The Eurogroup welcomes the implementation by the Greek authorities of the set of 15 milestones in the context of the first review of the ESM programme. The Eurogroup commends the Greek authorities for adopting the necessary further measures to reform the pension system and the energy sector, to strengthen bank governance, to fully establish the new independent Revenue Agency and to proceed with the privatisation programme. The Eurogroup also notes the further progress in the set-up of the Privatisation and Investment Fund - the Hellenic Corporation of Assets and Participations (HCAP). The Eurogroup stresses that the appointment of the members of the Board of Directors of HCAP, including the Chairman and CEO positions, must be pursued as a matter of priority in order to make the fund fully operational before the end of 2016, in the context of the second review of the ESM programme. To this end, we welcome the commitment of the Greek authorities to ensure that the appointment process is in line with the requirements of the HCAP law to ensure that Board members are fully independent, professional and with clear experience and the corporate governance standards will be in line with international best practices.
The implementation of the milestones paves the way for the ESM Board of Directors to approve the remaining disbursement of EUR 1.1 bn under the second tranche for debt servicing needs.
The Eurogroup acknowledges that significant progress has been made towards the clearance of net arrears during July and August and notes the time required for completing the data for September, which would be later in October. The institutions' positive assessment of Greece's clearance of net arrears would pave the way for the ESM Board of Directors to approve the further release of EUR 1.7 bn, which will be disbursed to a dedicated account to be used for arrears clearance.
The Eurogroup will now turn its attention to the next stages of the ESM programme. We call on the Greek authorities to intensify their work with the institutions on the measures needed to complete the second review in a timely manner, and welcome the intention of the institutions to return to Athens in mid-October 2016.
« Condor Electronics », le leader algérien des produits électroniques, électroménagers et IT annonce ce Dimanche 09 Octobre 2016, l’ouverture de son Showroom principal de la commune d’Oued Smar, Showroom central de la direction Régionale centre de la société.
Ce showroom, des plus anciens, a été inauguré en 2006 ; il rouvre ses portes aujourd’hui après trois mois de rénovation, suite à un Relooking complétement en adéquation avec la charte mise en place par la marque, basée sur l’accessibilité et la proximité du consommateur.
S’étalant sur une surface de près de 200 m², le showroom, entièrement rafraichi et adapté, permettra aux clients de découvrir toutes les gammes de la maison, dans un cadre novateur haut standing et favorisant l’expérience client, en plus du service d’accueil et de conseil fournis par une équipe dédiée, formée et hautement qualifiée.
Suivant sa stratégie d’expansion et dans un souci de proximité, les showrooms de Condor Electronics, aujourd’hui au nombre de 138; couvrent les 48 Wilayas, avec le support de 272 points SAV en 2016 sur tout le territoire national, un numéro vert « 3075 » est disponible 7/7 pour répondre à toutes demandes d’information relatives à la marque, aux produits et au service après ventes.
Dans ce même cadre ; Condor Electronics lance une application mobile « Condor Passeport», téléchargeable gratuitement et permettant d’entrer directement en contact avec les web conseillers via messagerie instantanée, l’application permettra aussi de récolter des points et d’acheter des produits et des services digitaux (Apps, Thèmes, Jeux…) en plus de sauvegarder les contacts et SMS des utilisateurs de smartphones Condor.
Le nouveau showroom, abritera toutes les nouveautés de la maison sur ses différentes gammes, notamment le OLED TV 55’’et 65’’, premier téléviseur Algérien doté de la technologie OLED, lancé début Septembre dernier.
Le téléviseur sera exposé entre autres aux côtés du climatiseur CROWN, lancé cette saison sur le marché. Doté d’un système d’économie d’énergie, d’un compresseur tropical, d’un réfrigérant écologique et d’un stabilisateur de voltage intégré, le climatiseur CROWN vient consolider la démarche de développement durable et d’éco-consommation de Condor Electronics.
La gamme petits et moyens électroménagers comptera elle aussi des nouveaux venus, tels que le pétrin 1200w munis d’un couvercle anti éclaboussure, d’un bol inoxydable, et d’un système de verrouillage et sécurité, se caractérisant par son excellent rapport Qualité/prix.
S’ajouteront au rang des nouveautés de la saison disponibles au showroom : le lave-linge PISA 13Kg au tambour STAR DRUM (forme diamants) et les smartphones des séries Griffe, Allure et Plume dont (pour rappel) plusieurs modèles sont compatibles 4G : Plume P4 PRO, Plume P5, Plume P7, Plume P8, Allure A9 Plus, Allure A55, Allure A55 Slim, Allure A100, Allure A100 Lite.
La réouverture du showroom principal de Oued Smar s’est tenu Dimanche 09 Octobre à 10h30, en présence de partenaires, clients et hauts responsables du Groupe, dont Monsieur M. Bouderbala , Directeur Régional Centre qui a déclaré « Dans une démarche de proximité, nous continuons de nous démarquer par nos produits de qualité, notre avancée technologiques mais aussi par les services que nous offrons aux consommateurs, entre autres : la proximité » au groupe de journalistes, conviés eux aussi à l’occasion.
A propos de Condor Electronics :
SPA Condor Electronics est la figure de proue du Groupe Benhamadi. Fondée en 2002, la filiale grandit vite et devient leader dans son domaine. Elle est spécialisée dans la fabrication, la commercialisation et la maintenance des produits électroniques, électroménagers et multimédias ainsi que des panneaux photovoltaïques.
Certifiée ISO 9001, 14001, 26000 et OHSAS 18001, pour les normes de qualité́, respect de l’environnement, responsabilité́ sociétale et santé et sécurité́, respectivement, la compagnie tend à entre un modelé de sérieux et de compétence. Condor Electronics est l’une des premières entreprises à être certifiée « BASMA DJAZAIRIA », un label délivré par le Forum des Chefs d’Entreprises algérien (FCE) visant à garantir l’origine algérienne les produits.
Misant sur l’innovation et la disponibilité́, Condor Electronics œuvre pour maintenir son leadership en proposant des produits à la fois performants, d’excellente qualité́ et à un prix très abordable avec une présence sur tout le territoire algérien.
Condor Electronics n’est pas juste un exemple de réussite et de succès, à travers ses réalisations et ses performances, elle est aussi le modelé par excellence de la compagnie qui marque son époque par son innovation et son avant-gardisme. Avec des articles à la pointe de la technologie, certifiés aux normes de qualité́ et de sécurité́ les plus strictes, le produit Made In Algeria devient une référence dans le marché́.
Avec les différentes gammes des produits proposées Condor Electronics parvient à toucher toutes les cibles possibles et arrive à être présente dans 90% des foyers algériens grâce à ses potentiels humains et techniques, Condor Electronics s’inscrit dans son temps mais aussi dans la pérennité́.
Condor Electronics n’est pas seulement un label marchand mais un opérateur et un compagnon du quotidien de chaque algérien qui propose concrètement plus de confort et d’accessibilité́. L’enseigne amie inspire par son succès et sa fidélité́ ; c’est précisément cette proximité́ et la détermination d’élargir les horizons et d’anticiper sur les innovations qui permet à Condor Electronics d’entre un leader. Au fil des années, Condor Electronics a construit une histoire, un parcours où toutes les mutations reflètent aussi l’attachement à nos valeurs et nos aspirations à l’excellence.
Un imam d’une mosquée de Aïn Taya a refusé de diriger la prière du mort pour une moudjahida d’origine française reconvertie à l’islam.
Malgré toutes les explications des citoyens, cet imam n’a rien voulu savoir. Le corps de la défunte a été finalement transporté vers une autre mosquée de Aïn Taya.
Les citoyens ont saisi la presse pour dénoncer le comportement de cet imam.
Dans le cadre de la prévention contre les maladies des végétaux en général et de l’olivier en particulier, la Direction des services agricoles de la wilaya de Bouira a organisé hier au profit des oléiculteurs de la wilaya de Bouira, une journée de sensibilisation contre certains insectes ravageurs dont la mouche d’olive et la teigne.
En présence des responsables de l’Institut national pour la protection des végétaux (INPV) venus d’Alger, et à l’aide d’un data show, la première responsable du service de protection des végétaux de la Direction des services agricoles de la wilaya de Bouira a, pendant plus de trois heures, expliqué avec un langage accessible à tout le monde pour permettre aux agriculteurs venus du monde rural et dont le niveau d’instruction est limité de comprendre les enjeux de l’heure et surtout les avantages qu’ils auront à tirer en faisant dans la prévention, c’est-à-dire l’alerte durant les premiers stades de l’apparition de ces maladies, au lieu d’attendre le stade terminal et l’utilisation des insecticides.
Aussi, que ce soit pour la mouche d’olive , cette maladie qui ravage les oliviers et qui s’attaque aux olives, baissant les rendements d’une manière drastique et surtout, rendant la qualité de l’huile finale très médiocre avec un taux d’acide très élevé, ou pour la teigne qui ravage les vergers oléicoles durant tout le cycle de formation de l’olive depuis la floraison jusqu’à la formation du noyau et enfin, les feuilles.
Face à ces deux fléaux, la responsable du service de protection des végétaux insiste sur la prévention pour sauvegarder la qualité du produit, c’est-à-dire l’olive pour les oléiculteurs versés dans la culture de l’olive de table ou de l’huile pour les oléiculteurs. Selon elle, au lieu d’utiliser les insecticides, des méthodes naturelles peuvent être menées pour lutter contre ces maladies avec d’abord l’entretien du verger et le labourage de fond dès la fin de la collecte d’olive, vers fin février ; ensuite l’installation des pièges alimentaires, à défaut de phéromones lorsque l’agriculteur se trouve dans l’impossibilité de se permettre leur achat.
L’oratrice, devant une cinquantaine d’oléiculteurs, expliquera la méthode naturelle de piégeage des mouches et de la teigne avec ces bouteilles en plastique sur lesquelles on met une bande adhésive de couleur jaune attirante pour les mouches ; ensuite on les remplit à deux tiers d’eau avant d’y mettre un morceau de sardine et du sucre et laisser fermenter.
L’odeur qui s’y dégagera ; le sulfure d’ammoniaque attirera des milliers de mouches qui vont essayer de pénétrer à travers des petits trous préalablement percés en haut de la bouteille dont le bouchon doit être fermé. Une fois à l’intérieur et ne pouvant plus sortir, ces mouches finiront par se noyer dans la solution préparée…
Durant toute la matinée et tout en expliquant ces méthodes, l’oratrice insistera sur les méthodes préventives pour éviter toute utilisation de produits chimiques dans les vergers, lesquels seront classés bio et auront une saveur et un prix concurrentiels même à l’échelle internationale ; surtout pour l’huile d’olive dont l’Algérie possède l’une des plus cotées à l’échelle internationale si les pouvoirs publics souhaitent sa valorisation.
Des produits naturels loin de tout contact avec les produits chimiques et les insecticides face auxquels le consommateur algérien ne fait aucune attention mais, dont les conséquences, rappellera la responsable du service protection des végétaux, sont largement visibles dans notre société avec ces milliers de personnes qui meurent du cancer.
Selon elle, il suffit d’avaler à chaque fois, à travers les légumes ou les fruits, une toute petite partie d’insecticide, laquelle n’affectera plus le corps sur le moment, en ne lui causant même pas une petite intoxication pour aboutir, au bout d’une vingtaine d’années, à l’apparition de tumeurs cancéreuses qui surviennent le plus souvent sans que l’on sache leur origine et qui sont malheureusement mortelles. Cela étant, lorsque ces maladies qui touchent les vergers oléicoles se généralisent dans un périmètre donné, une opération de désinsectisation globale pourra être menée par l’Institut national de protection des végétaux.
Par ailleurs, lors de cette journée, un autre fléau qui affecte les oliviers a été cité ; il s’agit de la tuberculose contre laquelle aucun remède n’existe. Selon les responsables de l’INPV présents sur place, pour lutter contre cette maladie, des échantillons du sol ainsi que des plants sont effectués, avant toute plantation d’un nouveau verger ; mais pour les anciens vergers dans lesquels peut apparaître cette maladie, pour le moment la méthode radicale, à savoir l’arrachage des oliviers contaminés, est la solution préconisée afin que la maladie ne se propage pas vers d’autres oliviers sains. Signalons à la fin qu’outre ces journées de sensibilisation effectuées à longueur d’année par le service protection des végétaux de la DSA, des programmes de formation destinés aux agriculteurs sont également organisés.
Les professionnels qui opèrent dans le domaine des énergies renouvelables se donnent rendez-vous au Centre de conventions d’Oran, du 24 au 26 octobre 2016, à l’occasion du Salon international Era.
Ce salon majeur, qui en est à sa 7e édition, offre aux différents acteurs dans le domaine un cadre propice qui «répond à leurs besoins de communication sur leurs activités et leur savoir-faire, et de prospection d’opportunités de partenariats avantageux qui renforcent leurs capacités», souligne l’organisateur.
Organisé par Myriade Communication, sous le haut patronage du chef de l’Etat, Era 2016, 7e Salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable, bénéficie du contexte favorable «créé par l’impulsion donnée au programme des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, par le chef de l’Etat qui en a souligné le caractère de priorité nationale».
Era 2016 «s’inscrit dans l’alternative incontournable qui consiste à construire une économie nationale diversifiée et plus compétitive, impliquant une transition énergétique qui intègre l’émergence d’une filière des énergies renouvelables», note Linda Oulounis, commissaire du salon. Selon elle, le Salon Era est devenu le meilleur «repère» pour les professionnels dans ce domaine. Dans la mesure où il leur permet de connaître, à la fois, l’état des lieux et les perspectives ouvertes par le programme national de développement des énergies renouvelables.
Selon l’organisatrice, le salon remplit également une fonction de catalyseur «de la synergie des actions mises en œuvre dans ce créneau par les institutions officielles et organismes qui en relèvent, et par les opérateurs économiques». Cette 7e édition qui verra la participation très active du secteur de l’énergie à travers la présence des deux grands groupes Sonatrach et Sonelgaz avec leurs filiales, du secteur des ressources en eau et de l’environnement, avec ses agences et entreprises, du ministère de l’Industrie et des Mines, directement concerné par le thème de cette année – l’industrie des énergies renouvelables au service d’une économie diversifiée et compétitive -, l’agriculture, l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, à côté des acteurs économiques majeurs de la filière, également présents en force.
Le salon est également ouvert sur les autres dimensions du développement durable, à savoir la préservation des ressources naturelles, l’économie d’énergie, la gestion de l’eau, la réutilisation des eaux usées, la valorisation des déchets … Un cycle de conférences avec des communications présentées par des spécialistes, experts et chercheurs, algériens et étrangers, portant sur des thématiques liées aux énergies renouvelables et au développement durable, auront lieu à l’occasion.
Les cadres de l’Onec (Office national des examens et concours) poursuivis dans l’affaire du scandale de la fuite des sujets du bac de juin dernier seront appelés aujourd’hui à répondre de leurs chefs d’inculpation devant le magistrat du pôle judiciaire spécialisé du centre.
Au nombre de quatre personnes, les mis en cause actuellement en détention provisoire verront leur défense assurée par une dizaine d’avocats. Ces derniers se sont d’ailleurs déclarés optimistes quant à l’issue du procès. L’avocat de Nadjib Yaïche, inspecteur de l’éducation nationale avait soutenu il y a un mois «qu’il n’y a aucune preuve matérielle qui établit l’implication des cadres de l’Onec et que ces cadres n’ont pas le mobile pour commettre un tel forfait». Et d’ajouter : «Les enquêteurs n’ont fait que des constatations mais, ils ne les ont pas accusés directement». Les cadres de l’Onec, faut-il le rappeler, sont poursuivis pour abus de fonction, divulgation de secrets et délit de coalition.
«Nous n’avons pas voulu intervenir dans le débat au mois de juin pour laisser cette session extraordinaire se dérouler dans le calme justement », a déclaré Me Mostefa Bouchachi. Mais, a-t-il souligné, «nous ne pouvons pas continuer à admettre cette détention qui ne se base sur aucune preuve».
Lors d’une conférence de presse tenue en septembre dernier, il dira que Nadjib Yaïche et ses trois autres collègues n’étaient que des «boucs émissaires» pour «calmer l’opinion publique et lui redonner confiance». «La ministre de l’Education nationale Nouria Benghabrit a déclaré, cela fait trois jours que l’Onec n’avait aucune relation avec les fuites. En fait, il existe plus de 300 centres à travers le pays.
Ces fuites pouvaient provenir de plusieurs endroits», a argumenté Me Mostefa Bouchachi qui estime que les poursuites ont été faites «dans la précipitation ». Et de déplorer : «Ces cadres sont des responsables au sein de cet organisme et leur inculpation donne un mauvais signal aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Le fait de les présenter comme des traîtres ne manquerait pas d’ébranler la confiance dans les institutions du pays.
En tout cas, c’est injuste pour des cadres qui ont fait preuve d’intégrité et de loyauté durant de longues années passées au service de l’éducation nationale.»
A mai napon jelent meg a Budapesti Corvinus Egyetem folyóiratának, a Köz-Gazdaságnak szeptember 28-án adott interjúm az amerikai elnökválasztásról, amelyet az alábbi linken olvashatnak el:
Les ministres de l’Energie de l’Opep et les pays non Opep, à l’instar de la Russie, se rencontrent en marge d’une conférence sur l’énergie à Istanbul (du 9 au 13 octobre) pour des discussions informelles. Aucune décision ne devrait émerger de la réunion, selon des sources proches du Cartel. Toutefois, elle sera l’occasion de discuter de la marche à suivre après que l’Opep eut décidé, à la fin du mois de septembre à Alger, de limiter sa production.
L’accord doit en principe être mis en application cette année et le Cartel va s’employer à obtenir le soutien des producteurs extérieurs à lui, comme c’est le cas de la Russie, à la suite de l’accord d’Alger, le 29 septembre dernier. Au terme de plusieurs semaines de tractations et d’une réunion de près de six heures, l’Opep a décidé de ramener sa production à un niveau de 32,5 à 33 millions de barils par jour (mbj) contre 33,47 mbj en août. Il s’agit de la plus «grosse réduction» de production depuis celle décidée après la chute des cours durant la crise de 2008.
Les modalités de mise en œuvre de cet accord seront discutées lors du sommet de l’Opep à Vienne, le 30 novembre. L’annonce d’Alger a donné du tonus aux cours du pétrole, qui se sont, depuis, maintenus à un niveau de 50 dollars. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait en fin de semaine 51,76 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. Le Brent est monté jusqu’à 52,84 dollars et le WTI à 50,74 dollars, s’approchant de leurs plus hauts niveaux de l’année atteints en juin, à respectivement 52,86 dollars et à 51,67 dollars.
Discussion sur l’avenir du secteur énergétique
Le Congrès mondial de l’énergie, reconnu comme étant le premier événement multiénergétique mondial, se tient tous les trois ans et rassemble environ 5 000 participants venus des différentes régions du monde : des membres du Conseil mondial de l’énergie (CME), des leaders et des spécialistes de l’exploitation du secteur énergétique, des ministres, des dirigeants d’organisations internationales, des chercheurs, des dirigeants et décideurs politiques, les personnes concernées par le développement énergétique durable.
Cette manifestation, qui se déroule sur 5 jours, présente une importante exposition sur l’énergie, des contributions majeures par des leaders reconnus du monde de la politique et des affaires, des tables rondes sur des thèmes et des questions énergétiques essentiels et des centaines de présentations de rapports techniques. Elle offre de surcroît aux participants une occasion unique de se rencontrer pour discuter de l’avenir du secteur énergétique.
La 23e édition du Congrès mondial de l’énergie permettra le dialogue entre les ministres de l’Énergie et les leaders du monde des affaires, des finances et des universités des quatre coins du monde qui débattront, lors des sessions spéciales, sur les différentes options de système pour une fourniture durable d’énergies au niveau national, régional et mondial ; les sessions vont notamment comprendre les sommets des leaders mondiaux de l’énergie, des leaders futurs de l’énergie, et le sommet du trilemme d’énergie.
Plus de deux mois après sa création, la start-up Afrimalin réalise sa première levée de fonds afin de développer ses activités en Afrique de l'Ouest.
Cet article Exclu : qui sont les « business angels » d’Afrimalin? est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.