Le Directeur de cabinet du Ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement, M. Rufino d'ALMEIDA représentant le Ministre d'Etat chargé du Plan a reçu ce jeudi 28 juin, le document de transformation structurelle, emploi, production et société du Bénin. Le document officiellement à lui présenté par le Directeur du Bureau sous régional de la Commission Economique des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest, M. Dimitri Sanga est un ouvrage d'analyses de donnée spécifiques du Bénin.
Désigné par le vocable « profil pays », ce document a pour objectif principal de produire des analyses de données spécifiques à chaque pays et des recommandations politiques pour une transformation structurelle favorisera le développement durable.
« Aujourd'hui nous avons le plaisir de lancer le profil pays du Bénin qui va regarder sous trois angles à savoir : L'emploi, la production et ce que nous appelons la société », a indiqué le Directeur du Bureau sous régional de la Commission Economique des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest, M. Dimitri Sanga. Il a précisé que le document montre que l'enseignement technique et la formation professionnelle (ETFP) est un secteur exigu caractérisé par une surreprésentation des filières tertiaires.
Pour le Directeur de cabinet du Ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement, M. Rufino d'ALMEIDA qui a reçu le document, « ce document ira nourrir la réflexion déjà amorcée au Bénin pour nous permettre d'avoir des données fiables et pour éviter la navigation à vue afin que nous soyons précis et avoir les données nécessaires avant de prendre les bonnes décisions ».
Avant de remettre officiellement le document à M. Rufino d'ALMEIDA, M. Dimitri Sanga a précisé que le profil pays 2018 du Bénin a été élaboré en étroite collaboration avec l'Institut National de la statistique et de analyse économique du Bénin (Insae) et le bureau de l'unicef du Bénin.
Marcel HOUETO
AL GER- Le ministre de la Communication, Djamal Kaouane, a affirmé jeudi à Alger que l’Algérie avait déposé « 102 nouvelles plaintes auprès de la partie espagnole en raison du brouillage radiophonique exercé contre les fréquences de la Radio algérienne le long du littoral algérien ».
« Nous poursuivons nos efforts pour défendre les droits de notre pays.
C’est dans cet esprit que 102 nouvelles plaintes ont été déposées auprès de l’Espagne en 2016 et 2017 », a souligné le ministre en réponse à un député lors d’une plénière consacrée aux questions orales, présidée par le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Said Bouhadja.
Il a ajouté, dans ce sens, que « l’Administration espagnole a décidé de la fermeture de 5 nouvelles stations radiophoniques illégales, tandis que le reste des plaintes est en cours d’examen ».
Le premier responsable du secteur a rappelé que l’Algérie avait déjà déposé « 72 plaintes » auprès de l’Espagne sur le brouillage radiophonique, conformément à la législation internationale, ce qui a conduit à « la fermeture de 18 stations radiophoniques espagnoles illégales et la réduction de la puissance d’ondes de 17 autres stations violant la ligne de fréquence internationale ».
Evoquant le plan national de diffusion radiophonique et télévisuelle, le ministre a assuré que « la stratégie de développement national pour la couverture audio-visuelle porte sur la transition progressive vers la diffusion du +tout numérique+ ».
Par ailleurs, M. Kaouane a fait savoir que le secteur de la Communication représenté par l’entreprise Télédiffusion d’Algérie (TDA) avait réussi à « introduire et à généraliser le premier réseau de Télévision Numérique Terrestre (TNT) », un investissement d’un coùt de 50 millions de dollars.
« Ce réseau comprend 140 émetteurs assurant la couverture de 85% de la population à travers un bouquet de cinq (05) chaines publiques télévisées », a souligné le ministre, prévoyant que ce réseau pourrait atteindre une couverture de 95% au minimum à l’horizon 2020.
En prévision de l’arrêt de la diffusion de la télévision analogique prévu pour le « 17 juin 2018 », le ministre a indiqué que le secteur « s’apprête à assurer la transition de la diffusion radiophonique +FM+ à la diffusion numérique terrestre, une technique permettant la diffusion d’un grand nombre de chaines avec une qualité meilleure », ajoutant qu’une station radio d’essai pour la diffusion radiophonique numérique a été mise en service avec succès le 13 février 2018.
Aussi, il a affirmé que cette stratégie globale pour la transition vers « le tout numérique » constituait « une opportunité pour la diversification de l’économie nationale à travers la création de richesses et d’emploi, relavant que cette stratégie contribue aussi à l’émergence d’un nouvel écosystème pour l’audio-visuel fondé sur les technologies de l’information et de la communication (TIC) ».
A une autre question sur l’intention du gouvernement de créer une ville médiatique, le ministre a indiqué que cette « orientation attire des fonds importants, car il est destiné à la grande production cinématographique », ajoutant que « l’investissement dans ce domaine est actuellement indisponible, mais la possibilité de sa concrétisation ultérieurement avec l’implication de l’investissement privé est tout à fait possible ».
S’agissant du satellite algérien « Alcomsat-1 », M. Kaouane a annoncé qu’il serait « opérationnel dans les prochains jours, ajoutant que l’Agence spatiale algérienne apportait les « dernières retouches aux essais techniques ».
Concernant la possibilité de lancer une chaîne publique sportive, le ministre a souligné que « ce projet est entravé par plusieurs obstacles dont l’absence d’un siège décent, le manque de stations mobiles pour la couverture des activités sportives et les droits de diffusion aux coûts élevés ».
Pour ce qui est de la couverture radiophonique de proximité dans la wilaya de M’sila, le premier responsable du secteur a indiqué que cette couverture « a connu un développement soutenu avec un taux de couverture de 79 % de la population, un taux qui devrait augmenter avec la réception de plusieurs projets ».
S’agissant de la couverture télévisuelle dans la wilaya, le ministre a fait savoir qu’elle s’effectuait par le biais d’un réseau de diffusion analogique avec une couverture globale de 94 % de la population, ajoutant que ce réseau pourrait être remplacé par le réseau de télévision numérique terrestre (TNT).
A une autre question du député, Naoum Belakhdar du parti du Front de Libération nationale(FLN), sur le « manque de couverture télévisuelle dans la wilaya de Djelfa », M. Kaouane a nié « toute privation ou marginalisation de cette wilaya de la couverture médiatique de la télévision publique qui oeuvre par tous les moyens possibles à garantir une couverture dans toutes les wilayas sans exception », appelant à « ne pas limiter la télévision publique au JT de 20H00 ».
Le ministre a révélé dans ce contexte que la wilaya bénéficiait d’une présence périodique dans tous les rendez-vous d’information, espaces et différents programmes, rappelant que « plus de 21 thèmes ayant trait à la wilaya ont été diffusés durant les trois derniers mois dans des bulletins d’information dont 20 % sont des visites et conférences et 80 % des enquêtes et reportages de développement, un chiffre, a-t-il dit, qui reflète la présence de la wilaya dans les rendez-vous d’information à raison d’une fois sur 5 jours ». En ce qui concerne la couverture des rendez-vous festifs, cette dernière est soumise au principe « d’alternance entre les wilayas ».
Pour ce qui est de la demande d’ouverture d’un siège de la télévision dans la wilaya de Djelfa, M. Kaouane a indiqué que cela reposait sur les moyens matériels et humains.
Cette « revendication soulevée par toutes les wilayas est difficile d’accès dans ce contexte financier sensible qui marque la télévision publique qui a à subir de grandes charges financières pour faire fonctionner les centres ouverts dans le grand Sud ».
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Un chef de cuisine algérien participera, du 28 au 30 juin à Marrakech (Maroc), aux éliminatoires finales du concours international Bocuse d’Or Monde. Cette compétition permettra aux 6 candidats sélectionnés, tous des cuisiniers chevronnés, talentueux et inventifs, de disputer deux places pour le Bocuse d’Or Monde. Ce chef algérien, qui avait fréquenté les meilleurs restaurants occidentaux, devra faire face à 5 candidats venus de Tunisie, du Maroc, du Gabon, du Burkina Faso et du Sénégal. Le champion algérien s’est entraîné depuis plusieurs mois pour atteindre ce niveau. Signalons que c’est la première fois que le continent africain organise le Bocuse d’Or Monde.
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La représentation du Front de libération nationale (FLN) dans les structures parlementaires, les commissions permanentes et le bureau de l’APN ne se fera plus par désignation. Le secrétaire général du parti, Djamel Ould Abbes, a décidé que le pourvoi obéira désormais au verdict de l’urne.
Pour ce faire, une note a été adressée aux chefs des groupes parlementaires du parti au sein de l’APN afin d’en informer les députés.
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L’Algérie participe, depuis hier à Agadir (Maroc), à Simulex 2018, un exercice de simulation de lutte contre la pollution marine accidentelle par les hydrocarbures. Cette opération enregistre la participation de l’Algérie en qualité d’observateur des représentants des pays membres de l’initiative “5+5 Défense”, aux côtés de la France, de l’Espagne, du Portugal, de Malte, de l’Italie, de la Tunisie, de la Mauritanie et de la Libye. Selon les organisateurs de cette exercice, Simulex 2018 a mobilisé de gros moyens maritimes, terrestres et aériens pour exécuter un scénario, et ce, en simulant l’explosion d’une citerne à bord d’un pétrolier, provoquant le déversement de 6 000 tonnes de fuel lourd, sans faire de victimes. Il faut noter que cette opération s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions du Plan d’urgence national relatif à la préparation et à la lutte contre la pollution marine accidentelle.
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Lorsque les contingences l’incitent à communiquer, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales fait prévaloir ses préférences. Et, celles-ci ne s’expliquent pas forcément. Ainsi en est-il pour cette opération de rapatriement de migrants, jeudi, vers le Niger. Le département de Noureddine Bedoui, qui supervise l’opération, a uniquement invité la presse étrangère, notamment les agences de presse, les médias publics nationaux et… les chaînes de télévision privées. La presse nationale écrite devra se contenter de reprendre, si elle souhaite traiter le sujet, les câbles des agences ou les reportages des télévisions.
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Les autorités locales semblent ignorer délibérément les chouhada d’Aït Abdelmoumen, à Tizi n’Tléta, dans la wilaya de Tizi Ouzou, tels que Rachid Teklal, Hocine Talem, Ramdane Sekhi, Hocine Reloud, Mohamed Yachir et son frère, Meziane Sebti et Mohamed Sehaki, pour ne citer que ceux-là, tant la liste est longue, en ce sens que l’on continue à recourir à “l’anonymat” pour baptiser les édifices publics. Par exemple, ces établissements scolaires appelés “Base 1, Base 2…”, au lieu de porter les noms de chouhada ou ceux de moudjahidine connus tel feu Mourad Terbouche, premier fédéral du FLN en France (1954/1962) et bras droit de Krim Belkacem, assassiné en 1972 en Tunisie. Aujourd’hui, la population d’Aït Abdelmoumen interpelle les autorités locales pour la rétablir dans ce droit historique.
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Les dispositions des lois votées par l'Assemblée nationale concernant le retrait de droit de grève aux magistrats, au personnel de la santé et de la police républicaine sont conformes à la constitution.
C'est par la décision DCC 18-141 que la Cour constitutionnelle, en sa séance de ce jeudi 28 juin 2018, a déclaré les articles de ces lois conformes à la loi fondamentale.
Cliquer sur le fichier Pdf pour Lire l'intégralité de la décision
Nous y reviendrons
La crise entre le Qatar et ses voisins du Golfe s’est invitée devant la Cour internationale de Justice (CIJ), saisie ou en passe de l’être par les deux parties qui s’accusent de violations des droits de l’Homme pour les uns et de violations de l’espace aérien pour les autres. Dans une première manche de ce conflit désormais étendu aux prétoires, le Qatar a porté son différend avec les Émirats arabes unis (EAU) devant la plus haute instance judiciaire de l’ONU mercredi, un an après que ce rival et d’autres États de la région eurent brusquement rompu leurs liens avec Doha. « Malgré des liens (historiquement) étroits », les EAU ont mis en place une « série de mesures discriminatoires contre mon pays et mon peuple sur la base de sa nationalité qatarie », a déclaré un avocat du Qatar devant la Cour qui siège à La Haye. « Les EAU ont entretenu un tel environnement de haine contre le Qatar et les Qataris que des personnes aux EAU ont peur de ne serait-ce que parler à des membres de leur famille vivant au Qatar », a ajouté Mohammed Abdulaziz Al-Khulaifi au premier jour d’une procédure qui en comptera trois. Le 5 juin 2017, les Émirats, l’Arabie saoudite, Bahreïn et l’Égypte avaient coupé tous leurs liens avec le Qatar, en l’accusant de soutenir des mouvements « terroristes », de se rapprocher de l’Iran et de saper la stabilité de la région. Le Qatar, qui a rejeté les accusations de soutien au « terrorisme », a dénoncé un « blocus » aérien, maritime et terrestre, ainsi que l’expulsion de ses citoyens par les autres pays. La seule frontière terrestre de la petite nation péninsulaire avait subitement été fermée, sa compagnie aérienne publique interdite d’emprunter l’espace aérien des pays voisins, et ses citoyens expulsés de ces mêmes pays. En retour, les EAU, l’Arabie saoudite, Bahreïn et l’Égypte vont eux aussi déposer plainte devant la CIJ, ont-ils annoncé mercredi selon des médias officiels. Ils reprochent au Qatar une violation de leur espace aérien, menaçant le trafic de l’aviation civile. Des responsables émiratis ont accusé le Qatar d’envoyer des avions de chasse pour intercepter des vols commerciaux et un hélicoptère civil émiratis dans l’espace aérien bahreïni, ce que Doha a démenti. Si la date d’examen de cette nouvelle plainte n’est pas encore connue, 16 juges de la CIJ ont commencé à entendre les griefs du Qatar mercredi à l’intérieur du majestueux Palais de la Paix. Doha demande à la CIJ d’ordonner aux Émirats « de suspendre et d’abroger immédiatement les mesures discriminatoires actuellement en vigueur », « de condamner publiquement la discrimination raciale à l’égard » des Qataris et de les rétablir « dans leurs droits ». Il exige aussi des compensations financières de la part d’Abou Dhabi pour le préjudice qu’il estime avoir subi. La CIJ juge les différends entre États mais ne dispose pas de moyens coercitifs pour faire appliquer ses décisions. Tous les efforts diplomatiques, notamment ceux du Koweït et des États-Unis, ont échoué depuis le début de la crise dans cette partie du Golfe, jusqu’alors l’une des régions les plus stables du monde arabe. Le différend a remis en cause l’existence même du Conseil de coopération du Golfe (CCG) qui regroupe depuis 1981 les six pétromonarchies arabes de la région. Début juin, le Comité national des droits de l’Homme du Qatar (NHRC – formé par les autorités) a publié un rapport affirmant que les adversaires du Qatar avaient commis en un an plus de 4.000 violations des droits de l’Homme. Les Émirats ont estimé que la balle était dans le camp du Qatar « s’il (veut) vraiment sortir de son isolement ». Les adversaires du Qatar lui ont remis une liste de 13 demandes, dont la fermeture de la chaîne satellitaire Al-Jazeera, le retrait des troupes turques de son territoire et la réduction de sa coopération avec l’Iran, avec lequel il partage le plus grand champ gazier au monde. Doha les a toutes rejetées.
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Le cimentier franco-suisse Lafarge a été inculpé jeudi, notamment pour « complicité de crimes contre l’humanité », après avoir été accusé d’avoir financé des groupes jihadistes dont l’organisation Etat islamique en Syrie, a-t-on appris de source judiciaire. Entendu jeudi par les trois juges chargés de cette enquête hors norme, Lafarge SA, holding actionnaire majoritaire de la filiale syrienne Lafarge Cement Syria mise en cause, est également poursuivi pour « financement d’une entreprise terroriste » et « mise en danger de la vie » des anciens salariés de l’usine de Jalabiya, dans le nord de la série. Cette décision est « conforme » aux réquisitions du parquet de Paris, a précisé la source judiciaire. Lafarge SA est soumis à un contrôle judiciaire comprenant une caution de 30 millions d’euros. Après huit inculpations ces derniers mois de cadres et dirigeants — dont l’ancien PDG de Lafarge de 2007 à 2015, Bruno Lafont — pour financement d’une entreprise terroriste et/ou mise en danger de la vie d’autrui, c’était au tour de Lafarge SA de s’expliquer devant les deux juges financiers Charlotte Bilger et Renaud Van Ruymbeke, cosaisis du dossier avec un juge antiterroriste David de Pas. Initialement programmée le 5 juin, cette audition avait été reportée in extremis à la demande de Lafarge SA, faute de pouvoir y envoyer son ancien PDG Saad Sebbar, nommé en 2017, qui avait démissionné depuis, peu après avoir reçu la convocation. Un nouveau représentant a depuis été désigné pour assister l’entreprise jeudi au côté des avocats de LSA, Christophe Ingrain et Antonin Lévy. Le groupe, qui a fusionné en 2015 avec le suisse Holcim, est soupçonné d’avoir versé au total via sa filiale LCS près de 13 millions d’euros entre 2011 et 2015 pour maintenir son usine de Jalabiya alors que le pays s’enfonçait dans la guerre. Ces sommes, qui ont bénéficié en partie à des groupes armés dont l’organisation jihadiste Etat islamique, correspondaient au versement d' »une taxe » pour la libre circulation des salariés et des marchandises, et à des achats de matières premières dont du pétrole à des fournisseurs proches de l’EI, d’après l’enquête. A ces canaux de financement, s’ajoutent désormais des soupçons sur la possible vente de ciment au groupe EI, mis en lumière dans de récentes investigations, selon une source proche du dossier.
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Renault Algérie annonce le financement de formations d’excellence en Master 1 et Master 2 à l’École Supérieur Algérienne des Affaires en offrant jusqu’à 10 bourses.
Renault Algérie offre jusqu’à 10 bourses afin de poursuivre des formations d’excellence en Master 1 et en Master 2 à la prestigieuse École Supérieur Algérienne des Affaires et appelle les étudiants algériens de moins de 24 ans et titulaires d’une Licence (Bac+3) ou d’un Master 1 (Bac+4) à envoyer leurs candidatures, constituées d’un CV et d’une Lettre de Motivation, avant le 25 juillet sur l’e-mail suivant : bourses.esaa@renault.com
Le constructeur compte, à travers ce programme, permettre à de brillants étudiants, qui n’en auraient pas forcément les moyens, d’intégrer l’ESAA, et d’exploiter, ainsi, pleinement leur potentiel afin d’amorcer leur carrière professionnelle dans les meilleures conditions. Une fois choisis, après un processus de sélection exigeant, les étudiants qui auront bénéficié d’une bourse pourront compter sur l’encadrement du Groupe Renault pour les guider et les coacher tout au long de leur formation.
Avec cette action de soutien à l’éducation, le Groupe Renault, engagé dans le développement de la filière automobile algérienne naissante et dans la formation aux métiers de l’automobile, entretient sa démarche citoyenne et compte faire émerger des talents algériens en les formant et en leur offrant des perspectives d’emploi en Algérie afin qu’ils contribuent à l’essor du secteur automobile.
Monsieur André ABBOUD, Directeur Général du Groupe Renault en Algérie, a déclaré, concernant cette initiative, que : « Renault est fière de permettre à de brillants étudiants algériens d’accéder à des cursus d’excellence comme ceux de l’ESAA. En plus du financement de leurs études, ces jeunes boursiers seront coachés et accompagnés, et se verront offrir des perspectives au sein du Groupe Renault. Cette nouvelle initiative nous aidera à contribuer davantage au développement du secteur et de l’industrie automobile, dont l’essor repose principalement sur les efforts de professionnels formés et qualifiés ».
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