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Updated: 4 days 12 hours ago

Peugeot Algérie : L’agent Bakalem signe un partenarait avec Al Salam Bank

Wed, 11/07/2018 - 22:38

L’agent Peugeot Bakalem de Bordj El Kiffan, annonce la signature d’un partenariat avec Al Salam Bank ce qui permettra aux clients de profiter du crédit à la consommation.

Suite à ce partenariat, la Peugeot 208 TechVision va rejoindre l’offre « Taysir » d’Al Salam Bank, une formule de crédit conforme aux préceptes de la Shari’a.

Pour rappel, la Peugeot 208 Techvision est animée par le 1.6 HDi 92ch BVM5 et ce au prix de 2.699.000 TTC et embarque l’ABS, le Régulateur et Limiteur de vitesse, 4 airbags, l’ESP, l’aide au freinage d’urgence, le Hill Assit, l’écran tactile 7″ Bluetooth/USB , Climatisation à régulation BI-ZONES, Radar arrière et caméra de recul, Toit panoramique, feux de jour DRL à LED, Feux arrière Griffes 3D LEDS, jantes en alliage 16’’ TITANE, Alarme, Allumage automatique des feux, Rétroviseurs rabattables électriquement, Vitres Sur-teintées, Volant croûte de cuir, accoudoir central, Essuie glace automatique, Détecteur de sous gonflage, Coques de rétroviseurs chrome brillant ….

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Categories: Afrique

Produits pyrotechniques : plus de 62 millions unités de pétards saisis

Wed, 11/07/2018 - 22:35

Plus de 62 millions de pétards et autres unités de produits pyrotechniques ont été saisis durant les quatre derniers mois à travers le territoire national a révélé mercredi Hakim Badjoudj, resposable à la direction générale des Douanes algérienne devant la Commission des Finances de l’APN à l’occasion des autitions autour du PLF 2019.
Une campagne de sensibilisation sur les dangers des produits pyrotechniques lancée

Par ailleurs, une campagne nationale de sensibilisation quant aux dangers de ces produits sur la santé des enfants a été lancée ce mercredi par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, impliquant d’autres secteurs et ciblant notamment les parents, a annoncé un responsable du ministère.

Placée sous le slogan « Des dinars en fumée et des vies en danger », cette campagne, qui prendra fin le 18 novembre, est dictée par la célébration de la fête du Mawlid Ennabaoui, le 20 novembre, durant laquelle l’utilisation de ces produits prohibés atteint son paroxysme, avec son lot d’accidents corporels, aux conséquences parfois graves et irréversibles, voire mortelles, précise à l’APS le Chargé de Prévention contre les accidents domestiques au ministère, Dr Rédha Hadj Mati.

La démarche consiste notamment à informer, via tous les supports médiatiques et autres portes ouvertes et conférences, le grand public, en premier lieu les parents, sur ce qui représente « un réel problème de santé publique », ajoute-t-il, faisant savoir que les Imams et les « Mourchidates » ont été mis à contribution pour consacrer leurs prêches religieux à cette question.

Tout en soulignant que ce sont les pétards qui viennent en pole position, le spécialiste fait remarquer la panoplie « de plus en plus dangereuse » mise sur le marché, ces dernières années, et dont  « l’appellation populaire même donne des frissons ».

Pour autant, avertit-il, même les pétards de « petite taille » peuvent entraîner des brûlures et des mutilations, dont les cicatrices sont « à vie et que la chirurgie ne peut qu’améliorer ». D’où, relève-t-il, l’impératif pour les parents « qui achètent eux-mêmes » ces produits, d’être sensibilisés sur cette question.

A titre illustratif, Dr Hadj Mati fait savoir qu’en 2015, la Clinique centrale des brûlés Pierre et Claudine Chaulet (Alger) a reçu, durant la célébration de cette fête religieuse, 30 urgences, en majorité des enfants de moins de 15 ans, présentant des brûlures entre le 1er et le 2é degrés, avec fractures et plaies, essentiellement au niveau des mains et du visage.

Pour y exercer, par ailleurs, en tant que chirurgien, le spécialiste fait, néanmoins, observer que le nombre des blessés a chuté comparativement à l’année précédente durant laquelle les pétards avaient causé 52 blessés dont 41 enfants de moins de 15 ans.

Le représentant du ministère de la Santé tient, en outre, à souligner que le défi consistant à mettre fin, ou tout au moins à réduire, la dangerosité de ce phénomène incombe également aux autres acteurs concernés, à savoir les ministères de l’Intérieur et des Collectivités locales, de l’Education nationale, du Commerce, des Finances (Douanes), la Protection civile, etc.

Ceci, argumente-t-il, d’autant plus que l’utilisation de ces produits ne se limite plus au Mawlid Ennabaoui mais est observée, depuis quelques années, lors de la célébration des différentes circonstances festives, en sus de leur prévalence dans les stades lors des matchs de football notamment.

Ce pourquoi, un Comité d’organisation multisectoriel composé de membres issus de ces institutions est mis en place pour piloter et mener cette campagne, qui cible, par ailleurs, les professionnels de la Santé pour leur rappeler « les bonnes pratiques » à adopter lorsqu’ils sont confrontés aux cas de brûlures ou d’amputations, conséquemment à la manipulation des produits pyrotechniques.

Outre cette action nationale, le ministère de la Santé a lancé, le 20 octobre dernier, une campagne au niveau local, à travers une note adressée aux 48 Directeurs de la Santé et de la Population (DSP) leur enjoignant de lancer diverses manifestations de sensibilisation sur les risques encourus par l’utilisation des pétards et autres produits pyrotechniques.

« La société algérienne est la seule, dans le monde arabo-musulman à fêter le Mawlid Ennabaoui de cette manière et nous ignorons l’explication de ce phénomène « , conclut Dr Hadj Mati, rappelant que depuis 1963, l’Algérie avait pourtant mis en place un dispositif législatif prévoyant « des sanctions contre la commercialisation et l’usage » des produits pyrotechniques.

Les précisions de Hakim Badjoudj à l’APN responsable à la direction générale des Douanes algériennes

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Categories: Afrique

Oum El Bouaghi : plus de 3500 logements publics locatifs seront distribués en 2019

Wed, 11/07/2018 - 22:34

Un quota de 3557 logements de type public locatif (LPL) sera distribué dans la wilaya d’Oum El Bouaghi au cours du premier trimestre 2019, a-t-on appris,  mercredi auprès de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI).

Le directeur local de l’OPGI, M. Chaouki Hebita a indiqué à l’APS que le chantier de réalisation de ce nombre « important » de logements de type LPL à travers la wilaya d’Oum El Boughi a été parachevé et qu’il ne reste pour le moment que « quelques travaux liés à l’aménagement extérieurs dans certains quartiers d’habitations ».

M. Hebita a, par ailleurs, ajouté que ce quota de logements a été affecté aux 29 communes de la wilaya dont 805 unités pour la commune d’Aïn M’lila, 670 logements  pour Aïn   El Beïda et près de 400 autres pour la commune d’Aïn Kercha.

A ce même propos, il a rappelé que plus 3000 LPL ont été distribués dans la wilaya d’Oum El Bouaghi entre 2017 et 2018.

Il est à noter que selon le directeur local du logement, M. Fodil Benyounes que pas moins de 350 logements de type promotionnel aidé (LPA)  et 500 autres de type location-vente seront distribués dans la wilaya d’Oum El Bouaghi « d’ici le premier trimestre 2019 au plus tard ».

Cette même période donnera lieu également à la distribution de 2500 lotissements de terrains dans le cadre du programme des Hauts-plateaux et des wilayas du sud ainsi que 130 aides financières à l’habitat rural, a-t-il ajouté.

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Categories: Afrique

Yousfi à Tokyo où il a pris part à un séminaire économique algéro-japonais

Wed, 11/07/2018 - 22:33

Le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Youcef Yousfi, a pris part, mercredi à Tokyo, en compagnie de hauts responsables nippons, à un séminaire économique algéro-japonais, indique un communiqué du ministère.

En marge de cette rencontre, qui a enregistré la participation d’une centaine d’entreprises japonaises et d’une trentaine d’opérateurs algériens, le ministre s’est entretenu avec M. Kenji Yamada, vice-ministre parlementaire auprès du ministre japonais des affaires étrangères et M. Hirofumi Takinami, vice-ministre auprès du ministre japonais de l’économie, du commerce et de l’industrie.

Les entretiens avec ces deux responsables ont porté sur la coopération bilatérale dans les domaines de l’industrie et des mines, selon la même source.

Le Ministre s’est, également, entretenu avec M. Hirano Katsumi, vice-président de l’Agence japonaise du commerce extérieur, avec qui il a abordé le rôle que pourrait jouer cette organisation dans la sensibilisation et l’accompagnement des entreprises japonaises désirant investir en Algérie.

M. Yousfi a, d’autre part, accordé des audiences à des responsables des constructeurs automobiles japonais Suzuki et Nissan. APS

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Pétrole : Moscou et Ryadh ont commencé à discuter de réduire la production, en 2019

Wed, 11/07/2018 - 22:32

La Russie et l’Arabie saoudite ont entamé des discussions sur une réduction de leur production l’année prochaine, à la suite des fortes baisses des prix du pétrole du mois dernier, selon un rapport de l’agence de presse russe TASS.

La Russie et l’Arabie saoudite ont déjà apporté plusieurs modifications à leurs plans de production cette année en raison de l’évolution des perspectives de production et de consommation.

En juin, la Russie et l’Arabie saoudite avaient commencé à augmenter leur production, la croissance rapide de la consommation et la perte de production du Venezuela réduisant les stocks plus rapidement que prévu et faisant monter les prix.

En août et septembre, la Russie et l’Arabie saoudite ont ressenti de nouvelles pressions pour accroître leur production, les négociants en pétrole étant inquiets de la perte des exportations iraniennes en raison des sanctions imposées par les Etats-Unis et de la flambée des prix.

Depuis lors, les signes d’une nouvelle hausse de la production de schiste américain, les inquiétudes concernant la croissance de la consommation et les dérogations aux sanctions imposées aux exportations iraniennes ont entraîné une forte baisse des prix et incité à repenser encore une fois.

Les principales sources d’incertitude pour la Russie et l’Arabie saoudite proviennent de la situation de l’économie mondiale et de la consommation de pétrole et de la production issue des champs de schiste américains.

Au cours des dernières semaines, les économistes et les investisseurs sont devenus de plus en plus pessimistes quant aux perspectives de croissance mondiale et, par extension, à la consommation de pétrole en 2019, entraînant une chute brutale des cours des actions et du pétrole.

Alors que la consommation de pétrole menace de décevoir à la baisse, la production des gisements de schiste aux Etats-Unis est surprenante à la hausse, renforçant le défi de la gestion du marché pour l’OPEP.

La production américaine de schiste a augmenté beaucoup plus rapidement que prévu cette année, avec une production supérieure de 2 millions de barils par jour en août par rapport au même mois de l’année précédente.

L’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) prévoit désormais que la production de bruts et de condensats atteindra en moyenne 10,90 millions de bpj en 2018, contre seulement 9,95 millions de barils par jour il y a 12 mois.

L’agence a relevé ses prévisions concernant la production moyenne de pétrole brut et de condensats à 12,06 millions de bpj en 2019, contre 10,85 millions de bpj en janvier.

Ces énormes révisions à la hausse de la production de schiste aux Etats-Unis, conjuguées à une perspective de croissance mondiale dégradée, ont laissé les membres de l’OPEP moins d’autre choix que de revoir leurs plans de production.

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Libye : l’émissaire onusien appelle à « l’unification » des organes de l’Etat libyen

Wed, 11/07/2018 - 22:31

L’émissaire spécial de l’ONU en Libye, Ghassan Salamé, a appelé, mercredi, à partir de Tunis, les Libyens à oeuvrer en faveur de l’unification des institutions de l’Etat du pays afin de résoudre la crise actuelle, soulignant que « seuls les Libyens décideront de leur destin politique », ont rapporté des médias locaux.

S’exprimant en marge d’une réunion avec le ministre tunisien des Affaires étrangères, Khemais Jhinaoui, à Tunis, M. Salamé a exhorté les Libyens à oeuvrer en faveur de l’unification des institutions de l’Etat afin de surmonter la crise actuelle, précisant que « les Libyens eux-mêmes devaient aider à décider du destin politique du pays », ont indiqué des médias tunisiens.

L’envoyé des Nations unies a indiqué qu’il compte soumettre jeudi un rapport au Conseil de sécurité des Nations Unies portant sur les résultats des récents efforts de l’ONU pour résoudre la crise qui dure depuis des années en Libye, ont ajouté les mêmes sources.

La Mission d’appui des Nations unies en Libye a annoncé en septembre dernier que les différentes parties à la crise libyenne avaient convenu d’un plan appelant au retrait de tous les groupes armés de la capitale Tripoli.

Lors de sa réunion avec le ministre tunisien des Affaires étrangères, M. Salamé et M. Jhinaoui ont exprimé l’espoir que la conférence internationale de Palerme sur le conflit libyenne prévue les 12 et 13 novembre serait « un pas en avant vers la recherche d’une solution pacifique à la crise en cours dans le pays », a précisé un communiqué du ministère tunisien des Affaires étrangères, cité par la presse.

Le chef de la diplomatie tunisienne a souligné également que « la stabilité en Libye revêt une importance majeure pour la Tunisie ».

M. Jhinaoui a fait part, à cette occasion, de sa satisfaction quant aux efforts faits par M. Salamé pour concrétiser le récent accord de cessez-le-feu à Tripoli, affirmant que « la Tunisie appuie fortement ces efforts onusiens pour raviver l’économie libyenne et parvenir à une résolution politique globale en harmonie avec la feuille de route des Nations Unies ».

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Arrêt de la station de dessalement d’El Hamma (Alger): l’alimentation en eau potable assurée

Wed, 11/07/2018 - 22:31

La Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL) a pris des « mesures préventives » pour garantir l’approvisionnement continu de la population en raison de l’arrêt de la station de dessalement d’El Hamma, du 4 au 8 novembre pour entretien périodique, a fait savoir le directeur d’exploitation de l’eau, Slimane Bounouh.

La station de dessalement d’El Hamma assure, au quotidien, 200 000 m3 d’eau potable, soit le cinquième (1/5) des besoins de la capitale.

L’approvisionnement quotidien des 57 communes de la capitale en eau potable est estimé à 1,2 million m3.

Dans une déclaration à la presse au terme d’une visite de terrain à la station de dessalement d’El Hamma, M. Bounouh a indiqué que des perturbations dans la distribution d’eau potable ont été enregistrées à l’est et au centre de la wilaya d’Alger du 4 au 8 novembre, en raison des travaux d’entretien périodique.

Pour remédier à ce manque durant 4 jours, Seaal a recouru à d’autres sources pour assurer l’approvisionnement en eau potable, a-t-il déclaré précisant qu’il s’agit du barrage de Taksebt à Tizi Ouzou (200.000 M3 /jour), de sept puits remis en service à El Hamiz (7000 M3/ jour) et de la station de Fouka (500 M3/jour).

Seaal a fait le choix, durant ces jours, d’assuré un approvisionnement en eau potable aux habitants de la capitale entre 6h00 et 20h00 avec des coupures durant la nuit pour permettre le remplissage des réservoirs, a-t-il indiqué.

Les travaux de maintenance et d’entretien périodique de la station de dessalement d’El Hamma seront achevés jeudi à 9h00 du matin, ce qui permettra une reprise de l’approvisionnement en eau potable 24h/24h, a précisé M. Bounouh.

Le chef du centre d’appels Seaal de Bir Mourad Raïs, Bilal Boussidi a fait état de l’organisation d’une campagne de sensibilisation au profit des clients de la Seaal sur l’arrêt périodique de la station de dessalement d’El Hamma pour des travaux de maintenance, indiquant que les appels des citoyens ont porté essentiellement sur le taux d’avancement des travaux vu qu’ils étaient informés au préalable de ces perturbations.

Du dimanche au mercredi, le centre d’appels de Bir Mourad Raïs a reçu entre 1500 et 1800 appels avec un pic de 2000 appels mercredi.

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L’interview de l’astrophysicien Tahar Amari à l’APS

Wed, 11/07/2018 - 22:28

Question 1- Enfant de la banlieue parisienne, dont les origines sont algériennes, comment êtes-vous arrivés à devenir astrophysicien de renommée mondiale ?

Réponse :  Pourquoi l’astrophysique ? C’est vrai que cela aurait pu être aussi la recherche médicale, ou les lois qui gouvernent  l’Univers.

C’est précisément, tout d’abord, à mon père Mohand-Said venu des montagnes de petite Kabylie, que je dois cette impulsion initiale. En effet, il me disait de lever la tête et que tout avait une explication, et qu’à toute maladie, il existait un remède qu’il fallait chercher…. Sans savoir lire, il était déjà scientifique, car la science se définit par cet état d’esprit, savoir qu’il existe des lois qui gouvernent le monde et les chercher. Voilà ce qui m’a profondément marqué. Le reste n’est que chemin pour y arriver, et il en existe des milliers de façon. Le moteur était là.

J’ai donc été formé en physique théorique à Paris, puis voulu faire de la recherche sur les lois de l’Univers, mais … c’est le Soleil qui m’a pris le premier et je ne l’ai jamais quitté !

Je n’ai pas choisi d’être de renommée mondiale, car cela n’est pas un but, tout au moins, ce n’était pas le mien.  J’ai pratiqué le handball à haut niveau et là, c’est vrai, que c’est un objectif pour beaucoup de sportifs en général. Mais pour la science, je souhaiterais juste  comprendre, éprouver la joie de découvrir. Pour reprendre l’analogie sportive, je voulais juste avoir plaisir à « jouer » !

2- Ce n’était pas évident pour quelqu’un né à Bobigny, fils d’un cantonnier, de réussir son intégration en France et parvenir à atteindre la sphère scientifique ?

 

Il faut être juste. A Bobigny, là où j’ai été élevé, comme partout en Seine Saint-Denis où je suis né, et souvent décriée, bien que mes parents, immigrés avant ma naissance, n’avaient jamais ni connu ni passé 5 minutes sur aucun banc d’école qui permettait à tous de réussir. La difficulté venait du milieu social, de la culture, de la langue, du niveau de vie très bas. Mais, à l’école, à part de rares cas, tout était possible.

Les institutrices et instituteurs, que j’ai eu la chance de rencontrer, étaient pour la plupart juste et aidant, à l’écoute, ne faisant pas de distinction.

La ville apportait des aides pour contrecarrer les problèmes financiers.

C’était donc dur, oui, comme conditions avec 11 enfants à la maison, mais je pouvais rêver, la tête dans les étoiles, suivant les cours ainsi jusqu’au doctorat !

Lire aussi: Les chercheurs algériens sont « talentueux » mais ont besoin de moyens 

3– Pensez-vous qu’être d’une autre origine en France est un handicap pour la réussite ? Quelles sont, selon vous, les clés de la réussite ?

Mon père était cantonnier, oui, mais il valorisait la connaissance, et cela était très porteur.  L’origine n’était pas vraiment un problème, et pourtant la guerre d’Algérie, n’était pas vraiment lointaine dans mon enfance. On rencontrait quelques préjugés, mais à l’école, quand je méritais des bonnes notes, je les avais.

Je pense que l’école, qui était de très bon niveau dans mon enfance, et qui a pas mal changé depuis, ne doit pas être l’unique source pour réussir.

Le sport est une formation de l’esprit par la pratique et les valeurs qu’il inculque, mais aussi  les entraîneurs qui ont un réel rôle d’éducateur qu’on oublie souvent, et les discussions extérieures aussi. Dans mon cas, avec mon ami de toujours Arab Larabi nous dévorions les ouvrages des philosophes et des hommes de sciences.

4- Votre récente découverte porte sur les tempêtes solaires et leur impact sur la Terre. Pouvez-vous nous expliquer plus ?

Cette découverte avec mon équipe  concerne les éruptions solaires, les mécanismes à leur origine et leur prédiction. Il s’agit de la seconde découverte sur le sujet en moins de 4 ans, les deux ayant fait la Une/couverture du magazine Nature. Une troisième entre les deux également dans Nature concerne le problème de la température de l’atmosphère beaucoup plus chaude, étrangement que la surface du soleil.

Revenons aux éruptions solaires. Les éruptions solaires peuvent envoyer du rayonnement, des particules et une énorme bulle de matière (qu’on appelle plasma) voyageant du soleil à la Terre.

L’ensemble de ces produits de l’éruption peut avoir des impacts importants sur de nombreux secteurs de notre activité économique, des satellites, lanceurs (comme Ariane, etc…), réseaux de distribution d’électricité, GPS, communications maritimes et aériennes, organismes vivants…

Tout cela couterait énormément dans le cas d’une éruption importante comme celle qui a manqué la terre en 2012 et les compagnies d’assurance le savent.

Il devient donc important de prédire une météo spatiale, et comme tout cela vient du soleil avant d’arriver sur terre. Mes recherches sont sur l’origine de ces éruptions, tant au plan fondamental de leurs mécanismes de déclenchement que celui appliqué de leur prédiction.

Ce que nous avons découvert cette année c’est que les éruptions étaient produites par une corde magnétique enfermée dans une cage magnétique et que c’est le combat entre cette corde magnétique et la cage magnétique qui allait dire quelle type d’éruption allait se produire et son énergie maximale.

Pour arriver à cela, nous avons suivi les derniers jours de la grossesse d’une éruption très importante survenue en octobre 2014, provenant d’une région énorme du soleil, pour laquelle les médias s’inquiétaient sur la Terre qui allait être dans le noir quelques mois plus tard.

Nous avons mis au point une méthode mathématique unique pour pratiquer une sorte d’échographie magnétique unique, en utilisant les données du satellite Solar Dynamics Observatory de la NASA, pour savoir quelle était la nature du « bébé » magnétique responsable de l’éruption. Et là, nous avons découvert une corde enfermée dans une cage, toutes deux magnétiques.

Nous avons découvert que la nature de l’éruption et son énergie libérée était contrôlé par le rapport de force entre la corde et la cage et que dans le cas de ce type d’éruption c’est la cage qui l’emportait et aucune bulle de matière n’était éjectée, seule du rayonnement ayant causé des troubles de communications en 2014. Alors que dans l’autre type d’éruptions  comme celui que nous avions découvert en 2014 et qui avait aussi fait la couverture de Nature, c’est la corde qui l’emportait et propulsait une éjection de masse qui devenait un gigantesque nuage magnétique voyageant vers la terre et générant un orage géomagnétique.

5- Vous avez participé récemment au lancement, par l’ambassade d’Algérie en France, du Cercle Saint-Augustin, un cadre de réflexion entre la diaspora algérienne en France pour explorer les possibilités de jeter des passerelles avec l’Algérie. Comment comptez-vous participer à ce cercle de réflexion et quelles sont vos attentes ?

Ce cercle est une excellente initiative. Il n’est pas construit verticalement mais horizontalement, et son but est de permettre la création active d’un réseau d’expertises et d’expériences permettant de favoriser les interactions fructueuses avec les institutions, jeunes et moins jeunes chercheurs, universitaires ou non en Algérie.

Les attentes sont différentes. Certains collègues ont étudié en Algérie et connaissent bien le système éducatif et de recherche et ont parfois connu des difficultés à construire le pont avec l’Algérie. N’ayant pas été élevé et éduqué en Algérie, j’ai un regard neuf et naïf peut-être. Je suis donc optimiste dans ce sens. Nous sommes souvent isolés et ignorons les expériences des autres collègues et le Cercle peut permettre de coordonner de tels efforts, et de favoriser et aider à construire de telle relations.

6- On parle beaucoup, ces temps-ci, de la diaspora algérienne vivant à l’étranger et de ses capacités à donner un plus aux efforts de recherche et de développement déployés en Algérie. Concrètement, quel apport pourrait donner cette diaspora à l’Algérie, un pays qui a toujours besoin des enfants ?

 

C’est d’abord le pays d’origine qui possède une dynamique et celle-ci est ensuite suivie par une réponse de la « communauté » (je n’aime pas le mot diaspora, ou même communauté) à l’étranger. C’est donc avant tout la formation dans le pays qui est le secteur primordial, une formation adaptée aux besoins économiques.

Ce travail peut et doit aussi être fait en parallèle avec les autorités françaises sur place en Algérie, car des accords de coopération sont établis entre les deux pays et peuvent aussi contribuer à la mise en place d’action. Souvent, comme c’est mon cas, il s’agit de citoyens nés et formés en France.

7- Comment évaluez-vous le niveau de la recherche en Algérie, les moyens mis à sa disposition et quelles sont, d’après vous, les priorités pour arriver à concilier le monde de la recherche au développement économique ?

Les chercheurs Algériens sont talentueux, pas moins que ceux de n’importe quel autre pays. J’en rencontre dans des conférences internationales de haut niveau. Mais le niveau qu’ils arrivent à rejoindre peut être disparate en raison des moyens nécessaires pour mener cette recherche qui sont aussi différents suivant les disciplines.

Un chercheur vit par son lien avec l’International, car la recherche est internationale avant tout. Il faut penser ainsi, car la recherche concerne l’humanité toute entière et est acceptée par elle.  Sinon, l’enfermement est une sorte de mort incompatible. C’est un mécanisme à double flux. Il faut envoyer à l’étranger et accueillir des chercheurs étrangers dans les laboratoires algériens. C’est ce qui est fait dans les pays en pointe de la recherche.

D’où je suis ici, loin du système algérien, je dirais que cela me parait  plus difficile dans le domaine expérimental que celui de la théorie pure où le manque de moyens peut tout de même permettre de progresser. Les expériences nécessitent des moyens importants qui, seuls, peuvent permettre de se hisser à un niveau et ainsi faire que les jeunes chercheurs algériens aient une valeur à l’étranger où ils pourront séjourner et les laboratoires algériens, réciproquement, pourraient être attractifs.

Contrairement à ce que certains pensent, investir dans la science et la recherche c’est gagner dans le développement économique et éducatif, de manière naturelle. C’est investir pour l’avenir des adultes au jeunes. La science ne s’arrête pas qu’aux scientifiques. Elle inonde et nourrit l’éducation et la société. La recherche sert à former les politiques, les  décideurs, les entrepreneurs qui ne deviendrons pas tous des chercheurs. Ils pensent au-delà de l’utilisation immédiate, et cela paie, pour le durable. Le monde politique y gagne aussi.

Il faut accroître les investissements dans la recherche et, plus généralement, c’est science et l’éducation qui seront utiles pour le futur.

Dans des pays comme le Japon, Singapour ou l’Allemagne, le développement va de pair avec la recherche. Le budget de la recherche et l’éducation doit être plus élevé, c’est un investissement pour l’avenir qui payera.

8- Les autorités algériennes ont consenti d’énormes efforts dans la massification de l’enseignement supérieur. Pensez-vous que la place, maintenant, est à la nécessaire intégration professionnelle des diplômés (l’employabilité) ?

Encore une fois, Je ne vis pas ni n’ai jamais vécu en Algérie. Cependant, quand on pense à la recherche, on pense à l’enseignement supérieur. Mais il faut penser éducation tout court. La science, qui forme les citoyens et les protège, commence bien plus tôt avec des esprits plus  jeunes, quels qu’ils soient, qui seront des citoyens bien armés pour réfléchir et atteindront l’enseignement supérieur, bien plus tard.

Les chercheurs contribuent à former les professeurs et les instituteurs qui eux forment ensuite les jeunes.

D’autre part, former par l’enseignement supérieur est bien, mais je m’interroge sur le sens d’engagement sans se soucier de l’intégration professionnelle en même temps. Là encore c’est un système à double flux, les deux en même temps et réciproquement. Il faut travailler avec les entreprises et ne pas attendre la fin de formation pour s’intéresser à elles.

Prenons l’exemple du numérique comme le Big Data. La demande est tellement grande que les entreprises manquent de candidats. Les grandes écoles intègrent de telles formations pour répondre à cette demande pour l’avenir.

En Algérie, il faut une synergie, entre la recherche, qui nourrit l’enseignement, et l’industrie locale et internationale. Les Algériens doivent trouver un emploi correspondant aux besoins des entreprises présentes sur le sol ou à l’étranger.

Des formations avec un lien fort avec l’industrie, incluant de nombreux stages doivent être renforcées.  On comprend qu’on rejoint alors la question des moyens.

Prenons par exemple encore l’informatique, nourriture de base de toute formation ou industrie. Former à la théorie informatique c’est bien, mais ce sont les nombreux stages et classes d’apprentissages qui rendent la connaissance utile. Et pour cela, il faut beaucoup de cours pratiques avec des moyens informatiques à la hauteur.

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Prise de toutes les mesures pour palier à l’apparition de cas de rougeole

Wed, 11/07/2018 - 22:27

ALGER – Le ministère de la Santé de la Population et de la Réforme hospitalière, a indiqué mercredi que toutes les mesures ont été prises pour palier à l’apparition de cas sporadiques derougeole.

Indiquant dans un communiqué que « des cas sporadiques de rougeole sont signalés dans certaines wilayas », le ministère de la Santé a rassuré que « toutes les mesures pour palier à l’apparition de ces cas sont prises conformément au dispositif en vigueur dans le plan national de surveillance au cas par cas de rougeole ».

Ces mesures sont traduises à travers, « la notification immédiate de tout cas suspect de rougeole, la prise en charge médicale de tous les cas suspects, l’hospitalisation des cas compliqués, la réalisation de l’enquête épidémiologique autour des cas suspects, la confirmation sérologique des cas suspects, l’organisation d’une campagne de vaccination ciblant l’entourage des cas, ceci quel que soit le statut vaccinal », souligne le ministère.

Ce dernier  rappelle que « la rougeole, bien qu’elle soit une maladie bénigne reste à très haut risque avec de graves complications pouvant entrainer le décès quand elle touche les nourrissons non encore éligibles à la vaccination, les enfants non vaccinés  et les enfants immunodéprimés ».

Relevant que la vaccination est « la meilleure protection contre la rougeole qui est considérée comme la plus contagieuse des maladies infantiles », le ministère de la Santé  » insiste sur la nécessité de vacciner les enfants contre la rougeole conformément au calendrier national de vaccination ».

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Algérie-Espagne: engagement pour une reconnaissance universelle des fortifications historiques d’Oran

Wed, 11/07/2018 - 22:25

ORAN – L’inscription des fortifications historiques d’Oran au patrimoine mondial est au centre d’un projet de travail collaboratif entre l’Algérie et l’Espagne, a annoncé mercredi le Directeur de la Conservation et de la restauration du patrimoine culturel au ministère de la Culture.

« Les deux pays s’engagent à travailler sur la construction du dossier qui permettra, à terme, de reconnaître la valeur universelle exceptionnelle du système de fortifications d’Oran », a précisé Mourad Bouteflika à l’occasion d’un symposium algéro-espagnol sur la réhabilitation du patrimoine.

« L’action envisagée avec nos collègues espagnols consiste à proposer un dossier de protection de ce système de fortifications sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité », a-t-il expliqué dans une déclaration à l’APS à l’issue de cette rencontre technique.

Tenu deux jours durant à l’auditorium de l’Université des sciences et de la technologie d’Oran « Mohamed Boudiaf » (USTO-MB), le symposium a réuni plusieurs spécialistes algériens et étrangers, dont des experts auprès de l’Unesco.

La participation espagnole a permis dans ce contexte de mettre en relief l’expérience de ce pays en matière de restauration et de réutilisation des monuments historiques, qui peut, selon nombre d’intervenants, inspirer les interventions futures sur le système de fortifications érigé durant la période d’occupation espagnole à Oran (1509-1792).

Le représentant du ministère de la Culture s’est félicité à cet égard du fait que « la partie espagnole a affirmé sa disponibilité à accompagner la partie algérienne pour améliorer les niveaux de connaissances et d’intervention ».

Il s’agit, a-t-il développé, d’assurer « la qualification des personnels qui seront amenés aussi bien à intervenir sur ces biens culturels mais aussi à les valoriser et à les intégrer dans un usage moderne et renouvelé ».

Le responsable a toutefois souligné que l’objectif immédiat de son département porte d’abord sur l’inscription des fortifications considérées sur la liste du patrimoine national, signalant qu’un dossier en ce sens sera présenté à la Commission nationale des biens culturels avant la fin de l’année en cours.

Il a également salué les efforts considérables des pouvoirs publics à Oran qui ont conduit à l’évacuation des ensembles d’habitats précaires qui entouraient ces fortifications, aujourd’hui « plus visibles » et pouvant être inscrites dans « un projet global de valorisation ».

Le représentant du ministère de la Culture a encore mis l’accent sur l’intérêt de ces actions en soutenant qu’elles cadrent parfaitement avec les ambitions affichées par Oran au sein du bassin méditerranéen.

Les Jeux méditerranéens prévus dans cette ville en 2021 constituent à ce titre « une perspective dynamisante » pour tous les projets d’inscription qui impliquent également « la contribution des universitaires et de la société civile », a-t-il conclu.

Le symposium algéro-espagnol tenu à l’USTO-MB s’était ouvert mardi en présence des autorités locales, de la rectrice de cet établissement, de l’ambassadeur d’Espagne en Algérie, et de la directrice de l’Institut Cervantès d’Oran.

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Une Algérienne en demi-finale du programme TV « Stars of Science »

Wed, 11/07/2018 - 22:25

ALGER – L’Algérienne, Sylia Khecheni, directrice de la Recherche et du développement à Algérie Télécom (AT) a décroché « avec brio » une place pour la demi-finale de la dixième saison de l’émission « Stars of Science », parmi des centaines de participants, a indiqué un communiqué d’AT.

Initié par la Fondation du Qatar pour l’éducation, la science et le développement, « Stars of Science », est un programme tv diffusé sur des chaines arabes, à l’instar de MBC 4, et dédié aux inventeurs dans le domaine des sciences et des technologies, a précisé la même source, ajoutant que dans cette dixième saison, 9 candidats sont appelés à développer des solutions créatives dans les secteurs des technologies de l’information, de l’énergie, de l’environnement et de la santé.

Un groupe d’experts évaluera et validera les projets lors de la phase de prototypage du produit, dont 4 candidats se hisseront en finale http://www.starsofscience.com, a relevé la même source.

Le projet de Mme Khecheni s’est distingué par rapport à ses concurrents avec son prototype qui consiste à créer un appareil de surveillance et de brouillage des drones amateurs pour la protection de la vie privée.

La dernière phase prévue les 10 et 17 novembre 2018 sera consacrée à la sélection des 4 finalistes. A cet effet, l’unique représentante de l’Algérie a besoin du soutien du public à travers sa page Facebook: https://www.facebook.com/SyliaKhecheniSOS.

Mme Khecheni a réussi, au coté de Abderrahim Bourouis, ancien participant à l’émission « Stars of Science » et un des lauréats, à obtenir quatre brevets d’invention remarquables et un cinquième brevet décroché auprès du Bureau américain des brevets et des marques de commerce (USPTO).

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Le CRTI classé 1er à l’échelle africaine et arabe en matière de « contrôle non destructif »

Wed, 11/07/2018 - 22:24

SKIKDA – Le Centre de recherche en technologies industrielles (CRTI), relevant du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, vient d’être « classé premier à l’échelle africaine et arabe en matière de Contrôle non destructif (CND) » par une base de données allemande, a indiqué mercredi à Skikda son directeur, Mustapha Yahi.

Le CRTI, implanté à Alger « leader à l’échelle nationale, africaine et arabe » est l’unique institution scientifique spécialisée en contrôle non destructif (CND) qui représente un ensemble méthodes qui permettent de vérifier l’état de structures ou de matériaux sans les dégrader, a souligné à l’APS, le même cadre en marge de l’ouverture de la 6ème conférence internationale sur les technologies de soudure et l’industrie des matériaux, tenue à l’université de Skikda.

« Cette classification a tenu compte du nombre de publications, articles et travaux de recherche effectués par les établissements de recherche dépendant du centre », a précisé la même source.

De son côté, Pr. Riadh Badji, directeur-adjoint du CRTI, a indiqué que l’objectif de la conférence qui regroupe des chercheurs, des soudeurs et contrôleurs industriels d’entreprises publiques et privées de diverses régions du pays est d’échanger les expériences et faire le point sur les nouvelles technologies dans le domaine du CND particulièrement en matière de transport des hydrocarbures.

Le travail est actuellement centré sur « le développement d’une nouvelle technique de soudure et de contrôle de soudure susceptible de garantir une grande longévité à la pièce soudée », a ajouté le même cadre qui a indiqué que le CRTI assure des formations continues aux contrôleurs de soudure qui vérifient le travail des soudeurs.

Initiée par le CRTI en coordination avec l’université « 20 août 1955 » de Skikda, cette conférence de deux jours donnera lieu jeudi en fin d’après-midi à une rencontre avec les représentants de la société civile pour les inviter à s’intéresser davantage aux domaines de la science, a indiqué le recteur de l’université de Skikda, Salim Heddad.

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Oran: condamnations de la perpétuité à 10 ans de prison ferme dans l’affaire de 14 quintaux de kif

Wed, 11/07/2018 - 22:21

ORAN – Quatre condamnations à la perpétuité et quatre autres à 10 ans de prison ferme ont été prononcées mercredi par le tribunal criminel de première instance d’Oran contre huit mis en cause poursuivis dans une affaire de trafic de plus de 14 quintaux de kif traité.

Le représentant du ministère public a requis la réclusion criminelle à perpétuité à l’encontre des huit accusés dont un est en fuite.

Les faits de cette affaire remontent au mois d’avril 2016, lorsque des informations sont parvenues aux services de sécurité faisant état d’un important réseau de trafiquants de drogue dont un membre connu sous le pseudonyme de Hadj Mohamed, en état de fuite, prenait en charge l’acheminement de la drogue du Maroc vers Hassi Messaoud via Oran.

Selon l’arrêt de renvoi, un camion se chargeait du transport de la drogue de Nedroma vers Oran et ensuite d’autres individus prenaient le relais pour l’acheminer Hassi Messaoud. L’enquête s’est soldée par la saisie, au niveau de la gare routière de hai « El Hamri » à Oran, du camion frigorifique à bord duquel une quantité de 795 kg de kif traité a été découverte, en plus de l’arrestation du conducteur en sa possession un faux permis de conduire, ainsi que deux autres prévenus venus du sud du pays pour récupérer le camion frigorifique.

Les investigations ont permis ensuite une autre prise à Ain Témouchent de 610 kilos de kif traité et saisi un camion où était transportée la drogue et deux véhicules d’éclaireurs, ainsi que l’arrestation de quatre individus. L’instruction a pu démontrer que les mis en cause étaient en relation avec un réseau international de narcotrafiquants dont plusieurs éléments avaient, auparavant, déjà été arrêtés, jugés et condamnés pour des faits liés au trafic de stupéfiants, a-t-on précisé.

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Oran: plus de 80 exposants au salon e-logia et Home design en novembre

Wed, 11/07/2018 - 22:21

ORAN – Plus de 80 exposants prendront part du 19 au 24 novembre à Oran à la 5ème édition du salon international de l’immobilier, du logement et des maisons intelligentes « e-logia » jumelée à la 6ème édition du salon de l’ameublement et de la décoration « Home design », a-t-on appris mercredi du commissaire des deux salons.

Organisée par l’Agence de communication « Up Concept Design », cette manifestation regroupera pas moins de 80 exposants nationaux mais aussi de France, d’Italie, de Belgique, de Turquie, d’Espagne, du Portugal et de Chine, qui participeront à ces deux manifestations, destinées exclusivement au marché de l’habitat de luxe et de haut standing.

Ces deux salons jumelés représentent des opportunités pour faire connaître les nouveautés dans le secteur et promouvoir le partenariat et la mise en relation d’affaires dans le domaine de l’immobilier et de la décoration, a indiqué à l’APS l’organisateur du salon, Akram Sidi Yakhlef.

Cette double manifestation ambitionne d’offrir au public « des solutions immobilières répondant à leurs besoins et selon leurs bourses », par des promoteurs immobiliers, bureaux d’architecture et professionnels de l’ameublement, de l’hôtellerie et de la décoration, a-t-il précisé.

Dans cette édition, des projets de logement avec une touche de modernité sont exposés, tels les logements écologiques et modernes, équipés de solutions intelligentes comme l’économie d’énergie et la domotique (un ensemble de techniques de l’électronique, de la physique de l’informatique et des télécommunications permettant une gestion automatisée de l’habitation et utilisé dans le bâtiment), solutions qui s’adaptent parfaitement avec l’environnement, a expliqué la même source.

Le premier salon e-logia regroupe les professionnels de l’immobilier, du logement et de l’habitat moderne et fonctionnel et aussi des promoteurs immobiliers désirant s’investir dans le bâtiment intelligent, alors que le salon « Home Design » réunit des professionnels de l’ameublement, de l’hôtellerie et de la décoration des maisons modernes.

Le respect de l’environnement est la particularité du salon « e-logia » qui permettra de présenter les différentes techniques en matière d’habitat écologique, tels que le recyclage de l’eau, les panneaux solaires et le chauffage du sol, a-t-on souligné.

Le public sera invité à prendre connaissance des offres immobilières sur le marché et des nouveautés en terme de « maisons intelligentes », structures futuristes alliant l’économie d’énergie, le confort et la sécurité.

Des conférences en faveur des professionnels du secteur, ainsi que des animations liées à la décoration de maison sont au programme des organisateurs qui espèrent faire de cette manifestation économique un événement phare du secteur.

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Oran: réception de la nouvelle aérogare de l’aéroport international en mars

Wed, 11/07/2018 - 22:20

ORAN – La nouvelle aérogare de l’aéroport international « Ahmed Benbella » d’Es Sénia (Oran) sera réceptionnée en mars prochain, a-t-on appris du directeur général de l’Entreprise de gestion des services aéroportuaires (EGSAO), Abdelkader Kessal.

« La réception de la nouvelle aérogare était prévue à la fin d’année en cours, mais a été cependant reportée à mars 2019, pour permettre à l’EGSAO de lever certaines difficultés », a indiqué le Dg de cette entreprise, initiatrice du projet.

« Les raisons de ce retard sont dues à des difficultés liées à l’importation d’équipements nécessitant l’intervention du ministre des Travaux publics et des Transports et la société Cosider a été chargée des travaux qui sont en net avancement », a fait savoir M. Kessal.

Le même responsable a souligné que le nouvel aéroport international est conçu « selon les standards internationaux et doté d’équipements de dernière génération ».

L’importation des équipements qui renforceront cette infrastructure de base est entrée en phase de livraison. L’Etat a consacré des moyens importants pour l’acquisition des équipements très modernes pour garantir le repos du voyageur répondant aux normes internationales.

La nouvelle aérogare de l’aéroport international « Ahmed Benbella » devra accueillir, une fois réceptionnée, 3,5 millions de voyageurs par an, selon son directeur général.

Par ailleurs, le nouveau parking à étages de l’aéroport doté d’une capacité de 1.200 véhicules et financé par l’EGSAO entrera en service fin février prochain, selon M. Kessal qui a également annoncé que la zone de fret sera réceptionnée prochainement.

L’Entreprise des services de gestion des services aéroportuaires d’Oran supervise 11 aéroports à l’Ouest et au Sud-ouest du pays.

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Le peintre et calligraphe Mohamed Bouthelidja exposera prochainement en Indonésie

Wed, 11/07/2018 - 22:20

SOUK AHRAS – Le peintre et calligraphe Mohamed Bouthelidja originaire de la ville de Souk Ahras exposera prochainement ses œuvres en Indonésie, a-t-on appris mercredi, auprès de l’artiste.

Rencontré en marge de l’ouverture de l’exposition de l’artisanat qui se tient à la salle des fêtes Noureddine Djouad, l’artiste a inscrit cette prochaine exposition dans le cadre des échanges culturels entre les deux pays et assurant que parmi la collection choisie, figureront ces œuvres inspirés du style maghrébin de calligraphie islamique qu’il a développé depuis ses études d’arts plastiques à Paris (France) durant les années 1970.

Le plasticien qui a invité les autorités de wilaya à œuvrer à ressusciter le festival international des arts plastiques de Souk Ahras pendant les années 1980, a présenté lors de l’exposition ses plans pour les nouvelles façades du siège de la commune et du nouveau siège de la wilaya de Souk Ahras en voie de réalisation au côté de plusieurs autres toiles et calligraphies.

L’exposition de l’artisanat  qui se poursuit jusqu’au 14 novembre courant a réuni des artisans (bijoutiers, dinandiers, potiers, pâtissiers, sculpteurs, plâtriers, maroquiniers) des wilayas de Batna, El Tarf, Annaba, Oran, Constantine, Biskra, Skikda, Bouira et Tizi Ouzou.

Son objectif est de faire connaitre et promouvoir les produits artisanaux et favoriser leur commercialisation, a assuré la directrice par intérim du tourisme et de l’artisanat, Nafissa Fatmi.

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Alger: 9 individus arrêtés pour trafic de cocaïne et de cannabis

Wed, 11/07/2018 - 22:19

ALGER – Les services du groupement territoriale de la Gendarmerie nationale de la wilaya d’Alger ont procédé à l’arrestation de neuf (09) individus impliqués dans la constitution de deux réseaux criminels de trafic de cocaïne, de cannabis, de kif traité et de possession d’équipements sensibles et d’armes blanches, a indiqué, mercredi, un communiqué de la cellule de communication de ce corps sécuritaire.

Agissant sur informations obtenues par la section territoriale de la gendarmerie nationale de Dar El Beida faisant état d’un réseau s’adonnant au trafic de cocaïne sur l’axe Alger-Boumerdès, les mêmes service ont procédé à la formation de deux groupes d’enquêteurs en vue de suivre cette affaire. L’exploitation exemplaire de l’information et la surveillance minutieuse outre l’utilisation des technologies modernes ont permis, selon le communiqué, d’arrêter six (06) individus formant ce groupe criminel, dont la majorité sont des repris de justice âgés entre 30 et 50 ans issus des wilayas d’Alger et de Boumerdes.

Les opérations de perquisition ont permis de saisir 10 grammes de cocaïne et une quantité importante de drogues (kif traité) outre la saisie d’équipements sensibles interdits et d’armes blanches de différents types et volumes.

Les mis en cause au nombre de 6 ont été présentés devant le procureur de la république près le tribunal d’El Harrach, qui a ordonné leur mise en détention au à l’établissement de rééducation d’El Harrach.

Traitée par la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Douéra (Alger) , la deuxième affaire s’est soldée par le démantèlement d’un autre réseau composé de trois (3) ressortissants africains (deux hommes et une femme), qui s’adonnaient au trafic du cannabis sous forme de paquets et des matières brutes.

La rapport d’expertise scientifique établi par l’Institut national de criminalistique et de criminologie (INCC) a révélé que ces matières entrent dans la composition des drogues et ce après avoir pris connaissance de la nature physico-chimique et microscopique de la matière végétale soumise au contrôle international.

Les procédures légales finalisées, les mis en cause de ce réseau ont été présentés devant le procureur de la république près le tribunal de Koléa qui a ordonné leur mise en détention à l’établissement de rééducation d’El Harrach.

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Dégradation continue de la santé des détenus palestiniens dans les prisons israéliennes

Wed, 11/07/2018 - 22:15

RAMALLAH – La Commission palestinienne des Affaires des prisonniers et ex-prisonniers a révélé mercredi que la dégradation continue de l’état de santé des prisonniers palestiniens malades, et blessés se trouvant au niveau d’une clinique d’une prison israélienne.

Ces détenus palestiniens se trouvent au sein de la clinique de la prison  »Al-Ramla’’, et « souffrent de la négligence médicale, selon un communiqué de presse de la Commission, repris par l’agence de presse palestinienne Wafa.

« L’administration « d’Al-Ramla » retarde délibérément le traitement des prisonniers malades », a ajouté la même source, révélant dans la foulée, qu’un nombre important de détenus palestiniens souffraient « de plusieurs problèmes graves de santé ».

Début octobre écoulé, la même Commission avait dénoncé la négligence médicale de trois autres détenus Palestiniens détenus dans des prisons de l’occupant israélien, alertant sur leur état de santé « inquiétant ».

Fin septembre écoulé, la même Commission a évoqué le cas d’un autre détenu palestinien, Mohammad Abu Khader, 34 ans, dont la santé se détériorait de plus en plus suite à une insuffisance rénale.

Durant la même période, la Commission, a également alerté sur la dégradation de l’état de santé de cinq autres Palestiniens malades détenus au niveau « des prisons d’Ofer, Majiddo, et Asqalan.

Début juin dernier, des responsables palestiniens, avaient appelé les institutions internationales à enquêter sur la politique de négligence médicale pratiquée par l’administration pénitentiaire de l’occupant israélien à l’encontre des détenus palestiniens malades.

Selon le Club des Prisonniers Palestiniens, 1500 prisonniers souffrant de maladies chroniques « sont victimes de négligence médicale ».

Plus de 7000 Palestiniens, dont 57 femmes et 300 enfants, se trouvent actuellement au niveau de 24 établissements pénitentiaires de l’occupation israélienne, selon des statistiques palestiniennes.

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Algérie-Qatar/ agriculture: réunion des opérateurs pour examiner les opportunités de coopération

Wed, 11/07/2018 - 22:12

DOHA (Qatar) – Une délégation d’opérateurs économiques algériens a rencontré, mercredi à Doha (Qatar), les responsables du groupe « Hassad Food », spécialisé dans les produits agricoles, sous la présidence du ministre du Commerce, Saïd Djellab, pour examiner les opportunités de partenariat et de coopération.

La réunion a eu lieu en marge du salon « Hospitality & Food », organisé à Doha du 6 au 8 novembre, avec la participation de l’Algérie comme invité d’honneur.

Les opérateurs économiques ont examiné les possibilités d’établir un partenariat entre l’Algérie et le Qatar, d’autant plus que l’Algérie est désormais considérée comme un point de passage vers le marché africain.

M. Djellab a mis en avant, durant la rencontre, l’importance de renforcer les échanges avec la partie qatarie dans le cadre de la stratégie du gouvernement visant la diversification des exportations hors hydrocarbures et la réduction du volume des importations.

L’Algérie œuvre, a dit le ministre, à réaliser des investissements avec les partenaires qataris dans les domaines de la production de l’aliment de bétail, des céréales, des viandes et des volailles, ce qui représente de grandes opportunités pour les investisseurs en Algérie.

Les opérateurs ont mis en exergue la diversité des produits algériens qui reposent sur des investissements destinés à la commercialisation locale et à l’exportation.

Pour leur part, les responsables du groupe « Hassad Food » ont exprimé leurs intérêts pour les dattes algériennes, sachant que le groupe possède la plus grande usine de conditionnement et d’exportation de dattes au Qatar.

Ils ont émis également le vœu de se tourner vers le marché algérien dans le domaine des dattes connues pour leur qualité, aux côtés des marchés koweïtien, iranien et autres.

Outre les responsables algériens, la réunion s’est déroulée en présence du vice-président du groupe « Hassad Food », Ali Hallal Al-Kuyari, le directeur exécutif des relations commerciales du groupe « Hassad-Food », Moubarek Rached Al-Sahoudi, et de cadres du groupe

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20e réunion ministérielle du FPEG: Guitouni à Trinité-et-Tobago le 14 novembre

Wed, 11/07/2018 - 22:12

ALGER – Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, prendra part, le 14 novembre courant à Port d’Espagne (Trinité-et-Tobago), à la 20ème réunion ministérielle du Forum des Pays Exportateurs de Gaz (FPEG), a indiqué mercredi un communiqué du ministère.

Lors de cette réunion qui marquera la célébration du 10ème anniversaire du FPEG, les ministres des pays membres débattront, entre autres sujets importants, du rôle du gaz dans l’économie mondiale et des tendances actuelles et futures des marchés énergétiques telles que projetées dans le Global Gas Outlook 2040 (GGO) et dans le bulletin statistique annuel du FPEG à paraître en décembre 2018, a ajouté la même source.

Les ministres aborderont notamment les projections énergétiques modélisées à long terme, fondées sur des hypothèses en rapport avec les conditions macroéconomiques, les prix de l’énergie et les politiques énergétiques en vigueur.

Dans l’intervalle, M. Guitouni interviendra le 13 novembre courant à Port d’Espagne dans un panel consacré au gaz naturel et à la sécurité énergétique à long terme, et ce, à l’occasion de la tenue d’un Symposium spécial organisé par le FPEG en collaboration avec le ministère de l’Energie et des Industries énergétiques de Trinité-et-Tobago.

Participeront à ce symposium les ministres de l’énergie membres du FPEG, des responsables d’organisations internationales de l’énergie telles que l’Organisation latino-américaine de l’Energie (OLADE) et l’Union internationale du gaz (UGI) ainsi que de grandes compagnies énergétiques.

Pour rappel, la 19ème réunion ministérielle du Forum des pays exportateurs de gaz s’était tenue en octobre 2017 à Moscou, pour examiner la situation du marché mondial du gaz et élaborer une stratégie commune pour la période 2018-2022.

Lors de cette réunion ministérielle, il avait été décidé officiellement, que l’Algérie abrite le futur siège de l’institut de recherches gazières.

En confiant ce projet à l’Algérie, les pays membres du FPEG avaient confirmé ainsi la résolution adoptée, en ce sens, en 2015 lors du Sommet des chefs d’Etats et de gouvernement.

La décision prise à Moscou, intervenait après la présentation de l’étude de faisabilité élaborée par un bureau d’études international, qui avait démontré l’apport considérable qu’apportera cet institut, une fois réalisé, aussi bien pour le FPEG en tant qu’institution, que pour ses pays membres.

Le FPEG est une organisation intergouvernementale créée lors de la 8ème session du Forum informel des pays exportateurs de gaz, tenue en décembre 2008 à Moscou.

Il est actuellement composé de 19 pays membres dont l’Algérie, Bolivie, Egypte, Emirats Arabes Unis, Guinée équatoriale, Iran, Libye, Nigéria, Qatar, Russie, Trinidad et Tobago et le Venezuela, ainsi que de 7 pays observateurs: Azerbaïdjan, Irak, Kazakhstan, Norvège, Oman, Pays-Bas et Pérou.

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