Cet article Les contre-sanctions européennes peu efficaces selon la chambre des Communes est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Un avion Mig 29 polonais s’est écrasé cette nuit (6 juillet) à 1h57 près de Pasłęk (entre Malbork et la frontière russe de Kaliningrad). Le pilote est décédé
Mig 29 au sol (archives B2 / Crédit : MOD Pologne)
Un vol de nuit
L’avion MiG-29 qui appartient à la 22e base aérienne tactique de Malbork assurait un vol de nuit. Le pilote, expérimenté, a réussi à se catapulter. Mais il n’a pas survécu à l’accident. L’épave de l’avion a été trouvée à environ un demi-kilomètre de bâtiments. A 2h30, environ, un médecin ambulancier a confirmé la mort du pilote.
Un pilote expérimenté
Le pilote était « expérimenté » a indiqué le ministère. Il avait volé plus de 800 heures, dont plus de 600 heures sur MiG-29. Il a aussi participé plusieurs fois à des exercices nationaux et internationaux.
Enquête en cours
La Commission d’enquête aéronautique a déjà commencé ses travaux. La police militaire a rapidement sécurisé le lieu de l’événement. Elle mène des investigations sous la supervision du procureur du bureau du procureur du district d’Olsztyn Sud pour les affaires militaires.
Tous les vols suspendus jusqu’à nouvel ordre
« Jusqu’à ce que les raisons du crash du MiG-29 soient clarifiées, les vols utilisant cet avion ont été arrêtés » a indiqué le ministre de la Défense nationale, Mariusz Błaszczak, lors d’une conférence de presse tenue vendredi (6 juillet) au siège du ministère de la Défense à Varsovie.
Commentaire : l’avion Mig 29 est un avion relativement sûr. Mais il reste d’un maniement très délicat, demandant une haute précision des pilotes, une faute d’inattention et c’est un risque certain. Mais les mécanos et pilotes polonais basés à Malbork (j’avais rencontrés très sympathiques et passionés par leur métier et leur avion) sont des habitués de ces vols en condition difficile (nuit, froid, etc.) (1).
Ils sont d’ailleurs régulièrement mis à contribution, par les pays de l’OTAN, lors d’exercices servant alors de ‘sparring-partner‘ pour les pilotes occidentaux (français, belges, britanniques etc.) qui peuvent ainsi s’entraîner contre des ‘Mig’. Et ce n’est pas parfois l’avion le plus moderne qui gagnait… C’est dire la dextérité des pilotes polonais, de redoutables professionnels, comme me l’avait confié un officier.
Mais ces avions, qui ne sont plus tout jeunes, demandent aussi un entretien régulier. Plusieurs appareils sont d’ailleurs dépouillés, servant de réserve de pièces de rechange. Et la flotte aérienne polonaise vieillissante a connu plusieurs accidents mortels ces dernières années (2).
(NGV)
(1) Lire aussi :
(2) Un avion de combat MiG-29 s’était écrasé le 18 décembre 2017 près de Minsk Mazowiecki non loin de Varsovie. Un avion avion Casa C-295M s’était écrasé le 23 janvier 2008 près de la base aérienne de Miroslawiec, avec plusieurs hauts gradés à bord. Sans compter le crash de l’avion présidentiel à Smolensk, un cas autrement plus polémique et complexe (lire : L’avion présidentiel polonais crashe: président tué, Etat-Major décapité)
Cet article Après le crash d’un Mig 29 de Malbork, tous les vols suspendus en Pologne est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Carnet (06.07.2018). Nomination (EUMCWG). Eucap Sahel Niger (prolongation). UE-Ukraine (sommet). garde-côtes libyens (démenti). Libye (pétrole). Iran (Vienne). Moldavie (élections). Venezuela (aide humanitaire). Pakistan (femmes). Mariage forcés/Irak/Arménie/Azerbaidjan (résolutions). Turquie (aide aux réfugiés).Etias (adoption). Aide aux migrants (criminalisation). Terrorisme (rapport). Elections (loi électorale). Budget 2019 (trilogue). Défense et Préférence (Proust). A lire est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Barkhane a terminé cette semaine une grande relève. Une opération d’ampleur qui « a mis à contribution de nombreux moyens nationaux, ainsi que des moyens étrangers » selon l’état-major des armées.
Le GT Logistique Dragon célèbre ses 209 jours d’engagement (crédit : DICOD / EMA)
Combien de matériels et hommes ont été acheminés ?
En tout, 422 tonnes de matériels ont été transportées entre la France et le théâtre. Près de 8000 militaires ont été transportés de la France vers le théâtre et vice-versa grâce à 22 vols aller-retour des avions de transport stratégiques des Armées (A310 et A340). Tous ces matériels et ces hommes sont arrivés dans les aéroports de N’Djaména et de Niamey, principaux points d’entrée.
Qu’est-ce qui était le plus difficile ?
Principale difficulté : acheminer matériels et hommes sur les différentes emprises de Barkhane. Des transports assurés par de nombreux convois terrestres et des rotations aériennes : avions de transport tactique et hélicoptères. Coté hélicoptères, ce sont des appareils de la MINUSMA qui prennent, pour une grande partie, le relais.
Qui compose l’opération Barkhane ?
Désormais, le 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP) de la légion étrangère, basé à Calvi) arme le groupement tactique désert infanterie (GTD-I), le 1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP) basé à Tarbes, arme le GTD-Blindé, le 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) basé à Phalsbourg arme le GTD aérocombat, le 3e régiment du matériel basé notamment à Muret (3e RMAT) arme le groupe tactique logistique tandis que le 40e régiment de transmissions basé à Thionville (40e RT) arme le groupement transmission.
(NGV)
Cet article Relève à Barkhane est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article L’UE renouvelle les sanctions contre la Russie est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Ne nous donnez pas de leçons (Mateusz Morawiecki) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Trump sonne les cloches aux Européens. L’OTAN dans l’oeil du cyclone ? est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Une pichenette de quatre milliards pour la défense allemande en 2019 est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Au dernier sommet de Bruxelles les 28 et 29 juin, les dirigeants européens sont sortis avec une promesse : le chiffre de garde-frontières et garde-côtes au sein de l’agence frontex va être augmenté à 10.000 non plus en 2027, mais pour 2020. Le chiffre est rond. Il est beau. Mais comment y arrive-t-on ?
Réponse : tout simplement par un tour de passe-passe, dont seuls les Européens ont le secret. Démonstration…
Quel est l’effectif actuel ?
En fait, aujourd’hui Frontex c’est environ 600 personnes (589 très exactement selon un dernier comptage effectué à Varsovie le siège de l’agence), dont 138 experts nationaux détachés (pour une période variable de deux ou trois ans en général). NB : précisons que la plupart de ces personnels servent à gérer toutes les tâches confiées à l’agence (en augmentation), seuls quelques dizaines sont déployés ou déployables sur le terrain (généralement pour une période assez courte.
Environ 1300 personnels déployés sur le terrain (Grèce, Italie, Bulgarie, etc.). Le chiffre varie de semaine en semaine, entre 1200 et 1400 officiers (1500 au plus fort de la crise). Ces personnels sont détachés par les États membres, pour une durée variable (une à quelques semaines).
A cela, on rajoute un pool de réserve de 1500 personnes qui a été créé en 2015 avec la mise en place du corps européen de garde-frontières.
On arrive ainsi déjà aujourd’hui à 3400 personnes (600 + 1300 + 1500).
Quel est l’objectif ?
En mai dernier, la Commission européenne envisageait de monter le chiffre des garde-frontières à 10.000 personnels d’ici 2027. Une proposition faite dans le contexte du prochain cadre financier pluriannuel (CFP ou MFF) pour la période 2021-2027. Devant la pression des évènements, la demande franco-allemande (lors de la déclaration de Meseberg), le débat politique au Conseil européen, la Commission a proposé d’avancer cet objectif à 2020.
Comment y arrive-t-on en 2020 ?
Pour y arriver on ne va pas recruter des centaines de personnes tous les ans.
Tout simplement, on reprend l’objectif fixé dans la décision de 2015 de renforcer le corps européen de garde-frontières et garde-côtes (Frontex) pour le porter progressivement jusqu’à 2020 de environ 300 à 1000 personnes (fonctionnaires, contractuels et experts nationaux détachés). NB : On est à peu près à la moitié de l’objectif (environ 600), ce qui est déjà un beau résultat.
Rajoutez à ceci, l’augmentation du personnel déployé pour le passer de 1500 à 2000 personnes en moyenne.
Et augmenter le pool de réserve de 1500 à 7000 personnes. Ni vu ni connu.
Vous arrivez à 10.000 = 1000 + 2000 + 7000. C’est merveilleux non ?
Est-ce du personnel permanent ?
Non. Dans les faits, les principaux effectifs (plus de 9000) sont fournis par les États membres (s’ils ont ces effectifs et s’ils le veulent), avec le soutien financier de l’Union européenne (qui assure les per diems). Simplement ce qui est prévu de progressivement avoir une moitié du personnel de réserve (soit 3500) par du personnel permanent d’ici 2027.
Pourquoi est-ce difficile de recruter ?
Cela coûte cher et ce n’est pas automatiquement soutenable financièrement. Mais la difficulté est surtout pratique. Tout d’abord, avec la mise en place de Schengen, la plupart des forces nationales (police des frontières et douanes) ont été diminuées au plus strict minimum. Il n’y a donc « plus vraiment de gras », comme le confie un haut gradé policier, ou de personnel largement disponible. Ensuite, avec l’alerte terroriste, les États ont certes repris le recrutement mais pour l’affecter au territoire national. Enfin, former et recruter du personnel demande du temps.
(Nicolas Gros-Verheyde)
(1) Cette disposition est consacrée par une phrase dans les conclusions : « le rôle d’appui joué par Frontex, notamment dans le cadre de la coopération avec les pays tiers, devrait être encore renforcé par une augmentation des ressources… »
Cet article Frontex : comment arrive-t-on au chiffre de 10.000 personnes promis par le Conseil européen est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Un mandat d’arrêt exécutable si les conditions de détention dans le pays d’arrivée sont connues est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article A l’agenda du sommet de l’OTAN de Bruxelles (11 et 12 juillet). Quatre sessions et une inconnue est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Les structures de gestion de crises de l’UE vont déménager au New Orban ! est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Carnet (04.07.2018). COPS (Agenda). EDIDP (adoption). EUBAM Rafah/EUPOL Copps (chefs). Palestine/Israel (consultations). Diplomatie climatique (vote). Russie (dialogue). Autochtones (droits). Mexique (élections). Espagne/Grece (aide). Projet PESCO (Estonie). Pologne (CHOD). F35 (rapport). 14 juillet (défilé). Terrorisme (commission d’enquête). Venezuela (régularisation). Conseil européen – suite (Tajani, Sippel, Verhofstadt). MFF (Juncker) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Les Pays-Bas signent en solo un accord de coopération de défense avec les USA est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Unified Vision 2018 : l’Otan poursuit ses efforts de renseignement interalliés est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2 – En mer de Norvège) Alors qu’il naviguait entre l’Islande et la Norvège, nous avons pu embarquer quelques heures à bord du Nato Research Vessel (NRV) Alliance. Ce navire original, qui embarque des spécialistes de différents pays de l’Otan, teste des drones sous-marins dans les eaux glacés de l’Arctique
Un drone Slocum G3 se prépare à plonger devant le NRV Alliance, en mer de Norvège. (©B2/Romain Mielcarek)
« Nous amenons la science à la mer », résume le docteur Catherine Warner, l’Américaine qui dirige le Centre de recherche et d’expérimentation maritime (CMRE) dont dépend le bateau. Bardé d’antennes, de sonars et de machines expérimentales, ce bâtiment fait la fierté de l’Otan. Les officiels en visite à bord y voient une preuve de la capacité des Alliés à développer de nouvelles solutions pour répondre aux besoins des militaires.
Les drones sous-marins ou gliders
Si le NRV Alliance est susceptible de travailler sur tous les domaines identifiés comme prioritaires par les marines de l’Otan (lutte anti-sous-marines, lutte-anti-mines, renseignement…), ses travaux sont actuellement concentrés sur les drones sous-marins, appelés gliders en anglais. Des engins qui pourraient révolutionner de nombreuses missions.
NB : Le NRV Alliance et ses drones participent régulièrement à des manoeuvres de l’Otan, comme l’exercice de renseignement interalliés Unified Vision 2018. Lire ici.
Plus endurants que les hommes ?
Ces drones séduisent au sein de l’Otan. C’est un haut gradé, riche d’une expérience dans le renseignement militaire maritime, qui en résume tout l’attrait : « Un équipage humain a besoin de retourner au port pour dormir, manger et voir sa famille. Ces robots peuvent rester des mois en mer. » Peu coûteux, discrets, polyvalents, endurants et autonomes, ces engins sont au cœur des expérimentations menées par les 25 scientifiques à bord. Ceux qu’ils utilisent actuellement, des Slocum G3 de l’Américain Teledyne, cartographient les fonds marins et font des relevés de températures et de courants. Des informations cruciales pour repérer et surveiller les mouvements de sous-marins, par exemple.
Pour mettre à l’eau ce Slocum G3, il suffit de quelques minutes depuis une embarcation. (©B2/Romain Mielcarek)
Multiusages
Le potentiel des gliders intéresse dans des domaines divers. Ces engins ont été testés dans la lutte anti-mines, avec des robots capables de patrouiller, de reconnaître des menaces et de les signaler à l’homme qui pourra ensuite intervenir. Un moyen intéressant de palier à une flotte européenne de navires de lutte anti-mines de plus en plus vieillissante et coûteuse à remplacer.
Dans un autre registre, des drones pourraient mailler les fonds de certains points stratégiques pour surveiller les mouvements de sous-marins adverses. D’ici quelques années, si des puissances étaient capables de bloquer ainsi certains axes clefs, la dissuasion nucléaire pourrait se voir impactée et devrait se réinventer dans sa composante navale. C’est l’un des intérêts du grand Nord, où transitent régulièrement des sous-marins nucléaires. De l’aveu d’un haut gradé de l’Otan, spécialiste en matière de renseignement, ces drones sous-marins sont à l’heure actuelle presque indétectables.
Les sous-marins remis en cause
L’arrivée de ces submersibles risque de remettre en question tout le fonctionnement sous-marin. D’autant plus qu’ils sont très majoritairement automatisés : vu la difficulté pour assurer les communications sous l’eau, il n’est pas possible de les piloter en permanence. L’homme se contente donc en réalité de suivre les mouvements sur des écrans, ne donnant que quelques ajustements pour les remontées régulières en surface. Une évolution stratégique qui rappelle au docteur Catherine Warner un autre grand changement au sein de l’US Air Force, où elle s’occupait de plusieurs programmes de drones : « Les sous-mariniers sont pour l’instant sceptiques. Comme pour les pilotes de l’US Air Force lorsque les Predator sont arrivés à l’époque. Mais aujourd’hui, ils ont pleinement intégré l’intérêt de ces drones et ils ont accepté de travailler dessus. »
Un navire presque unique
Conçu sur mesure
Le NVR Alliance est un navire conçu sur mesure pour les besoins de l’Otan, dans les ateliers de l’Italien Fincantieri. Livré en 1988, il embarque une multitude d’équipements de recherche qui en font un laboratoire en pointe dans le domaine des études maritimes. Il dispose des dernières technologies dans les domaines océanographique, acoustique, météorologique ainsi que de son propre atelier pour réparer ou modifier le matériel. « La force de ce navire, explique un scientifique à bord, c’est qu’il permet d’aller tester des idées dehors, en conditions réelles. » Le bâtiment peut de fait aller naviguer dans les eaux polaires. Le tout avec des conditions de vie à bord qui restent très confortables : la quasi-totalité des chercheurs dispose de cabines individuelles !
L’Alliance au sein de l’Otan
Le NRV Alliance est, avec le CRB Leonardo, l’un des deux navires détenus en propre par l’Otan. Rattaché au Centre de recherche et d’expérimentation maritime (CMRE) de La Spezia (Italie), il est chargé de tester des technologies au profit des Alliés. Le bâtiment a longtemps été opéré par des marins allemands, jusqu’en 2015. Pour simplifier la logistique dans son port d’attache, il a été transféré aux mains de la marine italienne qui a rapidement séduit les scientifiques à bord avec sa botte secrète : la pizza en guise de casse-croûte nocturne !
Des pionniers pas toujours suivis
Les équipes du NVR Alliance travaillent en collaboration avec des industriels et des universités. Ils développent souvent leurs propres solutions aux problématiques identifiées. Ils ont par exemple acheté un drone Bluefin au Français Thales, dans lequel ils ont intégré leurs propres équipements. Le fabricant a pu bénéficier des retours et progresse ainsi dans son développement, grâce aux essais de l’Otan. Côté autorité publique, l’enthousiasme n’est pas toujours aussi présent. De l’aveu du docteur Catherine Warner, les découvertes à bord ne sont pas toujours suivies par les États commanditaires qui hésitent à poursuivre les investissements.
(Romain Mielcarek)
Un autre robot mis à l’eau à l’aide d’un bras mécanique depuis une trappe sur le flanc du navire. (©B2/Romain Mielcarek)
Cet article L’Alliance, navire de recherche de l’Otan, teste des drones sous-marins dans le grand Nord est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Dix-neuf policiers roumains ont débuté, ce mardi 3 juillet, une mission opérationnelle en France qui durera tout l’été, indique l’agence de presse roumaine Agerpres.
Ils prêteront main-forte à leurs collègues français « pour prévenir les actes antisociaux commis par des citoyens roumains », et pourront les assister lors des contrôles effectués par les services de police français afin d’identifier les personnes interpellées. Ils seront en patrouille sur la voie publique « dans les zones à forte fréquentation touristique ».
Vous pourrez croiser certainement ces hommes ou ces femmes avec, sur leur épaule, l’écusson roumain. Une aide « très utile » m’avait indiqué un des policiers lors de la précédente campagne. « Cela facilite beaucoup les contacts lors des interpellations. Avec un policier roumain, qui parle leur langue, cela apaise la situation. »
(NGV)
Cet article 19 policiers roumains déployés en France est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Plus lourd et plus connecté, le caddie de Eurosatory est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Etat de droit en Pologne. La Commission se décide à entamer une procédure est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Lutte contre le trafic d’armes légères. Il faut intensifier les efforts dit la Commission est apparu en premier sur Bruxelles2.