D’après Android DZ, Gionee est le fournisseur de nombreuses marques dans le monde, parmi elles la marque « Condor ».
Gionee vient d’être mis sous liquidation judiciaire, car il cumule une dette de 2,5 Mds d’euros. Gionee se retrouve donc en faillite, suite à son incapacité de rembourser ces dettes conséquentes.
Pour rappel, Gionee a perdu entre 2013 et 2015 plus de 12,5 millions de dollar par mois, des pertes qui auraient augmenté en 2016 et 2017.
Ainsi, cette nouvelle risque fort de chambouler les plans de la marque Condor.
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Farid Haddouche
L’auditorium de l’université Akli Mohand Oulhadj abrite depuis hier les 13èmes Journées médico-chirurgicales nationales. Organisé par le syndicat national des praticiens spécialistes de la santé public (SNPSSP), ce symposium médical se déroulera pendant deux jours successifs.Au programme, 4 thèmes importants ont été choisis à la communication afin de définir leur prévention et prise en charge. Il s’agit des hémorragies post-partum en gynécologie obstétrique, des fractures de l’extrémité supérieure du fémur pour la traumatologie, l’anesthésie inhalatrice pour la réanimation, et les accidents vasculaires cérébraux (AVC) pour la cardiologie. Pour ce qui est du caractère des choix portés sur ces thème précis à ces journées médico-chirurgicales nationales, le président du (SNPSSP), Dr Mohamed Yousfi dira : «Les thèmes choisis ont trait d’abord aux problèmes de la santé nationale, et notamment de la wilaya de Bouira, où on a remarqué leur entraînement à plus forte raison quand il est question des AVC et des fractures de l’extrémité du fémur».
Les communications de cette 1ère journée ont porté sur les hémorragies de la femme en post-partum. Nous saurons d’après les statistiques établies par l’OMS que 140.000 femmes meurent chaque année. Ainsi, en Algérie on a un taux de 16,6% de décès des femmes à cause des hémorragies post-partum. Les régions les plus touchées sont les Hauts-Plateaux et le du sud du pays. Ce qui fera dire au professeur Chafi, spécialiste en gynécologie obstétrique : «Oui, sur 10 femmes qui accouchent, une à deux femmes pose problème…il faut respecter un accouchement qui se déroule normalement. Il faut éviter le déclenchement abusif, c’est-à-dire, il faut éviter de diriger les accouchements de manière abusive. «Je conseille l’usage du partogramme pour pouvoir contrôler l’accouchement et éviter les risques, en examinant les battements de cœur du bébé, la dilatation du col de l’utérus de la femme. Car en cas de complication, le partogramme doit être consulté pour sauver la vie de la mère et de l’enfant», a-t-il ajouté.
Donc, comment éviter l’hémorragie post-partum à la femme en post-accouchement ? Le Pr Chafi préviendra : «après avoir vérifié que la femme n’a pas d’anémie, ne représente pas des habitudes de saignements (chez le dentiste, blessures…), il faut éviter aussi que l’accouchement dure longtemps, pour prévenir une hypoglycémie et la fatigue de l’utérus». Après la délivrance, c’est-à-dire l’accouchement, et suivant toujours la démonstration du Pr Chafi, «l’expulsion de l’enfant doit être totale, soit ne pas laisser un infime fragment. Après cela il faudra mettre l’enfant au sein, car la mise au sein pourra protéger la femme d’une hémorragie précoce». En dernier lieu, le professeur conseillera de surveiller la femme après l’accouchement, en affirmant que «nous avons tendance à l’oublier, car trop occupés à célébrer l’évènement heureux d’une naissance». Par ailleurs, le président du (SNPSSP), le docteur Mohamed Yousfi, a déploré la défection des autorités de wilayas qui ont pourtant, «donné leur engagement à nous apporter aide et assistance dans l’organisation de cet évènement scientifique qui concerne en premier lieu la santé publique» Et dire que des colloques secondaires de peu d’importance ont été accompagnés !
Cela dit, notre interlocuteur ne s’est pas découragé pour autant, du moment que le ministère de la Santé, la direction de la Santé de la wilaya de Bouira, l’université Akli Mohand Oulhadj, et les laboratoires, ont apporté leur soutien à ces journées scientifiques, de par leur entière contribution pour leur réussite.
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A. Z.
Une cinquième opération de relogement des familles qui vivaient dans des conditions difficiles au niveau du site précaire dominant la rue des Maquisards, situé en contrebas de l’avenue Messaoud Boudjeriou, soit à deux pas du centre-ville, a été entamée hier. Une première vague d’une cinquantaine de familles ont été transférées, hier, vers leurs nouveaux quartiers à la nouvelle ville Ali Mendjeli, et une centaine d’autres familles touchées par cette opération, qui prévoit le relogement de 150 familles au total, seront évacuées au courant de la semaine, a-t-on appris de sources proches du dossier.Pour rappel, quatre autres opérations de relogement d’habitants des sites ont été engagées durant ce mois de décembre, dont la dernière, qui a eu lieu le dimanche 16 décembre, a ciblé plus de 80 familles au niveau de la rue Kitouni Abdelmalek (rue des Maquisards). Aussi, signale-t-on, toutes les opérations sont suivies par la démolition des vieilles bâtisses occupées par les concernés, en raison des menaces d’effondrement qui pèsent sur les vieux murs de ces bâtisses, et pour éviter que les lieux soient squattés par d’autres personnes.
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A. El Abci
Le wali de Constantine a effectué une sortie, hier, pour inspecter les chantiers de logements sociaux et de type public promotionnel (LPP), dans deux nouvelles villes, Massinissa et Ali Mendjeli. Le chef de l’Exécutif, au cours de sa halte à Massinissa n’a pas manqué d’insister sur la nécessité d’accélérer les travaux des aménagements urbains et des VRD, qui restent à réaliser.Et ce, en ce qui concerne le projet des 624 logements sociaux, sur un ensemble de 3.500 unités, et dont le taux d’avancement se situe à plus de 90%.
Selon les explications qui lui ont été données par les responsables, il ne manque que l’alimentation en gaz et électricité. Le wali s’est montré satisfait, tout en insistant sur l’accélération de la cadence sur le reste des chantiers des 2086 autres logements, par le renforcement en travailleurs supplémentaires. Par ailleurs, concernant le projet des 620 logements LPP, toujours en réalisation à Massinissa, les responsables de l’entreprise réalisatrice, ENPI, ont indiqué que là aussi, il ne manque que les raccordements aux réseaux de gaz et d’électricité, en sus des structures d’accompagnement.
Le wali a poursuivit après sa visite à l’autre nouvelle ville, Ali Mendjeli, où il a inspecté les aménagements de VRD de chantiers de logements sociaux et également un chantier de 320 logements LPP achevés à 100% et où il ne resterait que l’alimentation en en gaz naturel et en électricité, dit-on.
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A. Z.
Les éléments de la brigade de recherche et d’intervention (BRI), sûreté de wilaya, ont saisi 33 plaquettes de kif, d’un poids total estimé à 3 kg, et procédé à l’arrestation de trois trafiquants de drogue.Suite à des investigations des dits services entamées le 14 décembre, faisant état d’une transaction qu’on s’apprêtait à conclure entre trafiquants de drogue, un point de contrôle a été installé au niveau de l’une des entrées de la ville de Constantine, où deux véhicules suspects seront immobilisés par les policiers.
La fouille des véhicules en question, à bord desquels se trouvaient trois personnes, a permis de découvrir 33 plaquettes de kif traité d’un poids total dépassant les 3 kg, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya. En sus de la saisie de la drogue et l’arrestation des trois individus, âgés entre 30 et 60 ans, les policiers saisiront les deux véhicules, des téléphones portables portant des puces inscrites sous d’autres identités et une somme d’argent.
A la fin des procédures pénales, les mis en cause ont été présentés devant le parquet local sous les charges de « possession, stockage, transport et commercialisation de drogue, dans un cadre criminel organisé avec utilisation de véhicules et de moyens de communication », indique la même source.
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A. Z.
Les pompiers ont sauvé, avant-hier, trois (3) membres d’une famille, âgés entre 27 et 58 ans, qui ont été intoxiqués au monoxyde de carbone.Lors de leur intervention le samedi 22 décembre, à 16h36mn, dans un appartement situé au pôle urbain Massinissa, les pompiers ont découvert à l’intérieur trois victimes, qui éprouvaient d’énormes difficultés respiratoires, avec d’autres symptômes provoqués par l’inhalation du monoxyde de carbone, comme les vomissements et les étourdissements, indique un communiqué de la Protection civile.
Ajoutant que les gaz brûlés qui se dégageaient du chauffe-bain ont failli entraîner une asphyxie mortelle de toute une famille. Les trois victimes ont reçu les premiers soins sur place avant leur évacuation vers l’hôpital Med-Boudiaf d’El-Khroub.
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A. Ouélaa
Comme une sorte de transhumance pour ne pas dire pèlerinage, les départs massifs des Algériens, venant des quatre coins du pays, vers la Tunisie, en cette période de l’année qui coïncide avec le début des vacances d’hiver, principalement par le poste frontalier d’Oum Théboul, connaît une affluence record depuis jeudi passé.Ce poste frontalier qui accapare à lui seul plus de 50% des personnes se rendant en Tunisie chaque année, a des atouts à faire valoir comme l’état des routes impeccable des deux côtés de la frontière pour se rendre puis poursuivre en toute tranquillité son chemin vers la destination choisie. En général, ceux qui vont passer les fêtes de fin d’année et savourer des vacances en famille, les destinations préférées des Algériens sont Nabeul, pour les jeunes en général c’est Hamamet et Sousse. Du coup, les inévitables chaînes de voitures, synonyme d’une longue attente, malgré le renforcement des effectifs des préposés aux formalités de passage, côté PAF et douanes, peuvent durer des heures.
Etat de fait que compliquent aussi les Tunisiens qui rentrent en nombre important en Algérie.
D’où une charge de travail supplémentaire qui fait que les préposés aux formalités , des deux côtés de la frontière, ne peuvent même pas relever la tête.
En somme, au même titre que la saison estivale, les journées précédant la fin de l’année, incommodent et les passagers et les fonctionnaires de ce poste frontalier.
Et si beaucoup de familles se rendent en Tunisie pour une raison ou une autre, ils sont aussi nombreux à venir seulement valider l’allocation touristique puis rentrer chez eux.
Enfin, en Tunisie les prix dans les hôtels en général sont attractifs mais la bouffe dans certains d’entre eux, dominée par les viandes congelées et les poissons d’élevage laisse à désirer. Ces rentrées et sorties massives vont se poursuivre jusqu’au dernier jour de ce mois de décembre.
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A. El Abci
«Dans le cadre de la stratégie visant l’économie de l’énergie et la préservation de l’environnement, nous avons réalisé un réseau d’éclairage public d’un total de huit kilomètres, au moyen de la technologie du LED, dont cinq sur la ligne reliant la localité de Békira à Hama Bouziane et les trois autres au niveau du point de passage Massinissa », a indiqué la directrice de l’entreprise de wilaya chargée de l’entretien des routes et de l’éclairage public, Karima Brahimi.Et cette responsable d’ajouter que l’enveloppe financière pour cette opération s’est élevée à plus de 8 milliards de centimes.
Et de faire savoir que son entreprise a été renforcée par le versement d’un montant de plus 48 milliards de centimes, qui ont été orientés vers de nombreuses opérations en faveur d’un environnement sain et propre, dont en premier lieu la réalisation d’un éclairage public par la technologie du LED. Il s’agit de lampes non dévoreuses d’énergie électrique, et qui en plus préservent l’environnement et la nature, dit-elle.
La même responsable signale, par ailleurs, que l’entreprise a acquis dernièrement quatre ponts à bascule, modernes et destinés au contrôle des véhicules lourds.
Ces derniers véhicules sont souvent en surcharge, occasionnant des accidents graves.
« D’où la grande utilité de ces ponts à bascule, qui vont nous permettre d’effectuer des sorties de contrôle sur les routes, accompagnés de nos partenaires en la matière, la gendarmerie et ou la police », dira-telle.
Et de souligner, à cet effet, que « des ingénieurs de l’entreprise se sont déjà chargés de dispenser des formations, sur l’utilisation de ces engins, au profit d’éléments de ces services de sécurité, qui sortiront avec nous pour les contrôles des poids des véhicules lourds ».
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Tawfiq Belfadel
Ce livre est le fruit d’une nuit que Kamel Daoud a passée au musée Picasso à Paris. Pour lui, c’est une nuit sacrée. «Si j’ai accepté, c’est pour une unique raison : l’érotisme est une clef dans ma vision du monde et de ma culture».Le livre est constitué de plusieurs chapitres titrés, centrés tous sur Picasso, mais qui expliquent aussi la relation de l’Homme au monde à travers des thèmes philosophiques comme le corps, le nu, l’amour, l’altérité
L’auteur commence par décrire Paris. Pour lui, ce n’est pas seulement une géographie et une topographie, mais une philosophie. «Paris est le Paradis, el Firdaous, pour celui qui vient du sud du monde : mais il y perd son corps, son droit de jouissance, son sexe et sa chaleur à cause de ses soupçons ou de ses différences et pauvretés».
Kamel Daoud commente ensuite les tableaux pour découvrir Picasso, le monde, et lui-même aussi. Ce qui fait que Picasso est un génie éternel. «Pour comprendre Picasso, il faut être un enfant du vers, pas du verset», dit l’écrivain. Il ne s’agit pas de commentaires pédagogiques inspirés par les théories de peinture ; l’auteur forge des réflexions profondes à partir des tableaux. Il ne donne pas de réponses ou d’informations, mais pose des questions.
L’écrivain fouille profondément l’érotisme chez Picasso. Pour lui, c’est une clef pour comprendre le monde et se comprendre soi-même. Kamel Daoud estime que l’érotisme chez Picasso est un rite de chasse. Autrement dit, le chasseur court après la proie (le corps de l’Autre) pour la dévorer, mais à la fin il se laisse dévorer par sa cible. «Dans le sacrifice érotique on inverse les rôles : on ne brûle pas la proie, mais on brûle pour elle ! C’est le cuit qui dévore le cru».
Pour Kamel Daoud, quand Picasso peint le nu, il fait du cannibalisme. Le peintre mange la femme. Celle-ci est très souvent immobilisée sur les toiles : Picasso la fixe pour pouvoir la dévorer. L’immobilisation n’est pas une chosification, un repli, mais une éternité. Pour illustrer cette réflexion, l’écrivain fait rappel à un livre qui traverse toutes ses œuvres : Robinson Crusoé. Robinson et Vendredi sont éternels : il suffit de changer les noms de ce duel mythique : Orient-Occident, Je-Autre, Picasso-Femme, Visiteur-Toiles… Fasciné par la robinsonnade et l’altérité, l’auteur dit : «Le musée est comme une plage et les nus de Picasso sont mes Vendredis».
L’auteur de «Meursault contre-enquête» s’attarde aussi sur la philosophie du corps. Il dépasse son concept anatomique et explique comment on existe et on s’efface par le corps. Celui-ci établit le rapport au monde. «L’art est le corps, une guerre ancienne. Son contraire est le meurtre ou le martyre». Il estime notamment que les monothéismes sont une dépossession du corps.
Dans cette nuit sacrée, l’écrivain-visiteur crée un personnage fictif. Il l’appelle Abdallah. C’est un homme qui a offert son corps à Dieu et qui a perdu le désir du monde. Effacé, il est au musée Picasso pour détruire l’Occident en le frappant dans son point faible : l’art. Il veut tout détruire parce que «Dès lors peindre c’est tenir tête à Dieu, restaurer peut être des divinités plus anciennes que le monothéisme».
Kamel Daoud conclut son livre sur cette phrase qui résume cette nuit sacrée parmi les femmes de Picasso : «Moi, je sors exalté de cette expérience presque : je savais que j’avais raison quand, adolescent dans mon village, j’ai conclu que l’érotisme est la religion la plus ancienne, que mon corps est mon unique mosquée et que l’art est la seule éternité dont je peux être certain».
En somme, Kamel Daoud ne fait pas l’in-ventaire du musée Picasso. Il fait la confrontation, dans ce musée semblable à l’île de Robinson, de deux mondes : l’un mange la femme pour exister et l’autre existe à travers le corps de la femme, l’un offre le corps à l’art et l’autre l’offre à Dieu, l’un qui a le désir de vivre et l’autre qui croit à la vie après la mort
Le livre est nourri de pensées et réflexions sur différents thèmes qui conditionnent le rapport de l’Homme au monde : le corps, la religion, la femme, Dieu, l’Autre Embellie de poésie et de métaphores, l’écriture donne l’impression de lire une fiction. Ce livre, à la suite d’Ibn Tufayl, Daniel Defoe et Michel Tournier, offre une sublime robinsonnade dont l’espace n’est pas une île ou une plage, mais un musée. Kamel Daoud est un épris de philosophie, mais aussi un philosophe !
Kamel Daoud, «Le peintre dévorant la femme», éd. Stock, 2018.
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Yazid Alilat
La présidente du Croissant-Rouge algérien (CRA) Saida Benhabyles a accusé les pays de l’OTAN d’être responsables du phénomène migratoire en Afrique, et plus particulièrement du Nord vers l’Europe, après l’intervention militaire en Libye. Pour expliquer ce phénomène de la migration, il faut «faire un bon diagnostic», a-t-elle affirmé, hier dimanche, à la Radio nationale. «Oui, c’est vrai, ce phénomène est un drame humain», ajoute-t-elle, avant de relever que «si on veut s’attaquer à ce problème, il faut s’attaquer à l’origine du phénomène et se poser la question qui est responsable de ce drame humanitaire ?». «Dans notre région, c’est l’intervention de l’OTAN, en Libye qui en est responsable, plongeant la population libyenne dans la précarité et favorisant le développement du terrorisme», explique-t-elle. Pour la présidente du Croissant-Rouge algérien, «quand on parle de migration, il faut parler des Syriens, des Irakiens, et se poser la question qui en est à l’origine.Pour atténuer la souffrance humaine, il faudrait que ceux qui sont responsables assument leurs responsabilités.» Elle a relevé, en outre, que «je n’ai jamais vu une résolution de l’ONU adoptée avec une telle célérité que celle de l’OTAN, autorisant l’intervention militaire en Libye.» «C’est Bernard Henry Levy et Sarkozy, et tout le monde a suivi», estime Saida Benhabyles, selon laquelle «il faudrait se décider à réviser la politique internationale, basée sur l’impunité et l’exploitation des autres.» De plus, «il faudrait arrêter de démocratiser les pays en suscitant des conflits internes et en semant la zizanie confessionnelle», préconise la présidente du CRA. Elle estime que les pays responsables du phénomène migratoire arrêtent de faire du «deux poids, deux mesures», car «c’est une réalité qui est là, qu’on nous impose, et on sait ce qu’est l’occupation.»
Saida Benhabyles ajoute que «nous savons mieux que quiconque ce qu’il faut faire pour aider l’autre. Est-ce que la charte des migrants est une réponse au problème ? Je dis non», a-t-elle expliqué en abordant la dernière conférence de Marrakech sur la migration. «La migration est un instrument des Etats : l’histoire se répète», affirme-t-elle, par ailleurs, en expliquant que «la souffrance des peuples est exploitée par ceux qui, durant la décennie noire, en Algérie, se posaient la question «Qui tue qui ?». «C’est l’exploitation de la souffrance des Algériens, et aujourd’hui c’est un autre drame, celui des migrants.» Pour elle, l’Algérie n’est pas «une partie prenante de la tragédie des pays africains», récusant les accusations contre l’Algérie. «L’Algérie n’est pas responsable de ces drames, n’a pas spolié les biens de l’Afrique, on est contre l’ingérence et on contribue à la stabilité des pays et en soutenant le développement.» «Le seul pays à effacer les dettes des pays africains est l’Algérie, qui s’investit, également, dans le développement des zones frontalières», poursuit-elle. La présidente du CRA a rappelé qu’un pays africain «n’a pas encore réalisé son rêve, l’autodétermination. Et aujourd’hui, on célèbre la déclaration universelle des droits de l’Homme. Quelle journée, a-t-elle dit, quand Israël les bafoue, que des femmes palestiniennes accouchent dans les geôles israéliennes menottées. L’occupation est la pire atteinte à la dignité humaine, et aujourd’hui, tout le monde est content de célébrer la déclaration universelle des droits de l’Homme, alors qu’on devrait s’inquiéter de ce qui se passe actuellement. La déclaration sur les droits de l’Homme est un instrument qui ne règle rien», selon elle.Sur les reconduites de migrants subsahariens aux frontières, par l’Algérie, elle a souligné que «toutes les normes, dans le domaine, ont été respectées. Les Algériens ne peuvent voir quelqu’un, sans lui tendre la main», et, «les pays développés doivent assumer leurs responsabilités dans le phénomène de la migration», estime-t-elle. Elle a, en outre, affirmé que «l’Algérie est capable de rapatrier, mais pour aider les migrants, il faut leur financier des micro-projets, axer sur la résolution des conflits par la réconciliation, le dialogue, et arrêter de s’immiscer dans les affaires des gens à travers les droits de l’Homme…»
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K. Assia
Trois tentatives d’émigration clandestine ont été avortées entre la nuit de samedi et la journée de dimanche par les unités du groupement de la gendarmerie d’Oran et un réseau de passeurs composé de quatre personnes a été arrêté. Les gendarmes ont appréhendé 25 harraga dont une femme et un mineur. Parmi les clandestins, l’on signale également un ressortissant yéménite et deux Palestiniens. La première opération a été menée, dans la nuit de samedi suite à l’exploitation de renseignements par les gendarmes de Canastel qui étaient appuyés par les unités d’intervention et de sécurité. Un groupe de sept harraga dont quatre Algériens, un Yéménite et deux Palestiniens ont été appréhendés alors qu’ils s’apprêtaient à embarquer clandestinement à partir de la plage de Aïn Franine. L’enquête a permis d’identifier un réseau de quatre passeurs chargés d’organiser ces opérations clandestines d’émigration. Les gendarmes ont récupéré 1.750 euros dans le cadre de cette affaire. Un deuxième groupe de 7 clandestins âgés entre 17 et 35 ans a été aussi appréhendé avant-hier lors d’une tournée de contrôle à hauteur du chemin de wilaya n° 75 reliant Bir El-Djir au village de Kristel. Les candidats à l’émigration devaient embarquer à partir de Kristel. Trois heures plus tard, un autre groupe de 11 harraga dont une femme et un mineur a été arrêté par les gendarmes de Canastel alors qu’il se préparait à prendre le large à partir de Aïn Franine. Les 25 harraga ont été conduits au siège de la brigade de la gendarmerie.Pour leur part, les gardes-côtes ont intercepté 11 harraga au nord du port d’Oran. Ces onze personnes, parmi lesquels une femme enceinte, ont été interceptées à bord d’une embarcation pneumatique, hier dimanche à 6 heures du matin, à 6 miles au nord du port d’Oran, par les gardes-côtes en patrouille en mer. Ils voulaient rallier les côtes espagnoles. Les harraga ont été remis à la brigade de Gendarmerie nationale d’Oran. Ils devront être présentés devant la justice.
Par ailleurs, suite à un appel téléphonique de la brigade ferroviaire de la gendarmerie de Blida indiquant qu’un mineur de 16 ans a disparu et pouvait se trouver à bord du train Alger-Oran, une enquête a été ouverte. Les enquêteurs ont été avisés que le mineur avait l’intention d’embarquer clandestinement à partir d’Oran. Un dispositif sécuritaire a été déployé et toutes les issues ont été fermées à la gare ferroviaire afin de retrouver l’adolescent. Il a été intercepté à sa sortie du train en compagnie de deux autres mineurs qui ont paniqué à la vue des gendarmes. L’adolescent recherché a avoué aux enquêteurs qu’il avait l’intention de quitter clandestinement le pays en compagnie des deux autres mineurs. D’autre part, un passeur répondant aux initiales de R.B. activement recherché par les gendarmes de Canastel a été arrêté dans un bidonville à Sidi-Chahmi.
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M. Aziza
Les représentants des commerçants des 380 anciennes voûtes de l’amirauté et l’ancien arsenal de la Régence d’Alger ont exigé, hier, un dialogue sur la gestion de ces voûtes. Il faut bien le mentionner, ces voûtes représentent un patrimoine architectural unique en Algérie, voire même en Méditerranée. Construites de 1860 à 1866, ces voûtes supportaient deux principaux boulevards d’Alger et étaient considérées comme le poumon commercial de l’Algérie, approvisionnant tout le territoire national en matière de marchandise.Ces fameuses voûtes dont une quarantaine ont été déjà fermées par les autorités devaient abriter des start-up dans le cadre du projet «Alger Smart ville» dont l’inauguration était prévue en début de l’année 2018, mais ça n’a pas été le cas. Rappelons-le, qu’au temps du gouvernorat d’Alger, ces lieux devaient être transformés en galeries et espaces d’exposition d’objets d’artisanat. Mais, le projet n’a jamais vu le jour. Il a été également question de les transformer en musée. Mais, le hic, selon le porte-parole de ces commerçants, est le fait que ces voûtes sont restées fermées et d’autres ont été scellées après que leurs occupants aient été délogés et octroyés à d’autres personnes !
Réunis hier avec ses collègues au siège de l’UGCAA à Alger, un des occupants des voûtes, Mohamed Hammache, a affirmé que «quel que soit le projet de vocation de la zone, si c’est un projet d’utilité publique, il n’y a pas de problème, c’est la propriété de l’Etat, mais si c’est un projet commercial, la priorité est à l’occupant, c’est une règle internationale». «Nous sommes contre toute tentative de mettre dehors les premiers occupants des lieux pour les octroyer à des personnes estrangères sans motifs valables», insinuant que ces voûtes historiques soient convoitées par des hommes d’affaires et des cercles occultes. Et d’ajouter «on est capable de s’inscrire dans la nouvelle politique d’exploitation des voûtes, les anciens commerçants des voûtes sont conscients, ils sont prêts à collaborer avec les autorités, ils sont pour la paix civile et ils sont surtout pour l’application de la loi», dit-il. «Mais tout doit être inscrit, clair et transparent».
Le porte-parole des commerçants, M.Benaoudia Bouziad, a précisé que seules les voûtes d’Alger sont restées régies, après l’ouverture de l’économie de marché, par un statut particulier «qui n’a pas sa raison d’être». Il explique que les voûtes d’Alger qui étaient sous la coupe de l’Entreprise portuaire d’Alger ont vu par la suite leur gestion confiée à la Régie foncière de la ville d’Alger (RFVA). Les autorités de la wilaya se devaient alors d’établir un contrat de location en bonne et due forme, conforme au code du commerce, «malheureusement, malgré nos doléances et malgré la pertinence de la loi, du code du commerce et le code de procédure civile, la régie n’a pas donné suite à nos demandes», regrette-t-il.
La régie foncière a sommé les commerçants de signer une convention avec des dispositions qualifiées par les concernés de «bizarres». La convention stipule que «les commerçants des voûtes n’ont pas le droit de rester sur les lieux, si la régie foncière demande la restitution des voûtes sans aucune justification et sans indemnisation». Et bien plus «il y a un article scélérat qui est contraire à toute logique juridique, où il est stipulé que le commerçant s’abstient et s’interdit d’avoir recours à la justice pour demander ses droits». En concluant «donc la régie s’octroie le droit d’être au-dessus de la loi, elle est en même temps justiciable et législateur». Et d’affirmer que la majorité des commerçants ont refusé de signer cette convention qui est en contradiction avec la réglementation. Ils demandent la transparence totale sur l’exploitation de ces voûtes ou sur les futurs projets concernant la zone.
Des hausses de tarifs en contradiction avec la dispositionde la loi de finances
Les commerçants des voûtes ont dénoncé aussi les augmentations des tarifs de location imposées de manière unilatérale par la wilaya d’Alger. Une augmentation trois fois plus élevée que l’ancienne tarification «qui ne répond à aucune logique commerciale», selon les commerçants qui se disent déjà pénalisés par les travaux interminables entrepris dans la zone et par l’installation d’un parking public entravant le commerce.
Ils expliquent dans les détails qu’au lieu de payer 55 DA fixés par m2 comme le prévoient les dispositions de la loi de finances 1999 pour un seul trimestre, «la wilaya d’Alger nous a imposé une tarification de 190 DA le m2 par mois». Cette augmentation ne repose sur aucun texte réglementaire car les redevances d’occupation du domaine public doivent être calculées sur la base d’un tarif fixé par un arrêté ou décret officiel publié au Journal officiel. En précisant que depuis 1999, aucune loi de finances n’a changé ou modifié les prix des loyers des voûtes d’Alger.
Les commerçants lancent un appel aux autorités pour faire cesser la fermeture abusive des voûtes, sans aucune ordonnance judiciaire, sans réquisition, ni sur la base d’un texte de loi. Ils appellent la wilaya à faire cesser les abus et ils revendiquent un contrat de location en bonne et due forme avec un cahier des charges afin de préserver les droits des deux parties, ceux des commerçants et de l’administration.
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K. Assia
Au lendemain de l’attribution de 1.600 logements sociaux au profit des familles du bidonville de Sidi El Bachir, les responsables de la wilaya d’Oran et de la daïra de Bir El Djir, ont entamé, à partir d’hier, une vaste opération de démolition de plus de 600 constructions illicites érigées sur plus d’une dizaine d’hectares. Cette opération va se poursuivre tout au long de la semaine jusqu’à l’éradication de tout ce bidonville Le wali d’Oran, a insisté auprès des responsables de la daïra et de la commune de Bir El Djir, pour l’éradication totale de ce bidonville avant la fin de l’année en cours. Le site abritera un projet conséquent de logements promotionnels aidé LPA. Le ministre de l’Habitat, lors de sa dernière visite à Oran, a retenu un important quota de logements LPA pour la capitale de l’ouest du pays, à la grande joie de nombreux postulants à cette formule. Depuis le mois de novembre, la machine est mise en branle par les autorités locales quant au relogement des familles bénéficiaires des décisions de pré-affectation.Pas moins de 278 familles du secteur urbain El Mokrani’ ont été relogées, la semaine dernière, au nouveau pôle urbain de Belgaid. Une autre tranche de 100 logements sociaux, au profit des familles détentrices de décisions de pré-affectation du secteur urbain El Mokrani’ sera distribuée prochainement, une fois les travaux de VRD achevés.
Les bénéficiaires de ce programme occupent des habitations menaçant ruine et classées dans la catégorie rouge’ et sont détenteurs de décisions de pré-affectation après une enquête approfondie menée par la commission mise en place par les services de la daïra. Au courant du mois de novembre, 400 familles du secteur urbain de Sidi El Bachir ont été relogées à Belgaid .D’autre part, un autre quota de 50 logements sociaux sera aussi distribué au profit des familles du quartier d’Ed- Derb. La wilaya d’Oran s’est fixée un objectif qui est de distribuer 20.000 logements, toutes formules confondues, un objectif réalisé, selon le wali d’Oran avec l’attribution, hier, des 1.600 logements sociaux, à Sidi El Bachir.
Ceci intervient, également, après le dégel des opérations de financement d’aménagement extérieur de tous les chantiers d’habitat, apprend-on. La wilaya d’Oran a connu une grande dynamique dans la lutte contre l’habitat précaire, notamment ces dernières années. Dans ce cadre, près de 35.000 familles ont été relogées depuis juin 2014, à Oran.
Ces opérations ont permis d’éradiquer 75 % des bidonvilles repartis sur la wilaya dont 5 ont été rasés, suite au relogement des familles. Ces derniers étaient implantés à Cheklaoua, Le Virage, Hayat Regency et Bab El Hamra, entre autres. Plusieurs assiettes foncières ont été récupérées et seront destinées à la concrétisation de projets d’investissements et d’utilité publique. Aussi, dans un passé récent, le wali d’Oran a indiqué que sa wilaya dispose de 25.000 logements sociaux en cours de construction et que le relogement se fera au fur et à mesure de la réception des nouvelles habitations. Cette offre sera attribuée aux demandeurs de ce type de logements par les différentes commissions locales chargées de l’étude des dossiers.
Le wali a tenu à rassurer les citoyens que ses services ne ménagent aucun effort pour satisfaire leurs besoins en logements. Il a aussi affirmé qu’il ne permettra aucun dépassement ou tentative de bénéficier de logement de manière frauduleuse et ce quelle que soit son origine. Il a aussi lancé un appel aux citoyens pour contribuer au bon déroulement des opérations de relogement pour barrer la route aux opportunistes. Des opérations de relogement seront programmées au fur et mesure et en fonction de la réception des logements et de l’achèvement des travaux de VRD. Revenant au bilan des 2 dernières décennies, selon les chiffres de la direction du Logement , quelque 98.000 logements, tous programmes confondus, ont été réceptionnés et attribués dans la wilaya d’Oran, durant la période allant de 1999 à 2017. Ce quota d’habitat réparti sur les quinquennats précédents comporte des logements publics locatifs (LPL), sociaux participatifs (LSP), des logements promotionnels aidés (LPA). Concernant le LPA, et pour parer à la forte demande pour ce type de logement, qui dépasse les 33.000, un quota supplémentaire devrait être accordé à la wilaya d’Oran, par la tutelle.The post Après le relogement de plus de 1.600 familles du bidonville de Sidi El Bachir: Début de la démolition de plus de 600 habitations illicites appeared first on .
Le Colonel Farouk Achour, Directeur de l’information et des statistiques à la protection civile était sur les ondes de la chaîne trois, afin de répondre aux questions de Souhila El Hachemi dans son émission ‘L’invité de la rédaction’.
Le thème principale est le sauvetage de Ayache Mahdjoub. Pour rappel, l’homme est mort suite à une chute dans un puits d’une de profondeur de 30 mètres.
Le Colonel Farouk Achour a précisé que l’unité de boussada s’est précipitée sur les lieux, afin de débuter l’opération de sauvetage au plus vite.
Concernant l’extraction du corps, le Directeur de l’information et des statistiques à la protection civile informe que ça se fera aujourd’hui, en précisant qu’il ne rester que deux mètres pour atteindre le corps: « C’est un cas qui nécessite une technique spécifique, et la victime été à 30 mètres de profondeur, tous les techniciens sont sur le coups ».
Le Colonel Farouk Achour, précise que le corps de Ayach Mahdjoubi ne dégager plus de chaleur, « Nous avons déduit que l’homme était mort ».
Farouk Achour précise que l’opération est délicate, car c’est une canalisation non pas un puits aux normes (puits cartésien), il a fallu creuser, et aller doucement car il y a un flux massif d’eau. Quoiqu’il en soit, une enquête menée par la police scientifique, va aider à améliorer la prévention, et de ce fait apporter plus de précision quant aux causes du décès.
Concernant l’opération de sauvetage, le Colonel Farouk Achour confirme que tous les moyens étaient présents pour sauver Ayach Mahdjoubi. En ajoutant que ce n’était en aucun cas, « Un manque d’expertise ou de professionnalisme de la part de la protection civile. La protection civile est une référence, elle a fait ces preuves, nous sommes une institution très disciplinée, et nous avons été la bas a temps, tous les protocoles ont été respectés pour intervenir le plus rapidement possible« .
Face à un risque de catastrophes naturelles, Farouk Achour confirme: « Nous sommes prêts à intervenir face à tous types de catastrophes, nous avons tous les moyens pour le faire, à savoir de la compétence humaine et matérielle pour la prise en charge ».
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J. Boukraa
Dans le cadre des efforts visant à protéger l’environnement et la santé publique, une campagne a été lancée à travers les cités d’Oran pour sensibiliser les citoyens quant à l’importance du respect des horaires de collecte. Sous le slogan « mes ordures je les jette le soir », cette campagne est initiée par l’association algérienne de la protection du consommateur et de l’environnement APOCE. Des dépliants seront ainsi distribués. La campagne touchera également les commerçants en vue de renforcer le civisme, de lutter contre les dépotoirs anarchiques et de protéger l’environnement. En effet, à Oran le phénomène des déchets ménagers se pose toujours. Cette situation n’est pas due aux manquements des services de nettoiement mais à l’incivisme de certains citoyens qui continuent de jeter leurs ordures n’importe où et n’importe quelle heure.Les services concernés avaient à maintes reprises lancé un appel aux habitants pour respecter quelques mesures visant à améliorer l’hygiène publique et faciliter la tâche aux agents de nettoiement. En dépit de tous les efforts fournis par les services de nettoiement, comme la division de l’hygiène et de l’assainissement (DHA) de la commune d’Oran, l’EPIC Oran Propreté et autres, ils n’arrivent plus à y faire face. Les responsables du nettoyage reprochent aux citoyens de ne pas respecter les horaires de ramassage des ordures et surtout de jeter anarchiquement leurs déchets, chose qui complique le travail des agents de nettoyage. Ces derniers peinent à faire débarrasser Oran des odeurs nauséabondes.
Des sacs sont jetés à travers les quartiers d’Oran, en particulier les plus populaires, et cela se répète tous les jours par le manque d’engagement de la population à respecter les règles d’hygiène dans les quartiers et les communautés.
Le phénomène de vandalisme et du vol des bacs à ordures a été aussi soulevé. Une pratique irresponsable qui ne respecte pas les nettoyeurs à qui les citoyens leur rendent le travail pénible. Des poubelles en plastique de couleur verte installées sur les principaux boulevards de la ville ont fait l’objet de vol. Un phénomène qui pèse trop lourd sur le budget financier des services techniques de l’APC et notamment dans les quartiers de la ville. Sachant que le prix d’un bac est de près de 5.000 DA, le préjudice causé aux collectivités locales se compte en millions de centimes. Mais plus que le dégât financier, ce sont les désagréments occasionnés par ce pillage qui font mal. Les bacs qui ont disparu ont été aperçus dans plusieurs balcons des immeubles, convertis en mini-citernes de stockage d’eau.
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BOMARE COMPANY a annoncé en marge d’une cérémonie organisée le mardi 18 décembre 2018, le lancement officiel de sa nouvelle gamme de smartphones Stream.
Une nouvelle gamme qui vient répondre aux nouvelles exigences du marché algérien et enrichir la gamme des smartphones ‘’Stream’’ déjà disponibles sur le marché.
Sept nouveaux modèles ont été dévoilés, à savoir : Everest, Mirror, B3 Maxi2, B2S, B2plus, B1S et enfin le H24 Power, des Smartphones ultra performants, très design qui bénéficient des dernières avancées technologiques.
Les nouveaux smartphones seront disponibles prochainement sur tous les points de vente Stream System STORE à des prix très compétitifs.
EVEREST :
EVEREST le sommet de la performance
Il vous séduira : Un design séduisant
L’Everest est doté d’une coque d’une finesse au toucher impeccable pour une prise en main exceptionnelle.
Tout en puissance : Un processeur octa-core 1.5ghz épaulé par 4GB de RAM.
Ouvrir plusieurs taches en même temps dans son Everest ne sera pas un problème grâce à son processeur Octa-core et ses 4GB de RAM pour une expérience ultra fluide.
Et en immortalisant les moments forts : Capturez l’instant !
Profitez d’un double capteur arrière, 16+5 mégapixels pour des photos sublimes d’une netteté parfaite, ainsi qu’une caméra frontale de 13 mégapixels située en bas de l’écran pour des selfies et un effet de contre-plongée à couper le souffle.
Appréciez vos photos : Un confort visuel remarquable
Pour la première fois sur la gamme des smartphones STREAM, l’EVEREST est doté d’un sublime vaste écran de 6’’quasi sans bords. Pour vous offrir une expérience visuelle spectaculaire.
Sauvegardez vos souvenirs et données : Un stockage énorme !
En plus de ses 64 Go de stockage interne, vous pouvez y intégrer une carte microSD (jusqu’à 128Go).
Une journée de plus de 24h : Une autonomie qui dure !
Doté d’une batterie de 4050 mAh, se démarque par son excellente autonomie c’est une certitude L’EVEREST ne vous laissera jamais tomber.
Tout cela avec : Une Sécurité maximale
Vos données sont protégées et vous seul y avez accès grâce à la technologie de reconnaissance faciale du géant japonais NEC aussi l’Everest est doté d’un lecteur d’empreinte pour un déverrouillage d’un simple clic.
MIRROR :
Le smartphone qui reflète votre style
Confortable au toucher et au regard
Doté d’un design simple brillant et épuré, le MIRROR propose une prise en main et maniabilité parfaite, rajouter à cela le Mirror dispose d’un grand écran de 5.5’’ en 18 :9 très confortable qui fera ressortir une excellente fidélité des couleurs.
Un processeur Quad-Core 1.3ghz épaulé par 3 GB de RAM
Grace à son processeur quad-core 1.3ghz et ses 3GB de RAM le MIRROR vous permet d’avoir une utilisation optimum de votre smartphone.
Prenez les meilleurs clichés !
Deux capteurs, c’est forcément meilleur, profitez d’un dual camera arrière avec un capteur de 13+2 mégapixels pour faire ressortir tous les détails de vos photos, et une caméra frontale de 8 mégapixels pour prendre les meilleures selfies et portrait possible.
Stockez librement !
Le MIRROR dispose de 32 Go de stockage interne et grace à son port microSD, stockez jusqu’à 64 Go de contenus supplémentaires.
Une batterie longue durée
Le MIRROR dispose d’une autonomie longue durée grâce à l’optimisation de la batterie de 2900 mAh.
Profitez d’une double sécurité sur votre smartphone.
Avec un capteur d’empreinte sur le dos et la reconnaissance faciale vos données sont doublement sécurisées.
B3 MAXY2 :
B3 MAXI2, MAXI pratique, Maxi grand !
Avec son écran de 5.5’’ classique le B3 MAXY2 vous offre le confort visuel indispensable a votre vie quotidienne. Surfez et téléchargez en très haut débit. Naviguez en 4G avec votre B3 MAXI2 et profitez du meilleur débit d’internet.
Misez sur la qualité de vos photos !
Avec sa caméra arrière de 13 MP et sa caméra frontale de 5 MP le B3MAXI est le smartphone idéal pour vos photos quotidiennes.
Faible autonomie, plus jamais !
Doté d’une batterie de 3000 mAh, dites oui à une autonomie longue durée.
B3MAXI ; MAXI sécurité
Le B3MAXI dispose de la technologie de reconnaissance faciale face ID aussi pour un maximum de sécurité un capteur d’empreinte pour un déverrouillage en un simple clic.
B2S
L’essentiel en poche
« Le b2s est sous : Android 8.1 OREO pour une utilisation et fonctionnalité idéale »
B2 Plus
Pas si petit que ça
« Le B2 plus est sous : Android 8.1 OREO pour une utilisation fonctionnalité idéal »
B1S
Un smartphone compact
« Le B1S est sous : Android 8.1OREO pour une fonctionnalité idéale »
H24 Power
Une autonomie à l’infini
Mais son atout majeur reste son autonomie
Grâce à sa batterie d’une capacité de 4000 mAh le H24 POWER est capable de fonctionner sans recharge pendant trois mois en mode veille, ou deux jours en conversation.
En plus de cela, l’appareil est doté de la fonction Power Bank, ce qui vous permet de recharger d’autres appareils.
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Le rôle de cet architecte de renommée internationale sera de lui fournir des idées et des conseils en matière de revitalisation de la casbah d’Alger.
Après des années d’ «apnée», le projet de réhabilitation de la Casbah prend à peine forme qu’une polémique éclate, jetant une nouvelle lumière sur un chantier resté en jachère pendant des décennies. Le choix porté sur l’architecte français, Jean Nouvel, a déplu à une certaine frange d’intellectuels qui se sont égosillés sur les réseaux sociaux, jusqu’à réunir 400 signatures de personnalités de divers horizons, franchement contre l’idée même qu’un architecte étranger puisse apporter un plus dans le projet de réhabilitation de l’ancienne médina d’Alger.
Les arguments des contradicteurs de la wilaya d’Alger sont discutables et n’évoquent pas le fond. Rappelant simplement l’histoire de la Casbah et les destructions qu’elle a subies par le fait de la colonisation française, les signataires de la lettre croient trouver dans le mot «revitalisation» une dimension indécente et hautaine à l’endroit des habitants du quartier.
Face à cette offensive, visiblement destinée à stopper la dynamique née d’un accord entre la wilaya d’Alger et la région Ile-de France, les autorités de la capitale ont réagi à travers un communiqué censé remettre les choses à l’endroit. Il y a d’abord, souligne le communiqué de la wilaya d’Alger, le caractère restreint de la mission de l’architecte français qui ne devrait intervenir que sur l’aspect de la revitalisation de la Casbah. L’on est censé comprendre que le travail de Jean Nouvel relèvera du lifting et pas de l’âme même de la médina.
Cela en plus d’un détail que la wilaya juge important. Il est question des frais liés aux prestations de M. Jean Nouvel, qui seront «pris en charge totalement par le Conseil régional d’Ile-de-France».
Et la wilaya de rappeler que «le rôle de cet architecte de renommée internationale, sera d’accompagner la wilaya d’Alger et de lui fournir des idées et des conseils en matière de revitalisation de la casbah d’Alger, classée patrimoine mondial par l’Unesco en mois de décembre 1992».
La wilaya d’Alger qui met en avant l’exceptionnel CV de l’architecte qui a eu à intervenir dans des projets de renommée mondiale à Paris, New York et Dubai, souligne que son intervention aura le caractère du conseil auprès des autorités locales. Il aura pour mission, en sus de son travail à la Casbah, d’harmoniser «des travaux d’aménagement de la baie d’Alger qui s’étale de la Grande mosquée jusqu’à la Basse Casbah», a ajouté le même communiqué. Cela pour expliquer le pourquoi et l’apport de Jean Nouvel dans le chantier de réhabilitation de la capitale.
Pour ce qui concerne la critique en rapport avec la mise à l’écart des compétences architecturales nationales, la wilaya précise que «les travaux de restauration de la casbah d’Alger, lancés par la wilaya d’Alger fin 2016, sont menés par des compétences algériennes à travers 14 bureaux d’études et 17 entreprises mobilisant plus de 200 universitaires entre architectes, techniciens supérieurs et main-oeuvre 100% algérienne de plus de 1200 ouvriers qualifiés». C’est dire que l’intervention de l’architecte français vient en appui au travail des ingénieurs algériens, lesquels apprendront certainement beaucoup à son contact. le communiqué de la wilaya d’Alger informe également que plusieurs infrastructures sont en cours de restauration, il s’agit, entre autres, du palais du dey, du palais des beys, de la mosquée El-Barani et ses dépendances, de 10 fontaines du mausolée Sidi Abderahmane, du TNA et de 34 bâtisses de typologie traditionnelle ainsi que la remise en état de rues et ruelles de la Casbah. La place de Jean Nouvel dans cette opération n’est pas prépondérante, loin de là. D’où la mauvaise foi des détracteurs du choix porté sur l’architecte français.
Par Saïd BOUCETTA
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Si vous êtes un inconditionnel des burgers, cette vidéo ravira vos papilles à coup sûr !
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Rachid Boutlelis
Des habitants du quartier Dadayoum, situé sur les hauteurs de la municipalité de Mers El Kébir, ont dénoncé la dégradation de leurs conditions de vie, qui va crescendo au fil du temps, causée par les sites de l’abattage clandestin de la volaille. Selon nos interlocuteurs, cette activité illicite qui a foisonné ces dernières années dans ladite municipalité et ce, avec toutes les conséquences négatives découlant sur la population, « est en réalité un secret de Polichinelle pour les responsables concernés et à priori ne semble plus émouvoir quiconque ». Devenue le moyen favori d’approvisionnement en viande de volaille pour les revendeurs et même les boucheries installés dans le marché du chef-lieu de la daïra d’Aïn El Turck, des municipalités de Bousfer et d’El Ançor et même d’Oran, cette activité illicite semble encore avoir vraisemblablement de beaux jours devant elle et ce, à la faveur de l’indifférence de tout un chacun.Outre la piteuse qualité du produit mis sur le marché qui échappe à tout contrôle vétérinaire, l’impact de cette activité sur la santé des riverains et de l’environnement de ladite municipalité est exécrable au plus haut point. Les habitants dudit quartier où l’essentiel des abattoirs clandestins de volaille, une dizaine environ, sont répertoriés s’indignent également de l’innommable constaté sur les bas-côtés du chemin rural, non classé, menant du quartier Dadayoum au lieudit Santa Cruz qui s’est transformé en une véritable décharge sauvage où sont déversés notamment les déchets et autres abats de volailles, pourrissant sous le soleil, en dégageant des odeurs nauséabondes insupportables. Ces lieux se sont transformés en garde-manger pour des meutes de chiens errants, de chats, de rats et aussi de sangliers. Nos interlocuteurs pointent un doigt accusateur sur les occupants de l’immense bidonville de Dadayoum comme étant les exploitants de cette activité illicite. A défaut d’incinérateurs, les déchets générés par l’activité (poussins morts, abats de poulets et détritus et autres résidus d’aliments de volaille) sont abandonnés sur les bas-côtés de ce chemin et/ou en pleine nature. Les abats et les restes de cette activité, interdite en principe par la loi, attirent non seulement toutes sortes d’animaux nuisibles mais en plus exposent au danger de la contamination des nappes phréatiques et ainsi le risque d’épidémie via les moutons et les vaches qui se nourrissent dans ces décharges sauvages.
Il est utile de noter dans ce contexte que dans le but de créer un point réglementé pour l’abatage et lutter contre le phonème de l’abatage clandestin, qui prend de l’ampleur, deux abattoirs ont été ouverts récemment dans la municipalité d’Aïn El Turck. L’un de ces abattoirs est destiné à la viande blanche et le deuxième pour la viande rouge. La première structure qui emploie dix personnes a une capacité de 300 unités par jour, alors que la deuxième est d’une capacité de 500 kilos de viande rouge par jour et emploie 5 personnes. Toujours est-il que selon nos sources les contrôles inopinés effectués dans les boucheries par les brigades mixtes, composées de représentants des services agricoles, de la santé et de la DCP, ont fait ressortir la complicité de certains gérants.
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sans le vouloir peut-être, en déclarant avant-hier, que le président Bouteflika pourrait bien annoncer des décisions, mercredi 26 décembre, à même de mettre fin au
« grand flou » qui caractérise la scène politique, à moins de quatre mois de l’élection présidentielle ? Apparemment,oui. Lors d’un autre point de presse animé hier à Zeralda, la porte-parole du PT accuse les journalistes d’avoir déformé ses propos et d’avoir versé dans « l’intox ». »Aujourd’hui, j’ai découvert dans certains journaux mes déclarations, reprises même à l’étranger, faites hier sur des décisions qui seront annoncées. Je comprends, les journalistes sont dans une situation difficile mais je n’ai rien déclaré de telle. J’ai dit que des milieux parlent de la possibilité de prendre des mesures,
le 26 décembre.C’est des interprétations et non pas une information officielle », a-t-elle corrigé. Et de recommander : « Il ne faut pas ajouter de l’intox à la confusion ». Pourtant, Mme Hanoune a assuré, hier, détenir des informations, « pas officielles à 100% mais de sources presque officielles », que le Président pourrait bien faire des annonces mercredi, non sans nuancer qu’il peut aussi ne s’agir que de la signature de la loi de finances. « Des sources presque officielles, mais pas officielles à 100%, nous ont dit de nous attendre, ce mercredi, à du nouveau », a-telle dit.
Par : R. N.
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