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L’Allemagne, qui a accueilli plus d’un million de migrants depuis 2015, va accélérer les expulsions de demandeurs d’asile déboutés à travers une batterie de mesures adoptées jeudi sur fond de controverse concernant les renvois vers l’Afghanistan.

Excellent science and innovation require the talents of both women and men. But there are still too few female scientists occupying top positions in scientific decision-making.

According to She Figures 2015, a compilation of gender-disaggregated science statistics published by the European Commission, “men are more than two times as likely to choose engineering, manufacturing and construction” at degree level. The figures also lead the Commission to argue that “despite progress, the under‑representation of women continues to be a problem in all narrow fields of science and engineering, except life science”, with the case of computing also being problematic.

But efforts are under way to buck this trend.

Since 1998 the Commission has supported many actions through reports and project funding. The European Parliament has produced several recommendations similar to the one passed on 9 September 2015 on ‘women’s careers in science and universities, and glass ceilings encountered’. These actions have led to increased awareness across Europe, but much remains to be done.

“To compete globally, Europe must step up its game in science, technology, engineering and mathematics”

The aim of European Platform of Women Scientists (EPWS), an international non-profit organisation for female scientists in Europe and beyond, is to represent the interests of 12,000 women scientists at all stages of their careers, and to engage in discussions with national, European and international institutions.

To compete globally, Europe must step up its game in STEM subjects (science, technology, engineering and mathematics). Special action is needed to target teenagers before they choose their higher education discipline. The place of women in science is directly related to girls choosing to study these disciplines.

So the EPWS and its members are taking action. Several EPWS member associations in Europe are running original initiatives for young people, and especially for girls. Women scientists address both girls and boys in classes, but their testimonies hit home with girls, for whom the scientists can become role models.

In Portugal, Amonet members are introducing the experimental study of science and technology in pre-schools and primary education and even in the family. In the United Kingdom, the Women in Physics Group of the Institute of Physics has launched Physicists in Primary Schools, an initiative to interest children in physics, with demonstrations and hands-on activities. In France, the associations Femmes & Sciences, femmes et mathématiques and Femmes Ingénieurs are jointly acting as role models in classes.

But how can we improve the situation of women scientists overall?

First, women need to be given a voice in the EU research policy. To achieve this EPWS organises conferences and debates. Several EPWS members have been and are participants in or coordinators of EU gender-related projects, and the EPWS encourages its members to shape the EU research agenda.

“The world of science needs to become accessible for everyone – women and girls included”

Second, sex and gender analysis in research needs to be highlighted. There are recommendations at national and European levels but these might have not led to action. This integration of gender dimension in science and research requires dialogue between gender studies and science decision-makers, creating a link between knowledge and action.

Third, networking is crucial. The EPWS offers its member networks and individual members a channel for successful communication.

Last, information-sharing and public relations play important roles.  By being aware of good practices concerning women scientists in other EU countries, EPWS members can make suggestions to decision-makers in their home countries.

Through numerous practical actions and initiatives, the EPWS and its members are working for the improvement of the situation of women and girls in science. Initiatives such as the European Science Week and the United Nations International Day of Women and Girls in Science – observed annually on 11 February – are warmly welcomed.

Promoting gender equality, the understanding and integration of the gender dimension in science and research is essential so that the world of science becomes accessible for everyone – women and girls included.

IMAGE CREDIT: CC/Flickr – IFPRI

The post Breaking the glass ceiling for women and girls in science appeared first on Europe’s World.

VIDÉO. Devant un amphithéâtre bondé du Futuroscope, le candidat a largement critiqué ses adversaires, notamment "le macronisme light et branché".

Elles s’appellent Céline, Anke, Siv, Kirsztina, Pia, Marine. Elles ont entre 37 et 69 ans et sont le nouveau visage du populisme moderne. Ces femmes portent et défendent les valeurs de l’extrême droite en Europe. Elles se revendiquent proches du peuple, se veulent l’ultime défense d’une identité nationale trop longtemps malmenée. Soit le discours populiste tel qu’on l’entend habituellement… à ceci près que ces dernières années, le féminisme, jusqu’alors bien éloigné des combats menés par l’extrême droite, a fait son apparition sur l’échiquier et bouleverse notre grille de lecture.
L’extrême droite, intrinsèquement misogyne et sexiste de par ses mesures rétrogrades (tel que le déremboursement de l’avortement ou le salaire parental), a toujours constitué un mouvement peu enclin à promouvoir les droits des femmes. Entre l’utilisation délibérée des codes du genre et la récupération politique hypocrite du féminisme, les méthodes populistes ne manquent pas d’ingéniosité pour propager, à chaque fois différemment, toujours le même discours.

À chaque époque sa crise, à chaque crise son populisme.

Lorsque la société est remise en question par des changements qui la dépassent, l’extrême droite se pose inlassablement en remède unique. Ainsi, à chaque crise globale, le populisme produit une lecture simpliste de la situation et prescrit, quelles que soient l’époque et ses difficultés, un repli sur soi doublé d’un rejet de l’autre. L’état de crise fait la force des extrêmes. Ces mouvements peuvent alors mettre en place le clivage entre « nous » et « eux », « eux » étant les autres, les ennemis du « nous », la nation. En 2017, à la crainte de l’Islam et au rejet de la mondialisation, l’extrême droite propose la stigmatisation et le discours nationaliste, sur fond d’une réappropriation des valeurs républicaines et libérales. Un processus de communication rodé, écrasant d’omniprésence médiatique, travaille à la « dédiabolisation ». C’est ainsi que, par une inversion des concepts, les totalitarismes modernes deviennent l’islamisation et la globalisation ; par un glissement de langage, l’extrême droite se fait appeler « populisme ». Elle se veut sociale, proche du peuple et donc démocratiquement compatible. Alors que l’exclusion, tant nécessaire au fondement des doctrines populistes, est favorisée par l’amalgame sciemment utilisé entre « islam » et « islamisme ». Les musulmans sont aujourd’hui le nouvel ennemi du populisme, succédant aux juifs, aux communistes, ou encore aux francs-maçons. L’Union Européenne, elle aussi, est la cible de l’extrême droite. Ce qui dote le populisme d’un caractère protéiforme ; il s’adapte et évolue avec son temps pour être toujours plus incisif. D’ailleurs, il prospère en Europe et obtient même une nouvelle résonance auprès de ceux qui autrefois ne se laissaient pas séduire par son programme : les jeunes et les femmes.

Marine Le Pen en Meeting, bras ouverts, « au nom du peuple ». De l’utilité du « deuxième sexe »

Avec une remise en question permanente des acquis du droit des femmes, l’extrême droite constitue une menace réelle pour leurs libertés. En témoignent la ténacité féroce des opposants au droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) ou encore l’absence édifiante de mesures visant à instaurer une égalité salariale entre les hommes et les femmes. En France, le FN de Marine Le Pen propose le salaire parental pour laisser aux parents (et comprenez par-là : aux mères) la liberté de choisir entre « l’exercice d’une activité professionnelle et l’éducation de leurs enfants ». Le déremboursement de l’avortement est, quant à lui, soutenu par bon nombre de partis d’extrême droite ayant à leur tête des femmes.
Parmi ces figures de proue : Pia Kjaersgaard, présidente du Parti Populaire danois, Kirsztina Morvai, eurodéputée hongroise du parti « national-radical » Jobbik, Anke Van Dermeersch sénatrice belge au Vlaams Belang, la Norvégienne Siv Jensen, à la tête du Parti du progrès, Céline Amaudruz, présidente de l’UDC (l’Union Démocratique du Centre en Suisse), Marine Le Pen, présidente du Front National en France.
La mise au pouvoir de leaders féminins pose question. Quel est l’intérêt pour ces mouvements ultras nationalistes et idéologiquement misogynes d’avoir une femme à leur tête ? À quel prix ce choix du féminin est-il gagnant ? L’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen a débloqué le vote des femmes pour son parti en 2012. En effet, on les a vues prendre part au scrutin de l’extrême droite, propulsant sa présidente plus loin que n’avait été son père (Jean-Marie Le Pen) lors d’une élection présidentielle.
Si la démagogie est monnaie courante chez les hommes politiques d’extrême droite, elle est double lorsque cet homme politique est une femme. En plus d’embrasser les discours populistes xénophobes, ces dirigeantes usent de leur genre pour en travestir les objectifs principaux. Les femmes ne correspondent pas à l’image que l’on se fait de l’extrême droite et elles le savent. Elles surfent sur la notion stéréotypée que la société a de la femme et de la féminité en général. L’inconscient collectif comprend la sensibilité et la douceur comme étant des caractères proprement féminins. Associés aux partis d’extrême droite, souvent perçus comme violents et dangereux, ils brouillent les codes du populisme, allant jusqu’à faire passer ce dernier pour un mouvement libéral délesté de ces résidus totalitaires. C’est cette image adoucie qui génère un électorat nouveau, jeune et féminin. Les femmes, parce qu’elles sont considérées comme dotées d’une forte sensibilité selon la société patriarcale, sont plus à même de mener une politique sociale de proximité. En tant que mères, en tant qu’épouses, elles ont conscience des réalités de la vie quotidienne puisqu’elles font les courses, déposent les enfants à l’école, paient les factures. Cet argument aussi rassurant qu’il est pernicieux s’avère être payant.

Populisme rime avec féminisme ?

La démarche dans laquelle s’inscrit ce populisme moderne au féminin ne doit pas être comprise dans un simple but électoraliste. Ces dernières années, un courant ‘féministe’ souffle sur les partis populistes européens. Ainsi, le FPÖ (le Parti de la Liberté d’Autriche) partage une affiche de campagne sur laquelle une jeune femme, blonde et souriante, apparaît à côté du slogan « trop belle pour porter le voile ». En Belgique, Anke Van Dermeersch prête ses jambes à une autre affiche montrant cette fois-ci quelle est la longueur de jupe acceptable selon les musulmans, légendé « Liberté ou islam… ». L’amalgame islam/islamisme permet de présenter cette religion comme étant intolérante et menaçante, notamment envers les libertés des femmes.

A gauche, une échelle allant de « conforme à la charia » à « lapidation », à droite, le slogan « trop belle pour porter le voile »

Soudainement, ces libertés doivent être protégées de l’islamisation. Le populisme se veut le défenseur des femmes contre le spectre islamiste qui les menace. Derrière ce positionnement se cachent la réappropriation du combat féministe et son instrumentalisation politique à des fins d’exclusion. Embrasser le féminisme pour partir en croisade contre le voile ou le burkini n’est pas se battre pour les femmes, mais bien contre les musulmans. Dénoncer les viols de Cologne n’est pas défendre les femmes et leurs droits, comme si en est arrogé Marine Le Pen, mais bien stigmatiser les immigrés (en rendant invisibles les 84 000 viols ou tentatives de viol commis chaque année en France). Aujourd’hui, le féminisme permet aux partis d’extrême droite de légitimer leur programme anti-immigration et anti-islam. Derrière la volonté trompeuse de protéger, on retrouve l’éternel objectif d’exclure. Avec le populisme, il est question d’une opposition systématique au multiculturalisme et à l’islam en général. Par conséquent, les contours de l’islamisme politique, celui contre lequel il faut lutter et qui s’avère clairement opposé aux droits des femmes et à l’idée de parité, sont rendus flous par le rapprochement malhonnête des concepts. Ce discours féministe est le fruit d’une récupération politique populiste qui débouche sur un féminisme à la carte où il n’est jamais question des autres dimensions du combat pour l’égalité entre les hommes et les femmes (tel que : le harcèlement sexuel, le harcèlement de rue, la domination masculine, l’objectivation et la sexualisation du corps de la femme, l’égalité salariale, etc.). Son utilisation sert purement à des fins politiques racistes et xénophobes. Il en va du même processus lorsqu’il est question du concept de laïcité.

Les mouvements populistes d’extrême droite européens s’inscrivent dans une tradition chrétienne. Leur engagement féministe ne vaut qu’orienté vers la menace islamiste. Il ne sera jamais question d’une prise de position contre des catholiques sexistes ou encore homophobes qui bafouent les libertés. Le détournement du féminisme auquel on assiste actuellement montre qu’en matière de droits des femmes, les avancées ne peuvent se faire sans un processus de sécularisation effectif. Afin de mettre en lumière toutes les impostures à son sujet, Caroline Fourest souligne l’importance de parler de « féminisme laïque ». En opposition aux nombreuses récupérations politiques et religieuses tel que les féminismes populistes ou certains féminismes islamiques. Si l’ambition la plus stricte du féminisme est d’instaurer une égalité « politique, économique, culturelle, sociale et juridique » réelle entre les hommes et les femmes, alors ce dernier est à vocation universaliste. Par conséquent, la dimension laïque doit être son fer-de-lance.

Sophie Mincke

Pour en savoir plus et principales sources d’information :

Le populisme au féminin, documentaire de Marco La Via ; https://www.youtube.com/watch?v=jY7VoXaEnC0
Interview Caroline Fourest ; http://www.cairn.info/revue-herodote-2010-1-page-26.html
Interview Nonna Mayer ; http://www.touteleurope.eu/actualite/nonna-mayer-les-partis-de-droite-extreme-sont-encore-les-derniers-a-vendre-du-reve.html
Le Monde : K. Morvai, star de l’extrême droite hongroise, http://www.lemonde.fr/europe/article/2008/12/09/krisztina-morvai-nouvelle-star-de-l-extreme-droite-hongroise_1128715_3214.html

Classé dans:#LaReplique, Egalité entre hommes et femmes, Face au populisme Tagged: Europe, extrême droite, féminisme, femme, islam, Islamophobie, politique, populisme

Oroszország törvényileg szabályozná az iskolások öltözködési normáit, beleértve a különböző  vallásokhoz köthető jelképek, ruhadarabok viselését. Az erről szóló javaslatot az államfő mellett működő emberi jogok bizottsága készíti elő.

A kérdés azután vált aktuálissá, hogy nyilvános vita bontakozott ki a hidzsáb viseléséről. Januárban Olga Vasziljeva oktatási miniszter arról nyilatkozott – miután egy mordvinföldi tatárok lakta falu iskolájában betiltották az iszlám fejlendő viselését – hogy a diákok nem hangsúlyozhatják külsőségekben vallásosságukat. Ezt élesen bírálta Ramzan Kadirov csecsen vezető, az általa irányított régióban ugyanis mindennapos a hidzsáb viselése. Kadirov pártján felszólalt a legnagyobb oroszországi muszlim közösség, a tatárok vallási vezetője is.

Jelenleg a diákok öltözködését az oktatási intézmények határozzák meg, annak azonban meg kell felelniük a regionális szabályozásnak.

Korábban a Legfelsőbb Bíróság már kétszeri is foglalkozott a kérdéssel és jóváhagyta a Mordvinföldi és Sztavropoli területek azon döntését, melyek betiltják a hidzsáb viselését.

Bund und Länder haben sich auf eine beschleunigte Abschiebung von Flüchtlingen geeinigt. Beim Thema der sicheren Herkunftsstaaten gehen die Ansichten aber noch auseinander.

Die jüngsten Äußerungen von Finanzminister Wolfgang Schäuble zu Griechenland kommen beim Fraktionschef der Sozialisten im EU-Parlament, Gianni Pittella, nicht gut an. Warum, fragt Euractivs Medienpartner "Der Tagesspiegel".

Violences domestiques en Serbie : un week-end sanglant
Bulgarie : lancement d'un programme contre les violences domestiques
Bosnie-Herzégovine : les violences conjugales face au mur institutionnel
Violences domestiques : peu de progrès dans une Croatie patriarcale
Violences domestiques au Kosovo : « ne pas déshonorer la famille »
Violences et discriminations : « les femmes de Roumanie n'osent pas rêver »
Violences contre les femmes en Serbie : le 18 mai, jour du souvenir

/ Peščanik, Femmes violences, Serbie, Société

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Au Monténégro, l'université est devenue une entreprise comme les autres
Monténégro : vers un dépeçage en règle de l'université publique
Monténégro : les étudiants descendent massivement dans la rue
Monténégro : il est plus que temps de réformer l'université
Le Kosovo possède l'un des pires systèmes éducatifs au monde
Éducation : la Turquie sanctionne la Macédoine

/ Radio Slobodna Evropa, Monténégro, Culture et éducation

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Die meisten EU-Länder haben ihren Mindestlohn im letzten Jahr erhöht, um gegen Sozialdumping vorzugehen, so das Ergebnis einer aktuelle Studie. EurActiv Brüssel berichtet.

February 09, 2017 (WAU) – Two suspects have been arrested in connection with last week's murder of the first lady's driver in South Sudan's town of Wau, the municipal council mayor disclosed.

Mel Aleu Goc said state authorities zeroed on the two suspects after investigations found out that they played roles in the killing.

“One of them is a young woman, who is accused of coordinating the killing of Arabi Ramadan through inviting the guards for an evening meal in her house,” said Goc.

The suspect woman, according to the mayor, admitted that she invited the guard and later informed the killers to execute the act.

The late Ramadan was found dead in the house of the woman at Jazeera residential area in Wau town on Wednesday, last week.

“The security agents have so far arrested two people, including the woman who invited the presidential guard into her house on Wednesday evening where he was killed and now the two which are still at large are being perused,” said mayor.

State authorities condemned the murder, calling for thorough investigations.

(ST)

Roumanie : sur les marchés de Bucarest, la honte du « cirque politique »
Roumanie : la mobilisation s'élargit après le passage en force du gouvernement
Roumanie : le coup de force du gouvernement et l'extension de la révolte
Roumanie : grande manif anti-corruption, le Président Iohannis livre bataille contre le gouvernement
Roumanie : comment faire passer en douce une loi d'amnistie pour protéger les politiciens corrompus
Roumanie : l'épais casier judiciaire du « gouvernement des casseroles »
Blog • Roumanie : au sortir des législatives, le « système » contre-attaque (par Vincent Henry)

/ Courrier des Balkans, Roumanie, Roumanie corruption, Gratuit, Roumanie vote, Politique intérieure, Défense, police et justice, Société

February 9, 2017 (EL-FASHER) - European Union envoys to Sudan Thursday discussed with the North Darfur officials the state government post-conflict plans to collect arms and recovery strategies.

The European envoys are visiting Darfur to assess the efforts of the Sudanese authorities to deal with the post-conflict environment which is characterized by insecurity and lawlessness, badly functioning economies, and a lack of social services and social cohesion.

Following a meeting with the visiting EU delegation, North Darfur Deputy Governor Mohamed Birama told reporters that the delegation of 16 European diplomats asked them about disarmament issues.

"We conveyed to them that the issue has received a considerable attention from the state government and the Sudanese presidency, and that the collection of arms is implemented in accordance with a specific strategic plan designed by the central government," he said.

"We explained to them that the purpose of the visit to the state of the Vice President of the Republic these days, is to deliver a strong message to citizens who possess weapons without a license that they have to prepare themselves to arms-collection campaigns and as a state we are ready to implement it. "

Last April, President Omer al-Bashir, denounced the tribal fighting in Darfur and announced the formation of a national body to collect illegal arms in Darfur region, pointing that the region now is pacified and rebel groups are defeated.

The EU diplomats will also visit West Darfur to measure the security situation and discuss the challenges facing the development of the region.

The EU considers to participate in the development and recovery programmes of the region which has witnessed a 14 year armed conflict as it pledged in the international donor meeting for Darfur in April 2013.

The French Ambassador, Bruno Aubert told Sudan Tribune the meeting discussed development issues but also the peace process and stability in the region, adding that the EU relations with the Sudan are at a turning point and entered a new phase characterized by the dialogue.

The deputy governor said the EU diplomats confirmed their readiness contribute to the development and infrastructure programmes in the state and to support the voluntary return programme of displaced people to their villages.

The visiting delegation also paid a visit to the headquarters of Darfur hybrid peacekeeping operation, UNAMID, where they were briefed about the Mission's efforts to protect civilians and support humanitarian operations in the region.

(ST)

...Jean-Luc Mélenchon Ce serait une énorme surprise si le candidat de la France insoumise était élu président de la République, tant les conditions requises semblent difficiles à réunir. Seulement voilà,...

Scène surréaliste jeudi au Parlement sud-africain : une bagarre a éclaté avant le discours à la Nation du président Jacob Zuma. Les députés d'opposition demandent sa démission après sa condamnation pour violation de la Constitution.

Seit Anfang Februar ist der ehemalige Öl-Manager Rex Tillerson neuer US-Außenminister. EU-Außenbeauftragte Federica Mogherini hat Trumps Topdiplomaten in Washington getroffen.

Palpitant, décoiffant, renversant ! Le feuilleton de cette présidentielle rebondit chaque semaine sur un épisode tellement improbable qu’un scénariste aurait à peine osé l’écrire. Disparus des écrans,...