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Union européenne

89/2018 : 21 juin 2018 - Conclusions de l'avocat général dans les affaires jointes C-391/16, C-77/17 et C-78/17

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 06/21/2018 - 10:00
M
Espace de liberté, sécurité et justice
Selon l’avocat général Wathelet, les dispositions de la directive sur les réfugiés permettant à un État membre de refuser ou de révoquer le statut de réfugié sont compatibles avec le droit de l'UE

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Villeroy de Galhau s’inquiète du protectionnisme croissant

Euractiv.fr - Thu, 06/21/2018 - 09:44
Le gouverneur de la Banque de France s'alarme des risques de guerre commerciale, des États-Unis au Royaume-Uni avec le Brexit. Les relèvements de tarifs et le climat d'incertitude pourraient peser sur la croissance mondiale. Un article de notre partenaire La Tribune.
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Benoît Hamon : « l’année des Européennes sera celle de notre éclosion »

Euractiv.fr - Thu, 06/21/2018 - 09:38
Le fondateur de Génération-s, candidat du Parti socialiste à l’élection présidentielle de 2017, mise sur les élections européennes de 2019 pour faire grandir son mouvement. Un article de notre partenaire Ouest-France.
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Le CESE défend le budget de la politique de cohésion européenne

Euractiv.fr - Wed, 06/20/2018 - 17:52
Le Conseil économique, social et environnemental s’oppose aux coupes budgétaires prévues par la Commission européenne pour la programmation 2021-27, dans un avis adopté à la quasi unanimité.  
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Accord européen pour viser une économie à zéro émission

Euractiv.fr - Wed, 06/20/2018 - 11:17
Les négociateurs de la Commission, du Parlement et du Conseil ont conclu un accord sur la gouvernance de l’union de l’énergie. Leur ambition : une économie à zéro émission « le plus tôt possible », avec un budget carbone et des stratégies nationales pour 2050.
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Armement : le collé-serré de Berlin et Paris

Euractiv.fr - Wed, 06/20/2018 - 10:15
A l'occasion du sommet franco-allemand, Paris et Berlin ont consolidé les programmes SCAF (système de combat aérien du futur) et Main Ground Combat System, le char de combat du futur. Un article de notre partenaire La Tribune.  
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De nombreuses filières agricoles continuent de travailler à perte

Euractiv.fr - Wed, 06/20/2018 - 10:07
Si les prix agricoles ont légèrement augmenté en 2017, nombre de filières agricoles continuent de travailler à perte, selon l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires.
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Macron et Merkel signent la déclaration de Meseberg pour réformer l’Europe

Euractiv.fr - Wed, 06/20/2018 - 09:55
Le président et la chancelière ont tenu une conférence de presse commune pour afficher les positions franco-allemandes avant un sommet européen fin juin. Au menu : Europe de la défense, les migrants, la réforme de la zone euro. Un article de notre partenaire Ouest-France.
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Dacian Ciolos : « il faut montrer aux Roumains que la politique n’est pas la mafia »

Euractiv.fr - Wed, 06/20/2018 - 09:53
Alors que la Roumanie se prépare pour la présidence tournante de l’UE, au premier semestre 2019, Euractiv a rencontré Dacian Cioloș. L’ex-Premier miniestre et commissaire à l’agriculture vient de créer un mouvement civique, qui cible notamment les élections européennes, un genre d'En Marche à la roumaine.
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Face aux critiques, l’industrie du plastique fait la sourde oreille

Euractiv.fr - Wed, 06/20/2018 - 09:36
La fédération PlasticsEurope a présenté, ce 19 juin, le bilan de la consommation de plastiques -en hausse- en Europe et a jugé «contestables»les mesures réglementaires visant à limiter les produits jetables.  
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Berlin et Paris veulent un budget pour la zone euro

Coulisses de Bruxelles - Wed, 06/20/2018 - 00:22

La ténacité d’Emmanuel Macron a fini par payer. Angela Merkel a enfin accepté, mardi, lors du sommet franco-allemand de Meseberg (nord de Berlin) d’approfondir la zone euro comme le propose depuis un an le Président de la République, une perspective qu’elle rejetait, ou plus exactement freinait, il y a quelques mois encore de peur de créer une « union de transferts » entre le nord et le sud. Bien sûr, la chancelière n’a pas donné son feu vert à toutes les propositions du chef de l’État français : ainsi, le parlement de la zone euro et le ministre des finances européen passent à la trappe. Mais elle s’est ralliée, et c’est le plus important, au principe d’un budget propre aux dix-neuf pays qui ont adopté la monnaie unique et est enfin prête à achever l’Union bancaire. La dynamique franco-allemande est donc enfin relancée, l’Allemagne reconnaissant que l’inachèvement de la zone euro menace son existence même en cas de nouvelle crise, ce qui nuira à ses intérêts vitaux.

Méfiance allemande

Le sommet de mardi, auquel a été convié le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, afin de montrer qu’il ne s’agit pas de scinder l’Union en deux, a largement été préparé par les ministres des finances allemand, le social-démocrate Olaf Scholz, et français, l’ex LR Bruno Le Maire, qui ont négocié d’arrache-pied. Comme d’habitude, les Français proposaient et les Allemands refusaient, soupçonnant leur partenaire de vouloir faire main basse sur « le bon argent allemand ». Il a fallu des centaines d’heures de palabres pour qu’ils admettent enfin qu’il ne s’agissait pas de « faire payer l’Allemagne », un fantasme en vogue outre-Rhin, mais simplement d’assurer la pérennité de l’euro. Une résistance d’autant plus curieuse que l’accord de Grande Coalition (GroKo) signé entre le SPD et la CDU-CSU prévoyait bien d’achever la construction monétaire européenne, comme l’a reconnu la chancelière lors de la conférence de presse finale : « tout ce qui a été convenu aujourd’hui est dans le contrat de coalition ». Mais le négociateur SPD de l’accord de coalition, Martin Schulz, s’est retiré du jeu politique, et son successeur, Olaf Scholz, n’est absolument pas familier des questions européennes et, surtout, il a gardé auprès de lui les faucons qui entouraient son prédécesseur, l’intraitable Wolfgang Schäuble.

Un budget pour les Dix-neuf

Alors que la Commission, dans son projet de « cadre financier pluriannuel » (CFP) 2021-2027, avait simplement proposé d’affecter à la zone euro au sein du budget communautaire une ligne budgétaire de 30 milliards d’euros sur 7 ans, ce qui donnait un droit de regard aux 9 pays non membres de la monnaie unique, le couple franco-allemand exige un budget propre à la zone euro : les recettes et les dépenses seraient décidées à 19 même si elles seront exécutées par la Commission qui a l’habitude de ce travail.

Ce budget serait destiné à investir dans « l’innovation et le capital humain » et pourrait « financer des nouveaux investissements et venir en substitution des dépenses nationales », comme l’écrit la « feuille de route franco-allemande pour la zone euro » rendue publique hier soir. Il pourrait aussi jouer le rôle de « stabilisation macroéconomique », soit par le biais d’une « suspension temporaire de la contribution au budget de la zone euro pour les pays touchés par un choc significatif », soit en alimentant un « fonds européen de stabilisation du chômage » qui pourrait faire des prêts aux systèmes nationaux afin que l’État touché par une augmentation brutale du chômage ne perde pas ses capacités de manœuvre. Dans les deux cas, l’État qui aura bénéficié de cette aide d’urgence devra ensuite la rembourser.

Ce budget, qui devrait voir le jour en 2021, pourrait être alimenté par la taxe sur les transactions financières (TTF) « sur le modèle français » (qui taxe les achats d’actions uniquement), par le futur impôt qui frappera les géants du numérique, par une partie de l’impôt sur les sociétés et par la fameuse ligne budgétaire de 30 milliards d’euros prévus par la Commission. Si aucun chiffre n’a été avancé, ce budget ne devrait pas dépasser les 100 milliards sur 7 ans, ce qui reste largement insuffisant. Mais un pas symboliquement important aura déjà été franchi.

Un Mécanisme européen de stabilité renforcé

En cas de crise grave, le couple franco-allemand propose un système à deux paliers. D’une part, si un pays de la zone euro est confronté à un simple problème d’accès aux marchés alors que ses comptes sont en bon ordre, ce qui a été le cas de l’Irlande ou de l’Espagne, lors de la crise de la zone euro, il aura accès à une « ligne de crédit de précaution » qui sera créée au sein du Mécanisme européen de stabilité (MES, doté d’une capacité d’emprunt de 700 milliards). Une telle ligne existe au sein du FMI et elle est censée permettre à un pays de faire face à un coup de vent violent et à rassurer les marchés.

En revanche, si le pays est au bord de la faillite parce qu’il a un déficit excessif ou une dette importante, il pourrait, comme aujourd’hui, faire appel au MES que Berlin et Paris proposent d’intégrer dans les traités européens (pour l’instant, c’est un accord intergouvernemental ad hoc), ce qui permettra au Parlement européen de le contrôler. L’État qui fera appel aux prêts du MES serait soumis à un programme d’austérité destiné à le ramener à l’équilibre comme aujourd’hui, mais le MES aura un rôle moteur dans sa conception. Pour l’instant, c’est la Commission qui est à la manœuvre, mais elle n’a pas vraiment convaincu les États de sa capacité à gérer efficacement le redressement d’un pays… La volonté allemande de le renommer « Fonds monétaire européen », sur le modèle du FMI, est abandonné : on se dirige plutôt vers « Fonds européen de stabilité » ou quelque chose d’approchant. Il n’est plus question d’une restructuration automatique des dettes, mais simplement d’analyser leur soutenabilité et d’inclure dans les futurs emprunts d’Etats des clauses d’action collective permettant aux créanciers d’arriver plus facilement à un accord de restructuration.

Achever l’Uniion bancaire

Le couple franco-allemand propose de donner au MES un nouveau rôle dans le cadre de l’Union bancaire, celui de « backstop » ou de « filet de sécurité ». En effet, le « fonds de résolution unique » (FRU), alimenté par les contributions des banques, peut se révéler insuffisant en cas de faillit d’une banque systémique. Dans ce cas, il pourra faire appel au MES dans la limite des fonds du FRU : actuellement de 20 milliards d’euros, ils atteindront 55 milliards en 2024, date proposée d’entrée en vigueur de cette fonction de backstop, soit en tout 110 milliards. Comme à terme le FRU disposera de 70 milliards d’euros, ce seront 140 milliards qui pourront être mobilisés pour sauver les banques. Pour donner un ordre de comparaison, aux États-Unis, le « backstop » géré par la SEC (qui mélange deux fonctions totalement séparées dans l’Union, celles de fonds de garantie des dépôts et de fonds de résolution unique) se monte à 100 milliards de dollars. Si le MES est sollicité, le secteur bancaire sera ensuite mis à contribution pour rembourser les sommes mobilisées dans les trois ans, cinq ans au maximum.

Le mécanisme est encore vague et suscite encore de nombreuses questions : ainsi, l’Allemagne insiste pour que son Bundestag donne son feu vert à chaque utilisation du backstop, comme c’est le cas pour toute activation du MES. Une exigence qui freinera son automaticité, alors même que l’argent public allemand n’est pas mobilisé. Surtout, cela donnera un droit de véto au seul Bundestag, ce qui pose un réel problème démocratique… La France demande donc que le Bundestag donne son accord une fois pour toutes pour l’utilisation du MES comme backstop. On comprend mieux pourquoi l’Allemagne persiste à refuser un parlement de l’eurozone : pour elle, le Bundestag joue déjà ce rôle…

Le dernier pan de l’Union bancaire reste encore en jachère, celui de la « garantie européenne des dépôts bancaires » à laquelle les caisses d’épargne allemandes s’opposent avec virulence (et leurs liens avec le monde politique sont incestueux). Pour l’instant, les fonds de garantie sont uniquement nationaux et l’Allemagne pose comme préalable à une mutualisation une quasi-élimination des risques bancaires, ce qui revient à la renvoyer sine die. Mais elle accepte au moins de commencer des négociations politiques sur le sujet après le conseil européen de juin.

Reste maintenant à Berlin et à Paris à convaincre leurs dix-sept partenaires qu’ils retrouveront les 28 et 29 juin lors du Conseil européen de Bruxelles. Les Pays-Bas ou la Finlande risquent de trouver que cela va trop loin, alors que l’Italie, l’Espagne, la Grèce ou le Portugal jugeront que seule une petite partie du chemin a été parcourue. C’est sans doute la force du compromis franco-allemand : même s’il ne satisfait personne, chacun peut s’y retrouver en partie.

Photo: AFP

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Oiseaux et insectes disparaissent des campagnes françaises

Euractiv.fr - Tue, 06/19/2018 - 11:28
Oiseaux, chiroptères, habitats naturels, artificialisation, pesticides, espèces invasives… Tous les indicateurs sont au rouge, selon le bilan diffusé ce 18 juin par l’ONB, relayé par notre partenaire, le Journal de l’Environnement.
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L’influence modeste des « fake news » dans les élections italiennes

Euractiv.fr - Tue, 06/19/2018 - 11:23
Les « fake news » ont été relativement rares lors des élections italiennes de 2018, selon une ONG basée à Bruxelles, qui en relève néanmoins deux. Euractiv revient sur ces événements dans le cadre de l’émission ‘Contre-Faits’, en partenariat avec France 24.
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L’équilibre vie professionnelle/vie privée divise l’UE

Euractiv.fr - Tue, 06/19/2018 - 11:13
Plus de 300 organisations et un groupe d’eurodéputés appellent les ministres de l’Emploi à accorder leurs violons, afin de commencer les négociations sur la future directive sur l'équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée.  
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Impossible n’est pas franco-allemand !

Euractiv.fr - Tue, 06/19/2018 - 11:10
À l’occasion du sommet franco-allemand du mardi 19 juin, des députés français et allemands font des propositions pour renforcer les relations entre les deux pays et faire avancer le projet européen. Une opinion recueillie par notre partenaire, La Tribune. Sabine...
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88/2018 : 19 juin 2018 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-181/16

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Tue, 06/19/2018 - 10:02
Gnandi
Justice et Affaires intérieures
Les États membres sont en droit d’adopter une décision de retour dès le rejet de la demande de protection internationale, à condition qu’ils suspendent la procédure de retour dans l’attente de l’issue du recours contre ce rejet

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87/2018 : 19 juin 2018 - Arrêt du Tribunal dans l'affaire T-86/17

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Tue, 06/19/2018 - 10:01
Le Pen / Parlement
Droit institutionnel
Le Tribunal de l’UE confirme la décision du Parlement européen de recouvrer auprès de l’eurodéputée Marine Le Pen près de 300 000 euros pour l’emploi d’une assistante parlementaire, au motif qu’elle n’a pas démontré l’effectivité du travail de cette assistante

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86/2018 : 19 juin 2018 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-15/16

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Tue, 06/19/2018 - 10:00
Baumeister
MARI
Toutes les informations figurant dans le dossier d’une autorité de surveillance financière ne sont pas nécessairement confidentielles

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32 % de renouvelables, un chiffre insuffisant

Euractiv.fr - Tue, 06/19/2018 - 09:51
L’objectif de 32 % de renouvelables fixé la semaine dernière serait « bien en deçà » de ce qui est nécessaire pour respecter l’Accord de Paris sur le changement climatique.  
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La moitié des migrants de l’Aquarius veulent l’asile en France

Euractiv.fr - Tue, 06/19/2018 - 09:45
Au lendemain de leur arrivée en Espagne, les 630 migrants de l’Aquarius veulent pour près de la moitié demander l’asile en France, a indiqué lundi le gouvernement espagnol.
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