Soutien tacite de Nouakchott au Polisario, renforcement de la présence militaire mauritanienne à Lagouira, amputation du Sahara de la carte du royaume, non renouvellement des permis de travail pour les cadres marocains... Rarement les relations entre Rabat et son voisin du sud auront été aussi tendues depuis vingt ans.
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Le gouvernement ivoirien a donné son feu vert, mercredi, à un vaste programme de développement, d'un coût de global de 3 760 milliards de F CFA entre 2016 et 2020.
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Pas seulement un problème de santé publique, la malnutrition est un frein colossal à l'activité économique : telles sont les conclusions d'une étude menée au Ghana, où le coût de la faim s'élèverait à 2,6 milliards de dollars chaque année.
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Jean-Francis Bozizé, le fils de l'ancien président, a été arrêté vendredi matin à Bangui alors qu'il venait de faire son retour dans la capitale centrafricaine.
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Ali Gomaa, ex-mufti d'Égypte, a échappé aujourd'hui à une tentative d'assassinat près de sa résidence dans la banlieue du Caire. D'après le ministère de l'intérieur, son garde du corps a été blessé.
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Slimane Bouhafs, 49ans, citoyen algérien (natif de la commune de Bousselam, daïra de Bouandas, wilaya de Sétif) de confession chrétienne est «en prison depuis près d’une semaine à Sétif», affirme, à El Watan Week-end, ayant réussi à joindre par téléphone un membre de sa famille, ce dernier assure que son proche serait accusé d’avoir «porté préjudice à la religion musulmane et au code du pays à travers des écrits et des photos partagés sur les réseaux sociaux».
«Slimane Bouhafs a été interpellé, près de chez lui vers 16h, par les services de la cybercriminalité relevant de la Gendarmerie nationale, le 31 juillet dernier » précise-t-il. « Nous n’étions pas présents, mais des témoins ont affirmé l’avoir vu rentrer chez lui avec deux personnes, dont une femme (services de sécurité). Nous pensons qu’ils ont pris des photos à l’intérieur et ont même fouillé ses affaires.» La même personne poursuit : «Sauf son fils a pu le revoir en prison. D’autres membres de sa famille ont tenté de lui rendre visite, mais ils ont vu leur demande refusée, car on leur a dit qu’il n’a droit qu’à une seule visite bimensuelle de 5 personnes.»
Slimane Bouhafs, au parcours multiple dans différents corps constitués, a été introduit très jeune, selon sa famille, dans les rangs de la garde présidentielle, puis dans la police nationale avant d’achever sa carrière, à l’âge de 34 ans, à cause de problèmes de santé, comme garde du corps personnel.
«Nous ne pensons pas qu’il a été arrêté à cause de sa confession chrétienne, qui n’est, selon nous, qu’un prétexte pour justifier son interpellation » insiste un proche. « Il est connu pour être un fervent défenseur de la démocratie et de la laïcité en Algérie. Il ne reculait devant rien. Il gérait plusieurs pages Facebook où il s’exprimait souvent. Il reste un opposant farouche au système et ne mâchait jamais ses mots, raison pour laquelle, nous pensons aujourd’hui qu’il est détenu pour ses activités politiques.»
La famille Bouhafs craint que la santé de son proche ne se dégrade en prison. «Slimane souffre de la goutte, c’est une maladie due à la présence très forte d’acide urique dans son sang. Il ne peut se soigner dans un lieu comme la prison», insiste un membre de sa famille.
Et d’ajouter : «Nous ignorions qu’il était jugé au tribunal de Beni Ouartilane (Sétif). Quand l’avocat chargé de sa défense est parti se constituer, on lui a refusé ce droit sous prétexte que Slimane Bouhafs avait refusé l’idée d’avoir un avocat. Mais nous pensons que ce n’est qu’un mensonge pour le laisser sans défense » assure la même personne. « Le problème est que nous ne pouvons lui rendre visite que dans une semaine.» La famille ignore ce qu’a requis le parquet, car personne, selon elle, n’était informé de la date de son jugement. Néanmoins, on affirme que le verdict serait connu ce dimanche 7 août.
"La technologie et l'innovation jouent un rôle-clé dans la lutte contre le paludisme. Des outils de surveillance, ainsi que la modélisation et les données cartographiques du paludisme nous aident à mieux comprendre la maladie et à la combattre", estime l'ancien président de Tanzanie dans une tribune à "Jeune Afrique".
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Dans un entretien accordé au site d’information TSA-Algérie, le président du Réseau algérien pour la défense des droits de l’enfant, Abderrahmane Arar revient sur la mort de Nihal et le dispositif d’alerte concernant les enlèvements d’enfants.
A la question sur l’insuffisance des mesures prises pour faire face aux enlèvements d’enfants, Mr Arar affirme que les facteurs de ces derniers sont toujours là, à savoir « la délinquance et la criminalité » qui ne cessent de prendre de l’ampleur. Il ajoute aussi que « l’approche sécuritaire, seule, ne peut pas faire face à ce défi et à ce problème d’enlèvement d’enfants. »
Il propose de revoir le dispositif de vigilance lié à l’enlèvement des enfants. N’impliquant que la police et la gendarmerie, il propose d’y introduire d’autres acteurs tels que les associations, les média, et la famille.
Questionné sur la responsabilité de ces enlèvements, il stipule que tout le monde y a sa part, des parents aux autorités, en passant par les citoyens.
Pour ce qui est de la peine de mort, il se trouve y être favorable, et affirme même qu’elle pourrait réduire le phénomène de 80%.
Le cofondateur de l'International Trading Oil and Commodities (négoce de brut et de produits raffinés) va présider le conseil d'administration de la filiale sénégalaise du suisse Puma Energy (stockage et distribution pétroliers).
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Tous les quatre ans, c’est la même histoire. Plusieurs mois avant le début des Jeux olympiques, les spéculations sur l’identité du dernier relayeur de la flamme olympique envahissent les médias du pays hôte des JO, et sans surprise, le Brésil n’y fait pas exception, et bien malgré la discrétion de l’organisation, des favoris se dégagent.
Quelques heures avant la cérémonie d’ouverture – qui se tient vendredi 5 août au célèbre Maracaña à 20 h locales (minuit heure Algérienne) – deux favoris semblent tenir la corde : Pelé et Guga. Deux idoles du sport brésilien qui, à leur manière, ont marqué les esprits bien au-delà des frontières du continent américain.
Le premier, considéré par beaucoup comme le plus grand footballeur de tous les temps, est une véritable icône. Pelé, 76 ans en octobre prochain, reste le seul à ce jour à avoir soulevé la Coupe du monde à trois reprises. Élu joueur du XXe siècle par la Fifa, il fait figure de premier choix dans cette course au dernier relais de la flamme.
L’autre grand prétendant à cet immense honneur est le tennisman Gustavo Kuerten. Triple vainqueur de Roland-Garros, il apparaît surtout comme le choix le plus consensuel. L’ancien numéro 1 mondial, 39 ans, est adulé depuis près de deux décennies, en témoigne l’accueil qu’il a reçu à Roland-Garros, en 2016, pour remettre le trophée du tournoi masculin.
Pour autant, si une finale entre ces deux grands messieurs du sport brésilien semble se dessiner, les cérémonies d’ouverture des JO réservent parfois bien des surprises. À l’exception de l’athlète Cathy Freeman, qui avait transmis le feu olympique dans l’immense vasque du stade olympique de Sydney en 2000, tous les élus ou presque l’ont été à la surprise des attentes.
L'opérateur télécoms panafricain a été durement affecté par l'amende record imposée à sa filiale nigériane. Le groupe a annoncé une baisse de -48 % des dividendes au premier semestre.
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Korryn Gaines, citoyenne américaine âgée de 23 ans, s’est barricadé à l’intérieur de son appartement Randallstown avec son fils de cinq ans et a lancé une diffusion en ligne sur Facebook, où elle communiquait avec des abonnés et discutait de sa situation. Devant être jugée pour infraction au code de la route et des délits mineurs, et ne s’étant jamais présentée à son procès, la police a fait irruption à son domicile.
L’arrestation a mal tourné au moment où la jeune femme a pris un fusil de chasse et a commencé à menacer les policiers. Par conséquence, l’un des policiers a tiré, la jeune femme a tenté de riposter à deux reprises. Les policiers ont dû abattre la jeune délinquante. Son fils de cinq ans a été blessé.
Selon le chef de la police de Baltimore, Jim Johnson, la police s’est adressée à l’administration de Facebook et d’Instagram pour bloquer les comptes de Mme Gaines. Les abonnés l’appelaient notamment à désobéir à la police.