LE CAIRE – Le NA Husseïn-dey affrontera la formation libyenne du Ahli Benghazi en seizièmes de finale « bis » de la Coupe de la Confédération de football, à l’issue du tirage au sort effectué vendredi dans la capitale égyptienne Le Caire.
Le représentant algérien se déplacera à Benghazi pour jouer le match aller prévu entre le 11 et le 13 janvier 2019 avant d’accueillir son adversaire au stade 5-Juillet (Alger) entre le 18 et le 20 du même mois.
Le NAHD s’est qualifié pour les seizièmes de finale « bis » de la Coupe de la Confédération au détriment des Zambiens de Green Eagles (0-0, 2-1), alors que le Ahli Benghazi avait été éliminé en 16es de finale de la Ligue des champions par les Sud-africains de Mamelodi Sundowns (0-0, 4-0).
Résultats du tirage au sort des seizièmes de finale « bis » de la Coupe de la Confédération de football
Gor Mahia (Kenya) – New Stars Douala (Cameroun)
Al-Ahli Benghazi (Libye) – NA Husseïn-dey (Algérie)
Al Hilal (Soudan) – Mukura Victory (Rwanda)
Nkana FC (Zambie) – FC San Pedro (Côte d’Ivoire)
Coton Sport (Cameroun) – Asante Kotoko (Ghana)
Zesco United (Zambie) – Kaizer Chief (Afrique du Sud)
Stade Malien (Mali) – Petro Atletico Luanda (Angola)
Raja Casablanca (Maroc) – African Stars (Namibie)
Renaissance Berkane (Maroc) – ASC Diaraf (Sénégal)
CS Sfaxien (Tunisie) – Vipers SC (Ouganda)
Zamalek (Egypte) – IR Tanger (Maroc)
Kampala City (Ouganda) – AS Otôho (Congo)
Bantu FC (Lesotho) – Enugu Rangers (Nigeria)
Al-Nasr (Libye) – Faso Salitas (Burkina Faso)
Jimma Aba Jifar (Ethiopie) – Hassania Agadir (Maroc)
Aller : 11 au 13 janvier
Retour : 18 au 20 janvier.
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Le monde du numérique s'enrichit au Bénin. Et pour cause. La Société Générale des Technologies de l'Information et de la Communication (SGTIC) vient de mettre à la disposition du public béninois et d'ailleurs sa plateforme ‘'Aurédo.com” pour offrir ses services à moindre coût aux populations. Cela, pour leur permettre de gagner du temps et de leur éviter les tracasseries liées à leurs mouvements.
En effet, en Afrique en général et au Bénin en particulier, très peu de services en ligne sont disponibles. Ce qui amène la jeunesse à consommer les services en ligne des pays occidentaux. C'est donc dans souci de combler ce vide et de rétablir l'équilibre que Yévèdo CAPO-CHICHI, Coordonnateur du projet "Auredo" et son équipe ont réfléchi à cette problématique d'insuffisance de services en ligne au Bénin. Au bout de plusieurs mois de travail ardu, la SGTIC sort la solution. Elle a mis en place une plateforme web dénommée "Auredo" et disponible à l'adresse https://www.auredo.com. A en croire les explications du Directeur général de la SGTIC, Yévèdo CAPO-CHICHI, cette plateforme offre une multitude de services en ligne reliés à un seul compte. Une fois inscrit sur la plateforme, l'internaute a la possibilité de bénéficier de différents services tels que les avis de recrutement, le coaching en ligne, les informations sur l'immobilier, le paiement de facture d'eau et d'électricité, la visite des kiosques des livres, des romans et de journaux. Les citoyens peuvent également avoir accès aux opportunités d'entreprises, à l'annuaire de Cv, à l'annuaire d'entrepreneur et à l'hébergement web. Et ce n'est pas tout. SGTIC, la startup qui innove dans le e-commerce au Bénin entend aller plus loin en développant dans les jours à venir d'autres merveilleux services pour satisfaire la demande sans cesse croissante, faciliter la vie aux populations et faire du Bénin un pôle de services internet mondial. Pour gagner ce challenge, il exhorte les jeunes à saisir l'occasion en s'inscrivant massivement sur la plateforme www.auredo.com
Un atelier s'est tenu du 27 au 28 décembre 2018, à l'Hôtel Jeco à Dassa pour renforcer les capacités des acteurs communaux et départementaux du ministère des affaires sociales et de la microfinance sur les outils harmonisés de collecte du nouveau système d'information sur les cibles de l'action sociale.
<< Former les cadres à divers niveaux du secteur de l'action sociale à l'usage des outils harmonisés de collecte du nouveau système d'information sur les cibles de l'action sociale afin de les amener à être aptes au remplissage correct et à l'exploitation optimale de ces nouveaux outils>>. C'est l'objectif de la session de formation organisée par le ministère des affaires sociales et de la microfinance à travers la direction générale de l'Observatoire de la famille, de la femme et de l'enfant (OFFE). Les participants sont des cadres départementaux pilotes retenus dans le cadre de l'implémentation des nouveaux outils harmonisés de collecte du nouveau système d'information des cibles de l'action sociale.
Le ministère des affaires sociales et de la microfinance peine encore aujourd'hui à avoir des données statistiques fiables, malgré les nombreuses évidences et évolutions induites par les diverses interventions au profit des cibles de l'action sociale. Et pour cause, l'absence d'un système d'information performant pouvant générer une base de données qui fait foi tant sur le plan intérieur qu'à l'international.
Pour inverser la tendance, le gouvernement a, dans le cadre de ses réformes, décidé grâce à l'appui des partenaires techniques et financiers, de doter le secteur de l'action sociale d'un nouveau système d'information moderne et dynamique.
Les réformes ont conduit selon les organisateurs, à l'élaboration de huit outils de gestion de cas pour répondre au besoin de cohérence et d'harmonisation des outils de collecte de base et de trois outils synthèse destinés à exporter les informations consolidées vers la base de données. Ces outils permettront de renseigner sur une dizaine de thématiques de l'action sociale regroupés en trois domaines à savoir : la protection de l'enfant ; la protection sociale et solidarité nationale ; la protection de la famille, de la femme et promotion du genre.
Nécessité de former les agents
Pour s'assurer de l'efficacité de ce dispositif avant sa mise à l'échelle, l'OFFE a décidé d'expérimenter sur trois mois, à compter de janvier 2019, ces outils dans les départements du Borgou, de la Donga, des Collines et du Couffo. << A titre expérimental pour une période de trois mois, il sera édité et mis à la disposition des Cps et des directions départementales des zones pilotes ainsi que certaines structures spécialisées les registres d'outils harmonisés de gestion de cas, de même que les outils synthèse pour permettre à ces derniers de commencer par collecter des données en attendant la finalisation de l'application Web du nouveau dispositif >>, a expliqué le Directeur général de l'Observatoire, M. Nassirou Kassoumou, à l'ouverture des travaux.
C'est pourquoi, il est important pour l'OFFE de partager et de vulgariser ces outils avec les différents acteurs concernés pour qu'ils aient une maîtrise parfaite de ces outils tant indispensables pour relever les défis du secteur de l'action sociale, a-t-il indiqué.
Le Directeur départemental des affaires sociales et de la microfinance a salué les organisateurs pour le choix porté sur sa commune pour abriter cet atelier avant de les exhorter au travail.
Les données collectées seront réservées et prises en compte dans le cadre de la phase de test du SIDoFFE nouvelle génération dès sa finalisation.
Juliette MITONHOUN
ALGER – Les brigades de la Police judiciaire (PJ) ont élucidé grâce au Système d’identification et de recherche criminelle (SIRC), 31 affaires criminelles à travers plusieurs wilayas du pays qui se sont soldées par l’arrestation des auteurs de ces crimes, a indiqué vendredi un communiqué des services de Sûreté nationale.
Parmi les affaires traitées, 7 affaires relatives au vol ont été élucidées par les services d’identification de la wilaya de Batna, suivies de 4 affaires de vol, de coup et de blessure volontaires sous la menace d’arme blanche, dans la wilaya de Khenchla, a précisé la source.
Les services d’identification relevant de la Sûreté de Bordj Bou Arreridj et de Chlef ont élucidé, pour leur part, 6 affaires de vol et de trafic de drogues, a ajouté le communiqué.
A ce propos, les éléments des services d’identification de Blida, Tindouf, Sétif, Boumerdès, Alger, Tissemssilt, Tipaza, Oum El Bouaghi, Skikda et Adrar ont pu également résoudre 14 affaires de vol, d’escroquerie et de trafic de drogues.
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ALGER – Les imams à travers le territoire national ont consacré une partie de leur prêche de vendredi à la sensibilisation des jeunes au phénomène de la migration clandestine, appelant ces derniers à ne pas céder à cette « tentation funeste ».
A cet effet, plusieurs imams ont mis l’accent sur l’importance de faire répandre les valeurs religieuses et morales auprès des jeunes et de les inciter à « se préserver ».
Certains imams ont évoqué ce phénomène étranger à notre religion musulmane qui, ont-ils dit, « bannit de telles pratiques ».
Les imams ont appelé à faire face à ce phénomène, qui entraîne même des femmes et des enfants et endeuille de nombreuses familles algériennes suite à la disparition de leurs enfants au large de la mer.
Le référent religieux avec ses dimensions nationales doit être pris en compte pour « lutter contre les idées extrémistes et apaiser les esprits de la jeunesse algérienne », ont martelé les imams.
Ils ont également appelé les citoyens, particulièrement les jeunes, à ne pas céder aux rumeurs visant à semer la fitna ».
Dans leurs prêches, les imams ont insisté sur l’impératif de « la cohésion et de la compassion », appelant à bannir la division entre les membres de la société ». La situation actuelle « impose à tout un chacun de placer l’intérêt du pays au dessus de toute considération », ont-ils souligné.
Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohammed Aissa avait appelé les imams à travers le territoire national à consacrer une partie de leur prêche de vendredi à la sensibilisation au phénomène de la migration clandestine, tout en prodiguant des conseils aux jeunes pour qu’ils ne « cèdent pas à cette tentation funeste ».
« Cet élan national vise à prodiguer des conseils aux jeunes dans les prêches de vendredi et les halakates organisées dans les mosquées pour qu’ils ne cèdent pas à cette tentation funeste », a indiqué le ministre.
« Les barques de la mort ravissent des enfants à leurs familles pour les jeter à la mer ou leur offrir une vie humiliante dans des centres de rétention à l’étranger », avait-il ajouté se disant ouvert à toute initiative à même d' »éveiller la conscience de la société ».
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GUELMA – Les participants au 10ème colloque sur le président Houari Boumediene (1932-1978) ont appelé vendredi depuis Guelma à la réalisation d’un film retraçant la vie et l’œuvre de feu chef d’Etat.
Les présents à la salle omnisports de la commune Houari Boumediene, universitaires, historiens, moudjahidine et amis du deuxième président de l’Algérie indépendante ont souligné l’importance de mettre en avant les réalisations de feu Boumediene dans divers domaines, ‘’à travers des études et des analyses mettant les actions du président dans leurs conjonctures de l’époque’’.
Ils ont dans ce contexte encouragé l’analyse des actions entreprises par Houari Boumediene dans la conjoncture marquée par ‘’le défi d’édifier un Etat moderne et de se positionner sur la scène internationale dans une conjoncture caractérisée par une guerre froide et la présence de deux puissances économiques’’.
Auparavant, les autorités locales civiles et militaires ainsi que les séminaristes se sont dirigés à la localité de Arara, sur les monts du Beni Addi dans la commune de M’jaz Amar et ont visité la maison qui a vu naître Houari Boumediene, en présence de la veuve du feu président, Anissa Boumediene.
Organisé par l’association locale Wiam pour la promotion des activités des jeunes, ce séminaire de deux jours a été marqué par la présentation de plusieurs conférences dans lesquelles universitaires, moudjahidine et diplomates étaient revenus sur des haltes aussi importantes que déterminantes dans la vie de feu Houari Boumedine, le chef d’Etat, le promoteur d’un nouvel système économique juste garantissant aux peuples de bénéficier de leurs richesses et le défenseur acharné des causes justes, entre autres.
A l’issue de cette rencontre, commémorant le 40ème anniversaire de la disparition de Houari Boumediene, sa veuve, Mme Anissa Boumediene, des universitaires, des diplomates et des moudjahidine ont été honorés.
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TEBESSA – Avec la détermination de faire sortir les communes frontalières de la wilaya de Tébessa de « l’anonymat » et l’ambition d’en faire des localités prospères, l’année 2018 à l’antique Théveste a été marquée par la concrétisation de plusieurs projets de développement dans le secteur agricole.
L’amélioration des conditions de vie des habitants des communes frontalières, leur stabilisation dans leur région et l’ouverture de nouveaux horizons pour les jeunes de ces collectivités sont le moteur d’une stratégie sur laquelle les autorités locales misent beaucoup.
Lire aussi: Projet de phosphate de Tébessa : déclassement de terres agricolesMise en valeur de terres, modernisation du système d’irrigation, mécanisation de l’agriculture, facilitations et accompagnement des jeunes sont autant d’approches utilisées pour faire émerger les dix (10) communes frontalières de cette wilaya.
Mise en valeur de 34.000 hectares dans les communes frontalières
Dans le cadre de la concrétisation du programme du gouvernement visant le développement des zones frontalières, une vaste opération de mise en valeur de terre a été lancée en 2018, ciblant 34.000 hectares.
A cet effet, cinq périmètres agricoles ont été créés en coordination avec la direction des domaines publics, répartis sur les communes de Négrine, Bir El-Ater et Ferkane, où de 200 à1000 hectares ont été attribués à quelque 579 jeunes agriculteurs.
« L’opération a connu un engouement et beaucoup de jeunes se projettent dans des projets dans le secteur agricole », indique à l’APS le directeur local des services agricoles (DSA), Makhlouh Homri.
Et d’ajouter : « En coordination avec le bureau national d’études pour le développement rural (Bneder), l’opération d’attribution des décisions permettant aux jeunes d’exploiter ces terres se poursuit et avance à un rythme acceptable ».
« La mise en valeur de cette zone agricole permettra l’extension de la superficie agricole exploitée dans la wilaya de Tébessa estimée à 312 000 ha, et soutiendra la volonté de diversifier la production agricole et développer les différentes cultures des légumes, fruits, céréales, olives et dattes notamment », ajoute-t-il.
Le DSA évoque également l’oléiculture dans les communes frontalières qui enregistre à Safsaf El-Ouesra, Bir El-Ater, Negrine et Bekaria notamment une « progression remarquable », avec la réalisation d’une production avoisinant les 70.000 quintaux d’olives et 1,3 million de litres d’une « des meilleures qualités d’huile d’olive à l’échelle nationale ».
Des productions « record » sont signalées en cette fin d’année 2018 pour ce qui concerne la pomme de terre d’arrière saison dans les communes frontalières d’El-Houidjbet et Oum Ali, ainsi que plusieurs autres localités, où 1,4 million de quintaux ont été réalisés à la faveur, assure-t-on, « d’une détermination sans faille » d’élargir la superficie réservée pour la pomme de terre, passée de 2.600 hectares à 2.970 ha.
Pour les agriculteurs des zones frontalières rencontrés par l’APS, « un défi a été relevé » et sont unanimes à souligner que le prochain défi est « d’assurer des aires de stockage et des espaces de commercialisation pour ces produits ».
L’eau, nerf du programme de développement des zones frontalières
Dans les communes d’El Ouenza, El-Mridj et Ain Zarga, où le programme d’extension des terres agricoles table sur 43 000 hectares, la mobilisation de l’eau est devenue « le souci majeur » des autorités locales, affirme M. Homri.
« Jusque là, 400 dossiers relatifs à l’octroi d’autorisations pour la réalisation de puits ont été étudiés en coordination avec les services des ressources en eau », relève le DSA.
Et de souligner : » la réalisation des premiers puits et la mobilisation d’eau permettra aux agriculteurs de diversifier leur production et encouragera d’autres à se stabiliser dans les zones frontalières pour faire des activités agricoles leur gagne pain ».
Le même responsable souligne également les efforts déployés dans le raccordement de ces zones à l’électrification rurale, considérant que « l’électrification rural est l’autre chantier de ce vaste projet de développement des zones frontalières ».
Aussi, dans le but de poursuivre le programme de développement et de réhabilitation des dix communes frontalières de la wilaya de Tébessa, la DSA a tracé un programme visant l’amélioration du cadre de vie des habitants, comprenant également l’ouverture des pistes agricoles.
Il s’agit de l’ouverture de 160 km de pistes rurales agricoles dans les 10 communes ciblées, l’aménagement de 420 km de pistes supplémentaires, détaille M. Hormi.
Le même responsable a ajouté qu’il est prévu, dès 2019, de distribuer près de 1000 ruches d’abeilles au profit des apiculteurs de ces zones dans le but de soutenir et de renforcer la production du miel dans cette wilaya frontalière qui a enregistré une production de 1.100 quintaux au cours de la dernière saison.
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ALGER – Les éléments de la brigade de police de l’urbanisme et de la protection de l’environnement de la wilaya d’Alger ont effectué durant l’année 2018 plusieurs interventions, notamment l’éradication de 354 décharges anarchiques et le recensement de 2136 construction sans autorisation, a indiqué vendredi un communiqué de la Sûreté de la wilaya d’Alger.
Dans le cadre de la préservation de l’urbanisme et de la protection de l’environnement et de la santé au niveau de son territoire de compétence, la brigade de police de l’urbanisme et de la protection de l’environnement, a enregistré 2136 interventions sur des sites de construction sans permis et 58 autres concernant la non conformité de la construction ainsi que 1419 interventions concernant l’activité commerciale illégale, a précisé le communiqué.
S’agissant de la protection de l’environnement dans son volet relatif à la gestion, contrôle et élimination des déchets, la brigade a recensé 6624 interventions relatives au jet et abandon de déchets ou au refus d’utilisation du système de déchets mis en place par les autorités concernés, 3381 autres relatives au jet de déchets inertes résultant de l’exploitation de carrières, de mines et de travaux de destruction, de construction et de restauration, et 772 interventions ayant trait aux déchets sur la voie publique pouvant empêcher la circulation, ainsi que 356 autres relatives au jet de déchets sur la voie publique pouvant causer des accidents nocifs pour la santé, en sus de l’élimination de 354 décharges anarchiques en coordination avec les autorités locales, ajoute la source.
Les services de l’hygiène et de la santé publique ont enregistré, selon la même source, 74 interventions pour abandon de cadavres d’animaux ou de matières d’origine animale.
Concernant les espaces verts, la brigade de la protection de l’environnement a recensé 38 interventions pour mettre un terme aux dépassements portant atteinte et non respect de ces espaces.
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ALGER – La lutte contre la violence dans les stades serait plus efficace si l’on impliquait psychologues et sociologues dans la recherche de solutions à ce fléau social, selon le professeur et chercheur à l’université Paris-Nanterre (France), Youcef Fates.
« Diverses causes sont derrière le déclenchement de la violence dans les stades, d’où la nécessité pour les responsables du football de mener sur le terrain, une étude approfondie pour vaincre ce fléau, en prenant en considération les avis des spécialistes en psychologie, en sociologie et en médecine », a affirmé M. Fates à l’APS.
Selon le professeur Youcef Fates, les nombreuses études sur la violence dans les stades algériens, effectuées depuis l’époque coloniale jusqu’à ce jour, ont montré que ce fléau est causé par plusieurs facteurs dont le facteur psychologique que l’on retrouve également dans la période pré-indépendance.
« Dans la période coloniale, les Algériens étaient violentés. Par conséquent, ils ont intégré cette violence du colonialisme (…) la société algérienne était patriarcale avec une prééminence d’un certain machisme », a estimé le chercheur, pointant du doigt également un « manque de fair-play » lors des rendez-vous sportifs, alors que « le plus important c’est la participation et le respect de l’adversaire et des foules ».
Le professeur Youcef Fates, qui a assisté récemment à un colloque international à Alger sous le thème : « L’activité physique et sportive : de la Formation à la Citoyenneté », a estimé en outre qu’il faut « éviter de considérer le sport comme un champ d’expression émotionnel de la jeunesse (…) si cette jeunesse n’a pas de moyens d’expression, elle s’exprime alors dans la violence et dans la masculinité ».
Le chercheur a critiqué par ailleurs, la démarche entreprise par les responsables du football algérien pour endiguer le phénomène de la violence dans les stades, indiquant que « le remède n’est pas d’imiter ce qui se fait en Europe et l’appliquer en Algérie ». Le remède, selon lui, « nécessite des études et des analyses sur terrain, or ce qui se passe, c’est qu’on a essayé de transposer les phénomènes occidentaux sur l’Algérie ».
Le professeur a préconisé, en revanche, la nécessité d' »inviter des sociologues, des psychologues et des médecins pour avoir un projet de réflexion jusqu’aux racines de cette violence » et trouver ainsi les solutions idoines à ce problème.
Docteur d’Etat de la Sorbonne de Paris, dans la spécialité Education physique et sportive, Youcef Fates, 73 ans, est un chercheur algérien spécialisé dans l’histoire du sport algérien. Il est diplômé de l’Institut supérieur des sciences et de la technologie des sports (ISTS) en 1970.
Titulaire d’un doctorat en sciences politiques, il a enseigné au niveau du Centre national de l’éducation physique et sportive et également comme maître-assistant à l’université d’Alger.
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WASHINGTON – L’émissaire de l’ONU pour le Sahara occidental, Horst Kohler, est attendu en janvier à New York pour briefer le Conseil de sécurité sur la dernière table ronde de Genève et les démarches qu’il compte entreprendre en prévision de la relance du processus onusien.
Le Conseil de sécurité recevra probablement lors de cette réunion un autre briefing par le département des opérations de maintien de la paix sur la Mission de l’ONU pour l’organisation du référendum au Sahara occidental (MINURSO), dont le mandat s’achève le 30 avril prochain, indique l’agenda prévisionnel de cet organe onusien pour le mois de janvier.
Ces consultations interviennent en application de la résolution 2440 qui demande au secrétaire général de l’ONU de tenir le Conseil de sécurité informé de l’évolution de la situation au Sahara occidental, trois mois après l’adoption de la résolution ou à chaque fois qu’il le juge opportun.
Selon la même source, la réunion sera fort probablement sanctionnée par une déclaration dans laquelle le Conseil de sécurité devrait se féliciter des premières discussions de Genève, réitérer le soutien à Horst Kohler tout en soulignant l’élan généré par la reprise des négociations directes entre les parties au conflit, le Front Polisario et le Maroc.
Depuis une année, la question du Sahara occidental revient en force sur l’agenda de paix du Conseil de sécurité, appuyée par les Etats-Unis qui veulent mettre fin à ce conflit gelé.
Washington, agacé par le blocage du processus de paix, a maintenu la pression au Conseil de sécurité pour soutenir une relance des négociations à l’arrêt depuis 2012.
La délégation américaine à l’ONU avait évoqué en octobre dernier « une nouvelle approche » des Etats-Unis pour le règlement de ce conflit, affirmant qu’il ne peut plus y avoir « de Business as usual » avec la MINURSO et le Sahara occidental.
« Premièrement, il ne peut plus y avoir de statut quo au Sahara occidental. Deuxièmement, nous devons apporter tout notre soutien à l’envoyé personnel Kohler dans ses efforts pour parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permettra l’autodétermination du peuple du Sahara occidental », avait, alors, déclaré l’ambassadeur adjoint américain, Jonathan Cohen.
Plus affirmatif, Jonathan Cohen avait indiqué que « le Conseil de sécurité ne laissera pas la MINURSO et le Sahara occidental retomber dans l’oubli ».
A peine deux mois après le vote prorogeant le mandat de la MINURSO, la Maison Blanche, par la voix du chef du National Security Council (NSC), John Bolton, a exprimé sa frustration devant le blocage que connait la question du Sahara occidental, affirmant qu’il était temps à la mission onusienne d’accomplir son mandat.
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ALGER – Les élus au niveau des Assemblées locales (APC et APW) sont appelés samedi à choisir leurs représentants au sein du Conseil de la Nation, à l’occasion de l’élection du renouvellement de la moitié des membres élus de la Chambre haute du Parlement.
Cette élection intervient conformément au décret présidentiel portant convocation du collège électoral et seront supervisées, pour la première fois, par des magistrats.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait signé, en novembre dernier, un décret présidentiel portant convocation du collège électoral, conformément à la Constitution, notamment ses articles 91-6 et 119 (alinéa 3) et à la loi organique 16-10 du 25 août 2016 relative au régime électoral, notamment ses articles 107, 108 et 109.
Le collège électoral est composé de l’ensemble des membres de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) et des membres des Assemblées populaires communales (APC) de chaque wilaya.
La dernière élection pour le renouvellement partiel des membres de la Chambre haute du parlement s’est déroulée le 29 décembre 2015. Elle avait été marquée par la victoire du parti du parti du Front de libération nationale (FLN) qui a remporté 23 sièges, suivi du Rassemblement national démocratique (RND) avec 18 sièges, les Indépendants avec 4 sièges, le Front des forces socialistes (FFS) avec 2 sièges et Fadjr Al Jadid avec un seul siège.
Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh, avait indiqué que vingt-trois (23) partis se sont présentés à ces élections dont le FLN, seule formation politique à avoir réussi à couvrir l’ensemble des wilayas, suivi du RND avec 46 wilayas couvertes, alors que les autres partis ont réussi à couvrir entre 17 et 01 wilayas. Pour ce qui est des candidats indépendants, le nombre de dossiers de candidatures acceptés a atteint 41, selon M. Louh.
Le ministre avait indiqué aussi que ces élections seront supervisées, « pour la première fois », par le secteur de la justice, faisant savoir que 736 magistrats seront mobilisés à cet effet au niveau des 72 bureaux de vote, répartis à travers le territoire national, avec une moyenne de 8 magistrats pour chaque bureau, dont quatre (04) suppléants.
M. Louh a rappelé, à ce propos, que la régularité et la transparence des élections étaient « plus que nécessaires », d’où leur supervision par des magistrats, précisant que la commission électorale de wilaya, chargée de la réception des dossiers de candidature, est constituée de 3 magistrats.
Il a affirmé, dans ce contexte, que des instructions avaient été données à tous les parquets, polices judiciaires et administrations à l’effet de « veiller à la régularité et à la transparence de ces élections ».
Sur un autre registre, le Conseil constitutionnel avait rappelé aux candidates et candidats à cette élection « qu’en vertu des dispositions de l’article 130 de la loi organique relative au régime électoral, qu’ils ont le droit de contester les résultats du scrutin en introduisant un recours par simple requête déposée au greffe du Conseil constitutionnel suivant les conditions découlant des règles de forme et de fond contenues à l’article 130 susvisé, aux articles 49 et 50 du Règlement fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel, ainsi qu’à l’article 28 du décret exécutif n 18-293 du 21 novembre 2018 relatif à l’élection des membres élus du Conseil de la nation ».
Concernant les conditions de forme, le Conseil constitutionnel avait précisé que « le requérant doit être candidat à l’élection portant renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la Nation dans la wilaya concernée ».
« Le recours doit être déposé par le candidat requérant directement auprès du greffe du Conseil constitutionnel dans les vingt-quatre (24) heures qui suivent la proclamation des résultats provisoires par le Conseil constitutionnel », selon le Conseil constitutionnel qui relève aussi que « dans le cas où le requérant délègue un représentant pour déposer le recours en son nom et place auprès du greffe du Conseil constitutionnel, il est impératif, sous peine de rejet du recours en la forme, que le dépositaire soit muni d’une délégation l’habilitant à cet effet ».Le Conseil constitutionnelle avait en outre rappelé que la requête doit être présentée en langue arabe et comporter le nom, prénom (s), profession, domicile et signature du requérant, la mention de l’Assemblée populaire communale ou de l’Assemblée populaire de wilaya à laquelle appartient le requérant.
S’agissant des conditions de fond, le Conseil constitutionnelle avait précisé que le requérant est tenu d’exposer dans sa requête, l’objet ainsi que les moyens et les motifs au soutien de son recours, de joindre les documents justificatifs à l’appui de son recours, signalant que le Conseil constitutionnel statue sur les recours dans un délai de trois (3) jours francs conformément à l’article 131 alinéa 1er de la loi organique relative au régime électoral.
Le Conseil de la nation a été créé lors de la révision de la Constitution en 1996. Il est composé de 144 membres, dont 96 élus au scrutin indirect et secret (2 tiers) et 48 désignés par le président de le République dans le cadre du tiers présidentiel.
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ALGER – L’écrivaine française qui avait lutté aux côtés des Algériens pour leur indépendance, Monique Hervo, a été naturalisée algérienne, selon un décret présidentiel publié sur le dernier Journal officiel n° 73.
Le décret présidentiel signé le 5 décembre indique que Monique Hervo, née en 1929 à Paris, est naturalisée algérienne dans les conditions de l’article 11 de l’ordonnance n° 70-86 du 15 décembre 1970, modifiée et complétée, portant code de la nationalité algérienne.
L’écrivaine, avec une équipe du Service civil international, une association qui réunit des objecteurs de conscience, s’était installée au bidonville de la Folie, à Nanterre, en 1959 pour connaître les conditions de vie de milliers d’Algériens. Ayant vécu de nombreuses années dans ce bidonville jusqu’à 1971, elle a été l’auteure de deux ouvrages à ce sujet : « Bidonvilles : l’enlisement », avec Marie-Ange Charras, La Découverte, Paris, 1971 et « Chroniques du bidonville : Nanterre en guerre d’Algérie, 1959-1962 », éditions du Seuil, Paris, 2001.
Le 17 octobre 1961, l’écrivaine engagée pour l’indépendance de l’Algérie a manifesté aux côtés des Algériens qui se sont soulevés, au cours d’une marche pacifique à Paris et sa banlieue, contre le couvre-feu imposé uniquement à eux, en réclamant l’indépendance de leur pays.
Les manifestants algériens avaient fait l’objet d’une sanglante répression de la part de la police parisienne qui a tué, blessé et jeté dans la Seine des milliers d’entre eux. « J’ai été pour l’indépendance de l’Algérie tout de suite », le rappelait-elle souvent Monique Hervo.
Après l’indépendance de l’Algérie, Monique Hervo est restée dans le bidonville de Nanterre pour livrer une autre lutte pour un logement décent en faveur des Algériens de Nanterre, Argenteuil, Gennevilliers et Ivry.
Toutes ses archives sont déposées à l’Institut d’histoire du temps présent (Paris) ainsi qu’à la bibliothèque de documentation internationale contemporaine (Nanterre).
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ADRAR – Le Secrétaire général (SG) du Haut Commissariat à l’Amazighité (HCA), Si El-Hachemi Assad, a affirmé, jeudi à Adrar, que « la traduction vers la langue amazighe est une priorité en cette conjoncture actuelle ».
« La traduction vers la langue amazighe est une priorité en cette conjoncture actuelle, et cette rencontre est une occasion propice pour la sélection des meilleures œuvres de traduction vers la langue amazighe, de manière à enrichir le patrimoine de la bibliothèque amazighe nationale », a souligné Si El-Hachemi Assad en ouverture des ateliers de traduction à l’université d’Adrar.
Le SG du HCA a fait savoir, à ce titre, que cette rencontre culturelle permettra d’échanger les connaissances et expériences, ainsi que de faire le point sur les efforts déployés dans la promotion de la langue amazighe.
Il a, dans ce cadre, indiqué que « cette rencontre s’inscrit au titre de la nouvelle orientation pour laquelle s’est engagé le HCA depuis 2014 conformément aux orientations des hautes instances du pays au titre du programme du Gouvernement focalisé sur trois axes principaux, consistant en la généralisation de l’utilisation de la langue amazighe dans le système national, l’officialisation de la fête nouvel amazigh (Yennayer) journée chômée et payée, en sus de la mise au point de la loi liée àe aussi: Adoption du projet de loiorganique relatif à l’Académie algérienne de la langue amazigheSoulignant que « ces axes constituent la feuille de route avec des repères clairs », Si El Hachemi Assad s’est dit « fier du climat positif ayant permis de mettre la langue amazighe sur la bonne voie et nos composantes nationales à l’abri des surenchères politiques, permettant ainsi au HCA d’œuvrer dans un climat serein et calme loin de toutes sensibilités ».
Le responsable a signalé que la démarche du HCA consiste en l’instauration d’une méthodologie axée sur l’action pragmatique, consultative et de coordination avec les différents secteurs.
M. Assad a ajouté, lors de cette rencontre qui a vu la participation de la déléguée à l’Organe national de la protection et la promotion de l’enfance, que « la présence de la déléguée traduit la nécessité d’une action commune », notant que « la réussite du partenariat entre le HCA et l’organe est basée sur des stratégies et priorités bien déterminées, entamées par la traduction de documents référentiels liés aux droits de l’enfance ».
« Le HCA ambitionne d’accompagner les associations actives pour la promotion de l’enfance à la faveur de l’élaboration de programmes culturels créatifs usant de toutes les variantes de la langue amazighe », a soutenu M. Assad, plaidant pour « la mise au point d’un plan local pour l’introduction de la langue amazighe dans tous les espaces, dont l’école, la radio local et l’université ».
Il a préconisé, pour ce faire, la concrétisation d’une convention de partenariat avec l’université d’Adrar pour introduire une spécialité au département d’histoire pour mettre à profit les documents et manuscrits ayant trait à la dimension amazighe.
Une pléiade de traducteurs, linguistes, enseignants de la langue amazighe, d’hommes de lettres et de critiques prendront part aux cinq ateliers, programmés sur quatre jours, ont indiqué les organisateurs.
Une série de thèmes inhérents aux approches sur la généralisation de l’utilisation de la langue amazighe, la traduction des publications de la littérature algérienne des langues arabe et française vers la langue amazighe, ainsi que la traduction des textes fondamentaux du Conseil national des droits de l’Homme, le contenu des sites électroniques de certains ministères, sera abordée, ont indiqué les organisateurs.
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