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Diplomacy & Crisis News

Enlisted justice: You know, no one talks about it, but this is the real military. And the important thing is, it always will be.

Foreign Policy - Thu, 09/06/2016 - 16:19
It rains on the just and unjust alike. Today is their day, just like any day on patrol might be your day. That’s enlisted justice.

Sauvetage du lac Tchad, un espoir de paix

Le Monde Diplomatique - Thu, 09/06/2016 - 16:10
Au cœur du Sahel, le lac Tchad risque de disparaître.Une revitalisation devient d'autant plus indispensable qu'elle favoriserait la paix dans une région instable. / Afrique, Cameroun, Nigeria, Conflit, Eau, Écologie, Tchad, Niger, Sahel, Afrique centrale, Environnement - (...) / , , , , , , , , , , - 2014/07

Autour du lac Tchad

Le Monde Diplomatique - Thu, 09/06/2016 - 16:10
/ Cameroun, Nigeria, Agriculture, Eau, Énergie, Terrorisme, Violence, Tchad, Niger, Afrique des Grands Lacs, Pêche - Afrique / , , , , , , , , , , - Afrique

It is time that we stopped treating the military and veterans as abstractions

Foreign Policy - Thu, 09/06/2016 - 16:05
Aside from the tragic killing of a zoo animal, the major news story last week concerned how much money presumptive Republican presidential nominee Donald Trump raised for veterans groups. Unfortunately, the discussion did not focus on the needs of veterans.

Gunmen Open Fire at Mall in Tel Aviv

Foreign Policy - Thu, 09/06/2016 - 14:33
Two gunmen opened fire at a mall in Tel Aviv, killing four people and wounding six others. The Sarona Market, where the attack took place, is located near the Israeli Ministry of Defense. Both of the attackers were captured alive and one is undergoing surgery. They have been identified as Palestinians from the village of ...

La Russie a-t-elle une grande stratégie au Moyen-Orient ?

Politique étrangère (IFRI) - Thu, 09/06/2016 - 10:08

Suite au sondage réalisé sur ce blog, nous avons le plaisir de vous offrir l’article du numéro d’été 2016 de Politique étrangère que vous avez choisi : « La Russie a-t-elle une grande stratégie au Moyen-Orient ? », par Ekaterina Stepanova.

Depuis le début de la guerre en Syrie, la Russie a renforcé son statut international. L’intervention militaire de Moscou en appui au gouvernement syrien depuis la fin septembre 2015, ainsi que son rôle dans la relance des pourparlers de Genève en février 2016 et dans le cessez-le-feu qui en a découlé en sont les manifestations les plus notoires. Ce niveau d’engagement élevé est venu contredire l’idée reçue d’un désengagement de la Russie post-soviétique du Moyen-Orient.

Le retour de la Russie au Moyen-Orient nourrit attentes et spéculations, dans la région et au-delà, sur une nouvelle « grande stratégie » russe. Ces spéculations sont-elles justifiées ? Le fait que la Russie ait damé le pion aux États-Unis dans le dossier syrien suffit-il à prouver l’existence d’une telle stratégie pour l’ensemble de la région ? Ou faut-il plutôt considérer l’engagement russe comme une série d’actions calibrées, fruit d’une improvisation maîtrisée ?

La stratégie globale de la Russie

Il a fallu au moins une décennie à la Russie post-soviétique pour s’adapter aux nouvelles réalités internationales, commencer à redécouvrir son identité nationale et, dans la mesure du possible, (re)définir son rôle et sa place dans le concert des nations. Ce n’est toutefois qu’à compter des années 2010 que plusieurs orientations stratégiques transversales ont vraiment commencé à prendre forme, et à être clairement identifiables dans la politique étrangère russe. Ces orientations ont traversé toutes les crises diplomatiques, voire les catastrophes économiques qui ont par la suite touché la Russie. Trois principes directeurs sont ici particulièrement pertinents :

– La volonté de devenir un pôle important du « monde multipolaire », après le « moment unipolaire » des années 1990.

– L’insistance sur les dynamiques de régionalisation dans la politique mondiale. La Russie a d’ores et déjà reconquis son statut de puissance majeure dans l’unique région cristallisant ses intérêts et préoccupations de façon vitale : l’Eurasie post-soviétique.

– Une aversion pour tout changement de régime par la force, surtout imposé de l’extérieur. Cette aversion est issue de la défiance croissante des autorités russes vis-à-vis de ce que l’on baptise les « révolutions de couleur », et qui ont agité l’ancien espace soviétique pendant la décennie 2000. Cette dernière expression renvoie aux changements de gouvernement par des voies autres que les procédures légales – avec un soutien populaire variable –, intervenus en Géorgie (2003), en Ukraine (2004) et au Kirghizistan (2005 et 2010). Bien que menées au nom de la démocratie et d’un nationalisme modéré, ces « révolutions » ont essentiellement consisté, ou se sont transformées, en un rééquilibrage de pouvoirs entre clans et élites oligarchiques dirigeantes sous couvert de contestations sociales plus larges. Au bout du compte, ces pays sont revenus aux mêmes conditions, et aux mêmes sources d’instabilité qu’avant les révolutions. Et ces dernières, contrairement à ce qu’avaient espéré certains dans ces pays, auront souvent créé plus de problèmes qu’elles n’en ont résolus. Ces révolutions ont aussi été perçues par Moscou comme promues par des puissances extérieures à la région, et comme une menace pour l’influence russe. La vague de protestations massives en faveur de la démocratie survenue plus tard en Russie, au début des années 2010, a été interprétée par le Kremlin comme une tentative à classer dans la même catégorie.

Avec les printemps arabes et la multiplication des changements de régime au Moyen-Orient, cette perception s’est renforcée de préoccupations plus générales, suscitées par les interventions extérieures, notamment des Américains et de leurs alliés, visant à renverser des régimes considérés comme « peu fréquentables » ou « non démocratiques » – et en particulier le dépassement, par les pays de l’OTAN du mandat du Conseil de sécurité de l’ONU dans le dossier libyen. Un ajout au traumatisme déjà causé par l’intervention de l’OTAN au Kosovo, et au souvenir encore vivace des échecs du state-building américain en Afghanistan et en Irak.

Depuis la fin 2013, la nouvelle crise ukrainienne est venue cristalliser les préoccupations russes. Cette crise pousse ses racines dans l’obligation faite à Kiev de choisir (selon une alternative stricte : A ou B) entre une association avec l’Union européenne et un resserrement des liens avec la Russie et les structures eurasiennes. Au nombre des ingrédients de la révolution de Maïdan, on trouve un mélange de contestation sociale, de sentiments pro-démocratiques et pro-occidentaux, de nationalisme (parfois extrême) et de dissensions entre groupes oligarchiques concurrents. Cette révolution a abouti, avec le soutien politique actif des États-Unis et une posture d’observateurs complaisants de la part des États de l’UE, au renversement de Viktor Ianoukovitch, président inefficace et corrompu mais élu démocratiquement en février 2014. Lui ont succédé plusieurs gouvernements, tout aussi corrompus et inefficaces, mais cette fois farouchement anti-russes. Les événements ont été interprétés à Moscou comme le signe de la détermination de l’Occident à ignorer les intérêts de la Russie, y compris dans des pays abritant d’importants groupes russophones, culturellement proches de la Russie et bienveillants ou neutres vis-à-vis de celle-ci. Au niveau régional, cela a certainement contribué à la décision de Moscou de réunifier la Crimée et la Russie – une Crimée ardemment pro-russe, et qui avait pendant des décennies caressé des rêves irrédentistes –, puis d’apporter un soutien politique public, ainsi qu’un appui militaire officieux, aux rebelles pro-russes du sud-est de l’Ukraine. Au niveau international, tout ceci a débouché sur la plus grave crise des relations entre Russie et Occident de la période post-soviétique.

La crise ukrainienne cristallise les préoccupations russes

Si l’on considère le Moyen-Orient, ces facteurs sont essentiels pour expliquer le renforcement du soutien politique et militaire de la Russie au gouvernement syrien. C’était là le moyen de réaffirmer une aversion de principe au changement de régime voulu par l’Occident, tout en faisant valoir une influence considérablement accrue en Syrie comme un atout important dans le cadre de relations sérieusement détériorées avec l’Occident.

Ce bref aperçu montre que l’élargissement récent du poids russe au Moyen-Orient s’insère dans un cadre qui dépasse les limites strictes d’une stratégie moyen-orientale. Il s’agit plutôt d’une projection (a) des intérêts internationaux plus larges de la Russie, et des orientations de sa politique étrangère, en particulier dans le contexte de son rejet de principe de l’unipolarité et de ses relations tendues avec l’Occident ; et (b) du cadre plus étroit mais néanmoins vital des préoccupations immédiates de Moscou quant à son environnement régional d’Europe de l’Est et d’Eurasie.

Lire la suite en intégralité sur Cairn.info.

Accéder au sommaire complet sur www.ifri.org.

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Le cabinet du Dr Folamour

Le Monde Diplomatique - Wed, 08/06/2016 - 16:51
Imposer des sacrifices cruels à des peuples entiers au nom de règles qu'on ne comprend pas soi-même, oublier ces dernières sitôt que des compères politiques les transgressent : c'est aussi sur ce terreau d'amoralisme et de cynisme que l'extrême droite européenne avance. / Europe, France, Grèce, Dette, (...) / , , , , , , , - 2016/06

La bombe juridique des îles Marshall contre les puissances nucléaires

Le Monde Diplomatique - Wed, 08/06/2016 - 16:51
La petite République des îles Marshall a décidé de s'attaquer aux puissances nucléaires, accusées de ne pas respecter leurs obligations juridiques de désarmement. Voilà un combat qui pourrait donner une impulsion forte à la bataille pour éliminer les arsenaux nucléaires. Une bombe juridique. / Armement, (...) / , , , , , - 2016/06

UNAIDS appoints amfAR chair and fashion designer Kenneth Cole as Goodwill Ambassador

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 23:37
The Joint UN Programme on HIV/AIDS (UNAIDS) today appointed the Chair of the American Foundation for AIDS Research (amfAR) and leading fashion designer Kenneth Cole as a UNAIDS International Goodwill Ambassador.

Ban condemns terrorist attack in Istanbul that leaves at least 11 dead

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 22:45
United Nations Secretary-General Ban Ki-moon has condemned today’s terrorist attack in the centre of Istanbul, which claimed the lives of at least 11 people and injured dozens more.

Burundi: UNICEF concerned over arrests, school expulsion of students

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 22:27
The United Nations Children’s Fund (UNICEF) said today it is concerned about the arrests, expulsions from school and injuries of students in Burundi schools, and has called for all parties involved in the political conflict in the country to fully respect the rights of children to education and to protect them from violence.

Selecting the next UN Secretary-General: informal briefings reopen

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 20:43
Two more candidates for the position of the next United Nations Secretary-General will be heard today, answering questions on how they would promote sustainable development, improve efforts to create peace, protect human rights, and deal with huge humanitarian catastrophes should they be selected to lead the 193-member Organization.

Thousands continue to flee Boko Haram attacks on Niger town – UN refugee agency

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 19:40
Tens of thousands of people have fled their homes in south-east Niger following near back-to-back attacks since this past Friday by Boko Haram insurgents on the town of Bosso in the troubled Diffa region, the United Nations refugee agency said today.

UN human rights expert deplores sentencing of Tajikistan opposition leaders

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 19:19
A United Nations human rights expert today expressed dismay at the lengthy sentences imposed last week on the leadership of the Islamic Renaissance Party of Tajikistan (IRPT).

UNICEF launches poll and #ReplyforAll campaign on Internet safety for adolescents

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 18:47
Eight out of ten 18-year-olds believe that young people are in danger of being sexually abused or taken advantage of online, and more than five out of 10 think friends participate in risky behaviours while using the Internet, a new report released today by the United Nations Children’s Fund (UNICEF) shows.

UN announces first-ever global standard to measure food loss and waste

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 17:24
A partnership of leading international organizations, including the United Nations, has announced the launch of a first-ever global standard to measure food loss and waste while at the Global Green Growth Forum (3GF) 2016 Summit currently underway in Copenhagen, Denmark.

Du financement à la financiarisation

Le Monde Diplomatique - Tue, 07/06/2016 - 16:49
Viennent d'être publiés, à quelques semaines d'intervalle, deux ouvrages dont les titres se répondent : Le Profit déchiffré et L'Entreprise liquidée. Leurs contenus se font écho, même s'ils ne se situent pas au même niveau d'abstraction. Christophe Darmangeat propose un recueil de trois essais . Le (...) / , , , , , , - 2016/06

L'ère de l'info Bonux

Le Monde Diplomatique - Tue, 07/06/2016 - 16:49
Quand la qualité de l'information ne justifie plus le prix d'un abonnement, les journaux recourent à une technique éprouvée. Le 25 novembre dernier, Challenges promettait aux souscripteurs d'une offre spéciale l'expédition, en plus du magazine, d'un « smartphone 4,5 pouces » et d'une « tablette PC 7 (...) / , , , , , , - 2016/06

Civilians fleeing Fallujah ‘facing double jeopardy’ – UN rights chief

UN News Centre - Tue, 07/06/2016 - 15:47
The United Nations human rights chief today urged the Iraqi Government to take immediate measures to ensure that all people fleeing the Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL)-occupied city of Fallujah are treated in strict accordance with international human rights and international humanitarian laws.

Punto muerto prolongado entre India y Pakistán

Crisisgroup - Tue, 07/06/2016 - 15:37
El subcontinente ha vivido hostilidades, particiones, matanzas colectivas e incluso genocidios; para alcanzar una paz duradera, el conflicto centenario entre India y Pakistán debe ser abordado. Pero el fallo de los líderes de la región a la hora de aprender de los errores del pasado continúa amenazando con serias implicaciones para su futuro. Esto se hizo evidente en las celebraciones de India y Pakistán por el Día de la Defensa, el 6 de septiembre de 2015. Ese día, en 1965, ambos países entraron en guerra. Las celebraciones del año pasado alcanzaron un nuevo máximo de patrioterismo y cada Estado declaró su victoria sobre el otro. Un oficial indio avisó a Pakistán de que o se “comportaba” o tendría que estar preparado para sufrir ataques desde la frontera. En respuesta, Pakistán advirtió de que dichos ataques podrían tener una respuesta nuclear.

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