Un journaliste néerlandais a été tué dimanche en Libye en couvrant les combats entre les forces du gouvernement d’union nationale (GNA) et l’organisation jihadiste Etat islamique (EI) à Syrte, selon une source médicale.
Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dans les affrontements qui ont éclaté dimanche dans ce bastion de l’EI que les troupes loyalistes tentent de reprendre depuis cinq mois.
« Un journaliste néerlandais a été tué aujourd’hui, touché à la poitrine par un sniper de l’EI alors qu’il couvrait les combats à Syrte », a indiqué à l’AFP le docteur Akram Gliwan, porte-parole de l’Hôpital central de Misrata où sont soignés les blessés des forces progouvernementales.
Il a précisé qu’il s’agit du journaliste Jeroen Oerlemans et que sa dépouille « se trouve actuellement à l’hôpital » de la ville de Misrata, située à quelque 200 km à l’ouest de Syrte et siège du commandement des forces du GNA.
Oerlemans travaillait en Libye notamment pour l’hebdomadaire belge Knack, qui confirme sa mort.
La mort du journaliste survient alors que de nouveaux combats ont éclaté dimanche à Syrte (450 km à l’est de Tripoli).
L’hôpital de campagne installé par les forces du GNA à Syrte a fait état de la mort de huit soldats loyalistes. En outre, l’Hôpital central de Misrata dit avoir admis 57 combattants pro-GNA blessés.
« Nos forces progressent » dans le quartier où se sont retranchés les derniers combattants de l’EI, et ont combattu un groupe « qui tentait de fuir » la ville, ont indiqué les forces progouvernementales dans un communiqué.
« Au moins dix cadavres » de jihadistes ont été trouvés, ont-elles ajouté.
Sur Twitter, l’EI a dit avoir infligé des pertes aux forces pro-GNA donnant un bilan de 64 morts ou blessés.
Lancée le 12 mai, l’opération de reconquête de Syrte progresse par à-coups, l’armée lançant régulièrement de nouvelles offensives entrecoupées de périodes de calme.
Samedi, les avions militaires des forces du GNA ont effectué « six sorties » pour préparer le terrain « à l’avancée des troupes » vers le réduit jihadiste situé dans l’est de la ville. Ces dernières sont également soutenues par des frappes américaines, dont le nombre s’élèvent à 177 depuis le 1er août, selon le centre de commandement pour l’Afrique (Africom).
Les forces pro-GNA ont reconquis la majeure partie de la ville mais les combats ont fait plus de 450 morts et quelque 2.500 blessés au sein de ces forces. Le bilan des morts dans les rangs des combattants de l’EI reste inconnu.
Une défaite de l’EI à Syrte serait un coup dur pour le groupe extrémiste qui a connu des échecs militaires en Irak et en Syrie ces derniers mois.
Jeroen Oerlemans est le premier occidental et le deuxième journaliste à trouver la mort en couvrant les combats à Syrte. Le journaliste libyen Abdelqader Fsouk avait été tué en juillet dernier.
Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dimanche dans des combats à Syrte, bastion du groupe Etat islamique (EI) que tente de reprendre depuis cinq mois le gouvernement libyen d’union nationale.
« Nos forces progressent » dans le quartier où se sont retranchés les derniers combattants de l’EI, et ont combattu un groupe « qui tentait de fuir » la ville, ont indiqué les forces progouvernementales dans un communiqué.
« Au moins dix cadavres » de jihadistes ont été trouvés, ont-elles ajouté.
Dans les rangs des forces du gouvernement d’union nationale (GNA), huit soldats ont trouvé la mort, selon la page Facebook de l’hôpital de campagne installé par ces forces à Syrte.
Vingt-quatre combattants pro-GNA, blessés dans les affrontements dimanche, ont été admis à l’hôpital de Misrata, une ville située à mi-chemin entre Syrte et Tripoli où se trouve le commandement de ces forces.
Lancée le 12 mai, l’opération de reconquête de Syrte progresse par à-coups, l’armée lançant régulièrement de nouvelles offensives entrecoupées de périodes de calme.
Samedi, les avions militaires des forces du GNA ont effectué « six sorties » pour préparer le terrain « à l’avancée des troupes » vers le réduit jihadiste situé dans l’est de la ville. Ces dernières sont également soutenues par des frappes américaines, dont le nombre s’élèvent à 177 depuis le 1er août, selon le centre de commandement pour l’Afrique (Africom).
Les forces pro-GNA ont reconquis la majeure partie de la ville située à 450 km à l’est de Tripoli, mais les combats ont fait plus de 450 morts et quelque 2.500 blessés au sein de ces forces. Le bilan des morts dans les rangs des combattants de l’EI reste inconnu.
Une défaite de l’EI à Syrte serait un coup dur pour le groupe sunnite ultraradical qui a connu des échecs militaires en Irak et en Syrie ces derniers mois.
Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dimanche dans des combats à Syrte, bastion du groupe Etat islamique (EI) que tente de reprendre depuis cinq mois le gouvernement libyen d’union nationale.
« Nos forces progressent » dans le quartier où se sont retranchés les derniers combattants de l’EI, et ont combattu un groupe « qui tentait de fuir » la ville, ont indiqué les forces progouvernementales dans un communiqué.
« Au moins dix cadavres » de jihadistes ont été trouvés, ont-elles ajouté.
Dans les rangs des forces du gouvernement d’union nationale (GNA), huit soldats ont trouvé la mort, selon la page Facebook de l’hôpital de campagne installé par ces forces à Syrte.
Vingt-quatre combattants pro-GNA, blessés dans les affrontements dimanche, ont été admis à l’hôpital de Misrata, une ville située à mi-chemin entre Syrte et Tripoli où se trouve le commandement de ces forces.
Lancée le 12 mai, l’opération de reconquête de Syrte progresse par à-coups, l’armée lançant régulièrement de nouvelles offensives entrecoupées de périodes de calme.
Samedi, les avions militaires des forces du GNA ont effectué « six sorties » pour préparer le terrain « à l’avancée des troupes » vers le réduit jihadiste situé dans l’est de la ville. Ces dernières sont également soutenues par des frappes américaines, dont le nombre s’élèvent à 177 depuis le 1er août, selon le centre de commandement pour l’Afrique (Africom).
Les forces pro-GNA ont reconquis la majeure partie de la ville située à 450 km à l’est de Tripoli, mais les combats ont fait plus de 450 morts et quelque 2.500 blessés au sein de ces forces. Le bilan des morts dans les rangs des combattants de l’EI reste inconnu.
Une défaite de l’EI à Syrte serait un coup dur pour le groupe sunnite ultraradical qui a connu des échecs militaires en Irak et en Syrie ces derniers mois.
Les services secrets gabonais ont placé sur écoute des membres de la mission d’observation déployée par l’Union européenne pour l’élection du 27 août et dont les conversations attestent de leurs doutes sur la sincérité du résultat, affirme l’hebdomadaire français Le Journal du Dimanche.
L’article du JDD, intitulé « Watergate au Gabon », a été qualifié d’opération d' »enfumage » par les autorités gabonaises. La mission « n’avait pas d’information comme quoi elle était sous écoute », a déclaré une porte-parole de l’UE.
L’hebdomadaire mentionne des extraits d’une vingtaine d’enregistrements, sans préciser comment il les a obtenus, et écrit qu’une des personnes écoutées a « formellement identifié sa propre voix ».
Pour le journal, « les conversations enregistrées révèlent de lourdes suspicions de trucage » de la présidentielle, officiellement remportée par le président sortant Ali Bongo Ondimba face au candidat de l’opposition Jean Ping.
« Ils sont en train de chercher comment tricher et que ça ne se voit pas trop », déclare fin août un membre de la mission de l’UE, non identifié, selon un de ces extraits. « Des urnes sont en cours d’acheminement à Libreville et vont faire la différence », ajoute-t-il.
Le 30 août, le responsable de la sécurité de la mission européenne signale à un interlocuteur qu’il y a eu « des modifications de chiffres cette nuit sur Wikipedia ». « Ils ont gonflé la population du Haut-Ogooué ! C’est pas encourageant », poursuit-il.
Le lendemain, la victoire d’Ali Bongo est proclamée avec moins de 6.000 d’avance, grâce à un score de 95% dans le Haut-Ogooué (sud-est), fief de la famille Bongo, où la participation annoncée est de 99,93% des voix.
« Ils ont fait exactement ce que j’espérais qu’ils n’allaient pas faire », commente la chef adjointe de la mission de l’UE dans un échange cité par le JDD.
Pendant deux jours, des émeutes et des pillages ont éclaté dans le pays faisant trois morts selon le gouvernement et plusieurs dizaines selon l’opposition. Nombre de familles cherchent encore des parents disparus au moment des violences.
Jean Ping avait alors saisi la Cour constitutionnelle qui a rejeté son recours et Ali Bongo a officiellement été investi mardi pour un deuxième mandat.
Venus à l’invitation du gouvernement, les observateurs européens s’étaient montrés très critiques à l’issue du processus électoral, affirmant officiellement que l’analyse des résultats révélait « une évidente anomalie ».
Vendredi, le gouvernement gabonais avait annoncé l’ouverture d’une enquête judiciaire sur la mission de l’UE au motif de « dysfonctionnements dommageables » en son sein.
Le ministre de la Communication Alain-Claude Bilie-By-Nze a donc estimé dimanche que l’article du JDD n’était qu’un « contre-feu ». « C’est de l’enfumage pour maquiller l’implication de certains observateurs de l’Union européenne en faveur de l’opposition », a-t-il ajouté. « Cette mission est sortie de son rôle: elle n’a été ni neutre, ni impartiale. »
L’UE a rejeté ces accusations, assurant que sa mission avait travaillé en respectant les principes de « neutralité et de non interférence ». Les observateurs européen, ont « travaillé, comme toujours, dans la pleine transparence en communiquant avec toutes les parties », a ajouté la porte-parole de l’UE.
l’ORTM est devenu la télévision navet de Bozolla, terme désignant l’ensemble des programmes jugés comme ayant une valeur culturelle moindre ou approximative, par rapport à l’ensemble des émissions télévisuelles proposées, dont l’objectif serait, avant tout, de proposer des sujets racoleurs, des reportages et des émissions sur ces chapiteaux qu’animent les groupes politiques de la mouvance, destinées à endormir le peuple, plutôt que de lui fournir des informations sur des sujets qui intéressent son avenir et celui du pays, ou des informations internationales, importantes par leurs répercussions sur son destin.
Le manque d’intérêt et d’équilibre dans le choix de la plupart des émissions proposées et les nombreuses rediffusions, à caractère plutôt politicien et populiste, tendent à ranger cette offre parmi les déceptions de notre temps
La propagande politique à très forte dose, relayant les sorties de ceux qui travaillent à la réélection du chef, les reportages à sens unique qui durent des heures ont pris littéralement le dessus.
Aucun débat contradictoire sur les problèmes de notre société et, pour ce qui est la conception d’une télé intelligente attrayante, on peut aisément deviner que celle-ci n’apporterait rien, non plus, à la construction et à l’éducation des jeunes béninois que des professionnels sérieux de télé devraient largement prendre en compte pour la confection de leurs programmes.
Les Maliens se tournent désormais vers des alternatives, notamment les réseaux sociaux.
Ils sont des millions de Maliens à visiter, partager, commenter et liker les articles et vidéos diffusés en continue sur la page facebook du journal en ligne maliactu.net https://www.facebook.com/maliactu/.
Ce chiffre est en augmentation constate.
Ce serait, bien évidemment, la rançon des nominations partisanes dans notre pays et de la trop grande présence du pouvoir dans les institutions. L’ORTM n’a semble t-il pas échappé à la règle.
la redaction
maliactu.net
Les services secrets gabonais ont placé sur écoute des membres de la mission d’observation déployée par l’Union européenne pour l’élection du 27 août et les conversations attestent de leurs doutes sur la sincérité du résultat, affirme l’hebdomadaire français Le Journal du Dimanche.
Dans un article intitulé « Watergate au Gabon », le JDD publie des extraits d’une vingtaine d’enregistrements, sans préciser comment il les a obtenus, et écrit qu’une des personnes écoutées a « formellement identifié sa propre voix ».
Pour le journal, « les conversations enregistrées révèlent de lourdes suspicions de trucage des résultats », qui ont donné gagnant le président sortant Ali Bongo Ondimba face au candidat de l’opposition Jean Ping.
« Ils sont en train de chercher comment tricher et que ça ne se voit pas trop », déclare fin août un membre de la mission de l’UE, non identifié, selon un de ces extraits. « Des urnes sont en cours d’acheminement à Libreville et vont faire la différence », ajoute-t-il.
Le 30 août, le responsable de la sécurité de la mission européenne, un certain Pierre B. qui est « la principale cible des services gabonais » selon le JDD, signale à un interlocuteur qu’il y a eu « des modifications de chiffres cette nuit sur Wikipedia ». « Ils ont gonflé la population du Haut-Ogooué ! C’est pas encourageant », poursuit-il.
Le lendemain, la victoire d’Ali Bongo est proclamée avec moins de 6.000 d’avances, grâce à un score de 95% dans le Haut-Ogooué (sud-est), fief de la famille Bongo, où la participation annoncée est de 99,93% des voix.
« Ils ont fait exactement ce que j’espérais qu’il n’allait pas faire », commente le jour-même la chef adjointe de la mission de l’UE dans un échange avec Pierre B. cité par le JDD.
Pendant deux jours, des émeutes et des pillages ont éclaté dans le pays faisant trois morts selon le gouvernement et plusieurs dizaines selon l’opposition. Jean Ping avait alors saisi la Cour constitutionnelle qui a rejeté son recours et Ali Bongo a officiellement été investi mardi pour un deuxième mandat.
Venus à l’invitation du gouvernement, les observateurs européens s’étaient montrés très critiques à l’issue du processus électoral, affirmant officiellement que l’analyse des résultats de la présidentielle en faveur d’Ali Bongo révélait « une évidente anomalie ».
Les services secrets gabonais ont placé sur écoute des membres de la mission d’observation déployée par l’Union européenne pour l’élection du 27 août et les conversations attestent de leurs doutes sur la sincérité du résultat, affirme l’hebdomadaire français Le Journal du Dimanche.
Dans un article intitulé « Watergate au Gabon », le JDD publie des extraits d’une vingtaine d’enregistrements, sans préciser comment il les a obtenus, et écrit qu’une des personnes écoutées a « formellement identifié sa propre voix ».
Pour le journal, « les conversations enregistrées révèlent de lourdes suspicions de trucage des résultats », qui ont donné gagnant le président sortant Ali Bongo Ondimba face au candidat de l’opposition Jean Ping.
« Ils sont en train de chercher comment tricher et que ça ne se voit pas trop », déclare fin août un membre de la mission de l’UE, non identifié, selon un de ces extraits. « Des urnes sont en cours d’acheminement à Libreville et vont faire la différence », ajoute-t-il.
Le 30 août, le responsable de la sécurité de la mission européenne, un certain Pierre B. qui est « la principale cible des services gabonais » selon le JDD, signale à un interlocuteur qu’il y a eu « des modifications de chiffres cette nuit sur Wikipedia ». « Ils ont gonflé la population du Haut-Ogooué ! C’est pas encourageant », poursuit-il.
Le lendemain, la victoire d’Ali Bongo est proclamée avec moins de 6.000 d’avances, grâce à un score de 95% dans le Haut-Ogooué (sud-est), fief de la famille Bongo, où la participation annoncée est de 99,93% des voix.
« Ils ont fait exactement ce que j’espérais qu’il n’allait pas faire », commente le jour-même la chef adjointe de la mission de l’UE dans un échange avec Pierre B. cité par le JDD.
Pendant deux jours, des émeutes et des pillages ont éclaté dans le pays faisant trois morts selon le gouvernement et plusieurs dizaines selon l’opposition. Jean Ping avait alors saisi la Cour constitutionnelle qui a rejeté son recours et Ali Bongo a officiellement été investi mardi pour un deuxième mandat.
Venus à l’invitation du gouvernement, les observateurs européens s’étaient montrés très critiques à l’issue du processus électoral, affirmant officiellement que l’analyse des résultats de la présidentielle en faveur d’Ali Bongo révélait « une évidente anomalie ».
A quelques jours de la clôture de l’empreint national pour la croissance, Noreddine Nebbali, cadre dans une compagnie d’assurance publique nous fait une démonstration de l’impact que peuvent avoir ces institutions dans la collecte de l’épargne.
L’rélargissement des souscriptions aux agences des sociétés d’assurance a d’ailleurs été effectif par un arrêté du ministère des Finances du 3 mai 2016. En plus de l’emprunt d’autres voies sont ouvertes pour la collecte de l’épargne. Nebbali en veut pour exemple l’assurance retraite complémentaire qui peut contribuer au financement de l’économie nationale tout en opérant une comparaison avec le système français.
Au vu des caractéristiques qu’offre ce produit d’assurance notamment sa durée dans le temps s’étalant jusqu’à l’âge l’égal de retraite, « on peut constituer une épargne à long terme générant ainsi une manne financière importante dont une partie pourra être orientée vers le financement de l’économie nationale », a-t-il indiqué. Il a jouté que cela peut se traduire à travers le marché boursier, et ce, par l’achat des actions auprès des entreprises ayant ouvert leur capital à l’instar de Biopharm ou bien par l’achat des titres émis par l’Etat, cas de l’emprunt obligataire, contribuant ainsi au financement du budget de l’Etat.
Aussi, il met en exergue la disponibilité de cette épargne à long terme et sa mise à disposition sur le marché financier par les compagnies d’assurance de personnes. Ce qui peut encourager les sociétés qu’elles soient grandes, moyennes ou même petites, et quel que soit leur domaine d’activité, à envisager l’ouverture de leur capital.
Attirer les salariés sur les produits d’épargne
Il donne l’exemple de la compagnie Taamine Life Algérie spécialisée dans les assurances de personnes qui a une stratégie commerciale qui met en avant ce produit d’assurance retraite en le mettant à la disposition du personnel des entreprises, comme il est commercialisé aussi à titre individuel, et ce en axant sur les avantage qu’il recèle.
C’est le cas notamment avec des formules de payement des cotisations à la portée de l’assuré, mensuelles, trimestrielles ou annuelles et d’un abattement sur l’IRG de 25% dans la limite de 20 000 DA par an. Cette épargne est à la disposition de l’assuré à partir de la deuxième année étant donné qu’à tout moment l’assuré peut procéder au rachat de ses propres cotisations qu’il soit partiel ou total. Il y a aussi la possibilité d’octroyer une avance sur ses propres cotisations à partir de la deuxième année.
La finalité de ces avantages qu’ils soient offerts par l’Etat de par ses mesures incitatives, cas des avantages fiscaux, ou bien par les compagnies d’assurance, est d’attirer les salariés à adhérer à ce produit d’assurance.
« Aussi, dans le but de conforter ce rôle de catalyseur que doit jouer les compagnies d’assurances de personnes dans le financement de l’économie nationale, la mise en place de nouveaux produits d’assurance vie – capitalisation dont l’objet est de générer une épargne à long terme s’avère indispensable », selon lui.
Le rôle de l’Etat
M. Nebbali précise que l’Etat, à travers son rôle de régulateur, peut contribuer par la mise en place des mesures d’incitation fiscales plus attractives en vue d’encourager les salariés à adhérer à ces produits d’assurance. Pour étayer ses propos, il donne l’exemple de l’expérience française car pour ce qui est du financement des entreprises et de l’Etat, les assureurs sont en première ligne et en particulier l’assurance-vie. Lorsque les assureurs achètent des actions ou des obligations d’entreprises, ils donnent à ces entreprises les moyens d’investir, d’embaucher, de produire, de distribuer et d’exporter. C’est pratiquement comme si l’on fournissait à ces entreprises des machines-outils, des usines ou des camions…
« En fin de compte, les assureurs financent les emplois », souligne d’ailleurs Bernard Spitz, président de la Fédération des assurances. Dès 2012, Bernard Spitz a estimé que «l’assurance-vie c’est 56% du patrimoine financier des ménages français, car parler d’assurance vie, c’est parler des 1 370 milliards d’euros que les Français nous ont confié pour faire face aux aléas de la vie, assurer l’avenir de leurs enfants, … Et qu’ils nous confient pour longtemps : 10 ans en moyenne, souvent beaucoup plus. Cela peut aller jusqu’à 25 ou 30 ans lorsqu’il s’agit de préparer sa retraite et de vivre pendant sa retraite ».
Face à la situation actuelle, l’assurance vie est donc clairement un atout pour notre pays. Abdelhakim Benbouabdellah, secrétaire permanent du Conseil national des assurances, a souligné dans le Bulletin des assurances d’août dernier qu’à l’ère des restrictions financières et budgétaires qu’implique la baisse sensible des prix des hydrocarbures enregistrée ces dernières années, « les réelles capacités et potentiel algériens méritent des résultats nettement meilleurs ». Des efforts supplémentaires sont à fournir par tous les acteurs du marché afin de mieux capter le maximum du potentiel existant, ajoute-t-il.
Abdelhakim Benbouabdellah indique aussi que « le potentiel est tellement important, notamment en assurances de personnes, que les marges de progression permettront de longues années de développement ».
Le ministre de l’intérieur, Noureddine Bedoui, a annoncé jeudi que 1492 migrants clandestins sénégalais et 370 autres de nationalité guinéenne seront rapatriés prochainement à la demande de leurs pays respectifs.
La présence d’immigrés clandestins sur le territoire national et leur situation de séjour précaire, origine de nombre de cas de troubles, continuent de susciter débat et inquiétudes chez les élus, ce qui a fait réagir le ministre de l’intérieur en passe de finaliser les procédures de rapatriement.Ces chiffres ont été donnés jeudi par le ministre de l’intérieur en réponse à une question en séance publique du Conseil de la nation sur des dépassements enregistrés par des ressortissants africains à Béchar et qui ont eunrécemment des altercations avec les populations locales.
Outre cette opération, Bedoui a fait savoir que plus de 17 000 immigrés clandestins nigériens ont été reconduits chez eux «volontairement», ajoutant à cela les 580 tchadiens et 550 maliens rapatriés aussi dans le cadre d’une opération lancée depuis deux ans.
Toutefois, Bédoui a assuré que les ressortissants africains se trouvant sur le territoire national faisaient l’objet d’un suivi permanent par des commissions de sécurité de wilaya.
Pour être plus convaincant, il a confirmé que «tout individu se rendant coupable d’un acte attentatoire à l’ordre public est sanctionné dans le respect des loi», tout en précisant que des mesures ont été prises à l’encontre des personnes impliquées dans les altercations de Béchar.
L’immigration clandestine, source de préoccupation pour l’Algérie, nécessite la conjugaison des efforts aux plans régional et international pour dégager les moyens devant favoriser le développement dans les pays d’origine, dont la mise œuvre de politiques efficientes plutôt que sur des aides circonstancielles, a considéré M. Bedoui. Il a rappelé que l’Algérie, dans le souci de protéger le territoire national et préserver la santé des citoyens, a mis en place des dispositifs d’alerte pour les maladies contagieuses ou celles présentant une menace pour la santé publique. Le ministre de l’intérieur a fait également état de l’arrestation d’un réseau spécialisé dans la traite d’enfants dans les wilayas de Tamanrasset, et dont les membres ne sont pas algériens.
Dans ce sens, et concernant la prise en charge des enfants avant l’âge de scolarisation, le ministre a évoqué les «montants importants» mobilisés pour la réalisation de structures spécialisées, à l’instar des jardins d’enfants, dont 442 établissements ont été enregistrés à juin 2016 sur un ensemble de 487 programmes, s’ajoutant à 1047 garderies relevant de particuliers et obéissant aux cahiers des charges tel que prévu par la loi.
La production de blé dur enregistrée dans la wilaya de Constantine, au titre de la saison agricole 2015-2016, a connu une augmentation «sensible» par rapport à l’année dernière,selon le directeur des services agricoles (DSA) Yacine Ghediri.
S’exprimant en marge d’une journée d’étude sur le réseau de recherche et de développement de la filière blé dur, organisée par la direction du secteur agricole avec la collaboration de l’université Mentouri, le même responsable a précisé que la production de blé dur recensée cette année dans la wilaya est estimée à 1,26 million de quintaux, contre 800 024 quintaux dénombrés au titre de la précédente campagne agricole (2014-2015).Plusieurs facteurs, dont les conditions climatiques favorables, l’organisation de journées de vulgarisation en direction des céréaliculteurs, la disponibilité des semences et engrais en quantités suffisantes et en temps opportun, le soutien du crédit R’fig et de l’importance de la superficie emblavée (47294 hectares contre 46400 hectares la saison dernière), sont à l’origine de cette augmentation de la production, a-t-il fait savoir lors de cette journée organisée à l’auditorium Mohamed-Seddik Benyahia sous le thème La relance de la filière blé dur, stratégie et perspectives.Le rendement moyen, calculé sur la base de la superficie emblavée cette année, a donné 26 quintaux par hectare.
Un taux supérieur à celui enregistré lors de la récolte de la campagne dernière, et qui était de 23 quintaux/hectare, selon le même responsable. Soulignant la nécessité de consentir davantage d’efforts pour étendre l’irrigation d’appoint, M. Ghediri affirme que la hausse de la production a été le résultat d’une politique de l’encadrement technique et économique, ainsi qu’aux conditions météorologiques favorables. L’extension des surfaces céréalières irriguées par le système d’irrigation d’appoint est l’autre facteur qui a favorisé la hausse de cette production, a-t-il ajouté, notant que la superficie de blé dur qui a bénéficié cette année de ce système a atteint 595 hectares parmi la surface globale réservée à cette culture, contre 440 enregistrés lors de la campagne agricole précédente.
Il a considéré cette option comme la mieux indiquée pour sécuriser la production, en plus des efforts nécessaires en matière de recherche et de développement pour améliorer la performance technique. Le recours à l’irrigation d’appoint devient indispensable afin de pallier un déficit hydrique qui peut survenir en phase d’installation et d’élaboration du rendement des cultures, notamment celles de base dont les céréales affectant ainsi la stabilité de la production d’une année à une autre, a indiqué de son côté le directeur de l’antenne locale de l’Institut national des recherches agronomiques (INRA) M. Amar Afroukh. L’intérêt de l’irrigation d’appoint permet d’augmenter sensiblement le rendement des céréales tout en assurant une autosuffisance alimentaire, aussi bien à l’échelle locale que nationale, a-t-il encore précisé lors de cette rencontre.
L’Algérie a figuré en 2015 parmi les 16 premiers pays dans le monde ayant réalisé des avancées significatives sur la voie de l’élimination du travail des enfants, selon un rapport du département du Travail américain (DOL) publié à Washington.
Le rapport qui retrace les efforts entrepris par les gouvernements, en 2015, pour éliminer les pires formes du travail des enfants, précise que seize pays, dont l’Algérie, ont réalisé « des avancées significatives » dans ce domaine, figurant ainsi dans la première catégorie des pays qui ont agi sur plusieurs fronts pour mettre fin au trafic et à l’exploitation des enfants. Ce classement comprend quatre catégories de pays, établies en fonction des progrès accomplis dans le domaine de la lutte contre le travail des enfants qui sont significatifs, modiques, minimes ou bien inexistants.
En 2015, l’Algérie est remontée dans le classement annuel du DOL (Department of Labour) pour figurer à la première catégorie après avoir été classée l’année dernière dans la troisième catégorie relative aux pays ayant réalisé des progrès minimes. Selon ce rapport, l’Algérie et la Jordanie sont les seuls pays dans la région du Moyen-Orient-Afrique du Nord (MENA) qui ont réalisé en 2015 des avancées significatives en matière de renforcement du cadre juridique relatif à la prévention et à la lutte contre l’exploitation des enfants dans de pires formes de travail. L’Egypte, l’Irak, la Tunisie et le Maroc ont été classés dans la catégorie des pays qui ont accompli en 2015 « des progrès modiques », selon le rapport.
En Algérie, le gouvernement a augmenté le montant des amendes infligées aux personnes impliquées dans ce trafic tout en renforçant le contrôle et la prévention de toutes les pires formes de travail des enfants, relève le Département du travail américain. Ces efforts se sont traduits par la création d’un comité interministériel, chargé de coordonner les activités liées à la prévention et à la lutte contre la traite des personnes et l’adoption d’un plan d’action national en la matière, souligne le rapport.
En parallèle à ces actions, le gouvernement s’attèle à établir une liste des travaux dangereux qui seront interdits aux enfants et a mis déjà en place des mécanismes institutionnels pour appliquer les lois et la réglementation sur le travail des enfants, tout en renforçant la formation des inspecteurs chargés de mener les contrôles sur site. Durant la période couverte par ce rapport, 25 officiers de la Direction générale de la Sûreté nationale et de la Gendarmerie nationale ont suivi une formation sur la lutte contre le trafic des personnes, dispensée par l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime.
Concernant le cadre juridique pour la protection des enfants, DOL précise que ces textes de lois interdisent l’exploitation sexuelle des enfants et leur admission à l’emploi dans des activités illicites comme ils assurent l’accès à une éducation gratuite. Pour autant, le Département du travail américain estime que la situation précoce des enfants dans le marché de l’emploi demeure un problème qu’il faut éliminer en Algérie, citant en cela une enquête réalisée en 2015 par l’inspection générale de travail qui a révélé 97 cas d’enfants engagés dans diverses activités industrielles et agricoles.
Dans un Mali où les crises ont fini par ancrer l’anxiété et l’incertitude dans les cœurs, il y a certains qui continuent d’être animés par l’optimisme. Tidiane Ball fait partie de ces personnes. Médecin de formation, ce passionné de technologies a lié ses deux amours pour se forger une place dans le monde de l’entrepreneuriat.
Malisanté, un site qui fait le pont entre médecins et patients, ainsi que Donilab, un espace de travail collaboratif, sont deux start-up en plein essor qu’il a fondés. Sans aucune aide publique, armé de courage et d’inspiration, Tidiane Ball a déjà révolutionné le domaine de la médecine et des TICs au Mali et continue de nourrir d’autres projets innovants. À la découverte de l’univers de celui dont l’ingéniosité a été récompensée au-delà de nos frontières. Reportage.
La sélection nationale de karaté do, style Shotokan, composée de 6 athlètes, prendra part à la 24e édition du championnat du monde de la discipline, prévue du 7 au 9 octobre à Sofia (Bulgarie) avec la participation de 65 pays.
L’entraîneur national, Islam Lazreg, a estimé que « son équipe (était) capable de jouer les premiers rôles dans cette compétition en kumité et kata », allant même jusqu’à parler de « titre mondial ».
« Nous nous sommes bien préparés pour ce rendez-vous mondial, à travers l’organisation de 7 stages depuis juin dernier. A une semaine du début de la compétition, nos athlètes sont prêts à affronter les meilleurs nations, à l’image de la France, de l’Allemagne et de l’Italie », a-t-il ajouté.
En revanche, le président du Comité national de la discipline, Khelifa Ben Kaâkaâ, a tablé sur deux médailles de bronze en individuel, vu que c’est la première participation des athlètes convoqués pour le Mondial de Sofia, alors que dans les épreuves du par équipes, « il sera difficile de jouer les premiers rôles ».
Lors des précédentes éditions du Mondial, Serbie 2013 et Pologne 2014, l’Algérie avait réussi à terminer à la 3e place.
Au championnat d’Afrique 2016 disputé en Egypte, la sélection nationale avait obtenu la deuxième place avec 3 médailles d’or, 4 argent et 2 bronze.
Liste des athlètes convoqués :
Kumité : Islam Lazreg, Makin Flissi, Hichem Lazreg.
Kata : Abbas Ibrahim Benan, Lakhder Messaoudane, Mohamed Inouche
66 personnes encerclées par les eaux pluviales dans différentes localités de Laghouat suite aux intempéries survenues cette wilaya ont été évacué par les agents de la protection civile, rapporte ce samedi la Radio Algérienne.
Aucune perte humaine n’est à déplorer suites à ces intempéries. Les interventions ont commencé tôt vendredi, quand plusieurs personnes ont été évacuées de leurs maisons. Des voyageurs à bord des moyens de transport ont également été sauvés, a indiqué le lieutenant Walid Nekmouche.
L’opération d’évacuation a notamment touché 29 personnes dans la localité de « mardja » à la sortie nord de la ville de Laghouat outre des opérations similaires ayant concerné les localités de « hamda », « Bordj Esnoussi », « Slisla », toutes situées au chef lieu de la wilaya.
Ces intempéries ont engendré des cas d’infiltrations d’eau dans les habitations ayant nécessité l’évacuation de leurs occupants, notamment au chef lieu de la wilaya, en plus l’effondrement partiel d’un pont dans la commune de Laghouat, a précisé le lieutenant Walid Nekmouche.
Un centre d’hébergement a été ouvert dans une maison de jeunes pour accueillir les familles sinistrées, a indiqué la Protection civile, conclut la même source.
Des milliers de personnes ont manifesté samedi contre le pouvoir à Bamako pour dénoncer la nouvelle loi électorale et la censure sur les médias d’Etat, a constaté un journaliste de l’AFP.
Les manifestants, à l’appel de 13 partis d’opposition, ont marché puis tenu un rassemblement dans le centre de Bamako. Sur des pancartes et des banderoles, on pouvait lire: « ça ne va pas » au Mali.
« La nouvelle loi électorale est mauvaise, l’opposition est censurée sur la radio télévision du Mali (publique). Le Mali est bloqué depuis trois ans », a déclaré à la presse le principal opposant Soumaïla Cissé. Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, a été élu en août 2013.
Un nouveau code électoral voté le 9 septembre par les députés porte la caution exigée aux candidats pour participer à la présidentielle à 25 millions de FCFA (plus de 38.000 euros), soit deux fois et demi le montant initial.
M. Cissé a également dénoncé une « corruption qui se généralise ». Il a estimé le nombre de manifestants à « 100.000 ».
Selon la police, la foule était de « quelques milliers » de personnes.
La manifestation, tenue en présence d’autres responsables de l’opposition comme l’ancien Premier ministre Modibo Sidibé, a été encadrée par les forces de l’ordre.
« Nous manifestons aussi pour réclamer le retour au pays de l’ancien Président Amadou Toumani Touré et pour exiger des journées de concertations nationales pour sortir le pays de la crise » dans le nord du pays, a déclaré Oumar Dicko, un autre responsable de l’opposition.
Des pancartes étaient portées par des partisans du Parti pour le développement économique et social (PDS), proche de l’ancien président Amadou Toumani Touré, exilé depuis 2012 au Sénégal.
M. Touré a été renversé le 22 mars 2012, à quelques semaines de la fin de son deuxième quinquennat, par des militaires qui l’accusaient d’incurie dans la lutte contre les groupes armés actifs dans le nord du pays.
Il est menacé d’un procès pour « haute trahison » par le régime du président Keïta. Fin décembre 2013, le gouvernement malien l’avait notamment mis en cause pour avoir, pendant son mandat, laissé le Nord tomber aux mains des groupes armés dominés par les jihadistes, qui ont contrôlé cette vaste région pendant près de dix mois, jusqu’à janvier 2013.
Les jihadistes ont été en grande partie chassés de cette région par une intervention internationale lancée en janvier 2013, qui se poursuit. Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères.