Le ministre du commerce a annoncé que les prochains jours verront la levée de l’interdiction d’importation pour certains produits sans préciser lesquels. Il a juste expliqué que cela se fera en fonction du besoin du marché national.
Lors de sa visite effectuée avant-hier dans la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj, le ministre du Commerce Saïd Djellab a indiqué que le gouvernement reviendra prochainement sur l’interdiction d’importation d’un certain nombre de produits, une mesure, faut-il le rappeler, qui a été prise il y a deux années en vue de protéger la production locale.
Ainsi, le gouvernement avait interdit l’importation de près d’un millier de produits se basant pour établir cette liste sur les capacités locales de production, peu compétitives et qui n’arrivait pas à survivre face à la concurrence étrangères. La mesure avait provoqué une levée de boucliers de la part des partenaires commerciaux du pays qui ont fait valoir les accords signés pour faciliter la circulation des biens et des services.
Et, le gouvernement, qui avait justifié cette mesure par «la nécessité de préserver quelques industries en difficulté ainsi que de protéger une petite industrie naissante», a souligné son caractère «temporaire», rassurant les gouvernements qui l’ont contesté – européens notamment –, qu’elle sera levée au fur et à mesure. En effet, Saïd Djellab a indiqué que cette mesure ne sera pas supprimée totalement mais, devrait être allégée et sera remplacée par une barrière douanière puisque les produits concernés par cette levée de l’interdiction d’importation seront soumis à une taxe supplémentaire dans le cadre de l’encouragement de la production nationale.
Le ministre n’a en tout cas pas précisé quels seront les produits concernés par cette levée de l’interdiction d’importation mais, a-t-il souligné, cela se fera en fonction des besoins du marché national.
Il convient enfin de noter que l’interdiction d’importation de ces produits, si elle a permis à des producteurs locaux de gagner des parts de marché, notamment dans le secteur agroalimentaire, elle a provoqué des pénuries dans certains secteurs comme les produits pharmaceutiques. Et, elle n’a pas vraiment réussi à équilibrer la balance des paiements. La facture des importations demeure élevée.
L. H.
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Après la décision de démolition du lycée Sardo à Bordj Bounaama dans le nord de Tissemsilt sans information préalable des élèves et des parents ainsi que celle de ne pas les associer à une telle décision. La propagation d’une rumeur sur l’exploitation de l’assiette très convoitée dans le cadre de l’investissement privé a été marquée en ce début de rentrée scolaire par une réaction mouvementée dans cette partie de la wilaya. Les parents d’élèves et la coordination de wilaya de l’association nationale des parents d’élèves sont sortis à la rue et se sont rassemblés durant les deux premiers jours de la rentrée devant le lycée Sardo en guise de protestation contre cette opération. Ils affirment qu’ils n’ont pas été associés à cette décision tout en précisant que l’amiante est un peu partout à Bordj Bounaama alors pourquoi pas la démolition des centaines de logements, de l’hôpital de la ville, du CFPA et autres structures ? Ils nous ont précisé qu’avant la rentrée, ils ont été reçus par la directrice de l’éducation qui selon eux avait avoué un manque de communication avec les parents et que le ministère leur avait promu des enveloppes consistantes pour reconstruire les lycées démolis, nos interlocuteurs à leur tête le coordinateur de wilaya de l’association nationale des parents d’élèves Mr Saadet affirme qu’ils ne sont pas contre la démolition mais contre le fait de dire que c’est à cause de l’amiante qui avait fait des victimes et contre la marginalisation des parents dans la prise d’une telle décision et pour finir, ils ont manifesté une crainte sur l’avenir de l’assiette sur laquelle est construit ce lycée.
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M. Bedoui a indiqué que « le ministère de l’Intérieur signera prochainement plusieurs conventions avec le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels, pour la mise à niveau des fonctionnaires chargés de la gestion des écoles primaires, à travers tout le territoire national, dans plusieurs spécialités, dont la gastronomie, la réparation du mobilier scolaire, la maintenance d’équipements fonctionnant aux énergies renouvelables et autres. Il a, en outre, précisé que son département « a procédé au recrutement de 45.000 travailleurs dans différentes spécialités dont des cuisiniers, des électriciens et autres, repartis sur les écoles primaires du pays ». « En application des instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, visant à assurer les meilleures conditions pour les élèves scolarisés », le ministre a dit qu’il sera procédé à la distribution, en septembre, de 741 minibus de transport scolaire, 593 autres en octobre, 420 en novembre, 300 en décembre, en plus de 1500 minibus à distribuer en 2019″. Ces acquisitions s’ajoutent aux 12.161 minibus de transport scolaire disponibles actuellement au niveau des différentes communes du pays. La Commission multisectorielle chargée de la préparation de la rentrée sociale « avait accordé la priorité au cycle primaire », a affirmé M. Bedoui, indiquant que 15 milliards de DA ont été consacrés à la gestion des écoles et plus de 34 MDS Da aux cantines solaires. Il a, à ce titre, fait savoir que 1200 opérations avaient profité au secteur de l’Education, dont 44 nouvelles cantines scolaires, 41 CEM, 38 lycées, outre « la réception de 55 établissements scolaires pilotes équipés en énergies renouvelables », soulignant dans ce cadre que « toutes les écoles primaires et même les mosquées seront alimentées en énergies renouvelables, et ce, dans le cadre de la rationalisation des ressources financières ». Pour sa part, Mme Nouria Benghabrit a affirmé qu' » une importance particulière est accordée aux établissements primaires », lors de cette nouvelle année scolaire, soulignant que ces établissements « sont régis par un statut particulier en vertu d’un décret publié en août 2016 ».
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Plus de 220 établissements éducatifs ont été raccordés aux réseaux de l’électricité et du gaz, pour une rentrée scolaire 2018-2019 réussie, a indiqué vendredi la Société algérienne de distribution de l’électricité et du gaz dans un communiqué.
Les directions de distribution au niveau national mobiliseront toutes leurs ressources matérielles et humaines, en vue d’alimenter les établissements scolaires en électricité et en gaz dans un délai record, pour la réussite de la rentrée scolaire 2018-2019.
En vue d’assurer l’éclairage et le chauffage dans les écoles, plus de 140 écoles primaires, 50 CEM et 30 lycées ont été raccordés aux réseaux de l’électricité et du gaz, précisé le même communiqué.
La société a programmé au sein de ces établissements des cours dans le cadre d’une campagne de sensibilisation à l’utilisation sûre et rationnelle de l’électricité et du gaz, dont le lancement est prévue en novembre.
La société a adopté cette orientation, en dépit des difficultés qu’elle rencontre en matière de collecte de ses redevances financières.
Ces difficultés l’ont affaiblit financièrement, d’autant que ses directions de distribution ont choisi la voie du dialogue et la communication de proximité pour éviter tout désagrément aux citoyens, au lieu de recourir aux mesures de coupure « qui reste l’ultime option ».
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Une cache contenant une importante quantité d’armes et de munitions a été découverte vendredi par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) à Bordj Badji Mokhtar, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières, et lors d’une opération de fouille et de recherche et d’exploitation de renseignements, dans le secteur opérationnel à Bordj Badji Mokhtar (6ème Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert, aujourd’hui le 07 septembre 2018, une cache d’armes et de munitions », précise le communiqué.
Cette cache contient « un (1) canon tractable de 37 mm, 196 projectiles de 23 mm, trente-et-une (31) balles de 14.5 mm, 561 balles de 12.7 mm, 2.034 balles de 62.7×54 mm, et un (1) canon de rechange ».
« Ces résultats réalisés sur le terrain réitèrent l’engagement et la détermination des unités de l’Armée nationale populaire à veiller sur la sécurisation de nos frontières et à contrecarrer toute tentative visant l’intégrité et la sécurité du territoire national », souligne la même source.
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Jugeant que la résolution de la situation à Idlib est très importante pour garantir la sécurité de toute la région et de la Turquie en particulier, le Président turc a déclaré qu’Ankara garderait une présence militaire dans le pays.
Jugeant que la résolution de la situation à Idlib est très importante pour garantir la sécurité de toute la région et de la Turquie en particulier, le Président turc a déclaré qu’Ankara garderait une présence militaire dans le pays.
«Beaucoup de nos soldats ont été tués, nous avons fait beaucoup d’efforts, mais malgré cela, la situation [à Idlib, ndlr] présente différents risques. Idlib est considérée non seulement comme un facteur géopolitique important pour l’avenir de la Syrie, mais aussi pour la sécurité de notre pays», a-t-il déclaré.
Selon lui, Ankara ne permettra pas aux terroristes de se renforcer près de ses frontières et agira en fonction de l’ampleur de la menace pour la Turquie.
«La Turquie maintiendra sa présence dans cette région [la Syrie, ndlr] jusqu’à ce que l’unité politique, géographique et sociale de la Syrie soit assurée», a-t-il ajouté.
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« L’armée algérienne continue son entreprise de modernisation et de professionnalisation en permettant l’émergence en son sein de cadres valables à qui son commandement serait confié », a affirmé la revue El Djeich dans son numéro de septembre, indiquant que les derniers changements ayant touché le haut commandement de l’armée rentrent dans ce cadre.
La vague de changements ayant ébranlée l’Armée nationale populaire (ANP), décidée par le Président Abdelaziz Bouteflika suite à la saisie, le 29 mai, de 701 kg de cocaïne dans le port de la ville d’Oran, a pour objectif le parachèvement de sa professionnalisation et consacre son retrait définitif de la vie politique du pays. C’est ce qu’a indiqué la revue EL Djeich (l’Armée) dans son numéro du mois de septembre.
«Les dernières nominations viennent consacrer le principe de l’alternance aux postes de responsabilité sur la base des critères de la compétence et du mérite», a écrit l’organe de l’ANP dans son éditorial.
Selon la revue, ces nouvelles nominations participent «d’une tradition ancrée» dans les rangs de l’armée algérienne en ce qu’elles constituent, tel que l’a affirmé à maintes reprises le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, le chef de l’état-major de l’ANP, une opportunité pour «encourager les capacités humaines, conforter leur expérience et les pousser à redoubler d’efforts au service de notre Armée nationale populaire qui continuera, (…), de bénéficier de la compétence, des expériences et du professionnalisme de ses cadres là où ils se trouvent».
Le 5 septembre, la chaine de télévision satellitaire Ennahar TV a annoncé le limogeage, par le Président Abdelaziz Bouteflika, du chef d’état-major des forces aériennes, le général-major Mohamed Hammadi, et du chef d’état-major de la défense aérienne du territoire, le général-major Ali Bekkouche. Les généraux Bouzouine et Amri ont été nommés en remplacement des deux hauts gradés cités ci-dessus respectivement, selon la même source.
Pour rappel, l’affaire de la saisie de la cocaïne le 29 mai dernier dans le port d’Oran par les forces navales a suscité une vague de changements dans les corps constitués de l’État algérien, touchant en premier lieu la direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) et la gendarmerie nationale pour finir par l’ANP.
À ce sandale qui a ébranlé la société algérienne s’était ajouté, sur la scène politique, l’appel du président du Mouvement de la société de paix, Abderrezak Mokri, à l’armée d’intervenir pour assurer une transition politique, laissant ainsi entendre que l’institution militaire aurait opposé un véto à l’idée d’un 5e mandat du Président Bouteflika, jugé trop affaibli par la maladie.
Face à cette situation préoccupante, aggravée par l’instabilité externe à la frontière est du pays, partagée avec la Tunisie et la Libye, et à la frontière sud limitrophe avec la région du Sahel, où sévissent des groupes terroristes sur fond de grave crise migratoire, le Président Abdelaziz Bouteflika avait appelé, le 20 août, les Algériens à créer un front populaire interne pour garantir la stabilité du pays en prenant exemple sur les éléments de l’Armée nationale populaire (ANP) et tous les autres organes de sécurité.
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Le ministre sahraoui Délégué pour l’Europe, Mohammed Sidati, a indiqué vendredi que les propos tenus par l’eurodéputée Patricia Lalonde, qui conduit au nom du Parlement Européen une mission dans les territoires sahraouis occupés, « sortent de la neutralité qui devrait être la sienne en sa qualité de Rapporteur » et incitent à approuver l’extension des accords commerciaux UE-Maroc au Sahara occidental.
L’eurodéputée Patricia Lalonde, avec une délégation de la Commission INTA (Commission du commerce international du Parlement européen), a visité récemment Dakhla et El Aâyoun, deux villes du Sahara occidental occupé.
« Dans des déclarations publiques, Mme Lalonde aurait encouragé l’extension des accords commerciaux UE-Maroc au territoire sahraoui illégalement occupé par le royaume marocain », parlant d’un prétendu « incontestable développement socio-économique dans la région » et de projets « qui créent de l’emploi pour les jeunes locaux », a souligné M. Sidati.
Réagissant au parti pris de la française Patricia Lalonde dans ses propos, M. Sidati a souligné dans une déclaration que cette eurodéputée « aurait soigneusement évité de se référer au consentement demandé du peuple sahraoui, condition pourtant préalable à toute possibilité d’accord touchant le Sahara occidental, territoire que la Cour de Justice de l’UE considère expressément comme séparé et distinct du territoire du Maroc ».
Le diplomate sahraoui a souligné que les propos de Mme Lalonde, reproduits par la presse marocaine, « s’inscrivent, en outre, dans la même logique que ceux tenus par le Commissaire Pierre Moscovici devant le Parlement européen à la veille de la visite de la délégation INTA », qui « incitent à approuver l’extension des accords UE-Maroc au Sahara occidental, en violation totale des arrêts émis par la Cour de Justice de l’Union européenne ».
« Les propos de Madame Lalonde du genre +il n’est pas possible de mettre un frein à un développement économique dans une région qui en a besoin+, préjugent de la tonalité du rapport à venir et sortent de la neutralité qui devrait être la sienne en sa qualité de Rapporteur », a soutenu M. Sidati.
Pour rappel, la Commission européenne a été invitée à respecter les décisions de la CJUE qui avait exigé dans le paragraphe 106 de l’arrêt du 21 décembre 2016, le consentement du peuple du Sahara occidental, le considérant comme « souverain ».
Les arrêts de la CJUE de décembre 2016 et du 18 février 2018 avaient stipulé clairement que « toute convention conclue avec le Royaume du Maroc concernant les territoires sahraouis et leurs eaux est une convention nulle et sera annulée ».
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La générale de la pièce théâtrale « Caledonia », présentée dans la nuit de jeudi à vendredi à la maison de la culture « Abdelmadjid Chafai » à Guelma, a reflété « des tableaux vivants » des souffrances des exilés algériens en Calédonie.
L’oeuvre épique et dramatique, produite par Théâtre régional Mahmoud Treki de Guelma pour l’exercice actuel, écrite par Djallel Khachab et mise en scène par Karim Boudechiche, a fait voyager l’assistance venue nombreuse, une heure et quinze minutes durant, dans une période historique importante de l’histoire de la résistance algérienne, où des Algériens ont été spoliés de leurs terres et exilés vers la Nouvelle-Calédonie entre 1870 et 1871.
L’oeuvre dramatique a mis la lumière sur « Abdallah », le personnage principal de la pièce, exilé en Calédonie et qui demeure attaché à sa patrie, à sa terre et à son identité ainsi qu’à son épouse « Meriem » malgré les longues distances qui les séparent.
Pour empêcher l’oubli, Abdallah continuait à écrire ses mémoires, ses souffrances et ses douleurs, en tenant contre lui des feuilles d’oliviers et un chapelet, ramenés de sa patrie mère, en signe de résistance.
Le public composé des responsables locaux, dont le wali, Fatima-Zohra Rais, le président du Conseil national des arts et des lettres, Abdelkader Bendaamache, d’artistes et de nombreuses familles, a suivi avec intérêt une histoire émouvante, au fil des scènes, servie par une musique expressive, traduisant une tragédie, celle de la souffrance des Algériens sous l’occupation française.
Rencontrés par l’APS, en marge du spectacle, beaucoup de spectateurs ont affirmé que la pièce était « un régal visuel » en plus de « relater une époque historique encore méconnue par beaucoup d’Algériens », soulignant que les 15 artistes qui se sont succédé sur scène ont réussi à « imager l’histoire et à transmettre la peine des exilés ».
Pour le directeur du Théâtre régional de Guelma, Rachid Djerour, la pièce « Calédonia » est une « grande oeuvre d’art » et constitue le premier travail sur les planches qui aborde l’histoire des Algériens exilés.
Il a indiqué que la générale de « Caledonia » devait être présentée sur les planches du Théâtre régional de Constantine, Mohamed Tahar Fergani, mais les amateurs du 4ème art et les autorités locales ont préféré que le spectacle soit présenté à Guelma.
De son côté, le dramaturge Djallel Khachab a déclaré que l’interactivité entre l’écrivain, le réalisateur et l’ensemble de l’équipe la pièce « Calédonia » a fait de l’£uvre « un spectacle réussi », soulignant que la musique, la scénographie et les touches artistiques ont été bien appropriées et ont bien servi l’oeuvre.
M.Khachab a également relevé que « l’oeuvre a fidèlement rapporté les détails d’une époque cruciale et importante vécue par les Algériens dont les terres ont été spoliées lors de la résistance populaire et exilés en Nouvelle Calédonie ».
Le dramaturge a noté que le personnage d’Abdullah dans la pièce était « essentiel et porte de nombreuses indications symboliques », notamment, a-t-il développé, « quand il décide de donner des prénoms de algériens, « Ounessa » et « Khaled » à ses enfants de son épouse européenne « Rose », quand il persiste à écrire sa vie en exil, quand il fait des feuilles d’oliviers et du chapelet ce lien ininterrompu avec sa terre et sa patrie ».
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Les derniers malades atteints de choléra ont quitté vendredi l’hôpital de Boufarik, a-t-on appris de source proche du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.
Le service dans lequel les malades étaient pris en charge a été fermé après la guérison de ces derniers, a-t-on précisé de même source.
Le ministère de la Santé avait indiqué que le nombre des cas suspects de choléra hospitalisés a diminué « sensiblement » ces derniers jours, signalant qu’aucun nouveau cas n’a été enregistré.
Il avait précisé que l’épidémie du choléra restait « circonscrite » au niveau de la wilaya de Blida et que le vibrion cholérique « OGAWA » a été identifié au niveau de l’Oued de Beni Azza dans la même wilaya, ajoutant que « toutes les dispositions pour le traitement de l’Oued ont été prises en collaboration avec les secteurs concernés afin d’éviter l’apparition d’autres cas ».
Le dispositif de veille sanitaire mis en place depuis le début de l’épidémie « demeure en vigueur jusqu’à l’extinction totale de celle-ci », rappelle le ministère, mettant l’accent sur « la nécessité du respect des règles d’hygiène individuelles et collectives ».
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Des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP), ont saisi, jeudi, lors de différentes opérations à Souk-Ahras, Tébessa et El-Tarf, 6680 litres de carburant et 1812 comprimés psychotropes, indique vendredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’ANP ont saisi, le 6 septembre 2018, lors de différentes opérations à Souk-Ahras, Tébessa et El-Tarf/5 RM, 6680 litres de carburant, ainsi que 1812 comprimés psychotropes », précise le communiqué.
Par ailleurs, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont saisi cinq (5) fusils de chasse et drone à Constantine/5 RM et 954 unités de différentes boissons à Biskra/4 RM et Aïn Temouchent/2 RM ».
D’autre part, des Garde-côtes « ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de 14 personnes à bord d’embarcations de construction artisanale à Skikda/5 RM, tandis que 6 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Ghilizane Ouargla et In Amenas », ajoute le communiqué du MDN.
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Le petit bensayeh Abderrahim est décédé aujourd’hui à l’hôpital Mohamed Boudiaf de Ouargla suite à une piqûre de scorpion.
Sachant qu’il y a 5 jours une enseignante universitaire est décédée dans le même établissement après avoir été piquée par un scorpion. Les proches de la victime avaient dénoncé l’absence de médecins spécialistes dans cet hôpital.
Massin.A
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La répression d’envergure qu’exercent les autorités marocaines contre des milliers de migrants, de demandeurs d’asile et de réfugiés subsahariens en l’absence de procédure régulière est cruelle et illégale, a déclaré vendredi Amnesty International alors que le gouvernement multiplie les raids dans le nord du pays.
Depuis fin juillet, la police marocaine ainsi que la gendarmerie royale et les forces auxiliaires, procèdent à des raids majeurs dans les quartiers de plusieurs villes où vivent les réfugiés et les migrants, d’une intensité particulière dans les provinces du nord du pays de Tanger, Nador et Tetouan, qui borde la frontière espagnole.
« Cette répression choquante contre les migrants et les réfugiés au Maroc est à la fois cruelle et illégale. Elle représente un recul inquiétant pour un gouvernement qui, en 2013 a adopté de nouveaux engagements en matière d’asile et de politique migratoire afin d’amener le Maroc à respecter les normes internationales », a indiqué dans un communiqué Heba Morayef, directrice du programme d’Afrique du Nord et le Moyen-Orient à Amnesty International.
Selon les estimations de l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH) qui a comptabilisé le nombre de bus quittant les provinces de Tanger, Tetouan et Nador, quelque 5000 personnes ont été arrêtées dans le cadre de ces opérations depuis le mois de juillet.
« Les autorités marocaines doivent immédiatement mettre fin à ces arrestations discriminatoires et respecter les engagements pris au cours des cinq dernières années pour le respect les droits humains des migrants Pour la suite, elle doivent adopter une loi sur l’asile qui établira les procédures et des protections appropriées conformément au droit international », a souligné Mme Morayef.
L’antenne locale de l’AMDH a déclaré à Amnesty International que le vendredi 31 août, les services de sécurité marocains ont arrêté arbitrairement environ 150 ressortissants d’Afrique subsaharienne à Tanger avant de les conduire par force à bord de bus dans les villes du sud où ils ont été abandonnés. Les migrants avaient été appréhendés après avoir initié une petite manifestation devant le consulat espagnol pour réclamer la liberté des migrants subsahariens au Maroc.
-Des migrants entassés et abandonnés à la frontière algérienne-
Selon l’AMDH, des migrants menottés ou, dans certains cas, ont eu les mains attachées à l’aide d’une corde, ont été déplacés de force vers des zones éloignées près de la frontière algérienne ou dans des zones isolées du sud, près de Tiznit, Errachidia, Benguerir, Beni Mellal et Marrakech.
Un grand nombre d’entre eux ont dû marcher pendant plusieurs kilomètres avant d’atteindre la première agglomération depuis laquelle ils pouvaient tenter de retourner chez eux, a déploré l’association.
Lors de ces récents événements, au moins 14 demandeurs d’asile et quatre réfugiés enregistrés au Maroc ont également été transférés de force dans le sud du pays, selon l’agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à Rabat.
« Exemple des plus choquants, le 7 août, une femme réfugiée a été appréhendée à Tanger avec son fils âgé d’un an. Ils ont été forcés à monter dans un bus et ont ensuite été relâchés à Kénitra, à 200 kilomètres de la ville », a ajouté la même source.
« Il est choquant de voir que de jeunes enfants se trouvent parmi les personnes soumises à ces traitements brutaux, tout comme les que des demandeurs d’asile et des réfugiés reconnus par l’ONU ainsi que les migrants enregistrés titulaires d’une carte de séjour », a dénoncé Heba Morayef.
« Si les autorités marocaines ont le droit de réglementer l’entrée, le séjour et la sortie de leur territoire, ce droit doit s’exercer en cohérence avec le droit international relatif aux droits humains et conformément à la Convention relative au statut des réfugiés ».
Un migrant, qui vit au Maroc depuis quatre ans, a déclaré à Amnesty que la police et la gendarmerie marocaines ont fait violemment irruption chez lui au milieu de la nuit avec des masques, et ont commencé à saisir les membres de sa famille, y compris des femmes et des enfants.
« Il y avait beaucoup de véhicules à l’extérieur avec des fonctionnaires pénétrant dans les maisons de nos voisins ».
Le 23 août 2018, les autorités espagnoles ont expulsé un groupe de 116 personnes de différents pays d’Afrique subsaharienne, les transférant de l’enclave espagnole de Ceuta au Maroc, souligne AI, indiquant que l’expulsion a eu lieu un jour après que le groupe eut accédé au territoire espagnol depuis le Maroc en traversant les clôtures le long de la frontière à Ceuta.
Il n’y avait pas d’évaluation des risques potentiels auxquels les individus pourraient être confrontés au Maroc. L’Espagne et l’UE en général devraient recentrer leur coopération avec le Maroc, en donnant la priorité à la protection des droits de l’homme et à la création d’un système d’asile dans le pays, comme l’exige le droit international.
Une fois les migrants expulsés au Maroc, les autorités les ont détenus dans la prison locale de Tetouan, indiquant que dix-sept d’entre eux ont été inculpés de « séjour et sortie irréguliers », d’insulte contre des fonctionnaires », de « rébellion armée » et de « possession d’armes ».
Ils seront jugés le 10 septembre.
L’Espagne et l’UE en général doivent repenser leur coopération avec le Maroc, et accorder la priorité à la protection des droits de l’homme comme l’exige le droit international, a conclu AI.
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L’Algérie a « suffisamment de financements » et n’a besoin d’emprunter ni auprès de la Banque mondiale ni auprès d’autres institutions financières, a affirmé le vice-président de la Banque mondiale chargé de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), Ferid Belhadj, dans un entretien accordé à l’APS.
« Notre (Banque mondiale) engagement en Algérie n’est pas basé sur le financement de projets. L’Algérie a suffisamment de financements et n’a besoin d’emprunter ni auprès de la Banque mondiale ni auprès de quelqu’un d’autre. Notre engagement avec l’Algérie est un engagement que nous avons élevé au niveau d’un dialogue et d’un échange d’expériences », explique le représentant de la BM en visite en Algérie du 4 au 7 septembre.
« Nous prenons l’expérience algérienne et nous voyons dans quelle mesure elle est pertinente et dans quelle mesure elle peut être appliquée avec des adaptations dans d’autres pays. D’autre part, nous prenons les expériences de la Banque mondiale à travers ses recherches et son travail d’analyse que nous proposons à la partie algérienne. C’est véritablement un échange de connaissances et aussi un travail dans lequel la coopération technique devient un axe fondamental dans la relation entre la Banque mondiale et l’Algérie », fait-il valoir.
Questionné sur le bilan de sa visite en Algérie, le représentant de l’institution de Bretton Woods soutient que les rencontres qu’il a eues avec les ministres, respectivement, des Finances, de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, des Travaux publics et des transports, et de l’Industrie et des mines, ainsi qu’avec le gouverneur de la Banque d’Algérie, ont permis de faire un tour d’horizon de la situation économique en Algérie avec ses dimensions et profondeurs sociales: « Ce que j’ai tiré de ce premier contact c’est qu’on est en présence d’une nouvelle Algérie », souligne-t-il.
« On est en train de voir des évolutions dans la manière d’appréhender la question économique, des évolutions dans la relation entre les secteurs public et privé et dans la place de plus en plus importante et pertinente accordée au secteur privé dans l’appréciation générale de l’économie algérienne », relève M. Belhaj.
« Nous pensons que l’Algérie est dans la bonne direction. Cependant, comme dans toute transition, il faut du temps, des mesures volontaristes et il faut qu’il y ait, peut-être, des accélérations du façon que la transition se fasse de la manière la plus efficace possible », poursuit-il.
Mais pour le représentant cette institution financière mondiale, l’une des questions primordiales en Algérie est la diversification de son économie: « Aujourd’hui, l’Algérie est une économie qui est centrée sur les hydrocarbures. Il est clair que pour l’Algérie, dont nous voyons un futur sur les 20 ou 30 prochaines années, cette focalisation sur les hydrocarbures n’est pas porteuse.
Il va falloir changer, diversifier et, en réalité, extraire dans ce pays, qui a des potentialités énormes, davantage d’innovation et de créativité. Cela ne se fera qu’a travers un secteur privé qui sera délesté de certaines contraintes qui alourdissent toujours son développement ».
A ce propos, il relève qu’à travers les rencontres qu’il a eues lors de sa visite, « il y a cette conscience qu’il faut lever ces contraintes du secteur privé et donner plus de champ d’action aux entrepreneurs et à ceux qui ont la volonté de prendre des risques pour la promotion de l’entreprise et la croissance qui sera beaucoup plus pérenne ».
==Intégrer les jeunes dans le développement économique à travers un système éducatif adéquat==
De surcroît, le vice-président de la BM a mis l’accent sur l’importance d’intégrer les jeunes dans le développement économique à travers un système éducatif adéquat: « Quand on regarde la région MENA d’une manière générale, il y a une pression démographique qui est en train de se faire sentir de plus en plus. D’ici 2050, il y aura plus de 300 millions de jeunes à la recherche d’emploi dans toute la région.
L’Algérie aura aussi son lot de pression démographique et il faudra prendre acte de cette pression et l’utiliser avant les siens. C’est-à-dire faire que cette énergie que la jeunesse recèle soit mise à la contribution à la croissance, à la créativité et à trouver de nouvelles voies de développement économique ».
« Nous pensons que cette jeunesse doit être servie par un effort sur les questions de l’éducation, un effort renouvelé et plus important non seulement en terme des dépenses mais aussi en terme de l’efficacité de ces dépenses.
L’Algérie et tous les pays de la région dépensent beaucoup pour l’éducation. Mais il faut faire en sorte que le système éducatif soit en adéquation avec ce que le marché du travail requiert sachant que ce marché est en train d’évoluer et que, donc, l’éducation ne doit pas être une éducation livresque mais une éducation qui permet une agilité et qui permet aux étudiants et élèves d’être formés pour la compréhension des choses plus qu’à la connaissance des choses.
Il faut que ces jeunes soient dans une situation de s’adapter aux différentes évolutions du marché du travail et aussi aux évolutions des nouvelles technologies qui sont un facteur fondamental dans l’économie mondiale ».
Dans ce sens, il soutient que le développement des nouvelles technologies est parmi les engagements de la BM dans la région MENA: « Le développement des nouvelles technologies est notre engagement dans la région Mena pour être non seulement une force d’accompagnement mais aussi une force de proposition et pour que ces nouvelles technologies ne soient pas pour la région un facteur de suivisme mais qu’elles soient un facteur pour plus de développement et de créativité ».
Pour ce qui est de la contribution de la BM dans la mise en oeuvre du Plan de développement de l’Algérie à l’horizon 2035, intitulé projet « Vision de l’Algérie à l’horizon 2035 », il a expliqué qu’il ne s’agit pas d’assistance mais plutôt de dialogue que la BM a ouvert avec le gouvernement algérien.
Selon lui, « cette relation que nous avons avec l’Algérie sur cette +Vision 2035+ est le reflet de la relation que nous avons avec l’Algérie d’une manière beaucoup générale. C’est véritablement un dialogue et un échange de vues.
Nous mettons à la disposition de la partie algérienne les analyses que nous avons faites ».
« Il est intéressant de voir qu’il y a une convergence de vues entre les nombreuses équipes de la BM et les interlocuteurs algériens que ce soit au niveau gouvernemental ou quand on élargit la conversation aux opérateurs du secteur privé qui voient dans cet exercice une manière de regarder le pays à travers un angle de modernisation et de réalisme, et ce, quand il s’agit de regarder ce que d’autres sont en train de faire et comment le monde est en train d’évoluer », insiste-t-il.
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Gambie – Algérie (Samedi à 17h30)
beIN Sports 2 (France)
beIN Sports 6 (Arabe)
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Une exposition de photographie d’art, dédiée aux artistes et à la création féminine dans plusieurs disciplines, et explorant différentes techniques de la photo, a été inaugurée jeudi à Alger par l’artiste Amel Dekar.
Intitulée « Fameuse, femme artiste », cette exposition se tient au Palais 17 du Centre des arts du Palais des raïs – Bastion 23, et regroupe une trentaine de clichés d’interprètes et musiciennes algériennes sur les différentes scènes en plus de plusieurs artisanes et plasticiennes à l’oeuvre.
Une première partie de l’exposition de Amel Dekar montre des artistes comme la chanteuse andalouse Lila Borsali, la diva du diwan Hasna El Becharia et sa fille spirituelle Souad Asla, en plus d’autres musiciennes particulièrement des orchestres andalous qu’elle immortalisé sur les différentes scènes algéroises.
Pour sublimer la prestance de ses modèles la photographe joue avec les lumières, le mouvements, les ombres et le cadrage pour ne sortir qu’un émotion de chaque photo.
L’objectif de Amel Dekar s’est également attardé dans les ateliers d’artistes plasticienne et d’artisane avec de petites collections dédiées à la peinture, à la sculpture, à la poterie, la bijouterie, ou encore à la céramique et aux arts graphiques.
dans cette collection qui réserve cinq cliché par discipline, la photographe omet volontairement de montrer l’artiste à l’oeuvre et se focalise toujours sur le processus de création et de fabrication des oeuvres particulièrement pour la poterie et la céramique.
Elle présente également une série de photos qui invite à la découverte de certains métiers en mettant en avant les matières premières utilisées, entre autres, dans la création de bijoux ou dans la céramique.
L’exposition « Fameuse, femme artiste » se poursuit jusqu’au 20 septembre au Centre des arts du Bastion 23.
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Le bilan de l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola est monté à 88 morts dans l’est de la République démocratique du Congo, où deux décès ont été enregistrés pour la première fois à Butembo, grand carrefour commercial d’environ un million d’habitants.
Les deux premiers cas de décès confirmés à Butembo, plaque tournante des échanges de la RDC avec des pays voisins comme l’Ouganda, sont une femme et un personnel soignant qui a été en contact avec elle, a indiqué jeudi le ministère congolais de la Santé. La femme avait fui Beni, une autre zone touchée à 50 km de Butembo, où elle « avait refusé de coopérer avec les autorités sanitaires après être tombé malade », ont détaillé les autorités sanitaires. Le ministre congolais de la Santé, Oly Ilunga Kalenga, s’est rendu jeudi à Butembo.
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Le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a affirmé jeudi à Souk Ahras que son département prendra en charge l’encadrement, le développement de la production et la transformation de la figue de Barbarie à travers le pays.
Présidant l’inauguration d’une unité de transformation de la figue de Barbarie dans la zone d’activités Chekaka, dans la commune de Sidi Fredj, le ministre a indiqué qur l’initiative de production et de transformation de ce fruit « nous amène à s’acquitter de la responsabilité de soutenir tous ceux qui s’engagent dans cette activité ».
« L’appui du département de l’agriculture à cette activité est lié à la valeur ajoutée qu’elle apporte à l’économie nationale, aux emplois générés et à la création d’un microclimat », a relevé Abdelkader Bouazghi qui avait reçu des explications sur la capacité de cette unité visant la production de 1.500 litres d’huile de figue de Barbarie et 400.000 litres de vinaigre extrait de ce fruit.
Le ministre qui avait présidé également l’ouverture du 2ème salon national de la figue de Barbarie, a souligné que les expériences menées par les premiers opérateurs engagés dans la transformation de la figue de Barbarie ont montré que 25 produits à utilisation médicale, cosmétique et en alimentation du bétail pouvaient être extraits de ce fruit.
Il a également invité les producteurs à s’organiser et à coordonner avec les diverses structures administratives et de recherche scientifique pour assurer le développement de cette activité.
Le ministre a suivi un exposé sur la culture de la figue de Barbarie dans cette wilaya qui occupe 8.120 hectares dont 6.200 dans la commune de Sidi Fredj assurant un rendement moyen de 105 quintaux à l’hectare.
Au siège de la Coopérative des céréales et légumes secs (CCLS), M. Bouazghi a salué les performances de la filière céréalière de la wilaya durant la saison 2017/2018 marquée par la collecte d’un million de quintaux contre 300.000 quintaux la saison précédente et de 16.000 quintaux de lentilles sur 94.000 quintaux collectés à travers tout le pays.
Le ministre a rappelé que la production céréalière 2017/2018 du pays a constitué un record « historique » avec 60,5 millions quintaux contre 34,7 millions quintaux enregistrés la saison dernière.
Les quantités de cette production collectées par les CCLS du pays a également atteint le volume record de 27 millions de quintaux « jamais atteint auparavant », a-t-il noté.
Le ministre a également rappelé les projets engagés par les pouvoirs publics pour augmenter les capacités de stockage des céréales par la construction de 39 nouveaux entrepôts d’une capacité globale de 8,2 millions quintaux dont 9 entrepôts confiés à une entreprise chinoise dont certains ont été déjà réceptionnés.
Le ministère de l’Agriculture, a ajouté son premier responsable, assure le suivi de cette opération afin que ces entrepôts soient opérationnels lors de la prochaine campagne moisson-battage.
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