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Défense

Pas d’hélicoptères légers dans la prochaine LPM

Blog Secret Défense - Tue, 12/26/2017 - 11:22
L’Hélicoptère léger interarmées (HIL) ne devrait pas figurer dans la prochaine loi de programmation militaire.
Categories: Défense

La frégate Jean de Vienne reçoit les cadeaux « solidarité Défense »

ColBleus - Marine nationale (FR) - Tue, 12/26/2017 - 10:25

© Marine nationale

Cette année, à près de 3 000 kilomètres de son port-base de Toulon, l’équipage de la frégate anti-sous-marine Jean de Vienne a passé Noël à la mer. En effet, le bâtiment patrouille en Méditerranée orientale dans le cadre de l’opération Chammal delutte contre Daech. A cette occasion, les marins ont eu la joie de recevoir des colis de l’association « solidarité Défense ».

Ils contenaient en particulier des messages de fraternité et de soutien de la part de 250 élèves d’écoles élémentaires, un signe de reconnaissance à ces marins qui passent Noël loin de leur famille, pour garantir la sécurité des Français. Ces témoignages ont touché l’ensemble de l’équipage qui ne manquera pas de leur répondre prochainement. Les marins du Jean-vienne pourront ainsi faire partager à ces jeunes écoliers leur quotidien à bord et surtout le sens de leur mission. L’engagement du Jean de Vienne dans cette opération répond au besoin de l’état-major des armées de disposer en permanence d’un navire dans le canal de Syrie permettant à la France d’entretenir une appréciation autonome de la situation.

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La frégate Jean de Vienne reçoit les cadeaux « solidarité Défense »

ColBleus - Marine nationale (FR) - Tue, 12/26/2017 - 10:25

© Marine nationale

Cette année, à près de 3 000 kilomètres de son port-base de Toulon, l’équipage de la frégate anti-sous-marine Jean de Vienne a passé Noël à la mer. En effet, le bâtiment patrouille en Méditerranée orientale dans le cadre de l’opération Chammal delutte contre Daech. A cette occasion, les marins ont eu la joie de recevoir des colis de l’association « solidarité Défense ».

Ils contenaient en particulier des messages de fraternité et de soutien de la part de 250 élèves d’écoles élémentaires, un signe de reconnaissance à ces marins qui passent Noël loin de leur famille, pour garantir la sécurité des Français. Ces témoignages ont touché l’ensemble de l’équipage qui ne manquera pas de leur répondre prochainement. Les marins du Jean-vienne pourront ainsi faire partager à ces jeunes écoliers leur quotidien à bord et surtout le sens de leur mission. L’engagement du Jean de Vienne dans cette opération répond au besoin de l’état-major des armées de disposer en permanence d’un navire dans le canal de Syrie permettant à la France d’entretenir une appréciation autonome de la situation.

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Pour le général Lecointre, la coopération avec l’Allemagne est « déséquilibrée »

Blog Secret Défense - Sun, 12/17/2017 - 11:41
Le chef d’état-major des armées évoquait les aspects industriels du futur avion de combat.
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Le G5 Sahel, improbable ticket de sortie du Mali

Blog Secret Défense - Tue, 12/12/2017 - 10:39
Près de cinq ans après le début de l’intervention au Mali, le président de la République réunit mercredi à La Celle-Saint-Cloud, une vingtaine de pays, dont l’Allemagne, en soutien au G5 Sahel.
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Contrats au Qatar : les armes françaises continuent à bien s’exporter

Blog Secret Défense - Fri, 12/08/2017 - 13:03
L’émirat va acheter 12 Rafale supplémentaires et négocie l’acquisition de près de 400 VBCI. Après la Belgique et les EAU, c’est le troisième succès de l’équipe Macron-Parly
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L’amiral Casabianca, major général des armées ?

Blog Secret Défense - Mon, 12/04/2017 - 18:20
(Actualisé) Le général Lavigne pourrait lui succéder au MinArm
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Quatre femmes à bord de la prochaine patrouille de SNLE

Blog Secret Défense - Mon, 12/04/2017 - 11:34
Pour la première fois, quatre officiers féminins vont embarquer à bord d’un sous-marin nucléaire lanceurs d’engins.
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Le général de Villiers, auteur à succès et future «autorité morale» des armées

Blog Secret Défense - Thu, 11/30/2017 - 13:19
« Servir », le livre de l’ancien chef d’état-major des armées a trouvé son public alors que l’auteur refuse d’entrer dans les polémiques
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Arnaud Danjean : « Sans céder à un misérabilisme médiatiquement facile... »

Blog Secret Défense - Tue, 11/28/2017 - 11:46
Dans la RDN, le député européen revient sur les critiques faites à la Revue stratégique
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Comment Paris peut-il se réinventer un rôle au Proche-Orient ?

Article paru dans L'Orient Le Jour (Beyrouth)Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian (à g.), en compagnie du Premier ministre libanais démissionnaire, Saad Hariri, le 16 novembre 2017, à Riyad. Valérie Leroux/AFP×1 / 2
Proche-Orient : Que peut faire la France?
Frédéric Charillon (Professeur des Universités en science politique, UCA, Sciences Po, ENA – ancien directeur de l’institut de recherche stratégique de l’école militaire)

La France s'efforce, depuis longtemps, de maintenir ou d'adapter son rôle au Moyen-Orient. Aujourd'hui ses grands partenaires (Egypte, Arabie) inquiètent par leurs crispations internes ou leur aventurisme extérieur. Le Liban, auquel elle tient tant, est dans la tourmente.  Face à cette situation, sa diplomatie se heurte à plusieurs obstacles : un contexte international défavorable, la difficulté à trouver des relais régionaux, la contradiction des intérêts français eux-mêmes. Paris peut néanmoins aborder cette séquence difficile avec une nouvelle méthode de dialogue.

Un contexte difficile
Les encouragements donnés par Washington aux postures dures contre l'Iran favorisent la confrontation dans la région. Ni l'état actuel de l'Union européenne, ni la longue prudence des émergents, ne contrebalancent cette tendance. Et Moscou est suffisamment occupé par la Syrie pour se risquer à des arbitrages ailleurs. Dès lors, la France, plus préoccupée que d'autres par la situation libanaise et qui a souhaité y réagir vite, se trouve bien seule pour mener une initiative.
Ayant établi une relation de confiance avec Riyad (essentiellement avant la nomination du nouveau prince héritier), Paris soigne également son dialogue avec Le Caire, et se refuse à donner des leçons à quiconque, comme il l'a été rappelé lors de la visite à Paris du président Sissi. La posture a ses mérites comme ses défauts, mais elle ne permet pas de transcender le problème principal : aucune de ces capitales arabes n'est en mesure d’être un hégémon consensuel dans la tourmente actuelle. L'initiative appartient même désormais aux puissances non arabes, Israël, Iran, Turquie.  Acteurs avec lesquels Paris entretient des relations tendues, et dont l'intransigeance se prolonge (Israël), se renforce (Turquie), ou fait l'objet de rapports de force internes (Iran).
La France doit enfin faire l’inventaire de ses intérêts dans la région. L'affaire syrienne, depuis 2013, reste l'objet d'un débat : en exigeant alors le départ de Bachar al-Assad, Paris a pris le risque d'avoir moralement raison tout en se mettant diplomatiquement hors-jeu. Voir s'effondrer les régimes de l'Arabie ou de l'Egypte serait une nouvelle terrible, mais il est impossible de leur donner carte blanche pour jouer la politique du pire. Soutenir le Liban et le protéger du chaos est un réflexe à Paris : les événements libanais remontent plus haut et plus vite au sommet de l'Etat que beaucoup d'événements internationaux, et la France ne souhaite ni une mainmise étrangère sur le pays, ni un étouffement progressif interne qui ne respecte pas la pluralité libanaise. Mais l'on se souvient du temps passé pour rien à tenter de résoudre la crise institutionnelle en 2007.

L'indispensable changement d'optique
A région bouleversée, méthode nouvelle. La politique des blocs a vécu, l'unité arabe aussi, et les sociétés s'expriment de plus en plus. Comment Paris peut-il se réinventer un rôle ? Les équipes Macron, dans lesquelles on compte plusieurs connaisseurs de la zone, tablent d'abord sur le dialogue avec tous les acteurs, en l’élargissant même à de nouveaux, quels que soient les points de désaccord ; ensuite sur le multilatéralisme ; enfin sur la réaffirmation des principes.
Cette méthode (esquissée par le Président devant les Ambassadeurs français à Paris, où les Nations Unies à New York) peut-elle s’appliquer au Proche Orient ? Le dialogue à tout prix, on l’a vu dans la réception de Sissi à Paris, comme d’ailleurs avec Trump ou Poutine, consiste à chercher les points de convergence en dépit de tensions réelles. Le multilatéralisme, lui, pourrait peut prendre la forme de conférences internationales aux formats ad hoc, sur la Syrie ou pourquoi pas sur le Liban, qui mettront l'accent sur l’avenir des peuples plutôt que sur les compétitions étatiques. La réaffirmation des principes enfin, consiste à édicter la position et les lignes rouges de la France, mais sans en faire un casus belli.
Un enseignement s’impose, sur la période récente : laisser les capitales régionales dériver vers la manière forte pour ménager leur susceptibilité, n'a renforcé ni la stabilité régionale, ni l'influence française. La France teste donc sa nouvelle méthode. Elle maintient le lien historique avec Le Caire ou Riyad, mais mise aussi sur les Emirats, acteur montant. Emmanuel Macron, puis son ministre des Affaires Etrangères (ce dernier fort d’une relation de confiance ancienne avec l’Arabie) rendent visite au Prince héritier saoudien pour parler du Liban, mais invitent dans la foulée Saad Hariri à Paris, comme pour souligner que la souveraineté libanaise n’est pas négociable.
Pour peser davantage, la France doit sortir des dilemmes traditionnels: Doha ou Riyad, Sissi ou pas Sissi, Bachar ou Daech, le Hezbollah ou Hariri, etc. D’autant qu’ainsi formulés, c’est le Proche-Orient qui en est la première victime. Surtout, elle peut tenter de prendre l’initiative, en y associant les institutions internationales, de nouveaux acteurs étatiques, et les nouveaux acteurs sociétaux (jeunes, intellectuels, femmes). La réussite n’est jamais garantie au Proche-Orient, mais il est temps d’essayer ce qui ne l’a pas encore été.






Quand le Président Trump suicide l'Amérique Monde


« Le monde doit composer avec une administration américaine devenue nihiliste»
Paru dans LeMonde
En lançant son offensive contre l’accord avec l’Iran, Donald Trump aggrave la méfiance internationale à l’égard de l’Amérique et entraîne un risque de prolifération au Proche-Orient, déplore le politiste Frédéric Charillon dans une tribune au « Monde ».LE MONDE | 14.10.2017 à 10h31 • Mis à jour le 16.10.2017 à 09h29 | Par Frédéric Charillon (professeur des universités en science politique)



Tribune. 
Le comportement de Donald Trump à l’international semble obéir à des logiques désormais identifiées : s’en prendre systématiquement aux accords forgés par son prédécesseur (forcément « les pires » qui soient) ; adopter une posture belliqueuse face aux adversaires consacrés tout en ménageant d’autres régimes autoritaires ; rejeter ce qui a fait l’ancrage de l’Amérique au cœur de l’international (multilatéralisme, libre-échange…), pour flatter le segment de l’opinion américaine le moins internationalisé.L’offensive contre l’accord du 14 juillet 2015 s’inscrit dans la logique de nombreux épisodes : critiques contre l’OTAN, remise en cause de l’accord de libre-échange nord-américain (Aléna), rejet du traité transpacifique, sortie de l’accord de Paris sur le climat, fin du rapprochement avec Cuba, menaces contre le Venezuela et la Corée du Nord, retrait de l’Unesco au nom d’un soutien à Israël… C’est donc sans surprise que le président américain renoue avec la diatribe, et la stigmatisation de l’Iran – « dictatorial », « principal parrain du terrorisme dans le monde ». Sans surprise qu’il persiste dans la logique du retrait et du cavalier seul.
Trois types de dégâts sont à attendre : une méfiance accrue vis-à-vis de l’Amérique à l’échelle globale ; un désarroi européen encore aggravé ; un Proche-Orient victime des signaux politiques dangereux envoyés par Washington. 
Jadis partisans d’une stabilité hégémonique assurée par eux-mêmes, les Etats-Unis se considèrent désormais comme une citadelle assiégée dans un monde à l’état de nature. En conséquence, on ne discute plus : on se barricade et on menace. On ne travaille plus à forger des accords, on les rejette. On ne croit plus aux biens communs ni au multilatéralisme, mais au chacun pour soi. C’est toute une panoplie d’outils de la domination américaine dans les dernières décennies qui se voit ainsi balayée.
Travail de sape

Devant ce tableau,
Lire la suite sur dans Le Monde

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