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Afrique

Crash d’EgyptAir: pas possible de repêcher les boîtes noires avant 12 jours

Maliactu - Sun, 29/05/2016 - 16:15

Il ne sera pas possible de repêcher avant au moins 12 jours les boîtes noires du vol Paris-Le Caire d’EgyptAir qui s’est abîmé en Méditerranée avec 66 personnes, le temps qu’un navire spécialisé arrive sur place, ont indiqué à l’AFP des sources proches de l’enquête.

L’Airbus A320 a soudainement disparu des écrans radars en pleine nuit le 19 mai avant de tomber en mer entre la Crète et la côte nord de l’Egypte pour une raison encore indéterminée.

Seules les analyses des enregistreurs de vol, les « boîtes noires », pourront permettre de connaître précisément les causes de l’accident.

Le temps est compté puisque les balises de ces enregistreurs de vol ne peuvent émettre que « quatre à cinq semaines » avant épuisement de leurs batteries.

L’hypothèse de l’attentat, initialement mise en avant par l’Egypte, a cédé du terrain face à celle de l’incident technique depuis qu’il a été constaté que des alertes automatiques ont été émises par l’appareil deux minutes avant sa chute, signalant de la fumée dans le cockpit et une défaillance de l’ordinateur gérant les commandes.

L’Egypte et la France ont signé des accords avec deux compagnies françaises spécialisées dans la recherche d’épaves en eaux profondes, Alseamar et Deep Ocean Search (DOS). Quarante Egyptiens, dont l’équipage, et 15 Français figurent parmi les victimes du crash.

« Ces deux sociétés ont un rôle complémentaire, la première pour localiser les +pings+ des boîtes noires (l’écho sonar émis par leurs balises, ndlr), la seconde pour descendre et les récupérer » à l’aide d’un robot, a expliqué à l’AFP au Caire une source proche de l’enquête qui a requis l’anonymat.

« Mais le navire spécialisé de DOS a quitté la mer d’Irlande samedi et n’atteindra la zone présumée du crash que dans 12 jours environ, après avoir embarqué à Alexandrie les enquêteurs égyptiens et français », a-t-elle ajouté.

Ces informations ont été confirmées par d’autres sources proches de l’enquête, qui évoquent une profondeur d’environ 3.000 mètres dans la zone des recherches, à quelque 290 km au nord de la côte égyptienne.

Trois DETECTOR-6000 d’Alseamar, engins immergés capables de détecter les « pings » jusqu’à 4.000 à 5.000 mètres, ont été embarqués à bord d’un bâtiment de la Marine française, le Laplace, qui a quitté la Corse jeudi. Il doit arriver dans la zone présumée du crash « dimanche, ou lundi au plus tard », selon une des sources.

« Dans l’attente du navire de DOS, équipé pour détecter les +pings+ en eaux très profondes mais surtout de robots capables de descendre jusqu’à 6.000 mètres pour récupérer les boîtes noires, il n’y aura ainsi aucune perte de temps puisque le Laplace tentera de les localiser entre-temps », assure une de ces sources, qui évoque, même dans 12 jours, « de très bonnes chances de récupérer les enregistreurs de vol grâce à la combinaison des deux entreprises françaises ».

Outre trois enquêteurs français du Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) dépêchés au Caire accompagnés d’un expert d’Airbus pour participer à l’enquête sur les causes du crash, deux membres du BEA se trouvent à bord du Laplace, selon le gouvernement français.

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Angelique Kidjo et trois mouvements citoyens africains primés ambassadeurs de conscience

France24 / Afrique - Sun, 29/05/2016 - 14:22
Amnesty International a remis, samedi, à Dakar le prix d'ambassadeur de conscience à la chanteuse Angélique Kidjo et aux membres des ONG africaines Y’en a marre, Balai citoyen et Lucha, d’ardents défenseurs des droits humains.
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Près de 700 migrants pourraient s’être noyés en moins d’une semaine au large de la Libye

LeMonde / Afrique - Sun, 29/05/2016 - 14:01
Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés, qui s’appuie sur les témoignages de survivants, craint que 700 personnes n’aient péri dans trois naufrages.
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Libye: le gouvernement d’union à la peine malgré le soutien international

Maliactu - Sun, 29/05/2016 - 11:00

Deux mois après son installation à Tripoli, le gouvernement libyen d’union nationale (GNA) soutenu par l’ONU peine à stabiliser un pays toujours profondément divisé et devenu une base du groupe Etat islamique (EI).

Le 30 mars, le Premier ministre désigné du GNA, Fayez al-Sarraj, débarquait d’un navire militaire libyen au port de Tripoli, bravant l’hostilité des autorités non reconnues internationalement qui faisaient la loi dans la capitale libyenne depuis août 2014.

Il y annonçait la mise en place d’un nouvel exécutif qui a obtenu l’appui de la communauté internationale, surtout en Europe et aux Etats-Unis. Les autorités non reconnues finissaient par se rallier.

L’arrivée du GNA a ravivé les espoirs d’une sortie de la crise politique, sécuritaire et économique dans laquelle est plongée la Libye depuis la révolte qui chassa du pouvoir Mouammar Kadhafi en 2011.

Livré aux milices armées et meurtri par les violences, ce pays situé à 300 kilomètres des côtes européennes était gouverné par deux autorités rivales, l’une dans l’Est, l’une à Tripoli, un chaos permettant à l’EI d’implanter une base dans la ville de Syrte.

Mais deux mois après l’arrivée du GNA, les espoirs se sont transformés en déception et en inquiétude.

Confiné dans la base navale de Tripoli d’où il gère les affaires et reçoit de hauts responsables étrangers, il peine à pacifier le pays, à chasser les jihadistes de leurs fiefs et à réconcilier les Libyens.

– Pas de soutien dans l’Est –

Le GNA contrôle plusieurs aéroports, bénéficie du soutien de la Banque centrale ainsi que de la Compagnie nationale pétrolière et dispose de capacités militaires (avions, blindés) ainsi que de l’appui de milices basées dans l’Ouest.

Mais il « n’a aucune base dans l’Est » où seule une municipalité, Ajdabiya, le soutient, explique à l’AFP Mohamed Eljarh, expert libyen au Centre Rafic Hariri pour le Moyen-Orient.

L’exécutif de M. Sarraj se heurte à l’ex-gouvernement reconnu par la communauté internationale, basé dans l’Est, qui refuse de céder le pouvoir sans vote de confiance, maintes fois reporté, du Parlement qui lui est affilié.

Ces autorités parallèles contrôlent les régions orientales à l’aide de milices locales et d’unités de l’armée qui leur sont loyales, sous le commandement du général controversé Khalifa Haftar, farouchement opposé au GNA.

Pour Mattia Toaldo, spécialiste de la Libye au groupe de réflexion Conseil européen des relations internationales, « la Libye et le gouvernement d’union ont perdu deux précieux mois faute d’un vote de confiance du Parlement ».

Il déplore que M. Sarraj, très visible sur la scène internationale soit « invisible en Libye » mais surtout « n’ait pas trouvé le temps –ou le courage– de s’adresser à l’Est » pour le rallier à sa cause.

Kader Abderrahim, spécialiste du Maghreb et de l’islamisme à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) à Paris, souligne lui aussi l’absence préjudiciable d’un vote de confiance du Parlement de l’Est.

Le GNA doit « rassembler les Libyens autour d’un projet commun, assurer leur sécurité et entamer des négociations avec les différentes milices afin qu’elles déposent les armes », dit-il. Un processus qui pourrait durer « plusieurs mois ».

– Manquements –

Les clivages avec l’Est empêchent toute lutte unifiée contre l’EI. Les forces du GNA et celles de l’Est sont engagées dans une compétition pour être les premières à lancer l’offensive contre ce groupe extrémiste à Syrte, ville située à 400 km à l’est de Tripoli.

Pour mieux lutter contre les jihadistes, le nouvel exécutif a réclamé la levée de l’embargo sur les armes imposé par l’ONU depuis 2011. Le 16 mai, les grandes puissances se sont engagées à soutenir un assouplissement de l’embargo.

La rivalité avec les autorités de l’Est rendent par ailleurs impossible un contrôle unifié des frontières, facilitant le passage de centaines de milliers de migrants vers l’Europe.

Et économiquement, le GNA peine à redresser la barre malgré les immenses ressources pétrolières. Les prix ont battu des records de hausse depuis 2015, notamment dans l’alimentation, la santé et les transports.

Avec le mois de jeûne du ramadan qui commence début juin, la pénurie de liquidités pour acheter de la nourriture et s’équiper pour remédier aux coupures d’électricité pendant les grandes chaleurs « ne cessent de rappeler aux Libyens les manquements (du gouvernement) Sarraj », dit Mattia Toaldo.

Le « seul acquis du GNA c’est d’avoir obtenu un appui international », déplore Othman Ben Sassi, membre des autorités de transition après la révolte.

Pour M. Abderrahim, « les Libyens sont fatigués des ingérences des Occidentaux et le fait qu’ils aient littéralement imposé Fayez Sarraj ne peut que lui porter préjudice ».

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Mali : Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta pas opposé au retour d’exil de l’ancien président Amadou Toumani Touré

Maliactu - Sun, 29/05/2016 - 10:46
Amadou Toumani Touré ex président du Mali Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a laissé entendre qu’il n’était pas opposé au retour de son prédécesseur Amadou Toumani Touré en exil à Dakar

« Je n’ai aucun problème avec Amadou Toumani Touré, on se verra bientôt. Je n’ai pas fait partir Amadou Toumani Touré, je ne le bloque pas à Dakar. Je sais qu’il m’entend et je le remercie d’avoir initié la journée paysanne au Mali. C’est à son actif », a déclaré le chef de l’Etat samedi à Baguinéda (banlieue de Bamako) lors de la Journée paysanne qui marque officiellement le lancement de la campagne agricole.

« Je suis reconnaissant à mon jeune frère Amadou Toumani Touré, dit ATT, et ex-président de la République du Mali, pour avoir initié la journée du paysan. Beaucoup de choses se disent dans nos relations, mais je sais qu’il n’y a [aucune intrigue ni rien de méchant entre nous]. Merci pour l’instauration d’une journée agricole au Mali. ATT à très bientôt », a indiqué le président malien.

Le retour d’Amadou Toumani Touré était une revendication clé de la marche de l’opposition et du grand meeting « An ka ben » (Donnons-nous la main) organisés le 21 mai dernier par les partisans de l’ancien dirigeant du pays.

Ces derniers temps, des voix s’élèvent fréquemment dans la classe politique (majorité et opposition) pour réclamer ce retour, car certains estiment que « l’exil d’ATT est une honte pour la République et la démocratie maliennes ».

Né le 4 novembre 1948 à Mopti (centre), Amadou Toumani Touré est un général de l’armée malienne. Face à la sanglante répression de l’insurrection populaire de janvier-mars 1991, il avait pris ses responsabilités et fait déposer le 26 mars 1991 le général Moussa Traoré, à la tête d’une junte militaire. Il était alors lieutenant-colonel.

Après la transition démocratique (mars 1991-juin 1992), ATT a abandonné la tenue militaire pour se présenter aux élections présidentielles, qu’il remporte en 2002 avant d’être victime d’un coup d’Etat le 22 mars 2012 lors de son second mandat.

Après ce putsch, le président s’est exilé à Dakar avec sa famille en se tenant à l’écart de la vie politique de son pays.

Le 27 décembre 2013, le gouvernement malien a saisi l’Assemblée nationale, où siège la Haute Cour de justice, pour le juger pour « haute trahison » en raison de son rôle dans la crise qui a entraîné sa chute et l’occupation du nord du pays par les rebelles touaregs et les djihadistes.

Le parlement n’a pas encore pris de décision.

Source: Agence de presse Xinhua
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Le plus vieil homme du monde, âgé de 256 ans, révèle les secrets de sa longévité.

Maliactu - Sun, 29/05/2016 - 10:43
Li Ching Yuen, un chinois aurait passé 256 ans sur la terre des hommes. Il serait né en 1677 et mort en 1933. Avant de mourir, il a révélé les secrets de sa longévité. Vraiment incroyable quand on sait que l’espérance chez les occidentaux se situe entre 70 et 85 ans

Selon un article du New York Times paru en 1930, Wu Chung-chieh, professeur émérite de l’université de Chengdu, a découvert des manuscrits du gouvernement impérial chinois en date de 1827 qui félicitent Li Ching-Yuen pour son 150ème anniversaire et d’autres documents attestent qu’il a aussi été félicité pour son 200ème anniversaire en 1877.

 

Li Ching Yuen aurait commencé sa carrière d’herboriste à l’âge de 10 ans, où il a rassemblé des herbes des chaînes montagneuses et a appris à connaitre leur puissance en matière de longévité. Pendant près de 40 ans, il a survécu grâce à un régime d’herbes telles que le lingzhi, la baie de goji, le ginseng sauvage, l’il Shoo wu et le gotu kola ainsi que le vin de riz.

Selon les récits généralement reconnus et racontés dans sa province, Li a été en mesure de lire et d’écrire quand il était encore un enfant en bas âge, et à l’occasion de son dixième anniversaire il a voyagé en Kansu, Chansi, au Tibet, à Annam, dans l’empire Siam et la Mandchourie pour récolter des herbes.

En 1749, à l’âge de 71 ans, il rejoint les armées chinoises en tant que professeur d’arts martiaux.

Pendant ses cent premières années, il a poursuivi les recherches de sa profession. Puis il est passé à la vente d’herbes recueillies par d’autres personnes.

Wu Pei-fu, le guerrier qui est allé le voir pour connaitre tous ses secrets, voici la réponse du vieillard « Restez calmes dans votre cœur, asseyez-vous comme une tortue, marchez comme un pigeon et dormez comme un chien. »

Li maintient qu’une vie intérieure paisible combiné à des techniques de respirations étaient les secrets pour une longévité incroyable. Evidemment, son régime alimentaire a joué un rôle important. Mais c’est fascinant de voir qu’une vieille personne a pu vivre aussi longtemps sans ne jamais perdre la tête.

Li qui s’est marié 23 fois et engendré plus de 200 enfants disait être un personnage bien-aimé de sa communauté.

Sur son lit de mort, le vieil homme a déclaré « j’ai fait tout ce que je devais faire dans ce monde. »

Lambert Kouamé

Source: Before It’s News

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MCA : Kerbadj confirme la tenue des derbies au 5-Juillet

Algérie 360 - Sun, 29/05/2016 - 09:46

Le président de la LFP, Mahfoud Kerbadj, lequel brigue un nouveau mandat, avait déclaré dernièrement sur les ondes d’El Heddaf TV qu’il était inconcevable de domicilier le Mouloudia au stade du 5-Juillet. Une enceinte devenue le théâtre des matches derbies. Et bien que le mouloudia version Omar Ghrib ait fait du retour au stade olympique une priorité, le Doyen devra se heurter au niet des autres clubs, comme l’a confirmé le premier responsable de la LFP. Une situation qui met dans l’embarras le vieux club algérois qui ne veut plus entendre parler d’une autre saison au stade Omar- Hamadi trop exigu pour le public mouloudéen.
Menad insiste mordicus pour le stade olympique 
Lors de sa nomination à la tête du vieux club algérois, Djamel Menad avait exigé le retour au stade du 5-Juillet comme une condition sine qua non pour partir à la conquête de l’Afrique. Seulement, les instances de notre football ne l’entendent pas de cette oreille. Le fait de repartir pour une autre saison à Bologhine ne semble nullement enthousiasmer Menad qui garde un très mauvais souvenir de cette enceinte de Omar-Hamadi. Le technicien algérois insiste toujours auprès de son employeur afin qu’il insiste pour recevoir dans le temple du football national, comme en 2013.
Kerbadj : «Je ne suis pas contre le MCA, mais le 5-Juillet sera consacré uniquement aux derbies»
Lors de son intervention sur les plateaux de l’ENTV, Mahfoud Kerbadj a tout de suite mis fin aux spéculations. «Il faut savoir que je ne suis pas contre le Mouloudia. Mais le stade du 5- Juillet sera consacré uniquement aux derbies car il faut aussi savoir que les autres clubs ne vont certainement pas approuver le fait que le MCA y soit domicilié», dira le président de la ligue qui a été catégorique à ce propos.
«Exiger sept espoirs dans l’effectif professionnel serait impossible à mettre en place»
A propos de cette décision d’imposer sept espoirs dans le groupe professionnel comme cela se fait dans le championnat d’Argentine, serait très difficile voire impossible à mettre sur pied comme l’a affirmé Kerbadj avec franchise. «On ne va pas se leurrer, ce serait très difficile voire impossible d’exiger de chaque club sept espoirs dans l’effectif professionnel. C’est très difficile d’appliquer cette règle. On tâchera de trouver une solution intermédiaire qui arrangerait tout le monde», dira Kerbadj avant d’ajouter : «Pour ce qui est des 22 licences, cette décision sera appliquée à la lettre».
Menad : «Je n’accepterai de jouer qu’au 5-Juillet et nulle part ailleurs »
A la question de savoir s’il se voit apte à changer son plan d’attaque en se produisant la saison prochaine au stade de Bologhine, Djamel Menad se veut catégorique : «Le stade du 5-Juillet nous permet de produire du beau jeu. A Bologhine, il y a cette pression qui devient pesante. Les joueurs ne peuvent s’exprimer pleinement dans cette enceinte très exiguë. En ce qui me concerne, je n’accepterai de jouer qu’au 5-juillet et nulle part ailleurs car c’est la seule manière qui pourrait nous permettre d’être en adéquation avec les objectifs assignés par la direction».

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JSK : Officiel : Berchiche, Ferhani et Rahal maintenus

Algérie 360 - Sun, 29/05/2016 - 09:42

Lors d’une réunion avec le président Hannachi, le coach Kamel Mouassa avait exigé de prolonger les joueurs en fin de contrat, afin de garder l’ossature en prévision de la saison prochaine. Et comme prévu, quatre joueurs ont déjà donné leur accord définitif pour rempiler. Ils seront officiellement Canaris la saison prochaine, à savoir Rial, Raïah, Ferrahi et Aïboud. Mais hier après-midi, nous avons appris que trois autres éléments feront aussi partie du groupe à l’avenir. En effet, le défenseur Berchiche qui a été annoncé partant, n’ira finalement nulle part. C’est le cas aussi de Ferhani qui, pourtant est convoité par plusieurs clubs, de Tunisie surtout. Le dernier joueur qui a séduit Mouassa n’est autre que Rahal. Brillant à son tour au milieu de terrain, l’ancien Béjaoui compte honorer son contrat jusqu’au bout.
Ziti partant ! 
Par ailleurs, l’arrière droit, Mohamed Khoutir Ziti, qui se trouve en Equipe nationale, va devoir se chercher un club preneur. En effet, la direction veut se séparer de ses services. Il est donc partant. A en croire nos sources, il aurait tout conclu avec Hammar pour un retour à l’Entente de Sétif.
 

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Ghezzal «Le coach peut compter sur moi face aux Seychelles»

Algérie 360 - Sun, 29/05/2016 - 09:42

A l’arrivée à l’aéroport de Victoria, Rachid Ghezzal a bien accepté de répondre à nos questions. Le joueur de l’OL a évoqué plusieurs sujets dont le long voyage effectué d’Alger à Victoria, la rencontre de ce jeudi face aux Seychelles ainsi que son avenir.
  Tout d’abord, comment s’est déroulé le voyage vers les Seychelles ?
Il est vrai que le voyage a été très long pour nous. Nous avons fait presque dix heures de vol pour arriver à Victoria. Nous sommes très fatigués, mais je pense que nous allons avoir largement le temps pour bien récupérer. Il reste encore quatre jours avant ce match et nous allons donc bien récupérer pour aborder cette confrontation face aux Seychelles dans les meilleures conditions possibles.
 Comment se présente pour vous le match de ce jeudi face aux Seychelles ?
La rencontre s’annonce bien évidemment très difficile dans la mesure où nous allons affronter une bonne équipe des Seychelles qui veut s’imposer. Nous mesurons la difficulté de la tâche qui nous attend. En ce qui nous concerne, nous voulons assurer dès ce jeudi la qualif’ pour la prochaine CAN 2017 au Gabon. Nous allons jouer le match de jeudi avec l’intention de le gagner, même si nous savons qu’un seul point peut nous suffire pour nous qualifier.
Sur un plan personnel, êtes-vous prêt à tenir votre place ce jeudi face aux Seychelles ?
Bien sûr que je suis prêt à disputer cette rencontre. Si le coach décide de me faire confiance, je ferai alors tout mon possible pour donner le meilleur de moi-même et d’apporter un plus à l’EN. Le coach peut compter sur moi face aux Seychelles.
 Un mot sur votre avenir, vous qui êtes convoité par plusieurs clubs européens ?
Je n’ai aucune information à ce sujet. Vous n’êtes pas sans savoir que le marché des transferts n’a pas encore ouvert ses portes. Je suis pour l’instant concentré sur le prochain match de l’EN face aux Seychelles. J’irai par la suite en vacances avant de décider de mon avenir.

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USMA : Sayoud Usmiste, c’est en bonne voie

Algérie 360 - Sun, 29/05/2016 - 09:42

Auteur d’une belle saison à l’image de son équipe, le DRBT, Amir Sayoud est revenu en force, ce qui lui a permis de taper dans l’œil des recruteurs des grands clubs de Ligue 1 Mobilis, à l’image de la JSK, du MCA et de l’USMA. A ce sujet, nous avons appris qu’un contact s’est noué depuis plusieurs jours et les négociations entre les deux parties sont en bonne voie. Une information que ni les responsables usmistes ni le joueur n’ont voulu confirmer mais tout sera clair lors des prochains jours. Pour rappel, le milieu de terrain offensif formé en Egypte, plus précisément à Al-Ahly, est toujours sous contrat et ne sera libre qu’en juin 2017. Une situation qui n’a pas découragé les dirigeants des formations les plus huppées du championnat national de tenter leur chance pour espérer convaincre le natif de Guelma qui a évolué également en Bulgarie ou encore en Tunisie où il a porté les couleurs du CS Sfaxien d’opter pour leurs formations. Nous y reviendrons…
Beldjilali OK pour rester
De retour au sommet de son niveau ces derniers temps, Kaddour Beldjilali, qui avait décidé dans un premier temps de quitter le club une fois que la saison actuelle sera terminée, est revenu finalement de meilleurs sentiments. A croire une source proche du joueur, ce dernier a pris la décision de poursuivre l’aventure avec les champions d’Algérie, au moins pour une année supplémentaire, lui dont le contrat n’expirera qu’en juin 2018. Une bonne nouvelle pour les responsables et les supporters vu les qualités et l’expérience de cet élément. Une expérience qui ne fera que du bien pour son équipe surtout sur la scène internationale où les Rouge et Noir ont pour objectif de faire mieux que lors de leur dernière participation en Ligue des champions Orange 2015.

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ESS/Belhani indisponible pour trois mois L’Entente dépose plainte contre Chaouchi

Algérie 360 - Sun, 29/05/2016 - 09:41

L’incident qui s’est produit avant-hier à la fin du match MCA-ESS où Abderaouf Belhani fut agressé par des supporters du MCA avant que Chaouchi ne vienne y mettre son grain de sel a eu des conséquences néfastes pour reprendre l’expression de Hassan Hammar en ce sens que l’Entente va perdre son portier pour une durée minimum de trois mois. Le gardien sétifien, blessé au bras après l’accrochage qu’il a eu avec lesdits supporters et le gardien mouloudéen, Faouzi Chaouchi, a effectué hier des radios pour déterminer la nature de sa blessure, d’autant qu’il avait du mal à bouger son bras.

Belahni sera opéré aujourd’hui en urgence

La mauvaise nouvelle est vite tombée. Belhani souffre de fractures de la main et son médecin traitant a jugé urgent de l’opérer.  Le gardien sétifien passera aujourd’hui sur le billard, car, nous fait-on savoir, ces fractures peuvent se compliquer s’il n’est pas opéré très vite. Bien entendu, Belhani devra observer une période de convalescence après l’opération et, là aussi, le malheureux apprend qu’il ne pourra pas reprendre l’entraînement ou utiliser sa main avant trois mois. Belhani était abattu, lui qui ne pensait pas que c’était aussi grave et qui espérait reprendre très vite pour rejoindre le groupe qui prépare la phase de poules de la Ligue des champions africaine.

L’arbitre Mial aurait signalé Chaouchi dans son rapport

Vu la gravité des faits et les conséquences, la direction de l’ES Sétif a décidé de porter plainte contre le gardien du MCA, Faouzi Chaouchi, pour coups et blessures, préjudice moral, financier et sportif en ce sens que le club de Aïn El Fouara va être obligé de se séparer des services de son gardien pendant presque toute la phase de poules et devra en plus recruter un autre gardien pour seconder Khedaïria. Chaouchi, selon les responsables de l’Entente, est l’agresseur de Belhani, et l’arbitre, Mial, selon la direction de l’Entente, n’a pas omis de le mentionner dans son rapport.

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Belhani : «Un joueur du MCA m’a frappé par derrière juste pour gagner la sympathie des supporters»

D’abord, quel commentaire faites-vous du match nul réalisé face au MCA ?
On est bien entrés dans ce match en raison de la tension et de la pression qui avaient régné autour de cette rencontre, car notre équipe était constituée de jeunes joueurs inexpérimentés qui n’avaient pas l’habitude de jouer dans de telles conditions. À la mi-temps, l’entraîneur a su comment recadrer l’équipe et nous sommes parvenus à revenir dans le match, car on avait à cœur de le gagner. Malheureusement, on s’est contentés de ce match nul.
La fin du match a connu de graves incidents où on vous a accusé de les avoir provoqués. Que répondez-vous ?
Quand nous avons marqué le deuxième but, celui de l’égalisation, je l’ai fêté à ma manière et je crois j’en avais le droit, non ? À ma grande surprise, deux supporters du Mouloudia sont entrés sur le terrain et ont voulu m’agresser. Est-il normal que des supporters fassent irruption sur le terrain pour aller agresser un joueur ? La place d’un supporter est dans la tribune. Il peut supporter ou insulter celui qu’il veut, mais dans la tribune. Ce sont ces supporters qui sont venus jusqu’à moi sur le terrain, ce n’est pas moi qui suis allé dans les tribunes. Comment peut-on dire alors que c’est moi qui ai provoqué ces incidents ? C’est à ne rien comprendre. Mais pour moi, il y a autre chose qui m’a le plus fait mal.
C’est quoi ?
C’est le fait qu’un joueur du MCA (Il n’a pas cité son nom mais il parlait de Chaouchi) s’est rallié aux deux supporters pour m’asséner un coup de derrière. Normalement, il devait me protéger ou du moins essayer de calmer les deux supporters. Mais il a voulu faire l’intéressant pour gagner la sympathie des supporters du MCA. Je ne sais pas comment qualifier cela.
Et qu’en est-il de votre blessure (il portait une attelle au bras) ?
Suite à cet accrochage, j’avais mal au bras et ma main s‘est enflée. Par précaution, on m’a mis une attelle et je vais faire des radios pour voir de quoi s’agit-il. J’espère reprendre l’entraînement le plus tôt possible.

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USMH : Aït Ouamar exige trois mois de salaires avant toute négociation

Algérie 360 - Sun, 29/05/2016 - 09:36

On croit savoir de sources bien informées que les dirigeants, comptent convoquer les joueurs un par un la semaine prochaine pour entamer les négociations financières en perspective de la saison prochaine. Toutefois, la situation ne s’annonce pas facile lorsqu’on sait que le club doit encore six à sept mois de salaires aux joueurs qui espèrent avoir la totalité de leur dû avant la reprise des entraînements. C’est le cas d’Aït Ouamar qui selon une source sure, aurait exigé trois mois de salaires avant toute négociation. Une situation peu confortable pour le président Harrachi qui devra se procurer l’argent pour pouvoir garder cet élément. Mais le cas Aït Ouamar n’est pas le seul puisque d’autres joueurs devraient faire de même. Laïb n’a pas les moyens pour garder tous les cadres. En plus, si les cadres quittent l’USMH, il faut recomposer l’effectif en perspective de la saison prochaine. Recomposer tout un effectif n’est pas une mince affaire, n’est-ce pas ? De toute façon, plusieurs éléments-clés sur l’échiquier songent à présent à changer d’air du moment qu’ils peuvent ramener le plus logiquement leur lettre de libération en échange de l’argent qu’ils n’ont pas encore perçu.

Coumbassa pourrait être transféré à l’étranger 
Le président Laïb peut être rassuré par rapport à Boughidah, Lebihi, Herrag, Boulakhoua, Younes, Zeghba, Boucherit et Dekhinet, qui sont encore liés au club pour une autre saison dans la mesure où leurs contrats n’arriveront à expiration qu’en juin 2017. C’est aussi la même situation du buteur de l’équipe, Coumbassa qui ne pourra partir que s’il arrive à décrocher un bon contrat professionnel. Laïb ne le cédera pas aussi facilement, surtout que c’est un élément qu’on ne remplace pas facilement.

Un départ massif attendu cet été
Parmi les joueurs de l’USMH, nombre d’entre eux sont considérés comme libres à l’image de Boulakhoua, Gharbi, Aït ouamar Chaal, Benaldjia, et auront désormais la possibilité de décider de leur avenir sans l’aval de leur employeur. Partant du fait, d’être libres, cela devrait les inciter encore plus à répondre à l’appel des sirènes surtout que beaucoup d’entre eux, sont convoités. Cela dit, on serait tenté de croire qu’il y aura un départ massif au cours des prochains jours. Certains ont déjà tranché quant à leur future destination. Partant de là,  la saignée devient d’autant plus inévitable que les joueurs de l’USMH dont certains, sont presque tous sur le départ et que la direction du club ne dispose d’aucune alternative pour les retenir surtout si l’argent prévu n’arrive pas. Un autre handicap pour les dirigeants harrachis qui, en plus, de l’absence de moyens financiers, devraient faire face aux multiples départs.

Même la direction n’est pas prête à garder tous les joueurs  
Du côté de la direction du club, on n’est pas intéressé par l’idée de renouveler le contrat à tous les joueurs. L’USMH ne gardera donc que les joueurs dont elle aura besoin. Autrement dit, les autres qui sont en fin de contrat sont appelés à chercher un club preneur. Cependant cette décision pourrait se retourner contre  les dirigeants harrachis s’ils n’arrivent pas à concrétiser le recrutement des joueurs convoités.  Dans ce cas, ils seront contraints de préserver tous les joueurs et se retrouver ainsi avec le même effectif que la saison passée.
NR

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