Dans le cadre des festivités du 55ème anniversaire de la fête de la police, la sûreté de la wilaya de Sidi Bel-Abbès, a célébré cette journée coïncidant avec le 22 juillet dernier. Un riche programme a été tracé pour l’occasion afin de montrer le rôle joué par la sûreté dans la lutte contre les crimes et la protection de ses concitoyens.
Au cinéma Amarnas, une exposition est en cours sur les différentes activités de la police, ainsi, sur les modalités et condition de rejoindre ce corps. En parallèle, une opération de sensibilisation mise la jeunesse belabbésienne, des portes ouvertes au grand public au niveau de la Direction de la sûreté, des conférences suivies de débats et spécialement la sensibilisation quant aux accidents des routes et la délinquance.
Dans sa politique entamée dans le but de former un secouriste pour chaque famille, la Direction de la protection civile de Sidi Bel-Abbès, a inauguré la troisième session de formation de l’année 2017 au profit de volontaires, voulant s’initier aux premiers gestes de secours. Cette troisième session va durer 21 jours et cela à partir d’hier 23 juillet. Des cadres de la Protection civile assureront la formation des bénévoles qui seront utiles en cas d’accidents pour apporter les premiers secours avant l’arrivée des sapeurs pompiers.
Le décollage de l’Algérie ne peut se faire que si les services publics cessent d’être un frein bureaucratique qui bloque les initiatives et bride les volontés.
La scène se passe dans l’une des mairies de la wilaya d’Alger. Un homme dans la quarantaine, bien habillé, propre sur lui-même, attaché-case à la main, lunettes de vue et affichant l’attitude d’une personne bien élevée, se présente à un guichet de l’état civil pour retirer un papier. Il échange quelques propos polis avec la préposée puis, graduellement, le ton monte et se transforme en querelle de chiffonniers.
Au bout d’un moment, la voix soprano de la guichetière prend le dessus et inonde le citoyen, qui battait en retraite, de divers quolibets. Juste après, deux agents de la sécurité aux cheveux rasés et aux visages hérissés de barbes de trois jours, surgissent avec des éclairs fusant des yeux, le cernent et le conduisent à l’intérieur d’un cagibi près de l’entrée.
Quelque minutes plus tard, l’homme ressort rouge de colère, les épaules voûtées par l’humiliation qu’il a dû ressentir et quitte les lieux sans avoir réglé son problème.
Ailleurs, dans un autre quartier, un groupe d’administrés patiente au pied du mur d’un bâtiment gouvernemental en prévision de l’ouverture d’une porte étroite gardée par un vigile aux bras musclés et croisés sur sa poitrine.
Les dossiers chevillés au corps, le visage fermé, ils paraissaient anxieux comme si leur vie dépendait de la formalité qu’ils attendaient de remplir sous le soleil impitoyable de l’après-midi. Soudain, sortant de sa léthargie estivale, l’auguste assemblée s’est mise à s’animer, à bruire et, enfin, à râler après que le gardien a fait rentrer une de ces relations à peine arrivée. En guise de réponse, et s’exprimant d’une inflexion impériale, le portier a sommé les critiques de se taire sinon, avait-il laissé entendre, il allait faire place nette en chassant les récalcitrants.
De telles avanies sont loin d’être rares. Les Algériens subissent depuis toujours la toute-puissance despotique de leur administration, «cet organe de contrôle opaque et dépourvu de volonté», selon l’expression d’un habitué de ses arcanes.
Un Léviathan sourd, muet, hermétique qui ne s’ouvre facilement qu’aux habiles négociateurs possédant l’entregent et la connaissance nécessaires pour décoder son fonctionnement mystérieux. Des truchements qu’il faut en retour récompenser en valeur ou en service. Au Canada, pour prendre un exemple, les services publics attribuent le qualificatif de «client» à leur usager car celui-ci a acheté la prestation en s’acquittant de ses impôts. Chez nous, du simple factotum au responsable de telle ou telle département, les ronds-de-cuir disposent d’un indiscutable pouvoir régalien.
Pourtant, l’administration est une vieille invention humaine dont l’utilité se résume à la facilitation de la vie dans la cité. Sa fondation remonte à la Chine ancienne et même, d’après des avis, à Babylone du roi Hammourabi qui avait établi, plus de deux mille ans avant J.-C., son fameux Code pour gérer son royaume.
Cette organisation civile, dont le nom vient du verbe latin administrare qui signifie aider, fournir ou diriger, doit être neutre et servir l’intérêt général sinon elle devient un monstre qui se nourrit des meilleurs volontés. Mais sous notre ciel «les commis confondent leur personne et leur fonction, estime le chef d’une petite entreprise qui cherche à se délocaliser «dans un pays où l’intelligence n’a pas besoin d’une légalisation par un gratte-papier de daïra.» Selon lui, certains fonctionnaires ont «privatisé les démembrements de l’Etat et agissent en contravention avec ses intérêts».
Or, l’Etat a aujourd’hui le souci de créer les conditions d’un décollage économique irréversible, d’encourager l’activité, de susciter les initiatives productives.
Le pays passe par une crise sévère et ne peut plus compter sur la rente pétrolière. C’est d’audace, d’innovation, de savoir-faire, de compétence et d’imagination fertile dont il a besoin pour former sa richesse.
Toutefois, «l’administration algérienne demeure vorace en temps et en papier, frustrante pour les porteurs de projets et les créateurs, extrêmement procédurière, lente, apathique, égocentrique, en un mot inefficace et contre-productive, comme le regrette sous le sceau de l’anonymat un ancien haut fonctionnaire aujourd’hui à la retraite. Elle agit comme un grand facteur bloquant et fonctionne avec des rouages édentés qui tournent au ralenti et, parfois, à l’envers» et cette culture, mine de rien, est en train de sceller le sort du pays.
La campagne de vaccination des têtes de bovins contre la fièvre aphteuse est toujours d’actualité nous précisa une responsable au niveau de l’inspection vétérinaire relevant de la Direction de l’agriculture d’Oran.
Après avoir reçu 26.800 doses de vaccins contre la fièvre aphteuse, les services vétérinaires ont relancé l’opération de vaccination». Il est à signaler que cette campagne de vaccination, il y a plus d’une semaine après le constat amer des inspecteurs vétérinaires, lors de leurs sorties sur le terrain de plusieurs foyers de fièvre aphteuses où ils ont recensé plus de 186 cas dans des exploitations agricoles à Ain El Turck et Es Sénia. C’est en ce sens, que lesdits services ont pris toutes les mesures nécessaires pour la vaccination des vaches bovines au nombre de 22 mille têtes comptabilisées au niveau de la wilaya d’Oran. Selon la même source, la campagne a été précoce et ce, dans le but d’éviter de ce qui s’est passé l’année dernière où un grand nombre de vaches sont mortes dans des exploitations à Ain El Turck et Mers El Kébir. Une fois cette campagne achevée, l’inspection lancera la deuxième étape de l’opération sachant que les services de l’inspection vétérinaire ont organisé déjà des campagnes de sensibilisation au profit des éleveurs dans les différentes exploitations agricoles pour les inciter à collaborer pour la réussite de l’opération de vaccination.
La «trêve» n’a été que de courte durée, le rituel de fermeture des routes par les citoyens s’invite de nouveau dans la wilaya de Béjaïa.
Depuis le début du mois en cours, ce fléau a réapparu à trois reprises sur les routes de Béjaïa, devenues un enfer pour les usagers en cette période estivale. Après l’action musclée sur la Route nationale 09, reliant Béjaïa à Sétif au niveau de Tala Khaled (Aokas), oeuvre des citoyens de la région, c’était ensuite au tour de la RN26 de subir un blocus à l’entrée de la commune d’El Kseur, les automobilistes étaient alors contraints de passer par Amizour pour contourner cette route et gagner le chef-lieu de wilaya.
Hier, cet important axe routier a fait de nouveau parler de lui. Des citoyens touchés par l’emprise de la pénétrante autoroutière de Béjaïa sont venus réclamer leurs indemnisations suite à l’expropriation de leurs terrains dans le cadre de la pénétrante autoroutière. Ces mêmes propriétaires terriens des régions situées à proximité du tracé de la pénétrante se sont déplacés au chef-lieu de la wilaya de Béjaïa pour exiger le paiement des indemnisations liées à l’expropriation de leurs terrains sur le tracé de la pénétrante.
Alors que les expropriés des communes voisines ont été régularisés, ceux d’El Flaye, au nombre de 200, attendent toujours leurs dûs. «Nous avons satisfait toutes les démarches et répondu à toutes les exigences de l’administration des Domaines, mais à ce jour, nous n’avons reçu aucun centime», indiquait alors le porte-parole des expropriés. Les protestataires parlaient d’ «injustice» et attendaient de voir leur situation régularisée, faute de quoi «le recours à d’autres actions musclées n’est pas à écarter», menaçaient-ils.
Hier, ils ont mis à exécution leur menace en recourant à la fermeture de la RN 26. Une action qui n’a pas été sans conséquences sur le trafic routier. Les usagers contraints à de longs détours n’ont pas manqué de souligner leur mécontentement. «Ils ferment les routes. Ça n’a aucun sens. J’ai fait un détour de plus de 2 heures pour rallier la ville de Sidi Aich et des centaines d’automobilistes sont bloqués sur la route qui mène de Takrietz vers Zountar et le CW173 qui sont débordés», raconte un citoyen. «Il n’y a que les pauvres citoyens qui pâtissent de ces actes», indique un usager.
«Le non-paiement (indemnisation) des propriétaires des terrains cédés au niveau d’Aghmadh (Tassifth) pour l’autoroute n’explique par cet acharnement à pénaliser ceux qui n’ont aucun tort dans l’affaire», s’insurge un autre de la même région mais non concerné par l’indemnisation. «Ma famille, qui devait prendre le train d’Alger à partir de Sidi Aich à 7h20, l’a finalement raté», raconte un autre qui regrette la passivité des pouvoirs publics, en ironisant «tant que ce n’est pas un café littéraire vous pouvez couper les routes autant que vous voulez». Une sentence au sens le plus large du regret qu’éprouvent les usagers des différents axes routiers de la wilaya de Béjaïa. Une région réputée incertaine pour les déplacements.
La direction de l’environnement de la wilaya d’Oran a lancé une étude visant à établir un plan d’urgence pour la gestion des stocks des déchets spéciaux et déchets spéciaux dangereux, a-t-on appris auprès de la directrice locale de cette même administration.
Cette étude fait suite au plan de gestion des déchets spéciaux et déchets spéciaux dangereux de la wilaya d’Oran, présentée il y a deux mois et qui a permis d’établir un diagnostic sur leur nature et leurs quantités. La première étude, réalisée par le cabinet d’études environnementales et risques industriels (Ceeri) a révélé que plus de 200 000 tonnes de ce type de résidus sont générées annuellement au niveau de la wilaya d’Oran.
Les conséquences de la restriction des importations commencent à se faire sentir sur certains produits spécifiés comme étant «complémentaires». Le chocolat ainsi que différentes sortes de fromage font partie du lot.
En effet, les prix de ces derniers connaissent depuis un moment une envolée fulgurante dans les marchés de gros. De nombreux commerçants qui se sont dirigés vers ces marchés, ont expliqué cette flambée par une importante baisse de l’offre. Par conséquent, des tonnes de ces produits sont stockées dans des conteneurs.
S’ajoute à cela, la nonchalance des autorités concernées. Ainsi, les prix des diverses marques de chocolat ont augmenté de 30%. On peut d’ailleurs constater que certaines de ces marques ont atteint 200 DA la tablette alors qu’elles étaient affichées il y a à peine une semaine à 150 DA dans le marché du détail. Cela s’est également répercuté sur les biscuits importés.
Par ailleurs, le fromage est lui aussi touché par cette hausse. On cite le gruyère et le fromage rouge qui ont dépassé les 1 800 DA alors qu’ils étaient à 1 000 DA. On a expliqué en outre que ces prix sont encore appelés à augmenter à partir de la semaine prochaine.
Cela concernera tous les produits figurant sur la liste des produits «de large consommation» interdits d’importation. Cette situation va davantage avoir des conséquences directes sur le pouvoir d’achat des Algériens déjà détérioré par la chute des prix du pétrole.
Les Etats-Unis sont historiquement le plus gros contributeur à la lutte
contre le sida, et de loin: ils représentent à eux seuls plus des deux tiers des financements gouvernementaux internationaux. L’an dernier, ils ont consacré 4,9 milliards de dollars (4,2 milliards d’euros) à des programmes de lutte contre le sida, très loin devant le Royaume-Uni (645,6 millions) et la France (242,4). Or, le président Donald Trump propose de réduire ces dépenses dans le budget 2018, actuellement en discussion au Congrès, pour un montant global évalué à plus d’un milliard de dollars par l’ONG américaine Health Gap. «Des vies risquent d’être perdues inutilement», s’inquiète la chercheuse sud-africaine Linda-Gail Bekker, présidente de l’International Aids Society (IAS), qui coorganise la conférence de la lutte contre le sida qui se tient à Paris.
Il s’agit d’un cordonnier et de sa femme institutrice, retrouvés momifiés dans un glacier du sud de la Suisse, 75 ans après leur disparition au cours d’un orage. Ils ont été inhumés samedi dernier près de leur village natal, en présence de leurs deux filles survivantes. La cérémonie s’est déroulée dans l’église de Savièse (canton du Valais), à quelques kilomètres de Chandolin d’où ils étaient originaires.
Depuis le début de l’été, les unités des gardes-côtes ont intercepté de nombreuses embarcations de fortune.
Ça reprend de nouveau. Le feuilleton des embarcations de fortune se poursuit. Après une accalmie, le mouvement s’intensifie ces derniers temps. Hier, 24 candidats à l’émigration clandestine ont été interceptés, tôt dans la matinée au large de Cap Carbon (Arzew), par les unités des gardes-côtes d’Oran. Ces candidats à l’émigration clandestine, dont deux femmes, trois mineurs et un bébé de 4 mois, sont tous de nationalité algérienne. Ces derniers se trouvaient à bord d’une embarcation en polyester et un Zodiac pneumatique pour rejoindre les côtes espagnoles.
Ils ont été interceptés, à deux heures du matin, à 14 miles de cap Carbon, par une patrouille des gardes-côtes d’Oran, indiquent les éléments de la sécurité. Selon les informations des gardes-côtes, ces harraga avaient pris la mer à minuit, dimanche, à partir de la plage de Kristel (Gdyel), à l’est d’Oran. Ils ont été remis aux services concernés pour enquête avant leur présentation au tribunal territorialement compétent. Cette tentative vouée à l’échec n’est pas la seule. Vendredi dernier, une tentative d’émigration clandestine a été déjouée par les éléments des gardes-côtes au large de Skikda, a indiqué le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué. Selon la même source, quelque 37 individus ont été interceptés au large de Skikda à bord d’une embarcation pneumatique alors qu’ils tentaient de traverser clandestinement la mer Méditerranée pour rallier le sud de l’Europe. Depuis le début de l’été, les unités des gardes-côtes ont intercepté de nombreuses embarcations de fortune. Il y a lieu de rappeler que des milliers d’Algériens ont choisi de rejoindre les pays européens à bord des embarcations de fortune dont nombreux d’entre eux ont péri au large de la Méditerranée. Ce phénomène qui avait secoué le gouvernement algérien en pleine embellie financière risque de revenir en force. Devant le contexte difficile marqué par la crise économique et l’absence de perspectives prometteuses, les jeunes reprennent le chemin de la mer pour joindre ce qu’ils qualifient d’eldorado. Alors que le gouvernement est pris par la question des migrants subsahariens dont les flux prennent de l’ampleur, les Algériens fuient le pays à la recherche d’un avenir meilleur.
Dans un récent rapport établi par le gouvernement espagnol, pas moins de 10.108 immigrés sont rentrés irrégulièrement en Espagne au 9 juillet dernier. Certes, la plupart sont des Libyens et des Marocains, mais le rapport évoque également la présence de nombreux Algériens qui sont estimés à plus de 500 personnes. «Au rythme où croit l’immigration, 2017 sera la pire année», s’alarment les autorités espagnoles. Qu’est-ce qui favorise ce phénomène? Le ministre de l’Intérieur espagnol n’a pas été par quatre chemins pour dire tout simplement que «c’est le beau temps». Ce n’est pas tout.
Les passeurs ont dû constater un relâchement dans le dispositif de surveillance des côtes, ce qui les a encouragés davantage à reprendre leur activité. Pris par les flux migratoires des Africains, le gouvernement algérien a tendance à sous-estimer le mouvement des harraga. Au moment où il tente de gérer ces flux en reconduisant les réfugiés chez eux, ses ressortissants prennent le chemin de la mer pour rejoindre l’Europe. Par ailleurs et en vue de faire face à cette nouvelle vague, les pays européens ne sont pas restés les bras croisés. Les pays de l’UE se sont dotés lundi dernier de nouvelles règles pour pouvoir empêcher l’export vers la Libye de canots gonflables et moteurs hors-bord utilisés par les migrants cherchant à rejoindre l’Europe par la Méditerranée.
La décision a été prise lors d’une réunion des ministres des Affaires étrangères des pays de l’UE à Bruxelles, largement consacrée à la Libye, d’où embarque la quasi-totalité des migrants arrivant sur les côtes italiennes. Le Conseil de l’UE «a introduit des restrictions sur l’exportation et l’approvisionnement en Libye de bateaux gonflables et de moteurs hors-bord», a-t-il indiqué dans un communiqué, précisant que le but était de «briser davantage le «business modele» des passeurs et des trafiquants d’êtres humains».
Quatre (4) personnes, dont trois de la même famille, sont mortes dimanche en fin d’après-midi dans un puits à Douar El Menzel dans la commune d’El Hamma dans la wilaya de Khenchela, a-t-on appris auprès du service de la protection civile.
Selon l’officier de permanence de la protection civile, la première victime était descendue pour nettoyer le puits de huit (8) mètres de profondeur quand elle a eu un malaise dû au gaz toxique généré par le moteur de la pompe du puits, soulignant que c’est en voulant porter secours à la première victime que les autres membres sont successivement descendus dans la cavité.
Les éléments de la protection ont retiré du puits les quatre victimes inconscientes, âgées entre 20 et 26 ans, a indiqué cet officier, précisant que les premiers soins leur ont été prodigués sur place, avant qu’elles ne succombent dès leur admission aux urgences de l’hôpital Ahmed Benbella, du chef-lieu de wilaya.
Les services de la protection civile ont également souligné qu’une cinquième personne, la dernière à descendre dans ce puits a été secourue par les citoyens.
Une enquête a été aussitôt déclenchée par les services compétents pour établir les circonstances précises de ce drame, a-t-on indiqué.
A moins d'un an des élections législatives hongroises, Viktor Orbán a choisi l'Université d'été Tusványos à Băile Tușnad pour tenir son premier meeting. Devant une foule de sympathisants, il a placé la campagne à venir sous les auspices de l'avenir de l'Europe, en radotant contre l'immigration musulmane et "l'empire Soros".
Comme à la maison. C'est la petite station thermale de Băile Tușnad - en Roumanie - que Viktor Orbán a choisi pour donner son premier meeting de campagne, à l'occasion de la conférence plénière de l'Université d'été Tusványos, qui rassemble chaque été des milliers de participants, la plupart issus de la minorité magyarophone de Transylvanie. A moins d'un an des élections législatives hongroises, le Premier ministre sortant a conféré au scrutin un enjeu européen : celui de la lutte de l'Union européenne contre "l'empire Soros" et le rétablissement de la souveraineté des États-nations. "Un pays fort", tel est le slogan sous lequel le candidat du Fidesz affrontera ses concurrents au printemps prochain . . .
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Une surface agricole de , pour soutenir l’essor de la filière lait dans la wilaya de Ghardaïa, a indiqué à l’APS le directeur des services agricoles (DSA).
La luzerne constitue la culture fourragère dominante avec une superficie de 1.175 ha, soit plus de 41,81% de la superficie fourragère totale, suivie du maïs ensilage avec une superficie de 1.160 ha (41%), puis l’orge avec 320 ha (11%) et l’avoine avec 150 ha, a précisé M. Mustapha Djaâboub.
Bien adaptées aux conditions climatiques et à l’environnement aride de la région, ces cultures fourragères se sont avérées indispensable pour renforcer significativement le développement de la filière lait en amont et à améliorer la qualité du produit et le rendement, a-t-il souligné.
La pérennité et l’augmentation de la production laitière dans la wilaya est strictement liée au développement de la culture fourragère, a soutenu le DSA, ajoutant que la formation des agriculteurs aux techniques culturales et à l’extension des cultures fourragères reste primordiale.
L’élevage représente l’une des principales composantes de l’économie oasienne de la wilaya Ghardaïa. Ce secteur constitue une source importante de revenus pour la population locale et contribue au maintien de l’équilibre écologique de la région, a estimé M. Djaâboub.
L’essor que connait la filière de lait dans la wilaya de Ghardaïa est favorisé par plusieurs facteurs, notamment l’augmentation du cheptel laitier bovin estimé actuellement à prés de 4.000 vaches laitières, l’amélioration du taux de vêlage et l’accroissement des superficies de production de fourrage et de maïs ensilage destiné à la fabrication d’aliment de bétail.
Dans cette perspective, de nombreux investisseurs envisagent de créer dans la wilaya de Ghardaïa de nouvelles exploitations agricoles intégrées alliant l’élevage bovin laitier, la production fourragère et la production de lait et ses dérivés.
Le développement de la filière dans la wilaya vise à pérenniser et accroître la production tout en garantissant la qualité des procédés de pasteurisation, en encourageant la création de nouvelles unités de transformation et de pasteurisation afin de favoriser la conservation sans porter atteinte aux propriétés gustative du lait, a souligné le responsable de la DSA.
Actuellement, plus de 1,2 million de litres de lait frais sont produit mensuellement dans la wilaya de Ghardaïa, signale-t-on.
APS
L’Algérien âgé de 18 ans a agressé et volé 1 500 dirhams à son colocataire de nationalité égyptienne en avril dernier. Il lui aurait porté, selon la même source, un coup à l’aide d’un tournevis.
Le verdict contre ce jeune algérien sera prononcé le 22 août prochain.