A.El Abci
Les commerçants du marché du Polygone, qui ont bénéficié d’attributions de nouveaux locaux de l’Opgi à Massinissa et qui attendent depuis plus de sept mois maintenant pour s’installer dans leurs nouveaux locaux à cause d’un différend avec l’office, ont tenu hier un sit-in devant le cabinet du wali pour solliciter son intervention afin de débloquer la situation. Selon le président de l’association des commerçants en question, B. Hassen, le différend avec l’office de promotion et gestion immobilière concerne les modalités de payement du prix des nouveaux locaux. Et d’expliquer qu’un accord avait été conclu au début de l’opération entre les deux parties, consistant en le paiement cash de 25% du prix du local avec un échéancier de cinq ans, avec le feu vert du ministère de l’Habitat et du wali. « L’office, fait-il savoir, le remet en cause et propose le paiement cash de 35% du prix du local, avec un échéancier de règlement non plus annuel de cinq ans, mais mensuel et s’étalant sur 36 mois. Cette volte-face de l’office nous a complètement pris au dépourvu ».En tout état de cause, poursuit-il, « nous ne pouvons pas accepter sa proposition, car d’abord elle représente un reniement de ce qui a été conclu au départ et ensuite la majorité écrasante d’entre nous la refuse parce qu’elle dépasse nos capacités, surtout au vu que cela fait sept mois que nous sommes sans activité et donc au chômage. Au vu du fait également que la plupart des 122 commerçants que nous sommes sont des pères de famille et ce que demande l’Opgi est hors de notre portée. Et c’est de toutes ces réoccupations que nous voulons parler avec le wali en sollicitant son intervention pour nous trouver une issue ». Et dans ce cadre, ajoute-t-il, « nous escomptons lui soumettre notre proposition qui consiste en le règlement de 25% cash du prix du local et un échéancier de cinq ans, à payer annuellement, avec un moratoire de 12 mois ». Dans l’après midi, les commerçants n’avaient toujours pas été reçus au cabinet du wali, mais se déclaraient être déterminés à faire le pied de grue jusqu’à avoir une entrevue avec le 1er responsable de la wilaya, « qui est en réunion », leur a-t-on affirmé à la réception.
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Le leader algérien de l’industrie électronique BOMARE COMPANY sous la marque commerciale «STREAM SYSTEM » sera encore et pour la 8ème fois consécutive présent au plus grand salon international de l’électronique IFA Berlin du 31 Août au 5 Septembre 2018.
À travers sa 8ème participation à ce rendez-vous d’envergure mondiale, qui regroupe un peu plus de 1800 exposants venus de plus de 70 pays, BOMARE COMPANY conforte sa politique d’internationalisation et confirme ses grandes ambitions pour l’export notamment sur le continent européen, en visant de nouveaux partenariats et en développant de nouveaux marchés d’exportation tel que le marché allemand, après avoir réussi à décrocher le marché italien l’année dernière et le marché espagnole et portugais précédemment, grâce à la qualité, la diversité et la compétitivité de ses produits ‘’STREAM SYSTEM’’ sur le marché international.
Dans cette optique et afin de faire découvrir sa gamme riche et variée de produits électroniques de qualité qui répondent aux normes internationales les plus rigoureuses, BOMARE COMPANY tiendra deux stands, un stand exclusivement dédié à IFA «GLOBAL MARKETS » connue pour être la plus grande plateforme B2B en Europe, et ce, du 2 au 5 Septembre 2018 à la Station-Berlin au hall : station 1/stand 116, un second stand sera quant à lui dédié au grand public « IFA MESSE BERLIN » du 31 Août au 5 Septembre 2018 situé au hall : 25/ stand : 241.
Poursuivant l’objectif de consolider sa politique d’internationalisation, BOMARE COMPANY sous la marque commerciale « STREAM SYSTEM » réaffirme à travers cette participation à l’internationale Funkausstellung Berlin 2018, pour la 8ème fois consécutive sa volonté d’optimiser son activité à l’échelle internationale.
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Ali Chabana
Demain mercredi, les élèves des trois paliers de l’enseignement reprendront le chemin des écoles. Concernant la wilaya de Tébessa, c’est un total de 157.488 élèves scolarisés qu’accueilleront les établissements éducatifs pour la rentrée scolaire 2018-2019.Ce nombre étant réparti sur 5.409 classes et encadré par 10.000 enseignants, selon les chiffres communiqués par la cellule de presse de la direction de l’éducation. Dans le volet soutien social, 70.000 élèves bénéficieront de la prime de scolarité (3.000 dinars). Par ailleurs, d’après la même source, deux lycées seront réceptionnés, l’un à la cité du 1er Novembre à Tébessa et l’autre à la cité ex-Sonarem à Bir El Ater. Deux CEM seront également ouverts à Aïn Sidi Salah dans la commune d’Ouenza et au quartier El Merdja à Cheria.
On apprend aussi que 6 groupes scolaires entreront en service à Ferkane, Mezraâ, El Kouif et au chef-lieu. D’autre part, 32 nouvelles cantines scolaires seront opérationnelles dès la reprise des classes. Pour rappel, lors d’une journée d’étude dédiée à la rentrée scolaire, le wali de Tébessa a indiqué que la wilaya n’est encore qu’en phase de la mise à niveau, au moment où d’autres wilayas postulent déjà vers la performance, invitant à l’occasion les responsables du secteur de l’Education à mieux gérer les moyens matériels et les ressources humaines, et que le temps n’est plus à la seule estimation quantitative, mais dorénavant, il faudrait viser à l’amélioration des résultats obtenus.
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A. Ouélaa
Journée morose et pas du tout flatteuse pour le trafic routier, surtout pour ceux venant de l’autoroute Est-Ouest en passant par Dréan pour se rendre, à partir de Besbes, vers El Tarf, El Kala et les frontières. Et pour cause, la RN 84, qui traverse cette ville sur plus d’un kilomètre, a été bloquée tôt lundi dernier, non loin du commissariat de police, à l’entrée Est de la ville et non loin de la nouvelle polyclinique située à l’entrée ouest de cette grande agglomération qui compte plus de 35.000 habitants. Même chose pour le chemin de wilaya reliant Besbes à Benamar où la route a été bloquée au niveau de la localité de Ghaza, avec des blocs de pierres et autres objets, alors que des pneus placés en contrebas de la chaussée attendaient d’être brûlés. Le trafic routier, d’habitude dense dans cette ville, a été dévié des deux côtés, par Daghoussa puis Benamar, pour ceux qui venaient de Dréan et par la route qui relie Zérizer et Bir H’nech pour ceux en provenance de Ben M’hidi. En ce sens, le malaise était à son comble chez les chauffeurs de taxi, les bus et tous ceux qui devaient se rendre quelque part pour une raison ou une autre que cette contestation a contraints à opérer des détours de plus de dix kilomètres. Dans leurs tentatives de ramener les contestataires à la raison, ni le maire, ni le chef de daïra, encore moins d’autres personnes n’ont pu faire fléchir ce mouvement qui rappelle, à bien des égards, celui survenu il y a plus d’une année, quand cette ville a connu la pire pénurie d’eau de son histoire, soit plus de deux mois. Cette fois-ci, il s’agit, selon les protestataires, de promesses non tenues par les responsables concernés sur le délai d’attribution des nouveaux logements, à chaque fois reporté, à cause justement de travaux non encore réalisés comme le bitumage des accès de ces nouvelles cités, dont le nombre d’unités dépasse les 600, dans le cadre de la résorption de l’habitat précaire et socio-locatif. Les contestataires qui demandent à parler directement au wali se sont étonnés de voir les autres attributions de logements dans les autres communes se dérouler normalement sauf dans leur commune.The post El Tarf: Le trafic routier encore perturbé par des contestataires appeared first on .
D. B.
Avec le relogement hier, de plus de 300 familles du secteur urbain El Badr’, ce sont près de 50.000 logements publics locatifs (LPL) qui ont été attribués durant les 2 dernières décennies, à Oran. L’analyse de ce chiffre révèle que la wilaya d’Oran a connu une grande dynamique dans la lutte contre l’habitat précaire, notamment, depuis 2013.Dans ce cadre près de 35.000 familles ont été relogées depuis juin 2014 à Oran. Ces opérations ont permis d’éradiquer 75 % des bidonvilles, répartis sur la wilaya dont 5 bidonvilles ont été rasés suite au relogement de ces familles. Ils étaient implantés à Cheklaoua, Le Virage, Hayat Regency et Bab El Hamra, entre autres. Ces actions ont permis de récupérer plusieurs assiettes foncières qui seront destinées à la concrétisation de projets d’investissements et d’utilité publique. Aussi, dans un passé récent, le wali d’Oran, a indiqué que la wilaya d’Oran dispose 25.000 logements sociaux, en cours de construction et que le relogement se fera au fur et à mesure de la réception des nouvelles habitations. Cette offre sera attribuée aux demandeurs de ce type de logements par les différentes commissions locales, chargées de l’étude des dossiers.
Le wali a tenu rassurer les citoyens que ces services ne ménagent aucun effort, pour satisfaire leurs besoins en logements. Il a, aussi, affirmé qu’il ne permettra aucun dépassement ou tentative de bénéficier de logement de manière frauduleuse et ce, quelle que soit son origine. Il a aussi lancé un appel aux citoyens pour contribuer au bon déroulement des opérations de relogement pour barrer la route aux opportunistes. Des opérations de relogement seront programmées au fur et mesure et en fonction de la réception des logements et de l’achèvement des travaux des VRD. Revenant au bilan des 2 dernières décennies, selon les chiffres de la direction du Logements, quelque 98.000 logements, tous programmes confondus, ont été réceptionnés et attribués, dans la wilaya d’Oran, durant la période, allant de 1999 à 2017.
Ce quota d’habitat, réparti sur les quinquennats précédents comporte 44.899 logements publics locatifs (LPL), 23.434 sociaux participatifs (LSP) et 786 logements similaires sont en cours de réalisation, 4.391 logements promotionnels aidés (LPA) et 5.025 logements similaires, en construction. Il a été procédé, dans la même période, à l’attribution de 3.180 logements promotionnels publics (LPP), plus de 10.000 logements location-vente (AADL), 1.875 logements location-vente/CNEP (21.900 et 1.202 logements de ces 2 formules sont en cours de réalisation. Concernant le nouveau programme LPA, la wilaya d’Oran a été destinatrice d’un 1er quota de 2.000 logements, répartis à travers les daïras d’Oran, Es Sénia, Ain Turck, Bethioua, Oued Tlélat, Gdyel et Arzew notamment. Des assiettes foncières, relevant des Domaines ont été retenues, dernièrement, pour accueillir ce programme. Pour le programme LPA 2018, les inscriptions se feront auprès des communes.
Plus de 6.000 habitations à réhabiliter dans une dizaine de communes
En parallèle aux opérations de relogements, pas moins de 6.051 habitations, en quête de réhabilitation, ont été recensées dans 22 sites, répartis à travers 10 communes de la wilaya d’Oran, a-t-on appris auprès de la direction de l’Urbanisme, de l’Architecture et de la Construction. Le plus grand nombre de ces habitations est situé dans la commune d’Es-Sénia (2012), puis Mers El-Kébir (931), Arzew (800) et les communes de Benfréha et Bousfer avec 570 et 520 respectivement.
Ce recensement a touché aussi 380 logements à Ain El Bia, 300 autres à El-Ançor, 218 à Sidi Chahmi, 200 à Bethioua et 120 à Bir El-Djir. La nature des travaux exigés pour ces habitations consiste, notamment, en la peinture des façades et la réfection des parties conférant un aspect esthétique. L’opération de réhabilitation du vieux bâti, dans la wilaya, supervisée par l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), a touché, ces dernières années, 200 immeubles à Oran, pour une enveloppe financière de 700 millions de DA. Ces immeubles sont situés sur les boulevards Mohamed Khémisti’ et Larbi Ben-M’hidi», au centre-ville, avec un total de 120 appartements, la rue Maâta Mohamed Lahbib’ (40) et Haï Sidi El Houari (30). Ils présentent notamment des problèmes d’infiltration d’eaux pluviales, domestiques ou usées. D’autre part, pas moins de 15.058 habitations précaires sont recensées, à travers 25 sites, répartis dans 10 communes de la wilaya d’Oran, ont indiqué dernièrement, des responsables de la direction de l’Habitat. Le plus grand site d’habitat précaire est enregistré dans la commune de Hassi Bounif, avec un total de 3.000 habitations, Benfréha (2.820), les communes de Bir El Djir et Arzew (2.000 chacune) et Sidi Chahmi (1.953). Ce recensement a également touché 655 habitations, dans la commune d’Ain El-Turck, 400 à El-Ancor, 180 à Bousfer et 150 maisons à Sidi Benyebka, a-t-on indiqué.
La résorption de l’habitat précaire permettra la récupération d’un foncier de 150 ha, soit une moyenne de 100 habitations par hectare. Pour éradiquer, définitivement, ce phénomène, la wilaya d’Oran nécessite l’inscription de 15.000 logements publics locatifs (LPL), ainsi qu’une autre opération de prise en charge des travaux d’aménagement et d’amélioration urbaine. Ce recensement ne concerne pas Haï Snaouber (ex Les Planteurs) qui compte, actuellement, 20.000 habitations précaires contre 9.500, en 2007. Des travaux de construction de 15.548 LPL sont en cours, dans la wilaya d’Oran. Inscrits durant la période de 2006 à 2013, ces logements sont destinés aux bénéficiaires de pré-affectations de Haï Snaouber et à des demandeurs de logements.
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J. Boukraâ
Une autre opération de rapatriement des Nigériens qui doivent être transférés vers leur pays, a été organisée, en début de semaine, à Oran. Plusieurs quartiers ont été ciblés par cette opération, notamment au centre-ville, Ain El Beida, Coca et El Hassi . L’opération a été menée en collaboration avec les services de l’Action sociale, le Croissant-Rouge, la Sûreté nationale et la gendarmerie. 154 Sub-sahariens ont été regroupés dans un centre de recasement, à Bir El djir.Toutes les mesures nécessaires ont été prises pour le rapatriement de tous ces ressortissants, dans les meilleures conditions humaines et sécuritaires.
En août dernier, 280 Sub-sahariens ont été regroupés, lors de deux opérations. Les Nigériens ont été reconduits vers Tamanrasset avant leur rapatriement. Toutes les mesures nécessaires ont été prises pour le rapatriement de tous ces ressortissants, dans les meilleures conditions humaines.
A Oran, une dizaine d’opérations de rapatriement ont été effectuées, depuis le début de l’année. Ces opérations ont permis le transfert vers les frontières de près de 2.200 Sub-sahariens. L’Algérie avait pris une série de mesures pour le rapatriement de ces ressortissants nigériens, dans les meilleures conditions, jusqu’à ce qu’ils regagnent leurs villages et leurs maisons. Des bus confortables ont été réservés pour le transfert des ressortissants nigériens au Centre d’accueil de Tamanrasset. Ces migrants, en majorité des femmes et des enfants, vivent de mendicité: une situation devenue, de plus en plus, difficile, à la fois pour ces réfugiés et pour les riverains, en l’absence de prise en charge adéquate de ces migrants, fuyant la misère de leur pays.
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J. Boukraa
En dépit de toutes les lois l’interdisant, l’urbanisation illicite se poursuit dans la wilaya d’Oran. Dans le cadre de la lutte contre toutes les formes de dépassement dans ce domaine. Une vingtaine de locataires ayant entrepris des transformations ayant touché les appartements et les parties extérieures des appartements ont été mis en demeure, par les services concernés et à leur tête les services communaux en collaboration avec la police de l’Urbanisme. Les locataires avaient effectué des modifications ou des aménagements sans autorisation. Un délai a été accordé à ces locataires pour la remise en l’état initial de leurs logements. Une fois le délai accordé à ces locataires expiré, les dossiers devraient être transférés la justice. A ce titre, il faut signaler que beaucoup de caves d’immeubles, notamment dans les cités qui ont vu le jour durant les années 80, à ce jour, sont occupées par des familles qui y habitent ou par des particuliers qui y ont établi des commerces, voire des ateliers, souvent clandestinement. En effet, l’urbanisation illicite se poursuit dans la wilaya d’Oran. Cette dernière prend des formes phénoménales ces dernières années. Ces derniers jours, plusieurs extensions illicites ont vu le jour, dans la commune d’Ain El-Turck , Hai Es Sabah, Yaghmoracen Le but de ces modifications est évidemment de réaliser une terrasse, un garage ou carrément pour avoir un accès individuel. Du coup, certains résidents soucieux nous ont contactés pour faire la lumière sur ces agissements qui ne font qu’aggraver l’aspect environnemental de la cité. Les responsables locaux doivent agir en amont afin d’éviter que le phénomène ne prenne des proportions incontrôlables. « Les autorités locales doivent reprendre les choses en main, au plus vite, en commençant par obliger ces inconscients à détruire ce qu’ils ont, illégalement, construit ; du moins, ce qui est extérieur », dira un habitant.Ces modifications, qui seraient illégales, se font sans la moindre intervention des services concernés. Des habitants ont squatté carrément l’espace public, une situation qui peut se généraliser à d’autres logements, sans l’intervention de l’APC. Chacun tente de s’approprier une parcelle assuré que son voisin, qui l’a déjà fait, il y a quelques années, n’a jamais été inquiété ! Et c’est la course des propriétaires des rez-de-chaussées pour confisquer les terrains alentours ou les concavités des immeubles pour y construire garages ou cours. Cette situation ne fait que s’aggraver malgré les mesures prises par les autorités publiques et en particulier la loi 08/15 relative à la mise en conformité des constructions. L’ultimatum adressé par le ministère de l’Habitat pour la régularisation des constructions inachevées, dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions de cette loi a expiré, le 3 août dernier. L’objectif de cette loi étant de mettre un terme à l’anarchie régnant dans le domaine, sur les plans urbanistique, juridique et autres, et donner, aussi, une meilleure image des villes et des campagnes, qui ne cesse de se dégrader au fil des jours, des mois et des années.
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J. Boukraa
Pour faire face aux récurrentes coupures de l’électricité notamment durant la saison estivale, signalées maintes fois par les habitants, trois nouveaux transformateurs ont été installés dans la commune d’Oran, a-t-on appris de la cellule de communication de la direction de la Distribution d’électricité et du gaz d’Oran. Ces nouveaux postes transformateurs ont été installés dans les zones à forte densité de population comme Hai Rocher au secteur urbain Bouâmama , Hai El Emir et sur la rue des Aures (ex La Bastille).Cette opération, chapeautée par la direction suscitée, a pour but d’améliorer le cadre de vie des habitants et faire face aux coupures répétitives, notamment dans les agglomérations à forte population. « Cinq autres transformateurs ont été équipés par un nouveau matériel, ce qui a permis de diminuer le taux des incidents et des coupures de 24%, durant cette saison estivale par rapport à la même période de l’année passée » selon la même source, qui a ajouté que «14 km de réseau basse et moyenne tensions ont été rénovés dans les quartiers d’El Hamri, Khmesiti, Maraval, Canastel et Es-Sédikia. Ce réseau a été l’objet d’incidents et coupures, suite aux agressions qu’il a subies à cause des travaux de terrassement. 40 % des incidents et des coupures ont pour origine les agressions et l’empiétement du réseau » . L’empiétement des ouvrages énergétiques et des espaces dits de périmètre de protection et de couloir de sécurité, pénalisent les citoyens et sont à l’origine d’énormes préjudices financiers à la société, contrainte d’effectuer des travaux de réparation. Sont qualifiées d’agressions d’ouvrage électrique et gazier, toutes les atteintes volontaires ou involontaires commises sur les ouvrages énergétique et gazier, causant des préjudices aux matériels.
Néanmoins, et malgré cet état de fait, les équipes techniques et commerciales relevant de la direction de Distribution d’Oran n’ont ménagé aucun effort pour réparer les dégâts et sensibiliser les auteurs.
La nécessité de respecter impérativement, les distances de sécurité, les couloirs de servitude des lignes électriques et les tracés des conduites de gaz, évitant des drames humains, est, maintes fois, rappelée par les sociétés activant dans le secteur énergétique. Surtout que ces incidents peuvent avoir des conséquences fâcheuses et présentent des risques pour tous ceux qui font fi de la réglementation, en effectuant des travaux ou en construisant à proximité des lignes électriques, à proximité ou sur des canalisations gaz ou qui escaladent les ouvrages.
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rente incendies de forêt ont été enregistrés dans 17 communes de la wilaya de Mostaganem depuis le début du mois de juin dernier, détruisant 17 ha, a-t-on appris hier de la Conservation des forêts.
Les dégâts causés par ces incendies ont touché 5 ha de forêt, 2 ha de broussailles et 9 ha de maquis. Plus de 290 agents ont été mobilisés cette année pour la campagne de lutte contre les feux (1er juin –
31 octobre) avec l’installation de 12 tours de contrôle, en plus de
5 équipes mobiles, 5 véhicules d’extinction, une colonne mobile de la Protection civile, des équipements et du matériel de communes et d’entreprises nationales publiques et privées. Pour rappel, 494 feux ont ravagé, au cours des dix dernières années (2008-2017) à Mostaganem, 594 ha de forêt, de broussailles et de maquis, dont 49 incendies relevés l’an dernier détruisant 85 ha.
APS
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Une adolescente de 14 ans a chuté, durant la soirée de samedi, du
8e étage du logement familial, à la cité des Frères-Khaldi, à Béni Malek, dans la ville de Skikda. Évacuée dans un état critique vers hôpital Abderrezak-Bouhara, elle succombera à une hémorragie interne, une heure plus tard. Selon des proches, la victime est tombée alors qu’elle se trouvait au balcon. Une enquête a été ouverte par la police pour élucider les circonstances de ce drame qui a causé la mort de cette adolescente qui était admise cette année en première année secondaire.
A. Boukarine
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Sofiane Abi
A l’occasion de la rentrée scolaire, la Protection civile a décidé de rappeler aux parents d’élèves les risques d’accidents de la circulation qu’encourent leurs enfants. Faut-il le rappeler, chaque mois entre 400 et 450 enfants sont victimes d’accidents de la circulation. Le nombre risque d’augmenter si les acteurs de la société civile ne prennent pas le danger en considération.
Dans un communiqué datant de ce lundi, la Direction générale de la Protection civile (DGPC) a annoncé la mise en place d’un vaste dispositif spécial pour une rentrée scolaire sans accidents de la circulation. Avec plus de 80 000 hommes et femmes secouristes mobilisés, à l’occasion de la rentrée scolaire, à travers l’ensemble des postes d’intervention du pays, le plan spécial élaboré par la DGPC comprend également le déploiement des unités aériennes. Pour peaufiner le dispositif spécial, la Protection civile a mobilisé un renfort de taille constitué de plusieurs équipes d’intervention afin de répondre aux différentes sollicitations, particulièrement au niveau des zones urbaines et des points noirs où les risques d’accidents sont élevés, a indiqué ledit communiqué. Aussi, la DGPC n’a pas manqué à cette occasion de rappeler aux parents de sensibiliser leurs enfants sur les risques que représentent les accidents de la route, notamment sur leur vie.
Sur ce plan, la DGPC a indiqué aux parents que la prévention et la sensibilisation sont les premiers éducateurs des enfants sur les dangers liés aux accidents de la circulation. « La prévention et la sensibilisation demeurent une priorité pour la Protection civile », note la DGPC dans son communiqué. Les enfants sont peu conscients des dangers qui les menacent sur les routes, car ce risque apparaît à l’âge de trois ans, dès que l’enfant fait ses premiers pas à la crèche, puis augmente lorsqu’il se déplace seul à l’école, dès l’âge de cinq ans ou six ans, et enfin atteint le pic entre 11 et 12 ans dans le cycle moyen, explique le communiqué de la Protection civile. Cette situation nécessite, ajoute-t-on, un apprentissage des connaissances pour les piétons en bas âge afin qu’ils arrivent à mieux se protéger, seuls, contre les différents risques liés à la route.
Dans ce contexte, la DGPC a réitéré son appel aux parents sur la nécessité de suivre les recommandations de base en matière de sécurité routière présentes dans le communiqué, et de les expliquer à leur tour à leurs enfants pour les protéger contre les risques d’accidents de la route. Tout d’abord, indique la DGPC, utiliser un passage piéton ou choisir un lieu doté d’une bonne visibilité pour traverser, rester vigilant en traversant les passages pour piétons ainsi qu’en dehors de ceux-ci, tout comme il est important de regarder à gauche et à droite puis encore à gauche avant de s’engager sur la chaussée pour vérifier si des véhicules arrivent de loin ou de près. Vérifier qu’il y a bien des feux de signalisation, que le feu est au vert et que tous les véhicules sont à l’arrêt avant de s’engager, et surtout traverser le passage pour piétons en marchant et s’interdire de courir pour éviter des chutes sur la chaussée.
Multiplier les déplacements à pied avec les enfants pour les éduquer à la sécurité routière, notamment sur les routes desservant les établissements scolaires et leur expliquer la différence entre les espaces de jeu et ceux réservés à la circulation. Apprendre aux enfants à emprunter le trottoir pour marcher et à détecter les dangers potentiels, tels que la sortie de garage, les travaux, les chutes de pluie et de neige. Telles sont les recommandations de la Protection civile aux parents d’élèves et aux enfants pour une année scolaire avec moins d’accidents de la circulation et moins de victimes.
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Le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels s’est renforcé par 40 nouveaux établissements qui ouvriront leurs portes à l’occasion de la rentrée de la formation professionnelle, prévue le 23 septembre prochain.
« Pour les infrastructures d’accueil, les établissements de formation et de l’enseignement professionnels publics fonctionnels pour cette session, sont au nombre de 1295, soit une augmentation de 67 établissements par rapport à la même session de l’année 2017. Il faut savoir qu’en plus des établissements ouverts en février 2018, ce sont 40 nouveaux établissements qui ouvriront leurs portes, pour la première fois, à la prochaine rentrée », a indiqué le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, dans une interview accordée à l’APS.
Il s’agit de 13 instituts nationaux spécialisés (INSFP), 24 centres de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) et 3 instituts de l’enseignement professionnels (IEP), a-t-il précisé.
S’agissant des moyens techniques dans les ateliers, 213 équipements technico-pédagogiques sont en cours de réception ou d’acquisition, dont 88 sections d’équipements seront fonctionnelles avant la fin de l’année, alors que pour ce qui est du personnel enseignant-formateur, le nombre de postes d’encadrement technico-pédagogique permanent, dépasse les 28.000 sur un total de plus de 67.700 postes budgétaires, représentant l’ensemble des travailleurs du secteur.
Sur les plans matériel et humain, « nous sommes prêts pour accueillir tous les demandeurs de formation dans de bonnes conditions », a assuré le ministre, tout en soulignant que son secteur « ne lésine devant aucun effort pour mobiliser les moyens humains et matériels nécessaires permettant d’assurer une bonne année de formation professionnelle ».
Ce sont 400 000 postes de formation qui sont prévus pour la session de septembre 2018, en progression par rapport à celle de l’année précédente, un chiffre qui peut augmenter en cas de nécessité en faisant appel aux possibilités qu’offre l’apprentissage, a Mohamed Mebarki.
« Nous sommes prêts à accueillir tous les demandeurs de formation dans de bonnes conditions et nous travaillons pour que la rentrée 2018 soit à la hauteur du rôle, de plus en plus important, que joue le secteur de la formation professionnelle », a-t-il affirmé.
ll a précisé, en outre, que le ministère s’attelle à « prendre en charge les besoins en ressources humaines nécessaires au fonctionnement de l’entreprise et du développement économique et à répondre à la demande sociale de formation professionnelle aux cotés des autres segments du système éducatif national ». Ceci, d’autant que, a-t-il ajouté, près de « 450.000 jeunes quittent, annuellement, l’enseignement général classique sans diplômes et sans qualifications ».
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Depuis novembre 2017, soit au lendemain des élections municipales, la nouvelle équipe à la tête de l’Assemblée populaire communale (APC) de Hamadi n’assure plus le ramassage des ordures. Dès lors, les habitants de cette commune n’ont plus de choix que d’abandonner leurs ordures ménagères sur les bordures des routes et autres ruelles de la ville. C’est ainsi que des terres agricoles se sont transformées en dépotoirs à ciel ouvert, alors que des cités flambant neuves, à l’exemple des 142 logements Essalam, sont carrément devenues des décharges publiques. Partout, sur les routes et dans les quartiers, des odeurs nauséabondes, et la seule solution dont disposent encore les habitants de cette ville, c’est de brûler périodiquement les montagnes d’ordures formées par-ci, par-là. Selon des sources proches des autorités locales, le nouveau P/APC refuse de signer le déblocage du budget (environ 7 milliards de centimes) réservé à cet effet, parce que des responsables au niveau de la wilaya de Boumerdès lui auraient imposé une entreprise privée pour le ramassage des ordures.
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Le président de Jil Jadid, Soufiane Djillali, a décidé de poursuivre en justice le député et ex-président du groupe parlementaire du MSP, Nacer Hamdadouche, qui, dans une violente diatribe postée sur son compte Facebook, avait proféré de graves accusations contre lui. “Je déposerai plainte en espérant que le ministre de la Justice engagera la demande pour la levée de l’immunité parlementaire auprès du président de l’APN, pour permettre à la procédure judiciaire de suivre son cours”, a expliqué M. Djillali, dans un communiqué rendu public hier. Cependant, le président de Jil Jadid ne se fait, visiblement pas, d’illusion sur la demande en question. “En vérité, j’ai peu d’espoir de voir cette institution accepter de lever sa protection”, a-t-il précisé.
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Le Maroc, qui a snobé les appels de l’Algérie et de la Tunisie pour une candidature commune pour le Mondial 2030 de football, risque de voir son ambition contrecarrée. Le président de l’UEFA, Aleksander Ceferin, est totalement opposé à cette option et préfère une seule candidature européenne. Il est plutôt favorable à une candidature de l’Angleterre, car, a-t-il déclaré au quotidien sportif l’Equipe, “cela pourrait être une bonne idée, les infrastructures en Grande-Bretagne sont excellentes”. Il a même ajouté : “Je l’ai dit à de nombreuses reprises ces dernières années, il est temps pour l’Europe d’accueillir le Mondial. La seule chose sur laquelle je veux insister est qu’il faudrait une seule candidature en Europe. Je ne veux pas que nous soyons divisés.”
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Lancé depuis plusieurs années, avant qu’il ne soit mis aux calendes grecques, le programme d’entretien de la signalisation routière et l’équipement des tronçons routiers de signalisation spécifique pour l’élimination des points noirs sur les routes nationales, vient d’être relancé par les directions des travaux publics à travers plusieurs wilayas du pays. L’opération a concernée dans un premier temps les routes nationales de l’est du pays (Béjaïa, Jijel, Batna, Sétif, Guelma, Annaba…) où des dizaines de points noirs sont à l’origine d’accidents de la circulation. En plus des signalisations directionnelles et des potences lumineuses à message variable, ce programme devra inclure la pose, sur plusieurs routes nationales, de glissières de sécurité et de plots rétrofléchissants en verre.
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Le wali de Laâyoune (Maroc), Yahdih Bouchaâb, interviewé à l’occasion d’un reportage sur la situation au Sahara occidental, s’est laissé aller à des comparaisons pour le moins incongrues. Lors de son passage dans l’émission du média américain Democracy Now, Yahdih Bouchaâb a estimé que “le niveau de respect des droits de l’Homme au Sahara est supérieur à celui observé aux Etats-Unis”, affirmant que “dans une ville comme New York, il existe un million de citoyens qui vivent dans des undergrounds et se nourrissent de rats. Quand ils sont assez faibles, ils se font à leur tour manger par des rats”. Yahdih Bouchaâb ne s’arrêtera pas là. “Si vous voulez parler des droits de l’Homme, intéressez-vous d’abord à Guantanamo”, poursuivra-t-il. Les internautes s’en sont donnés à cœur joie.
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ALGER- Tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour assurer le bon déroulement de la rentrée de formation professionnelle, prévue le 23 septembre prochain, a affirmé le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, dans une interview à l’APS.
« Comme chaque année, le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels ne lésine devant aucun effort pour mobiliser les moyens humains et matériels nécessaires pour assurer une bonne année de formation professionnelle », a-t-il assuré, ajoutant que « nous sommes prêts à accueillir tous les demandeurs de formation dans de bonnes conditions et nous travaillons pour que la rentrée 2018 soit à la hauteur du rôle, de plus en plus important, que joue le secteur de la formation professionnelle ».
Il a précisé, en outre, que le ministère s’attelle à « prendre en charge les besoins en ressources humaines nécessaires au fonctionnement de l’entreprise et du développement économique et à répondre à la demande sociale de formation professionnelle aux cotés des autres segments du système éducatif national ».
Ceci, d’autant que, a-t-il ajouté, près de « 450.000 jeunes quittent, annuellement, l’enseignement général classique sans diplômes et sans qualifications ».
=Former utile pour faciliter l’insertion professionnelle des diplômés=
Mebarki a précisé que les chiffres donnés, cet été, par l’Office national des statistiques « montrent que plus de la moitié des chômeurs n’ont aucune formation, ce qui nous oblige à former en adéquation avec les réalités économiques et sociales ».
Il a relevé que le secteur « a toujours intégré dans ces cursus, des formations dans l’entreprenariat, pour donner la possibilité aux jeunes stagiaires et apprentis de bénéficier de compétences à monter ou réaliser leur propre projet, avec l’aide des différents dispositifs mis en place par l’Etat ».
D’ailleurs, plus de 63% des porteurs de projets bénéficiant des aides et avantages de l’A.N.S.E.J, sont issus de la formation professionnelle pour l’année 2017, a-t-il mentionné.
Pour ce qui est des infrastructures d’accueil, les établissements de formation et de l’enseignement professionnels publics fonctionnels pour cette session, sont au nombre de 1295, en augmentation de 67 établissements par rapport à la même session de l’année 2017.
En plus des établissements ouverts en février 2018, ce sont 40 établissements nouveaux qui ouvriront leurs portes, pour la première fois, à la rentrée prochaine. Il s’agit de 13 instituts nationaux spécialisés (INSFP),24 centres de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) et 3 instituts de l’enseignement professionnels (IEP).
S’agissant des moyens techniques dans les ateliers, 213 équipements technico-pédagogiques sont en cours de réception ou d’acquisition, dont 88 sections d’équipements qui seront fonctionnelles avant la fin de l’année.
Pour le personnel enseignant-formateur, le nombre de postes d’encadrement technico-pédagogique permanent dépasse les 28.000 sur un total de plus de 67.700 postes budgétaires, représentant l’ensemble des travailleurs du secteur.
=Une campagne d’information pour aller au contact des jeunes=
Au sujet de la campagne d’information que le ministère a lancée à l’intention des jeunes et des parents sur toutes les possibilités d’inscription aux différents diplômes et aux certificats de qualifications qu’il propose, M. Mebarki a fait remarquer que ce sont de larges franges de jeunes qui peuvent en être concernés.
C’est pourquoi, a-t-il dit, le ministère associe à cette initiative les organismes et ministères en relation directe avec les jeunes et, bien entendu, les médias pour intéresser le maximum à la formation aux métiers.
Durant tout l’été, les directions de wilaya ont utilisé tous les moyens de sensibilisation pour aller au contact des jeunes à travers l’affichage de banderoles dans des endroits choisis, des interventions sur les radios locales et l’organisation de caravanes.
Cette campagne de communication va se poursuivre jusqu’à la rentrée, a affirmé le ministre, et porte notamment sur les conditions d’inscriptions aux différents diplômes et certificats, à savoir les filières et spécialités ouvertes et leur localisation, ainsi que les possibilités d’internat.
« Ce que nous pouvons dire, aujourd’hui, à trois semaines de la rentrée, et comparativement à l’année dernière, est que l’intérêt des jeunes à s’inscrire à la formation professionnelle va en grandissant, y compris pour la prise en charge des candidats ayant le niveau scolaire de 3ème AS qui souhaitent s’inscrire en technicien supérieur (TS) », a-t-il précisé, ajoutant que « c’est à ce niveau d’inscription où se situe la plus forte demande, en particulier pour certaines spécialités très prisées ».
Le ministre a tenu à rappeler que chaque année, ce sont plus de 300.000 candidats qui échouent à l’examen du baccalauréat et préfèrent s’orienter vers des instituts de formati on professionnelle. De plus, de nombreux bacheliers et même des licenciés de l’université s’inscrivent en TS de certaines spécialités.
=Intérêt grandissant pour les filières de l’industrie et du tourisme=
L’intérêt aux filières de formation considérées prioritaires a augmenté de façon graduelle, ces dernières années, notamment pour les spécialités de l’industrie qui représentent 25,40% de l’offre globale, alors que celle-ci ne dépassait pas 22,7% pour la session de septembre 2017, a indiqué le ministre.
La filière hôtellerie, tourisme et artisanat représente, quant à elle, 15,69% de l’offre globale contre 10.3% pour la même session de l’année passée. Le BTP continue à intéresser, puisqu’il représente 12,41%, alors que les filières de l’agriculture et de l’industrie agroalimentaire progressent à 9.31% dans l’offre globale, comparativement à l’année dernière, a-t-il détaillé.
Sur un autre plan, les nouvelles règles sur l’apprentissage participeront à la réalisation des objectifs fixés il y a trois ans pour atteindre, en 2019, la formation en apprentissage de 60% des inscrits à un diplôme.
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Dans ce cadre, plus de 120.000 postes d’apprentis sont déjà programmés pour la rentrée de septembre 2018 et ce chiffre peut être revu à la hausse en cas de besoins, grâce au partenariat qui se renforce avec le monde économique, a encore expliqué le ministre.
La qualité et la promotion du partenariat avec l’environnement socio-économique sont considérées comme un critère de performance dans le management des établissements de la formation professionnelle, a fait savoir M. Mebarki, rappelant que plus de 13.000 conventions de partenariat ont été signées entre le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels et le secteur économique depuis 2008 et ont permis la formation de 650 000 travailleurs.
Selon le ministre, cette démarche de partenariat « est renforcée par des organes de concertation, réorganisés et mis en place au cours de l’année 2018: au niveau national, un Conseil de partenariat de la formation et de l’enseignement professionnels et au niveau local, des commissions de partenariat de wilaya.
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