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APN : une plénière mercredi prochain pour élire un nouveau président

Mon, 10/22/2018 - 20:46

Le Bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN) a décidé, lundi, de tenir une plénière, mercredi prochain, pour l’élection d’un nouveau président de la chambre basse du Parlement, en remplacement de M. Said Bouhedja.

Il a été décidé la tenue, mercredi prochain, d’une séance plénière qui sera consacrée à l’adoption du rapport de la Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’APN, a déclaré à la presse, M. El Hadj Laib à l’issue de la réunion du bureau de l’APN qu’il a présidé, en sa qualité de doyen de l’Assemblée.

Il sera procédé ensuite à l’élection du nouveau président de l’APN, dont le poste avait été déclaré, la semaine dernière, vacant par le bureau de l’APN suite à la situation de blocage que connait l’instance législative et le gel de toutes ses activités depuis plusieurs semaines après que la majorité des députés (351) aient signé une motion de « retrait de confiance » au président de l’APN dans laquelle il ont exigé sa démission.

Le bureau de l’APN avait décidé également de saisir la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés afin de soumettre le rapport relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’Assemblée dans un délais n’excédant pas « une semaine ».

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Categories: Afrique

Energies renouvelables : Près de 2.000 MW seront produits d’ici 2020

Mon, 10/22/2018 - 20:16

ALGER – La production énergétique à partir de sources renouvelables devrait atteindre près de 2.000 Mégawatts (MW) d’ici 2020, grâce notamment à l’implication du groupe Sonatrach dans le développement de ces énergies, a indiqué lundi à Alger le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni.

« Le groupe Sonatrach vient d’adopter les énergies renouvelables dans sa stratégie comme moyen de développement au cœur de la transition énergétique, en mettant en œuvre un programme au niveau des sites industriels du secteur, visant à couvrir 80% des besoins des sites pétroliers », a déclaré M. Guitouni lors d’une rencontre avec les investisseurs sur l’appel d’offres des 150 MW.

Sonatrach sera ainsi leader de la production des énergies renouvelables en réalisant une capacité de 1.300 MW, selon le ministre.

Ajoutant les 343 MW installés au niveau des centrales existantes actuellement, les 150 MW prévus dans le cadre du prochain appel d’offre destiné aux opérateurs nationaux ainsi que les projets pris en charge par Sonelgaz, les capacités installées par Sonatrach contribueront à augmenter la production globale des énergies renouvelables en Algérie à près de 2.000 MW à l’horizon 2020.

Ces projets s’inscrivent dans le cadre du programme national des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, initié en 2011 et mis à jour en 2015 et qui cible la réalisation d’une capacité globale de 22.000 MW d’ici 2030.

Le ministre a souligné, dans ce sens, que ce programme qui « confirme le choix de valorisation optimale et de diversification des ressources énergétiques de l’Algérie » est conditionné par les capacités à faire émerger une industrie locale de fabrication des équipements pour les centrales photovoltaïques, « performante, compétitive et associée à des moyens de réalisation efficaces ».

« La transition énergétique visée par l’Algérie ne se limite pas à diversifier le bouquet énergétique destiné à la satisfaction de la demande nationale en électricité.

Elle constitue également une opportunité historique pour un développement planifié et maîtrisé du tissu industriel national par l’émergence de nouvelles filières dédiées aux équipements des énergies nouvelles et renouvelables », a noté M. Guitouni.

Mettant en exergue les retombées du développement de ces nouvelles filières, le ministre a précisé que la mise en œuvre du programme des énergies renouvelables permettra de créer près de 700.000 postes d’emploi direct et indirects couvrant toutes les parties de la chaîne de valeur.

Lancement de l’appel d’offres des 150 MW avant la fin décembre

A propos de l’appel d’offres par voie de mise aux enchères des 150 MW en solaire photovoltaïque, le ministre a affirmé qu’il sera lancé avant la fin décembre prochain, après l’intégration des recommandations faites par les opérateurs concernés, suite aux larges consultations menées depuis juillet dernier.

Il a renouvelé, à cet effet, son appel aux investisseurs locaux à participer dans cette opération « d’intérêt national » qui représente une phase pilote qui va ouvrir la voie au dépoilement à grande échelle des énergies renouvelables en Algérie.

Commentant les étapes et procédures à faire pour investir dans ce domaine, M. Guitouni a promis de fournir tous les efforts pour dépasser les contraintes rencontrées afin de réussir ce premier appel d’offres.

« Pour certain d’entre vous c’est un parcours de combattant. Mais soyez sûrs que la procédure va être simplifiée davantage. Avancez, n’ayez pas peur, l’Etat est là pour vous accompagner » a-t-il avancé devant les investisseurs présents dans cette rencontre organisée par la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (CREG).

Interrogé par la presse sur « le retard » accusé dans l’avancement du programme des énergies renouvelables, le ministre a expliqué que les conditions notamment celles liées aux tarifs d’électricité produites à partir de sources renouvelables, n’était pas en faveur du lancement effective de ce programme.

« Il ne s’agit pas d’un retard, c’est une décision qui prend en considération nos capacités financières. Le cout de production était très élevé. Maintenant que le différentiel entre les prix de l’électricité classique et ceux du renouvelable s »est réduit, nous pensons que c’est le moment opportun pour lancer les appels d’offres », a-t-il souligné.

Sept localités pour accueillir les centrales photovoltaïques de 150 MW

De son coté, le président du comité de direction de la CREG, Abdelkader Choual a assuré que la commission de régulation sera « à l’écoute des opérateurs pour régler leurs problèmes de manière rapide et efficace ».

A noter que l’appel d’offre des 150 MW est destiné aux investisseurs nationaux, publics ou privés, seuls ou en partenariat, souhaitant investir dans les domaines de la construction et l’exploitation de centrales électriques photovoltaïques.

Les investisseurs qui seront attributaires de projets prendront en charge également la réalisation des installations d’évacuation de l’énergie produite et de raccordement de ces centrales aux réseaux électriques, ainsi que la commercialisation des quantités d’énergies produites.

La réalisation de centrales solaires photovoltaïques devra se faire exclusivement par l’utilisation des équipements fabriqués localement.

Le soumissionnaire devra ainsi faire ressortir dans son offre le taux d’intégration locale par rapport au cout d’investissement global (hors cout de location du terrain).

Il doit justifier, en outre, une expérience dans la réalisation, l’exploitation et la maintenance de projets industriels et dans la mobilisation des capitaux propres et des emprunts.

Cet appel d’offres porte sur la réalisation de sept (7) centrales situées dans les régions agricoles du sud du pays, afin de couvrir les besoins énergétiques des activités des opérateurs dans ces localités à fort potentiel agricole.

Il s’agit des localités de Nezla (10 MW), Meggarine (10 MW), Belhirane (10 MW) à Ouargla, de Tendala (10 MW) et Nakhla (10 MW) à El Oued, de Diffel (50 MW) à Biskra et de Guerara (50 MW) à Ghardaïa.

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Categories: Afrique

Bedoui : « Il est temps de revoir et d’améliorer les axes de la politique nationale de prévention des risques majeurs »

Mon, 10/22/2018 - 20:01

Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, lundi à Alger, qu’il était temps de revoir et d’améliorer les axes de la politique nationale de prévention des risques majeurs et de gérer les catastrophes dans le cadre du développement durable.

A l’ouverture des travaux de la rencontre nationale sur la gestion des risques de catastrophes, organisée sous le slogan « Pour une plus grande capacité de résilience », M. Bedoui a indiqué qu' »il faut, lors de cette conférence, rappeler que le renforcement et l’actualisation des programmes d’action dans ce domaine impliquent toutes les institutions nationales, les collectivités locales et toutes les parties concernées, car il s’agit là d’une question d’une extrême sensibilité ainsi que de la préparation morale, matérielle et opérationnelle d’un bon accompagnement lors de la survenue d’un grave incident aux conséquences désastreuses, en raison d’une négligence, d’un comportement inapproprié ou d’un manque de préparation ».

Il s’agit également « de réunir tous les responsables et toutes les parties concernées à cette conférence pour relever le niveau de prise de conscience et de mobilisation afin d’être au diapason, de définir les responsabilités et emprunter une voie claire afin de consolider les capacités de résilience de notre pays face aux catastrophes », a-t-il ajouté.

L’Algérie, qui a participé à toutes les conférences régionales et internationales, a adopté toutes les décisions et engagements et a veillé à leur mise en oeuvre, « oeuvre à consolider le cadre législatif et règlementaire et mettre en place une base institutionnelle élargie au niveau local.

Cela intervient parallèlement aux campagnes de sensibilisation et d’autres actions ayant conforté les capacités de notre pays en matière d’études et de recherches et consolider la relation entre les experts et les décideurs à tous les niveaux, outre les moyens d’observation assurés, la décentralisation de la gestion des risques de catastrophes, la numérisation des plans d’intervention et les programmes inscrits dans le cadre du renforcement de la capacité de résilience », a-t-il dit.

Pour ce qui est de la phase actuelle, M. Bedoui a indiqué que « toutes les institutions concernées par l’action sur le terrain oeuvrent à l’insertion de la gestion des risques des catastrophes dans le code des collectivités territoriales en tant que mission principale à même de bénéficier d’un financement permanent, en vue de gérer les risques de catastrophes. Il s’agit également, a-t-il poursuivi, de renforcer la cohésion et la coordination sectorielle, de définir les responsabilités au double plan national et local et d’introduire le contrôle dans le financement de la gestion des risques ».

En dépit des réalisations et programmes élaborés dans ce domaine, le ministre a soutenu que les « développements qui surviennent sur tous les plans et dans tous les domaines nous incitent activement à renforcer, à actualiser notre législation et à l’adapter en permanence aux normes en vigueur à l’échelle mondiale », exprimant « sa disposition à mener cette action avec détermination, car notre pays qui a connu beaucoup de difficultés, crises et catastrophes dans plusieurs domaines, en est sorti, comme à chaque fois, indemne grâce à la sagesse du président de la République, ainsi qu’aux capacités morales et moyens matériels et humains du pays notamment scientifiques ».

M. Bedoui a mis en exergue les « efforts consentis en matière de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme à travers la mobilisation de l’Armée nationale populaire (ANP), des corps de sécurité et de tout le peuple algérien pour éradiquer le terrorisme et faire face à l’extrémisme, notamment à la faveur de la politique de réconciliation nationale ». Il a dans ce contexte salué le « rôle humanitaire important accompli lors des catastrophes par l’ANP et les éléments du corps de la Sûreté nationale et de la Protection civile qui font preuve d’un grand professionnalisme sur le terrain avec la reconnaissance du monde entier ».

S’agissant de cette rencontre, première du genre, le ministre a affirmé qu’elle se veut « une halte importante et un terreau fertile pour cristalliser la nouvelle vision de la politique nationale de prévention des risques majeurs, au regard des nouveaux défis », rappelant que « la multiplication des catastrophes dans les années 80 avait incité les autorités publiques à prendre les premières mesures en vue de mettre en place et consolider, graduellement, le système national de prévention, à travers l’adoption de deux décrets qui constituent la base juridique et institutionnelle actuelle ».

« Le président de la République avait, lors de la visite effectuée sur le terrain pour s’enquérir de la situation, suite au séisme de Boumerdes en 2003, donné des instructions en vue de mettre en place une politique nationale solide visant une protection plus efficace des citoyens et de leurs biens  » a rappelé M. Bedoui, mettant en avant la promulgation de la loi 04-20 relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable et d’autres textes d’application.

En dépit de la promulgation d’un nombre de textes règlementaires prévus par la loi 04-20 et d’autres mesures prises par les institutions nationales et certaines parties concernées, un grand retard est accusé en matière d’élaboration de textes règlementaires exécutifs, a relevé le ministre, soulignant l’importance de prendre des mesures urgentes et efficaces pour faire face à ce genre de situations notamment avec les prévisions des experts faisant état d’une accélération du rythme des changements climatiques ».

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Oran /Oued Tlélat: Les eaux pluviales envahissent la nouvelle cité causant des dégâts matériels

Mon, 10/22/2018 - 15:46

Écrit par Jalil Mehanne

Les habitants d’Oued Tlélat ont vécu un véritable moment de panique jeudi dernier quand des pluies se sont abattues sur la localité. En effet, le côté est a été le plus touché et Les cités réalisées ces dernières années ont été envahies par les eaux, créant ainsi une véritable surprise chez les habitants.

Des véhicules ont été emportés par les eaux et les riverains sont restés coincés dans leurs appartements, notamment ceux des cités 400 et 700/Logements, habités par des familles relogées de Sidi El Houari et Medioni, ainsi que les alentours du nouveau siège de la Sûreté de la daïra, situé à la sortie Est de la localité, sur le chemin menant vers Sig. Mais les questions qui se posent comment des cités réalisées, il y a quelques années, peuvent être envahies par les eaux ? Est-ce qu’on a réalisé ces projets sans plan d’évacuation des eaux ou bien les calculs étaient faux ? Est-ce que ces cités ont été réalisées sur une zone inondable ? Sur les causes de ces inondations, les habitants de la localité, eux, étaient unanimes sur les réseaux sociaux : « Le lit de l’oued a été recouvert pour permettre la réalisation de logements, le drainage ne s’effectue pas normalement et les cités ont été envahies par les eaux », dira un internaute. «Alors que les services concernés effectuaient le curage de l’oued qui passe au cœur de la localité, un autre oued «oublié» vient de se réveiller », dira un autre.

Le wali d’Oran Mouloud Chérifi organisait une réunion au siège de la wilaya qui a regroupé les services concernés pour prendre les mesures nécessaires suite aux dernières pluies qui se sont abattues sur Oran où les mêmes points noirs sont apparus, à l’instar du rond-point de palais d’Or et la zone des showrooms. La catastrophe évitée à Oued Tlélat est une nouvelle sonnette d’alarme pour les services concernés. Maintenant, il ne faut pas penser uniquement à éviter à la ville d’Oran des inondations mais également les autres communes ; le risque est grand et le chantier est immense. Après Sidi Chahmi et El Braya, à présent c’est Oued Tlélat. Faire face aux inondations, comme celles de jeudi dernier nécessite un plan, une étude et une enveloppe financière pour que les scènes de jeudi dernier ne se reproduisent pas.

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Belgaïd: Une cinquième station de transport prévue

Mon, 10/22/2018 - 15:42

Oran s’apprête à l’organisation du grand rendez-vous des jeux Méditerranéens 2021, ce qui nécessite de revoir le transport dans la capitale de l’Ouest, vital pour chaque grande ville. Dans ce cadre, la direction des transports de la wilaya d’Oran

va réaliser une cinquième station urbaine à Belgaïd, à l’est de la ville. Cet endroit a enregistré une grande expansion urbanistique ces dernières années mais, également, la présence d’un pôle universitaire de plusieurs résidences. Belgaïd est également le point de liaison de la ville avec la Corniche, notamment Kristel et Aïn Franine, mais également la R11 qui mène à Gdyel, Arzew et la wilaya de Mostaganem. Cette cinquième station urbaine, selon le directeur des transports de la wilaya d’Oran Rezzoug Mokhtar, entre dans le cadre des efforts de la Direction pour restructurer le transport à Oran. L’objectif principal est de mettre en service les 5 stations urbaines et de les relier avec des lignes urbaines et suburbaines, en vue de mettre fin à l’anarchie, mais également fluidifier une circulation déjà difficile avec le grand nombre de bus, circulant quotidiennement dans le tissu urbain. Les stations d’El Bahia, hai Sabah, El Morchid, USTO et la future station de Belgaïd sont appelées à jouer un rôle primordial dans la future vision du transport à Oran dans le cadre du plan de transport. J. M

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Tissemsilt: La wâada de Sidi Abderrahmane, des traditions qui défient le temps

Mon, 10/22/2018 - 15:35

La wâada de Sidi Abderahmane, organisée, depuis vendredi soir, dans la région de Mekhaldiya, dans la commune de Lardjam, dans la wilaya de Tissemsilt, est un rendez-vous incontournable pour les habitants de la région car, synonyme de traditions, de retrouvailles et d’élan de solidarité et de fraternité.

Cette manifestation, désignée par la population de la région, sous le nom de wâada Arch Mekhaldiya, se caractérise par une fantasia assurée par des cavaliers venus de différentes wilayas, de spectacles folkloriques et du jeu traditionnel du « matrag » (combats à l’aide de bâton), au grand plaisir des milliers de spectateurs et de convives. A son arrivée à Mekhaldiya, le visiteur sera agréablement surpris par le déploiement des tentes dressées par les descendants du saint patron Sidi Abderrahmane, venus de plusieurs wilayas pour veiller tard dans la nuit et préparer les plats de couscous à tous les invités et voyageurs de passage. Cette wâada est une occasion pour les retrouvailles et les rencontres des proches et des membres de ce arch comme elle constitue une opportunité pour régler les différends et conflits. Des «halqate» collectives de récitation du Saint Coran sont aussi organisées en présence des notables du arch de Mekhaldiya, des imams, des récitants et autres. Cette fête populaire est une autre occasion pour les artisans locaux et les marchands ambulants venus des wilayas de Relizane, Tiaret et Chlef pour écouler leurs produits. La wâada est également un lieu de rencontre pour les gouals et les poètes du melhoun, avec leur public qui les écoute avec ferveur, tout en sirotant un thé préparé sur la braise. Un descendant du saint patron Sidi Abderrahmane et natif de Mekhaldiya, Hamid Belais, a souligné que cette « fête populaire est un rendez-vous annuel que les membres du arch tentent de célébrer pour préserver les coutumes ancestrales et faire connaître la générosité des populations locales ». Cette manifestation, qui a été clôturée samedi soir, a drainé des foules de citoyens venus des wilayas de Tissemsilt, Relizane, Aïn Defla, Tiaret, Mascara, Mostaganem, Blida, Alger et Chlef, rappelle-t-on.

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Relizane: L’association El Amel poursuit son soutien aux enfants et aux femmes diabétiques

Mon, 10/22/2018 - 15:30

Écrit par E. Ouail

Permettre aux enfants et aux femmes diabétiques d’améliorer leur quotidien et de mieux gérer leur maladie sont les objectifs escomptés d’une journée de sensibilisation, organisée samedi matin par l’association El Amel des diabétiques de la wilaya de Relizane, que préside Nour Eddine Boucetta depuis sa fondation.

Selon le même responsable, pour cette formation socio-sanitaire, pas moins de 30 séances de soutien psychologique et d’éducation nutritionnelle ont été dispensées durant les mois de novembre et décembre de l’année écoulée, en direction de plus de 350 enfants diabétiques scolarisés (type 1 et 2). Des cadeaux symboliques ont été offerts à ces chérubins, ne serait-ce que pour leur redonner le sourire et leur remonter le moral afin de pouvoir combattre ce mal, à la fois dangereux et silencieux. D’autres assises psychologiques ont été assurées par la psychologue de l’association, Madani Faoutih K. au profit d’une quinzaine de femmes diabétiques des deux types afin de leur permettre d’améliorer l’image de soi et de vivre le plus normalement du monde avec leur maladie. Le médicament à temps, la pratique du sport et le régime alimentaire équilibré sont les trois piliers d’une vie saine avec le diabète. Durant l’année écoulée, cette structure caritative de prise en charge des diabétiques et des autres malades chroniques démunis a assuré de nobles prestations de service, notamment l’octroi à ses adhérents de l’un des médicaments d’une valeur de plus de cent millions de centimes.

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Pour tenter le débat sur la relance du secteur : Le collectif «Cinéma» en champ de bataille

Mon, 10/22/2018 - 15:28

Écrit par Fadila Djouder

Le collectif des producteurs algériens a dévoilé hier, lors d’une conférence qu’il a animée à Alger, le contenu d’un document envoyé au Premier ministre en décembre 2017, portant des idées pour assainir et relancer le cinéma algérien. Une correspondance qui n’a reçu aucune réponse. Le collectif a également exposé la situation alarmante du cinéma algérien et la dégradation  qu’il subit de plein fouet, mais aussi les solutions qu’il propose pour une véritable relance de l’industrie cinématographique en Algérie.

Le collectif « Cinéma, vecteur de plaisir, de modernité et de développement », a réitéré son appel au gouvernement pour la mise en place de mesures, de mécanismes et de réglementations pour assurer l’existence industrielle, professionnelle et commerciale du 7e art. Le réalisateur et producteur Belkacem Hadjaj, membre de ce collectif qui compte une dizaine de producteurs, a insisté, lors de son invention, sur la formation, une priorité selon lui, appelant ainsi à un partenariat avec les grandes écoles étrangères pour un encadrement de haut niveau pour toutes les spécialités du cinéma.  Et d’exprimer le vœu de voir un institut supérieur national pour la formation dans les métiers du cinéma créé. Il a  ainsi abordé dans son intervention les points essentiels que contient le document envoyé au Premier ministre, en mettant en exergue l’importance capitale de la formation  pour une véritable politique de la relance du cinéma en Algérie.   «A l’heure actuelle, le secteur est complètement pollué par les gens qui n’y connaîssent rien. La dégradation du secteur fait que les personnes qui ne connaîssent rien au domaine se voient attribuer des projets sans qu’ils soient formés pour les mener à bien», a-t-il  affirmé. Expliquant ainsi
qu’ «il reste encore des efforts à faire concernant les écoles de formation ». « Les jeunes ne trouvent pas où apprendre le métier, les formations à l’étranger ne sont pas évidentes. C’est pour cela qu’il est important de revoir  la politique de la formation  dans les métiers du cinéma», dit-il.
Appel à la transparence dans la gestion du  Fdatic
Le deuxième point abordé  par le réalisateur est le financement du Fonds de développement de l’art, de la technique et de l’industrie cinématographiques (Fdatic) en déclarant que «nous considérons qu’il doit exister une réelle refonte du Fdatic et une transparence dans sa gestion. Il  est anormal qu’il  n’y ait pas de professionnels parmi ses membres pour défendre les intérêts de la profession». Il  confie dans ce sillage : « Par moments,  j’ai honte d’être un producteur ou un réalisateur en Algérie, la situation du cinéma se dégrade d’année en année. C’est ce qui pousse notre collectif à agir. Il s’agit au moins de sauver l’honneur de la profession en se regroupant. Car nous avons constaté que dans ce pays, malheureusement, l’organisation de la société civile est extrêmement complexe et difficile». L’intervenant, qui parle au nom du collectif des producteurs, ajoute : «Nous avons décidé de nous mettre dans un petit groupe et de commencer à travailler ensemble sur notre position face à cette alarmante situation et fixer nos objectifs.  Cela fait quelques mois qu’on se voit pour réfléchir ensemble. Très vite, nous avons senti le besoin d’élaborer une plateforme dans laquelle nous avons proposé au gouvernement un certain nombre de points comme pistes de réflexion pour faire bouger un peu les choses et surtout la situation du cinéma.»
Par ailleurs, M. Hadjadj est revenu sur «les problèmes profonds que vit le cinéma qui doivent être résolus dans un cadre interministériel ». Et d’expliquer : « Le ministère de la Culture, avec le peu de moyens qu’il a, ne  nous  mènera  nulle part […] Nous avons alors envoyé notre plateforme au Premier ministre, malheureusement à ce jour, nous n’avons reçu aucune réponse ».

Un cri de détresse sans réponse du gouvernement

Pour sa part, Lotfi Bouchouchi a annoncé que «ce collectif a commencé à se réunir et à réfléchir depuis un an et demi ». «  Notre initiative est en soi un cri de détresse, afin d’alerter sur le marasme de notre profession et la précarité dans laquelle se trouve le cinéaste algérien et c’est un cri d’espoir en même temps, car cette situation n’est pas irréversible parce que nous avons des capacités d’aller de l’avant et de faire de notre cinéma une économie,  une industrie ou encore une parole de l’Algérie à l’étranger ».
«Notre initiative n’a pas la prétention de proposer des solutions clefs en main, le travail sera de très grande haleine. Il y aura des aboutissements que si le gouvernement pèse de tout son poids pour faire bouger les choses  et que les professionnels jouent le jeu de la disponibilité et du don de soi sur plusieurs années, voire des décennies».
Ainsi, selon M. Bouchouchi, «le problème qui se pose dans le cinéma, c’est que tout est à refaire ». « Il faut un plan d’ensemble, nous ne pouvons pas attendre que les gens soient formés pour faire du cinéma. S’il y a une volonté politique,  le travail peut commencer. Et on est conscient qu’il faut au moins une décennie pour commencer à voir les fruits de ce travail ».

Plateformes de solutions pour une démarche positive
De son côté, Ahmed Rachedi a déclaré que  « notre démarche se veut positive ». « Nous voulons  une véritable avancée et organisation du cinéma en dehors des conflits personnels. Nous voulons défendre notre droit d’exister et c’est notre devoir de le faire».
A propos du Fdatic,  il ajoute que  «ce qui se passe ailleurs dans les mécanismes d’aide sont des avances sur recettes et non des concours définitifs ».
En ce qui le concerne, le jeune réalisateur Jaber Debzi  estime,  à son tour, que «nous sommes dans l’esprit de collaboration constructive, nous ne sommes pas là pour dire que ce qui a été fait par le passé et ce qui est en train de se faire actuellement ne vont pas dans le bon sens.
Mais ce n’est pas assez, et nous pouvons faire mieux » !  Il a également fait savoir qu’avec «les capacités financières  et les  ressources humaines dont dispose notre pays,  c’est tout à fait possible de se hisser au niveau des majors américaines ou européennes. Mais pour cela, il faut une réelle volonté politique et c’est au gouvernement de prendre cette décision. Nous, nous sommes là à leur service». Et de poursuivre : «L’Algérie a un parc de salles très important, alors que beaucoup d’autres pays n’ont pas cette chance. On doit savoir surfer sur ce que nous avons déjà et travailler pour améliorer  nos acquis pour développer une réelle industrie du cinéma».

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Tunisie: Ghannouchi chargé de mener des consultations pour «surmonter la crise»

Mon, 10/22/2018 - 15:27

Écrit par selma allane

Le président du mouvement tunisien Ennahdha, Rached Ghannouchi, a été chargé par le conseil de la Choura du mouvement de mener des consultations avec le président de la République et le chef du gouvernement ainsi qu’avec toutes les personnalités,

partis et organisations pour dégager un consensus à même de surmonter la crise actuelle, a annoncé le président du conseil, Abdelkarim Harouni. «Ennahdha n’est pas un protagoniste de la crise actuelle que vit le parti Nidaâ Tounes et qui a influé sur la relation entre la présidence de la République et la présidence du gouvernement ainsi que sur le Parlement», rapporte dimanche le site officiel du mouvement Ennahdha citant une déclaration de  M. Harouni. Il a souligné le «souci» du mouvement Ennahdha «d’être un des éléments de la solution en rapprochant les points de vue et en parvenant par le biais des consensus à un règlement de la crise dans le respect de la Constitution». Ce responsable s’exprimait ainsi à l’issue de la 23e session du Conseil de la Choura du mouvement Ennahdha, tenue avant-hier samedi, dans les locaux du parti, à Tunis. Selon M. Harouni, le conseil de la Choura a réaffirmé «le souci de négocier et se concerter avec le chef du gouvernement pour préserver la stabilité gouvernementale et clarifier son programme pour le reste du mandat jusqu’à 2019». «Le conseil s’est prononcé également pour la nécessité de réunir les conditions de réussite du processus de transition démocratique, à commencer par l’Instance supérieure indépendante des élections, la Cour constitutionnelle, l’adoption de la loi de finances de l’année à venir et la bonne préparation des élections de 2019», ajoute le président du conseil de la Choura.

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Saisie de devises à l’aéroport d’Alger

Mon, 10/22/2018 - 15:18

La DGSN annonce dans un communiqué que les services de la police des frontières de l’aéroport d’Alger ont déjoué une tentative de transfert illégal de 48.350 euros et 25.600 dollars qui étaient en possession d’un ressortissant étranger en partance pour Doha au Qatar.

L’argent  était dissimulé dans la valise du ressortissant étranger. Ce dernier a été présenté devant le procureur de la République.

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Lynda Chouiten inaugure le «Café littéraire et culturel Média-Plus»

Mon, 10/22/2018 - 15:12

Le Café littéraire et culturel Média-Plus a invité, samedi dernier pour sa séance inaugurale, la romancière et universitaire Lynda Chouiten, venue présenter son premier ouvrage «le Roman des Pôv cheveux», édité en 2018 aux éditions El Kalima.

Né de la collaboration entre les éditions Médias-Plus et l’Institut français (IF) de Constantine, le «Café littéraire et culturel Média-Plus» a été étrenné par la finaliste du prix Mohamed-Dib 2018, Lynda Chouiten, venue débattre de son premier ouvrage, le très drôle et non moins fascinant «le Roman des Pôv cheveux» et répondre aux questions des amoureux de littérature et de ses lecteurs. Touchant, drôle, satirique ou encore allégorique, les qualificatifs ne manquent pas, en effet, pour décrire ce roman qui est raconté par les cheveux des personnages principaux. Pour Lynda Chouiten, la trame de son œuvre commence lorsque «Pôv’cheveux» tombe dans la soupe d’une élégante dame. Il est chassé comme un moins que rien du restaurant chic où travaille son propriétaire. Débute alors pour lui un long chemin de croix dans la capitale française, où il fait la connaissance d’autres Cheveux déchus.  Ainsi, à travers les récits de tous ces «personnages capillaires», le livre est une invitation à la réflexion sur des problématiques contemporaines telles que l’ascension sociale, le déracinement, le racisme et la condition féminine, a expliqué son auteure. Le roman arbore aussi «une dimension politique philosophique sur la condition humaine, cloîtrée entre le bien et le mal, espoir et désillusion», a souligné encore Lynda Chouiten. Cette première rencontre littéraire s’est achevée par une séance de dédicaces. Organisé un samedi par mois dans les locaux de l’IF, le Café littéraire et culturel Média-Plus recevra le mois prochain Ameziane Ferhani et Maïssa Bey, a annoncé le directeur des éditions Média-Plus, Saïd Yassine Hannachi.

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«Zokwezo», du théâtre suisse humaniste à Alger

Mon, 10/22/2018 - 15:10

«Zokwezo», une comédie grinçante sur l’intolérance et le non-respect des différences, a été présentée, samedi dernier, sur les planches du Théâtre national Mahieddine-Bachtarzi d’Alger. Représentant la Suisse au 9e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB,14-22 octobre)

, la pièce, produite en 2016 par la compagnie théâtrale Cie Aspara, raconte l’histoire d’une femme et d’un homme emmurés dans leurs appartements respectifs et assujettis aux pesanteurs sociales entravant leur amour naissant. Sur un texte du Congolais Julien Mabila Bissila, inspiré du film «Une journée particulière» de l’Italien Ettore Scola, le spectacle fait le procès de l’intolérance et du non-respect des différences à travers l’histoire d’un jeune informaticien africain et une mère célibataire suissesse, délaissée par un mari volage. Sur scène, Delphine (Silvea Barreiros) passe son temps à broyer du noir devant son ordinateur et la télé, qui fonctionnent au gré de la disponibilité du courant électrique dans la ville, et son voisin de palier (Roddy Molinet), un jeune informaticien renvoyé de son boulot en raison de ses orientations sexuelles jugées homophobes. Cloîtrés dans leurs appartements, le jeune noir et sa voisine blanche, finissent -au bout de quelques rencontres- par devenir amis et, affinité aidant, amoureux malgré les différences de race et de couleur.  Outre l’Algérie, des troupes et compagnies théâtrales de Tunisie, d’Egypte, de France et d’Italie entre autres  prennent part au 9e FITB qui se clôture aujourd’hui au Théâtre régional Abdelmalek-Bouguermouh de Béjaïa.

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Accidents de la circulation: 8 morts et 6 blessés au cours des dernières 24 heures

Mon, 10/22/2018 - 15:03

ALGER- Huit (8) personnes ont perdu la vie et 6 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus au cours des dernières 24 heures dans plusieurs régions du pays, indique lundi un bilan établi par les services de la Protection civile.

La wilaya de Djelfa déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 2 personnes suite au renversement d’un camion sur la R.N 46, dans la commune de Zaafrane.

Durant la même période, les secours de la Protection civile sont intervenus dans la wilaya de Constantine pour évacuer un enfant, mort par noyade dans une mare d’eau dans commune d’El Khroub.

Les unités de la Protection civile sont également intervenus dans la wilaya de Relizane pour évacuer 48 personnes victimes d’une intoxication alimentaire vers l’hôpital de la commune de Zemmoura.

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Journée nationale de la presse: BOMARE COMPANY présente ses meilleurs vœux à la presse algérienne

Mon, 10/22/2018 - 14:57

En marge de la célébration de la Journée nationale de la presse, ce lundi 22 octobre 2018, BOMARE COMPANY présente à cette occasion, ses vœux de réussite et de prospérité à l’ensemble de la corporation de la presse algérienne.

BOMARE COMPANY exprime sa reconnaissance envers la presse nationale pour son accompagnement et son soutien, saluant son dévouement et son professionnalisme.

Souhaitant conforter son partenariat avec les médias algériens, BOMARE COMPANY lance en cette occasion le « média club » de Stream System, qui sera le point de rencontre incontournable des parties prenantes de la presse nationale, tous supports confondus et l’endroit propice à la mise en débat et au partage d’expériences.

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Prise en charge « immédiate » des victimes des dernières intempéries (le Président Bouteflika)

Mon, 10/22/2018 - 14:57

ALGER – Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a annoncé lundi, que le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, avait ordonné au gouvernement, la prise en charge « immédiate », des victimes des dernières intempéries ayant touché certaines wilayas.

« Le Président Bouteflika a instruit la prise de mesures urgentes en vue d’effacer les séquelles des dernières intempéries ayant touché nombre de wilayas et la prise en charge immédiate de leurs victimes, tout en anticipant ces risques, à travers une bonne préparation tout au long de l’année », a indiqué M. Bedoui dans son allocution d’ouverture des travaux de la rencontre nationale sur la gestion des risques de catastrophes, placée sous le thème « Pour une plus grande capacité de résilience ».

A ce propos, le ministre a affirmé que le président de la République avait accordé « une période de six (06) mois pour procéder à l’actualisation de la stratégie nationale de prévention contre les risques des catastrophes naturelles et à la définition de ses perspectives à l’horizon 2030, parallèlement aux stratégies locales spécifiques à chaque wilaya qui tiennent compte des caractéristiques de chaque région et aux plans d’action sectoriels pour la même période visant à mettre en oeuvre la stratégie  nationale, conformément aux recommandations des Nations-Unies en la matière ».

« Les décisions du Président Bouteflika et son appui important à cette rencontre se veulent une feuille de route pour les participants, appelés à s’enquérir de la réalité sur le terrain lors de la formulation de leurs recommandations relatives à la stratégie, tout en plaçant la prévention et la gestion des risques des catastrophes au coeur de l’approche de gestion centrale ou locale et en mettant l’accent sur le rôle de la société civile et du citoyen, en tant qu’acteur essentiel dans cette équation complexe, en ayant un comportement civilisé envers son environnement », a-t-il ajout

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Ligue 1 Mobilis (11e journée): Le MC Alger enchaîne, le CS Constantine n’avance plus

Mon, 10/22/2018 - 14:56

Le MC Alger a frappé un gros coup lors de la 11e journée du Championnat de Ligue 1 Mobilis de football, disputée vendredi et samedi, en ramenant une victoire (1-0) de son déplacement chez le CA Bordj Bou-Arréridj, au moment où le MO Béjaïa et l’AS Aïn M’lila se sont neutralisés (0-0) tout comme le CS Constantine et l’O.Médéa.

Sur sa lancée, le Mouloudia qui restait sur deux victoires consécutives, a fait la différence grâce au défenseur Ayoub Azzi, ayant trompé son ancien coéquipier, Fawzi Chaouchi, d’une tête plongeante, après un centre tendu du capitaine Abderrahmane Hachoud. Un précieux succès en déplacement qui propulse «Le Doyen» à la 3e place du classement général, ex aequo avec l’Entente de Sétif, avec 18 points pour chaque club, au moment où le CABBA reste scotché à la 12e place, avec 11 points. De son côté, le MO Béjaïa s’est neutralisé avec l’AS Aïn M’lila (0-0). Un résultat qui n’arrange aucune des deux équipes, même si celles-ci ne sont pas vraiment en danger, puisque le MOB est 7e, ex aequo avec le CS Constantine (14 points), alors que l’ASAM est 10e avec 12 unités. Un peu plus tôt dans l’après-midi, le CS Constantine s’était neutralisé à domicile avec l’Olympique de Médéa, sur le score de zéro partout.

Un résultat qui arrange beaucoup plus l’équipe visiteuse, car elle lui permet de réaliser une petite avancée au classement général, au moment où le CSC, Champion d’Algérie en titre, reste dans le ventre mou du classement. Le bal de cette 11e journée a été ouvert vendredi, avec le déroulement de trois gros matchs, et le suspense était dès lors au rendez-vous, puisque chacune de ces rencontres a connu des faits marquants, à commencer par le derby NAHD-CRB, où le Chabab, actuellement lanterne rouge, a réussi à terrasser sa « traditionnelle bête noire» (2-0). Une issue qui était loin d’être évidente, car outre son statut de bête noire, le Nasria se porte bien en ce début de saison. Le CRB l’a emporté grâce à Djerrar (33′) et Chettal, qui avait transformé un penalty à la 86′, mais reste bon dernier au classement général, avec six unités au compteur, alors que le NAHD, malgré la défaite reste solidement accroché à la 4e place, avec 16 points. Autre match à rebondissements, celui qui a mis aux prises la JS Saoura et le Paradou AC, puisqu’après avoir ouvert le score par Bouladouidet (43′), l’équipe locale a concédé l’égalisation devant Bouabta (55e), avant de se retrouver menée, sur un but de Zorgane (82e). Il a fallu attendre les cinq dernières minutes du temps réglementaire pour voir le renard des surfaces, Mustapha Djallit sauver les meubles (2-2) et éviter à son équipe une défaite amère à domicile.
Les débats de cette 11e journée se poursuivront mardi, avec le déroulement du match DRB Tadjenanet – USM Bel-Abbès (17h30), et s’achèveront le 29 novembre, avec le choc USM Alger – ES Sétif. Un match entre clubs de haut de tableau, prévu à partir de 17h45 au stade Omar-Hamadi de Bologhine.

Résultats partiels
Vendredi :
NA Husseïn Dey – CR Belouizdad 0-2
MC Oran – JS Kabylie 0-0
JS Saoura – Paradou AC 2-2

Samedi :
CS Constantine – Olympique Médéa 0-0
MO Béjaïa – AS Aïn M’lila 0-0
CABB Arréridj – MC Alger 0-1

Mardi, 23 octobre
A Tadjenanet : DRB Tadjenanet – USM Bel-Abbès (15h00)

Jeudi, 29 novembre 
USM Alger – ES Sétif (17h45)

Classement
                        Pts J
1). USM Alger 23 10
–). JS Kabylie 23 11
3). ES Sétif 18 10
–). MC Alger 18 11
5). NA Husseïn Dey 16 11
6). JS Saoura 15 11
7). CS Constantine 14 11
–). MO Béjaïa 14 11
9). MC Oran 13 11
10). O. Médéa 12 11
–). AS Aïn M’lila 12 11
12). CABB Arreridj 11 10
13). Paradou AC 10 10
14). DRB Tadjenanet 8 10
15). USM Bel-Abbès 7 10
16). CR Belouizdad 6 11

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La lente et dangereuse plongée des jeunes dans l’univers psychédélique : De la toxicomanie à la pharmacodépendance

Mon, 10/22/2018 - 14:54

La consommation de drogue et de psychotropes prend une ampleur périlleuse en Algérie. Le nombre de toxicomanes augmente chaque année et touche toutes les couches sociales et tous les âges. D’après les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la consommation de drogue dans chaque société à travers le monde représente près de 6% de la population. Pour se mettre à l’abri de ce fléau mortel, tout le monde doit s’impliquer, à commencer par la cellule familiale, l’environnement social et l’action effective de tous les acteurs sociaux.

Pour faire état sur la gravité de cette situation, nous vous proposons à lire le dernier bilan établi, dressé par l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, où les chiffres rendus publics dernièrement par ce service sont sans doute alarmants. Durant les huit premiers mois de l’année 2018, la quantité de cocaïne saisie a très fortement augmenté, passant de 3.951,4 grammes durant les huit mois de l’année 2017 à 670.225,3 grammes à la même période de 2018. Pour ce qui est de la quantité d`héroïne saisie, elle a également augmenté (+13,27%) passant de 985,7 grammes à 1.116,5 grammes durant la même période de référence. Quant aux psychotropes, le bilan relève aussi une hausse de 28,2% des quantités saisies, passant de 746.424 à 957.403 comprimés durant cette même période.

De la toxicomanie à la pharmacodépendance
Les experts livrent des diagnostics sans complaisance sur la situation des toxicomanes en Algérie. Ils affirment que la prise en charge de ces personnes droguées est très coûteuse, tout en avouant que le pays compte deux centres de cure seulement, un à Blida et l’autre à Oran. Pour une population de près de 40 millions d’habitants c’est insuffisant. D’après un médecin généraliste, Dr Fahima B. nous a fait savoir que : «la stratégie nationale de lutte contre la drogue est basée sur deux volets ; la répression et la sensibilisation. Dans ce cadre, il faut savoir que tous les soins sont répartis sur le territoire national pour prendre en charge les personnes toxicomanes qui sont très nombreuses en Algérie.» Avant de parler sur la toxicomanie, notre interlocutrice a bien voulu prendre le soin pour bien déterminer la situation, elle s’est expliqué sur les drogues en disant : «Il faut savoir qu’à l’heure actuelle nous ne parlons plus de toxicomanie mais de pharmacodépendance. Et il faut quand même définir ce qu’est une drogue.
La drogue est une substance naturelle ou synthétique licite ou illicite qui modifie la conception de la réalité en agissant sur le système nerveux central.» Concernant les nouvelles drogues qui envahissent notre pays, Dr Fahima indique que : «De nouvelles drogues de synthèse existent dans le monde et non seulement en Algérie avec des produits qu’on ne connaissait pas, il y a parfois des symptômes qu’on ignore, donc au bout d’un cas ou deux cas on apprend sur le tas avec ces nouvelles drogues de synthèse. Je vous donne un exemple, un jour j’ai traité une patiente qui a pris le G.H.B. sans savoir la dose qu’elle peut supporter. Vous savez, en petites quantités le G.H.B. est un euphorisant, mais à haute dose il crée des trous de mémoires, il est connu sous le nom du drogue de violeur. Ces risques se répercutent sur la perte de connaissance et le faite que le malade ne soit pas conscient de ce qui se passe autour de lui c’est très vulnérable, et c’est ce qui est arrivé à cette fille que je l’ai soignée, elle a eu des attaquescardiaques, tensionnelle et respiratoires.»

Lorsque les conditions socio-environnementales poussent les jeunes à sniffer
Par ailleurs, nous avons interrogé un autre toubib sur les raisons qui poussent les jeunes à consommer la drogue. Notre interlocuteur explique.  «Les jeunes sont très curieux, ils veulent essayer absolument tout ! Expérimenter un produit dont il a entendu parler à plus forte raison si c’est interdit, un peu comme la première cigarette. Vient ensuite la pression du groupe et l’effet de mode pour ne pas être exclu et marginalisé. Il y a aussi les conduites à risque, le plaisir, car la drogue procure du plaisir qui est malheureusement éphémère. D’autres aspects entrent en considération, tels que la convivialité, notamment le cannabis consommé lors de fêtes et soirées privées. Et pour finir, les conditions socio-environnementales. Il faut savoir que la drogue touche tous les milieux. Elle ne fait pas de différence sociale, mais quand on survit dans la misère, la précarité, sans emploi et parfois même sans logement, on peut facilement fuir dans la drogue. Ajouter à cela la pauvreté du paysage culturel et l’injustice sociale, la drogue reste la seule échappatoire. On consomme pour fuir une réalité insupportable et mettre à distance tout ce qui pose problème. »

Ces substances pharmaceutiques fortement prisées
Dans ce récit, nous avons fait appel aux témoignages de spécialistes en pharmacie, car à partir des officines pharmaceutiques, toutes sortes de médicaments et autres substances médicalement certifiées y sont disponibles. Ainsi avec B. Mustapha, pharmacien de son état, nous avons évoqué avec lui ce sujet, sans pour autant qu’il sache l’objet de notre mission. Il dira à ce propos qu’«aujourd’hui, il y a plusieurs variétés de substances utilisées. Il y a les stimulantes telles que les antiparkinsoniens de synthèse, l’artane, parkidol. Il y a également la cocaïne, amphétamines, ecstasy, solvants, diluants. Il y a les excitants, comme la caféine, la nicotine, l’alcool à faible dose. Il y a aussi la famille des sédatifs comme les hypnotiques, tranquillisants essentiellement les benzodiazépines, comme le rivotril, diazépam et maintenant bromozépam (kiétyl). Il y a les opiacées et dérivés d’opium, la codéine, la morphine, tramgésic et l’héroïne. » Il souligne que la loi interdise la commercialisation de ce genre de médicament, seulement les malades qui ont des ordonnances qui peuvent s’approvisionner. Par contre, il n’a pas exclu l’idée que ces médicaments se vendent illégalement chez les trafiquants de drogue…

600 000 toxicomanes en 2016 Près de 100 000 EN PLUS aujourd’hui
Le recensement de 600 000 toxicomanes en 2016 en Algérie interpelle davantage et appelle à la vigilance et à la lutte contre le fléau de la drogue, selon le président de l’Instance nationale de promotion de la santé et de développement de la recherche, Mustapha Khiati, qui a indiqué que l’étude menée dernièrement par l’Office national de lutte contre la toxicomanie et la drogue fait état de 600 000 toxicomanes à travers le pays recensés en 2016.
«Il faut intensifier les efforts à tous les niveaux pour lutter contre le danger de la toxicomanie », a-t-il insisté, soulignant que la lutte contre la drogue est devenue l’affaire de tous.
« La violence en milieux scolaire et familial a une relation directe avec l’addiction », a soutenu le professeur Khiati, ajoutant qu’une stratégie doit être mise au point par tous les acteurs de la société civile, parents d’élèves, afin de faire face à ce fléau.
« La drogue conventionnelle n’est pas le seul danger pour les jeunes », a-t-il souligné, ajoutant qu’ »il faut mettre en place une stratégie de lutte contre la cybercriminalité, d’où la vigilance des parents. »
B.M. Wali

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Premier League: Mahrez signe un but d’anthologie contre Burnley

Mon, 10/22/2018 - 14:52

L’international algérien Ryad Mahrez a contribué au large succès de Manchester City contre Burnley (5-0) en inscrivant le quatrième but de son équipe et son 3e en championnat d’Angleterre cette saison. Aligné pour la deuxième fois de suite dans le onze de départ par l’entraîneur Pep Guardiola, Mahrez a marqué le quatrième but de Manchester City à la 83e minute. L’ailier algérien a nettoyé la lucarne gauche d’un tir enveloppé des 25 mètres, un véritable bijou. A la faveur d’une bonne prestation durant les 90 minutes, le joueur algérien a été élu «Homme du match». C’est le troisième but en Premier League cette saison de l’ancien joueur de Leicester sous les couleurs des Citizens, après avoir réussi un doublé contre Cardiff City. Mahrez avait également marqué un but en Coupe de la Ligue. A la faveur de ce succès, Manchester City s’empare de la tête du classement provisoirement avec 23 points en attendant le match de Liverpool contre Huddersfield.

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Le spectre d’une Assemblée « bicéphale » plane sur l’Hémicycle: Une séance plénière de l’APN pour élire un nouveau président

Mon, 10/22/2018 - 14:46

La parenthèse Bouhadja à la tête de l’Assemblée populaire nationale est en cours d’être définitivement fermée, si l’on croît les dires des membres de la Commission juridique de l’APN.
Selon son président, une séance plénière sera bientôt organisée pour élire le nouveau président de l’Assemblée nationale, qui mènera à terme ce qui reste du mandat du président sortant. En termes clairs, la parenthèse Bouhadja sera définitivement fermée et il n’y aura alors plus aucun recours à faire de la part de celui-ci, «qui fait désormais partie du passé». Pourtant, Bouhadja continue à dire, à qui veut l’entendre, qu’il demeure le président légal de l’Assemblée nationale, et que tout ce qui a été fait est illégitime, illégal et frappé de nullité. Bouhadja prévoit même demain une « descente » à son bureau à l’Assemblée nationale, « si les conditions de sécurité le permettent », estimant que ceux qui ont cadenassé les portes du Parlement « peuvent porter atteinte à son intégrité physique ».
Bouhadja, indémontable, affirme qu’il va reprendre ses activités en se rendant à son bureau. S’il le fait, des soucis sont à craindre : soit on lui porte atteinte, et là, il fera figure de victime et s’entourera d’une nouvelle légitimité, soit en le laisse faire et on élit un nouveau président, et là, on va avoir un scénario inédit avec la perspective de voir deux présidents à la tête de la Chambre basse du Parlement.
Les partis de la majorité qui ont déclaré « vacant » le poste de président sont conscients de la fragilité des choses et tentent maintenant de ne pas faire l’erreur de trop. Car il faut bien penser à tous les scénarios et penser que si Bouhadja s’avise de regagner son bureau, comme il le proclame, il y a de fortes chances de voir sa décision de demeurer «président de l’APN » prendre des virages vaudevillesques et aboutir à des résultats aux conséquences lourdes sur l’image de l’Algérie et de ses institutions aux yeux de la communauté internationale.
I.M. Amine

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Ils boycottent l’enseignement de la langue arabe : La grève des élèves se généralise à Tizi-Ouzou

Mon, 10/22/2018 - 14:39

Entamé par des lycéens des Ath Zemenzar à Tizi-Ouzou, dimanche dernier, le boycott des cours de langue arabe est en train de gagner du terrain et de prendre des proportions alarmantes. Hier, une dizaine d’établissements scolaires des trois paliers éducatifs ont été paralysés dans de nombreuses régions de Kabylie.
à Ath Douala, Fréha, Aïn Zaouia, M’kira, comme à Bouzeguene, les élèves ont répondu à un appel anonyme véhiculé sur les réseaux sociaux pour le boycott des cours d’arabe en réponse au groupe de parents d’élèves de la wilaya de Jijel ayant contesté l’obligation de l’enseignement de Tamazight à leurs enfants, en septembre dernier. Alors qu’aucune réaction de la part de la tutelle n’a eu lieu depuis le début, cette action est en train de gagner du terrain et toucher tous les établissements scolaires des communes relevant de la wilaya de Tizi-Ouzou. Sur les réseaux sociaux, les internautes ont été nombreux à s’indigner contre la manipulation des élèves et l’instrumentalisation de Tamazight à des fins politiques. Selon eux, des pages sur facebook ont influencé «l’esprit juvénile», et les parents d’élèves doivent agir vite pour empêcher que la situation ne s’aggrave. Du côté des syndicats du secteur, le secrétaire général du Conseil des lycées d’Algérie (CLA), Idir Achour, a réagi en qualifiant la situation de «désolante» pour les deux parties. Selon lui, ces comportements mèneront à un conflit qui risque de prendre des ampleurs graves. à propos de la réaction des lycéens de Tizi- Ouzou, il a estimé qu’«elle n’est pas correcte» bien qu’elle soit légitime. Pour le secrétaire général du Syndicat des travailleurs de l’éducation et de la formation (SATEF), les élèves ne devraient pas tomber dans ce genre de piège bien que leur réaction soit «naturelle».
«On ne doit pas réponde à quelque chose de négatif par de l’ultra négatif», a déclaré Boualem Amoura, allusion faite à l’action initiée par les parents d’élèves «intégristes» de la wilaya de Jijel qui, selon lui, refusent le savoir. Appelant les élèves à la sagesse, et à ne pas entrer dans ce genre de provocations «inutiles», le SG du SATEF estime qu’il faut élever le niveau et surtout de s’ouvrir à tous les savoirs. Sur la question de Tamazight, notre interlocuteur a affirmé qu’elle doit être obligatoire dans tous les établissements scolaires au niveau national, et à ce que le caractère facultatif ne lui soit pas attribué. Pour finir, Amoura rejette toute instrumentalisation de Tamazight à d’autres fins tout en espérant que la grève des élèves soit très vite gelée et qu’elle n’atteigne pas les autres villes du pays.
Ania Nait Chalal

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