In many European countries, the number of asylum applications continues to rise, as does the appeal of right-wing populist parties. In response, initiatives such as the British government’s Rwanda Plan and the Italian government’s agreement with Albania aim to significantly reduce the number of arrivals by transferring asylum procedures and refugee protection to third countries. It is worth noting that although similar proposals in the past have never progressed beyond the idea stage, concrete implementation procedures are currently under discussion for Rwanda and Albania. However, there are several legal and normative concerns as well as practical challenges that need to be carefully considered. These approaches would fundamentally jeopardise international refugee protection and harm vital foreign policy interests as well as the credibility of the development cooperation of Germany and the European Union (EU).
Am 26. Januar haben die beiden Ko-Fazilitator:innen für den Zukunftsgipfel der Vereinten Nationen (UN) im September 2024 den Erstentwurf für das Abschlussdokument vorgelegt, den »Pakt für die Zukunft«. Nach umfangreichen Konsultationen verhandeln die Mitgliedstaaten nun diesen sogenannten Zero Draft. Dass der Pakt im Konsens verabschiedet werden soll, hatten die Staaten bereits 2022 vereinbart. Das begrenzt die Chancen, über einen dünnen und vagen Minimalkonsens hinauszukommen. Was steht im Entwurf? Kann es gelingen, beim »Summit of the Future« im September einen Pakt zu schließen, der eine Vision mit konkreten Reformvorhaben verbindet, um alte und neue Herausforderungen effektiver multilateral zu bearbeiten?
25 esztendeje, hogy a jugoszláv 250. Légvédelmi Rakétadandár 3. osztálya, Dani Zoltán alezredes vezetésével lelőtte az első - és tárgyi bizonyítékokkal álátámasztottan máig egyetlen - "lopakodó" kialakítású harci repülőgépet, az Amerikai Légierő 49. Vadászezredének Vega 31 hívójellel repülő F-117-esét.
Az incidens különleges helyet foglalt el a légi hadviselés, illetve annak technikatörténetében. Ma azonban már azt is megkockáztathatjuk, hogy a geopolitikai katalizátor címét retrospektíve kiérdemlő 1999-es háború egyik legismertebb mozzanataként szimbolikus jelentőségre tett szert a globalista intervencionizmus (ember)kísérletével akár esélytelenül is szembehelyezkedők-szegülők, szuverenisták számára - Szerbia határain innen és azon túl is. De ha eddig nem is merünk elmenni az értékelésben, arra mindenképpen jó példának tekinthető, hogy egy-egy kiemelkedő haditett, hadtörténeti pillanat miként mutathat jócskán túl önmagán, egy közösség tudatának évezredes kőfalába beépülve, legendává válva.
Zord
(B2) Les actions continuent en mer Rouge où les flottes française, allemand et américaine œuvrent de concert pour abattre ou détourner les drones et missiles balistiques ennemis. Ils ont réussi cependant à toucher un navire chinois sans que la marine US puisse intervenir à temps pour interrompre son action
Une autre action à bord d'un hélicoptère
L’hélicoptère de bord Sea Lynx Mk.88A de la frégate allemande Hessen (F-221) qui participe à l'opération européenne EUNAVFOR Aspides) a repéré et détruit avec succès un drone marin Houthi en mer Rouge. C'était jeudi (21 mars) au matin. Une action légèrement différente de celle de l'hélicoptère français (lire : un drone houthi détruit abattu par un hélicoptère de la marine), puisqu'il s'agit ici de détruire un drone sur l'eau. Ce qui démontre cependant que c'est désormais un mode opératoire partagé du moins par les Européens dans les actions contre les drones, et plus économique que les missiles.
Trois missiles balistiques détruits
Le même jour, vers midi (locales), la frégate française Alsace (D-656) « engage et abat », selon les termes consacrés, trois missiles balistiques (ASBM) lancés par les Houthis en mer Rouge. Ce grâce à des missiles Aster 30 lancés depuis la frégate. NB : une première utilisation en réel pour une frégate française. Des Aster 15 (d'autodéfense) avaient déjà été utilisés pour abattre des drones par la frégate Languedoc.
Un dhow à l'abordage ?
A peu près à la même heure, un navire marchand signale une petite embarcation à proximité. Quatre personnes à bord. Le dhow s'approche à moins d'un nautique. L'équipe de sécurité du navire tire des coups de semonce et la petite embarcation a riposté. La petite embarcation quitte alors la zone.
Nouveau tir de missiles balistiques
Le lendemain, vendredi 22 mars, les Houthis tirent pas moins quatre missiles balistiques depuis la terre en direction de la mer Rouge. Aucun blessé ni dommage signalé.
Drones détournés de leur usage
Samedi (23 mars), au petit matin entre 6h50 et 9h50 (heure locale), les forces américaines, notamment le destroyer USS Carney (DDG 64), repèrent six drones en vol au sud de la mer Rouge. « Cinq se crashent ainsi dans les flots, en mer. Le sixième repart vers l'intérieur des terres, vers les zones du Yémen contrôlées par les Houthis » selon le commandement américain US CentCom.
NB : Une sorte retour à l'envoyeur... Le mode d'action n'est pas précisé. A priori, on peut présumer que des moyens de lutte électronique ont été utilisés pour stopper l'effet de ces drones.
Un navire chinois touché en mer Rouge
Le même jour, samedi (23 mars), dans la nuit, une première vague de tir de quatre missiles balistiques (ASBM) est effectuée par les Houthis en direction du MV Huang PU, selon le commandement US CentCom. Mais ce pétrolier panaméen battant pavillon chinois et exploité par des Chinois n'est pas atteint. Dans l'après midi, nouveau tir, à 23 milles marins à l'ouest de Mukha, le port yéménite de mer Rouge. Le navire lance un appel de détresse. Un incendie s'est déclaré à bord. Mais il est éteint en 30 minutes par l'équipage. Le navire et l'équipage se déclarent sains et saufs, « ne demandent pas d'aide », et continuent sa route jusqu'au prochain port d'escale.
NB : trois éléments sont intéressants à noter. 1° Les Houthis avaient précédemment déclaré qu'ils ne viseraient pas de navire chinois ont, apparemment, visé un navire clairement identifié comme chinois. 2° La flotte US comme européenne pourtant active dans la région n'a pas réussi à intervenir et détruire le missile. 3° Les Chinois n'ont pas tenu à requérir à une aide d'un navire militaire de la zone, ce qui peut s'expliquer soit par l'aspect mineur des dégâts (un feu de 30 minutes tout de même !), soit par la volonté de ne pas retarder son trajet... ou de ne pas voir un oeil inquisiteur à bord. Les relations militaires Chine-USA n'étant pas au beau fixe.
(Nicolas Gros-Verheyde)
Mis à jour : précision sur le drone détruit par l'hélicoptère allemand (un drone marin)