Par Hasna YACOUB
Lors de ce dernier conseil de l’année 2018, le président Bouteflika fera des déclarations importantes, comme l’a laissé entendre Louisa Hanoune, ou se suffira de donner des orientations générales à son Exécutif.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, réunira aujourd’hui, le Conseil des ministres pour signer l’avant-projet de la loi de finances 2019. C’est du moins ce qu’ont affirmé nos sources. Ce qui reste très probable vu que le chef de l’Etat est tenu, selon les lois de la République, de signer ce document avant la fin de l’année en cours, à savoir le lundi prochain. Lors de ce dernier conseil de l’année 2018, le président Bouteflika fera des déclarations importantes, comme l’a laissé entendre, en début de cette semaine, la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, ou se suffira de donner des orientations générales à son Exécutif pour une mise en oeuvre scrupuleuse et diligente du programme tracé pour le développement du pays sur tous les plans en ces temps durs de crise économique. Si le président de la République décide de faire des déclarations politiques, cela ne pourrait porter que sur la prochaine échéance électorale, ce qui permettra, à ne pas en douter, de dissiper l’épais brouillard qui s’est abattu, depuis quelques semaines déjà, sur la scène politique. Mais en ce qui concerne l’économie, des déclarations, il en fera certainement. Car, il faut rappeler que pour l’année 2019, le projet de loi de finances a été établi sur la base d’un baril de pétrole à 50 dollars. Ce prix était censé être un prix de sécurité qui offre une certaine manoeuvre aux décideurs pour rééquilibrer la balance budgétaire or, depuis quelques jours, le scénario imaginé par l’Algérie tourne presque au cauchemar, puisque actuellement avec un prix de baril oscillant autour des 50 dollars, la ligne rouge est atteinte et si elle venait à être franchie, cela remettrait sérieusement en question bon nombre d’objectifs et compromettrait les décisions prises dans le cadre de la loi de finances 2019. L’Exécutif sera peut-être appelé par le chef de l’Etat à réfléchir à un plan B pour faire face à cette situation en attendant la mise sur les rails de l’ensemble des réformes économiques permettant au pays de sortir de l’emprise des exportations des hydrocarbures. Ce qui reste certain, c’est que l’Algérie est condamnée à poursuivre ses investissements afin de lancer la machine de la production nationale et de créer son tissu de petites et moyennes entreprises. Seule manière de faire baisser sérieusement les importations et d’aller vers les exportations hors hydrocarbures. C’est cet objectif qui a été tracé dans le projet de loi de finances 2019 qui table sur une croissance de 2,6%, une inflation qui ne dépasse pas les 4,5% et une réduction du déficit jusqu’à -17,2 milliards de dollars. Tout cela sans qu’il n’y ait d’impact sur le niveau de vie du citoyen puisque aucune nouvelle taxe n’est prévue pour cette année et le montant des transferts sociaux a été revu à la hausse pour atteindre les 1772,5 milliards de dinars. Ce qui confirme donc le maintien de la politique sociale et le soutien aux familles pour lequel un budget de 445,3 milliards de dinars est prévu.
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par K. B.
Les éléments de contrôle des voyageurs des services des Douanes du port maritime de Ghazaouet ont saisi, au courant de la semaine dernière 16.000 euros, un montant qu’un voyageur qui venait d’Almeria (Espagne) n’a pas déclaré lors des formalités, à son arrivée au port, a-t-on appris hier auprès de la direction régionale des Douanes de Tlemcen.En effet, c’est au cours d’un contrôle des passagers que les douaniers chargés de la visite des voyageurs ont découvert cette somme d’argent en devises dissimulée sous les vêtements d’un individu, un Algérien établi en France, qui ne l’a pas déclarée auprès des Douanes, ce qui constitue une infraction à la législation des changes. Le contrevenant en question a été, selon la même source, présenté devant la justice, à Ghazaouet. Il devra s’acquitter d’une amende équivalente à 10 fois le montant saisi.
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La circulation dans la Capitale pourrait bien être perturbée, aujourd’hui. Et pour cause : la Wilaya d’Alger reprend la 3e et dernière
phase de la 24e opération de relogement. 1.800 familles vivants dans des habitations précaires, des bidon villes bâtis sur des zones sensibles ou à vocation industrielle ou agricole, sont concernées. Parmi elles, on compte également celles occupants des espaces dans des établissements scolaires.
Les itinéraires qui pourraient en être perturbés sont délimités dans les zones où va se dérouler l’opération.Ainsi, la zone de départ se situe au niveau des sites suivants : – La Casbah. -Cité Dergana. -Ain Kahla (Cheraga).-Cité Bentalha (Baraki ). – Bourouba.
Les familles seront conduites vers leurs nouvelles demeures au niveau de : Ouled Fayet, Douiéra, Cité Mihoubet Baraki.
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ÉTAPE 1Préchauffez le four th.6 (180°C).
ÉTAPE 2Coupez le pain en tranches fines.
ÉTAPE 3Coupez les tomates en rondelles, déposez 1 rondelle de tomate sur 1 tranche de pain.
ÉTAPE 4Coupez la mozzarella en tranches et déposez-en 1 sur la tomate.
ÉTAPE 5Salez, poivrez et saupoudrez d’herbes de Provence et l’huile d’olive.
ÉTAPE 6Faîtes de même pour toutes les tranches et placez-les sur la plaque du four.
ÉTAPE 7Enfournez pendant 10 min.
ÉTAPE 8Servez tiède.
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ÉTAPE 1Préparation de la crème : pour une crème onctueuse, mélangez le fromage frais type « St Moret » à la crème légère. Salez et poivrez à votre goût. Réservez la crème au frais pendant 1 h minimum. Placez ensuite cette crème dans une poche à douille.
ÉTAPE 2Sur une planche en bois, découpez le saumon fumé en petites tranches (de la taille de vos crackers).
ÉTAPE 3Le montage : disposez le mélange avec la poche à douille sur vos crackers. « Coiffez » vos toasts avec la tranche de saumon et terminez par un brin d’aneth.
ÉTAPE 4Réservez au frais avant de servir. Complétez d’une rondelle de citron vert pour la décoration.
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ÉTAPE 1Epluchez les pommes de terreet râpez-les. Placez-les dans une terrine et réservez. Épluchez les oignons, coupez-les grossièrement puis mixez-les. Ajoutez-les dans la terrine. Mélangez.
ÉTAPE 2Ajoutez les oeufs entiers un à un et la farine, salez et poivrez à votre convenance. Mélangez bien le tout avec une cuillère en bois.
ÉTAPE 3Versez de l’huile d’olive dans une poêle et faites-la chauffer à feu moyen. Lorsque l’huile est chaude, déposez-y des petits tas de pâte, formés à l’aide de deux petites cuillères. Faites cuire quelques minutes en retournant à mi cuisson afin que les beignets soient bien dorés de chaque côté. Servez les beignets de pomme de terre bien chauds.
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Ce mercredi, la protection civile vient enfin de parvenir a extraire la dépouille du jeune AYACHE Mahdjoubi, âgé de 31 ans, tombé il y a maintenant 9 jours dans un puits, situé dans le village d’oum cheml, au sud-ouest de la wilaya m’sila.
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(Agence Ecofin) – Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé, le 21 décembre 2018, un décaissement d’un montant de 35,05 millions de droits de tirages spéciaux (DTS), soit environ 48,6 millions $, en faveur du Tchad.
Ce nouvel appui financier intervient à l’issue de la troisième revue du programme économique et financier appuyé par un accord au titre de la facilité élargie de crédit (FEC) avec le Tchad. Il porte ainsi le total des décaissements effectués au titre de cet accord à 140,2 millions de DTS (environ 194,5 millions $).
L’institution de Bretton Woods a, par ailleurs, approuvé la demande présentée par les autorités tchadiennes d’une dérogation « pour inobservation du critère de réalisation continu relatif à l’accumulation de nouveaux arriérés de paiements extérieurs par l’Etat et les entreprises publiques non financières ».
Concernant la mise en œuvre de ce programme appuyé par la FEC, le FMI relève qu’en dépit de certains retards, les réformes structurelles entreprises par les autorités tchadiennes se poursuivent de façon « satisfaisante ».
« Les autorités sont déterminées à continuer de stabiliser la position budgétaire, de dynamiser la croissance hors pétrole et de réduire la vulnérabilité du secteur bancaire.», note l’institution.
« A cet égard, il s’agit principalement de maîtriser la masse salariale, ainsi que d’améliorer la mobilisation des recettes intérieures et la gestion des finances publiques. Cela contribuerait à créer un espace suffisant pour accroître les dépenses sociales et l’investissement public, et pour réduire la dette et les arriérés intérieurs. Il sera essentiel aussi de renforcer la législation relative à la lutte contre la corruption et de s’attaquer aux faiblesses de certaines banques intérieures.», soutient le FMI.
Rappelons que l’accord FEC en faveur du Tchad, a été approuvé par le conseil d’administration du FMI le 30 juin 2017, pour un montant de 224,32 millions de DTS (environ 312,1 millions $, ou 160 % de la quote-part du pays).
Ce programme vise à aider le Tchad à rétablir la stabilité macroéconomique, à jeter les bases d’une croissance vigoureuse et inclusive, et à contribuer à l’effort régional qui est déployé pour rétablir et préserver la stabilité extérieure de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (CEMAC).
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Agence Ecofin) – Le produit intérieur brut du Rwanda a enregistré une progression de 7,7% durant le troisième trimestre de 2018, grâce notamment aux bonnes performances des secteurs des services et de l’industrie, selon des données publiées par l’Institut national de la statistique (NISR).
Cette progression met l’économie du pays des mille collines sur la bonne voie pour atteindre le taux de croissance de 7,2% projeté pour l’ensemble de l’année 2018.
Entre le 1er juillet et le 30 septembre 2018, le secteur de l’industrie a enregistré une croissance de 12%, alors que celui des services a progressé de 7%.
Les secteurs des mines et de l’agriculture ont enregistré des taux de croissance respectifs de 7% et 5%.
Le secteur des services est le premier contributeur au PIB du Rwanda (48%), devant l’agriculture (28%).
Commentant les données de l’Institut national de la statistique, le ministre des Finances et de la Planification économique, Uzziel Ndagijimana, a indiqué que le taux de croissance de 7,2% prévu par le gouvernement, sera certainement atteint.
Selon lui, le gouvernement table sur un taux de croissance de 8% en 2019.
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Les habitants de cette localité, livrés à eux-mêmes, ne savent plus où donner de la tête ni à qui se plaindre du manque de soins et d’une prise en charge sérieuse qui mettrait fin à leurs souffrances.
Une journée au fin fond du désert. Parler du secteur de la santé à Bordj Badji Mokhtar, ville du désert, c’est prêcher dans le désert sans jeu de mots. Un secteur quasiment moribond et totalement abandonné par les praticiens de la santé, publics ou privés soient-ils. Les habitants de cette localité, livrés à eux-mêmes, ne savent plus où donner de la tête ni à qui se plaindre du manque de soins et d’une prise en charge sérieuse qui mettrait fin à leurs souffrances. C’est avec une grande dignité qu’ils font face à leurs déboires et à leur injuste abandon qui fait d’eux une population laissée pour compte, mais qui tient le coup. Se faire soigner dans cette localité du Grand Sud, c’est réussir le parcours du combattant pour avoir un rendez-vous préalable à une simple auscultation auprès d’un médecin généraliste. Pour y arriver, les pauvres malades doivent dans la plupart du temps attendre des jours, voire même des semaines pour obtenir le fameux sésame et non moins précieux rendez-vous…
Deux généralistes pour 70.000 personnes..
Il faut dire qu’en dépit de son statut de wilaya déléguée, Bordj Badji Mokhtar qui compte plus de 70.000 habitants, ne dispose que de deux médecins généralistes. Deux seuls praticiens qui, bien que dépassés par le nombre en nette croissance de malades, se vouent corps et âme à leur noble mission. A Bordj Badji Mokhtar, il ne faut surtout pas tomber malade, car se serait s’exposer à une rapide dégradation de votre état de santé sans que personne ne puisse vous venir en aide… Dans cette ville fantôme tout le monde est exposé aux maladies diverses, mais les plus vulnérables restent sans conteste les vieux, les enfants et les femmes, notamment celles enceintes. Lundi, 17 décembre, à 5 heures du matin, un avion transportant une délégation humanitaire, avec une dizaine de médecins spécialistes à son bord, a décollé d’Alger vers Adrar et de là vers Bordj Badji Mokhtar avec pour mission principale une grande opération d’approche, de proximité et de consultation de larges pans des populations locales.
Conscients de la situation désastreuse dans laquelle baigne le secteur de la santé dans cette partie du pays, lesdits médecins ont consacré une journée pour consulter près de 1500 personnes, dans une polyclinique à l’état d’abandon, désertée en raison du manque de moyens tant humains que matériels. Dépités par l’amère constatation faite quant à la situation du secteur et armés de leur seule motivation et d’une grande générosité dans l’effort personnel, ils se sont voué corps et âmes pour donner un peu de chaleur et de réconfort moral à tous les malades qu’ils ont examinés. Formée de spécialistes en cardiologie, gynécologie, pédiatrie, urologie et d’autres domaines, la délégation en question avait mission d’évaluer, sur tous les plans, la situation sanitaire dans la région.
Les témoignages de ces praticiens de la santé sont effarants tant l’état des lieux très délabré laisse à méditer sur le pourquoi et le comment de la situation. Le constat est sans appel. Même l’endroit ayant servi pour la consultation de centaines de malades qui affluaient des quatre coins de la région est dévasté, en ruine. Un véritable désastre. Tomber malade à Bordj Badji Mokhtar c’est tout simplement mettre un pied dans la tombe.
Témoignages poignants des médecins
Pour le docteur Beleli, spécialiste en urologie, cette mission vient malheureusement, confirmer un mal bien enraciné au sein d’une population sans protection. Tout commençait par une bonne intention. «Ce voyage était programmé le début de l’année en cours, malheureusement nous n’avons pas pu venir a cause du manque de transport. Y a pas de vol direct, ce qui nous paralyse, et pénalise les malades», regrette le docteur en décrivant l’état sanitaire des malades auscultés.
Inquiétés par la banalisation et l’abandon, ils lancent un cri de détresse. «Nous ne savons plus à qui nous adresser. Il faut savoir que cette région est un carrefour pour les migrants clandestins. Ce qui augmente la possibilité de contamination des maladies dangereuses. Et en manque de moyens, la situation risque de se dégrader», ajoute le même médecin en dénonçant avec force l’épidémie de l’indifférence. «Notre prochaine mission consiste à fournir des consultations en santé pour plus de malades. De vacciner le maximum d’enfants et d’aider des femmes à accoucher dans des meilleures conditions», souligne un autre médecin de la délégation. «Pour les patients qui ont besoin d’un traitement chirurgical en urgence, ils seront pris en charge au niveau de l’hôpital d’Adrar, lors de notre prochaine mission», expliquant, que malheureusement, aucune infrastructure sanitaire décente n’existe dans cette région.
Les malades doivent rouler près de 800km pour arriver à Adrar. Les soins médicaux sont aussi fournis aux personnes venant d’autres pays voisins. «Maladies gastriques, infections respiratoires, douleurs et courbatures généralisées, maladie de la peau, sont les principales pathologies fréquemment rencontrées», témoigne à L’Expression le docteur Beleli. Pour lui, en l’absence d’une prise en charge immédiate, certains cas se compliquent davantage. De son côté, le gynécologue a constaté lors de ses consultations que deux femmes enceintes portaient des foetus morts. Grossesses dans un stade avancé arrêté, sans que les mamans découvrent l’arrêt de leurs grossesses. Les femmes enceintes sont très vulnérables. Leurs situations dégénèrent au cours du parcours de leurs grossesses. «Ça provoque souvent des complications sévères et parfois fatales. La mortalité des femmes est très élevé», indique le même docteur. Sur les centaines de personnes inscrites, certains diagnostics sont critiques. Certains sont dans un état de santé déplorable, mais hélas, ils ne seront pas placés en observation pour effectuer des examens. La crise des médecins résidents, semble, compliquer davantage la situation sanitaire des habitants de cette région. Les médecins refusent d’exercer au Grand Sud. Pour certains, en manque de moyens, les médecins ne peuvent pas faire grand-chose…
Construction de nouvelles infrastructures décentes
Depuis quelques mois, le ministère de la Santé, avait déclaré que de nouveaux acquis pour le secteur de la santé viennent étoffer progressivement les structures de santé et les spécialités médicales dans la wilaya d’Adrar. Il s’agit de la construction d’un nouvel hôpital de 240 lits «Abdelkrim Bouderghouma», dans la nouvelle ville de Tellilen, au Nord d’Adrar.
La tutelle a estimé, dans ce cadre, que cette infrastructure, permettra d’atténuer la pression sur l’hôpital Ibn Sina, au chef-lieu de la wilaya d’Adrar. Aussi, est prévue la réalisation d’un autre hôpital psychiatrique de 120 lits, d’un établissement public hospitalier (EPH) de 120 lits, et d’un centre anticancéreux de 140 lits. On note, qu’une importante enveloppe a été accordée à l’équipement du centre anticancéreux. Un montant de 600 millions DA a, ainsi, été destinée à la mise en oeuvre et l’exploitation partielle de cette structure, dans le domaine de la radiothérapie, pour consolider la chimiothérapie disponible au niveau de certaines structures hospitalières de la wilaya. Les prochains mois seront probablement, marqués par d’autres missions similaires…
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Le retrait des troupes Américaines de Syrie aurait un impact négatif sur l’Irak, a déclaré, lundi, le Premier ministre Irakien Adel Abdulmahdi.
« Nous avons discuté de la décision Américaine de retirer ses troupes de la Syrie, laquelle aura des répercussions considérables sur l’Irak », a indiqué ce dernier lors d’une conférence de presse.
« S’il y a une tension de sécurité en Syrie, il y aura une vague migratoire, et l’Irak sera l’un des premiers pays exposés », a expliqué l’homme d’Etat Irakien.
Celui-ci a par ailleurs démenti que l’Irak ait reçu une demande de la part des Etats-Unis d’accueillir leurs troupes retirées de la Syrie.
Le Premier ministre Irakien a révélé que le secrétaire d’Etat Américain, Mike Pompeo, l’avait informé du retrait des troupes Américaines avant la mise en oeuvre de cette décision.
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Tous les enfants sont égaux devant la loi et les droits. Cependant ces droits de l’enfant -comme avoir une famille, le loisir, l’éducation et la santé – indéniablement acquis et aspire à une protection, sont tout bonnement bafoués.
Les aléas de la vie ne les privent pas seulement les enfants de ces droit mais ils subissent des comportements inhumains au sein de la famille, le voisinage ou endurent simplement sous le diktat de l’environnement précaire qui les entoure.
Des conditions qui les poussent à fréquenter des milieux qui ne sont pas les leurs à savoir : la délinquance, la criminalité ou la traite des enfants et se trouvant impuissant victimes de la mendicité, du travail forcé et de la prostitution.
Rencontrée par Karima Hasnaoui, l’officier Ait Messaoudène, membre représentant de la sûreté nationale au Conseil national de la protection de l’enfance, évoque plusieurs mécanismes mis en place par les pouvoirs publics pour lutter contre ces fléaux sociaux qui menacent l’enfance, citant des brigades régionales d’investigation sur la délinquance juvénile, les brigades régionales de protection de l’enfant et des personnes vulnérables.
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Le ministre de l’Industrie et des Mines a d’ailleurs effectué une visite au Japon le mois dernier.
Le ministre japonais des Affaires étrangères, Taro Kono, effectuera à partir d’aujourd’hui une visite officielle en Algérie. Lors de cette visite qui s’inscrit «dans le cadre des relations d’amitié et de coopération qu’entretiennent l’Algérie et le Japon, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, s’entretiendra avec son homologue japonais sur les relations bilatérales dans leurs différents volets, notamment économique», rapporte un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
La dimension économique de cette visite trouve sa justification dans la baisse brutale de la valeur des échanges entre les deux pays. En effet, en raison de la suspension d’importation de 850 produits, les échanges entre les deux pays sont passés de 2 milliards à 400 millions de dollars seulement. Un manque à gagner côté nippon qui n’est pas du tout négligeable et qui intervient dans un contexte international où l’Afrique, et l’Algérie en tête, entre dans les agendas des grandes puissances de la planète. Avant l’arrivée du ministre japonais, le Premier ministre algérien a accueilli son homologue sud-coréen, avec à la clé, une réelle volonté de sa part, de passer à la vitesse supérieure. Le Japon et la Corée du Sud sont précédés par la Chine qui ne cache pas son ambition de faire de l’Algérie une porte d’entrée vers l’Afrique dans le cadre de son mégaprojet «La ceinture et la route». Les trois dragons du sud-est-asiatique semblent animés de la même détermination à s’implanter sérieusement en Afrique et l’Algérie est visiblement un partenaire incontournable pour Pékin, Séoul et Tokyo.
Si les deux premiers s’appuient sur une ébauche de tradition de partenariat, pour le Japon par contre, les relations sont réduites à leur plus simple expression. Et pour cause, il n’y a pas eu une visite de niveau ministériel depuis août 2010. C’était le ministre délégué auprès du ministère de l’Economie japonaise qui s’était rendu à Alger.
Pour rattraper son retard, le gouvernement japonais a d’abord missionné son ambassadeur en Algérie pour des entretiens avec le président du FCE, le ministre du Travail et le ministre du Tourisme. Ces trois rendez-vous ont eu lieu durant les mois de novembre et décembre. Ceci laisse penser que la visite du ministre des Affaires étrangères japonais revêt un caractère essentiellement économique.
Il faut dire que le renforcement du partenariat a fait l’objet de plusieurs appels lancés d’un côté comme de l’autre. Le ministre de l’Industrie et des Mines a d’ailleurs effectué une visite au Japon le mois dernier. Il a notamment visité l’usine Toyota, et s’est entretenu avec des responsables des firmes Nissan et Suzuki. Ces trois prestigieuses marques veulent ouvrir des usines en Algérie. Leurs dossiers sont en attente de validation par le CNI.
Pour rappel, les relations diplomatiques algéro-nippones ne datent pas d’hier. Le Japon a reconnu l’Algérie le 4 juillet 1962, alors qu’un bureau du FLN avait été ouvert à Tokyo en 1958. Pour autant, les relations tardent à se renforcer. Pour preuve, le projet de signature d’une convention de non-double imposition et de facilitation de procédures d’investissement, assorties d’une garantie et d’une promotion réciproque de ces dernières, traîne depuis 2010. Pour autant, les relations ne sont pas à l’arrêt, et prennent une dimension universitaire. Un appel à projets de coopération technique avait été lancé par l’ambassade du Japon en Algérie en direction des universités. Le Japon accorde également des bourses d’études tous les ans à une poignée d’Algériens désirant y étudier. Deux Algériens, dont un ancien ambassadeur au Japon, ont même été décorés de l’Ordre du Soleil levant, la deuxième plus haute distinction au Japon.
Les relations entre les deux pays ont toujours été bonnes, et l’Algérie a beaucoup à gagner d’un partenariat renforcé avec le Japon. Ce pays est une grande puissance économique et technologique. Le Japon, lui, gagnerait à se rapprocher de l’Algérie de par les opportunités qu’elle recèle et par sa position géographique stratégique.
Avec le Japon, ce sont les principales puissances économiques de l’Asie qui s’intéressent au partenariat avec l’Algérie.
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Une Argentine qui avait été enlevée en Bolivie il y a 32 ans, alors qu’elle était âgée de 13 ans, a été retrouvée au terme d’une enquête conjointe argentino-bolivienne, a annoncé mardi la gendarmerie nationale argentine. Cette femme de 45 ans avait été victime d’un trafic de traite d’êtres humains, a précisé la gendarmerie dans un communiqué. A la demande des autorités judiciaires argentines, l’unité spéciale de lutte contre le crime de la police nationale bolivienne a rassemblé ces derniers mois des preuves de la présence de la disparue à Bermejo, petite ville située dans l’extrême sud du pays.
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