Jacques Ayadji, le Directeur des transports terrestres et aériens, a fait le point de sa rencontre avec les représentants de Yango, la plateforme de transport suspendue au Bénin.
La poursuite des activités de Yango en dépit de la décision de suspension qui leur avait été signifiée est l'un des sujets abordés avec les représentants de la plateforme de transport, le mercredi 11 décembre 2024. Selon les responsables de Yango, la difficulté à mettre leur application hors ligne est due au fait que cette plateforme est utilisée dans plusieurs pays à travers le monde, et pas seulement au Bénin.
Le Directeur des transports terrestres et aériens, a exprimé l'incompréhension des autorités béninoises face à ce non-respect de la décision. « Nous comprenons mais (...) il n' est pas question que l'autorité de l'Etat soit bafouée », a indiqué Jacques Ayadji. Il a signifié aux représentants que même si l'application n'est pas hors ligne, la plateforme de transport doit cesser de proposer des courses. « C'est un point fondamental sur lequel nous allons les observer et prendre d'autres sanctions », a expliqué le Directeur des transports terrestres et aériens.
Mesures à mettre en place pour une reprise conforme aux normes en vigueur au Bénin
Lors de la rencontre, les représentants de Yango ont précisé que leur société n'était pas directement impliquée dans le transport, mais qu'elle agissait comme une plateforme mettant à disposition des sociétés de transport locales. Cependant, cette explication a soulevé des questions sur la régularité de la situation fiscale et administrative de l'entreprise au Bénin. Jacques Ayadji dit avoir expliqué aux représentants de Yango que même si leur partenaire est une société régulièrement constituée au Bénin, celle-ci « n'a pas fait de formalités au niveau du Ministère pour exercer une telle activité ».
Ce n'est pas une posture de l'État pour interdire l'activité. « On veut que l'activité soit faite dans les règles de l'art et des règlementations en vigueur » , a martelé le Directeur des transports terrestres et aériens.
M. M.
L'African Trade & Investment Development Insurance (ATIDI) et le Fonds de solidarité africain (ASF) ont signé un accord-cadre de coopération, ouvrant la voie à une collaboration stratégique plus poussée pour promouvoir le développement économique et atténuer les risques associés à l'investissement et au commerce en Afrique.
L'accord signé en marge de l'Africa Investment Forum 2024 (AIF 2024) qui s'est tenu à Rabat au Maroc la semaine dernière, fournit un cadre de coopération pour soutenir les projets d'infrastructure et de développement économique dans les États membres des deux institutions (Bénin, Burkina Faso, Burundi, Tchad, Côte d'Ivoire, Mali, Niger, Rwanda, Sénégal et Togo), et contribue également à réduire les risques pour les investisseurs, les entreprises et les bailleurs de fonds qui cherchent à investir en Afrique.
M. Abdourahmane Diallo, directeur général de l'ASF, a déclaré que cet accord marquait une étape importante dans la promotion du développement durable en Afrique.
« Nous unissons nos forces pour stimuler l'investissement et encourager la croissance économique sur le continent, tout en garantissant un environnement sûr pour les investisseurs », a déclaré M. Diallo.
Manuel Moses, PDG de l'ATIDI, a pour sa part noté que le partenariat offrait à la société l'occasion de renforcer sa gamme de solutions financières pratiques conçues pour relever les défis économiques de l'Afrique, notamment en atténuant les risques qui entravent souvent le commerce et l'investissement.
« Il reflète également la nécessité pour les institutions multilatérales de travailler ensemble pour faciliter l'accès au financement du développement pour notre continent. Ensemble, nous contribuerons à créer un avenir prospère pour les États membres et les entreprises africaines », a ajouté M. Manuel.
Les principaux objectifs de ce partenariat comprennent la commercialisation des solutions d'atténuation des risques des deux organisations pour les transactions commerciales et d'investissement, le soutien au développement des sources d'énergie renouvelables et des infrastructures dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA), ainsi que le développement des compétences professionnelles et l'amélioration de l'environnement des affaires en Afrique.
Cet accord représente un tournant pour les deux institutions, qui se sont engagées à coordonner leurs efforts pour stimuler le commerce intra-africain, encourager les investissements dans des projets ayant un impact stratégique et promouvoir le développement économique à travers le continent.
A propos du Fonds de Solidarité Africain (FSA)
Le Fonds de solidarité africain (FSA) est une institution financière panafricaine dont le siège est à Niamey, au Niger. Il est devenu opérationnel en septembre 1979 et a pour mandat de contribuer au développement économique et au progrès social de ses Etats membres africains en facilitant, par ses différents modes d'intervention, l'accès aux ressources financières nécessaires à la réalisation de projets d'investissement et d'autres activités génératrices de revenus. Le FSA compte actuellement vingt-trois (29) États membres régionaux dans sept (7) des huit (8) Communautés économiques régionales (CER) africaines (EAC, CEDEAO, CEEAC, CEN-SAD, COMESA, SADC et UMA).
À propos de l'ATIDI
L'ATIDI a été fondée en 2001 par des États africains pour couvrir les risques liés au commerce et à l'investissement des entreprises qui font des affaires en Afrique. L'ATIDI fournit principalement des assurances contre les risques politiques, des assurances-crédit et des assurances-caution. Depuis sa création, l'ATIDI a soutenu des investissements et des échanges transfrontaliers d'une valeur de 85 milliards de dollars en Afrique. Depuis plus d'une décennie, l'ATIDI maintient une notation « A/Stable » pour la solidité financière et le crédit de contrepartie par Standard & Poor's, et en 2019, l'ATIDI a obtenu une notation A3/Stable de Moody's, qui a maintenant été révisée à A3/Positif.
Une partie de pêche dans les eaux du fleuve « Ahin » a viré au drame, mercredi 11 décembre 2024, pour trois jeunes de la commune de Savè, dans le département des Collines.
Trois jours avant le drame, les jeunes ont pêché un gros poisson qui leur a malheureusement échappé. Les trois pêcheurs retournent au bord du fleuve « Ahin » le mercredi 11 décembre 2024 avec pour objectif de repêcher le poisson.
Selon le Chef de l'arrondissement (CA) de Adido dans la commune de Savè, le moins âgé des jeunes a plongé dans les eaux mais n'est plus ressorti.
Après une trentaine de minutes sans nouvelles du premier le second plonge dans le fleuve. Celui-ci aussi ne donne plus aucun signe de vie. Le troisième se jette à l'eau pour secourir ses camarades.
C'est ainsi que les trois jeunes ont disparu au fond de l'eau, a précisé le CA Alexis Dossoumon à Le Matinal.
Un cultivateur qui suivait la scène de loin a donné l'alerte. Malheureusement, ce sont les corps sans vie des trois jeunes dont un adolescent de 18 ans qui ont été repêchés des eaux du fleuve.
Les corps des victimes ont été remis à leurs familles pour inhumation après les formalités administratives, sanitaires et judiciaires.
M. M.
Face au pays hôte de cette première édition du tournoi des Fédérations Ouest-Africaines de Football (UFOA) Zone B U-17 Filles, le Bénin s'est incliné 4-1 devant le Ghana ce jeudi.
C'est parti pour cette première édition du tournoi des Fédérations Ouest-Africaines de Football ( UFOA) Zone B U-17 Filles. Le match d'ouverture a pris fin il y a quelques minutes. La rencontre a opposé le Bénin au Ghana. Un début de compétition regrettable pour les Amazones U-17, qui ont perdu la partie.
Face aux Black Maidens, les Béninoises ont encaissé 4 buts contre 1 inscrit. Malgré cette défaite, le Bénin est qualifié pour les demi-finales. Ceci, après le forfait du Burkina Faso. Dans cette Poule A, le Ghana et le Bénin se retrouveront à nouveau samedi pour determiner les 1ère et 2è places du Groupe.
J.S
Lundi 09 décembre 2024, le parquet spécial de la CRIET a requis cinq (5) de prison dont deux ans fermes contre un policier. L'agent est poursuivi après avoir été accusé de transporter illégalement des faux médicaments avec un véhicule de fonction de la Direction générale de la police républicaine.
Un policier risque gros à la CRIET dans une affaire de faux médicaments transportés dans un véhicule de la police républicaine. Lundi 09 décembre 2024, le nommé N.C.R, un policier en fonction à la Direction générale de la police républicaine, a comparu une nouvelle fois dans le cadre de son procès. Ce prévenu est poursuivi pour des faits d'abus de fonction après avoir été placé en détention provisoire en mai 2024 par le parquet spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Selon le récit des faits, il est reproché au policier d'avoir transporté de faux médicaments avec son véhicule de service alors qu'il revenait d'une mission Porto-Novo. L'agent de la police républicaine a été interpellé par un douanier au poste de péage d'Ekpè .
Selon l'accusation, il aurait refusé de se soumettre à tout contrôle. Il n'a fallu que le poste de douanes pour que le policier s'arrête et que son véhicule ne soit fouillé. Une fouille qui a permis de découvrir des sacs de faux médicaments. L'agent de police a été ensuite convoqué au poste des douanes de Porto-Novo.
Cinq ans de prison requis
À l'audience du lundi 9 décembre 2024, le ministère public a pris ses réquisitions dans le dossier. Au regard de la gravité des faits reprochés à l'agent de police républicaine, le parquet spécial près la CRIET a demandé à la Cour de retenir le prévenu dans les liens de la prévention des faits d'abus de fonction. Il a alors requis cinq de prison dont deux ans fermes contre le policier.
Cette réquisition n'a pas été du goût de Me Omer Sylvain Tchiakpè, avocat de la défense. L'homme de droit a plaidé au principal la relaxe pure et simple de son client et au subsidiaire la relaxe au bénéfice du doute de son client. L'avocat souligne que les faits mis à la charge de son client ne sont pas avérés. Il soutient que son client ne savait pas le contenu des sacs qu'il transportait et qu'ils lui ont été remis par un ami. Le délibéré du dossier a été renvoyé en janvier 2024, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Le film documentaire ‘'Dahomey'' de la Franco-sénégalaise Mati Diop a remporté « L'Africa Narrative Change Film Award ». Ce prix a été décerné, le 11 décembre 2024, au Festival International de Film du Caire.
Et de deux pour « Dahomey » ! Le film documentaire retraçant le parcours des 26 trésors royaux du Royaume du Dahomey de la restitution à Paris à leur révélation au Bénin où ils sont logés désormais, a reçu le prix « Africa Narrative Change Film Award ». C'est lors du Festival International de Film du Caire.
« C'est un honneur pour nous de recevoir ce prix et nous tenons à exprimer notre gratitude envers le jury pour cette reconnaissance », s'est réjouie Mati Diop, la réalisatrice du film.
Cinéaste afro-descendante, Maty Diop estime que c'est un symbole le fait de recevoir un prix portant le nom d'Africa Narrative Change, en Égypte où commence l'histoire des peuples noirs. « Le cinéma doit résister à l'oubli et à la falsification de l'histoire ; il doit nous ancrer et nous permettre de reprendre le contrôle de notre récit et de notre image. Aujourd'hui, à travers le cinéma, osons réinventer de nouveaux imaginaires de nous-mêmes. Osons choisir l'histoire que nous voulons écrire pour nous-mêmes, pour nous et pour le monde », a expliqué la réalisatrice du film.
Pour François Bouda, responsable du programme artistique et culturel d'Afrique No Filter, le prix est « une façon de reconnaître les cinéastes dont le travail propose de nouvelles histoires avec de nouveaux héros, de nouvelles voix et des personnes qui ont un pouvoir d'action ».
Créé par Africa No Filter, le prix vise à promouvoir, au sein de l'industrie cinématographique africaine, des films contribuant à améliorer la représentation de l'Afrique à travers des histoires qui valorisent l'innovation, le progrès et les opportunités sur le continent.
Dahomey a remporté « l'Ours d'or » en février 2024 au Festival international de film de Berlin. Le film documentaire a été sélectionné pour la représentation du Sénégal aux Oscars 2025 dans la catégorie du meilleur long métrage international.
M. M.
La 53ème session du Conseil de médiation et de sécurité de la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), s'est ouverte mercredi 11 décembre 2024 à Abuja (Nigéria).
Les ministres en charge des Affaires étrangères et de la Défense des Etats membres de la CEDEAO se sont réunis, mercredi 11 décembre 2024 à Abuja, au Nigéria.
Cette 53ème session du Conseil de médiation et de sécurité de la CEDEAO se penche sur la situation politique, sécuritaire et humanitaire dans la région ouest-africaine. Il s'agira de faire des recommandations constructives pour mieux affronter les défis qui entravent la paix et la sécurité dans l'espace CEDEAO.
La création des centres nationaux d'alerte précoce et de réponse ainsi que de celle d'un Tribunal spécial pour la Gambie, chargé de poursuivre les auteurs de violations flagrantes des droits de l'Homme, l'examen du rapport de la 41ème réunion du Conseil de médiation et de sécurité au niveau des ambassadeurs, sont également au menu des assises.
Les ministres suivront aussi une présentation sur le Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme en Afrique de l'Ouest (GIABA) ; institution de la CEDEAO, basée à Dakar, au Sénégal.
A l'ouverture de la session, le ministre des Affaires étrangères du Nigeria, Yusuf Maitama Tuggar, a souligné l'importance de l'action collective et de la coopération régionale pour faire face aux multiples défis menaçant la stabilité en Afrique de l'Ouest. « La stabilité politique est le fondement du développement durable et de l'intégration régionale. Sans stabilité, les aspirations de notre peuple à la prospérité et au progrès resteront insatisfaites. Nous devons donc redoubler d'efforts pour renforcer les cadres de gouvernance et promouvoir des transitions politiques inclusives et pacifiques », a indiqué Yusuf Maitama Tuggar.
Il a salué les efforts continus de la CEDEAO dans la lutte contre le terrorisme, l'extrémisme violent, la criminalité organisée et les catastrophes.
Dans son message de soutien à l'ouverture de cette session, le Représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies et chef du Bureau des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest (UNOWAS), Leonardo Santos Simao, a salué les efforts de la Cédéao et de ses Etats membres pour consolider la démocratie et relever les défis en matière de paix et de sécurité auxquels est confrontée la région ouest-africaine.
Dr Oumar Alieu Touray, président de la Commission de la CEDEAO, a souligné que la réussite des élections au Ghana et au Sénégal démontre que le changement est possible en Afrique de l'Ouest. Il a également mis en avant les succès de la CEDEAO, notamment son espace économique commun et sa solidarité dans le développement des infrastructures, la diplomatie, la médiation et la sécurité. À l'approche du jubilé d'or de l'intégration régionale, il a insisté sur la nécessité de réengager les valeurs communautaires de la CEDEAO et a proposé un Sommet du Futur pour renforcer la confiance dans les institutions régionales.
Le Bénin a pris une part active aux travaux. C'est à travers la participation du Ministre des affaires étrangères, Olushegun Bakari Adjadi et de Alassane Seidou, Ministre de l'intérieur et de la sécurité publique.
Le Conseil de médiation et de sécurité de la CEDEAO joue un rôle primordial dans la prévention et la résolution des conflits au niveau régional.
M. M.
A l'issue d'un recueillement et d'une messe à Cotonou, le journaliste et écrivain Aubin Towanou a été conduit à sa dernière demeure ce jeudi 12 décembre 2024, à Abomey-Calavi.
Aubin Towanou a été inhumé au cimetière de Somè dans la commune d'Abomey-Calavi. C'est après un moment de recueillement à la morgue Proci et une messe corps présent en l'église catholique Bon Pasteur de Cotonou ce jeudi 12 décembre 2024.
La messe d'inhumation a été célébrée en présence d'amis, parents et collègues de l'illustre disparu.
Ancien Directeur de Publication du quotidien Le Matinal et du journal L'Économiste, Aubin Towanou est décédé dans la nuit du mardi 19 au mercredi 20 novembre 2024 à l'âge de 56 ans. Il fut fondateur du quotidien thématique Les Marchés et membre de l'Observatoire de la déontologie et de l'éthique dans les médias (ODEM). L'illustre disparu est aussi président de l'association « Médias pour l'Eveil et le Développement Intégral d'Agonlin » (MÉDIA).
Aubin Towanou est un écrivain dont l'ouvrage ‘'Lettre à ma fille'' est inscrit au programme scolaire au Bénin.
M. M.
L'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) Bénin a dévoilé, mercredi 11 décembre, les gagnants de l'édition 2024 de son hackathon numérique. Après 48 heures d'aventure, les trois premiers gagnants ont été primés après présentation de leur projet devant le jury.
UniSafe+ est sacré champion de l'hackathon numérique de l'AUF, édition 2024 organisé sous le thème ‘' Genre et vie universitaire''. L'équipe a travaillé sur les problématiques de harcèlement sexuel et de violences basées sur le genre. Elle a séduit les membres du jury avec une application mobile qui permet aux étudiantes de dénoncer anonymement les incidents, et leur offre un soutien psychologique pour les aider à surmonter leurs expériences traumatisantes. Occupant la première place avec une moyenne de 41,33, UniSafe+ remporte un trophée et une enveloppe financière de 120 000 FCFA.
« C'est un honneur pour moi et mon équipe de recevoir le premier prix. Je suis très contente et je remercie les membres de mon équipe et les personnes qui nous ont poussé à participer à cet hackathon », s'est réjouie Nelly Dako, représentante de l'équipe UniSafe+. Elle a aussi apprécié l'initiative de l'AUF. « C'est très rare de voir des filles participer à un hackathon. Le fait d'inclure au moins une fille dans l'équipe a poussé plusieurs filles à se joindre à des équipes pour pouvoir montrer leur talent et ce qu'elle peut faire », a-t-elle indiqué.
L'hackathon numérique de l'AUF a réuni des étudiants de l'Université d'Abomey Calavi, de l'Institut de Formation et de Recherche en Informatique (IFRI) et de Pigier Bénin. Accompagnées par les coachs Elisée Codja et Tinos Anago, les 5 équipes UniSafe+, VoixLibre, EmpowerHer, STEMinspire, FemConnect ont développé des solutions numériques visant à résoudre les problématiques liées au genre dans le milieu universitaire. Chaque équipe a eu 10 minutes pour présenter son projet, faire une démonstration de leur solution numérique et répondre aux questions des membres du jury. Harold Adjaho, Eudoxie Abouta et Maman Kouta Chaïdath ont évalué la pertinence, l'innovation et l'impact des solutions présentées par les participants.
La deuxième place a été attribuée à l'équipe VoixLibre. Elle a mis en place une application de signalement anonyme des abus sexuels, sécurisée et alimentée par l'intelligence artificielle. Avec une moyenne de 36,33, VoixLibre gagne un trophée et une enveloppe de 90.000 FCFA.
FemConnect a décroché la 3e place avec une moyenne de 28,67. L'équipe a reçu un trophée et une enveloppe de 60 000 FCFA pour avoir proposé un réseau social sécurisé pour les femmes étudiantes et professionnelles. Les équipes STEMinspire et EmpowerHer ont respectivement occupé la quatrième et cinquième place avec des moyennes de 26,33 et 22,67.
« J'ai apprécié les solutions présentées et les possibilités qu'elles peuvent offrir déjà sur les campus universitaires », a confié, Harold Adjaho, membre du jury. Il n'a pas manqué de donner des conseils aux participants. « Je les incite à davantage participer à ce genre d'initiative pour pouvoir sortir de leur tête cette petite idée qui potentiellement pourrait résoudre un problème (…) ils doivent aussi s'informer davantage afin de mieux comprendre les enjeux de ce qu'ils proposent », a affirmé Harold Adjaho. Le représentant de l'AUF Bénin, Fawaz Tairou a salué le travail des participants et remercié les coachs et les membres du jury pour leur disponibilité.
L'AUF à travers ce hackathon numérique, renforce son engagement à promouvoir l'innovation et l'excellence académique au sein de l'espace francophone.
Akpédjé Ayosso
Les responsables de l'ONG Bethesda se sont réunis en ligne, le samedi 07 décembre 2024. Le but de cette journée de réflexion par vision-conférence est de passer en revue les acquis de l'ong en 35 ans de vie et de relancer l'organisation pour de nouveaux défis et des réussites plus importantes pour la maison Bethesda.
Les responsables chrétiens ont encore le souvenir de leur bataille exprimée avec amour , abnégation et courage pour que l'ong bethesda soit ce qu'elle a été et ce qu'elle l'est toujours par la foi de ses membres même si elle travers pour l'heure la période d'épreuve de son histoire. Depuis un passé récent les activités de cette son institution de renommée nationale et internationale peine à avancer convenablement. D'où la tenue de cette journée de réflexion initié par les anciens responsables de l'ong.
A l'occasion, un rappel du contexte de la création de l'ong à été fait soutenu par la projection des moments de gloire et des réalisations marquant notée à son actif. Après prière et louange c'est au bien frère Sympho Thoi , ancien personne responsable des marchés du Bénin d'exhorter les participants. Il a fait asseoir son sermon sur la base de 4 défis à relever à la lumière des saintes écritures : l'intégrité ; la fidélité dans la gestion des ressources ; la justice dans les décisions et le service bien rendu. Pour lui le Seigneur Jésus ne nous met à des postes de responsabilité satisfaire l'intérêt égoïste des hommes mais de Dieu. Une Exhortation qui aura été assez brève afin de permettre le lancement des des travaux de ladite journée de réflexion présidé par l'actuel Coordonnateur de l'ong Bruno Vovovi qui croit lui fermement en s'appuyant sur le livre de 2 roi 4 23 que Bethseda augure d'un lendemain meilleur.
Le representant des Mennonites, structure américaine ayant fait les début de l'ong Bethesda Phillip et son épouse Christine croient toujours en la vision de cette organisation tout en exprimant sa volonté de donner de son énergie et ses atouts pour la relève. Les participants sont allés ensuite en plénière pour réfléchir sur les problématiques telles que : analyse de la situation actuelle de l'ong Bethesda (de l'hôpital bethesda et du DCAM Developpement communautaire et Assainissement du Milieux ). Identification des causes des problèmes de gouvernance et de gestion. Proposition des solutions concrètes aux problèmes de l'ong bethesda et enfin stratégie pour dépasser les clivages entre le CEPEB (Collectif des Églises Protestantes et Evangélique du Bénin) et l'OCDC entendez : Christian organization for community Developpment. Sont issues de ces travaux plusieurs recommandations à adresser à qui de droit. Lesquelles recommandations lues par le rapporteur de la journée Yaou OBOSSOU.
Déclaration finale de la journée de réflexion sur la gouvernance de l'ONG BethesdaLa Centrale électrique "Sa Majesté le Roi Mohammed VI", offerte par le Royaume du Maroc à la République du Niger sur Très Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a été inaugurée, ce jeudi 12 décembre 2024 à Niamey.
Inauguration ce jeudi à Niamey de la Centrale électrique offerte par le Royaume du Maroc à la République du Niger. La cérémonie organisée sous le Haut patronage du Général de Brigade, Abdourrahmane Tiani, Président du Conseil National de la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) du Niger et présidée par le Premier ministre nigérien, ministre de l'économie et des finances, Ali Mahamane lamine Zeine, s'est déroulée en présence d'une forte délégation marocaine composée de l'Ambassadeur, Directeur général de l'Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI), M. Mohamed Methqal, du Directeur général de l'Office national de l'Electricité et de l'Eau potable (ONEE), M. Tarik Hamane et de l'ambassadeur de SM le Roi à Niamey, M. Allal El Achab.
Dotée d'équipements de dernière génération, cette Centrale d'une capacité de production électrique de 22,5 MVA (20 MW), située dans la zone Industrielle de
Gamkaley à Niamey, contribuera à l'amélioration de la desserte en énergie électrique pour la population nigérienne et au renforcement de la souveraineté énergétique du Niger.
Ce don du Royaume du Maroc s'inscrit dans le cadre du renforcement des relations bilatérales fraternelles, suite à la grave crise énergétique que subit le Niger. La Centrale "Sa Majesté le Roi Mohammed VI" témoigne d'une coopération bilatérale fructueuse et riche en actions de solidarité au service de la prospérité des populations et pour un Niger stable et émergent.
Fruit d'une vision ambitieuse de SM le Roi Mohammed VI pour une solidarité agissante en faveur d'un développement humain durable du continent africain, cette centrale électrique s'inscrit également dans le même sillage des importantes initiatives lancées par le Souverain pour la contribution au développement des pays frères du Sahel, à l'instar de l'Initiative Royale pour favoriser l'accès des pays du Sahel à l'Océan Atlantique.
La réalisation du projet a été coordonnée par l'Agence Marocaine de Coopération Internationale a été confié à une équipe conjointe composée de représentants de l'ONEE et de la Société nigérienne d'électricité (NIGELEC).
L'inauguration de la Centrale électrique "Sa Majesté le Roi Mohammed VI" s'est déroulée en présence des membres du CNSP, du gouvernement de la Transition, du Corps diplomatique et représentants des organisations internationales, ainsi que des membres de la communauté marocaine au Niger, de la société civile et des institutions religieuses nigériennes.
Le chef de l'Etat Patrice Talon va se rendre la semaine prochaine à l'Assemblée nationale pour son message sur l'état de la nation. Le président de la République ira se conformer à cette exigence constitutionnelle le vendredi 20 décembre 2024, selon les informations.
Conformément aux dispositions de l'article 72 de la constitution, le chef de l'Etat Patrice Talon va se présenter au Palais des gouverneurs à Porto-Novo le vendredi 20 décembre 2024, pour son message sur l'état de la Nation. A l'occasion, il fera le bilan de ses réalisations dans divers secteurs au cours des 12 derniers mois. Les perspectives pour 2025, notamment le projet de budget de l'Etat exercice 2025, seront également au cœur du message.
Pour 2025, le Parlement a voté un budget de 3 551,005 milliards de francs CFA, soit une hausse de 11 % par rapport à l'exercice en cours. 41,5 % des dépenses seront consacrées aux secteurs sociaux. A travers cette orientation, le gouvernement entend réduire le taux de pauvreté dans le pays, et le ramener à 33,8 % d'ici fin 2025.
Patrice Talon dans son adresse pourra aborder plusieurs autres sujets d'actualité, notamment les élections générales de 2026, la question sur l'audit du Code électoral, et autres.
Le message sur l'état de la Nation selon l'article 72 de la Constitution, ne donne lieu à aucun débat ; il peut toutefois inspirer les travaux de l'Assemblée.
F. A. A.
Le gouvernement a approuvé ce mercredi 11 décembre 2024, la restructuration du nouveau cadre organisationnel de Sèmè-City.
Le cadre organisationnel de Sèmè City restructuré. La décision a été prise ce mercredi 11 décembre 2024 en Conseil des ministres.
Cette restructuration organisationnelle et fonctionnelle approuvée selon le gouvernement, vise à renforcer le rayonnement à l'international et l'attractivité de l'agence de développement, en développant ses activités d'innovation en lien avec le monde socio-économique ; ce qui lui permettra de mieux faire face aux nouveaux défis de l'évolution technologique puis de gagner davantage en visibilité.
Selon le communiqué du Conseil des ministres, la nouvelle architecture prévoit quatre entités avec des champs de compétences complémentaires. Il s'agit d'une part, de la Fondation Sèmè City ayant pour principales missions : le développement et la gouvernance du site, la mobilisation et l'octroi de financements pour le développement des infrastructures, les bourses d'études, la conception et l'amélioration de la qualité des programmes académiques, les initiatives de recherche et d'innovation. Ces missions intègrent aussi les projets portés par les étudiants, les chercheurs et les entrepreneurs, le recrutement et le renforcement des capacités du personnel ainsi que les autres services destinés aux étudiants.
D'autre part, l'Agence de développement de Sèmè City dont la vocation se rapporte notamment à la gestion du foncier, au développement des infrastructures, à la stratégie de marketing, à la création de partenariats structurants ainsi qu'à l'élaboration et la gestion des services sur les campus, à l'appui au montage des dossiers de programmes de formation, lit-on dans le communiqué de la réunion hebdomadaire des membres du gouvernement.
Il y a aussi la Commission académique de Sèmè City avec pour attributions essentielles, l'évaluation et l'accréditation des programmes portant sur la stratégie académique. Selon le gouvernement, elle statuera également sur le contrôle qualité, l'agrément et l'homologation des établissements qui souhaitent s'établir ou sont déjà établis sur le site de Sèmè City.
Enfin, les établissements publics et privés de Sèmè City dont les missions porteront surtout sur la formation, la recherche et l'entrepreneuriat. Dans ce cadre, plusieurs établissements publics tels que « Sèmè city Institute of Technology and Innovation », « African Screen Institute » et « Ecole de la Mode et du Textile du Bénin » seront créés. De même, l'Etat pourra, au besoin, ouvrir d'autres entités. Quant aux établissements privés autorisés à opérer dans ce contexte, ils obtiendront le statut d'établissements d'enseignement supérieur privés d'intérêt général, précise le compte rendu du Conseil des ministres.
Soutiens fidèles du président Patrice Talon et de sa gouvernance, de nombreux acteurs politiques et leaders d'opinion ne figurent pas jusque-là sur la liste de nominations du chantre de la Rupture.
La récente vague de nominations à la présidence, au gouvernement et au sein du Conseil Economique et Social (CES) laisse entrevoir que certains soutiens du Chef de l'Etat Patrice Talon sont toujours restés en dehors des cercles décisionnels malgré leur loyauté et leur activisme.
Bertin Koovi, leader du parti Alliance Iroko, anciennement acteur clé de l'opposition, a fait le choix de se rapprocher du président Patrice Talon à travers son ralliement au Bloc Républicain (BR). Toutefois, son engagement en faveur du chef de l'État n'a pas encore trouvé une reconnaissance formelle sous forme de nomination, qu'il espérait probablement, notamment dans les sphères gouvernementales. Son absence sur les listes de ces dernières nominations laisse planer des questions sur la gestion de la loyauté politique et des alliances au sein du régime.
Autre exemple, celui d'Iréné Agossa, président du parti Restaurer La Confiance (RLC). Cet homme politique a largement soutenu la politique du gouvernement, mais, jusqu'à présent, n'a pas reçu d'assignation de responsabilités de la part de Patrice Talon. Agossa semble incarner cette frange de la mouvance présidentielle délaissée malgré un soutien sans faille. À l'heure où d'autres personnalités sont récompensées pour leur allégeance, le leader du RLC demeure un "oublié" de la Rupture.
Le cas de Christhelle Houndonougbo Alioza, membre influente du parti Union Progressiste Le Renouveau (UP-R), est également édifiant. Bien que son engagement pour Patrice Talon soit indéniable, elle n'a pas été appelée à siéger dans les instances stratégiques comme le CES ou comme ministre conseillère.
De même, Nadia Okoumassou, du Bloc Républicain (BR), un autre pilier de la majorité présidentielle, se trouve dans une situation similaire. Malgré sa fidélité et son travail de soutien aux réformes du gouvernement, elle ne semble pas avoir été incluse dans ces nouvelles structures de pouvoir.
La liste des oubliés de la Rupture et du Nouveau Départ n'est pas exhaustive. Tout comme ces quatre leaders d'opinion, il y a plusieurs autres personnalités proches du régime, qui attendent d'être récompensées avant la fin du mandat présidentiel en 2026.
Le chantre de la Rupture est-il dans la stratégie politique ou cherche-t-il à garder une certaine forme d'équilibre entre les divers courants de la mouvance présidentielle tout en répondant aux exigences de ses alliés traditionnels ?
La patience et le soutien inébranlable des fidèles soutiens de Patrice Talon seront-ils récompensés dans un futur proche à quelques mois de la fin de son dernier mandat ? Seul le temps nous le dira.
M. M.
Démarrée mardi soir, la 6e journée de la phase de Ligue de la Ligue des Champions est déjà à son terme. Ceci, après les rencontres de ce mercredi 11 décembre 2024. Le FC Barcelone s'est arraché devant Dortmund en décrochant la victoire 2-3.
En début de soirée, Lille a validé sa qualification, à minima, pour les barrages avec une victoire contre Sturm Graz (3-2). Plus tard, Monaco a concédé une défaite contre Arsenal (0-3) et se retrouve relégué à trois points du Top 8.
Grosse surprise de ce mercredi soir, Manchester City a concédé une défaite sur la pelouse de la Juventus (0-2). En revanche, Stuttgart, qui affrontera les Parisiens lors de la dernière journées, a corrigé les Young Boys (5-1). Large victoire aussi pour Feyenoord contre le Sparta Prague (4-2). Le FC Barcelone est venu à bout de Dortmund (3-2), comme le Milan AC qui a attendu les dernières minutes pour battre l'Etoile Rouge de Belgrade (2-1). Pas de vainqueur entre Benfica et Bologne (0-0)
Voici les résultats de la soirée :
Atletico Madrid 3-1 Slovan Bratislava
LILLE 3-2 Sturm Graz
Benfica 0-0 Bologne
Dortmund 2-3 FC Barcelone
Feyenoord 4-2 Sparta Prague
Juventus 2-0 Manchester City
Milan AC 2-1 Etoile Rouge de Belgrade
Stuttgart 5-1 Youg Boys Berne
Arsenal 3-0 MONACO
J.S
Nommée ministre-conseiller, Claudine Afiavi Prudencio a exprimé sa reconnaissance au chef de l'État et son engagement à servir avec abnégation. Lire l'intégralité de son message publié quelques heures après la nomination ce mercredi 11 décembre 2024.
RECONNAISSANCE ET ENGAGEMENT
Claudine Afiavi PRUDENCIO (MINISTRE CONSEILLER À LA SANTÉ DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE)
Je tiens à exprimer ma profonde gratitude et mes sincères remerciements à Son Excellence Monsieur Patrice Talon, Président de la République du Bénin, pour la confiance exceptionnelle qu'il a bien voulu placer en ma modeste personne en me nommant Ministre Conseiller à la Santé.
Cette nomination est pour moi bien plus qu'un honneur. Elle représente un appel à servir, avec abnégation et loyauté, la vision éclairée et les ambitions stratégiques portées par Son Excellence pour l'édification d'un Bénin prospère, inclusif et résilient.
J'ai pleinement conscience des attentes élevées liées à cette mission et des enjeux cruciaux qu'elle comporte pour notre système de santé, pierre angulaire du développement humain et social.
Avec humilité, détermination et dévouement, je m'engage à honorer cette confiance en contribuant efficacement, aux côtés de tous les acteurs, à l'amélioration des conditions de vie de nos concitoyens, tout en restant fidèle aux valeurs d'excellence, de justice et de solidarité qui définissent notre chère République.
Fière d'être Béninoise, fière de servir.
Une stratégie nationale de développement du commerce électronique au Bénin a été adoptée, mercredi 11 décembre 2024 en Conseil des ministres.
La stratégie nationale 2025-2029 de développement du commerce électronique au Bénin a été adoptée.
Elle a été élaborée par le ministère de l'Industrie et du Commerce dans le but de contribuer à faire du Bénin une plateforme de services numériques de l'Afrique de l'Ouest pour l'accélération de la croissance et l'inclusion sociale et de faire du commerce électronique un levier de compétitivité et de croissance durable à l'horizon 2029.
Selon le Conseil des ministres du 11 décembre 2024, l'efficacité d'une telle dynamique sera appréciée, sur la durée, à l'aune du renforcement des capacités et des compétences des acteurs, de l'amélioration des infrastructures et de la logistique, de la labellisation des produits et des processus ainsi que du renforcement de la confiance au numérique.
« La stratégie est structurée autour de deux orientations stratégiques que sont : l'amélioration de la gouvernance et des cadres institutionnel et organisationnel pour le développement du commerce électronique puis le renforcement de la culture du commerce électronique ».
Le gouvernement explique que « l'approbation impactera durablement tous les secteurs de l'économie, de la production à l'exportation, avec un développement conséquent du volet logistique. Elle constitue un levier important de croissance inclusive intégrant une forte implication des jeunes, des femmes et des personnes vulnérables ».
M. M.
Lancée le 5 décembre 2024, la campagne de commercialisation du soja grain s'achèvera le 30 avril 2025. Voici les conditions de déroulement de la campagne.
Les prix de vente du soja grain ont été fixées pour le compte de la campagne 2024-2025.
Le soja grain conventionnel est à 275 FCFA/Kg et une redevance de 5 FCFA/Kg est perçue pour les charges des fonctions critiques.
En ce qui concerne le soja grain biologique, il sera cédé à 325 FCFA/Kg et 5 FCFA/Kg pour les charges des fonctions critiques.
Ces prix ont été fixés de commun accord avec les acteurs à la suite des délibérations de l'Interprofession Soja mise en place pour défendre les intérêts des producteurs et des transformateurs.
Selon le point fait en Conseil des ministres de la campagne écoulée, « la production nationale de cette légumineuse connaît une bonne progression et s'est établie à 520.929 tonnes au titre de la campagne 2023-2024 ».
Cette « performance est ternie à la phase de commercialisation par la sortie frauduleuse des produits vers des pays voisins, pratique à laquelle s'adonnent certains producteurs et commerçants », a déploré le gouvernement.
Selon le Conseil des ministres, « une telle situation porte préjudice à l'essor de la filière, aux efforts d'industrialisation en cours dans notre pays et à la création des nombreux emplois qui en résultent. Elle constitue en outre un risque pouvant affecter gravement à long terme les intérêts des acteurs eux-mêmes en fragilisant leur Interprofession autant qu'elle compromettrait la diversification des sources de création de richesses pour l'économie nationale ». C'est dans cette perspective que le Conseil a instruit les ministres concernés à l'effet de veiller au respect de la mesure d'interdiction de l'exportation du soja par voie terrestre.
M. M.
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L'e-commerce décentralisé : une approche unique
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