La deuxième édition des Rencontres cinématographiques d’Alger, manifestation dédiée au 7e art algérien et aux cinéphiles, s’est ouverte jeudi soir à Alger avec la projection de deux films algériens.
Cette manifestation de trois jours qui s’est poursuivie jusqu’à hier samedi à la salle Ibn-Khaldoun, a été marquée par la projection du court métrage de fiction Un jour de mariage d’Elias Belkeddar et Omar Gatlato de Merzak Allouache.
Coproduction algéro-française sortie en 2018, Un jour de mariage est une comédie dramatique relatant, en 15 minutes, l’histoire de Karim, un bandit qui a grandi dans une banlieue française avant de s’installer à Alger, où il rejoint un groupe de malfaiteurs. Présenté et primé à la «Semaine internationale de la critique» au Festival de Cannes (France, 2018), le film a été projeté en compétition dans plusieurs festivals, notamment au Maroc, Allemagne et Canada. Le public était également au rendez-vous pour redécouvrir un des classiques du cinéma algérien Omar Gatlato, premier long métrage de fiction du réalisateur Merzak Allouache.
Sorti en 1977, ce film porte un regard sur la société algérienne à travers le jeune Omar, un employé qui fait vivre sa famille nombreuse avec son salaire dérisoire de fonctionnaire d’administration.
Organisées depuis 2017 par l’établissement Arts et Culture de la wilaya d’Alger en collaboration avec l’APC d’Alger-Centre, «Rencontres cinématographiques» est un rendez-vous annuel qui se veut, selon ses organisateurs, un «espace» pour redonner au public le goût du cinéma à travers des projections de films algériens ou coproduits avec la France, partenaire de cet événement.
L’édition 2018 de cette manifestation a proposé aux cinéphiles algérois une dizaine de films — à raison de trois séances par jour — dont le long métrage Jusqu’à la fin des temps de Yasmine Chouikh, le documentaire Birds de Louisa Beskri et Django du réalisateur et producteur français Etienne Comar.
The post 2es Rencontres cinématographiques d’Alger: De Omar Gatlato à jusqu’à la fin des temps appeared first on .
La glycation à l’origine de l’apparition des rides ?
Prenons l’exemple du tissu cutané. Au niveau du derme, de profonds changements s’opèrent, le glucose se fixe autour des fibres de collagène et d’élastine, la glycation modifie les propriétés de ces protéines, les rendant plus résistantes à la protéolyse, empêchant leur renouvellement.
La substance sous-cutanée qui soutient le derme perd alors en élasticité et tonicité. La glycation apparaît donc bien comme un facteur de vieillissement du tissu cutané.
Ne confondons pas sucre (saccharose) et glucose
– Le sucre, c’est le saccharose, composé de glucose et fructose ; le saccharose est présent dans les fruits et légumes ou extrait de la canne et de la betterave à sucre.
– Le glucose présent dans le sang (glycémie) provient certes du sucre présent dans les aliments (pour 1/4 environ), mais aussi et surtout de tous les autres glucides (3/4 au moins), c’est-à-dire les autres sucres (lactose, fructose,…), les dextrines et l’amidon.
– La glycation des protéines résulte d’une réaction entre le glucose et les protéines, glucose provenant de la digestion de l’ensemble des glucides et pas exclusivement du saccharose. Ainsi, affirmer que le sucre provoque l’apparition des rides, c’est accepter d’utiliser un raccourci «consommation de sucre (saccharose) = glycation = rides» erroné.
The post Santé: Sucre, glucose et rides appeared first on .
L’oignon et l’ail permettent à eux deux la diminution du cholestérol sanguin et sont riches en sélénium (un antioxydant). De ce fait, l’ail et l’oignon sont deux aromates dont la consommation permet de diminuer les risques cardio-vasculaires. L’ail permet également de fluidifier le sang (ce qui limite l’apparition de caillots), il diminue l’hypertension, il a un effet diurétique associé à un effet antibiotique (désinfection de l’urine et de poumons) et permet de diminuer les risques d’apparition de cancers. Ces informations qui font de l’ail et de l’oignon les aliments santé par excellence doivent favoriser leur consommation.
The post Bon à savoir: Les bienfaits de l’ail et de l’oignon appeared first on .
Pâte feuilletée, 300 g soit de thon, reste de poulet ou de viande, 400 g de gruyère râpé, 1 verre de lait, 3 œufs, sel, poivre
Préchauffez le four th.8 (240ºC). Hachez la viande (ou autre), mélangez avec le gruyère. Séparez les blancs des jaunes d’œufs. Mélangez deux œufs et le troisième blanc avec le lait, assaisonnez. Dans un plat à tarte assez haut, mettez la première pâte feuilletée, remplissez-la de la préparation de viande/gruyère puis répartir le liquide (lait/œufs). Recouvrez de la seconde pâte, soudez-les et badigeonnez avec le jaune d’œuf restant, préalablement dilué avec un peu d’eau ou de lait (selon les goûts). Enfournez pendant 40 à 50 minutes.
The post Recette: Tourte fourre-tout appeared first on .
Par Amirouche Moussaoui
«Un pâle souvenir est sans force dans la tempête qui souffle sur le présent.»
Hegel (Leçons sur la philosophie de l’histoire)
Le 15 septembre 2008, la banque américaine Lehman Brothers fait faillite. Cet évènement donne le signal de la première grande crise économique de ce troisième millénaire. Comme dans la grande crise de 1929, les faillites s’enchaînent, se multiplient dans tous les secteurs (industrie, finance, commerce, etc.) et se propagent d’un continent à l’autre à une vitesse fiévreuse. La crise des crédits hypothécaires (subprimes) localisée aux Etats-Unis se transforme en séisme financier planétaire et provoque une crise économique internationale.
Une décennie après le désastre, pendant que les Etats-Unis et les pays émergents semblent se relever — mais lentement —, l’Europe et de nombreux autres pays sont encore sous l’onde de choc et demeurent pétrifiés sous les décombres d’un chômage massif et d’une croissance atone.
Une fois sauvés des tréfonds d’une déconfiture certaine par les pouvoirs publics et l’argent des contribuables, les pétulants banquiers reprennent leurs activités de spéculation, provoquant à nouveau le grossissement de bulles financières.
Les signaux de la finance mondiale virent au rouge et font pressentir un plongeon semblable à celui de 2008 ; preuve que ce qui a été fait depuis dix ans est largement insuffisant et que le caractère structurel de la crise contredit ceux qui pensent qu’une relance suffira à la surmonter. Cela démontre également l’hégémonie de la finance dans l’économie et le poids écrasant des milieux financiers et de leurs lobbys.
Le nom de la tulipe
L’éclatement de la bulle spéculative des tulipes en 1637 au Pays-Bas, à cette époque carrefour mondial du commerce et laboratoire du capitalisme naissant, est la première faillite boursière de l’histoire. En tout cas, la mémoire collective et les manuels de l’économie ont gardé trace de cet épisode marquant comme le point de départ des crises spéculatives modernes.
À l’émergence d’une minorité de riches et le foisonnement des intermédiaires s’ajoutent la circulation de quantités considérables de monnaie et une série d’innovations financières ; voici en gros réunies les conditions de la formation d’une bulle financière et spéculative.
En fait des innovations financières et des produits financiers, quel que soit leur degré de sophistication, leur base est assez simple : il s’agit de contrats d’acheter et de vendre à une date future, à un prix fixé aujourd’hui.
Ces produits financiers offrent donc la possibilité d’acheter et de vendre des bulbes encore en terre hors saison et de conclure des transactions en tout temps. Les prix montent en conséquence et la spéculation s’étend. Ce sont là les mécanismes de la première bulle spéculative qui reste encore aujourd’hui une référence. Quand les prix augmentent, les investisseurs achètent, et du coup alimentent cette hausse jusqu’à la chute brutale.
En seulement trois ans (de 1634 à 1637), le prix des bulbes de tulipes a augmenté d’un pourcentage hors sol… 5900% ! C’est «l’aveuglement au désastre qui caractérise les marchés financiers», selon l’expression empruntée à l’économiste américain H. Minsky.
En février 1637, les cours s’effondrent brusquement, la bulle se dégonfle en quelques jours. La demande de tulipes est quasiment nulle et une foule de spéculateurs surendettés sont laissés sur le carreau. Néanmoins, si la place de la crise des tulipes dans l’histoire économique comme première crise spéculative est incontestable, en fait, son impact réel sur l’économie hollandaise d’alors a été très limité. Toutes les crises qui lui ont succédé présentent fondamentalement une structure commune : une période d’euphorie souvent caractérisée par une bulle spéculative, suivie d’un krach et au final l’effondrement des marchés.
1929
Les mêmes mécanismes ont amené le dérapage des années 1920 pour culminer avec le krach boursier d’un certain jeudi 24 octobre 1929, et puis la succession des crises bancaires des années 1930. Car au-delà de sa dimension historique propre, même la crise de 1929 ne présente pas de grande originalité.
L’après-Première Guerre mondiale a été marqué par la montée des inégalités aux Etats-Unis. En 1928, les 10% les plus riches ont accaparé la moitié des revenus. Cette concentration des richesses a favorisé un climat euphorisant pour d’intenses spéculations. De plus, la croissance est devenue dépendante de la volonté des riches à consommer et à investir. S’est installée alors une proximité des milieux financiers et des pouvoirs politiques. Les politiques gouvernementales des années 1920 ont été d’une singulière indulgence envers le secteur financier(1).
L’analyse de l’économiste Isaac Joshua porte sur une crise d’un modèle de croissance capitaliste et de son instabilité structurelle. Les difficultés financières ne sont qu’une de ses premières manifestations. La crise de 1929 est essentiellement celle d’une certaine maturité du capitalisme et de la fragilité d’un système financier hâtivement constitué. Plus explicitement, I. Joshua pointe la sous-consommation liée à un partage des revenus en faveur du capital et aux dépens du travail, d’où un endettement généralisé des ménages. À signaler que le crédit à la consommation a été une innovation de cette époque. Il a notamment joué un rôle important pour soutenir l’industrie de l’automobile.
Fait particulier de 1929 est le traitement politique de la crise de la part du gouvernement américain. En effet, celui-ci a introduit un changement radical du rôle et du fonctionnement de la finance. Des lois sont promulguées (Glass-Steagall Act) séparant nettement les banques commerciales et les banques d’investissement(2) afin de dissocier l’économie réelle des déboires de la finance spéculative. L’objectif est de protéger l’épargne des ménages des turpitudes de la spéculation. Le démantèlement de cet arsenal à la fin des Trente Glorieuses a préparé le terrain à l’avènement d’un nouveau modèle plus inégal, basé sur le crédit et qui a navigué depuis de bulle en bulle.
Au lendemain de 1929, les Trente Glorieuses
Les Trente Glorieuses sont cette période de croissance et de stabilité économiques au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusqu’au milieu des années 1970. La rentabilité de l’entreprise, priorité des managers, signifiait d’abord la croissance de sa taille et de sa part de marché d’où la primauté d’une vision à long terme. Impressionnante en termes d’efficacité et de progrès sociaux, cette phase du capitalisme a été fondamentalement caractérisée par un compromis social et une régulation politique. Le besoin d’une main-d’œuvre abondante et une consommation de masse pour l’écoulement des produits standardisés a acculé le capital à la diffusion d’un pouvoir d’achat conséquent. Raison pour laquelle il a consenti une forte progression des salaires et des conditions qui ont rendu possible un compromis pour la répartition des revenus et des fruits de la croissance entre le travail et le capital. Cette conjoncture singulière de croissance a entraîné une hausse générale du niveau de vie dans les pays occidentaux et un réel processus de réduction des inégalités était engagé : c’est la période fordienne du capitalisme.
En effet, le pouvoir du capital n’est pas frontalement contesté par la montée en force du syndicalisme. En déterminant le champ de la concurrence et son intensité, l’Etat-providence s’engage à promouvoir le progrès social et sécuriser la consommation populaire. Son rôle fut sans doute décisif dans la croissance des Trente Glorieuses.
Ce pacte social est ébranlé dès le milieu des années 1970. Les progrès technologiques et l’arrivée de nouveaux pays industrialisés ont accentué la concurrence. La prospérité des entreprises devient plus incertaine et dépend plutôt de leur capacité à trouver des débouchés extérieurs, à s’adapter et distancer rapidement les innovations des concurrents. Les entreprises ont eu recours à la compression des coûts par la limitation de l’emploi et la stagnation des salaires.
En peu d’années, les multiples instruments d’action publique (politique macroéconomique, politique industrielle, protection sociale, réglementation des marchés, entreprises publiques, redistribution, etc.) ont laissé place à la rigueur monétaire et budgétaire, aux privatisations et baisses des recettes de l’Etat, au libre-échange et la libre circulation des capitaux.
L’offensive néolibérale des années 1980 et le déchaînement généralisé de la compétition marque un tournant décisif dans l’histoire économique et sociale.
Après le triomphe de la droite néolibérale en Grande-Bretagne (M. Thatcher, 1979) et aux Etats-Unis (R. Reagan, 1981), la plupart des pays riches et industrialisés sont gagnés par cette dynamique fondée fondamentalement sur la déréglementation des pans entiers de l’économie. On assiste alors au point de bascule du rapport de forces et au moment de son infléchissement en faveur des détenteurs du capital.
Dans les années 1990, le modèle néolibéral trouve son application dans les pays en développement aux prises avec les difficultés financières sous le label des plans d’ajustement structurels imposés par le FMI et la BM. Il s’impose également aux pays du bloc de l’Est dans le sillage de leur démantèlement et la chute de leur régime.
Se forment dès lors les contours de la configuration financiarisée du capitalisme où l’hégémonie de la finance est son trait le plus saillant, sa marque de fabrique.
C’est le moment également où les entreprises se métamorphosent en firmes flexibles prêtes à tout moment à délocaliser leurs activités dès qu’une meilleure opportunité se présente. La plupart des grandes multinationales passent sous le contrôle d’institutions financières privées et de grandes banques. Évidemment, les conditions de travail et des salariés subissent de plein fouet ces mutations. L’existence d’une armée de réserve de chômeurs et la précarité généralisée contraindront ceux qui ont un emploi à accepter des salaires modérés. En outre, avec l’intensification de la concurrence internationale de plus en plus vive, l’affaiblissement du contre-pouvoir syndical et l’érosion de la classe ouvrière, les conditions de production sont bouleversées afin d’incarner l’hégémonie du point de vue actionnarial : celle de garantir la rentabilité financière du capital. C’est de là que prend racine la crise internationale qui a débuté aux Etats-Unis en 2007-2008.
Subprimes ou comment ruiner le monde
Pendant ces dernières décennies, la dérégulation des activités financières a pris le pas dans les choix politiques des gouvernements. Le secteur financier ne représentait que 16% des profits de l’économie américaine en 1962 contre 49% pour le secteur de l’industrie. En 2002, les proportions sont de l’ordre de 43% pour le premier et 8% pour le second.
La financiarisation de l’économie s’est opérée de façon similaire dans la plupart des pays industrialisés. Dès 1986, Margaret Thatcher annonce joyeusement le big bang de la déréglementation des opérations boursières. Cela a consisté à défaire toute la réglementation qui, jusque-là, permettait d’éviter que le secteur financier contamine via les nuisances de la spéculation et les déconvenues de l’endettement toute l’activité économique.
Les grandes banques ont été systématiquement appuyées par les gouvernements successifs pour se débarrasser définitivement des mesures de la discipline bancaire héritée des années 1930. Aux Etats-Unis, sous Clinton, en 1999, fut abrogé le Glass-Steagall Act.
La crise de 2008 a eu pour détonateur la bulle spéculative qui avait gonflé le prix de l’immobilier. Elle a été engendrée par une augmentation démesurée du secteur de la construction par rapport à la demande solvable(3). De nouveaux mécanismes et autres montages financiers sont inventés pour ouvrir l’accès du crédit aux ménages peu solvables ou pas du tout solvables et les attirer dans la spirale de l’endettement.
À quelques mois de la déflagration générale, N. Sarkozy, fasciné par la politique américaine, invitait les Français à s’endetter beaucoup plus. Dans la revue Banque d’avril 2007, il les exhortait à adopter le modèle américain au moment même où celui-ci impliquait un effondrement cataclysmique : «Les ménages français sont aujourd’hui les moins endettés d’Europe. Or, une économie qui ne s’endette pas suffisamment, c’est une économie qui ne croit pas en l’avenir, qui doute de ses atouts, qui a peur du lendemain. C’est pour cette raison que je souhaite développer le crédit hypothécaire pour les ménages.»
Cette fascination tient, à vrai dire, surtout aux profits mirifiques que réalisaient les banques américaines. En 2006, l’année qui précède leur chute, les employés des cinq plus grandes d’entre elles se sont partagé l’extravagante somme de 36 milliards de dollars à titre de prime de fin d’année. L’endettement des ménages américains atteint ses limites tandis que les prix de l’immobilier plafonnent avant de s’écrouler au début de l’automne 2008. Toute l’industrie financière est aux abois. On assiste à de brutales fins bancaires et à l’imminence de la ruine totale du système financier. Dans l’urgence et étonnamment sans contrepartie, les gouvernement mettent sur pied de gigantesques plans de sauvetage des banques.
Au total, le FMI estime que la crise des subprimes aura coûté aux banques quelque 2200 milliards de dollars.
En somme, l’euphorie bancaire et boursière tentait de cacher pendant un temps la surproduction immobilière. Mais l’éclatement de la bulle spéculative finit par provoquer l’écroulement de tout l’échafaudage bancaire et menaçant l’économie tout entière.
Quand l’épicentre de la crise se déplace en Europe, l’Union européenne, irrésolue et saisie d’effroi, met finalement en place des politiques d’austérité. Cela a eu pour effet de plonger l’économie du continent dans une période de récession et de déprime dans laquelle elle se trouve toujours enlisée.
…Celle qui arrive
Périodiquement, le capital dresse des limites quant à sa propre reproduction. De façon inédite, il imbrique contradictions sociales et contradictions écologiques jusqu’à ultimement mettre en péril le seul écosystème compatible avec la vie humaine(4). La séquence des subprimes est l’illustration de l’autre versant de l’impasse du capitalisme.
Dix ans après, la finance spéculative reprend de plus belle. L’alimentation des bulles financières au potentiel dévastateur continue. D’abord et surtout, la bulle boursière actuelle bat tous les records, y compris ceux de 2008. Son volume dépasse le niveau atteint juste avant le krach de 1929. Trop tard, elle est vouée à l’éclatement.(5)
Quant aux banques, «l’expérience montre pourtant que leurs bonnes résolutions s’évanouissent avec le temps qui les éloigne du traumatisme, pour être complètement oubliées quand revient l’euphorie de la bulle d’après».(6)
Paul Krugman constate dans The New York Times (juillet 2011) que «les leçons de la crise financière de 2008 ont été oubliées instantanément, et les idées mêmes qui sont à l’origine de la crise — “toute réglementation est nocive”, “ce qui est bon pour les banques est bon pour l’Amérique”, “les baisses d’impôt sont la panacée” — dominent à nouveau le débat». Des idées qui ne cessent de réapparaître, d’occuper le devant de la scène et de manœuvrer obliquement vers de nouvelles débâcles. L’une des principales sources de l’instabilité financière présente provient de l’énorme quantité de liquidités injectée (estimée à 30% du PIB mondial) par les banques centrales pour le sauvetage des banques et autres établissements financiers en difficulté. Ces liquidités ont alimenté des bulles spéculatives qui continuent d’enfler… jusqu’au prochain krach.
A. M.
Notes
*Les données chiffrées sont extraites des ouvrages cités en référence, sauf indication contraire.
(1) Présidences de Calvin Coolidge (1921 à 1929) et de Herbert Hoover (1929 à 1933).
(2) Glass-Steagall Act : les banques qui collectent les dépôts des ménages ne peuvent se livrer à des opérations de spéculation.
(3) La quantité de nouveaux logements proposée chaque année aux Etats-Unis est passée de 1,5 million en 2000 à 2,3 millions en janvier 2006.
Les banques ont saisi 2,3 millions de logements en 2008 et 2,8 millions en 2009.
(4) Le réchauffement climatique, c’est maintenant. Le Soir d’Algérie du 16-10-2018
(5) François Chesnais, Les dimensions financières de l’impasse du capitalisme. À L’encontre, décembre 2017.
(6) F. Lordon, «La régulation bancaire au pistolet à bouchon». Le Monde diplomatique, février 2013.
Quelques références bibliographiques
Steve Keen, Pouvons-nous éviter une autre crise financière?, éditions Les liens qui libèrent, 2017.
Christian Chavagneux, Une brève histoire des crises financières, La découverte, 2013
Isaac Joshua, Une trajectoire du capital. Éditions Syllepse, 2006.
The post Les crises financières : récurrence et répétitions générales appeared first on .
La pâte : 250g de farine, 125 g de beurre ramolli,
1 verre d’eau, une pincée de sel
La garniture : 3 pommes, 3 cuillerées à soupe de sucre en poudre, 1 cuillerée à soupe de beurre,
2 cuillerées à soupe d’eau, sucre
La crème : 2 jaunes d’œufs, 50 g de sucre en poudre, 3 cuillerées à café de maïzena, 1/4 litre de lait,
1 sachet de sucre vanillé
Mettre la farine tamisée dans une jatte, ajouter le beurre ramolli coupé en morceaux, malaxer du bout des doigts, ajouter le sel et l’eau, pétrir toujours avec les doigts jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène et lisse, mettre la pâte en boule, la couvrir avec du film alimentaire, laisser reposer.
La garniture
Laver les pommes et les couper en fines lamelles,les mettre dans une casserole, ajouter le beurre, l’eau et le sucre, laisser mijoter à feu doux.
La crème
Faire bouillir le lait et le sucre vanillé dans une casserole. Mettre dans un cul-de-poule les jaunes d’œufs et le sucre,les battre à l’aide d’un fouet électrique jusqu’à ce que le mélange blanchisse, ajouter le lait chaud vanillé en fouettant doucement avec une cuillère en bois. Mettre le cul-de-poule au bain-marie et faire cuire à feu moyen, ajouter la maïzena et remuer sans cesse avec la cuillère en bois jusqu’à ce que la crème épaississe, retirer du feu et laisser refroidir au réfrigérateur. Etaler la pâte sur un plan de travail fariné à l’aide d’un rouleau à pâtisserie, garnir les moule à tartelettes beurrés avec la pâte, piquer bien le fond et les parois de pâte avec une fourchette (pour que la pâte ne gonfle pas à la cuisson). Faire cuire la pâte à blanc au four. Remplir les tartelettes de crème pâtissière,les garnir de lamelles de pommes, saupoudrer de sucre, laisser cuire une deuxième fois dans un four moyennement chaud jusqu’à ce que les tartelettes soient bien dorées. Servir froid.
The post Recette: Tartelettes aux pommes appeared first on .
ALGER – Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohammed Aissa effectue, à partir de dimanche, une visite au Royaume d’Arabie Saoudite, dans le cadre des préparatifs en cours pour l’organisation de la saison du Hadj 2019, indique un communiqué du ministère.
Lors de cette visite, le ministre rencontrera, cet après-midi à la Mecque, le ministre saoudien du Hadj, Muhammad Saleh Bin Tahir. Cette rencontre vise à « examiner et débattre les mesures liées aux hadjis pour la saison 1440/2019 », ajoute la même source.
The post Hadj/ préparatifs : Mohamed Aissa en visite en Arabie Saoudite appeared first on .
L’initiative du président du TAJ, Amar Ghoul, portant organisation d’une conférence nationale devant déboucher sur un consensus national suscite bien de réserves.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Cette fois-ci, la désapprobation émane du groupe des 15 + 4 partis prônant la continuité. Son coordinateur, le secrétaire général de l’ANR, n’a pas été, en effet, par trente-six chemins pour désapprouver l’ancien ministre des travaux publics. «Toute initiative politique ne doit en aucun cas passer outre la volonté populaire, les institutions et les lois de la république, la stabilité du pays en sus du fait qu’elle ne doit aucunement être liée à la prochaine élection présidentielle», soutenait, hier samedi, Belkacem Sahli en marge d’une journée d’études sur le phénomène de l’émigration clandestine.
S’étonnant qu’elle émane d’un parti émergent comme TAJ, le secrétaire général de l’ANR estime que pareille initiative «ne doit être l’émanation que d’institutions constitutionnellement habilitées», sans le dire ouvertement, Sahli soupçonne Ghoul de vouloir, à travers cette démarche, «mieux se positionner».
Et dans son intervention lors de cette journée d’études sur l’émigration clandestine, le secrétaire général de l’ANR a recommandé une stratégie globale de lutte contre ce phénomène, comme pour prouver que le groupe des 15+4 ne soutient pas le programme du président de la république par de simples paroles en l’air mais par des propositions concrètes».
M. K.
The post Groupe des 15+4: Sahli se démarque de l’initiative de Ghoul appeared first on .
L’usine de production de jus en poudre « Amila », sise à Boufarik, dans la wilaya de Blida, a été fermée, a annoncé, aujourd’hui dimanche, le ministre du Commerce, Saîd Djellab, en marge d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’El-Oued. Le ministre du Commerce a également fait savoir qu’une instruction a été donnée aux directions et inspections locales de son département pour retirer du marché les lots de produits déjà en vente.
Pour rappel, les résultats d’analyses effectuées par le laboratoire central de la police scientifique de Châteauneuf, à Alger, ont conclu à l’existence d’un composé organique dénommé ‘’Pyrazole’’, qui a des effets pharmacologiques sur les humains et est classé parmi les ‘’alcaloïdes”.
L’alerte aurait été donnée par les éléments de la sûreté de la daïra de Rekassa, dans la wilaya d’El-Bayadh. Des citoyens qui avaient remarqué que des enfants inhalent (sniffent) la poudre contenue dans les sachets ‘’Amila’’ aux alentours des écoles, des CEM et des lycées, auraient attiré l’attention des services de police.
Ali B.
The post Le ministre du commerce, Saïd Djellab, l’a annoncé aujourd’hui: L’usine de jus en poudre «Amila» fermée ! appeared first on .
Le ministre des Relations avec le Parlement, Mahdjoub Bedda, a animé, hier, à Sétif, une rencontre de concertation au niveau du Club des avocats avec les anciens élus APN, APW et APC des wilayas de Bordj-Bou-Arréridj, de M’sila, de Batna, de Mila et de Sétif.
Dans une salle trop petite pour contenir la foule où se pressaient d’anciens sénateurs et députés, le ministre Bedda, accompagné des deux autres têtes d’affiche Amar Tou et Rachid Haraoubia, a de nouveau tenu un langage de rassemblement en direction des élus, leur demandant de mettre leur expérience au service du pays. Comme il l’a fait à Alger, à Laghouat, à Relizane et à Annaba, M. Bedda, membre influent du bureau politique du FLN, a plaidé pour la création d’une association nationale des anciens élus du FLN. Une association qu’il qualifiera de réservoir de compétences capables de servir encore et de manière efficace l’Etat et la Nation.
Dressant un bilan reluisant des réalisations du Président Abdelaziz Bouteflika durant ses mandats à la tête du pays, tant au niveau national qu’à l’étranger, Mahdjoub Bedda a appelé les anciens élus du FLN au niveau de toutes les régions du pays à se mobiliser pour assurer la stabilité du pays et sa pérennité.
«Je vous invite à rallier cet espace en signe de solidarité avec le Président Abdelaziz Bouteflika pour contribuer à l’encadrement de la société civile et préparer celle-ci à faire face aux défis qui l’attendent», dira l’orateur.
Une nouvelle fois, le ministre a appelé le Président Bouteflika à poursuivre sa mission au service de l’Algérie. «Il est de notre devoir de respecter le Président pour tout ce qu’il a apporté au pays et nous lui demandons de continuer la mise en œuvre de ses nombreux programmes», a-t-il dit.
Il a, en outre, appelé les élus du FLN à «unir leurs rangs et se préparer pour les prochaines échéances importantes du pays», considérant que l’initiative de création de cette association en cette conjoncture est «un devoir et une responsabilité». Il a réitéré l’appel aux élus du parti pour être «un appui au chef de l’Etat et à la continuité de l’édification du pays».
Imed Sellami
The post Sétif: Bedda en rassembleur appeared first on .
En s’alarmant de l’augmentation de la consommation nationale de gaz et ses conséquences sur les engagements commerciaux de l’Algérie, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a balancé des chiffres sommaires que le bilan énergétique national 2017, établi par son propre département, contredit.
Jeudi, face aux députés, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a indiqué que «la production nationale de gaz était de 130 milliards de mètres cubes dont 50 milliards destinés à la consommation locale, 50 milliards à l’exportation et 30 milliards à la réinjection dans les puits afin de maintenir leur activité». Le ministre, qui a estimé nécessaire de trouver des solutions, a déclaré, alarmé, que «nous ne serons pas en mesure d’exporter dans deux ou trois ans».
Or, la production brute de gaz naturel était de 188,7 milliards de mètres cubes en 2017 et, à moins de fermer le champ géant de Hassi R’Mel, elle ne peut baisser à 130 milliards de mètres cubes. Sur les 188,7 milliards de mètres cubes extraits en 2017, 92,1 milliards de mètres cubes ont été utilisés en amont : 66,9 milliards réinjectés, 2,9 milliards de mètres cubes ont été torchés et 22,2 milliards de mètres cubes pour d’autres utilisations comme l’alimentation des turbines génératrices d’électricité pour les besoins des sites de production.
Les 96 milliards de mètres cubes restants est une production destinée à être commercialisée en Algérie ou à exporter. Selon le même bilan, les exportations de gaz naturel ont baissé comparativement à 2016 pour atteindre 37,5 milliards de mètres cubes. Quant à la consommation des ménages qui a atteint 5,3 millions en 2017, soit 345 000 nouveaux abonnés par rapport à 2016, elle était de 15,3 milliards de mètres cubes (+7,9% par rapport à 2016), soit deux tiers de la consommation locale du gaz naturel (23,3 milliards de mètres cubes). Le reste du gaz naturel est transformé dans les unités du GNL (17,1 milliards de mètres cubes) et dans les centrales électriques (18,5 milliards de mètres cubes).
En s’alarmant, ainsi, de l’augmentation de la consommation nationale de gaz et ses conséquences sur les engagements commerciaux de l’Algérie, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a balancé des chiffres sommaires. A quoi rime, donc, cet alarmisme ?
L. H.
The post Énergie: Les chiffres sommaires de Guitouni appeared first on .
La célébration de la date des évènements du 11 décembre 1960 fut l’occasion pour le chef de l’exécutif pour rendre heureuses plus de 500 familles en leur attribuant des clefs de logements.
La maison de la culture Nouar-Boubakeur du chef-lieu de wilaya a abrité l’opération de remise des clefs de 452 logements de différents types, c’est dans un climat festif que cette opération s’est déroulée devant une salle pleine de familles ayant bénéficié de ces clefs. Bien avant cette opération, une délégation composée de cadres de l’exécutif, de responsables civils et militaires avec à leur tête M. Hadjadj, wali d’Oum-El-Bouaghi s’est déplacée dans la matinée vers la ville de Aïn M’lila qui a abrité officiellement la commémoration des évènements du 11 Décembre 1960.
En cette occasion , un pôle universitaire de 1000 places pédagogiques a été visité et baptisé au nom de Ben m’hidi , un centre de proximité des impôts a été également mis en service et à noter que plusieurs membres de la famille révolutionnaire ont été honorés par le chef de l’exécutif .
Moussa Chtatha
The post Oum-El-Bouaghi: 452 logements attribués et plusieurs infrastructures inaugurées appeared first on .
Le Syndicat national algérien des psychologues (Snapsy) a tenu, hier, son conseil national extraordinaire. Conclusion : tout en réitérant leur plateforme de revendications, les membres du conseil national ont décidé de privilégier la voie du dialogue avec le ministère de la Santé. Le Snapsy a établi un nouveau calendrier pour mars prochain pour tenir son conseil national.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Dans un communiqué sanctionnant les travaux de leur conseil, les psychologues ont annoncé avoir décidé de la poursuite du dialogue avec le ministère de la Santé pour la prise en charge de leur plate-forme de revendications. «Nous appelons le ministre de la Santé à répondre à nos préoccupations, notamment celles relevant de ses prérogatives», a indiqué le Syndicat national algérien des psychologues qui demande également à la tutelle d’instaurer un dialogue social au niveau des Directions de la santé de wilaya et des structures de santé de proximité et de sanctionner les personnes contrevenantes. Le syndicat appelle également le ministère de la Santé à publier les textes d’application de la nouvelle loi sanitaire pour régler les nombreux problèmes et préoccupations posés dans le secteur et à assurer une couverture psychologique au niveau des structures de santé publique, notamment les établissements de prise en charge du cancer et de l’autisme.
Le conseil national du Snapsy n’a pas décidé d’une action de protestation puisque le ministère de la Santé a visiblement pris les devants en intervenant, d’ors et déjà, au sujet des intimidations que subissent les psychologues dans leur travail. La tutelle n’a visiblement pas interrompu le dialogue avec les représentants des psychologues puisque ces derniers dénoncent l’absence du dialogue au niveau local. Khaled Keddad, président du Snapsy, qui a rappelé que son syndicat s’est engagé depuis 2014 dans un processus de dialogue avec le ministère de la Santé, a déjà déclaré que le ministre de tutelle a appelé les DSP à engager des réunions périodiques mensuelles avec les partenaires sociaux mais c’est resté lettre morte.
Pour rappel, le syndicat appelle aussi à l’ouverture du dossier du statut particulier des travailleurs du secteur et dénonce l’absence de textes réglementaires régissant la profession. Il demande également la révision des programmes de formation de la spécialité. Le snapsy a décidé de convoquer son prochain conseil national en mars 2019 pour faire une évaluation de la situation et décider en conséquence.
S. A.
The post Ils ont tenu un conseil extraordinaire hier: Les psychologues décident de privilégier le dialogue appeared first on .
Mario Balotelli jouera-t-il dimanche contre Saint-Étienne son dernier match de championnat de France à Nice ? Pas sûr, mais l’histoire arrive à son terme, au plus tard en juin, et peut-être dès ce mercato hivernal. «L’amour dure trois ans», écrivait l’écrivain Frédéric Beigbeder.
L’attaquant italien s’est relancé à l’OGC Nice avec deux belles saisons, mais il n’a toujours pas vraiment démarré celle en cours, où il n’a pas encore marqué le moindre but. Il lui reste une chance de marquer en championnat devant son public cette année, contre Saint-Etienne, dimanche en match décalé de la 18e journée. Jean-Pierre Rivère, le président de Nice, a acté sans véritable surprise sur la radio RMC la non-reconduction du contrat de la star italienne, qui arrive à terme le 30 juin prochain. «Une prolongation ? Non, je pense que ce sera fini, a dit le dirigeant. Pour nous, Mario était partant l’été dernier», un accord moral avait été passé en ce sens entre le club, le joueur et son agent, Mino Raiola.
Zéro but
Mais on sait comment s’est terminé le lancinant feuilleton estival de son transfert à l’Olympique de Marseille. «Super Mario» avait «donc raté la préparation, a poursuivi Rivère. Les joueurs qui ne font pas une bonne préparation sont en souffrance dans la première partie du championnat. En ce moment, il a retrouvé ses qualités physiques, mais il n’est pas en réussite. Cela le met dans un état de crispation, le pauvre». Parfois désespérant avec ses attitudes, sautes d’humeur ou gestes d’énervements, Balotelli a surtout paru désespéré devant Angers, au point d’en oublier de râler sur le terrain après les uns ou les autres. Son état de doute est chiffrable : 7 tirs cadrés sur 34 (1/5) cette saison, contre 52 sur 109 la précédente (presque 1/2). Balotelli «est un compétiteur qui veut marquer son but. C’est préférable à un joueur qui s’en fiche», estime son partenaire Pierre Lees-Melou. Les deux saisons dernières à la même époque, il totalisait respectivement 6 et 9 réalisations. Balotelli a marqué 42 fois toutes compétitions confondues en deux saisons sous le maillot rouge et noir. Là, il n’a délivré qu’une seule – sublime – passe décisive contre Lille (2-0).
«Mario n’a pas perdu son talent»
«Après, Mario n’a pas perdu son talent, a insisté son président. Le jour où il y en a un qui va rentrer, ça va s’empiler.» Cela arrangerait bien Nice qu’il trouve l’interrupteur dimanche, face à Saint-Etienne, devant lequel il n’a jamais marqué depuis son arrivée en 2016. La méforme chronique de Balo n’a pas empêché les Aiglons d’enchaîner six matchs sans défaite en L1, sans encaisser le moindre but. L’attaque peine, dans le sillage de sa star, mais la défense va bien, merci. Le départ anticipé du plus gros salaire (autour des 500 000 euros mensuels) en janvier, est donc envisageable. Mais pour l’Italien, 28 ans, qui brigue toujours un retour en «Nazionale», ce n’est peut-être pas le moment de prendre une direction exotique, fut-elle très rentable. L’OM pourrait revenir à la charge, mais les dirigeants olympiens sont échaudés pas les deux mois de tractations à vide de l’été. Nice, lui, récupérerait certes un peu d’argent dans ce transfert, à Marseille ou ailleurs, mais serait-ce suffisant pour recruter un nouvel attaquant dans un marché hivernal toujours assez fermé? Les responsables niçois engagent d’ailleurs en général peu de joueurs en début d’année, et plutôt des jeunes joueurs prometteurs, comme Ihsan Sacko (janvier 2018) ou Bassem Srarfi (janvier 2017) qui peinent à faire leur place.
En partance ou pas en janvier, «Balo», désormais amaigri et en forme, a les moyens de réussir contre les Verts et d’entraîner avec lui l’OGCN en pente ascendante, pour ne pas risquer de se quitter fâchés après trois ans d’amour.
The post OGC Nice: Balotelli commence sa tournée d’adieu appeared first on .
Les fortes pluies qui se sont abattues sur la wilaya de Médéa vendredi ont été à l’origine de gros désagréments pour la population tant dans les agglomérations que dans les zones enclavées.
Aussi, un glissement de terrain important au niveau de oued Atteli a nécessité la fermeture de la RN1 sur son tronçon reliant Médéa à Blida. Les éléments de la Protection civile, de la Gendarmerie nationale et ceux de la Sûreté également ont été mobilisés pour porter secours aux usagers de la route et assurer leur sécurité.
Par ailleurs, la RN18 a également été fermée en raison de la crue de oued Harbil qui a rendu ce tronçon impraticable. Les communes de Sidi-Zahar, Seghouane ou encore Rebïa ont particulièrement pâti de cette situation.
D’autre part, les eaux pluviales ont inondé les maisons dans plusieurs quartiers du centre-ville de Médéa et des communes circonvoisines au grand désarroi de leurs occupants.
Des infiltrations ont été également signalées au niveau de l’hôpital Mohamed-Boudiaf dans le chef-lieu de la wilaya.
Les différents services et organes concernés et habilités, dont ceux de Sonelgaz, de l’APC, de l’ONA, de l’OPGI de la Protection civile et autres, se sont affairés à drainer les eaux de pluie pour désobstruer les routes des amas de terre et nettoyer les avaloirs.
Sur ordre du premier responsable de l’exécutif, M. Abbas Badaoui, une cellule de veille a été installée dès les premières heures de la journée au niveau du siège de la Wilaya pour suivre l’évolution de la situation.
Il est à signaler que dans certaines communes, les services des travaux publics ont dû recourir aux engins pour le déblaiement de la neige. Les habitants des abords des oueds, en l’occurrence oued Harbil, ont interpellé les autorités afin qu’il soit mis fin à leur calvaire. Selon eux, chaque année, des promesses leur sont faites dans ce sens sans aucune solution concrète.
Dès que l’hiver passe, il faut qu’une nouvelle crue de l’oued vienne rafraîchir la mémoire des responsables qui redeviennent très vite amnésiques au grand dam de ces citoyens impuissants !
M. L.
The post Intempéries: Crues et routes coupées à Médéa appeared first on .
Les dernières pluies qui se sont abattues vendredi sur la wilaya de Blida ont occasionné plusieurs dégâts dont des inondations et des affaissements provoqués par les crues des oueds.
La Protection civile, quant à elle, a enregistré, en l’espace de huit heures, 540 appels de citoyens qui demandaient du secours. Pour ce faire, une cellule de crise a été mise en place pour répondre aux appels des citoyens et intervenir en cas de besoin. La plupart des appels avaient trait aux inondations des maisons, dues à l’absence d’entretien des évacuations par les citoyens eux-mêmes ainsi que les avaloirs des quartiers qui se sont avérés complètement bouchés.
Par ailleurs, la Direction de la Protection civile de Blida a enregistré 80 appels de secours concernant les dangers que pouvait susciter l’élévation des eaux sur les usagers de la route.
A cet effet, les crues des oueds de Beni-Azza et de Chiffa ont causé la fermeture de la circulation pendant plusieurs heures, tout comme l’éboulement de pierres sur la RN1 entre Blida et Médéa qui a nécessité la fermeture de la route. Dans le même contexte, l’élévation des eaux de l’oued Guergoure, à 10 kilomètres au nord-ouest de Blida, a causé le blocage de la circulation et les travaux de réouverture de la route sont en cours.
Il est à noter que les pompiers ont dû intervenir pour pomper les eaux pluviales dans plusieurs maisons et les interventions étaient toujours en cours hier.
M. B.
The post Blida: Plusieurs dégâts occasionnés par les dernières pluies appeared first on .
Les jours se succèdent et se ressemblent pour les habitants des régions enclavées. Se déplacer dans la commune ou aller ailleurs n’est pas une chose facile.
Dans une précédente édition, nous soulevions ce désagrément, mais point d’écho. Pour prendre un fourgon vers Aouachiche, qui est à 20 km de cette bourgade, d’abord il faut se lever très tôt et prendre part à la bousculade quotidienne.
Pêle-mêle, la pagaille offre un très grand spectacle d’anarchie. Plus d’une vingtaine de fourgons et cinq minibus assurent le transport pour la commune de Sidi-Khettab. Pour une population de moins de dix mille âmes, normalement le problème ne se pose guère. Mais sur le terrain, les entraves sont incommensurables. Ceux qui habitent les plus hauts villages : Ouled-Ahmed, Ouled-Bendenia, Kssara et Khouaouna, sont contraints de faire de longs trajets à pied.
Auparavant, un bus desservait l’une des routes qui mènent à Sidi-Khettab, mais, depuis deux mois, le fameux véhicule s’est éclipsé, pour panne, peut-être.
Dans une région des chemins qui montent, la marche n’est pas souvent une partie de plaisir. Surtout pour ceux qui font leurs achats au chef-lieu de commune.
C’est dans ces circonstances que beaucoup de gens cheminent la lourde bouteille de gaz butane et autres denrées. C’est un véritable casse-tête.
A. Rahmane
The post Relizane: Interminables problèmes de transport appeared first on .
Le corps sans vie de Mohamed Moussa emporté par les eaux de oued El-Maleh, dans la wilaya de Médéa, vendredi, a été repêché hier après-midi par les éléments de la Protection civile au niveau de la commune de Khams-Djouamâ. La dépouille mortelle de la victime a été acheminée vers la morgue de l’hôpital Benyoucef-Benkhedda de Berrouaghia.
Un message de condoléances a été adressé par le wali de Médéa à la famille du défunt.
M. L.
The post Le corps du jeune homme emporté par les eaux retrouvé appeared first on .
Promasidor El Djazaïr, producteur des jus en poudre de marque Amila, a été informé de la présence potentielle d’une molécule inattendue dans certains de ses produits.
L’entreprise tient à rassurer tous ses consommateurs que l’ensemble des produits de marque Amila sont conformes aux normes algériennes et internationales les plus strictes, et font l’objet de contrôles réguliers, que ce soit au niveau des fournisseurs d’ingrédients, au sein de nos unités de production, et par les autorités algériennes, et ce depuis 2003.
The post Amila répond aux allégations et rassure les consommateurs appeared first on .
Semer la joie de Noël dans le cœur des enfants dont les parents ne sont plus, c'est l'objectif que poursuit madame Dolorès Chabi Kao, secrétaire exécutive de la Fondation Etisalat-Bénin à travers un périple dans les orphelinats du Bénin.
Après son passage à Claudio Megnico à Abomey-Calavi le mercredi 12 décembre dernier, Dolorès Chabi Kao et toute la délégation qui l'accompagne se sont rendues ce samedi 15 décembre 2018 à l'orphelinat Dada Akao de Naogon à Covè. Dans une ambiance festive, les enfants de cet orphelinat, une cinquantaine environ, ont bénéficié de jouets, de vivres et des fournitures scolaires de la part de la Fondation Etisalat-Bénin. « Nul n'a le droit d'être heureux tout seul […] d'où notre présence à leur côté », a affirmé la secrétaire exécutive très fière de passer ce moment de joie avec les enfants.
La cérémonie de remise des cadeaux en images
F. Aubin AHEHEHINNOU