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Union européenne

Attentats en Catalogne: à Diegem, on se souvient du passage de l’imam Es Satty

RFI (Europe) - Fri, 25/08/2017 - 08:17
L'enquête sur les attentats en Espagne se poursuit. La police continue de retracer, également à l'étranger, le parcours de leurs auteurs. En Suisse, à Paris, mais aussi en Belgique. Vilvorde est la commune d'où sont partis des dizaines de combattants belges pour la Syrie en 2014. L'imam, accusé d'être le cerveau des attaques en Catalogne, Abdelbaki Es Satty, d'origine marocaine, a tenté de trouver du travail dans sa périphérie, à Diegem en 2016. Les autorités s'interrogent aujourd'hui : que faisait cet homme en Belgique ?
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De plus en plus d'Européens quittent le Royaume-Uni europe-RFI

RFI (Europe) - Fri, 25/08/2017 - 02:43
C'est l'une des conséquences du Brexit : 122 000 citoyens de l'UE installés au Royaume-Uni ont quitté le pays, entre avril 2016 et mars 2017. C'est 33 000 départs de plus que l'année précédente, selon les derniers chiffres de l'Office national des statistiques britanniques publiées jeudi 24 août 2017. Du jamais vu en neuf ans.
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Annonce officielle de la ville organisatrice des JO 2024 (13 septembre)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 15:22
Le 13 septembre, à Lima, auront lieu les présentations finales des candidatures et l'élection par le CIO de la ville organisatrice des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.
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Discours sur l'Etat de l'Union 2017 de Jean-Claude Juncker (13 septembre)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 15:18
Le 13 septembre 2017 à 9 heure, Jean-Claude Juncker prononcera son discours annuel sur l'Etat de l'Union devant le Parlement européen.
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Session plénière du Parlement européen (11-14 septembre)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 15:14
Les députés européens se retrouvent à Strasbourg pour voter des textes de lois du 11 au 14 septembre 2017.
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Visite d'Emmanuel Macron en Grèce (7-8 septembre)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 12:24
Après avoir discuté avec les chefs d'Etat du Luxembourg et de la Belgique, le président de la république française se rend à Athènes, en Grèce.
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Début du nouveau cycle de discussions sur le Brexit (28 août)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 12:22
Le troisième cycle des négociations ("3ème round") sur le Brexit débute le 28 août.
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Réunion des banquiers centraux à Jackson Hole (24-25 août)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 12:21
Le symposium économique annuel de Jackson Hole se tient du 24 au 25 août. A cette occasion, les dirigeants des grandes banques centrales, dont celui de la BCE, Mario Draghi, se retrouvent afin de travailler à "favoriser une économie mondiale dynamique".
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Sommet à Paris avec Angela Merkel, Paolo Gentiloni et Mariano Rajoy aux côtés de Federica Mogherini (28 août)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 12:19
Le 28 août, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Paolo Gentiloni (Italie) et Mariano Rajoy (Espagne) se retrouvent à Paris à l'occasion d'une "pré-rentrée" européenne.
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Déplacement d'Emmanuel Macron en Autriche, Roumanie et République Tchèque (23-25 août)

Toute l'Europe - Thu, 24/08/2017 - 12:16
Le Président de la République Emmanuel Macron se rend du mercredi 23 au vendredi 25 août en République d'Autriche, en Roumanie et en République de Bulgarie.
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L'Italie enregistre une forte baisse des arrivées de migrants

RFI (Europe) - Tue, 15/08/2017 - 21:38
Les arrivées de migrants sur les côtes de l'Italie sont en forte baisse ces dernières semaines, environ 13 500 arrivées depuis le 1er juillet, contre 30 500 sur la même période en 2016, soit une baisse de 55%. Plusieurs raisons ont été avancées pour expliquer ce phénomène, y compris des raisons politiques, mais encore faudrait-il que cette tendance se confirme à plus long terme.
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Le Royaume-Uni souhaite une union douanière temporaire après le Brexit

RFI (Europe) - Tue, 15/08/2017 - 11:31
Londres compte négocier avec Bruxelles une « union douanière temporaire » après la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, afin d'avoir « une transition en douceur ».
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Ukraine: Kiev envisage de donner un statut légal au bitcoin

RFI (Europe) - Tue, 15/08/2017 - 10:37
La Banque centrale d’Ukraine prend à bras le corps la question des « bitcoins », la monnaie numérique la plus populaire au monde. Elle n’a pas encore un statut légal en Ukraine, mais cela pourrait vite changer. Et pour cause: la police a démantelé la semaine dernière un vaste atelier de faux-monnayage à Kiev.
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Russie: arrestation de quatre personnes accusées d'appartenir au groupe EI

RFI (Europe) - Mon, 14/08/2017 - 23:18
En Russie, les autorités annoncent l’arrestation de quatre membres présumés du groupe Etat islamique. Ils auraient eu l’intention d’organiser des attentats dans la capitale. Il s’agit d’un russe et de trois ressortissants d’Asie centrale.
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Incendies: le Portugal fait appel à ses voisins pour lutter contre les flammes

RFI (Europe) - Mon, 14/08/2017 - 21:05
Les feux de forêt font toujours rage au Portugal, notamment dans le centre du pays. La situation est telle que Lisbonne a dû faire appel au mécanisme d'entraide européenne. Ils ont en conséquence reçu des renforts, notamment en provenance d'Espagne.
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Brexit: tu veux ou tu veux pas ?

Coulisses de Bruxelles - Mon, 14/08/2017 - 19:24

REUTERS/Russell Cheyne

Et si, tels les bourgeois de Calais, en robe de bure et la corde au cou, les Britanniques quémandaient leur réadhésion à l’Union européenne une fois le Brexit consommé ? Si personne dans les capitales européennes ne doute que le Royaume-Uni sortira bien le 31 mars 2019 sur les coups de minuit, beaucoup estiment désormais qu’elle voudra, dès que les circonstances politiques le permettront, revenir au sein de la famille européenne, tant les conséquences économiques et diplomatiques de son départ s’annoncent désastreuses pour lui. L’incapacité du gouvernement de Theresa May d’articuler une position de négociation cohérente, la profonde division de la classe politique autour des conditions de la sortie, « soft » ou « hard », l’évolution d’une opinion publique fracturée entre jeunes « Remainers » et vieux « Brexiters », augmente, en effet, les probabilités de voir revenir plus rapidement qu’on ne le pense cet enfant terrible de la classe européenne. Mais pas à n’importe quelles conditions.

« Le Brexit aura lieu, les Britanniques sont trop engagés pour reculer », prévient un diplomate européen de haut rang, « en dépit des débats qui ont lieu actuellement outre-Manche ». « Politiquement, ceux qui proposeraient un abandon du Brexit se condamneraient à mort », surenchérit un responsable de la Commission, chargée de négocier la sortie du Royaume-Uni. « Les Brexiters ne peuvent pas se dédire, même si tout le monde a des doutes sur la pertinence du Brexit », analyse Olivier Costa, professeur de sciences politiques à Bordeaux et au Collège d’Europe de Bruges. « Il faudrait un bouleversement politique dans les 18 mois qui viennent pour changer les choses, comme de nouvelles élections législatives qu’on a du mal à imaginer aujourd’hui », acquiesce le diplomate déjà cité.

Fierté britannique à ne pas se déjuger

Ce qui suppose à tout le moins « un changement profond de l’opinion publique. Or même si on voit des évolutions, ce n’est pas suffisamment significatif pour qu’un gouvernement coure le risque d’une nouvelle consultation », souligne-t-on à la Commission. « Il ne faut d’ailleurs pas se tromper », met-on en garde à Bruxelles : « ce dont on discute au Royaume-Uni, ce n’est pas d’un demi-tour, mais du contenu de la période de transition qui suivra la sortie ». De fait, les élections législatives anticipées n’ont pas abouti à une victoire des opposants au Brexit : le parti travailliste a fait campagne pour un Brexit « soft », c’est-à-dire un maintien de liens étroits avec l’Union, les libéraux-démocrates, favorables au « remain », ont confirmé leur marginalisation et, surtout, les indépendantistes écossais du SNP, clairement opposé au Brexit, ont subi un fort recul. « Theresa May est certes affaiblie, mais c’est sa stratégie de « hard Brexit », c’est-à-dire d’une rupture totale avec l’Union, qui a été désavouée », souligne-t-on à la Commission. « En réalité, les électeurs britanniques ont confirmé le résultat du référendum du 23 juin 2016, mais ils ne veulent pas d’une sortie brutale ». « De toute façon, au-delà des arguments politiques et juridiques, il y a une fierté britannique à ne pas se déjuger même s’ils se rendent compte qu’ils ont fait une connerie », s’amuse un diplomate en poste à Bruxelles.

En supposant même que les Britanniques changent rapidement d’avis, il n’est pas sûr que cela soit juridiquement possible : l’activation par Londres de l’article 50 du traité sur l’Union, le 29 mars dernier, est sans doute irrévocable. « Même si le traité ne dit rien sur le sujet, la Cour suprême de Grande-Bretagne a jugé qu’il était impossible de revenir en arrière, à l’unisson de la Commission ou du Parlement européen », rappelle Olivier Costa : « mais si l’unanimité des États membres le décidait, ce serait sans doute possible ». Une unanimité à laquelle personne ne croit à Bruxelles : « si on revenait sur l’article 50, on poserait des conditions, car il n’est pas question de permettre à Londres de continuer à nous emmerder comme elle le fait depuis quarante ans », tranche brutalement un diplomate européen. « En clair, plus question qu’elle bénéficie d’une série de dérogations ou d’un rabais sur sa participation au budget, ce qui sera inacceptable pour le Royaume-Uni », poursuit-il. Bref, par quelque bout que l’on prenne le problème, personne n’a intérêt à ce que le Brexit n’ait pas lieu.

«Le paradis attend les martyrs du Brexit»

En revanche, une nouvelle adhésion après la sortie est possible comme le prévoit le paragraphe 5 de l’article 50. « Plus on s’éloigne de la date du référendum du 23 juin 2016, plus un retour devient une possibilité », analyse-t-on à la Commission. En particulier, l’évolution naturelle du corps électoral jouera en faveur des Européens, les citoyens de plus de 65 ans ayant à 64 % voté en faveur du Brexit alors que les moins de 25 % se sont prononcés à 71 % en faveur du « remain ». Comme l’a rappelé crument, lundi, Vincent Cable, le leader des libéraux-démocrates, « le paradis attend les martyrs du Brexit ». « C’est une affaire d’une autre génération politique, d’un autre corps électoral », admet-on à la Commission. « Comme le disait l’article 28 de la Constitution de 1793, « une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures » », souligne Olivier Costa. Les Brexiters, dont Nigel Farage, l’ex-leader de l’europhobe UKIP, avait d’ailleurs annoncé qu’ils réclameraient un second référendum si le résultat de celui du mois de juin 2016 était négatif. « D’ici dix à quinze ans, le paysage électoral britannique aura profondément changé et tout redeviendra possible », estime Olivier Costa. Les effets économiques du Brexit, qui s’annoncent douloureux, et diplomatiques, Londres risquant de toucher du doigt son isolement à l’heure des grands ensembles continentaux, joueront un grand rôle en faveur d’une nouvelle candidature.

Les Vingt-sept peu enthousiastes

Le problème, en réalité, risque de se poser du côté de l’Union, celle-ci n’ayant aucune intention de renouer avec le boulet britannique, d’autant que les europhobes feront toujours partie du paysage britannique. « Personne n’aura envie de faire le moindre cadeau à Londres après la palinodie du Brexit quoiqu’on pense à Londres. Il n’est pas du tout certain que les États les plus fédéralistes comme l’Allemagne, la France ou la Belgique acceptent une nouvelle candidature de la Grande-Bretagne. Or, il faut l’unanimité des Vingt-sept », analyse Olivier Costa. « Elle ne pourra pas demander un statut privilégié comme celui qu’elle avait obtenu : plus de dérogation aux politiques de l’Union, plus de rabais au budget de l’Union », tranche un eurocrate. « Si dans dix ou quinze ans, l’Union comprend deux cercles bien distincts, la zone euro, et un ensemble plus large autour du marché unique voire éventuellement un statut de membre associé, cela facilitera le retour de la Grande-Bretagne », estime un diplomate européen de haut rang. Si retour il y a, ce sera donc un retour par la petite porte et dans une pièce adjacente de la maison européenne. Brexit ou retour à la maison, la Grande-Bretagne restera affaiblie durablement.

N.B.: version longue de l’article paru dans Libération du 9 août

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Progrès de l'armement nord-coréen: une usine ukrainienne pointée du doigt

RFI (Europe) - Mon, 14/08/2017 - 17:34
La rapidité avec laquelle les Nord-Coréens ont développé des missiles intercontinentaux pouvant toucher la côte ouest des Etats-Unis a surpris la communauté internationale. Selon une enquête du New York Times, ce succès s'expliquerait par l'achat de propulseurs au marché noir. Ceux-ci pourraient provenir d'une usine d'armement du centre de l'Ukraine. Si cette information était confirmée, l'affaire pourrait tendre des relations déjà difficiles entre Kiev et Washington.
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Italie: une magnifique lettre d’amour pour Naples enflamme la toile

RFI (Europe) - Mon, 14/08/2017 - 12:47
« Voir Naples et mourir » est une expression bien connue, dont la paternité est parfois attribuée à Goethe ou Alexandre Dumas père, excusez du peu. Pour les Napolitains, elle signifie que leur ville est tellement belle et envoûtante que sans elle la vie perd de son sens. Mais ces sentiments passionnés ne sont guère partagés par les Italiens du Nord. Alors quand une femme née dans l’opulente ville de Trévise poste sur sa page Facebook déclare la guerre aux clichés sur Naples dans une lettre d’amour dédiée à la ville et ses habitants, cela fait le buzz sur toute la toile.
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Le candidat Martin Schulz tente de convaincre les téléspectateurs allemands

RFI (Europe) - Mon, 14/08/2017 - 02:55
En Allemagne, la campagne électorale a véritablement démarré ce week-end à six semaines des prochaines élections, avec en vedette, Martin Schulz. Le challenger d'Angela Merkel était l'invité des chaînes de télévision publique ZDF et privée RTL. Un seul débat entre les deux principaux candidats est prévu pour le 3 septembre.
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