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(B2) L’Union européenne va équiper certaines bases des forces armées maliennes (FAMa) d’une infirmerie de garnison. A commencer par Nampala, dans le centre du Mali à 500 km de Bamako
Les quatre experts français, européens et maliens en visite à Nampala (Crédit : EUTM Mali)
Un projet financé par la CBSD
Le site de Nampala, qui héberge un détachement des forces armées maliennes (FAMa), va être complété d’une infirmerie de garnison, ouverte aux militaires et aux civils. Un projet financé dans le cadre de la CBSD, le nouvel instrument financier de l’UE, qui permet le « financement des acteurs militaires dans des pays tiers aux fins de réaliser des activités de développement ». (Lire : Le dispositif CBSD adopté. La touche finale…). Ce projet ambitieux prendra forme dans trois villes différentes, dont Nampala et coûtera 3 à 4 millions d’euros.
Les plans à l’étude
Début août, deux officiers de la mission européenne de formation des forces armées maliennes (EUTM Mali), un spécialiste d’Expertise France et un militaire malien de la Direction centrale du service de santé des armées (DCSSA) se sont rendus sur place, comme le précise la mission. Une visite effectuée par hélicoptère, seul moyen sûr pour se déplacer sur le camp. Objectif : avoir les dernières informations techniques et topographiques pour définir les plans de la future infirmerie.
Une infirmerie mixte civile et militaire
Il s’agissait aussi d’évaluer les conditions de sécurité qui devront être prises en compte pour la construction du bâtiment et ses accès, enfin : préciser l’offre de soin locale ainsi que le profil de la population bénéficiaire. Car l’intérêt de cette infirmerie est de servir non seulement à la garnison, mais aussi à la population civile. Ce qui complique le travail des personnes chargées de concevoir cette nouvelle infrastructure.
Des conditions de sécurité à étudier de près
La ville de Nampala, située dans la région de Ségou, à environ 500 km de Bamako, a fait l’objet de plusieurs attaques. En janvier 2015, la ville a été prise par les djihadistes tuant une dizaine de militaires. Un an plus tard, le 19 juillet 2016, c’est la caserne elle-même qui est visée. Dans une attaque assez sophistiquée, menée avec plusieurs véhicules (pickups) lourdement armés et des motos, plusieurs groupes rebelles réussissent à prendre le contrôle du camp durant plusieurs heures. Ils laissent au final 17 tués et 37 blessés dans les rangs de l’armée malienne. Le 2 mai 2017, c’est une mission de ravitaillement des FAMa qui tombe dans une embuscade sur la route entre Nampala et Dogofri, faisant neuf morts et cinq blessés parmi les militaires.
(NGV, avec Aurélie Pugnet st. )
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Marseille fait figure de port civil avant-gardiste en France. C’est en effet le seul qui dispose d’installations pour l’alimentation électrique à quai des navires. Depuis 2017, la compagnie La Méridionale utilise ce procédé dans le port de La Joliette. Pour Corsica Linea, l’autre compagnie détentrice d’une délégation de service public (DSP) pour la desserte de la Corse, il était devenu primordial de ne pas se laisser distancer. C’est pourquoi elle a signé hier un protocole d’accord avec la Région Sud (ex-PACA) pour équiper trois navires de capacités de branchement électrique à quai.
Plus vieille unité de la flotte de Corsica Linea, le ferry Méditerranée (1989) n’en a pour autant pas fini de naviguer sous ses couleurs rouges. Pourtant, avec l’arrivée récemment du Vizzavona, ex-Euroferry Corfù, la compagnie dispose d’un second navire sur la ligne entre Marseille et l’Algérie. On aurait pu s’interroger sur le maintien du Méditerranée. Toutefois, ce dernier semble encore bien prouver son utilité dans le modèle de Corsica Linea. Après un désarmement partiel cet hiver, une fois sa saison terminée, il reprendra du service en 2019.
Hier, toujours dans une communication soigneusement maîtrisée, la compagnie américaine Celebrity Cruises a dévoilé un nouvel espace de son prochain navire-phare, le Celebrity Edge. En l’occurrence, il s’agit du The Grand Plaza. Imaginé et conçu par les fondateurs du studio de design parisien Jouin Manku, il sera le « cœur battant » du paquebot. « Nous ne pouvions pas être plus heureux de l’engouement provoqué par le lancement de Celebrity Edge », a déclaré Lisa Lutoff-Perlo, présidente et directrice générale de Celebrity Cruises.
La compagnie allemande a annoncé des prises de commande record dans le domaine des navires de croisières. Sur les huit premiers mois de l’année 2018, elle a reçu des commandes pour équiper sept nouveaux paquebots de moteurs et de systèmes de traitement de gaz d'échappement. Le montant cumulé de ces contrats se compterait en centaines de millions d’euros. La puissance installée représentera près de 300MW, pour des navires allant de 50 000 à environ 140 000 tonneaux de jauge brute. C’est sa meilleure performance dans ce secteur.
C'est un habitué des exercices de sauvetage. Après l'Abeille Bourbon en 2013 et l'Abeille Languedoc en 2017, c'est avec les sauveteurs allemands de l'Havariekommando que le porte-conteneurs CMA CGM Marco Polo a effectué plusieurs exercices, le 10 septembre dernier. Le navire français de 396 mètres de long, 53.6 mètres de large et plus de 16.000 EVP, a simulé une avarie machine alors qu'il se trouvait en baie d'Helgoland.
Le Mont St Michel est arrivé mardi matin à Brest pour entrer en cale sèche aux chantiers Damen. Il va effectuer un arrêt technique d'une semaine pour des réparations sur son arbre d'hélice bâbord endommagé après avoir été pris dans un filet de pêche.
Le Mont St Michel à son arrivée à Brest (© MICHEL FLOCH)
Le constructeur naval néerlandais continue de miser sur sa classe de navire rapide de transport de personnel, les Fast Crew Supplier (FCS). C’est une maquette longue de 2.8 mètres du futur modèle 7011 qui a été testée dans un bassin de la Delft University of Technology (TU Delft). Les essais portaient sur le comportement du navire à des vitesses de 30 et 40 nœuds. Ils ont été jugés concluants par l’industriel qui explique que la forme élancée de la coque permet au bateau de mieux percer les vagues et d’améliorer infine sa stabilité.
Les négociations entre les pêcheurs français et britanniques de coquilles Saint-Jacques ont échoué ce mercredi. « C’est la fin de partie, on leur a fait une proposition hier soir qui nous semblait déjà plus qu’honnête, c’était la proposition qu’on leur avait faite vendredi. On leur avait dit « jusqu’à midi, on veut une réponse »», a déclaré à l’AFP Hubert Carré, responsable du comité national des pêches.