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Afrique

Togo/ Les transporteurs routiers en coopérative pour faire face aux défis du secteur

Togo Actualités - Sat, 20/02/2016 - 16:32
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La Coopérative Nationale des Transporteurs Routiers du Togo (CNATROT) est portée sur les fonds baptismaux ce jeudi 18 Février 2016 à Lomé, lors d’une assemblée générale constitutive.
 
Selon M. Kokou Wolou ABODJI, Président du CNATROT, une nouvelle ère commence ainsi pour le transport routier togolais. « Parler aujourd’hui d’une coopérative nationale des transporteurs routiers me réjouit car nous allons ensemble écrire une nouvelle page de l’histoire du transport routier togolais. Sans porter les gans pour le dire, notre transport routier est en retard. Face aux défis majeurs de l’heure, il est important de professionnaliser le secteur en nous mettant en coopérative au risque de nous voir disparaitre. C’est l’ardent désir exprimé par tout un chacun de nous lors de nos multiples rencontre d’échanges », a-t-il indiqué.
 
Le Directeur de Cabinet du Ministère des Infrastructures et des Transports, M. Mawoutoè FATONZOUM, a pour sa part, invité les entreprises de transport de marchandises à adhérer à la coopérative. Car soutient-il, « c’est l’union qui fait la force, l’union pour lever les défis du transport des marchandises par la route, l’union pour avoir un parc neuf, l’union pour mériter la confiance des pouvoirs publics et des partenaires ».
 
Aussi, a-t-il rassuré de l’engagement du gouvernement à accompagner les transporteurs pour qu’ils atteignent les cimes escomptés et exhorté les dirigeants de la coopérative à se montrer à la hauteur des missions que les membres leur confieront. « En portant sur les fonds baptismaux cette entreprise de coopérative, le gouvernement a répondu à vos attentes et sollicitations pour vous doter d’un outil important. C’est de votre engagement à adhérer massivement à cette entreprise de coopérative et à l’aune des résultats obtenus que le gouvernement et nos partenaires techniques et financiers décerneront leur quitus à la coopérative pour le sérieux de sa gestion », a-t-il souligné.
 
La création des sociétés coopératives est définie par les actes uniformes de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) dont le Togo est membre. Aux termes des actes uniformes de l’OHADA, une coopérative « est un regroupement autonome de personnes volontairement réunies pour satisfaire leurs aspirations et besoins économiques, sociaux et culturels communs , au moyen d’une entreprise dont la propriété et la gestion sont collectives et où le pouvoir est exercé démocratiquement et selon les principes coopératifs ».
 
Hélène Doubidji
 
source : togotopnews
 

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Le TP Mazembe s'offre une 3e Super Coupe

Afrik.com - Sat, 20/02/2016 - 16:30
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OBUTS fera volontiers une entrée dans le prochain gouvernement

Togo Actualités - Sat, 20/02/2016 - 16:11
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L’adoption récente du décret d’application de la loi portant statut de l’opposition, a fait couler beaucoup d’encres et de salives. Fidèle à notre leitmotiv qui est de donner la parole à tous les acteurs, Elite d’Afrique a tendu le micro à Gérard ADJA, premier vice-président du parti Organisation pour Bâtir dans l’Union un Togo Solidaire (OBUTS). « Cette loi en l’état, est à saluer, mais comporte des injustices », rappelle le bras droit d’Agbeyomé Kodjo dans cet entretien. Pour M. Adja, il est indispensable de réorganiser l’opposition, pour éviter d’abandonner le peuple et ouvrir ainsi un boulevard aux abus. Le parti de l’ancien premier ministre Kodjo, n’exclut pas une participation au prochain gouvernement, et assure que ses membres sont disposés à apporter leurs compétences s’ils sont sollicités. Lecture.
 
 
Elite d’Afrique : Un débat a lieu actuellement autour de la personne qui devrait incarner le chef de file de l’opposition, quelle est votre position à l’OBUTS par rapport à ce débat ?
 
Gérard Adja : D’abord je voudrais vous remercier pour l’opportunité que vous me donnez pour exprimer mon point de vue sur cette situation qui fait la une ces temps-ci. Je dirai que c’est une bonne chose d’avoir un statut de l’opposition ; et je crois que le gouvernement est à saluer et à féliciter d’avoir pensé à réglementer la vie politique dans notre pays en faisant voter cette loi. Pourtant, dans le vote de la loi, il y a eu des injustices comme le cas de l’article 2, qui dit que sont de l’opposition, les partis politiques qui se déclarent comme tel à l’assemblée nationale. Et les partis qui ne sont pas à l’assemblée nationale et qui n’ont pas l’opportunité de se déclarer à l’opposition en ce moment là ils sont de quel côte ? De l’opposition ou du parti au pouvoir ?
 
Donc il y a cette incongruité au niveau de la loi. Je pense que le parti majoritaire et les partis de l’opposition à l’assemblée nationale qui ont accepté cette loi dans cette configuration ont commis une faute contre l’ensemble des partis politiques de l’opposition parce que ce n’est pas normal que les choses soient ainsi. Cette loi adoptée comme tel, pose un autre problème, parce que si on dit qu’il faut juste aller se faire enregistrer comme étant de l’opposition et puis on l’est ou bien on le devient, je pense qu’il y a un problème, parce que toutes les manœuvres sont possibles lorsqu’il s’agira à certain niveau de faire les choses de manière équitable; et on demandera qui est de l’opposition, qui n’est pas de l’opposition.
 
 

Cette loi donnera l’occasion de faire des manœuvres


 
 
Donc les partis de l’opposition à l’assemblée nationale auraient pu voir cette subtilité et éviter que cette loi soit votée comme tel ou proposer des amendements pour que la loi soit un peu plus juste. Donc a mon avis, à ce jour, cette loi est bienvenue mais elle reste à améliorer. Maintenant pour aller plus directement sur l’intention de votre question, je crois que c’est bien que le statut soit fixe, c’est bien qu’on définisse des conditions pour que le chef de fil de l’opposition puisse aussi faire un travail digne de l’opposition. C’est une bonne chose mais, l’interprétation que les uns et les autres font de cette nouvelle et puis la manière dont on prend les choses me paraît moi un peu chaotique, parce que j’ai comme l’impression qu’on ne voit pas l’essentiel qu’il faut faire en ce moment.
 
 
EA : Et quel est l’essentiel selon vous ?
 
Gérard Adja : une réorganisation de la vie politique dans notre pays, c’est ça pour moi l’essentiel ; une réorganisation de la vie politique autant au niveau du pouvoir qu’autant au niveau de l’opposition, parce que vous savez le pouvoir n’est crédible que lorsqu’il y a une opposition crédible. Alors si le pouvoir tout le temps cherche à affaiblir l’opposition je crois que c’est lui-même qui s’affaibli, parce que d’un moment à un autre quand l’opposition n’aura plus de mots à dire et que le pouvoir semblera être sur un boulevard, tous les abus seront permis et le peuple en ce moment serait abandonné à lui-même. Un peuple abandonné à lui-même pourra à tout moment faire des choses qui ne sont pas tolérables et c’est ce que nous avons constaté un tout petit peu avant les fêtes de fin d’année, quand l’insécurité grandissait à Lomé un peu partout. Tout le monde criait mais, on avait l’impression qu’il a démission du pouvoir, l’opposition n’avait pas son mot à dire, parce que qui va dire quoi, contre qui ?
 
Le peuple semblait être voué à la merci de tous ces gangs là qui opéraient au vu et au su de tous. Personne n’a pu rien dire et le peuple se défendait tel qu’il pouvait. Et donc je crois que c’est des choses comme ça qu’il faut éviter en faisant en sorte que le parti au pouvoir soit bien organisé, travaille dans l’intérêt général et que l’opposition soit aussi bien organisée et travaille pour que le pouvoir en place puisse recadrer ou recadre les mauvais comportements pour que le peuple en bénéficie dans tous les cas. C’est l’essentiel à mon avis.
 
 
EA : est-ce que le débat aujourd’hui au tour de la question du statut de l’opposition du chef de file de l’opposition n’éloigne pas des questions prioritaires aujourd’hui notamment des réformes constitutionnelles et les élections locales ?
 
Gérard Adja : Cela ne devrait pas en principe, parce que c’est aussi une nécessité qu’on essaie de réorganiser un peu dans la vie politique dans notre pays. C’est une bonne chose, mais le débat concernant les reformes et les élections locales est permanent et on doit arriver à bout de ces reformes là. Je crois aussi qu’il est vrai que le pouvoir peut, à bon droit, essayer de manœuvrer pour retarder le plus possible ces reformes là, parce qu’il faut noter que si le pouvoir a l’opportunité de faire trainer les choses c’est parce que nous-mêmes qui sommes de l’opposition leur donnons cette opportunité.
 
 

Si on usait d’un peu plus d’intelligence et de savoir faire, on aurait plus contraindre le pouvoir à faire ces reformes à un moment donné.


 
 
Nous avons commis des erreurs du côté de l’opposition et jusqu’à présent ceux qui sont au devant de cette opposition et qui devraient normalement permettre que ces reformes soient faites n’ont pas joué un bon rôle; il faut qu’ils le sachent et le reconnaissent pour qu’ils cherchent surtout à recoller les morceaux et puis à se remettre en cause pour définir une nouvelle et bonne stratégie parce que si nous voulons continuer avec les mêmes pratiques, les mêmes méthodes sachant que les résultats seront les mêmes, nous ferons du surplace.
 
Les reformes sont toujours d’actualité même si on en parle pas. Il y a des contacts, des discussions en coulisses pour que les reformes aient lieu ; c’est la pression qu’il faut mettre qui manque aujourd’hui. Quel moyen a t- on pour la pression ? Si ce n’est pas la mobilisation populaire, or la mobilisation populaire nous l’avons tué nous-mêmes en la banalisant, en lui enlevant la quintessence. Aujourd’hui, le peuple se sent désabusé parce qu’on l’a utilisé pendant longtemps dans la rue tous les samedis et puis à un moment donné ce qu’on cherche on ne l’a pas trouvé. Le peuple s’est senti floué parce qu’à chaque samedi on promet qu’on y arrivera, finalement on n’y est pas arrivé.
 
 
EA : A suivre votre discours, on sent que le lien entre vos anciens partenaires de l’opposition est définitivement rompu. Est-ce que l’OBUTS est en train de s’éloigner de l’opposition traditionnelle pour rejoindre le camp du pouvoir ?
 
Gérard Adja : Il ne faut pas prendre les choses de cette manière. Nous avons travaillé à la création du CST (Collectif Sauvons le Togo) dont nous sommes membre fondateur. Malheureusement, par nos méthodes de gloutonnerie et de manque de volonté pour faire aboutir correctement les choses, ce regroupement qui à mon avis était un bon instrument pour amener à l’alternance est parti en lambeau. C’est vraiment dommage ! C’est regrettable ! CAP 2015 est allé à l’élection présidentielle, nous avons vu les résultats. Nous n’y étions pas associés, depuis lors nous avons fait entre temps une sortie pour faire comprendre à l’opinion nationale et internationale que nous changeons de stratégie. La stratégie pour nous aujourd’hui, c’est de travailler de tous les côtés pour que les uns et les autres comprennent que le Togo c’est pour nous tous et le Togo c’est nous tous qui devrons le construire. Alors si c’est pour nous tous et c’est nous tous qui allons le construire, il faut travailler de tous les côtés. Donc travailler aussi du côté du pouvoir pour essayer de leur faire comprendre qu’il y a nécessité de mettre de l’eau dans le vin et de changer de méthodes.
 
Ce n’est pas en étant vindicatif ou en étant opposé de façon violente avec des mots et des méthodes qu’on arrive toujours à faire comprendre à l’autre que nous avons besoin de changement. C’est avec la méthode douce, avec le dialogue et la concertation, avec surtout la volonté de convaincre de mieux faire, qu’on peut changer les choses dans la douceur. Le plus souvent, c’est cette méthode qui réussi. Il est vrai que vous voyez notre Président à côté du Chef de l’Etat depuis quelques temps dans certaines manifestations, il est vrai aussi que nous avons changé de stratégie entre temps, en se disant que le travail c’est des deux côtés qu’il faut le faire, donc ce n’est pas parce que notre Président s’approche du Chef de l’Etat pour discuter avec lui et apporter son expérience et l’aider à comprendre que le changement c’est pour nous tous, ce n’est contre personne, qu’il faut considérer qu’OBUTS n’est plus de l’opposition . Si on est plus de l’opposition est-ce qu’on a eu une responsabilité au niveau du pouvoir aujourd’hui ? Nous n’avons aucune responsabilité ! C’est lorsque nous aurons une responsabilité en nous associant au pouvoir que nous pouvons être considérés comme étant du pouvoir.
 
 

Notre Président s’approche du Chef de l’Etat pour discuter avec lui et apporter son expérience et l’aider à comprendre que le changement, c’est pour nous tous.


 
 
EA : C’est une éventualité ?
 
Oui cela peut arriver à tout moment parce que nous sommes des citoyens togolais et nous avons des expériences et des compétences à mettre à la disposition de notre pays. Et si on fait appel à nos expériences, nous ne pouvons pas refuser de ne pas mettre nos expériences à la disposition de notre pays. Nous le ferons volontiers. Donc ce n’est pas parce que notre président peut se retrouver dans telle ou telle instance, autant il va du côté du pouvoir, il est également du côté de l’opposition, s’il y a des manifestations. Malheureusement l’opposition ne peut organiser des manifestations officielles si non vous le trouverais bien là-bas; mais à des manifestations privées où on peut retrouver le chef de file de l’opposition d’aujourd’hui et que bien d’autres présidents de partis vous trouverez notre président, moi-même.
 
 
EA : Actualité politique oblige, la libération récente Pascal Bodjona fait la Une actuellement, vous-mêmes êtes inculpé dans l’affaire des incendies. Quelle est votre réaction ? Cette libération vous fait- elle espérer que vous sortirez blanc de cette affaire un jour ?
 
Tout d’abord, je rends grâce à Dieu pour Pascal Bodjona, je rends grâce à Dieu et je dis merci également aux autorités judiciaires qui ont compris qu’il faut élargir M. Pascal Bodjona à qui je voudrai dire toute mes félicitations et les encouragements afin d’essayer d’oublier ses moment pénibles qu’il à dû passer lors de sa détention.
 
Aucune démocratie ne peut se construire sans une justice équitable, et pour une justice équitable, il faut que les juges prennent leurs responsabilités par rapport au pouvoir politique, même s’il faut reconnaître que dans tout le pays il y a toujours des incursions de la politique au niveau de la justice, il faut autant que faire se peut, que les juges essayent de s’affranchir de l’influence politique pour comprendre que les citoyens doivent se traiter de la même manière et que le droit soit dit.
 
j’espère que c’est un début de décrispation de la vie politique et judiciaire dans notre pays mais c’est les juges qui doivent prendre leurs responsabilités parce que demain les politiques y passeront un jour ou l’autre mais les décisions de justice que vous prenez aujourd’hui peuvent avoir des conséquences très tardives et donc celui que vous condamnez aujourd’hui innocemment ou injustement qui sait si demain il aura le pouvoir politique et donc il faut essayer au tant que faire se peut d’être juste lorsqu’on est juge et on est appelé pour ça, j’espère que les juges comprendront.
 
Dans le cas des incendies que vous évoquez, vous savez je connais le Togo, ce n’est pas la première fois que j’ai été inculpé et puis je sais comment ça se passe quand il s’agit d’une inculpation, non pas judiciaire, mais politique, je me sens vraiment à l’aise et donc inculpé oui mais je me sens libre, n’ayant rien à me reprocher. Je me tiens à la disposition de la justice à tout moment lorsqu’ils voudront juger.
 
Mais ne faisons pas des choses pour avoir honte parce que cette nature est une nature juste. Je considère cette affaire comme une erreur, il ne faut pas continuer à rester dedans donc je suis libre dans ma conscience, je suis serein, je n’éprouve aucune difficulté quant à ma conscience donc je continue mes mouvements très tranquillement.
 
EA : Merci beaucoup et peut-être un mot de la fin
 
Je dirai tout simplement qu’il faut que notre pays avance, c’est tout mon souhait. Notre pays doit avancer, notre pays doit vraiment avancer et je pense que le Chef de l’Etat fait des efforts mais il doit en faire davantage et regarder autour de lui pour essayer de faire évoluer les choses, parce que le plus souvent on a de la bonne volonté mais la pesanteur c’est souvent ceux qui donnent des conseils autour. Il faut que ça aille parce que chacun cherche son petit intérêt donc en bon leader et un bon manager il écoute beaucoup des conseils mais c’est plutôt sa conscience qui doit le guider le plus parce que c’est au niveau de la conscience que Dieu parle à chacun.
 
 
Propos recueillis par Marc A.
 
source : Elite d’Afrique
 

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Ouganda : Yoweri Museveni réélu président pour un cinquième mandat

France24 / Afrique - Sat, 20/02/2016 - 15:46
La commission électorale a proclamé samedi la victoire de Yoweri Museveni à la présidence ougandaise. Arrivé au pouvoir en 1986, il a été reconduit à la tête de l'État pour un cinquième mandat de cinq ans. L'opposition dénonce des fraudes.
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Ouganda: Yoweri Museveni réélu

BBC Afrique - Sat, 20/02/2016 - 15:26
Le président a obtenu 60,75 % des voix, selon les résultats de la commission électorale. Ouganda/Elections : l’UE est insatisfaite Ouganda: Besigye de nouveau arrêté Présidentielle Ouganda : Museveni en tête Ouganda : sécurité renforcée
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Yoweri Museveni « réélu » une cinquième fois président de l’Ouganda

LeMonde / Afrique - Sat, 20/02/2016 - 14:32
L’impartialité de la commission électorale a été mise en cause par les observateurs de l’Union européenne et du Commonwealth.
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Athlétisme : le Kenya a besoin de temps

BBC Afrique - Sat, 20/02/2016 - 14:19
Le pays demande un délai de deux mois pour mettre en place une législation contre le dopage. Kenya: la crainte de ne pas aller à Rio Les athlètes kenyans accusent Nike: enquête contre David Okeyo Dopage: Deux athlètes kényanes suspendues
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Le ‘'Parti National Couronne'' en perdition

24 Heures au Bénin - Sat, 20/02/2016 - 13:00

Il s'est déroulé hier, au palais des Congrès ce que les partisans de la vague Bleue ont appelé une farce. En effet, il s'agissait de la déclaration de soutien du ‘'Parti National Couronne'', au candidat Lionel Zinsou. Mais c'est sans compter avec les ténors de ce parti qui ont brillé par leur absence. En réalité, selon les recoupements, nombre de responsables sont contre ce choix fait par certains membres du bureau qui se sont empressés de jeter leur dévolu sur le candidat du pouvoir. Même le Président (...)

- Politique
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Vidéo : vague d'embauche au sein de l'armée tunisienne

France24 / Afrique - Sat, 20/02/2016 - 12:26
Un mois après le mouvement de contestation sociale en Tunisie, l'armée a lancé une vague d'embauche. Le gouvernement lutte ainsi contre le chômage, tout en se préparant à faire face à l’amplification du conflit en Libye voisine. Reportage.
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Coïncidence entre les menaces terroristes de Ansar Al Nour et l’exercice militaire de jeudi à Lomé ?

Togo Actualités - Sat, 20/02/2016 - 11:26
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Alors que les journaux annoncent dans leurs colonnes qu’un groupe islamistes dénommé Ansar Al Nour, un groupe toutefois méconnu, menace de s’attaquer au Togo; ménaces également réitérées dans un message audio, les forces de défense et de sécurité du Togo annoncent un exercice de simulation. L’exercice a lieu ce jeudi même et s’inscrit dans le cadre de la prévention et de la lutte contre la criminalité transfrontalière.
 
Une menace audio qui fait le tour des réseaux sociaux depuis mercredi et signée du groupe Ansar Al Nour, fait craindre la présence de groupes islamistes au Togo qui pourraient s’attaquer à tout moment au pays.
 
Un message en Kotokoli tem qui menace d’attaques terroristes… comme au Nigéria
 
Le message enregistré en langue Kotocoli Tem met en garde les dignitaires musulmans du Togo qui voudraient sortir de la pratique rigoureuse de l’islam.
 
« Le jour s’est levé. Qu’Allah guide nos pas, les pas des musulmans. L’audio que je mets en ligne est principalement destiné à l’imam Souleyman de la mosquée de Totsi. Nous voudrions lui dire que nous sommes au parfum de toutes ses démarches. C’est pourquoi nous voudrions lui dire ceci : S’il veut que le Togo soit calme et que le pays ne vive pas ce que les autres pays endurent, qu’il arrête ses machinations, ses attaques envers les autres », peut-on entendre dans le message.
 
Dénonçant l’arrestation de l’un de ses membres, Ansar Al Nour dit être prêt, si c’est pour la cause de l’islam pour attaquer le Togo plus durement que le Nigéria ou encore le Soudan.
 
« Nous avons notre groupe, nous avons les moyens de nos actions. Ce que vous voyez au Soudan, au Mali, au Nigéria, nous pouvons faire pire. Nos avertissements vont à l’endroit des autorités, elles doivent se signaler par la hauteur qu’elles prendront dans cette affaire. Tous ceux qui veulent saboter l’islam l’apprendront à leurs dépens. Tous ceux qui s’immiscent dans les affaires de l’islam pour le détruire, nous les combattrons sans retenue », indique le message qui n’est toutefois pas signé.
 
Un géant exercice des FAT dans le cadre de la prévention… de la criminalité…
 
Les autorités togolaises ont-elles écouté ce message ? Impossible de le savoir mais le contraire serait une surprise.
 
En effet, alors que le message fait objet des débats et des inquiétudes sur les réseaux sociaux, le ministère togolais de la défense annonce un géant exercice des Forces de défense et de sécurité pour dit-on, les maintenir à un haut niveau opérationnel.
 
L’exercice qui a lieu dans le quartier administratif participera à la préparation des différentes forces à faire face aux défis sécuritaires en milieux urbains, renseigne le commandement de l’armée qui veut assurer la sécurité et la protection de tous les togolais.
 
L’exercice a-t-il un lien avec les menaces terroristes ? Même s’il est difficile d’établir le lien, il convient de dire que le Togo doit nécessairement se préparer pour faire face au terrorisme qui sévit dans la sous-région et qui est d’ailleurs arrivé à la porte du pays avec les dernières attaques de Ouagadougou qui ont fait une trentaine de morts.
 
De plus, plusieurs observateurs indiquent que pour s’être engagé dans la coalition internationale de lutte contre l’Etat islamique, coalition formée par l’Arabie Saoudite, le Togo s’est délibérément mis dans le viseur des groupes terroristes qui ont désormais leurs regards tournés vers ce pays.
 
Mais, l’exercice de jeudi peut être également se situer dans le cadre des préparatifs du sommet sur la sécurité maritime et le développement qui a lieu à Lomé, et précisément dans le quartier administratif (Hôtel Radisson Blu 2 Février) le 15 Octobre 2016.
 
source : togobreakingnews
 

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Deux otages serbes ont été tués dans le raid américain en Libye

LeMonde / Afrique - Sat, 20/02/2016 - 11:14
Le bombardement d’un repaire de l’organisation Etat islamique Sabratha, dans l’ouest de la Libye, a fait une cinquantaine de victimes, vendredi 19 février.
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Bientôt de nouveaux soutiens de taille pour Zinsou

24 Heures au Bénin - Sat, 20/02/2016 - 11:00

La RB, le PRD, ont fait l'option de se battre aux côtés du candidat des FCBE pour la victoire de Lionel Zinsou dès le premier tour le 6 mars prochain. Les alliances UB, Eclaireur, l'aile Houdégbé de l'AND…ont, elles- aussi, décidé de mouiller les maillots pour les cauris. De sources crédible, on apprend que le candidat Lionel Zinsou attend du renfort de taille et de qualité, dans les prochains jours. En effet, plusieurs autres députés de l'opposition se bousculent au portillon pour grossir le camp (...)

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Présidentielle : ce que Dieu n’est pas

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Sat, 20/02/2016 - 10:56

Nous sommes un peuple de croyants. Et nous sommes viscéralement attachés à Dieu. Au point de lui en demander trop. Au point de tout lui déléguer, de nous décharger de tout. C’est cet attachement hors normes à Dieu qui fonde la certitude selon laquelle « Dieu aime les Béninois ». Et nous allons le répétant comme une profession de foi. C’est le fin mot de notre catéchisme individuel et collectif.

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Niger : les enjeux d'un scrutin dans le pays le moins développé du monde

France24 / Afrique - Sat, 20/02/2016 - 09:57
Les Nigériens voteront dimanche pour élire leur président. Le pays figure parmi les plus vulnérables du monde en raison de sa situation sécuritaire, alimentaire et économique. Les défis qui attendent le futur chef d’État sont immenses.
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Images à utiliser avec précaution

LeMonde / Afrique - Sat, 20/02/2016 - 09:55
Les vidéos de propagande de l’Etat islamique  posent un problème éthique aux chaînes de télévision.
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La guerre des affiches

24 Heures au Bénin - Sat, 20/02/2016 - 09:00

La campagne électorale est effective depuis les premières minutes de ce vendredi 19 Février 2016. Un tour dans quelques villes du pays, et on est très rapidement convaincu que les bonnes choses ont effectivement commencé. Dans les villes de Cotonou et Lokossa par exemple, les affiches et autres posters géants de candidats ont pris la place des panneaux publicitaires habitués à d'autres affiches. Pour le moment, c'est le chantre de la Nouvelle Conscience, le Candidat Makandjou Pascal Irénée Koupaki (...)

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Bénin : Boni Yayi parle encore une fois de Sébastien Ajavon et Patrice Talon

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Sat, 20/02/2016 - 07:50

En déplacement dans la ville de Sakété, le président Boni Yayi s'est une fois encore adonné à son sport favori : s'attaquer aux deux hommes d'affaires en lice pour la présidentielle, Sébastien Ajavon et Patrice Talon.

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Comores : Ban Ki-moon salue les préparatifs des élections qui auront lieu dimanche

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Sat, 20/02/2016 - 06:00
Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a salué samedi les progrès réalisés par les Comoriens dans la préparation des élections primaires du Président de l'Union des Comores et du premier tour des élections des Gouverneurs des iles de Grande Comore, Anjouan et Mohéli, qui auront lieu ce dimanche 21 février 2016.
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Présidentielle de 2016 : Démarrage effective de la campagne électorale

24 Heures au Bénin - Sat, 20/02/2016 - 06:00

( ... Des affiches de candidats présentes un peu partout )
Depuis ce matin et ceci , depuis minuit, la campagne électorale pour le compte de la présidentielle de 2016 est ouverte. A Cotonou, les signes du démarrage de cette campagne qui s'annonce joyeuse et impitoyable sont visibles.
Certainement à l'instar de toutes les villes ou localités du Bénin, Cotonou la belle s'est réveillée ce matin avec la campagne électorale. En attendant que celle-ci montre d'un cran les jours à venir, pour le moment on (...)

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Les bourdes que Manuel Valls devra faire oublier au Burkina Faso

LeMonde / Afrique - Sat, 20/02/2016 - 05:30
Le premier ministre français a froissé les Burkinabés par un tweet et une étrange déclaration. Il est néanmoins très attendu par un pays qui se voit menacé.
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