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Die inkompetende EU Commission, kann nicht die SAA Abkommen mit Bosnien umsetzen

Balkanblog.org - Wed, 08/03/2017 - 18:57
European Commission takes the blame for the delay in the implementation of the SAA Agreement By Mladen Dragojlovic  /   07/03/2017  /   No Comments   The European Commission informed the BiH Ministry of Foreign Trade and Economic Relations that there has been a delay in the implementation of the adapted Stabilization and Association Agreement (SAA) of the EU with BiH, because of their ill-timed adoption of amendments to the relevant Commission Regulation, and that they need two months to correct this mistake. BiH Minister of Foreign Trade and Economic Relations, Mirko Sarovic, said earlier that he sent a letter to EC demanding the correction of quota for export of […]
Categories: Balkan News

Les 10 Européennes qui font bouger l'Europe

Toute l'Europe - Wed, 08/03/2017 - 18:57
Elles sont magistrate, commissaire, députée, maire... A l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, coup de projecteur sur dix femmes européennes engagées qui mènent un combat au quotidien pour peser sur la scène diplomatique européenne et internationale, se battre contre la corruption, lutter pour le droit à l'avortement ou encore accueillir des réfugiés.
Categories: Union européenne

über 10 Millionen Touristen weniger und Tausende von Hotels stehen zum Verkauf in der Türkei

Balkanblog.org - Wed, 08/03/2017 - 18:48
Der Taliban Partner und Terroristen Financier, muss dann noch dumme Sprüche in Deutschland und gegen Europa machen, was ebenso nicht Tourismus Förderung sein kann. Zwischendurch schoss man noch eine Russische Militär Maschine mit Vorsatz ab, ermordete einen der Piloten The decline of Turkish tourism major blow for economy By Manolis Kostidis  2 months ago 10.7 million less tourists in the first 11 months of 2016 Predictions are worse for 2017 According to official figures from the Turkish Ministry of Tourism, during the January -November 2016 period the drop in tourist arrivals reached 35%. Tour operators speak of a fall of over 45%, while after the December hits the drop […] […]
Categories: Balkan News

Cikk - A nőknek tisztában kell lenniük hihetetlen erejükkel - mondják az EP-képviselők

Európa Parlament hírei - Wed, 08/03/2017 - 18:40
Általános : Az Európai Parlament a nemzetközi nőnap alkalmából a nők gazdasági erejére és szerepvállalására hívja fel a figyelmet. A nemek közötti egyenlőség még számos területen nem valósul meg, de kiemelkedő ezek közül a bérezés és a részvétel a politikában - vélik Constance Le Grip és Anna Hedh EP-képviselők, a nőjogi szakbizottság tagjai.

Forrás : © Európai Unió, 2017 - EP

Birmanie : violents combats en région Kokang, une nouvelle ‘piqure de rappel’ au pays de La Dame

IRIS - Wed, 08/03/2017 - 18:39

D’ici quelques semaines, la République de l’Union du Myanmar – la Birmanie pour tout un chacun – célébrera le tout premier anniversaire du gouvernement de la Ligue nationale pour la démocratie (LND), de l’emblématique et mondialement appréciée Aung San Suu Kyi. Le 31 mars 2016, cinq long mois après un franc succès électoral enregistré à l’occasion du premier véritable scrutin démocratique organisé en Birmanie depuis des décennies (8 novembre 2015), l’administration menée par l’ancien prix Nobel de la paix entrait solennellement en fonction. Elle succédait au premier gouvernement post-junte militaire du Président Thein Sein (2011-2016) ; un chef de l’Etat, qui, après avoir exercé des fonctions de première importance du temps des militaires (ex-Premier ministre de la junte), endossa un costume plus civil. Une mue relative, dont le dessein était d’accompagner les premières années d’une transition démocratique. Cette dernière était appelée de ses vœux par une population éreintée par un demi-siècle de mainmise de l’institution militaire sur le destin national, et ardemment souhaitée par une communauté internationale – occidentale serait plus juste – aux appétences démocratiques contrariées jusqu’alors en ces terres Sud-Est asiatiques, baignées d’un bouddhisme à l’occasion militant.

Aung San Suu Kyi n’a pu personnellement succéder à Thein Sein, la faute à une disposition pour le moins étonnante de la Constitution de 2008 (‘’inspirée’’ par la plume rigide des militaires). Il en fallait naturellement davantage à cette opposante tenace (astreinte à une quinzaine d’années en résidence surveillée) et passionaria de la cause démocratique pour contrarier ses projets. À défaut de présidence dans le droit, un poste créé sur mesure de conseillère d’Etat additionné à un portefeuille de ministre des Affaires étrangères lui confient a priori l’autorité politique nécessaire[1], tant auprès de ses administrés que d’une communauté internationale ravie de composer, de gouvernement à gouvernement désormais, avec cette dernière.

Pour autant, cette transition en douceur entre ces deux administrations à l’ADN politique pour le moins distinct (militaro-civil pour le gouvernement Thein Sein ; civilo-démocratique pour l’administration au pouvoir aujourd’hui) n’a pas épuré la feuille de route du gouvernement LND d’une kyrielle d’hypothèques et de maux plus délicats à gérer les uns que les autres. Si elle n’est plus directement au pouvoir, la très influente institution militaire est fort loin de la périphérie de l’autorité[2] et ne rend pas exactement compte de sa feuille de route personnelle à Aung San Suu Kyi. Le processus de paix, élevé au rang de priorité nationale par La Dame lors de son intronisation, peine un an plus tard à convaincre l’ensemble des parties prenantes (à commencer par les groupes ethniques armés) de sa viabilité, tant les efforts de dialogue menés ces six dernières années se heurtent à une nette recrudescence des affrontements. Ces derniers mettent aux prises en divers points du territoire (Etats Shan et Kachin notamment) l’armée régulière (la tatmadaw) face à une demi-douzaine de groupes ethniques armés (regroupés au sein d’une Northern Alliance-Burma pour quatre d’entre eux), comme en témoignent les événements des tous derniers jours dans la région Kokang (Etat Shan) et leur lot de victimes (une trentaine de morts).

On pourrait également associer à ces contingences et revers rédhibitoires la situation de crise prévalant depuis – à minima – octobre 2016 dans le fragile Etat occidental de l’Arakan. Dans cet État, une importante opération contre-insurrectionnelle menée par la tatmadaw aurait officiellement pris fin début mars 2017. Un périmètre sensible qui aurait été le théâtre – dans la foulée de l’attaque meurtrière début octobre 2016 de plusieurs poste-frontaliers du Bangladesh par des militants rohingyas radicalisés – de violences et d’excès divers de la part des forces de sécurité. Au point que diverses agences et autorités onusiennes, ainsi que plusieurs gouvernements asiatiques (Malaisie, Pakistan et Bangladesh) demandent retenue et explications au gouvernement birman. Le gouvernement civil LND est par ailleurs mal à l’aise sur le sujet, tant la conduite et le contrôle des affaires de défense et de sécurité lui échappent. Elles relèvent en effet de l’autorité exclusive des généraux, donc du senior-general et chef des armées birmanes Min Aung Hlaing, sur lequel le gouvernement et Aung San Suu Kyi n’ont guère de prise…

Il n’empêche, un an après sa prise de fonction très attendue, les 55 millions de Birmans et la communauté internationale (grandes capitales occidentales ; institutions de défense et de protection des droits de l’homme ; société civile et ONG) ont toujours, et quasi-exclusivement, le regard tourné vers The Lady pour tout et son contraire, du faisable à l’impossible. A tort bien entendu.

Loin de l’omnipotence, l’administration LND et sa charismatique figure de proue composent avec l’institution militaire, en plus de leur inexpérience dans la gestion des affaires nationales (ne parlons pas de l’hypercentralisation du processus de décision autour d’Aung San Suu Kyi) et d’un pool d’expertise parfois sujet à caution. L’appareil militaire est toujours terriblement influent, il campe sur ses prérogatives exorbitantes et déroule sa propre feuille de route. Une roadmap pas nécessairement toujours calée sur celle des autorités civiles, pour dire le moins (cf. implication dans le processus de paix).

Face aux attentes populaires considérables nées de l’accès de la LND aux plus hautes responsabilités civiles, le gouvernement birman déploie bonne volonté, soutien extérieur, appel à la concorde et à la réconciliation nationale, et quémande aussi un brin de patience et de mansuétude. Si le bilan de ses douze premiers mois d’exercice peut donner matière à appréciation critique, le ‘’bénéfice du doute’’ lui profite encore. Rien qui ne menace en l’état la poursuite de son difficile apprentissage des affaires de l’Etat.

En revanche, La Dame et son équipe rapprochée devront très certainement se passer ces prochains mois d’une quelconque bienveillance de l’influente tatmadaw, voire, situation plus problématique encore, se trouver en porte-à-faux avec elle sur certains dossiers sensibles (poursuite des hostilités en zone ethnique ; participation de certains groupes ethniques armés au processus de paix ; validation de grands projets industriels ; sort de la communauté rohingya ; etc.). Des perspectives déplaisantes que l’on ne souhaite guère à La Dame mais auxquelles l’opiniâtre lauréate du prix Nobel de la paix et l’opinion feraient bien de se préparer.

[1] Les responsabilités de chef de l’Etat échoient par ailleurs à un de ses proches – U Htin Kyaw -, lequel se cantonne depuis lors à des activités protocolaires secondaires et ne fait guère d’ombre à La Dame.

[2] Il revient par exemple au commandant en chef des armées birmanes de nommer trois ministres régaliens sans en référer au président ou au Parlement : les ministres de la Défense, de l’Intérieur et des Affaires frontalières. Par ailleurs, un quart des sièges dans les diverses assemblées sont réservés, hors de tous scrutins, aux militaires.

What's Up Africa quiz: Could you be Kenya's anti-corruption tsar?

BBC Africa - Wed, 08/03/2017 - 18:30
Take What's Up Africa's quiz to see if could head Kenya's fight against corruption.
Categories: Africa

Le CSA alerte les médias devant le temps de parole «anormalement élevé» de Fillon

LeParisien / Politique - Wed, 08/03/2017 - 18:24
Il piaffe à l’idée d’enfin reprendre sa campagne, depuis plus d’un mois grevé par l’affaire Pénélope Fillon. Après des semaines de soubresauts, de défections, de doutes, son camp tant bien que mal rassemblé...
Categories: France

Crédit Agricole prêt à sortir d’Arabie saoudite

La Tribune - Wed, 08/03/2017 - 18:15
Le groupe mutualiste ne commente pas la rumeur de vente de ses 31% dans Banque Saudi Fransi, la cinquième banque saoudienne, héritée d’Indosuez. Il pourrait en récupérer 2,2 milliards d’euros.
Categories: France

E-commerce : Alibaba reconnaît son impuissance face à la contrefaçon

La Tribune - Wed, 08/03/2017 - 18:06
Régulièrement accusé de favoriser la contrefaçon sur ses plateformes d'e-commerce, le fondateur du géant Alibaba demande de l'aide à l'Etat chinois.
Categories: France

Interview: Indian Immigration in the Time of Trump

Foreign Policy - Wed, 08/03/2017 - 17:48
The authors of The Other One Percent say current trends are worrying, and it’s education for everyone that will make America great again.

Voiture autonome: le partage des données, essentiel pour les assureurs

La Tribune - Wed, 08/03/2017 - 17:43
La voiture autonome -ou semi autonome- va transformer profondément le monde de l'assurance auto, souligne Fitch. Des transformations si profondes que certains assureurs disparaîtront probablement
Categories: France

La filière de l’hydrogène à un point d’inflexion ?

La Tribune - Wed, 08/03/2017 - 17:42
L’hydrogène sera présent sous ses différentes formes à BePOSITIVE, le salon de la performance énergétique et environnementale des bâtiments et territoires, qui se tient à Lyon jusqu’au 10 mars. L’occasion de faire le point avec le président de l’Association française de l’hydrogène et des piles à combustible (AFHYPAC) sur une énergie encore émergente.
Categories: France

Europarat verurteilt Ungarns Asylpolitik

EuroNews (DE) - Wed, 08/03/2017 - 17:33
Der Europarat hat die von Ungarn geplante “Internierung von Flüchtlingen und Migranten“http://de.
Categories: Europäische Union

Monter une filiale à l'étranger

La Tribune - Wed, 08/03/2017 - 17:30
S'internationaliser fait désormais partie de la stratégie de nombre de PME. La débrouillardise et de bonnes relations sur place sont les maîtres mots de l'aventure. Mais, avant tout, il faut oser !A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, Bpifrance est allé à la rencontre de 3 d'entre elles pour nous faire part de leur expérience.
Categories: France

EN IMAGES. Présidentielle : ces candidats «surprise» qui ont un jour obtenu 500 parrainages

LeParisien / Politique - Wed, 08/03/2017 - 17:27
Paul Mumbach, Jacques Nikonoff, Charlotte Marchandise… Vous ne les connaissez peut-être pas, et pourtant, ils concourent à l’élection présidentielle. Chaque course à l’Elysée voit son lot de candidats...
Categories: France

Guinée : bientôt sur les écrans radars des capital-investisseurs ?

Jeune Afrique / Finance - Wed, 08/03/2017 - 17:26

Entre 2010 et le premier semestre de 2016, les fonds de capital-investissement (private equity) ont injecté 5,4 milliards de dollars (5 milliards d'euros) dans des entreprises en Afrique de l'Ouest.

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Categories: Afrique

Syrie : un État failli sans souveraineté

IRIS - Wed, 08/03/2017 - 17:23

La prise d’Alep par le régime de Bachar Al-Assad, fin décembre 2016, a permis de prouver que les Russes éraient capables d’utiliser avec succès la force militaire à des fins politiques, contrairement aux Américains. Mais, si cette réussite conforte indéniablement le maintien au pouvoir du président syrien, elle ne règle en rien la question fondamentale de l’avenir de la Syrie, pas plus qu’elle ne dégage les moyens de mettre fin au conflit qui l’ensanglante depuis 2011.

Les Russes se trouvent désormais confrontés à une impasse en Syrie. Le pays est en effet complètement détruit : Près de 70 % des Syriens vivent dans une situation d’extrême pauvreté, incapables de satisfaire leurs besoins élémentaires ; le taux de chômage est proche de 60 % ; l’espérance de vie a chuté de vingt ans depuis le début de la révolte et de la guerre civile en 2011 ; la moitié des enfants, génération perdue, ne va plus à l’école ; le système de santé publique, autrefois efficace, est démantelé et certaines maladies qui avaient disparu – comme la tuberculose, la typhoïde, le choléra et même la poliomyélite – sont réapparues ; la moitié de la population a été déplacée et le nombre de victimes a dépassé 300 000 morts, auxquels il faut ajouter entre 1 et 2 millions de blessés. Une grande partie des élites et les classes moyennes ont fui le pays. Celui-ci, autrefois moderne, doté de services publics éducatifs et de santé performant, est quasiment revenu à un âge préindustriel. Bref, la Russie a hérité de la responsabilité d’un État failli.

Si l’opposition n’est pas en mesure de renverser Bachar Al-Assad, celui-ci n’est pas davantage en mesure de reconquérir l’ensemble du pays. Ce « pat »[1] stratégique n’est pas supportable à long terme pour Moscou. Certes, du fait de l’absence d’opérations terrestres massives russes, l’effort militaire est tout à fait endossable. Les pertes humaines sont limitées et le coût des opérations aériennes est maîtrisé. Mais la Russie n’a pas les moyens de reconstruire la coquille vide qu’est devenue la Syrie. Il est donc indispensable aujourd’hui de trouver une porte de sortie qui ne peut être que politique, faute de quoi la Syrie, qui ne produit quasiment plus rien, deviendra un fardeau de plus en plus lourd à supporter pour la Russie.

Bachar Al-Assad se présente comme le garant de la souveraineté syrienne mais ne l’est en rien. Son discours nationaliste et patriotique ne survit pas à l’épreuve des faits. Celui qui est présenté comme le maître de Damas n’est pas maître de grand-chose au sein de son propre pays, qui ne tient que par l’appui militaire de la Russie et de l’Iran. Dépendant de ses protecteurs, la Syrie a été mise sous tutelle de Moscou et, plus encore, de Téhéran. Elle n’est plus un État souverain mais un pays satellite.

L’Iran a très largement avancé ses positions en Syrie. Il participe à la restauration de la capitale et est investi dans le pays. Ce sont les Iraniens, plus précisément les gardiens de la révolution, qui ont le poids politique le plus important à Damas. Le Hezbollah, malgré des pertes si importantes qu’elles l’ont poussé à interdire la plupart des enterrements publics au Liban, demeure impliqué dans la sauvegarde d’un gouvernement allié et fondamental à sa survie.

Poutine ne tirera de bénéfices de la prise d’Alep que si cette victoire militaire débouche sur une solution diplomatique. Peut-il la mettre en œuvre en laissant Bachar Al-Assad au pouvoir ? L’Iran le soutien plus fermement que la Russie, qui souhaite, elle, démontrer que le concept de « changement de régime » par l’extérieur prôné par les Occidentaux ne fonctionne pas.

Se dirige-t-on vers un partage du pouvoir entre des éléments du régime sans Bachar Al-Assad et toute l’opposition sans les djihadistes ? C’est la seule façon d’éviter une somalisation de la Syrie.

[1] Aux échecs, se dit d’une position dans laquelle aucun des deux joueurs ne peut remporter la partie, qui est alors déclarée nulle.

Décès du paludisme d'un artilleur du 1er RA rentré de RCA en février

Lignes de défense - Wed, 08/03/2017 - 17:23

L'armée de Terre a annoncé que le 7 mars 2017, un militaire français récemment engagé dans la mission européenne EUTM RCA est décédé des suites d’une forme grave de paludisme contracté en Centrafrique dont les symptômes sont apparus après son retour en France.

Il s’agit du brigadier-chef Rémy, affecté au 1er régiment d’artillerie. A son retour en France le 11 février 2017, il développe rapidement les symptômes d’une forme très grave de paludisme. Il est hospitalisé le 4 mars 2017 et décède le 7 mars 2017.

Sa biographie:
Né le 8 août 1987 à Belfort, le brigadier-chef Anthony REMY aura servi la France durant plus de six années. Le 3 août 2010, à l’âge de 23 ans, il s’engage au titre du 8e régiment d’artillerie de Commercy en tant que volontaire de l’armée de Terre avant de signer un contrat d’engagé volontaire de l’armée de Terre en 2011.
Motivé, il acquiert rapidement l’ensemble des savoir-faire et des savoir-être du soldat. Il est élevé à la distinction de 1ère classe le 4 février 2011 et obtient le certificat pratique de servant canon au mois de juin de la même année. Le 11 juillet 2012, il embarque pour sa première mission de courte durée pour rejoindre la Nouvelle-Calédonie. Servant canon sur mortier, il fournit un excellent travail notamment en maîtrisant parfaitement son matériel. Plein d’allant, cultivant le don de soi, il s’investit sans compter lors des tournées de province à Canala et à Hienghène. Il rentre en métropole le 18 novembre 2012. Sorti grandi de cette mission au cours de laquelle il a montré de belles qualités humaines et professionnelles, il est désigné pour occuper le poste de conducteur d’artillerie.
Le 1er juillet 2013, il est muté au 1er régiment d’artillerie au poste d’adjoint chef de groupe munitions. Il s’intègre rapidement à son unité et obtient le certificat militaire élémentaire et le certificat technique élémentaire dans la spécialité d’artilleur navigateur. Opérateur navigateur efficace, vif d’esprit et rigoureux, il est nommé brigadier le 1er août 2014. Au cours de son engagement, il réalise trois missions « Vigipirate » et depuis janvier 2015, aura pris part à sept missions « Sentinelle » au service de la protection de nos concitoyens. Son goût de l’effort et son implication dans chacune de ces missions sont soulignés par ses chefs. Le 3 novembre 2016, il est projeté en République centrafricaine au poste de chef d’équipe.
Apprécié pour sa discrétion, sa grande motivation et ses compétences, il réalise une excellente mission. Il est promu brigadier-chef le 1er décembre 2016. Le brigadier-chef Anthony REMY aimait tout particulièrement son métier et faisait preuve d’une disponibilité exceptionnelle. D’un caractère jovial, très bon camarade, il était unanimement estimé de ses pairs comme de ses supérieurs. 
Le brigadier-chef Anthony REMY était titulaire de la médaille de la protection militaire du territoire avec agrafe « Sentinelle », de la médaille échelon argent de la défense nationale agrafe artillerie et mission d’opérations extérieures et de la médaille d’outre-mer avec agrafe « République centrafricaine ».

Categories: Défense

La France affiche un déficit commercial record en janvier

La Tribune - Wed, 08/03/2017 - 17:21
Selon les Douanes, le déficit commercial s'est élevé à 7,9 milliards d'euros en janvier 2017. Un niveau jamais atteint.
Categories: France

Comment dynamiser son portefeuille avec les warrants?

La Tribune - Wed, 08/03/2017 - 17:17
Société Générale est le premier émetteur à avoir lancé des Warrants, en France, sur Euronext Paris en 1989. Les Warrants permettent d’augmenter, à la hausse comme à la baisse, les variations de nombreux sous-jacents comme un indice, le CAC 40 par exemple, ou une action. Sébastien David, responsable Relations Investisseurs des Produits de Bourse Société Générale, nous explique leur fonctionnement et partage avec nous les outils que Société Générale met à disposition des investisseurs.
Categories: France

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