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Kósa nyílt levélben fordult frakcióvezető-társaihoz

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 22:18

Nyílt levélben fordul parlamenti frakcióvezető-társaihoz Kósa Lajos (Fidesz), kérve tőlük, hogy buzdítsák az embereket részvételre az október 2-ai kvótareferendumon, valamint arra, hogy ott szavazzanak nemmel.

Alapvető hatása lesz az európai politikára a kvótareferendumnak

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 22:11

A Századvég Alapítvány vezető elemzője szerint akárhogyan is "berzenkednek" a brüsszeli politikusok, a kötelező betelepítési kvótáról szóló októberi 2-i népszavazásnak alapvető hatása lesz az európai politikai folyamatokra.

Niger : au moins 30 combattants de Boko Haram tués

Afrik.com - Wed, 14/09/2016 - 22:07
L'armée nigérienne a annoncé, ce mardi 13 septembre 2016, avoir tué au moins 30 combattants du groupe islamiste Boko Haram et capturé deux autres lors d'une opération. Le correspondant de BBC Afrique au Niger précise qu'une patrouille mixte de soldats nigériens et tchadiens a tué 30 combattants de cette secte du Nigeria. D'après des informations fournies par le Colonel Moustapha Lédru porte-parole de l'armée nigérienne, qui annonce aussi la perte de 5 militaires dans les rangs des forces de défense de son pays, deux d'entre les éléments du groupe terroriste ont été capturés. Six autres militaires sont blessés après cet accrochage et ont dû être acheminés à l'hôpital de la ville de Diffa, à proximité du lieu des combats. En outre, une importante quantité d'armes et de munitions a été saisie.
Categories: Afrique

Mali : Communiqué du Conseil des Ministres du mercredi 14 septembre 2016

Maliactu - Wed, 14/09/2016 - 22:06
Koulouba, le palais présidentiel malien.

Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 14 septembre 2016, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Président de la République, Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA.

Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a :

– adopté des projets de texte ;

– procédé à des nominations ;

– et entendu des communications.

AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES :

AU TITRE DU MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE :

Sur le rapport du ministre de l’Education nationale, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi fixant les modalités de promotion et d’officialisation des langues nationales.

La Constitution prévoit que la loi fixe les modalités de promotion et d’officialisation des langues nationales au Mali.

La loi du 23 août 1996 a fixé ces modalités pour treize (13) langues nationales.

Le projet de loi adopté, qui abroge et remplace la loi du 23 août 1996, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique linguistique du Mali adoptée en décembre 2014.

Il prévoit que l’Etat assurera la promotion des langues nationales dans le cadre de la sauvegarde et du développement du patrimoine linguistique et de la diversité culturelle.

Il reconnaît aux collectivités territoriales et aux citoyens le droit de promouvoir les treize langues nationales.

Il consacre l’égalité de traitement entre les langues nationales dans le strict respect de la diversité culturelle et de l’unité nationale.

Il institue un Bureau du Médiateur de la Politique Linguistique chargé de contribuer à la promotion équitable des langues nationales et à leur utilisation dans les administrations publiques et privées.

AU TITRE DU MINISTERE DU COMMERCE :

Sur le rapport du ministre du Commerce, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi instituant le système de récépissé d’entreposage dans le domaine Agricole au Mali.

L’institution du système de récépissé d’entreposage entre dans le cadre de la mise en œuvre de la Politique de développement agricole et vise à faciliter et à accroitre le financement des activités de production et de commercialisation des produits agricoles locaux par les institutions de micro finance et autres établissements financiers.

Elle contribuera à la sécurisation des financements accordés par les institutions de financement et à la lutte contre la pauvreté en milieu rural.

Le projet de loi adopté organise le dépôt des produits agricoles dans des entrepôts réservés contre la délivrance d’un récépissé.

Il définit les droits et les obligations du gestionnaire d’entrepôts et de ceux du déposant.

Le récépissé d’entreposage, qui atteste du dépôt, de la quantité, de la qualité et de la valeur de produits agricoles déposés, peut être négocié, transféré ou cédé. Il peut également être mis en gage.

La création d’entrepôts et la délivrance de récépissés sont conditionnées à l’obtention d’agrément.

AU CHAPITRE DES MESURES REGLEMENTAIRES :

AU TITRE DU MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE :

Sur le rapport du ministre de l’Education nationale, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret fixant les missions des académies d’enseignement.

Les académies d’enseignement sont des services déconcentrés de l’Etat chargés de la mise en œuvre de la politique nationale dans les domaines notamment de l’éducation, de l’enseignement, de la recherche, de la formation et de la valorisation des langues nationales.

Elles ont également vocation à adapter l’enseignement aux réalités locales. Elles contribuent à la planification, l’évaluation des programmes et à l’établissement des statistiques scolaires.

Le Mali compte actuellement dix-huit académies d’enseignement qui connaissent des insuffisances dans leur fonctionnement, notamment le chevauchement entre les attributions des divisions, la non-participation des académies à la gestion des infrastructures.

Le présent projet de décret corrige ces insuffisances, en précisant les missions des académies d’enseignement et renvoie à un arrêté l’organisation et les modalités de leur fonctionnement.

AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT, DE L’ASSAINISSEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE :

Sur le rapport du ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable, le Conseil des Ministres a adopté :

1. Un projet de décret portant classement de la forêt de la Bagoé dans la Région de Sikasso :

La rivière de la Bagoe prend sa source en République de Côte d’Ivoire et totalise un parcours de près de 300 kilomètres répartis entre les cercles de Kadiolo, Kolondiéba, Bougouni et Dioïla.

Elle offre aux populations des localités traversées de grandes potentialités en ressources hydraulique et biologique.

Malgré ces potentialités, la rivière de la Bagoe reste soumise à un certain nombre de menaces, notamment le défrichement, l’installation de hameaux, l’orpaillage traditionnel, le dragage, le surpâturage, la mutilation d’essences forestières protégées et d’essences de valeur économique, la coupe abusive du bois, la pêche à l’aide de moyens non sélectifs.

Le classement de la galerie forestière de la rivière de la Bagoe vise à la préserver contre ces menaces.

L’envergure du classement couvre une bande moyenne de 200 mètres de part et d’autre de la rivière pour une superficie totale de 49,840 hectares répartis entre les cercles de Kadiolo, Kolondièba, Bougouni et Sikasso dans la Région de Sikasso.

L’adoption du présent projet de décret participe de la mise en œuvre des conventions internationales ratifiées par le Mali dans le domaine de la protection de l’environnement.

2. Un projet de décret portant déclassement partiel et fixant les nouvelles limites de la forêt classée de Bagouko dans la Commune rurale de Diamou, Cercle de Kayes :

La forêt de Bagouko, d’une superficie de 17 mille 970 hectares, a été classée par deux arrêtés du Gouverneur général de l’Afrique occidentale française datant respectivement du 26 novembre 1942 et du 22 septembre 1948.

Elle est située dans la Commune rurale de Diamou, Cercle de Kayes à proximité de la localité de Bagouko, sur la rive gauche du fleuve Sénégal.

Le présent décret déclasse une superficie totale de 289 hectares de la forêt de Bagouko au profit de l’Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Sénégal (OMVS) en vue de la réalisation de travaux d’aménagement hydroélectrique au niveau des chutes de Gouina à Kayes.
Il fixe les nouvelles limites de la forêt de Bagouko.

AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES :

AU TITRE DU MINISTERE DE LA CULTURE :

– Directeur Général du Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasséké KOUYATE :
Monsieur Idrissa OUMAR, Administrateur des Arts et de la Culture

– Directeur Général du Bureau Malien du Droit d’Auteur (BUMDA) :
Madame DIALLO Aïda KONE, Juriste

AU TITRE DU MINISTERE DE LA JEUNESSE ET DE LA CONSTRUCTION CITOYENNE :

– Conseiller technique :
Monsieur Yacouba Garba MAIGA, Professeur d’Enseignement Secondaire

AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE ET DE L’INTEGRATION AFRICAINE :

Sur le rapport du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de l’Intégration africaine, le Conseil des Ministres a examiné une communication écrite relative aux principales conclusions de la 49ème Session ordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), tenue à Dakar au Sénégal le 04 juin 2016.

La 49ème Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO a passé en revue la situation politique, sécuritaire et socioéconomique de la Région et examiné les questions d’intégration régionale et de développement.

Pour le Mali, la Conférence a salué les efforts déployés par le Gouvernement du Mali sous le leadership du Président Ibrahim Boubacar KEITA en vue de l’application intégrale et effective de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali.

Elle a entre autres :

– rappelé son attachement au respect de l’unité, de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de l’Etat malien ;
– exprimé sa vive préoccupation face à la détérioration de la situation sécuritaire, marquée par la recrudescence des attaques terroristes ;
– demandé que les Forces de Défense et de Sécurité du Mali soient redéployées le plus tôt possible sur tout le territoire national et que toute occupation par des forces irrégulières prenne fin.

AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES :

Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a examiné une communication écrite relative au Cadrage budgétaire à moyen terme (CBMT) 2017-2019.

Le projet de loi de finances de l’année est élaboré par référence à un document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle ou cadrage budgétaire à moyen terme, couvrant une période minimale de trois ans.

Le présent cadrage budgétaire à moyen terme est initié dans cette perspective.

Il évalue le niveau global des recettes attendues de l’Etat par grandes catégories d’impôts et de taxes et les dépenses budgétaires par grandes catégories de dépenses pour la période indiquée.

Il indique l’évolution de la dette du secteur public.

Il fixe les objectifs d’équilibre budgétaire et financier sur le moyen terme.

Le cadrage budgétaire à moyen terme 2017-2019 est établi sur la base d’une prévision de croissance réelle du produit intérieur brut de 5,2% en 2017, de 4,8% en 2018 et de 4,7% en 2019.

Il permet aux autorités chargées des arbitrages budgétaires et de la politique budgétaire d’opérer des choix stratégiques pour l’élaboration de la loi de finances de l’année.

Il permet également de poursuivre l’amélioration des finances publiques en vue de soutenir et d’accompagner la croissance économique pour un solde budgétaire de base hors PPTE en moyenne de moins 1,7% contre moins 2,1% en 2016 et un solde budgétaire global autour de moins 3,9% du produit intérieur brut contre moins 4,3% en 2016.

Le Conseil des Ministres a été informé du décès de Hamadoun Yaranagoré dit DIORO, Député élu à Mopti.
Bamako, le 14 septembre 2016.
Le Secrétaire général du Gouvernement,
Madame DIAKITE Fatoumata N’DIAYE

Commandeur de l’Ordre national

Categories: Afrique

Libye: les terminaux pétroliers remis à la compagnie nationale

Maliactu - Wed, 14/09/2016 - 22:01

Les autorités libyennes non reconnues ont affirmé mercredi avoir remis la gestion des principaux terminaux pétroliers du pays, dont elles se sont récemment emparées, à la Compagnie nationale du pétrole, même si elles continuent d’en assurer la surveillance.

Cette décision survient au moment où la communauté internationale s’alarme des risques d’une guerre ouverte entre ces autorités basées dans l’Est du pays et le gouvernement d’union nationale (GNA) basé à Tripoli et soutenu par l’ONU.

« Les terminaux de Zoueitina, Brega, Ras Lanouf et Al-Sedra ont été remis à la compagnie nationale du pétrole (NOC) », a déclaré à l’AFP Ahmad Mesmari, porte-parole des forces dirigées par le général Haftar qui sont loyales aux autorités basées dans l’Est.

« La totalité du Croissant pétrolier est sous l’administration de la NOC », a-t-il dit en référence à cette région sur la côte nord-est où se trouvent les principaux terminaux du pays.

« L’armée (forces conduites par Haftar, ndlr) a achevé sa tâche et confié la mission de protéger (les terminaux) à des gardes » sous le contrôle du général Haftar, a-t-il ajouté.

Mustafa Sanalla, le président de la NOC –une instance liée au GNA– est arrivé mercredi au terminal de Zoueitina, a rapporté l’agence de presse proche des autorités parallèles. Il a promis de relancer les exportations de pétrole, à commencer par celles via le terminal de Zoueitina.

Sur le site internet de la NOC, M. Sanalla a indiqué que « les équipes techniques avaient déjà commencé à évaluer (…) les réparations nécessaires (…) pour pouvoir relancer les exportations dans les délais les plus brefs ».

Les autorités basées dans l’Est, qui ne reconnaissent pas la légitimité du GNA, se sont emparées entre dimanche et mardi des quatre terminaux du Croissant pétrolier, dont ceux d’Al-Sedra et de Ras Lanouf, les deux plus importants du pays.

Leur coup de force a suscité de nouvelles inquiétude de la communauté internationale, l’émissaire de l’ONU, Martin Kobler, mettant en garde contre la « division » de la Libye, toujours plongée dans l’instabilité près de cinq ans après la chute du régime du colonel Mouammar Kadhafi.

M. Kobler a rappelé que la résolution 2259 de l’ONU stipulait que les installations pétrolières du pays devaient être sous l’autorité du GNA.

A Tripoli, le chef du GNA Fayez al-Sarraj a appelé mercredi « toutes les parties » à « se réunir d’urgence autour d’une même table pour discuter d’un mécanisme permettant de sortir de la crise ».

Affaibli par ce revers militaire, M. Sarraj est en plus contesté au sein même du gouvernement d’union. Deux de ses membres, les deux vice-Premiers ministres Ali al-Qatrani et Fathi al-Majbari, ont en effet proclamé leur soutien à l’opération du général Haftar dans le Croissant pétrolier.

Le GNA, installé depuis mars à Tripoli, est certes reconnu par la communauté internationale mais son influence ne s’exerce que sur une partie du territoire, essentiellement dans l’ouest.

Le général Haftar, considéré comme l’initiateur de l’offensive surprise lancée dimanche sur le Croissant pétrolier, a été promu mercredi maréchal par Aguila Saleh, le chef du Parlement qui soutient les autorités de l’Est, selon un communiqué de l’armée.

Personnage controversé, Haftar est considéré comme le principal obstacle au processus parrainé par l’ONU en vue de rassembler les parties libyennes.

« D’un point de vue politique et militaire, ces développements sont un énorme revers pour l’autorité du gouvernement soutenu par l’ONU (…) à Tripoli », a indiqué Claudia Gazzini, une analyste à l’International Crisis Group.

Mais, dit-elle, alors que certains, au sein du camp du GNA, poussent pour une opération militaire pour reprendre les terminaux, une telle tentative serait « désastreuse ».

« Une première mesure urgente est nécessaire pour éviter l’escalade des tensions actuelles », selon elle.

La Libye a un besoin pressant de relancer sa production pétrolière, qui a été divisée par cinq depuis 2010, alors que le pays dispose des plus importantes réserves pétrolières d’Afrique (estimées à 48 milliards de barils).

Cinq ans après, le pays livré aux milices formées d’ex-rebelles, reste miné par les luttes de pouvoir et les violences meurtrières, ce qui a favorisé la montée en puissance du groupe jihadiste Etat islamique (EI).

Categories: Afrique

Security Council approves three-month extension for UN Mission in Liberia

UN News Centre - Africa - Wed, 14/09/2016 - 21:58
The Security Council this morning extended the mandate of the United Nations Mission in Liberia (UNMIL) through the end of the year, while reaffirming its readiness to consider withdrawing the operation and transitioning to a future UN presence there following a proposed mid-November review of situation on the ground in the country.
Categories: Africa

Security Council approves three-month extension for UN Mission in Liberia

UN News Centre - Wed, 14/09/2016 - 21:58
The Security Council this morning extended the mandate of the United Nations Mission in Liberia (UNMIL) through the end of the year, while reaffirming its readiness to consider withdrawing the operation and transitioning to a future UN presence there following a proposed mid-November review of situation on the ground in the country.

Grève contre la Loi travail : 15 % des vols annulés jeudi dans les aéroports parisiens

France24 / France - Wed, 14/09/2016 - 21:41
Les appels à la grève, jeudi, des opposants à la Loi travail entraîneront de faibles perturbations dans le ciel. Peu suivi, le mouvement n'impactera pas les transports publics parisiens, a indiqué la RATP.
Categories: France

Steinmeier: éjféltől tűzszünet lép életbe Kelet-Ukrajnában

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 21:36

Éjféltől tűzszünet lép életbe a Donyec-medencében az ukrán hadsereg és a kelet-ukrajnai szakadár erők között - jelentette be szerdán Kijevben Frank-Walter Steinmeier német külügyminiszter azután, hogy francia kollégájával, Jean-Marc Ayrault-val együtt tárgyalásokat folytatott az ukrán fővárosban.

Orbán: Önvédelmi bevándorláspolitika kell

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 21:16

Önvédelmi bevándorláspolitikát sürgetett Orbán Viktor azon a megbeszélésen, amelyet az Európai Tanács elnökével folytatott kedden Budapesten – közölte az MTI-vel Havasi Bertalan, a Miniszterelnöki Sajtóiroda vezetője.

Orosz vezérkar: Moszkva kiáll a tűzszünet meghosszabbítása mellett

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 21:10

Moszkva kiáll a szeptember 12-én 19 órakor hatályba lépett, egész Szíriára vonatkozó tűzszünet újabb 48 órás meghosszabbítása mellett - közölte szerdán Viktor Poznyihir altábornagy, az orosz vezérkar műveleti főosztályának első helyettese.

„Az Egyesült Államok támogatja a székelyföldiek jogát”

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 21:10

Az Egyesült Államok támogatja a székelyföldieknek azt a jogát, hogy akár petíciókban, akár tömegmegmozdulásokon hangot adjanak elégedetlenségüknek – jelentette ki Hans Klemm, az Egyesült Államok bukaresti nagykövete kedden, a kétnapos székelyföldi látogatása végén tartott sepsiszentgyörgyi sajtótájékoztatón.

Asszociációs játszóterek

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 21:05

Mucsi Attila képzőművész húsz évvel ezelőtt kötött útilaput a talpára, hogy először Magyarországon tanuljon és tanítson, majd Londonba költözött, ahol különböző munkákat végzett. Volt motoros futár, majd úszóoktató, de szabadidejében a képzőművészetnek hódolt. Az utóbbi években hazalátogatásai során újabbnál újabb és szebbnél szebb falfestményeket varázsolt a zentai hídlábra, színesebbé téve ezzel szülővárosát. A pillérek kifestését öt évvel ezelőtt kezdte el, s azóta is minden nyáron ezen fáradozik, így lépésről lépésre alakul ki előttünk alkotása, hogy jövőre az utolsó motívumok is felkerülhessenek a falfestményére.

Georgia: “An Island of Stability“ in a Turbulent Region

European Peace Institute / News - Wed, 14/09/2016 - 21:04
Photos

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David Bakradze, Georgia’s State Minister for European and Euro-Atlantic Integration, described his country as “an island of stability in a turbulent region,” to an audience at IPI Vienna, September 13th.

Dennis Sammut, Director of LINKS, provided some historical context to Georgia’s rise. Georgia was the fourth Soviet republic to organize a referendum on independence in the early 1990’s, following Baltic states Lithuania, Latvia, and Estonia. Since then, “Georgia has risen from the ashes,” he said.

Mr. Bakradze described his country’s relations with neighbors like Armenia and Azerbaijan, as well as the policy of pragmatic cooperation with Russia. He noted Georgia’s good relations with the European Union, as well as efforts to open up to new markets like China.

He said that Georgia has moved from a process of democratic transformation to one of democratic consolidation. He highlighted reforms like universal health care and improvements in education that have been introduced, as well as freedom of the media and the independence of the judiciary.

There was considerable discussion about Georgia’s aspirations to join the North Atlantic Treaty Organization (NATO,) as well as its interest in stability in the Black Sea.

The Minister also spoke about the government’s efforts to promote confidence-building measures in relations with the break-away regions of Abkhazia and South Ossetia.

Parliamentary elections will be held in Georgia on October 8th. It was noted in the discussion that the elections are expected to be the least polarized in recent Georgian history.

Several participants underlined the potential example that Georgia’s democratization, economic development, and constructive engagement could provide to other countries in the region.

The event was co-organized with LINKS.

Hiszek

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Wed, 14/09/2016 - 21:02

Van ez a tüskés bokor. Nevenincs tüskés bokor, bogyói narancssárgák. Van olyan változata is, amelyiknek a bogyói csibesárgák. A termés színétől független, hogy tüskéi mennyire szúrnak. És ugyanígy eldönthetetlen a vásárlás pillanatában, hogy fává metszhető lesz-e, vagy ágas bokor marad-e minden kertészeti szaktudás ellenére.

Libye: les terminaux pétroliers remis à la compagnie nationale

Maliactu - Wed, 14/09/2016 - 20:59

Les autorités libyennes non reconnues ont affirmé mercredi avoir remis la gestion des principaux terminaux pétroliers du pays, dont elles se sont récemment emparées, à la Compagnie nationale du pétrole, même si elles continuent d’en assurer la surveillance.

Cette décision survient au moment où la communauté internationale s’alarme des risques d’une guerre ouverte entre ces autorités basées dans l’Est du pays et le gouvernement d’union nationale (GNA) basé à Tripoli et soutenu par l’ONU.

« Les terminaux de Zoueitina, Brega, Ras Lanouf et Al-Sedra ont été remis à la compagnie nationale du pétrole (NOC) », a déclaré à l’AFP Ahmad Mesmari, porte-parole des forces dirigées par le général Haftar qui sont loyales aux autorités basées dans l’Est.

« La totalité du Croissant pétrolier est sous l’administration de la NOC », a-t-il dit en référence à cette région sur la côte nord-est où se trouvent les principaux terminaux du pays.

« L’armée (forces conduites par Haftar, ndlr) a achevé sa tâche et confié la mission de protéger (les terminaux) à des gardes » sous le contrôle du général Haftar, a-t-il ajouté.

Le président de la NOC, liée au GNA, Mustafa Sanalla, est arrivé mercredi au terminal de Zoueitina, a rapporté l’agence de presse proche des autorités parallèles. Il a promis de relancer les exportations de pétrole, à commencer par celles via le terminal de Zoueitina.

Sur le site internet de la NOC, M. Sanalla a indiqué que « les équipes techniques avaient déjà commencé à évaluer (…) les réparations nécessaires (…) pour pouvoir relancer les exportations dans les délais les plus brefs ».

Les autorités basées dans l’Est ne reconnaissent pas la légitimité du GNA et ont montré leur force en s’emparant entre dimanche et mardi des quatre terminaux du Croissant pétrolier, dont ceux d’Al-Sedra et de Ras Lanouf, les deux plus importants du pays.

Le coup de force des autorités de l’Est avait suscité de nouvelles inquiétude de la communauté internationale, l’émissaire de l’ONU, Martin Kobler, mettant en garde contre la « division » de la Libye, toujours plongée dans l’instabilité près de cinq ans après la chute du régime du colonel Mouammar Kadhafi.

M. Kobler a rappelé que la résolution 2259 de l’ONU stipulait que les installations pétrolières du pays devaient être sous l’autorité du GNA.

A Tripoli, le chef du GNA Fayez al-Sarraj a appelé mercredi « toutes les parties » à « se réunir d’urgence autour d’une même table pour discuter d’un mécanisme permettant de sortir de la crise ».

Affaibli par ce revers militaire, M. Sarraj est en plus contesté au sein même du gouvernement d’union. Deux de ses membres, les deux vice-Premiers ministres Ali al-Qatrani et Fathi al-Majbari, ont en effet proclamé leur soutien à l’opération du général Haftar dans le Croissant pétrolier.

Le GNA, installé depuis mars à Tripoli, est certes reconnu par la communauté internationale mais son influence ne s’exerce que sur une partie du territoire, essentiellement dans l’ouest.

Le général Haftar, personnage controversé, est considéré comme le principal obstacle au processus parrainé par l’ONU en vue de rassembler les parties libyennes.

« D’un point de vue politique et militaire, ces développements sont un énorme revers pour l’autorité du gouvernement soutenu par l’ONU (…) à Tripoli », a indiqué Claudia Gazzini, une analyste à l’International Crisis Group.

Mais, indique-t-elle, alors que certains, au sein du camp du GNA, poussent pour une opération militaire pour reprendre les terminaux, une telle tentative serait « désastreuse ».

« Une première mesure urgente est nécessaire pour éviter l’escalade des tensions actuelles », selon elle.

La Libye a un besoin pressant de relancer sa production pétrolière, qui a été divisée par cinq depuis 2010, alors que le pays dispose des plus importantes réserves pétrolières d’Afrique (estimées à 48 milliards de barils).

Cinq ans après, le pays livré aux milices formées d’ex-rebelles, reste miné par les luttes de pouvoir et les violences meurtrières, ce qui a favorisé la montée en puissance du groupe jihadiste Etat islamique (EI).

Categories: Afrique

Gabon: la Cour constitutionnelle sous pression maximale pour trouver une issue à la crise électorale

Maliactu - Wed, 14/09/2016 - 20:56

Le dénouement de la crise post-électorale qui secoue le Gabon repose désormais sur la Cour constitutionnelle et son influente présidente, Marie-Madeleine Mborantsuo, sous haute pression pour valider ou non les résultats provisoires donnant le président sortant Ali Bongo Ondimba vainqueur.

« L’avenir du pays est entre ses mains », affirment aujourd’hui en coeur journaux et Gabonais de tous bords politiques, qui retiennent leur souffle en attendant le verdict de la Cour, attendu au plus tard le 23 septembre.

La « Tour de Pise », comme la surnomme l’opposition, penchera-t-elle une nouvelle fois du côté du pouvoir pour mettre fin au bras de fer entre Ali Bongo et son rival, l’ex-baron du régime Jean Ping qui revendique lui aussi la victoire ?

En 2009, l’institution avait rejeté les 11 requêtes en annulation introduites par le principal opposant d’alors, André Mba Obame, et validé l’élection de M. Bongo qui a succédé à son défunt père Omar, resté 41 ans au pouvoir.

« Sans illusion » et malgré de fortes réticences internes, le camp Ping a déposé le 8 septembre un recours pour demander un nouveau décompte des voix dans la province du Haut-Ogooué (sud-est), comme le réclamait de la communauté internationale, favorable à la « voie légaliste » pour sortir le pays de l’impasse.

C’est le fief familial de la famille Bongo, où le président a obtenu plus de 95% des voix avec un taux de participation proche de 100%, qui lui a permis de remporter la victoire d’une très courte tête (moins de 6.000 voix).

Au coeur de la tourmente, un nom est désormais sur toutes les lèvres: Marie-Madeleine Mborantsuo, aussi surnommée « 3M », l’indéboulonnable présidente de la Cour constitutionnelle depuis plus de 20 ans, qui est régulièrement accusée par l’opposition de collusion avec le pouvoir.

A 61 ans, elle cumule les titres – magistrat hors hiérarchie, commandeur de la légion d’honneur française – et les diplômes – DEA en droit constitutionnel de l’Université Paris II Panthéon Sorbonne, doctorat en droit à Aix en Provence.

– Choix cornélien –

Son parcours illustre bien la confusion entre business, famille et politique qui caractérise le « système Bongo » depuis plusieurs décennies: cette ancienne « Miss » du Haut-Ogooué, sa région natale, fut une des nombreuses liaisons d’Omar Bongo, qui lui a donné deux enfants et l’a placée à la tête de la Cour dès 1998.

Certains médias gabonais lui prêtent un important patrimoine immobilier au Gabon et à l’étranger.

Quel que soit le sens dans lequel la présidente et les huit autres juges de la Cour tranchent le contentieux électoral, leur choix s’annonce d’ores et déjà cornélien.

La proclamation le 31 août des résultats provisoires du scrutin à un tour du 27 août avait déclenché des émeutes meurtrières et des pillages dans tout le pays. Chez les partisans de Ping, on promet déjà qu' »on ne se laissera pas faire: la seule option est qu’Ali dégage ».

« Nous sommes tous en attente, nous avons les regards tournés vers la Cour constitutionnelle. Nous attendons ce qu’elle dira et en bons républicains nous sommes tout à fait disposés à appliquer les instructions de la Cour, à mettre en oeuvre les décisions de la Cour », a déclaré lors d’un point presse le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), Faustin Boukoubi.

« Personne ne voudrait être à la place de Mme Mborantsuo en ce moment », analyse une source diplomatique: « elle est soumise à d’énormes pressions des deux camps ».

Sur neuf juges, trois – dont Mme Mborantsuo – ont été nommés par chef de l’Etat, trois par le président du Sénat et trois par l’ancien président de l’Assemblée nationale Guy Nzouba Ndama, qui a basculé en début d’année dans l’opposition pour devenir un des principaux soutiens de Jean Ping.

Autre élément susceptible de brouiller les pistes: ces derniers mois, la presse gabonaise a fait état à plusieurs reprises d’un rapprochement supposé entre le courant de M. Nzouba Ndama et la présidente de la Cour, qui serait « tombée en disgrâce » auprès d’Ali Bongo.

La magistrate a en tous cas la lourde tâche de mettre en application un ouvrage dont elle est l’auteure : « La contribution des Cours constitutionnelles à l’Etat de droit en Afrique ».

Categories: Afrique

Gabon: la Cour constitutionnelle sous pression maximale pour trouver une issue à la crise électorale

Maliactu - Wed, 14/09/2016 - 20:55

Le dénouement de la crise post-électorale qui secoue le Gabon repose désormais sur la Cour constitutionnelle et son influente présidente, Marie-Madeleine Mborantsuo, sous haute pression pour valider ou non les résultats provisoires donnant le président sortant Ali Bongo Ondimba vainqueur.

« L’avenir du pays est entre ses mains », affirment aujourd’hui en coeur journaux et Gabonais de tous bords politiques, qui retiennent leur souffle en attendant le verdict de la Cour, attendu au plus tard le 23 septembre.

La « Tour de Pise », comme la surnomme l’opposition, penchera-t-elle une nouvelle fois du côté du pouvoir pour mettre fin au bras de fer entre Ali Bongo et son rival, l’ex-baron du régime Jean Ping qui revendique lui aussi la victoire ?

En 2009, l’institution avait rejeté les 11 requêtes en annulation introduites par le principal opposant d’alors, André Mba Obame, et validé l’élection de M. Bongo qui a succédé à son défunt père Omar, resté 41 ans au pouvoir.

« Sans illusion » et malgré de fortes réticences internes, le camp Ping a déposé le 8 septembre un recours pour demander un nouveau décompte des voix dans la province du Haut-Ogooué (sud-est), comme le réclamait de la communauté internationale, favorable à la « voie légaliste » pour sortir le pays de l’impasse.

C’est le fief familial de la famille Bongo, où le président a obtenu plus de 95% des voix avec un taux de participation proche de 100%, qui lui a permis de remporter la victoire d’une très courte tête (moins de 6.000 voix).

Au coeur de la tourmente, un nom est désormais sur toutes les lèvres: Marie-Madeleine Mborantsuo, aussi surnommée « 3M », l’indéboulonnable présidente de la Cour constitutionnelle depuis plus de 20 ans, qui est régulièrement accusée par l’opposition de collusion avec le pouvoir.

A 61 ans, elle cumule les titres – magistrat hors hiérarchie, commandeur de la légion d’honneur française – et les diplômes – DEA en droit constitutionnel de l’Université Paris II Panthéon Sorbonne, doctorat en droit à Aix en Provence.

– Choix cornélien –

Son parcours illustre bien la confusion entre business, famille et politique qui caractérise le « système Bongo » depuis plusieurs décennies: cette ancienne « Miss » du Haut-Ogooué, sa région natale, fut une des nombreuses liaisons d’Omar Bongo, qui lui a donné deux enfants et l’a placée à la tête de la Cour dès 1998.

Certains médias gabonais lui prêtent un important patrimoine immobilier au Gabon et à l’étranger.

Quel que soit le sens dans lequel la présidente et les huit autres juges de la Cour tranchent le contentieux électoral, leur choix s’annonce d’ores et déjà cornélien.

La proclamation le 31 août des résultats provisoires du scrutin à un tour du 27 août avait déclenché des émeutes meurtrières et des pillages dans tout le pays. Chez les partisans de Ping, on promet déjà qu' »on ne se laissera pas faire: la seule option est qu’Ali dégage ».

« Nous sommes tous en attente, nous avons les regards tournés vers la Cour constitutionnelle. Nous attendons ce qu’elle dira et en bons républicains nous sommes tout à fait disposés à appliquer les instructions de la Cour, à mettre en oeuvre les décisions de la Cour », a déclaré lors d’un point presse le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), Faustin Boukoubi.

« Personne ne voudrait être à la place de Mme Mborantsuo en ce moment », analyse une source diplomatique: « elle est soumise à d’énormes pressions des deux camps ».

Sur neuf juges, trois – dont Mme Mborantsuo – ont été nommés par chef de l’Etat, trois par le président du Sénat et trois par l’ancien président de l’Assemblée nationale Guy Nzouba Ndama, qui a basculé en début d’année dans l’opposition pour devenir un des principaux soutiens de Jean Ping.

Autre élément susceptible de brouiller les pistes: ces derniers mois, la presse gabonaise a fait état à plusieurs reprises d’un rapprochement supposé entre le courant de M. Nzouba Ndama et la présidente de la Cour, qui serait « tombée en disgrâce » auprès d’Ali Bongo.

La magistrate a en tous cas la lourde tâche de mettre en application un ouvrage dont elle est l’auteure : « La contribution des Cours constitutionnelles à l’Etat de droit en Afrique ».

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Refugees see mobile connectivity as critical lifeline – new UN report

UN News Centre - Wed, 14/09/2016 - 20:52
Many refugees view access to a mobile phone and the Internet as being as critical to their safety and security as food, water and shelter, according to a new report out today from the United Nations refugee agency and a technology consulting company.

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