BAMAKO- La sélection algérienne de handball des moins de 21 ans (U-21/garçons) s’est imposée devant son homologue du Burkina-Faso sur le score de (23-15), mi-temps (11-9) lors de la 5e journée et dernière journée du championnat d’Afrique des nations CAN-2016 de la catégorie, dimanche à Bamako (Mali).
Le sept algérien enregistre à cette occasion, son troisème succès dans cette compétition après ceux acquis devant le Maroc (39-22) et le Mali (49-19), contre deux défaites devant l’Egypte (21-28) et la Tunisie (21-23).
A l’issue de cette compétition, les Verts se classent troisièmes derrière l’Egypte et la Tunisie qui animeront en soirée la finale, dont le vainqueur sera sacré champion d’Afrique.
Pour ce championnat, la CAHB a opté pour un système de compétition de poule unique avec la participation de six nations.
Cinq pays africains dont l’Algérie se qualifieront au prochain Mondial-2017 qui se déroulera en Algérie.
Une femme blonde aux yeux bleus et un voile : ces deux éléments, rassemblés dans un spot télévisé sponsorisé par l’Unesco invitant les Allemandes à porter le voile, ont suffi à déclencher une vague virtuelle de contestation au pays de Goethe.
«Les femmes turques portent le hijab… Moi aussi ! C’est superbe !» C’est de cette façon que débute ce spot publicitaire controversé.
A l’image, on voit une Allemande aux cheveux blonds et aux yeux bleus (qui n’est autre que l’actrice Charlotte Würdig) revêtir fièrement un voile, rappelant l’accesoire islamique, avant de lancer un slogan en anglais : «Appréciez la différence, commencer la tolérance».
Le tout a été sponsorisé par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), est-il précisé à la fin de la séquence.
La vidéo est apparue sur un compte Youtube le 14 septembre et a été présentée comme une publicité diffusée sur les chaînes télévisées «privées et publiques» d’Allemagne.
Un tollé sur les réseaux sociaux
A en croire les réactions outrées qui se sont multipliées sur Twitter après sa diffusion, le spot n’a guère réussi à faire passer son message.
Dimanche, la trêve en Syrie ne tenait qu’à un fil après les frappes de la coalition contre l’armée syrienne dans l’est et les premiers raids depuis une semaine à Alep.
La trêve en Syrie ne tenait dimanche 18 septembre qu’à un fil après les frappes de la coalition contre l’armée syrienne dans l’est du pays et les premiers raids depuis une semaine à Alep, qui risquent de rallumer le principal front du conflit.
Cette dégradation survient alors que le ton est brutalement monté entre les deux parrains de la trêve, la Russie et les États-Unis, qui s’accusent mutuellement de faire capoter le cessez-le-feu.
Le raidissement s’est accru samedi après les bombardements de la coalition conduite par les États-Unis qui ont fait au moins 90 morts à Deir Ezzor (est), selon un bilan établi de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH)
La Russie a appelé Washington à mener une enquête complète sur ces frappes ayant touché l’armée syrienne. La coalition a reconnu avoir bombardé ce qu’elle pensait être une position de l’EI, avant de mettre fin à l’opération dès que Moscou l’a prévenue qu’il s’agissait de troupes syriennes.
Premières frappes contre Alep
À ce regain de tension, s’ajoutent les quatre premières frappes contre des quartiers rebelles d’Alep (nord) depuis l’entrée en vigueur lundi de la trêve.
L’OSDH a précisé qu’une femme avait été tuée dimanche à Sakhour et plusieurs personnes ont été blessées, sans pouvoir identifier les auteurs des bombardements.
Autre récrimination russe : l’inaction des Américains face à ce que Moscou considère comme des violations répétées de la part des rebelles.
« La situation est particulièrement tendue aujourd’hui (dimanche) à Alep (…) le nombre de bombardements des groupes rebelles contre les positions militaires gouvernementales et les quartiers résidentiels augmentent », a affirmé dans un communiqué le porte-parole du ministère de la défense russe Igor Konashenkov.
L’absence d’acheminement de l’aide humanitaire prévue dans l’accord représente une autre menace pour la trêve. Faute de garanties de sécurité suffisantes, des camions de l’ONU remplis de nourriture et de médicaments restaient bloqués dans une zone tampon à la frontière turque.
Une trêve de plus en plus précaire
Les accrocs à la trêve se sont multipliés ces derniers jours dans la Ghouta orientale près de Damas, dans les provinces de Hama et Homs (centre) et dans la province montagneuse de Lattaquié (ouest).
Dimanche, deux barils explosifs largués par des hélicoptères de l’armée ont tué neuf personnes dans une région rebelle de la province méridionale de Deraa.
Les violences ont fait 10 morts parmi les civils dimanche, soit la journée la plus sanglante pour la population depuis le début de la trêve, selon l’OSDH.
Une semaine après sa conclusion, l’incertitude demeure sur sa prolongation.
Le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault a accusé « le régime de Bachar al-Assad » d’être « d’abord et toujours » le principal responsable des atteintes à la trêve.
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