Algérie 360

Dans une lettre adressée au chef de l’exécutif de wilaya de Constantine, les membres de la Coordination des comités de quartiers de la nouvelle-ville Ali-Mendjeli s’insurgent contre la lenteur des travaux de réhabilitation de plusieurs unités de voisinage et avertissent quant à l’octroi de poches foncières à des privés alors qu’elles étaient destinées initialement pour contenir des projets d’intérêt général.
En effet, une opération de mise à niveau ciblant 15 unités de voisinage (UV) de la ville Ali-Mendjeli a été décidée en 2017 avec une mise en exécution retardée malgré le caractère urgent de cette opération. Il s’agit d’une opération inscrite dans le cadre du plan d’aménagement de la ville Ali-Mendjeli qui s’étend sur plus de 1 500 ha, avec 20 unités de voisinage et trois extensions et dont le chantier de cette mise à niveau portera particulièrement sur l’aménagement des voies, la réalisation d’espaces verts, l’assainissement des réseaux d’évacuation et le ravalement des façades. L’étude de mise à niveau des unités de voisinage ciblées a été déjà élaborée et le projet a été confié, en exécution et suivi, à l’Etablissement de gestion urbaine de la ville Ali-Mendjeli. Selon la Coordination des comités de quartiers de la ville, le choix des UV devant bénéficié de cette opération n’a pas été fortuit, un travail d’évaluation de l’état des UV avait été mené sur le terrain et en concertation pour déterminer les besoins et les priorités.
Dans leur lettre, les auteurs reviennent également sur le projet de sécurisation de la ville des inondations inscrit dans le plan d’anticipation des risques majeurs et qui tarde à se concrétiser également, tout en recensant les différents problèmes auxquels font face les habitants de Ali-Mendjeli.
Pour rappel, une réadaptation du plan de l’assainissement pour la nouvelle ville Ali-Mendjeli a été préconisée pour prendre en considération le nombre de population qui ne cesse d’augmenter et la nature de la zone qui est traversée par un oued souterrain. Le ministre de l’Intérieur avait donné instruction pour orienter une enveloppe de 700 millions de dinars, initialement prévue pour la restructuration d’opérations AEP à Ali-Mendjeli, en vue de réaliser dans cette ville des galeries et des forages horizontaux, destinés à protéger le site urbain contre les inondations.
Ilhem Tir

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Le 9 juillet 2016 était inauguré à grand renfort médiatique le lancement du Steamboat Capitaine Morgan, le premier bateau dédié au transport maritime des voyageurs, chargé d’assurer le transport des voyageurs par voie maritime entre les ports d’Alger, Tipasa et Cherchell.
On nous avait alors déclaré que «le projet d’ouverture de deux lignes de transport maritime Alger-Tipasa et Alger-Cherchell figure bien au programme de raccordement, par voie maritime, des villes côtières du pays», ce fut l’euphorie.
Précisons dans ce contexte que c’était la ligne maritime Alger-Cherchell fut opérationnelle à partir du 15 juillet 2016 à la suite de la réception de deux bateaux monocoques d’une capacité de 350 sièges chacun, affrétés par l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) ; tandis que la ligne Alger-Tipasa avait pris du retard du fait des travaux engagés au port de Tipasa.
En 2016, lors des premières escales entre Alger et Cherchell, plusieurs citoyens ont manifesté leur joie à la faveur de cette période estivale, sachant que pour ces deux lignes, deux navettes étaient programmées tous les vendredi et samedi, tandis que le billet coûtait au passager 800 DA pour un aller simple.
Mieux, le privilège de ces dessertes consistait dans les programmes horaires adaptés et fixés à 8h30 et à 14h30 au départ du port d’Alger et à 11h30 et à 17h30 au départ du port de Cherchell.
Malheureusement, ces randonnées féeriques ne durèrent que le temps d’une saison estivale, car ces transports maritimes disparurent sans crier gare lors des années 2017 et 2018.
Quelles sont les raisons de cette disparition brutale ? Plusieurs rumeurs ont circulé à ce propos. La non-rentabilité, l’inadéquation des quais d’accueil et de transbordement des voyageurs, ainsi que d’autres raisons que le citoyen ignore.
Mais outre ces aléas, il y avait la ligne pilote port d’Alger-port d’El-Djamila, qui restait opérationnelle et exploitée depuis juin 2014, dont le prix du billet, subventionné par l’Etat, avait augmenté à 100 DA. Les citoyens surpris s’interrogeaient : «Pourquoi évoquer à cor et à cri le lancement mirifique d’autres lignes maritimes, à l’instar de l’ouverture de nouvelles dessertes reliant Alger à Jijel et à Cherchell, dans le cadre du programme estival de transport maritime urbain, par l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) ?»
L’inquiétude de ces citoyens allait au-delà de simples préoccupations : «On promet aussi l’ouverture imminente de la ligne Alger-Jijel, où il est prévu deux navettes quotidiennes (sauf dimanche) en passant par Azeffoun et Béjaïa, et ce, à partir de fin 2016 et début 2017, sachant qu’au départ d’Alger, les horaires étaient prévus à 9h pour arriver à Jijel à 15h30, et un départ à partir de Jijel à 8h pour arriver à Alger à 14h30.» Les prix des billets Alger-Jijel étaient alors prévus à 1 600 DA pour un aller simple contre 1 200 DA pour Alger-Béjaïa, 800 DA pour Alger-Azeffoun, 500 DA pour Azeffoun-Béjaïa, 800 DA pour Azeffoun-Jijel et 500 DA pour Béjaïa-Jijel. Deux bateaux ferries monocoques (Badji-Mokhtar II et Seraïdi), d’une capacité de 206 sièges chacun, étaient dédiés à ces dessertes.
Aujourd’hui, le citoyen reste dans l’expectative, car la ligne maritime Cherchell-Alger reste désespérément un vœu pieux pour ces voyageurs.
Houari Larbi

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Que n’a-t-on pas dit ou écrit, depuis des décennies maintenant, sur cette plaie béante et puante qui envenime la vie à une bonne partie des habitants de la ville de Mila, particulièrement ceux de la cité des 500 logements (Benredjem), Boutout et Bensalah ?
En effet, malgré les dénonciations par presse interposée, les requêtes et les pétitions adressées à qui de droit, par les habitants desdites cités, aucune oreille attentive à ces doléances n’a été prêtée, et ce, par tous les responsables qui se sont succédé, si ce n’est des promesses et rien que des promesses ! Brouhaha, klaxons, embouteillages, rixes et toutes sortes de nuisances sonores, dès l’aube, et tout ce qu’on peut imaginer comme désagréments causés par le déroulement d’un marché qui draine des dizaines de milliers de personnes, à savoir, immondices, détritus, cartons et sachets de tout genre jonchant les lieux, un décor apocalyptique qui se répète 2 fois par semaine, et 12 mois sur 12, qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il fasse un temps caniculaire, rien ne les arrête !
Ce marché, donc, continue à défrayer la chronique à Mila en raison de toutes les nuisances qu’il ne cesse d’occasionner, tant pour les riverains que pour l’environnement. Tentaculaire qu’il est, puisqu’il ne cesse de se développer anarchiquement dans tous les sens, ledit marché a fini par engloutir toute la partie nord-ouest de la ville, paralysant, du coup, tous les établissements étatiques situés dans cette zone et mettant, du coup, à rude épreuve des milliers d’habitants qui ne peuvent plus vaquer à leurs besoins, se déplacer ou parquer leurs véhicule qu’au prix de mille et une gymnastiques. Pourtant, des responsables en ont fait part et ont montré leurs préoccupations, comme c’est le cas de ce directeur du commerce qui, lors d’une session de l’APW il y a quelque temps de cela, a préconisé la délocalisation de ce marché et son transfert vers un endroit plus approprié, sa réduction à une seule fois par semaine, au lieu de deux et enfin, l’élaboration d’un cahier des charges conforme aux conditions édictées par le décret exécutif n°111/12 du 6 mars 2012, des recommandations qui sont restées lettre morte, tellement cela représente le dernier des soucis des responsables en charge et puis, il y a à boire et à manger dans ce genre de convention et tout le monde le sait, alors !
Comme ultime recours, les habitants attendent et espèrent un geste salutaire de la part du wali, monsieur Ahmouda Ahmed Zinedine, tout en le conviant à visiter les lieux, un jour de marché, pour voir de visu ce qu’ils endurent à longueur d’année !
A. M’haïmoud

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Encore une fois, les agents de sécurité employés chez la société de gardiennage AATS, qui exerce au profit du complexe avicole d’Aïn Lalaoui, sont entrés en grève pour dénoncer leurs conditions de travail.
D’après les représentants de ces agents qui se sont regroupés hier matin devant le complexe avicole d’Aïn Lalaoui, à 15 kilomètres à l’ouest de Bouira, dans l’espoir que les responsables de ce complexe intercèdent en leur faveur auprès de cette société de gardiennage, l’objet de protestation consiste en le non-respect de la société de gardiennage des conditions de signature des contrats puisque, selon eux, il leur est demandé de signer un document auquel ils n’ont pas accès pour comprendre ou connaître les termes du contrat. Une signature presque à blanc sous peine de se voir exclus ou refusé de signer un nouveau contrat.
Rappelons qu’au niveau de ce complexe, les 48 agents de sécurité ont déjà, par le passé, protesté contre les conditions de travail appliquées à l’intérieur de la société de gardiennage AATS en citant, entre autres, la non-régularisation de la situation des employés vis-à-vis de la Sécurité sociale, le non-paiement des salaires mensuels, des congés annuels, des allocations familiales, l’absence de certificats de travail et des ponctions sur salaires, etc.
Moins de six mois après cette dernière grève, les agents de sécurité se retrouvent face à un autre problème, celui de se voir proposer par la même société de gardiennage la signature d’un contrat à blanc, sans que ceux-ci ne sachent vraiment ce qui est écrit dans ces contrats. Tout refus, selon ces agents, est synonyme d’un non-renouvellement de contrat et donc, d’un licenciement qui ne dit pas son nom.
Y. Y.

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Entamée en retard puisqu’il fallait s’attaquer aux premières larves dès le mois de mars, la campagne de démoustication vient d’être entamée pour durer un mois à raison d’une vaporisation par jour avant de passer dès le deuxième mois à deux fois par jour.
L’Assemblée populaire communale de Relizane a, donc, réagi favorablement aux nombreuses doléances de la population qui n’arrive plus à dormir tranquillement à cause des attaques de nuées de moustiques. Mais, comme on le dit «il n’est jamais trop tard pour bien faire», ce traitement chimique va quand même éliminer des millions de ces culicidés y compris le dangereux moustique tigre dont la piqûre peut parfois transmettre un dangereux virus. Le moustique tigre qui a fait son apparition dans notre région est reconnaissable à ses rayures noires et blanches sur tout le corps ainsi que sur ses pattes. Il est plus petit qu’un moustique commun. Dans la plupart des cas, sa piqûre est bénigne, bien que ce moustique puisse être vecteur de diverses maladies comme la dengue, le chikungunya ou le zika. Généralement, le moustique s’attaque aux chevilles ou à des endroits sensibles de la peau. La gêne causée est très embêtante et pousse l’individu à se gratter sans cependant atténuer ses effets.
Plusieurs moyens naturels qui ont fait leurs preuves existent. On frotte une feuille de sauge et aussitôt, les démangeaisons disparaissent. Un massage à l’aide de parfum alcoolisé produit parfois les mêmes effets. Placez aussi une plante de basilic (hbak) sur les rebords des fenêtres et aux balcons pour éloigner ces suceurs de sang.
A. Rahmane

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Les autorités locales ont attribué dimanche 190 logements promotionnels aidés à l’entrée est de la ville de Jijel au profit des bénéficiaires dont 100 aux agents de la Sûreté de wilaya à l’occasion de la fête nationale de la Police, a-t-on appris auprès des services de la wilaya.

Le wali Far Bachir a affirmé, dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie d’attribution, en compagnie du président de l’Assemblée populaire de wilaya Hocine Brinet, qu’un quota de 800 logements de la formule LPA sera attribué avant la fin de l’année en cours. Il y a lieu de rappeler que le directeur de logement, M. Hachemi Rachedi, avait affirmé en mars dernier que depuis 2005, la wilaya a bénéficié de 69 751 logements toutes formules confondues dont 47 980 ont été achevés, 9 731 en cours de réalisation et 1 151 seront lancés avant la fin de l’année en cours. Les autorités locales ont inauguré, par ailleurs, dimanche, la polyclinique de l’ex-Village socialiste de Belghimouz relevant de la commune d’El-Ancer. Cette structure sanitaire qui était un ancien siège de la Garde communale a fait l’objet de travaux de réfection effectués par ladite commune dans le cadre du programme communal de développement.

Cet établissement sanitaire relevant de l’établissement public de santé de proximité de Sidi-Maârouf, équipé par la Direction de la santé et de la population, assurera la couverture sanitaire pour une population estimée à 6 500 habitants. Les autorités locales ont également inauguré la résidence du Grand Phare composée de 96 logements promotionnels dans la région de Kessir, relevant de la commune d’El-Aouana. Cette résidence de haute facture a été réalisée par le promoteur privé Boubata Rabah.
Bouhali Mohammed Cherif

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Par A.Z.

  Un accident tragique a eu lieu, tôt le matin de ce lundi 23 juillet, sur l’autoroute Est-Ouest, près du tunnel fermé de Djebel El Ouahch, où un homme a été, mortellement, heurté par un véhicule.

Les sapeurs-pompiers de l’unité secondaire «Sissaoui», et ceux du poste avancé «Boumaâza Abdelmadjid», sont intervenus, le lundi à 4h30, pour secourir une victime qui a été heurtée par un véhicule de marque Mercedes, conduit par un homme de 42 ans, signale un communiqué de la protection civile.

Hélas, ajoute la même source, la victime, un homme âgé de 32 ans, a été découverte morte sur place, selon le constat du médecin de la protection civile.

Une enquête a été ouverte par les services compétents pour déterminer les causes de cet accident. Le corps de la victime a été évacué à la morgue de l’hôpital de la nouvelle ville Ali Mendjeli, indique la même source.

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Selon le directeur de la Cnas, plus de 4 800 cartes Chifa ont été classées dans la liste noire au niveau des services de la Caisse pour usage illégal, pour utilisation abusive et usage par une tierce personne en plus de 5 800 dossiers de remboursement ont été rejetés pour non-conformité aux directives et aux recommandations de cette institution.
Le directeur a ajouté que ces comportements ont eu un impact négatif sur le bon déroulement des services de la Cnas et des charges supplémentaires qui deviennent des lourdes sur la Caisse en indiquant que le montant réclamé par les services concernés est estimé à plus de 5 millions de dinars. C’est pourquoi la Cnas de Khenchela a procédé à l’organisation de journées portes ouvertes sur le service qui chapeaute l’utilisation de la carte Chifa et ce, au profit du personnel de la Cnas, les journalistes, les représentants du Snapo et les pharmaciens conventionnés, les représentants de la Direction de la santé et les usagers de la Cnas de Khenchela.
Les thèmes abordés par les organisateurs de ces journées de sensibilisation et d’informations tournent autour de vulgarisation de l’information au niveau interne et externe par le biais des cadres de la Caisse et de la presse, la valorisation des rencontres avec les directions et les partenaires pour un travail adéquat.
Dans le même cadre, le directeur de la Cnas de Khenchela a rappelé au cours de ses interventions que l’usage de la carte Chifa est strictement personnel et ne peut en aucun cas être laissé à la disposition d’une tierce personne y compris les prestataires conventionnés avec la Cnas et que son utilisation par ces derniers entraîne directement la responsabilité de son propriétaire en indiquant que la Sécurité sociale est un droit acquis que nous devons préserver.
Benzaïm Abdelouahab

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Par Kadiri Mohamed

Attendue depuis de longues semaines, l’assemblée générale élective du CSA/USMBA s’est tenue finalement avant-hier dans le hall de l’OPOW du 24 Février 1956 avec pour ordre du jour l’élection d’un nouveau président de cette structure en prévision de la signature de la convention entre la SSPA et le CSA, comme exigé désormais dans le dossier d’engagement des clubs professionnels. Aussi, cela permettra la concrétisation du programme d’action du CSA, appelé à lancer de nouvelles disciplines sportives. C’est donc Morsli Abbes qui a été élu à l’issue d’une séance de travail marquée par une bonne organisation et un sentiment de sérénité, ce qui est de bon augure pour le club.

Pour rappel, ils étaient trois candidats au départ à postuler pour le poste de président, mais après le retrait de l’un d’entre eux, c’est Morsli qui a remporté les élections à bulletins secrets devant le second candidat. A noter que cette AG élective s’est déroulée en présence des membres de l’AG, d’un huissier de justice et d’un représentant de la DJS. Pour ce qui est de l’équipe, il est à noter que l’USMBA a bouclé hier son second stage en Tunisie avec une victoire en amical face au NAHD. Selon le staff technique, ce regroupement a été riche en enseignements et a permis aux joueurs d’améliorer leur condition physique. La cohésion du groupe et la discipline ont également été les points forts de ce stage.

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Par Chergui Abdelghani.

  C’est dans la salle de cinéma Dounyazad que s’est tenue l’assemblée générale élective du CSA/IRBM en présence du représentant de la DJS, des membres de l’AG et des sympathisants du club. Après vérification du quorum et des programmes des deux candidats, il a été procédé au vote à bulletins secrets, et c’est ainsi que le candidat Belkacem Abdelhalim a été élu président du CSA en remportant 20 voix contre 16 pour le second candidat Ouhssaine.

A noter que l’IRBM a connu durant la saison 2017/2018 la succession de deux directoires. Le nouveau président aura la lourde tâche de convaincre les créanciers à retirer leurs plaintes, afin de pouvoir gérer le compte bancaire du club qui est bloqué depuis la saison écoulée. Cela permettra à la direction d’aborder la préparation de la nouvelle saison sous de bons auspices.

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ar A. Mallem

  Finalement, le mur du silence imposé par les dirigeants du Hilal Baladiete Chelghoum Laïd dans le processus de préparation de la prochaine saison footballistique commence à se briser, car des informations se sont échappées du cercle restreint du président du club et de ses collaborateurs immédiats qui néanmoins prennent toujours le soin de ne pas divulguer le moindre détail en matière de recrutement. Cependant, nous avons appris en ce début de semaine que les dirigeants sont sur le point de conclure avec l’entraîneur sétifien Sahraoui Touhami pour lui confier les destinées de la barre technique de l’équipe.

Quant aux nouveau joueurs engagés par le président Boukoursi, nos sources disent que la dernière recrue du Hilal n’est autre que Aiche Yacine, un milieu de terrain qui vient du Mouloudia de Constantine (MOC). Aussi, pas moins de cinq autres éléments sont attenus pour signer leurs contrats, dont deux défenseurs. Rappelons que le HBCL avait déjà recruté, dans la plus grande discrétion, un gardien de but d’expérience au début de l’opérationrecrutement.

Quant à la situation financière du club, il semblerait qu’elle n’a pas évolué d’un iota. « Le Hill qui fait toujours face au problème du compte bancaire bloqué par les créanciers, n’a reçu aucun centime depuis trois saisons », nous a-t-on expliqué, et le président Boukoursi a encore une fois mis la main à la poche pour financer les recrutements et aussi la préparation, dont le lieu du second stage n’a pas encore été fixé.

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Par Khaled Boumediene

Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Ben messaoud, a annoncé, hier à Tlemcen, la tenue prochainement d’une rencontre nationale des agences du tourisme et de voyages sous l’égide de son ministère. L’annonce a été faite en présence du wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, du président de l’APW, Bekhechi Mohamed, des directeurs centraux du ministère du Tourisme et de l’Artisanat, et des cadres de l’entreprise de gestion touristique de Tlemcen (EGTT), par le ministre qui a présidé une rencontre régionale à l’hôtel « Les Zianides » avec les responsables des agences de tourisme et de voyages de l’Ouest, et les professionnels du secteur, et ce, en marge de sa visite de travail et d’inspection effectuée hier dans la wilaya de Tlemcen. M. Benmessaoud a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans le but d’«examiner toutes les doléances et points de vue quant aux contraintes et obstacles rencontrés dans la gestion de leurs structures privées, qui contribuent au développement du produit touristique national et à la promotion de la destination Algérie. Ces ateliers seront également une occasion d’ouvrir un large débat sur le rôle joué par ces agences qui doivent se battre comme de véritables partenaires pour engager une vraie renaissance du tourisme algérien ». Mettant en relief l’importance accordée à ce secteur dans le programme stratégique du président Bouteflika, le ministre a indiqué que « des moyens humains, matériels et financiers colossaux ont été mobilisés par l’Etat pour la relance de ce secteur, qui constitue le nouveau moteur de développement durable, de soutien à la croissance et de vecteur clé de la tertiarisation de l’économie en raison du potentiel de création de richesses, d’emploi et de génération de revenus durables en Algérie », soulignant dans ce contexte que grâce à la réalisation de nouvelles infrastructures hôtelières, la capacité d’accueil est passée de 30 000 à 250 000 lits actuellement. Il a, à ce titre, appelé les agences de tourisme et de voyages à prendre des initiatives pour attirer davantage de touristes vers Taghit, Béni-Abbes, Djanet, Ghardaia, Tougourt, Tamanrasset, Béchar, et vers nos villes du Nord pour des séjours de proximité. « Ne vous focalisez pas uniquement sur les opérations de Hadj et Omra ! Améliorez vos prestations touristiques ! Orientez-vous vers la proximité, favorisez de plus en plus la découverte de notre pays qui vit en sécurité et en paix, et qui recèle le bien-être, le calme et la nature ». De nombreuses questions ont été posées au ministre lors de cette rencontre par les responsables d’agences du tourisme et de voyages. L’on peut citer : la sécurisation des circuits touristiques, les procédures hôtelières quasi-absentes, la tarification des nuitées hôtelières, la mise à niveau de la ressource humaine activant dans le secteur et la formation des agents et guides touristiques, l’indisponibilité de paiement, la cherté des billets d’avion, la réduction de la durée d’octroi des visas pour les touristes étrangers et la révision du système fiscal imposé aux agences touristiques et de voyages. A noter que juste après cette rencontre, le ministre s’est enquis des travaux de réalisation d’une salle de conférences et de fêtes à l’hôtel « Les Zianides ». Selon le directeur général de l’EGTT de Tlemcen, Charef Houari, l’entreprise a bénéficié d’un crédit CPE d’un montant de 4 358 000,00 DA conformément à l’instruction du Premier ministre relative au financement de la modernisation des entreprises du secteur touristique. Ce Programme de modernisation et de rénovation des établissements hôteliers a été lancé fin de 2015 à travers le début des chantiers de deux hôtels « EL Forsane » à Saïda et « La Tafna » à Maghnia, qui connaissent un avancement de plus de 80 %. Par ailleurs, l’EGTT a conclu des contrats pour la modernisation de la station thermale de Hammam Boughrara (Bloc Thermal), Hammam Bouhanifia (balnéothérapie) et Hammam Bouhadjar (Balnéothérapie).

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Par A. E. A

Des dizaines de demandeurs de logements de type social, des quartiers de Aouinet El Foul, Souika, la Casbah, Bab El Kantara et la cité Emir Abdelkader, et d’autres ayant déposé des recours, se sont rassemblés, hier matin, devant la daïra pour relancer leurs cas auprès du 1er responsable de cette administration. Il s’agit, pour le social, de gens qui disent avoir déposé leurs dossiers, il y a 20 ans et plus, mais ne voient rien venir et ce, à l’instar d’habitants de la cité Emir Abdelkader et de Bab El Kantara, notamment, qui affirment ne pas se retrouver parmi les 2.500 noms de bénéficiaires affichés le mois de mai dernier. « On nous dit qu’une prochaine liste de 2.500 autres noms sera affichée, ultérieurement, mais rien ne garantit que nous y figurerons. Et nous sommes là, aujourd’hui, disent-ils, pour rappeler notre cas au chef de daira dans l’espoir d’être intégrés, dans la prochaine liste, à paraître », disent les concernés. Des habitants de Souika, racontent leur histoire qui ressemble, grosso modo, aux précédentes sauf qu’elles ont trait aux logements sociaux réservés à la vieille ville, dont un 1er quota de 1.762 appartements a été déjà distribué, mais ils ne se sont pas retrouvés parmi les heureux bénéficiaires. Et d’indiquer qu’ils font partie de la catégorie « des nouveaux mariés » qui vivaient avec leurs parents et qui ont été touchés par cette opération de relogement et qu’ ils en ont été écartés. « On nous a conseillé de faire des recours et c’est ce que nous nous sommes empressés de faire, notent-ils, mais sans résultat jusqu’à présent. Aussi et en considération surtout de l’existence d’un autre quota de 1.700 appartements destinés également, aux habitants de la vieille ville, nous sommes venus voir ce qu’il en est de nos recours », disent-ils. A signaler enfin, les cas d’habitants de Oued El Had et du bidonville «Miloud Arris» à Sidi Mabrouk inférieur qui affirment ne pas avoir bénéficié de relogement lors de l’opération de délocalisation ayant touché leurs sites, en juillet 2017. C’est depuis une année qu’ils sont près d’une vingtaine de familles à attendre que l’on tranche dans leurs recours. « Mais rien n’y fait, disent-t-ils, on nous demande plus de patience, à chaque fois ». Sans avoir pu voir le chef de daïra, les protestataires ont fini par se disperser.

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Par Rachid Boutlélis

  La hausse de la température et l’annonce des résultats du baccalauréat, qui a libéré les familles dont les enfants étaient candidats à ces épreuves, ont en quelque sorte actionné le coup de stater du rush vers les plages de la daïra d’Aïn El Turck. En effet, les axes routiers menant à cette partie de la wilaya d’Oran, où les embouteillages monstres se forment notamment au niveau de l’échangeur de la municipalité de Mers El Kébir, sont pris d’assaut par les automobilistes, venus d’Oran et de ses localités limitrophes. Du coup c’est une ambiance particulièrement chaude dans les deux sens du terme, qui s’est installée sur les plages de ce prestigieux littoral. Cependant, cette ruée estivale a fait ressurgir le sempiternel problème des solariums clandestins, avec tous les désagréments et autres contraintes, charriés par cette activité illicite. La grande majorité des estivants a été, cependant, surprise par l’accaparation de certains espaces par des solariums activant évidemment dans l’informel, sur les plages prisées comme à titre d’exemple le site des Andalouses et les lieudits «L’étoile» «La Grande» et Bomo Plage dans la commune de Bousfer, entres autres, ainsi que celles jalonnant la façade maritime de la municipalité d’Aïn el Turck. La police des plages appuyée par les éléments de brigades de la protection et de l’environnement, Pupe, de la Sûreté de daïra, ainsi que la gendarmerie, ont eu à rappeler à l’ordre les exploitants des solariums et ont procédé au démantèlement des baraques et autres tréteaux de fortune installés sur les plages. Les baraques et tréteaux illicitement installés, qui faisaient office de lieu de commerce proposant à la vente des produits alimentaires et autres sandwichs, ont également été ciblés par cette opération d’assainissement.

Toujours est-il que vraisemblablement afin d’éviter d’être confrontés à cette situation complexe, certaines familles ont préféré s’installer sur les espaces verts à l’orée des zones boisées cernant partiellement ledit littoral. L’annonce de l’annulation de cette activité saisonnière l’année précédente a suscité un grand ouf de soulagement des familles oranaises, qui ont manifesté leur consternation et leur courroux à propos d’un éventail de désagréments et de contraintes ayant gâché leur séjour au bord de la mer. Ce triste constat a été, rappelons-le, abordé l’année précédente à la même période par le représentant du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, lors d’une rencontre régionale consacrée aux préparatifs de la saison estivale de 2017, au niveau des 5 wilayas côtières de l’ouest du pays à, savoir Chlef, Mostaganem, Oran, Aïn Témouchent et Tlemcen. Le responsable a, en effet, fait remarquer que l’anarchie a régné en maître absolu sur les plages durant les précédentes saisons estivales.

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Fort d’une remarquable performance au salon aéronautique de Farnborough au Royaume-Uni, où Embraer a enregistré une récolte exceptionnelle de nouvelles commandes d’avions, l’E190-E2, la nouvelle génération d’avions Embraer, a visité Alger pour la première fois dimanche. L’avion de ligne le plus silencieux et le plus efficace au monde dans son segment, a accueilli un grand groupe de la communauté aéronautique algérienne pour un vol de démonstration pour présenter ses capacités.

Des représentants d’Air Algérie, de Tassili Airlines, de Star Aviation et de l’aviation locale ont été invités à vivre l’expérience de l’avion de ligne le plus récent et le plus silencieux sur le marché aujourd’hui. Le groupe comprenait également la délégation officielle de l’honorable ministre brésilien des Affaires étrangères, M. Aloysio Nunes, et l’ambassadeur du Brésil à Alger, M. Eduardo Botelho Barbosa.

« Le lancement de l’E190-E2 à Alger est une excellente opportunité pour Embraer de montrer cet avion révolutionnaire qui établit de nouvelles normes de rentabilité pour les compagnies aériennes et des niveaux de confort pour les passagers », a déclaré Raul Villaron, Vice-Président Afrique et Moyen-Orient au sein d’Embraer. « L’E190-E2 qui réduit la consommation de carburant de plus de 17% est parfaitement adapté pour fonctionner dans des environnements chauds et difficiles. Nous sommes prêts à soutenir Air Algérie dans son prochain programme de renouvellement de flotte, non seulement avec les meilleurs avions, mais aussi avec les solutions d’accompagnement pour lesquelles Embraer est si bien connu.  »

Depuis sa mise en service, la famille E-Jets a reçu plus de 1 800 commandes et plus de 1 400 avions ont été livrés. Aujourd’hui, les E-Jets volent dans la flotte de 70 clients dans 50 pays. La famille polyvalente de 70 à 150 places évolue avec des compagnies aériennes à bas prix ainsi qu’avec des transporteurs régionaux et principaux.

Photo: La communauté aéronautique algérienne accueille les nouveaux avions d’Embraer à Alger. L’E190-E2 est livré avec une teinte requin spéciale, en reconnaissance de l’approche prédatrice de l’avion à générer des profits pour les clients.

À propos d’Embraer

Embraer est une société internationale dont le siège social se trouve au Brésil,  active dans les secteurs de l’aviation commerciale et exécutive, de la défense et de la sécurité. La société conçoit, développe, fabrique et commercialise des avions et des systèmes, fournissant un soutien et des services à la clientèle.

Depuis sa création en 1969, Embraer a livré plus de 8 000 avions. Environ toutes les 10 secondes, un avion fabriqué par Embraer décolle quelque part dans le monde, transportant plus de 145 millions de passagers par an.

Embraer est le premier fabricant d’avions commerciaux avec une capacité pouvant aller jusqu’à 150 sièges. La société gère des unités industrielles, des bureaux, des centres de services et de distribution de pièces, entre autres, à travers les Amériques, l’Afrique, l’Asie et l’Europe.

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Par Hadj Mostefaoui

  Ils étaient plus d’une centaine de bénéficiaires de Logements Participatifs Aidés à prendre d’assaut le siège de l’OPGI ce lundi aux premières heures de la matinée. Selon de nombreux bénéficiaires que nous avons pu approcher devant le siège de cette structure, ils sont venus exprimer leur ras-le-bol et se sentent floués par les nombreuses promesses et engagements avancés par l’Office concernant les grosses réparations à effectuer sur ces 120 logements qu’ils viennent à peine d’occuper au début du mois de ramadhan dernier. De nombreux locataires nous ont déclaré qu’ils ont constaté une multitude d’imperfections dans les travaux, des murs de séparation fissurés, des salles d’eau qui fuient de partout, des caves inondées.

Plus d’une fois, poursuivent nos interlocuteurs, ils ont interpellé le responsable de cet organisme pour lui rappeler ses engagements mais peine perdue. Ne sachant plus où donner de la tête et après avoir épuisé toutes les voies de recours au niveau local, ils tentent une ultime démarche pour attirer l’attention des pouvoirs publics sur l’état de délabrement dans lequel se trouvent leurs habitations réceptionnées le mois de juin dernier. Ces 120 habitants de cette nouvelle cité ne décolèrent pas et envisagent même le recours au ministère de tutelle pour mettre fin à leur calvaire qui, disent-ils, ne fait que commencer. Plus de 40 locataires ont dû même abandonner leurs habitations en raison des risques d’effondrement des murs de séparation et des cloisons, soutiennent les concernés. Nous avons tenté de prendre attache avec les responsables de l’office pour des explications sur le sujet, mais en vain.

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Par Mohamed Belkecir

Le nouveau président de la cour de Mascara a été installé hier en présence des autorités locales, des avocats, des services de sécurité, des auxiliaires de justice et du représentant du ministre. M. Missouri Amara a été installé dans ses nouvelles fonctions en remplacement de M. Nedjar Mohamed. Il est à rappeler que le nouveau président de la cour était précédemment conseiller auprès du Conseil d’Etat.

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Par Naït Ali H.

Un homme est décédé, dimanche après-midi, par électrocution sur un poteau électrique au village d’Aït Arif dans la commune de Tirmitine (10 km au sud-ouest de Tizi Ouzou), indique la Protection civile dans un communiqué.

La victime (36 ans), qui travaillait pour le compte d’une entreprise privée de travaux d’électricité sous-traitante de Sonelgaz, s’affairait à des réparations sur le réseau. Alertés, les éléments de la Protection civile de Draa Ben Khedda sont intervenus pour dégager son corps et le transférer à la morgue du CHU de Tizi Ouzou.

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Par El-Houari Dilmi.

  Le film-documentaire a eu un écho des plus favorables jusque chez les professionnels du septième art à Alger et ailleurs. Produit par la société «Cinéma-Jeunes» de production cinématographique et de distribution audiovisuelle, le film-documentaire de 52 minutes réalisé par Noureddine Zerrouki et produit par son frère Abdelahim Hafez Zerrouki sur un texte de Noureddine Zerrouki et Mohamed Guendouz, retrace l’histoire multimillénaire du noble équidé dans une ville toujours considérée comme le berceau originel du meilleur compagnon de l’homme. Avec des prises de vue à couper le souffle réalisées dans la région de Meghila à Tiaret, au dernier salon national du cheval, au haras national de Chaouchaoua la plus grande jumenterie en Afrique ou encore au centre équestre «Emir Aek», le film-documentaire fait notamment un grand zoom sur le cheval barbe dont la population en baisse constante est estimée à 300.000 têtes dans tout le Maghreb. Les métiers du cheval figurent également en bonne place dans le documentaire à l’image de la sellerie, la ferronnerie ou encore la maréchalerie. Le micro du réalisateur Noureddine Zerrouki donne également la parole à deux grands spécialistes du noble équidé, représentés en la personne de Khaled Mihoubi, connu pour être le grand barde des Hauts-Plateaux de l’Ouest et Daoud Abed, considéré comme l’un meilleurs connaisseurs du monde équin. Le film-documentaire, projeté en avant-première à Alger, «sera enrichi avec l’introduction de la dimension ‘aspect anthropologique et historique chez le noble équidé’», nous explique son producteur et scénariste Abdehalim Zerrouki, qui travaille sur d’autres scénarios pour la production de courts métrages «pour peu que les moyens suivent», espère-t-il. A noter, enfin, que la société «Cinéma-Jeunes» s’est déjà distinguée au plan national et international avec le film long métrage «El Mehna» plusieurs fois primé en Algérie et à l’étranger.

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Par M. Aziza.

  La Fédération algérienne des consommateurs a demandé au ministère de la l’Agriculture de rendre publics les résultats de l’enquêté et des analyses, sur les nombreux cas de viande ovine putréfiée qui ont été enregistrés pour la deuxième année consécutive (l’an dernier) sur de nombreuses carcasses de mouton de l’Aïd El-Adha, à travers plusieurs wilayas du pays. Et ce, pour prendre toutes les précautions possibles afin d’éviter de rééditer le scénario des deux dernières années, où des citoyens avaient constaté que certaines parties des moutons sacrifiés, présentaient une coloration verte, ce qu’il les a poussés à jeter carrément leurs moutons sacrifiés, encaissant ainsi des pertes sèches, indique l’Association dans un communiqué parvenu à notre rédaction.

La Fédération a, ainsi, appelé les services vétérinaires du ministère de l’Agriculture, à redoubler de vigilance en renforçant le contrôle et en interdisant la vente libre des médicaments, sans ordonnances, émises par le vétérinaire lui-même. Il a été, aussi, exigé de contrôler l’alimentation fournie aux ovins ainsi que l’eau destinée au cheptel.

Sur ce point précis, les responsables de la Fédération ont beaucoup insisté sur une alimentation de qualité qui doit être mise à la disposition des animaux, en recommandant une alimentation naturelle pour l’engraissement des moutons. La Fédération a même exigé une vente des moutons avec des bons de la part des éleveurs pour assurer une traçabilité et pour situer les responsabilité, en cas de problèmes.

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