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Diplomacy & Defense Think Tank News

Wie nahe ist die Kirche noch bei den Menschen?

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 06/11/2015 - 00:00
Mit dieser Frage beschäftigten sich die diesjährigen Medientage des Cartellverbandes der katholischen deutschen Studentenverbindungen mit der Hanns-Seidel-Stiftung im Bildungszentrum Kloster Banz. Zwei Ausgangspunkte für die Referate und Diskussionen waren das zweite Vaticanum und die Aktivitäten des Papstes Franziskus I.

A Civilian Mission in a Warzone

European Peace Institute / News - Thu, 05/11/2015 - 20:27

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Ambassadors, military advisors, and members of the Organization for Security and Cooperation in Europe (OSCE) secretariat discussed the future of peace operations at an IPI Vienna roundtable. The November 5th informal brainstorming session drew thirty participants and focused on peace operations in the OSCE area.

Arthur Boutellis, Director of IPI’s Center for Peace Operations, gave an overview of the recent UN report of the High-Level Independent Panel on UN Peace Operations (HIPPO). He emphasized four main points from the report: the primacy of politics; the introduction of the term “peace operations” that covers a wide spectrum of tools; the importance of partnership, for example with regional arrangements; and the emphasis on a field-focused/people-centered approach.

The Chief Monitor of the OSCE Special Monitoring Mission (SMM) to Ukraine, Ambassador Ertuğrul Apakan, shared his impression of the evolution of the SMM under difficult and constantly changing conditions. He stressed that the SMM’s most important task is to be present. He attributed the mission’s success to its ability to adapt – without changing its mandate – and to be impartial and objective. He highlighted the challenges of being “a civilian mission in a war zone.” It was pointed out that the precedent of civilian “monitors” could be copied in other parts of the world, like Colombia.

IPI Vice President Walter Kemp presented an overview of the OSCE’s field activities throughout the conflict cycle, aligning key UN and OSCE deployment concepts, from preventive diplomacy through peacemaking and peacekeeping to post-conflict peacebuilding, under the unifying umbrella of “peace operations.” It was noted that while the OSCE has a more than twenty-year tradition of conflict prevention, it has also engaged in crisis management in volatile environments (including Albania in 1997 and Kyrgyzstan in 2010), as well as monitoring and stabilization operations (like in Kosovo in 1999 and eastern Ukraine today). The OSCE’s policing work was also highlighted.

Several participants spoke of the “primacy of politics,” a point made in the HIPPO report as well as the report of the Panel of Eminent Persons on lessons learned from the OSCE’s engagement in Ukraine. Furthermore it was stressed that “the mandate must be clear and achievable and linked to a political strategy.”

One suggestion for shrinking the distance between the political and operational leadership of OSCE field activities was to appoint Special Representatives of the OSCE Secretary-General rather than Personal Representatives of the Chairmanship or Heads of Mission.

Among the issues raised was the challenge of civilian missions carrying out military tasks. It was noted that people with military skills are often integrated into civilian missions; or services like medevac, de-mining, or airlift are increasingly provided by private contractors. Several speakers emphasized the need for civilian leadership of such peace operations.

In the discussion, participants underlined the need for greater planning capacity in the OSCE Secretariat, as well as sufficient resources and administrative procedures to quickly launch field activities. The challenges of force generation, command and control, and overcoming the lack of a legal personality for the OSCE were also raised.

There was a debate about whether the OSCE was well placed and well equipped to carry out peacekeeping operations. It was recalled that the OSCE has a mandate for peacekeeping dating back to the Helsinki Document of 1992, and a high-level planning group has been preparing different scenarios for a peace operation in Nagorno-Karabakh for two decades. While some said the OSCE should never have “boots on the ground,” others suggested that this option should not be taken off the table.

The HIPPO report says that the UN “should embrace a future role of not only working alongside regional organizations but also enabling them to share the burden in accordance with the UN Charter.” Participants discussed how to strengthen the OSCE’s profile as a regional arrangement under Chapter VIII of the UN Charter.

As part of its Innovative Peace Incubator (IPI+) project, funded by Switzerland, IPI is supporting the ongoing internal OSCE review process on Peace Operations through its research and convening capacity.

Le nucléaire, solution pour la lutte contre le changement climatique ?

IRIS - Thu, 05/11/2015 - 17:11

Lorsque l’on s’intéresse à la question du nucléaire, les problématiques environnementales surgissent immédiatement. Avant même de mentionner la technologie, la compétitivité économique ou les aspects régaliens de l’énergie atomique, l’environnement est la première question qui apparait quand est prononcé le mot « nucléaire ». Les détracteurs de l’énergie atomique pointent invariablement la gestion des déchets issus de la production électrique, signe pour eux du danger structurel lié à la fission de l’atome sur un plan énergétique. Par contre, peu de voix s’élèvent pour s’interroger sur les bénéfices éventuels que peut apporter le nucléaire dans l’optique de la lutte contre le changement climatique. Le sujet pourrait presque apparaitre tabou. Heureusement la COP 21 qui se tient cette année à Paris offre l’opportunité de s’y intéresser en profondeur.

Une solution pertinente ?

Il appartient ainsi de poser un regard dépassionné et critique sur la question des émissions de gaz à effet de serre dans le secteur de l’énergie pour comprendre si, oui ou non, le nucléaire est une solution pertinente pour équilibrer la délicate balance énergétique des pays qui regroupe accès à l’énergie, sécurité énergétique et lutte contre le changement climatique. Des études ont ainsi été menées sur la question des émissions de gaz à effet de serre – majoritairement de CO2 dans ce cas – du secteur électrique.

La plupart des travaux s’intéressent à l’ensemble du cycle de vie des installations de production d’électricité nucléaire, prenant en compte la totalité de la chaine de valeur allant de l’extraction d’uranium au retraitement des déchets en passant par la construction et l’opération des centrales. Le rapport The Role of Nuclear Energy in a Low Carbon Energy Future de l’OCDE paru en 2012, synthétise les résultats de nombreux travaux scientifiques pour aboutir à la conclusion suivante : le nucléaire est, en moyenne, une énergie particulièrement peu émettrice de CO2. Alors que le charbon, première source d’énergie de l’OCDE et, de fait, de nombreux pays européens, émet en moyenne 888 tonnes de CO2 par GWh produit et le gaz naturel 499 t/GWh, le nucléaire s’établit à 29 t/GWh soit à peu près l’équivalent des énergies les moins émettrices, l’hydraulique et l’éolien (env. 26 t/GWh).

Les émissions en amont du process

Néanmoins la production d’électricité elle-même n’émet quasiment pas de CO2 puisque la quasi-totalité des émissions est due à l’amont du cycle (extraction de l’uranium) et à la construction des installations. Cela signifie donc pour notre pays qu’il est particulièrement vertueux, au niveau de son secteur électrique dans l’optique de la lutte contre le changement climatique. En effet si l’on s’intéresse aux émissions de CO2 de la France, tous secteurs confondus, celles-ci s’établissent à 370 000 kt en 2014 (données EDGAR ; Commission européenne) à comparer avec les 840 000 de l’Allemagne, les 5 300 000 des Etats-Unis et les plus de 10 millions de la Chine. Au niveau des émissions par habitant, la France atteint les 5,7 tonnes, à comparer là aussi avec les 10,2 tonnes pour l’Allemagne, 8,5 tonnes pour la Pologne, 7,5 tonnes pour le Royaume-Uni ou 6,4 tonnes pour l’Italie. En comparant la France aux autres grands pays européens, par l’économie ou la population, il apparait que notre pays est bien plus sobre en carbone que ses voisins.

Augmenter la part du nucléaire?

Cette sobriété, comparativement au niveau de développement et d’industrialisation de notre pays, est avant tout due à la faiblesse des émissions du secteur de l’énergie. En effet l’électricité produite en France est très majoritairement – environ aux trois quarts – issue du nucléaire. Les choix politiques opérés dans les années 70 à la suite du premier choc pétrolier, ont eu non seulement un effet majeur sur les approvisionnements énergétiques français ainsi que sur le développement d’une filière d’excellence mais aussi un impact non-négligeable sur la lutte contre le changement climatique.
Le nucléaire est ainsi une énergie particulièrement importante au regard des objectifs climatiques fixés par le GIEC.

De nombreux rapports – le scénario 450 de l’Agence Internationale de l’Energie par exemple – pointent ainsi la nécessité d’augmenter résolument la part du nucléaire dans le mix énergétique mondial, laquelle n’est pour le moment que de 6% environ. Le nucléaire possède l’avantage de permettre de disposer d’une puissance installée importante pour chaque réacteur, tout en émettant peu de gaz à effet de serre. Toutefois c’est une énergie qui nécessite une maitrise technologique certaine et une attention toute particulière aux aspects de sureté et de sécurité. Là encore notre pays, en tant que leader technologique, dispose d’atouts indéniables pour envisager un futur sobre en carbone, pour la France et le monde.

Zwischen Aufbruch und Migration: Entwicklungszusammenarbeit in Afrika

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 05/11/2015 - 14:15
Das vierte Entwicklungspolitische Forum am 5. November 2015 war gut besucht. Schließlich ging es um die hochaktuellen Fragen, was die Ursachen für die Flüchtlingsströme sind und wie Entwicklungszusammenarbeit zur Lösung der Probleme vor Ort beitragen kann.

Der globale Regelrahmen für Dekarbonisierung: 3x3 Ansatzpunkte für die Reform der Global Economic Governance

Die Begrenzung des Klimawandels und das Einhalten der 2°C-Leitplanke erfordert einen schnellen und radikalen Wandel in Politik, Wirtschaft und Gesellschaft. Der weltweite Ausstoß aller Treibhausgase muss bis 2100 auf null sinken. Noch schneller muss es beim Kohlenstoffdioxid (CO2) gehen, das vor allem bei der Verbrennung fossiler Energieträger entsteht. Die globalen CO2-Emissionen müssen laut Weltklimarat (IPCC) spätestens um das Jahr 2070 bei null liegen. Die Weltwirtschaft muss bis dahin also vollständig „dekarbonisiert“ sein. Die nachhaltigen Entwicklungsziele (SDGs) der Agenda 2030 unterstreichen die Bedeutung dieses Vorhabens. Für die Dekarbonisierung unserer Wirtschaftsweise ist nicht nur das globale Klimaregime essenziell, sondern auch das Rahmenwerk für die Weltwirtschaft, also die Global Economic Governance. Aktuell gibt es neben Fortschritten im Kontext der UN-Klimarahmenkonvention (UNFCCC) und dem grundlegenden Bekenntnis aller Staaten zur Bekämpfung des Klimawandels im Rahmen der Agenda 2030 zahlreiche Initiativen, die Grund für Optimismus bieten nicht zuletzt das Bekenntnis der G7-Staaten auf dem Gipfel in Elmau zu einer Dekarbonisierung der Weltwirtschaft und mannigfaltige climate actions von Akteuren wie Städten, Kirchen und Unternehmen. Doch für eine grundlegende Transformation müssen weitreichendere Reformen der globalen wirtschaftlichen Rahmenbedingungen angestoßen werden. Wir schlagen deshalb 3x3 Ansatzpunkte vor: 3 Handlungsfelder mit jeweils 3 Stellschrauben. Besonders wichtig für die Dekarbonisierung der Weltwirtschaft sind (A) die richtige Preissetzung, (B) ein geeigneter Regelrahmen für internationalen Handel und Investitionen sowie (C) die Gestaltung der Finanzmärkte. (A)    Für die richtige Preissetzung sollten (i) ein globaler Kohlenstoffpreis eingeführt, (ii) Subventionen für fossile Brennstoffe weiter abgebaut und (iii) Zahlungen für Ökosystem-Dienstleistungen ausgebaut werden. (B)  Zu einem geeigneten Regelrahmen für internationalen Handel und Investitionen gehören (i) klimafreundliche multilaterale Handelsregeln im Rahmen der Welthandelsorganisation (WTO), (ii) das Vorantreiben des plurilateralen Abkommens zur Liberalisierung von Umweltgütern und (iii) ein stärkerer Fokus auf das right to regulate zugunsten von Umweltbelangen in bilateralen und regionalen Freihandels- und Investitionsabkommen. (C)  Im Bereich der Global Financial Governance gibt es neben der Einrichtung globaler Fonds wie dem Green Climate Fund (GCF) insbesondere drei Ansatzpunkte: (i) Finanzmarktregulierung, (ii) grüne Leitlinien für Investitionsentscheidungen und (iii) Garantieinstrumente für grüne Investitionen. Bei allen Reformmaßnahmen sollten potenzielle Win-Win-Konstellationen identifiziert werden, die möglichst vielen Beteiligten Vorteile bringen. Aber auch Zielkonflikte und die politische Ökonomie sollten in den Blick genommen werden. Dazu gehört die Frage, welche Akteure die erforderlichen Maßnahmen befürworten, wer warum Widerstand leistet und wie coalitions of change gebildet bzw. gestärkt werden können.

Ouverture ce matin du 32e séminaire international sur la sécurité globale (IWGS) :

IHEDN - Thu, 05/11/2015 - 11:40

L’IHEDN est une nouvelle fois partenaire du séminaire international sur la sécurité globale (IWGS) dont l’ouverture de la 32e édition ce matin à Paris,

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Lille accueille la 202e session en région :

IHEDN - Thu, 05/11/2015 - 11:35

Le général de corps d’armée Bernard de COURRÈGES  d’USTOU, directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et le préfet Jean-François CORDET, préfet de la Région Nord ...

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Debatte zur Zukunft der Bundeswehr: Die Zukunft ist europäisch

SWP - Thu, 05/11/2015 - 11:18
Es mangelt an der richtigen Ausrüstung und an Geld, vor allem aber an Absprache unter den Partnern

Rencontre entre les Présidents chinois et taïwanais : quels enjeux ?

IRIS - Thu, 05/11/2015 - 10:10

Une rencontre entre les Présidents Xi Jingping et Ma Ying-Jeou aura lieu le 7 novembre à Singapour. C’est un événement exceptionnel, annoncé au dernier moment. Une rencontre d’un tel niveau ne s’était jamais produite. Depuis 1949, la Chine de Pékin et celle de Taipei se sont séparées et opposées dans une compétition de légitimité où la première a réussi à s’installer dans la place du plus fort.

En 66 ans, on est passé du conflit armé à la guerre froide, puis à un dialogue informel et des échanges pragmatiques. La position de Pékin n’a jamais changé : l’île doit revenir dans le giron de la République populaire. Toute tentative d’accéder à l’indépendance et même la tenue d’un référendum interne à Taïwan sur le sujet serait un casus belli qui justifierait une reconquête militaire de l’île. A contrario, la position taïwanaise est beaucoup plus évolutive. La petite « République de Chine », longtemps gouvernée de manière dictatoriale par Tchang Kaishek, puis son fils, a beaucoup évolué depuis l’abolition de la loi martiale (15 juillet 1987). Elle est devenue une vraie démocratie où l’opinion publique s’exprime fortement et très librement. Alors que toutes les relations avec le continent ont longtemps été bannies, elles sont maintenant normales et faciles, au point que des dizaines de milliers d’entrepreneurs taïwanais passent désormais leur vie à cheval entre les deux rives. On voit aussi de nombreux touristes venus du continent, même si ceux-ci sont désormais bien plus des « étrangers », apporteurs de devises, que des « cousins ». Politiquement, des contacts informels – de plus en plus haut niveau – ont été pris entre les deux rives.

A Taïwan, deux grands partis se disputent le pouvoir. D’un côté, le Kuo Ming Tang (KMT), qui fut longtemps parti unique, prône toujours la réunification (« un pays deux systèmes »). De l’autre, le Parti démocratique populaire (DPP) s’est construit sur une base indépendantiste. A l’heure actuelle, ce qui caractérise très majoritairement l’opinion publique taïwanaise est la volonté de maintenir le statu quo actuel, qui permet de faire des affaires et de vivre en paix avec le continent tout en ne subissant pas le régime de Pékin. La candidate du DPP, Tsai Yingwen, incarne bien cette pensée en prônant, plutôt que l’indépendance, un maintien du statu quo et un refus de toute concession qui pourrait affaiblir cette position.

Il faut donc replacer cette « rencontre historique » dans son vrai contexte, qui est celui d’une campagne électorale. Depuis que Taïwan est une démocratie, le positionnement vis-à-vis de Pékin est devenu un enjeu majeur de tous les scrutins nationaux. Sachant que la Chine continentale est toujours tentée de s’ingérer dans ce débat. Elle l’a fait de manière outrancière en 1996, en tirant des missiles à proximité de l’île. Cela avait été très contre-productif et avait favorisé l’élection du candidat qu’elle voulait faire battre. Beaucoup plus discrète par la suite, Pékin se réveille cette année, en voyant le KMT en très mauvaise position et tente de favoriser le candidat « réunificateur » par le biais d’une rencontre inédite. La première candidate choisie par le KMT, Hung Hsiu-chu, avait été l’objet d’un consensus par défaut, aucun des leaders du « vieux parti » n’ayant osé prendre le risque d’une défaite annoncée. Hung s’était rapidement disqualifiée en tenant un discours radical et très dépassé, préalable à une réunification complète. Elle a été débarquée par son parti, qui a choisi comme nouveau candidat à la présidentielle un de ses éléphants, Eric Chu (Secrétaire général du KMT, Maire du « Grand Taipei » et qui a déjà rencontré le Président Xi) qui avait pourtant juré qu’il ne se présenterait jamais. Il importe donc, dans une tentative de dernière minute, de présenter Chu comme un « modéré ». D’où le communiqué du cabinet présidentiel qui présente la rencontre Ma-Xi comme permettant de « préserver la paix et de maintenir le statu quo ». Cet affichage de changement de cap en faveur du maintien du statu quo, systématiquement rejeté par le KMT depuis toujours, est ce que semble désirer la très grande majorité de la population de l’île. On peut aussi facilement imaginer que Pékin, qui craint avant tout le succès de la candidate « indépendantiste » Tsai Yingwen, fait tout pour aider le candidat « réunificateur modéré» du KMT. Et pourrait même être à l’initiative de cette surprenante rencontre, immédiatement dénoncée comme une manipulation électorale par le DPP.

La légitimité de l’actuel Président taïwanais étant au plus bas, on imagine mal que la rencontre du 7 septembre, qui sera vue par beaucoup de ses concitoyens comme un renoncement de plus de la part du KMT, puisse aboutir à des résultats concrets. Un communiqué de la Présidence taïwanaise a même explicitement précisé qu’il n’y aurait ni accord, ni communiqué commun et que Ma ferait une conférence de presse pour expliquer sa position. Il sera par contre intéressant d’observer l’exploitation qui en sera faite -ou non- par Pékin et, éventuellement, par Eric Chu.

Healing or Harming? United Nations Peacekeeping and Health

European Peace Institute / News - Wed, 04/11/2015 - 20:38

On November 12th, IPI will host a policy forum event focusing on the complex relationship between UN peacekeeping and health, examining challenges and opportunities in facilitating access for humanitarian aid agencies and delivering health assistance directly.

Click here for the live webcast beginning at 1:15pm EST>>

As part of the Providing for Peacekeeping series, IPI recently published a report by Sara E. Davies and Simon Rushton titled “Healing or Harming? United Nations Peacekeeping and Health.”

The presentations will also focus on health threats UN peacekeeping can present to the host population, as well as health risks UN peacekeepers in challenging environments often face.

The policy forum will bring together specialists from within the United Nations, the Secretariat, member states, and civil society to discuss some of the issues raised and the recommendations made by the authors. The purpose is to hold a discussion on the responsibilities of UN peacekeepers with regard to relevant agencies, the host state, humanitarian organizations, and the civilian population in the provision of humanitarian and health assistance.

Le rugby, en voie de « footballisation » ?

IRIS - Wed, 04/11/2015 - 16:52

Quel bilan peut-on dresser de cette Coupe du monde de rugby ?
On peut dresser un bilan de cette Coupe du monde à travers deux angles : d’une part, l’aspect purement organisationnel et d’autre part, l’analyse du résultat.
Concernant l’aspect organisationnel, il est clair que cette 8ème édition est un indéniable succès. Parvenant à réunir 2,5 millions de spectateurs, avec une moyenne de 51 000 par match (soit l’une des plus importantes depuis le début de l’histoire de la compétition), l’Angleterre (et le Pays de Galles) a également connu un succès touristique important avec la présence sur son sol d’environ 460 000 visiteurs étrangers. A titre de comparaison, lors de la Coupe du monde organisée en France en 2007, le nombre de visiteurs avait été estimé à 350 000. La comparaison avec la Coupe du monde de 2011 n’est, quant à elle, pas significative, compte tenu de son organisation en Nouvelle-Zélande (distance, prix élevés des billets d’avions, etc). En outre, cette coupe du monde est aussi positive sur le plan économique puisque, selon certaines études, on estime ainsi qu’’1,4 milliards d’euros seront injectés dans l’économie britannique.
Concernant l’analyse du résultat, il ne s’agit pas de s’intéresser à l’aspect purement sportif, mais plutôt analyser les résultats dans une globalité. Fait inédit depuis 1987, on assiste à un triomphe incontestable des nations du Sud (Afrique du Sud, Nouvelle-Zélande, Australie et Argentine), face aux nations du Nord, comme peuvent en témoigner les quatre matchs de quart de finale. Une fois ce constat fait, doivent se poser des questions essentielles : comment expliquer ce succès de l’Hémisphère Sud, et donc, en creux, cette déroute de l’Hémisphère nord ? Plus précisément, cela met en lumière un paradoxe : comment expliquer que la France soit considérée comme l’un des meilleurs championnats du monde, attirer autant d’excellents joueurs, bénéficier d’un système de formation reconnu et dans le même temps, ne pas arriver à s’imposer sur la scène internationale ? L’exemple de l’Angleterre est identique. Un travail de fond doit donc être mis en place, avec la nécessité d’une réforme et d’une prise de conscience à la fois au niveau national et européen. Au niveau du Tournoi des Six Nations, considéré comme l’un des plus grands de la scène rugbystique, les six nations qui s’affrontent, censés incarner un haut niveau de rugby, sont incapables de s’imposer face à des équipes du Sud.
D’autre part, certains commentateurs critiquaient le manque de suspense au cours de cette compétition. Si, effectivement, le résultat final confirme les prédictions, il serait inopportun d’ignorer la performance de certaines équipes. Considérée comme demi-finaliste surprise, l’Argentine est pourtant une nation importante du rugby depuis déjà plusieurs années. Participante à toutes les Coupes du Monde, elle s’est distinguée en quart de finale en 1999 et en demi-finale en 2007. Cela illustre une culture du rugby prononcée, avec des centres de formation performants et un accent mis par la Fédération du rugby argentine sur les performances à l’international. C’est dans ce sens que l’Argentine a rejoint le tournoi des Tri-nations (devenu dès lors le Rugby Championship). Cet effort pour apparaitre sur la scène internationale du rugby est comparable avec le Japon. Tombeur surprises de l’Afrique du Sud dès son premier match, il a surpris le monde du rugby par la qualité de son jeu. Cela n’a pourtant rien d’étonnant compte tenu de leur préparation en amont de cette compétition, de la qualité de leur championnat et des investissements financiers et personnels. Dans cette optique, c’est l’archipel nippon qui organisera la prochaine Coupe du monde en 2019, symbole de la volonté d’imposer le rugby japonais sur la scène mondiale.

L’émergence du rugby sur la scène médiatique est-elle le signe d’une plus grande internationalisation ?
La mondialisation du rugby est en effet de plus en plus importante. Il y a une volonté manifeste d’ouvrir le rugby à travers notamment l’organisation de nouvelles compétitions comme le rugby à 7 au cours des prochains Jeux olympiques, par la valorisation et la diffusion du rugby féminin mais aussi d’un point du vue géographique avec l’accueil de la prochaine Coupe du monde par le Japon en 2019. Cette démarche a été voulue par Bernard Lapasset, président de World Rugby (anciennement appelé International Rugby Board) qui s’inscrit dans une logique de démocratisation du rugby. Sa volonté était en effet de ne pas cantonner ce sport dans l’hémisphère sud entre les quatre nations principales (et les Tonga, Fidji et Samoa), et entre les six nations de l’hémisphère nord, mais au contraire, d’ouvrir le rugby à d’autres pays désireux de prendre part à l’organisation d’évènements. Toutefois, s’il existe une volonté de sortir le rugby des pays dits « classiques », on reste toujours dans un univers assez confidentiel où seules quelques nations sont capables de remporter la Coupe du monde (4 pour l’instant, en l’occurrence). Certains pays comme la Roumanie, la Géorgie, la Namibie ou l’Uruguay sont certes présents mais, en dépit du bon jeu proposé, ont très peu de chance de pouvoir rivaliser (en raison de l’absence de moyen, de l’amateurisme du sport, du manque d’infrastructure mais aussi de volonté « politique »).
D’autre part, cette émergence du rugby peut aussi s’expliquer par sa capacité à donner, ou à se donner, une image positive, axée sur l’entre-aide, l’esprit d’équipe, la combativité, le dépassement de soi. Qualités que l’on peut observer dans les publicités des groupes partenaires, et qui sont systématiquement mises en avant. Il favorise ainsi une popularité grandissante. Cela a pu expliquer à la fois la médiatisation de ce sport, universel et parlant au plus grand nombre, et développer son internationalisation.
En dépit de l’émergence du rugby sur cette scène médiatique internationale, de nombreux défis devront être relevés au cours des prochaines années. On parle souvent d’un risque de « footballisation » du rugby. Pour continuer à se développer, le rugby va devoir apprendre à ne pas tomber dans ce travers.

ICM Public Consultation on Women, Peace & Security

European Peace Institute / News - Wed, 04/11/2015 - 16:32

On November 4th, the Independent Commission on Multilateralism (ICM) hosted its first Public Consultation focusing on the findings and recommendations of the Women, Peace, And Security Discussion Paper, and providing an opportunity to reflect on the recent fifteenth anniversary of UN Security Council Resolution 1325.

Click here to view the event video on YouTube>>

Advancing the women, peace, and security agenda may require a fundamental rethinking of the traditional approach to peace and security in the multilateral system. There is compelling evidence that women’s security and gender equality in society are associated with broader peace and stability in states. As such, the credibility of the multilateral system itself depends on progress in this area—which may be achieved through a needed shift from state security to human security. This is a central argument in the ICM Discussion Paper on Women, Peace, and Security.

A link to the full ICM paper, executive summary, and comments section can be found here on the ICM website. Following brief remarks by the discussants below, this event was open for questions and feedback from diverse participants, serving as an input to the ICM’s ongoing work in this area.

Discussants:
Andrea Ó Súilleabháin, Senior Policy Analyst, IPI
Youssef Mahmoud, Senior Adviser, IPI
Nahla Valji, Deputy Chief, Peace and Security, UN Women
Louise Allen, Executive Coordinator, NGO Working Group on Women, Peace, and Security

Moderator:
Barbara Gibson, Deputy Secretary-General, Independent Commission on Multilateralism

Historisches Treffen zur weltweiten Christenverfolgung

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 04/11/2015 - 15:05
Erstmals in der Geschichte haben sich hochrangige Vertreter der verschiedenen kirchlichen Traditionen zusammengefunden und über die weltweit wachsende Verfolgung von Christen beraten. Als Ergebnis wurde eine gemeinsame Erklärung verabschiedet, die ein neues Kapitel der Kirchengeschichte aufschlagen könnte.

Wertewandel in der Demokratie

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 04/11/2015 - 13:33
Wie definieren wir unsere Werte? Welche Werte sind für uns von Bedeutung und wie haben sich diese im Lauf der Zeit verändert? Mit diesen Kernfragen setzten sich am 4. November 2015 Experten aus Rechtswissenschaft, Politik, Philosophie und Religion im Konferenzzentrum der Hanns-Seidel-Stiftung auseinander.

Debatte zur Zukunft der Bundeswehr: Nicht weniger Auslandseinsätze, sondern anders

SWP - Wed, 04/11/2015 - 11:21
Militärische Interventionen verlagern sich, von der Durchsetzung deutscher Interessen zum Schutz...

Le conflit israélo-arabe : un accord impossible ?

IRIS - Wed, 04/11/2015 - 11:09

Jérusalem connaît une nouvelle vague de violences. Certains vont jusqu’à parler d’une troisième Intifada. Le mot vous semble-t-il approprié ?
Le terme renvoie à l’idée de soulèvement. Ce à quoi on assiste en ce moment, ce sont plutôt des initiatives isolées. Il n’y a pas de slogan général, si ce n’est la défense de Jérusalem et de l’esplanade des mosquées. Mais ça signifie quand même quelque chose. C’est la traduction en actes violents de l’état d’exaspération et de désespoir de la jeunesse palestinienne. C’est la génération Oslo, celle qui a vécu l’échec des accords. Quand vous parlez d’actualité, c’est aussi l’anniversaire de l’assassinat d’Yitzhak Rabin. Il faut rappeler qu’il a été assassiné par un extrémiste juif qui avait pour objectif de faire échouer les accords d’Oslo…

Ces derniers mois, on a moins parlé du conflit israélo-palestinien « au profit » du djihadisme au Moyen-Orient. Quelle est l’articulation entre les deux ?
En l’état actuel, il n’y a pas de connexion, de relation. Les djihadistes n’ont pas la cause palestinienne comme revendication première, loin s’en faut ! Ils ne sont pas mus par ce conflit. Leurs principaux ennemis sont d’abord incarnés par les Chiites. Le problème, c’est que les nationalismes qui alimentent le conflit israélo-arabe connaissent une évolution religieuse. Il y a une emprise du religieux dans ce qui était à l’origine des nationalismes relativement classiques, avec libération nationale et création d’un État indépendant. Cette dérive pourrait être finalement récupérée par les djihadistes pour transformer la cause palestinienne en cause purement religieuse. Vous avez aussi une partie de la droite israélienne qui tend à plaquer une grille de lecture religieuse au conflit. Les références à la Bible sont devenues omniprésentes dans les discours politiques. On ne parle plus par exemple de Cisjordanie mais de Judée Samarie.

Le thème c’est : « l’accord impossible ». Est-ce vraiment mort ?Le problème, c’est que l’on s’interroge sur l’existence même d’une volonté de trouver un accord. La volonté est là côté Palestinien, c’est celle exprimée par l’Autorité palestinienne. C’est vraiment du côté israélien que la question se pose. Le secrétaire d’État américain John Kerry, lors de la dernière tentative de relance des négociations, a reconnu que le blocage était dû essentiellement à la rigidité de la position israélienne. Les Israéliens considèrent qu’il est possible de négocier tout en continuant la colonisation. Ce que les Palestiniens refusent.

TÜV-Plakette für die deutsche Entwicklungszusammenarbeit? Der neue OECD-Prüfbericht zu Deutschland

Bonn, 04.11.2015. Die internationale Entwicklungszusammenarbeit (EZ) verfügt über ein besonderes Instrument, um die Qualität der OECD-Geber regelmäßig zu überprüfen: Gruppendruck. Alle vier bis fünf Jahre organisiert der Entwicklungshilfeausschuss (Development Assistance Committee, DAC) der OECD einen detaillierten Prüfbericht (‚peer review‘). Am 4. November wird in Berlin der neue Prüfbericht zu Deutschland erstmals vorgestellt. Der Vorsitzende des DAC, Erik Solheim, wird den Bericht im entwicklungspolitischen Fachausschuss des Deutschen Bundestages präsentieren. Das für die Prüfung verantwortliche Expertenteam bestand diesmal neben OECD-Mitarbeitern aus Vertretern der DAC-Mitglieder Japan und Kanada. Der neue Bericht liefert, was von ihm erwartet wird: eine konstruktive, aber auch kritische Sicht auf Deutschlands öffentliche Entwicklungszusammenarbeit. Der letzte Bericht aus dem Jahr 2010 benannte als Hauptschwächen vor allem eine schwer zu überblickende Institutionenlandschaft der deutschen Entwicklungszusammenarbeit und ein gleichzeitig unzureichend steuerndes Ministerium (Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung, BMZ). Ebenso wurde Deutschland als derzeit drittgrößtem OECD-Geber eine mangelnde strategische Ausrichtung bescheinigt – etwa bei der Unterstützung des multilateralen EZ-Systems v.a. in Form der Vereinten Nationen, der Weltbank und regionalen Entwicklungsbanken. Der heute erscheinende Bericht erkennt eine Reihe von Verbesserungen im Vergleich zu den 2010 festgestellten Mängeln. Mittlerweile habe das BMZ die tatsächliche steuerende Rolle in der deutschen Entwicklungszusammenarbeit. Die größere Zahl von Entwicklungsreferenten an den Deutschen Botschaften habe dazu beigetragen, dass die Arbeit in den Partnerländern weniger stark von den Durchführungsorganisationen geprägt sei. Weitere Schritte zur Dezentralisierung der deutschen EZ seien wünschenswert. Ebenso habe das Ministerium mittlerweile eine strategischere Ausrichtung gegenüber multilateralen Einrichtungen. Insgesamt sieht das Expertenteam sieben Empfehlungen des 2010er Berichts als nun umgesetzt, elf als teilweise umgesetzt und keine als nicht umgesetzt an. Also eine insgesamt positive Einschätzung, die zum Teil noch stärker in den erläuternden Texten zum Ausdruck kommt. An welchen Stellen bietet der Bericht neue Sichtweisen? Welche Kritikpunkte bleiben bestehen oder kommen hinzu? Zunächst einmal würdigt er die im Jahr 2014 verabschiedete Zukunftscharta des BMZ, die zum Ziel hatte, in einem breiten Dialog die künftige Ausrichtung der deutschen Entwicklungszusammenarbeit zu bestimmen. Der Bericht sieht eine Chance in der anstehenden Überarbeitung der deutschen Nachhaltigkeitsstrategie, die für alle Politikbereiche mehr kohärentes Handeln ermöglichen kann. Nachholbedarf bestehe hingegen bei der Priorisierung des Zielsystems der Entwicklungszusammenarbeit: Welche Ziele der Zukunftscharta und der seit Anfang 2014 laufenden Sonderinitiativen des BMZ sind besonders wichtig? Ebenso mahnt der Bericht an, dass einige politische Prioritäten sich nicht gleichermaßen in getroffenen Zusagen wiederfänden. Der Anteil der ärmsten und armen Länder an der bilateralen Entwicklungszusammenarbeit Deutschlands nehme etwa ab, obwohl diese Ländergruppe bzw. der afrikanische Kontinent die wichtigste Priorität des BMZ sei. Die Verwendung der deutschen EZ-Mittel sei nicht ausreichend transparent und die knappen Zusagezyklen für längerfristige Planungen der Partnerländer ein Problem. Die Konzentration auf mittlerweile 50 Partnerländer mit einem umfassenden EZ-Kooperationsprogramm (sowie 29 weiteren Ländern) habe nur sehr bedingt zu der beabsichtigten Fokussierung der deutschen EZ geführt. Schließlich plädiert der Bericht dafür, dass Deutschland seine Humanitäre Hilfe, die in die Zuständigkeit des Auswärtigen Amtes fällt, ausweitet. Der Prüfbericht zu Deutschland sollte in dreierlei Hinsicht zu intensiveren Debatten in Deutschland beitragen. Erstens ist es wichtig, die Anstrengungen fortzusetzen, die deutsche EZ wirksamer zu gestalten. Der Bericht liefert hierfür eine sehr gute Grundlage. So kann die deutsche Entwicklungszusammenarbeit effektiver sein, wenn liefergebundene Leistungen weiter abnehmen, die starre Einteilung zwischen Haushaltstiteln für Technische und Finanzielle Zusammenarbeit überwunden würde und die Transparenz zu den eingesetzten deutschen EZ-Mitteln steigt. Zweitens verdeutlichen die internationalen Krisen der letzten Jahre und Monate und die aktuelle Flüchtlingssituation in Europa, wie wichtig planvolles Handeln und funktionsfähige Instrumente sind, die auf kurzfristige Herausforderungen reagieren können. Dies umfasst u.a. das gesamte Spektrum von Instrumenten aus dem Bereich der humanitären Hilfe, der Flüchtlings- und Übergangshilfen und der längerfristigen EZ. Der Prüfbericht kann auch hierzu einen guten Ausgangspunkt für Debatten im Deutschen Bundestag, innerhalb der Bundesregierung und der Öffentlichkeit bieten. Drittens sollten in Deutschland vermehrt Diskussionen zur grundlegenden strategischen Ausrichtung der Entwicklungszusammenarbeit, aber auch anderer internationaler Kooperationsansätze, stattfinden. Wie kann die deutsche EZ noch gezielter die langfristig angelegten Ziele nachhaltiger Entwicklung befördern? Welchen Beitrag können andere Politikbereiche hierzu leisten? Wie können Entwicklungszusammenarbeit und andere Politiken dazu beitragen, dass etwa Schwellenländer noch wirksamer an der Bearbeitung globaler Probleme mitwirken können? Angesichts der rasanten Veränderungen globaler Herausforderungen wäre ein solcher strategischerer Blick auf Entwicklungszusammenarbeit notwendig. Dieser Beitrag wurde auf www.tagesspiegel.de erstveröffentlicht.

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