Die Fanreise nach Paris ans Schweizer Spiel wird für 700 Nati-Fans zur Zitterpartie.
Um 04.34 Uhr in der Früh sollte die Fanreise in Zürich im SBB-Fanzug für 700 Nati-Supporter in Richtung Paris eigentlich starten. Zuerst gibr es Verspätung, dann fällt die Lokomotive bei den Franzosen gleich doppelt aus.
Was für ein Pech! In Dijon, gut zwei Stunden vor Paris, müssen die Fans am Mittag den Zug gar ganz verlassen. Sie werden in zwei TGVs verteilt. Zur allgemeinen Aufmunterung spendiert Sponsor Feldschlösschen ein Freibier.
Mit dabei im SBB-Bundesratswagen sind auch Nati-Legende Kudi Müller (68) und Ex-Luzern-Star Michel Renggli (36). Kudi Müller ist begeistert: «Ich war letztmals vor 20 Jahren mit der Bahn unterwegs. Ich habe den Plausch, lerne viele Leute aus unterschiedlichen Gebieten kennen. Die Reise ist Action und gefällt mir, ich sollte mehr Bahn fahren.»
Kein Witz: Vor der Weiterfahrt mit dem TGV sorgt der französische Lokomotivführer für Aufregung. Er stellte drei Bedingungen, damit der Zug weiterfährt: Zuerst fordert er eine freie Toilette, dann ein Croissant und schliesslich ein Kafi. Pardon, Monsieur?
Die Fans sind um 15 Uhr rechtzeitig in Paris eingetroffen. Wenn auch mit grosser Verspätung.
Les rebelles, les groupes armés de la Plateforme et le gouvernement se sont mis d’accord ce mardi sur la mise en place d’autorités intérimaires qui devront administrer les régions. C’était une revendication des groupes armés rebelles qui avaient claqué la porte et qui ont décidé de revenir dans le processus.
Les autorités intérimaires seront mises en place dans les collectivités territoriales des cinq régions administratives du nord du Mali, précise le document adopté par toutes les parties, et dans chaque région, des membres de l’autorité intérimaire seront désignés de manière consensuelle.
Composées de représentants des groupes armés et ceux du gouvernement, ils auront à leur tête un président qui sera provisoirement le chef de l’exécutif local. Le document adopté insiste également sur la gestion concertée des affaires, que ce soit au niveau de la région, des conseils du cercle ou encore des communes.
Cohabitation
Dans des cas, groupes armés et agents de l’Etat cohabiteront pour assurer la sécurité et surtout le retour des services sociaux de base. On verra donc à moyen terme, une présence par exemple de l’Etat dans la localité de Kidal, actuellement aux mains des rebelles.
…….lire la suite sur rfi.fr
Clotilde Armand, aki az USB jelöltjeként Bukarest 1. kerületében indult a polgármester-választáson, és második helyen végzett a megmérettetésen, megóvta Dan Tudorache, a Szociáldemokrata Párt jelöltjének győzelmét, szerinte a választópolgárok 10 százaléka által megválasztott polgármester nem lehet reprezentatív. Clotilde Armand azt kifogásolja, hogy a jogszabály a jelenlegi formájában nem biztosítja a helyhatósági választások reprezentativitását, így ellentmond az alkotmánynak. A bukaresti 1. kerület bírósága úgy határozott, az alkotmánybírósághoz küldi tovább az ügyet. Ha az alkotmánybíróság helyt is ad Clotilde Armand alkotmányossági kifogásának, döntése nem lesz visszaható hatályú, a június 5-i helyhatósági választások eredményei nem módosulnak emiatt.
93% de la population au Mali sont musulmanes. Dans les carrefours pourtant et sur les espaces publics, des pratiques apparentées au fétichisme indignent certains. D’autres, par contre, approuvent. L’histoire d’une pratique qui divise notre « pays musulman » !
Une calebasse, parfois un canaris rempli de mil, de maïs, de riz ou de haricot posé à côté de quelques œufs ou entre les plumes de poulets noirs ou blancs. Des pièces de monnaie, des cauris, la noix de cola ou un billet de banque accompagnent l’offrande quelques fois. Cette scène est visible partout à Bamako. Avec le mois de Ramadan et ses opportunités d’affaire pour des marabouts, ces pratiques redoublent d’intensité.
Il est 21h dimanche dernier, sur une radio privée, un marabout promet des miracles aux auditeurs. Pas besoin de se déplacer, indique Professeur, à partir du téléphone, il peut guérir n’importe quel mal. Mieux, par le même moyen, ajoute-t-il, il conjure le sort et prédit la fortune. Après dix minutes de prêche, la ligne téléphonique est ouverte.
Un premier auditeur, au bout du fil, veut « connaitre son étoile ». La conversation se passe en bambara. «Tu as une bonne étoile, lui répond le Professeur. Ton étoile est dans l’eau, c’est pourquoi tout ce que tu entreprends est trouble ». « Pour conjurer le mauvais sort, il faut chercher ‘’djoun’’, ‘’ngaba blé’’ et ‘’mogo yiri’’.Tu fais bouillir ces trois plantes ensemble et te laver dans un coin en hauteur pendant dix sept jours. Puis tu sacrifieras un mouton-lion (wara-saga) ensuite tu jetteras les détritus sur une place publique.
Un second auditeur, au bout du fil, annonce qu’il souffre du pied. « Pose ta main sur la partie qui te fait mal sans raccrocher le téléphone», ordonne celui qu’il appelle Professeur. Après dix à quinze secondes de silence sur fond de musique religieuse, le guérisseur interroge: « comment te sens-tu? ». « Bien, ça va mieux !», réplique l’auditeur, au bout du fil.
A l’image de ‘’Professeur’’, ils sont nombreux ces « Cheick » ou « Grand marabout international » autoproclamés, à acheter des temps d’antenne sur les radios privées pour vendre leur ‘’connaissance’’ ou étaler leur savoir. Les clients ne manquent pas en ce moment. Outre les pères de familles qui tirent le diable par la queue, des jeunes à la recherche de la fortune rapide, des femmes en quête de potions magiques, des ministres ou directeurs voulant se maintenir à leur poste, les élèves sont des cibles privilégiées de ‘’ces faiseurs de miracle’’ en cette période d’examens de fin d’année.
Controverse et contradiction
Cette pratique ne fait pas l’unanimité. Communément appelés les « wahhabites », une partie de la communauté musulmane la condamne. Pour eux, c’est de l’idolâtrie. Par contre, l’autre partie des musulmans affirme que ces pratiques ne sont condamnées nulle part dans le Coran. Des contradictions qui prêtent à controverse.
L’imam de la mosquée Ousmane ibn Fan de Kalaban-coura en commune V du District de Bamako est catégorique: « cette pratique, sous toutes ses formes, est contraire à l’Islam », déclare-t-il. Et l’imam Maïga d’ajouter: « admettre que les dits d’un marabout sont vrais, c’est renier le prophète Mohamed (PSL). Quiconque consulte un voyant, ses prières ainsi que son jeûne ne sont pas exaucés pendant 40 jours », prêche l’imam.
Imam suppléant à Garantibougou, Ousmane Traoré affirme que le maraboutage n’est condamné que lorsqu’il vise à faire du mal à autrui. « Dans trois cas, le musulman est autorisé à consulter un voyant: se marier, bâtir une nouvelle maison, ou s’acheter un cheval (moyen de déplacement). Dieu ne se manifeste pas directement à l’être humain. Il (Dieu) lui montre des chemins qui lui permettent de s’accomplir en tant qu’être humain. Qui par définition est imparfait. C’est pourquoi on dit: « Aides-toi et le Ciel t’aidera », Argumente l’imam Traoré.
Pendant que le débat autour de la question fait rage, le fond du fleuve Niger, les espaces publics et les rues à Bamako sont inondés d’objet sacrificiels. Au grand dam des agents d’Ozone-Mali.
Mamadou TOGOLA
Canard décahiné
Mit dem Nato-Gipfel von Wales 2014 ist ein Politikfeld der Allianz wieder stärker in den Vordergrund getreten, das im Juli 2016 auch auf der Tagesordnung des Warschauer Gipfels stehen wird: die Nato-Partnerschaftspolitik. Seit 1994 hat die Allianz Partnerschaftsbeziehungen geschaffen, um ihr Verhältnis zu Ländern, die keine Mitglieder des Bündnisses werden können oder wollen, auf eine institutionelle Grundlage zu stellen. In den vergangenen 20 Jahren ist der Kreis der beteiligten Länder dabei immer größer, die damit verbundene Agenda immer heterogener und die von der Nato verfolgte Zielsetzung immer vielgestaltiger geworden. Der institutionelle Wildwuchs der Partnerschaftsbeziehungen steht in einem immer größeren Kontrast zu den Erwartungen an ihr Potential. Es ist überfällig, die existierenden Formate auf ihre Wirksamkeit hin zu überprüfen und eine politische Priorisierung vorzunehmen.
A családorvosok tegnap óta japánsztrájkot tartanak amiatt, hogy július elsején lejár a jelenlegi, meghosszabbított keretszerződésük, de még mindig nem hozták tudomásukra az új megállapodás feltételeit. Közölték, hogy ha a hónap végéig nem tájékoztatják őket az új keretszerződésben foglaltakról, július elsejétől nem írnak ki ingyenes és ártámogatott recepteket, és nem bocsátanak ki küldőpapírokat.
Corina Creţu regionális politikáért felelős uniós biztos tegnap Brüsszelben fogadta Dragoş Pîslaru munkaügyi minisztert. A találkozón az EU-biztos úgy nyilatkozott, 2020-ig Románia 572 millió eurót hívhat le olyan projektekre, amelyek célja a szegénység és a társadalmi kirekesztés csökkentése, a korai iskolaelhagyás felszámolása, de az uniós programok révén egészségügyi és lakhatási problémák megoldását célzó projektekre is lehet pályázni. A munkaügyi miniszter és az uniós biztos a kormány szegénység elleni intézkedéscsomagjáról is egyeztetett. A stratégia értelmében 2020-ig részben uniós forrásokból 75 ezer gyerek, 10 ezer fogyatékkal élő személy és 62 ezer idős életminőségén javítanának, és fejlesztenék a szociális szolgáltatásokat.
Tegnaptól már igényelni lehet a roncsautó értékjegyeket, illetve a környezetbarát járművek vásárlásáért járó ökojegyeket. A roncsautó program idei összköltségvetése 145 millió lej, ebből a keretből hozzávetőleg 20.000 régi jármű forgalomból való kivonását tudja támogatni az állam. Az autóbontóba leadott, nyolc évnél régebbi járművekért 6.500 lejes értékjegy jár, amihez hozzáadódhat legtöbb 2250 lej öko-bónusz, amennyiben az újan vásárolt gépkocsi megfelel bizonyos környezetvédelmi paramétereknek. Azok, akik elektromos vagy hibrid autót vásárolnak 20 ezer, illetve 5000 lejes támogatásra jogosultak és nem kötelesek régi autót leadni. Amennyiben egy régi gépkocsit is leadnak, ők is megkapják a 6500 lejes roncsautó értékjegyet. A roncsautó programról további információkat a Környezetvédelmi Alap honlapján találnak az érdeklődők.
Durant toute sa vie, il s’alimentera de tous les hommes de sciences et lettres qu’il rencontrera, et gardera un contact épistolaire riche et dense dont malheureusement peu de traces ont été trouvées comme ses nombreux manuscrits.
Le public mostaganémois a eu l’occasion, ce lundi, et malgré la torpeur ramadhanesque, de découvrir ou redécouvrir la vie de cheikh Hocine El-Ouartilani et ses œuvres lors d’une conférence donnée à la bibliothèque principale Dr Moula-Belhamissi par le Dr Mohand Ouidir Mechnan, directeur central au ministère des Affaires religieuses et notamment la Erihla (Nuzhat al-andhar fi fadhl ilm at-tarikh wal akhbar) du bourlingueur érudit comme est surnommé le fils de Béni Ourtilane. En bon professeur, le conférencier abordera son sujet, presque comme un conte, le truffant de détails et le maîtrisant de bout en bout. Il réussira à capter l’attention de l’assistance dès les premières phrases. Né en 1713 à Beni Ourtilane (wilaya de Béjaïa) un haut lieu de spiritualité durant l’époque ottomane, Hocine El-Ouartilani est un éminent intellectuel et également un maître du soufisme.
Mais cela ne l’a pas empêché de s’intéresser à d’autres disciplines telles que la philosophie, la sociologie, l’histoire et la géographie. Cela servira l’écriture de ses ouvrages qui sont essentiellement des récits de voyage considérés par ses contemporains, et de nos jours comme des références. Durant toute sa vie, il s’alimentera de tous les hommes de sciences et lettres qu’il rencontrera et gardera un contact épistolaire riche et dense dont malheureusement peu de traces ont été trouvées comme ses nombreux manuscrits. Seul le volumineux Erihla, constitué de 900 feuillets écrits de la main du maître en 1768, qui se présente comme un concentré d’histoire et de témoignages sur les vicissitudes du XVIIIe siècle a survécu. L’écriture de cet ouvrage a été entamée après 3 expéditions de 25 ans à La Mecque et au Moyen-Orient, et là, il abordera différents thèmes liés à la pensée scientifique et à la spiritualité de l’époque. Il est sans doute le précurseur du reportage écrit avec une analyse des faits et situations après avoir confronté ses idées aux oulémas de son époque.
Pour éviter le scénario relatif à la surcharge des classes qui caractérise chaque rentrée scolaire à Constantine, notamment à la nouvelle ville Ali-Mendjeli, suite aux opérations de relogement des citoyens, les responsables locaux se sont engagés à achever tous les travaux de construction des infrastructures scolaires. “D’ici le 31 août 2016, toutes les écoles, les CEM et les lycées seront prêts pour accueillir nos élèves et les entreprises chargées des travaux d’extension, réhabilitation ou de la construction des nouvelles infrastructures doivent livrer les projets”, a déclaré M. Abd Elkhalak Sayouda, secrétaire général de la wilaya de Constantine.
Lors de la visite d’inspection qu’il a effectué, lundi dans les communes d’Aïn Abid et de Ben Badis, ce responsable a menacé les responsables des bureaux d’études et ceux chargés de la réalisation desdits projets de sanctions s’ils ne respectent pas les délais de réalisation. Joignant l’acte à la parole, M. Sayouda a ainsi ordonné, au cours de cette même sortie, la résiliation de deux contrats avec deux entreprises qui n’ont pas respecté leur engagement avec la wilaya pour des travaux d’extension au niveau de deux établissements scolaires. Notons que le nombre des établissements scolaires dans la wilaya de Constantine dépassé les 540, dont 365 écoles primaires.
Ce sont près 70 lauréats qui ont été honorés à l’auditorium de l’université par une remise symbolique de diplômes et de cadeaux d’encouragement.
“Tamazight va bien en Algérie”, a déclaré en substance le président du Haut-Commissariat à l’amazighité, dimanche soir à l’université Hadj-Lakhdar de Batna à l’occasion de la sortie de la première promotion LMD en langue et culture amazighes. Ce sont près de 70 lauréats qui ont été honorés à l’auditorium de l’université par une remise symbolique de diplômes et de cadeaux d’encouragement. Démarré en 2013 en tant que section dépendante de la faculté des lettres et littérature arabe, l’enseignement universitaire de tamazight a évolué à Batna en termes de statut juridique (indépendance) et en effectifs estudiantins.
“Les trois années du cursus de formation universitaire totalisent actuellement le nombre de 800 étudiants et étudiantes alors que le démarrage n’avait été effectué qu’avec 80 étudiants et étudiantes”, a tenu à nous préciser le chef du département M. Nahali Djamel. Le recteur de l’université, le phildoctor Abdeslam Dhif, devait prononcer un bref discours dans lequel il a qualifié l’existence de cette branche à l’université constitue le premier jalon devant permettre de faire évoluer et promouvoir à l’avenir l’enseignement didactique de tamazight en tant que langue nationale et officielle. Pour sa part, le vice-président, Abdelkrim Brima, a qualifié cette occasion d’évènement particulier qui, a-t-il dit, “nous inspire et nous prodigue de la force et de la volonté d’aller de l’avant”. Brima considère que cet acquis de l’enseignement supérieur est une plus-value à ne pas sous-estimer, étape qui marque la réconciliation du peuple algérien avec soi, c’est-à-dire avec les composantes de la personnalité algérienne. Mais, préviendra Abdelkrim Brima, la promotion réelle et qualitative de tamazight ne devra pas s’écarter du cadre académique et scientifique ni non plus sans vision politique nationale qui place l’intérêt suprême du pays au-dessus de toute considération. Quant au troisième orateur, M.Hachemi Assad, président du Haut-Commissariat à l’amazighité, il a exprimé ses félicitations à l’université Hadj Lakhdar de Batna et a évoqué la nécessité de la spécialisation dans l’enseignement de cette langue. “Nous avons franchi une étape décisive et l’État y a contribué”, précisera-t-il avant d’ajouter que “la langue amazighe est désormais une nouvelle feuille de route à la lumière de la nouvelle constitution.
Tamazight va bien en Algérie”. Les autorités de la wilaya, les responsables de l’université ainsi que le président du HCA ont procédé ensuite à la remise de diplômes et cadeaux à quelques étudiants et étudiantes de cette première promotion qui ont décroché le LMD en langue et culture amazighes. Le président du HCA a lui aussi été honoré pour les efforts déployés par son organisme en faveur de la langue amazighe.
Signalons que dans son discours, le vice-président de l’APW a attiré l’attention de l’assistance sur le blocage au niveau de la douane depuis quatre années d’un don de 1200 livres sur l’Algérie et sa révolution libératrice, offert à partir de l’étranger par le regretté Amar Nagadi et Djoghlal Djoumaâ.