique samedi un communiqué de cette entreprise publique.
Pour effectuer la demande, la même source précise qu’il suffit de se rendre sur le site web d’Algérie Télécom, rubrique « demande de ligne fixe »: www.algerietelecom.dz/fr/demande-na et remplir le formulaire d’inscription au service.
Suite à cette opération, les clients d’Algérie Telecom reçoivent un e-mail de confirmation de l’inscription et n’auront plus à se déplacer aux agences commerciales pour effectuer une demande de ligne fixe. Ils sont, également, informés du résultat de l’étude de faisabilité, par e-mail.
A travers ce nouveau service, Algérie Télécom « confirme son engagement à renforcer sa stratégie de proximité avec les clients afin de répondre au mieux à leurs attentes », souligne-t-on.
Pour davantage d’informations, l’entreprise publique invite, par conséquent, ses clients, à visiter le site web: www.algerietelecom.dz, ou à prendre contact avec ses web conseillers sur la page Facebook d’Algérie Télécom: www.facebook.com/algerietelecomgroupe/.
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Ecrit par: LDJ. Sarah
Le Festival panafricain d’Alger est l’une des grandes manifestations culturelles d’Afrique, elle regroupe des artistes et des intellectuels africains, ou issus de la diaspora africain. Le festival Panafricain a eu lieu en 1969 puis 40 ans après en juillet 2009 à Alger.
Le festival se compose de concerts, de spectacles de rue, des expositions, des projections, des concours ainsi que des conférences. Un carrefour des arts entre musique, dance, théâtre, littérature, cinéma. Son ouverture est fêtée par une grande parade dans les rues d’Alger au cours de laquelle défilent tous les pays participants.
En 1969, de nombreux artistes et des troupes venus de toute l’Afrique et des États-Unis avaient fait de cette première édition une expérience inédite. Célébrant la culture africaine après une longue période de souffrance. Parmi eux : Miriam Makeba, Archie Shepp,Barry White, Manu Dibango, Nina Simone, Ousmane Sembène, Aminata Fall André Salifou.
Le premier festival s’est déroulé sept ans après la décolonisation de l’Algérie. Cette première édition se voulait revendicative et révolutionnaire, les leaders africains de mouvements de libération et les Black Panthers des USA étaient présents.
Quarante ans après, la deuxième édition du festival s’est déroulée en juillet 2009, soit 40 ans après. L’événement a rassemblé 49 pays africains, les États-Unis, le Brésil et Haïti. Parmi les artistes invités : Biyouna, Youssou N’Dour, Gnawa Diffusion, Alpha Blondy, Magic System, Cesária Évora, Khaled, Danny Glover, Sami Tchak, Tierno Monénembo, Abou Lagraa, Louis-Philippe Dalembert.
Le festival panafricain reflète l’image d’une Afrique unie et solidaire. La première édition était sous le signe de la révolution, et la seconde affiche l’ambition de « La renaissance de l’Afrique ».
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En réalisant un taux de 69,18% de réussite à l’examen du baccalauréat 2018, la wilaya de Tizi-Ouzou se maintient pour la dixième année consécutive à la première place du classement national, selon les résultats communiqués vendredi par la cellule de communication de la direction locale de l’Education.
Pour cette année, la meilleure moyenne à l’échelle de wilaya est revenue à une élève du lycée Mohamed Dahmani de Boghni, Kebaili Lina, dans la filière mathématiques qui a réalisé une moyenne de 18,68/20 à cet examen. La seconde place a été décrochée par Belkacem Lina du lycée Fadhma N’soumer de Tizi-Ouzou avec une moyenne de 18,17/20, alors que troisième position a été obtenue par Ouahab Amine du lycée Laadlani Mohamed de Maatkas qui a eu son bac avec une moyenne de 18,12/20, a indiqué le chargé de communication à la direction de l’Education, Mohamed Tachabount.
Sur le total des élèves de la wilaya qui ont été admis au bac, 8 ont obtenu une moyenne de plus de 18/20, tandis que 69 ont décroché leur bac avec plus de 17/20, a-t-il ajouté.
Les établissements les mieux classés en terme de taux de réussite sont le lycée Amar Toumi de Tigzirt où 94,33% de ses candidats ont été admis au bac, le lycée de Béni Zmenzer qui a enregistré un taux de réussite de 89,77% se classe deuxième, une place qu’il a occupée également au bac 2017. Le Lycée Diouani Mohamed de Makouda est classé troisième avec un taux de réussite de 89,22%, a-t-on appris de même source.
Enseignants, responsables d’établissements, cadres du secteur, élèves, parents d’élèves, syndicats de l’Education sont tous unanimes à considérer cette performance, et surtout sa pérennité, comme étant une résultante « logique » des efforts conjugués fournis par toute la famille de l’Education.
Selon des responsables de lycées, les parents d’élèves, qui ont toujours considéré la réussite scolaire de leur progéniture comme un meilleur investissement, ont joué un rôle important dans ce succès, grâce à un suivi assidu de la scolarité de leurs enfants.
Cette année encore, la wilaya de Tizi-Ouzou a occupé les premières places dans les résultats des examens de la 5e année primaire et du Brevet de l’enseignement moyen (BEM), »Ce taux de réussite au bac n’est que le fruit de ce cursus scolaire honorable », affirme-t-on.
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Des températures maximales atteignant ou dépassant localement les 48 degrés Celsius seront enregistrés jusqu’à samedi soir sur les Oasis et le Sahara central, selon un bulletin météo spécial (BMS) émis vendredi par l’Office national de météorologie.
Suite au retour de la vague de chaleur sur les oasis et le Sahara central, des températures maximales atteignant ou dépassant localement les 48 Celsius, seront enregistrés sur le Nord de Tamanrasset, Adrar, El Oued et Ouargla, précise la même source, ajoutant que la validité du BMS est en cours jusqu’à samedi à 21h00.
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A quelques mois de la présidentielle, les politiques se mettent à la mode du running. Djamel Ould Abbes, gêné peut-être par la présence d’Ouyahia dans le champ de course électorale, tente de l’écarter de son chemin et l’accuse de ‘’marchandage’’ du soutien de son parti à la candidature de Bouteflika. Le FLN, longtemps rival farouche du RND, se proclamant la seconde force au pouvoir après le Chef de l’Etat, et qui se considère comme le chef suprême du vieux parti, il espère affaiblir le premier ministre en le mitraillant cette fois-ci par une bombe qui date de 1999.
Le camarade de classe d’Angela Merkel se paie la tête de l’homme des missions impossibles et l’égratigne en riant et l’immole à ses nouveaux caprices. «Je me souviens d’un nouveau venu à la politique qui a dit au candidat Bouteflika combien de portefeuilles ministériels, allait-il donner à son parti en contrepartie de son soutien. Et à Bouteflika de lui répliquer : ça c’est dans les souks El Fellah, moi je ne suis pas venu pour vendre ou acheter, je suis le président de tous les Algériens !», avait lancé, Djamel Ould Abbès aux journalistes qui sont habitués à ses sorties inédites. Et même le défunt Nahnah n’a pas été épargné par ses propos.
Opposant proclamé d’Ouyahia, Ould Abbes rêve encore de l’éjecter du soutien présidentiel et pourquoi pas du premier ministère, lui, qui vit toujours dans l’espoir de récupérer ce poste pour le FLN. Ouyahia, conscient du complot qui se dessine dans le cabinet du docteur Ould Abbes, prend ses précautions pour ne pas perdre la bataille et sort le serpent de son trou avec les mains de ses lieutenants.
Ainsi, le RND à son rival par le biais d’un communiqué électrifié accuse Djamel Ould Abbes d’Alzheimer, en lui rafraîchissant la mémoire qu’en 1999, c’est Tahar Benbaibéche qui était secrétaire général du RND et c’était lui qui avait conduit les négociations avant de l’écarter du parti et élire monsieur Ahmed Ouyahia à la tête du RND et ce dernier a soutenu la candidature du Moudjahid Abdelaziz Bouteflika, sans contrainte, ni condition depuis 1999, rappelle le communiqué. Accoutumé à la chaleur et au parfum des scandales politiques à la veille de chaque échéance électorale, les dernières accusations d’Ould Abbas contre Ahmed Ouyahia et les réactions de ce dernier via un communiqué pour remettre les pendules à l’heure, ne seront que le début d’une guerre entre les deux frères ennemis à l’option ‘’je t’aime moi, non plus .‘’
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L’Association de protection et d’orientation du consommateur et son environnement (APOCE) vient de tirer la sonnette d’alarme et interpelle le ministère du Commerce à prendre des mesures «urgentes» pour protéger les consommateurs des produits cancérogènes, dont l’eau minérale et certaines margarines existant sur le marché.
Selon le président de l’APOCE, M. Mustapha Zebdi, l’eau minérale conditionnée dans des bouteilles en plastique transportées sous la chaleur, et la consommation des margarines peuvent constituer un danger pour la santé des citoyens. Concernant la margarine, le président de l’Apoce affirme que son association a analysé les échantillons de sept marques différentes et seulement trois répondent aux normes en matière d’«acides gras », soit un taux ne dépassant pas les 2%.
Il s’agit de la margarine ‘’Sol’’, ‘’Many ‘’et ‘’Fleurial’’. Pour ce qui est des quatre autres marques, « c’est à l’autorité de régulation et du contrôle du ministère du Commerce de divulguer les noms pour ne pas nous accuser de chantage », indique M. Mustapha Zebdi. Pour ce qui est du danger que représente la consommation d’eaux minérales conditionnées dans des bouteilles en plastique, le président de l’Apoce affirme que celles-ci « lâchent des agents toxiques, si elles sont exposées au soleil et peuvent ainsi être nuisibles à la santé des consommateurs. » .A cet effet, M. Mustapha Zebdi appelle le ministère du commerce à adoptés les mécanismes juridiques imposant aux distributeurs de respecter les conditions de réfrigération lors du transport de marchandises dans des zones chaudes.
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Les scandales sexuels n’arrêtent pas d’occuper la scène populaire, en particulier au niveau des APC, où c’est devenu fréquent que des P/APC et des secrétaires généraux de pratiquer l’adultère ouvertement et sans scrupule. En effet, après Sidi Bel-Abbès, Constantine, c’est au tour de la ville de Tighennif de connaitre cette pratique où le SG de l’APC de Tighennif a été pris en flagrant délit d’adultère avec l’une de ses employés, chez elle par les éléments de la police qui ont agi sur information. Les deux mis en cause ont été présentés par devant le tribunal de Mascara qui les a placés sous mandat de dépôt en attendant d’être jugés.
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Le secrétaire général de l’Union du Maghreb Arabe (UMA) le Tunisien Tayeb Baccouche a appelé les cinq pays du Maghreb à présenter une candidature conjointe pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 de football
L’UMA a envoyé des lettres aux chefs d’Etat des cinq pays du Maghreb pour » les inciter à coordonner entre eux afin de présenter une candidature maghrébine commune pour organiser la Coupe du Monde 2030″, indique un communiqué de l’UMA repris jeudi par l’agence de presse africaine APA.
Candidate à organisation du Mondial 2026, le Maroc a échoué devant celle d' »United » composée des Etats-Unis, du Mexique, et du Canada. Le Maroc a annoncé dans la foulée qu’il se portait candidat pour abriter l’édition 2030.
L’Algérie et la Tunisie ont exprimé leur ambition à présenter une candidature conjointe avec le Maroc. L’Egypte a également annoncé son intérêt d’être le pays hôte du Mondial 2030.
Le SG de l’UMA a appelé à « tirer les enseignements nécessaires de l’expérience du Maroc, qui a bénéficié du soutien de tous les pays du Maghreb et de l’enthousiasme des populations du grand Maghreb pour l’initiative prise par le Royaume de présenter une candidature maghrébine pour le Mondial 2030, sachant que la FIFA fait prévaloir, désormais, les candidatures communes sur celles individuelles et que les prochains dossiers seront tous présentés en commun « , ajoute la même source.
L’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay sont aussi sur les rangs. Ils veulent proposer une candidature commune pour célébrer le centenaire de la première Coupe du Monde qui s’est déroulée en 1930 en Uruguay. La fédération internationale (Fifa) ne devrait se décider qu’en 2022, lors du Mondial qui se déroulera au Qatar.
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Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh a indiqué, jeudi à Tipasa, que le choix démocratique était un principe constitutionnel irréversible, assurant qu’il était inconvenant de profiter des espaces de liberté pour appeler à l’abandon des acquis réalisés.
« Le choix démocratique est un principe constitutionnel devenu une constante nationale irréversible », a affirmé le ministre, lors de la cérémonie d’installation du nouveau procureur général près la cour de Tipasa, Nacef Hocine.
« Il est inconvenant de profiter des espaces dédiés à la libre expression, fruits de la démocratie, pour inciter explicitement, par certains, à replonger le pays dans une époque révolue », a ajouté M. Louh, rappelant que « l’Algérie et les Algériens ont vécu à cette époque plusieurs drames et tragédies ».
« Le secteur de la Justice qui a été préparé pour cette étape grâce aux réformes qu’il a initiées, est, en vertu de ses prérogatives constitutionnelles, le garant de la réalisation de ces objectifs », notamment lorsqu’il s’agit de « l’instauration de l’Etat de droit », a-t-il poursuivi, mettant l’accent sur « le respect de la magistrature, les étapes de l’action et ses spécificités ».
M. Louh a expliqué, à ce propos, que cette allocution était motivée par les tractations qui marquent la scène nationale et les conflits fomentés qui tentent de bafouer la loi, non seulement en Algérie mais même dans tous les pays respectueux des droits et des libertés.
L’Etat de droit, qui garantit l’équilibre entre les droits et les devoirs, « ne saurait se réaliser par le seul biais de la magistrature, même si toutes les conditions et moyens sont réunis », a affirmé le ministre.
L’instauration de l’Etat de droit, poursuit le ministre, » est conditionnée par un effort complémentaire et intégré, dont les contours doivent marquer une approche participative qui soit au service de la Patrie et de la société, loin de l’instrumentalisation politique et des calculs étroits, tout en veillant à placer l’intérêt de l’Algérie et des Algériens au-dessus de toute considération ».
Le ministre a appelé, à ce titre, à faire prévaloir l’esprit nationaliste, la culture de la citoyenneté et à moraliser la vie publique et les relations entre les différentes parties ».
Le ministre de la Justice a ajouté que la profession de justice se voulait noble et une responsabilité, dont l’exercice doit être assurée par ceux qui remplissent des conditions, à savoir « intégrité de conscience et une forte volonté ».
Il a précisé, dans ce contexte, que le développement et la formation de ressources humaines aptes à s’acquitter de leurs tâches, ont formé l’un des piliers essentiels dans le processus de la politique de réforme de la justice initié par le président de la République depuis son accession au pouvoir.
Il a réaffirmé la détermination de son département ministériel à poursuivre la politique de réforme et à améliorer la ressource humaine, soulignant que le président de la République a tenu, lors du dernier mouvement qu’il avait opéré dans le corps des magistrats, à nommer des cadres de justice qui ont la capacité de se mettre au diapason de l’évolution et du renouvellement et de poursuivre la réforme.
Il a souligné que la nomination, par le président de la République, de quatre femmes au rang des cadres dans l’échelon de justice, découle de sa foi en la contribution croissante de la femme dans la justice nationale et reflète la justesse du choix en faveur de l’encouragement et de l’égalité des chances entre les enfants du pays.
Le Garde des Sceaux a rappelé, à ce propos, la révision de la Constitution en 2016, laquelle a consolidé le Pouvoir judiciaire et limité son champs avec précision, au sein de la structure globale de l’Etat algérien, faisant de » la responsabilité de la justice à imposer la force de la loi sur tout un chacun et en toute circonstance, une grande tâche ».M. Louh a également rappelé la politique du président de la République en matière de réformes, d’amendements et d’acquis réalisés au double au plan interne et externe, soulignant que cette politique » n’a jamais recouru au mode de campagnes circonstancielles, ou était basé sur les réactions ou sur le chevauchement des étapes ».
Grâce à la politique judicieuse du président de la République, ces réformes étaient depuis toujours, poursuit M. Louh, » basées sur des visions claires, méthodiques, constantes et inhérentes aux mutations internationales, tout en étant au service de la stabilité et de la sécurité de l’Algérie ».
Parmi les avantages nés de la Constitution algérienne révisée en 2016 est « la consécration de la confiance dans le présent et l’assurance quant à l’avenir, étant donné qu’elle résulte d’un travail constant qui s’est poursuivi depuis son lancement en profondeur tout en traitant les causes », selon le ministre qui a souligné que les mesures de réforme se poursuivent au service du renforcement des chances de succès du choix démocratique et la consécration de l’Etat de droit, des institutions, des droits et devoirs.
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La station-service de Chevalley (Alger), « distributeur d’essence », a été le théâtre vendredi vers midi (12:00) d’un incendie au niveau de la route reliant Chevalley à Chéraga où les services de la protection civile de la wilaya d’Alger sont intervenus sur place pour éteindre le feu, a-t-on appris vendredi auprès du lieutenant, Benkhalfallah Khaled, chargé de l’information à la direction de la protection civile de la wilaya d’Alger.
Dans une déclaration à l’APS, le lieutenant Benkhalfallah Khaled a souligné qu’un incendie s’est déclaré vendredi vers midi (12:00) au niveau de la station service de Chevalley, situé sur la route reliant Chevalleys à Chéraga.
40 éléments de la protection civile, 6 camions anti-incendie et deux ambulances ont été envoyés sur place pour l’extinction du feu, a souligné le même responsable, précisant toutefois qu’aucune victime n’était à déplorer.
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L’état de santé des 10 jeunes (âgés entre 23 et 30 ans), qui ont été secourus, vendredi matin, par les garde-côtes à Cherchell, est stable, a affirmé à l’APS, vendredi, un médecin de garde de l’hôpital Maham de Cherchell (Tipasa).
« La majorité de ces jeunes avaient juste perdu connaissance, tandis que d’autres ont subi un choc émotionnel » (médecin)
« Le service des urgences ont reçu dix jeunes personnes, dont une femme âgée de 25 ans, et les ont placés en observation médicale », a affirmé à l’APS, le médecin qui assure » que leur état de santé est stable et n’est pas préoccupant », avant d’ajouter que huit d’entre eux ont rejoint, quelques heures après, leurs domiciles.
Lemédecin a, en outre, démenti formellement les informations relayées par certains médias qui avaient fait état de graves brûlures ayant atteint les jeunes personnes, avant de souligner que « la majorité de ces jeunes avaient juste perdu connaissance, tandis que d’autres ont subi un choc émotionnel ».
Dans le même contexte, les recherchent se poursuivent pour tenter de trouver les trois autres personnes portées disparues (deux originaires de Cherchell et une troisième personne d’Alger), au large de Cherchell, a indiqué une source sécuritaire qui souligne que » les chances de les trouver sont faibles ».
Les garde-côtes avaient secouru, tôt dans la matinée, pas loin de la plage » Rocher blanc », les 10 jeunes personnes qui étaient à bord d’une embarcation de pêche qui aurait chaviré, selon la même source.
Aprèscette opération de sauvetage, les forces marines ont saisi des téléphones portables ainsi qu’un instrument de navigation maritime.
Les mêmes forces ont, par la suite, remis les jeunes secourus, aux services de la Gendarmerie nationale (GN) de Cherchell, dans le cadre de l’enquête judiciaire qui a été ouverte pour faire la lumière sur les tenants et aboutissants de cette affaire.
Pour rappel, les forces marines avaient mis en échec, le 12 juillet dernier, une tentative d’émigration clandestine menée par 9 jeunes, au large de la plage Gouraya à l’extrême-ouest de Tipasa.
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D’après Sonelgaz, La climatisation représente 40% de la facture annuelle de la consommation électrique du pays, a révélé, jeudi la chargée de la communication,Fatma Zahra Merzouki lors de la clôture de la caravane nationale de sensibilisation à la consommation rationnelle de l’énergie à Blida.
Elle a même indiqué que la moyenne annuelle de consommation par client en basse tension s’élève à 3800 KW au nord du pays et à 6700 KW au sud. Ce qui représente 10 fois la consommation mondiale en énergie. En plus de la grande part de consommation de la climatisation, l’éclairage représente 30% de la facture annuelle d’électricité, a précisé la chargée de communication du groupe public.
Massin.A
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Alexandre Benalla, collaborateur du président français Emmanuel Macron mis en cause après la diffusion de vidéos le montrant frappant un manifestant, a été placé en garde à vue vendredi matin, a-t-on appris de source judiciaire.
Alexandre Benalla, dont la présidence française a par ailleurs annoncé le prochain licenciement, est visé pour des faits de violences en réunion par personne chargée d’une mission de service public, d’usurpation de fonctions, de port illégal d’insignes réservés à l’autorité publique et de complicité de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection, a-t-on précisé de même source, tandis que ne cessait d’enfler l’affaire, très embarassante pour le président Macron.
Trois policiers ont été par ailleurs suspendus à titre conservatoire pour avoir extrait des images de vidéo-surveillance de la Ville de Paris et les avoir transmises à Alexandre Benalla, a-t-on appris vendredi auprès d’une source proche du dossier. Les trois policiers sont un contrôleur général, un commissaire et un commandant. AFP
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Qu’ils soient de Guyane, de Nouvelle Calédonie ou d’ailleurs, ils sont des milliers à continuer à clamer leur Algérianité, pleurant à chaudes larmes ce pays qu’ils n’ont pourtant jamais connu mais qui leur est si cher au point de mourir de nostalgie.
Ils sont nombreux ces algériens bannis une première fois par le colonisateur et honnis une seconde fois par les leurs. Condamnés à l’errance, sans que leur âme ne trouve la paix de voir ou mourir sur la terre des ancêtres. C’est grâce à la chaine télé qatari AJ+, un média par internet que les internautes ont pu découvrir Lucette Ouhiba Ben Amar, petite fille de déporté algérien par la France coloniale entre 1864 et 1921.
L’émouvante déclaration d’amour de cette algérienne descendante d’un déporté algérien à la Nouvelle Calédonie doit rappeler à nos décideurs leurs rôle et devoirs envers cette partie de notre peuple. Ces oubliés, proscrits de l’histoire algérienne, vivent comme par héritage leur exile sur une terre qui les a pourtant vu naitre. Selon Wikipédia, ils seraient un peu plus de 1800 à avoir été déportés par la France.
Ils ont été condamnés pour « des actes de rébellion réprimés par le Code de l’indigénat ou pour leur participation aux insurrections successives connues par l’Algérie lorsqu’elle a été conquise par la France ». Ecoutons, les plaintes de l’une des petites filles de ces algériens.
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