Le retour de la polémique sur les crèches dans les mairies est un des « marronniers » du mois de décembre : un débat récurrent qui donne lieu aux mêmes excès et aux mêmes confusions. Mais cette année, alors qu’on célèbre le 120e anniversaire de la loi de 1905 qui consacre un des piliers de notre République, la laïcité, il est utile de rappeler sans acrimonie, sans agressivité, sans tomber dans le piège des provocations, que les installations de crèches dans les mairies sont illégales. Dans plusieurs villes où elles ont été installées, Beaucaire, Béziers ou Perpignan, le tribunal administratif a toujours statué dans le même sens : elles ne respectent pas les exigences de neutralité dictées par la loi.
Rappelons-en les principes : le texte du 9 décembre 1905 garantit la liberté de conscience, interdit à l’État de reconnaître ou de financer un culte, et par conséquent, exige la distance des bâtiments publics vis-à-vis de toutes les religions.
Une démission de Sébastien Lecornu, si le budget de la Sécurité sociale n’était pas adopté mardi, « n’aurait pas de sens », a assuré ce samedi 6 décembre dans la soirée soir la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon. « Cela n’aurait pas de sens, sinon il aurait engagé la responsabilité du gouvernement », en ne renonçant pas à l’utilisation de l’article 49.3 de la Constitution, a-t-elle déclaré dans La Tribune dimanche.
« Cela ajouterait de la crise à la crise, de l’instabilité, et cela interromprait toutes les discussions budgétaires en cours », a-t-elle ajouté.
Après avoir adopté vendredi le volet recettes du budget de la Sécurité sociale, l’Assemblée nationale doit se prononcer mardi sur l’ensemble du texte. Le projet de budget de l’État est, de son côté, toujours en cours d’examen au Sénat : les sénateurs s’attaquant au volet des dépenses après avoir largement adopté la partie dédiée aux recettes.
Le scrutin de mardi sur le budget de la Sécu reste très incertain au vu des divisions, jusqu’au sein de la fragile coalition gouvernementale. Mais Maud Bregeon se veut optimiste : « On peut y arriver. L’Assemblée a débattu plus de cent vingt heures sur ce texte. Le gouvernement aurait pu utiliser déjà par quatre fois le 49.3 et cela n’a pas été nécessaire. C’est déjà un résultat d’en être arrivé là ».
« D’ici à 2027, notre réussite ne peut être que collective »« La droite incarne le sérieux budgétaire. On ne peut pas se permettre le vide budgétaire », a-t-elle ajouté concernant les hésitations des groupes Les Républicains et Horizons, qui se sont divisés vendredi sur la partie recettes.
« D’ici à 2027, notre réussite ne peut être que collective », a mis en garde Maud Bregeon alors que le patron d’Horizons Edouard Philippe, candidat à la présidentielle, a jeté un pavé dans la mare en annonçant, qu’« en l’état », son parti ne voterait pas le projet de budget de la Sécurité sociale.
De quoi potentiellement faire capoter son adoption malgré les nombreuses concessions au PS, dont la suspension de la réforme des retraites.
Ce fut « une concession douloureuse pour nous », a rappelé la porte-parole du gouvernement. « Désormais, pour que cette suspension s’applique concrètement dans la vie des Français, le budget de la Sécurité sociale doit être voté », a-t-elle martelé.
Enfarinages, tags et insultes. Le débat démocratique devient-il de plus en plus violent, comme l’affirme Jordan Bardella ? Samedi 29 novembre, le président du Rassemblement national a été visé par un jet d’œuf, lors d’une séance de dédicaces. Mardi, Christelle Morançais, présidente (Horizons) des Pays de la Loire, a, elle, porté plainte pour des intimidations. Et jeudi, Jean-Michel Aulas, candidat (LR) à la mairie de Lyon, a été la cible d’un tag sur les murs de la ville.
Au même moment, dans une Assemblée nationale fragmentée, un huissier s’est interposé entre les députés Éric Coquerel (LFI) et Laurent Baumel (PS) pour éviter des débordements.
La tâche que lui avait confiée François Bayrou avait été saluée de toutes parts, mais son successeur à Matignon n’a pas suivi. Comme l’a révélé Challenges, Sébastien Lecornu a mis fin à la mission menée par l’ancien député PS René Dosière sur les avantages accordés aux responsables politiques. Après avoir demandé à l’Eurois - dans un courrier - ce qu’il adviendrait de ses travaux après sa nomination rue de Varenne, René Dosière raconte n’avoir en fait jamais reçu de réponse de sa part. « Il a vraisemblablement d’autres problèmes à régler », admet-il, pointant toutefois que Lecornu « n’avait pas grand-chose à perdre » sur ce sujet. Résultat : sa mission établie début septembre est restée lettre morte… Mais Dosière n’en démord pas : « Ce sont des questions qu’il faudra bien éclaircir à un moment ou un autre ».
« Voilà, j’y suis, allons-y ! », lance d’un œil gourmand Jean-Luc Mélenchon, visiblement pressé de prêter serment et d’en découdre. Il est 14 heures, ce samedi 6 décembre, lorsque le chef de file de la France insoumise débute son audition devant la commission d’enquête parlementaire sur les liens supposés entre mouvements politiques et réseaux islamistes.
Ce rendez-vous, le tribun admet avoir d’abord voulu le boycotter, flairant le piège de cette commission imaginée au printemps par le patron des députés LR, Laurent Wauquiez, pour « démasquer LFI », et dont l’intitulé initial, ciblant uniquement le mouvement Insoumis, avait été retoqué en commission des Lois.
A Kossuth-, Jászai Mari-díjas és Karinthy-gyűrűs színművész, rendező és szinkronlegenda, Balázs Péter életműve előtt tisztelegnek a közmédia csatornái a következő napokban. A magyar kulturális élet sokoldalú alakjára filmekkel, beszélgetésekkel, rádiós műsorokkal és egy általa elmondott mesével is emlékeznek.
December 10-én, szerdán elhunyt Balázs Péter színművész, a szolnoki Szigligeti Színház korábbi igazgatója, akinek számos ikonikus magyar film, tévéjáték, műsor és szinkronszerep őrzi nevét. A közmédia emlékműsorokkal tiszteleg előtte.
A megemlékezések sorát december 10-én a Kossuth Rádió kezdi, amely a Kalendárium című délutáni műsorban idézi fel Balázs Péter tehetségét és felejthetetlen orgánumát. A Nagyok című portréműsor pénteki adásában ismét meghallgathatják a vele készült korábbi beszélgetést. Ugyanezen a napon 19 órától a Csukás Meserádióban is felcsendül jellegzetes, játékos hangja, amint mesét olvas a Csillagok esti mesefényben című műsorban.
A megemlékezéshez a közmédia televíziós csatornái is csatlakoznak: december 11-én 21:55-től a Duna a Tilos a szerelem című vígjátékot tűzi műsorára. Az M5 kulturális csatorna december 12-én két műsorral is Balázs Pétert idézi meg: 19 órakor kerül adásba az Ez itt a kérdés egy korábbi epizódja, amelyben vendégként szerepelt, ezt követően 21 órától a Rablók című film következik, amelyben főszereplőként láthatja a közönség.
A Duna World csatornán december 13-án 10:25-kor a Hogy volt?! ismétlése érkezik, amely ezúttal Balázs Péter kedvenc szerepeire, pályatársaira és szakmai történeteire fókuszál. Közvetlenül utána, 11:20-kor, a Hullámzó vőlegény című film kerül képernyőre. A művész életműve előtti tisztelgés december 14-én 14:15-kor folytatódik a Régi idők mozija-sorozat keretében vetített Szeleburdi vakációval, amely generációk számára meghatározó élmény, és amelyben Balázs Péter játékossága és természetessége különösen emlékezetes.
Fotó: MTI/Mészáros János
MTVA
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