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Soudan: Béchir met en garde après de nouveaux appels à manifester

Maliactu - Mon, 12/12/2016 - 12:24

Le président soudanais Omar al-Béchir a prévenu lundi que toute tentative visant à renverser son régime serait sévèrement réprimé, alors que de nouveaux appels étaient lancés pour protester contre la politique du gouvernement.

Des militants ont appelé à une nouvelle grève de deux jours, les 19 et 20 décembre, dans tout le pays pour protester contre la décision du gouvernement d’augmenter les prix notamment des médicaments.

« Nous avons entendu ces derniers jours des appels à renverser le régime lancés par des personnes cachées derrière leurs claviers », a déclaré devant des partisans rassemblés dans la ville de Kasala (est) le président Béchir, au pouvoir depuis un coup d’Etat militaire en 1987.

« Nous leur disons: +si vous voulez renverser le régime, faites-nous face directement dans la rue+. Je vous défie de descendre dans la rue ». « Mais vous ne viendrez pas car vous n’avez pas oublié ce qui s’est passé … Ce régime ne sera pas renversé par des claviers et (l’application) Whatsapp », a prévenu le président lors de son discours retransmis à la télévision.

Il faisait allusion aux heurts sanglants qui avaient opposé manifestants et forces de l’ordre en 2013 à l’occasion d’une précédente hausse des prix consécutive à une réduction des subventions. Ils avaient fait près de 200 morts selon des organisations de défense des droits de l’Homme, moins de 100 selon le gouvernement.

Plusieurs manifestations ont eu lieu ces dernières semaines au Soudan contre la hausse de 30% des prix du pétrole et du diesel, annoncée début novembre, et la dépréciation de la livre soudanaise, qui ont entraîné une augmentation des prix de nombreux produits, notamment des médicaments. Ces rassemblements ont été rapidement étouffés par la police anti-émeute.

Des militants de l’opposition appellent à présent sur les réseaux sociaux et les applications telles que Whatsapp à une nouvelle grève générale et à des manifestations les mêmes jours à Khartoum et dans d’autres villes pour « renverser le régime ».

Un appel similaire pour une grève de trois jours fin novembre avait été partiellement suivi, des employés du secteur privé ayant observé l’arrêt de travail mais par les fonctionnaires.

Les services de sécurité ont arrêté ces dernières semaines plusieurs figures et activistes de l’opposition pour tenter d’empêcher la tenue de manifestations.

Categories: Afrique

Qui sera désignée start-up africaine de l’année 2017 ?

France24 / Afrique - Mon, 12/12/2016 - 12:23
France 24 est partenaire de la première édition du prix de la start-up africaine de l’année organisée par Bonjour Idée. Continent en pleine croissance, terre du téléphone mobile, l’Afrique recèle de nombreuses pépites en matière d’innovation.
Categories: Afrique

Explosion d’un camion-citerne au Kenya: le bilan monte à 40 morts

Maliactu - Mon, 12/12/2016 - 12:20

L’accident d’un camion-citerne qui a percuté d’autres véhicules puis explosé samedi soir au Kenya a fait au moins 40 morts, ont annoncé lundi les autorités, revoyant à la hausse un précédent bilan, alors que certains appelaient le gouvernement à améliorer la sécurité sur les routes du pays.

« Six corps supplémentaires ont été retrouvés, ils étaient brûlés à un point tel qu’ils sont impossibles à identifier, et ont été emmenés à la morgue », a déclaré à l’AFP un officier de police présent sur place.

Les autorités ayant par ailleurs annoncé qu’une victime avait succombé à ses blessures à l’hôpital universitaire de Nairobi, le bilan officiel de la catastrophe s’établit désormais à 40 morts, contre 33 morts annoncés dimanche.

Le directeur de l’Unité nationale de gestion des catastrophes, le colonel Nathaniel Kigotho, a confirmé ce chiffre, indiquant lundi à la presse que 34 corps se trouvaient dans une morgue au nord-ouest de Nairobi, tandis que 6 autres corps se trouvent à l’hôpital universitaire de la ville.

« Tous ces corps seront soumis à des tests ADN en vue d’être identifiés et rendus aux proches », a-t-il précisé. « Ce processus va commencer immédiatement et s’achèvera dans deux semaines ».

L’accident s’est produit samedi soir à Karai, près de 100 km au nord-ouest de Nairobi, sur la route très fréquentée qui relie la capitale kényane et Nakuru dans la vallée du Rift, et continue jusqu’à l’Ouganda voisin.

D’après la police et des témoins, le camion, immatriculé en Ouganda, roulait vite lorsqu’il est arrivé à un ralentisseur nouvellement installé et qui n’était indiqué par aucun panneau de signalisation – un cas de figure assez courant au Kenya -.

Le chauffeur a perdu le contrôle du camion et s’est encastré dans d’autres véhicules. Des témoins ont vu une « boule de feu » embraser une dizaine de véhicules, dont un minibus et un véhicule de la police.

Onze policiers d’une unité paramilitaire kényane figurent parmi les personnes décédées.

« Ce désastre montre à nouveau que les dangers sur nos routes sont toujours là malgré des tentatives pour les rendre plus sûres », a regretté dans un éditorial le quotidien Daily Nation, évoquant des règles de circulation peu claires et rarement appliquées.

Les camions les plus volumineux ne sont pas autorisés à circuler la nuit sur certains axes routiers. Mais le code de la route est rarement suivi à la lettre dans un pays où soudouyer les policiers est courant.

Le président Uhuru Kenyatta avait affirmé dimanche que « le camion responsable de l’accident n’aurait pas dû se trouver sur cette route à cette heure là ».

Lundi, il a ordonné au ministère des Transports d’améliorer la signalisation. « Nous ne pouvons continuer à perdre des vies à cause de ralentisseurs mal érigés », a-t-il déclaré lors d’un discours à Nairobi. « Des panneaux clairs doivent être placés dans cette zone pour prévenir les usagers, et cela devrait s’appliquer au reste du pays ».

Cette route ultra-fréquentée est connue pour être un point noir en matière de sécurité routière. En 2009, 122 personnes avaient été tuées dans l’explosion d’un camion d’essence alors qu’elles s’étaient massées autour d’un véhicule accidenté près de Molo (150 km au nord-ouest de Nairobi) pour recueillir du carburant.

Selon la police routière kényane, quelque 3.000 personnes meurent chaque année sur les routes du pays. L’Organisation mondiale de la Santé évoque elle 12.000 morts par an.

Categories: Afrique

Quand le propriétaire rechigne à rendre le dépôt de garantie

Le Monde / Politique - Mon, 12/12/2016 - 12:17
La loi Alur prévoit que le dépôt de garantie qui n’est pas rendu dans les délais doit être majoré chaque mois d’une somme égale à 10 % du loyer. Elle s’applique aux baux conclus avant son entrée en vigueur.
Categories: France

Macedonia's Knife-Edge Election Ends In Uncertainty

Balkaninsight.com - Mon, 12/12/2016 - 12:11
Latest results suggest the ruling VMRO DPMNE party won slightly more votes than the opposition Social Democrats - but it remains unclear which of them will be able to form a government.
Categories: Balkan News

Où vont les étudiants Erasmus en Europe ?

Toute l'Europe - Mon, 12/12/2016 - 12:09
Depuis sa création en 1987, le programme d'échange Erasmus a permis à plus de 3 millions de jeunes Européens d'aller étudier dans un autre pays européen. Erasmus, programme phare de l’Union européenne, est même devenu le programme de mobilité des étudiants le plus connu dans le monde. En janvier 2016, la Commission européenne a publié les chiffres relatifs à la dernière année académique du programme Erasmus (2013/2014).
Categories: Union européenne

Bill English Új-Zéland új miniszterelnöke

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Mon, 12/12/2016 - 12:07

Az eddigi pénzügyminisztert, Bill Englisht választotta elnökének és jelölte a miniszterelnöki posztra az Új-Zélandon kormányzó Nemzeti Párt hétfőn, egy héttel az előző kormányfő, John Key lemondása után.

Key meglepetésszerűen, népszerűsége csúcsán, magánéleti okokra hivatkozva mondott le a kormányfői posztról. English még a nap folyamán leteszi a hivatali esküt. Ő lesz az ország 39. kormányfője.

Az 54 éves Bill English volt az egyetlen jelölt a pártelnöki posztra. Helyettesének Paula Bennettet nevezte ki, aki szociális lakhatási miniszterként dolgozik a kormányban.

English már azt is bejelentette, hogy a pénzügyi tárca vezetését az eddig gazdaságfejlesztési miniszter, Steven Joyce veszi át.

Ahol a lélek megpihen: az adventi időszakban a feltöltődést biztosítja a hajnali roráté

Krónika (Románia/Erdély) - Mon, 12/12/2016 - 12:06

Reggelente még sötét van, amikor elindulnak a katolikus hívek a hajnali szentmisére. Sokan egyetlen rorátéról sem hiányoznak, legyen akárhány fok mínuszban. Mint mondják, különleges hangulata van ezeknek a szentmiséknek.
Kategória: Eklézsia

Bővítik az udvarhelyi kórház épületét

Krónika (Románia/Erdély) - Mon, 12/12/2016 - 12:02

Bővítik tavasztól a székelyud­varhelyi kórház épületét, mivel az elmúlt időszakban új szakirányú tevékenységeket indítottak, így tenni kell a helyszűke ellen.
Kategória: Erdélyi hírek

Újvidék: Ismét a petárdák ellen tüntettek

VajdaságMA (Szerbia/Vajdaság) - Mon, 12/12/2016 - 11:59
Az újvidéki Két perc csend nevű polgári csoport vasárnap ismét megszervezte a Stop a petárdáknak elnevezésű tüntetését a székváros központi terén, a Szabadság téren.

Le Pentagone confirme la mort du Franco-Tunisien Boubaker El Hakim, un cadre de l'État islamique

Jeune Afrique / Politique - Mon, 12/12/2016 - 11:55

La coalition militaire menée par les États-Unis pour combattre le groupe État islamique a tué le 26 novembre un cadre de l'organisation jihadiste, Boubaker El Hakim, dans un bombardement aérien mené à Raqa, en Syrie, a indiqué le Pentagone samedi 10 décembre.

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Categories: Afrique

« Comprendre l’islam politique » – 3 questions à François Burgat

IRIS - Mon, 12/12/2016 - 11:53

François Burgat, politologue, est directeur de recherche au CNRS. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de son ouvrage Comprendre l’islam politique : une trajectoire de recherche sur l’altérité islamique, 1973-2016 aux Éditions La Découverte.

En quoi vous éloignez-vous de l’interprétation de l’islam politique que font, dans un genre différent, Gilles Kepel et Olivier Roy ?

Gilles Kepel et Olivier Roy accordent leur caution universitaire à deux grandes approches du phénomène djihadiste. La première, de très loin la plus répandue parce que très proche du sens commun, est celle de Kepel. Elle considère les djihadistes comme des “fous de Dieu”, c’est-à-dire des individus pervertis par une doctrine religieuse radicale, clivante, qui les place irrésistiblement sur la pente du terrorisme : le salafisme, qui viendrait briser le beau rêve du pacte républicain français. La seconde, que porte Olivier Roy, revient en quelque sorte à faire des djihadistes des “fous “ tout court, c’est-à-dire des individus atteints d’une pathologie psycho-sociale “nihiliste”. Cette approche s’oppose à celle de Kepel en ce qu’elle réfute la centralité de la variable religieuse, prenant notamment appui sur la fragilité de la culture et de la pratique religieuses des révoltés, réputés étrangers aux préoccupations de leurs coreligionnaires. Mais ces deux interprétations ont en commun de nier ou « euphémiser » la part de responsabilité des “interlocuteurs” non musulmans (ou, s’agissant des leaders autocrates, musulmans) des djihadistes. Ce faisant, elles évacuent une causalité qui, à mes yeux, est absolument décisive : la persistance des multiples manifestations des rapports de domination Nord-Sud et les failles béantes qu’elles nourrissent, aussi bien à l’échelle internationale que française, dans notre “vivre ensemble”.

Roy disqualifie très explicitement cette hypothèse en la qualifiant de “vieille antienne tiers-mondiste”.  Pour reprendre ses termes, il ne saurait ainsi être question de corréler l’origine du phénomène djihadiste avec « la souffrance postcoloniale, l’identification des jeunes à la cause palestinienne, leur rejet des interventions occidentales au Moyen-Orient et leur exclusion d’une France raciste et islamophobe”. Si l’intention (exonérer la majorité des musulmans de toute relation avec la violence djihadiste) est fort noble, le prix analytique à payer est à mon sens terriblement élevé : cela n’aboutit qu’à extraire la dynamique djihadiste de toute détermination sociale et politique.

Avec G. Kepel et le sens commun mon désaccord est encore plus profond. Alors qu’il pense que c’est le salafisme qui brise le pacte républicain, j’ai pour ma part, sans nier la dimension clivante de cette interprétation de la foi musulmane,  l’intime conviction que la causalité est inverse : c’est notre façon très égoïste et très unilatérale de mettre en œuvre ce pacte républicain, le plafond de verre auquel se heurtent les musulmans dans l’ascenseur social et, tout autant,  les grossières manipulations de leur représentation qui .. »fabriquent » des salafistes !  Or Kepel, non seulement évacue ces causalités, mais il criminalise ceux qui les prennent en compte ! Chez les musulmans qui les revendiquent, il dénonce avec ironie un inacceptable “penchant à adopter une posture victimaire”. Et c’est à tous ceux qui tentent de corriger en les dénonçant les dérives islamophobes de nos élites qu’il entend paradoxalement faire porter la responsabilité de la fracture républicaine.  Kepel se focalise en fait sur l’étude pointilleuse des modalités de la violence djihadiste :  la généalogie de ses médiateurs humains, de ses vecteurs idéologiques ou technologiques. Mais cette volonté de tout savoir sur le « comment » de cette violence cache à mes yeux une propension à ne rien vouloir entendre de son « pourquoi ». Or c’est sur ce « pourquoi » que je m’efforce d’attirer l’attention des analystes et des politiques.

Pourquoi estimez-vous que la dimension stratégique de l’islam politique soit occultée au profit d’un aspect culturaliste ?

Quiconque qui, dans une situation de domination, est confronté à une forme de révolte a tendance à préférer les explications qui l’exonèrent de sa responsabilité. Et le fait de penser la violence djihadiste comme un des penchants propres à l’Autre, inhérent à sa culture ou spécifique à sa pratique religieuse, offre bien cet avantage ! Cela nous permet par exemple d’occulter une donnée aussi essentielle que celle-ci : nous n’avons subi aucun attentat en France avant de déclarer unilatéralement la guerre à Daech en Irak puis en Syrie ! À l’inverse, une lecture plus politique permet de réintroduire une variable incontournable : pour se révolter, se radicaliser, il faut être deux ! Et le rôle du “second” ne saurait être purement escamoté – comme c’est le cas quand on limite la recherche des causalités à la seule personnalité de l’agresseur.

Comment expliquer ces « difficultés françaises à gérer rationnellement l’altérité islamique » ? 

J’identifie deux catégories de spécificités françaises dans ce domaine. D’abord, la violence de notre passé colonial n’a jamais été assumée. Après la formule de Nicolas Sarkozy en 2007 (“le rêve de civilisation”), celle de François Fillon en 2016 (“le partage des cultures”) le souligne à l’évidence ! C’est ensuite l’actuel dévoiement très nationaliste de la laïcité à la française qui contribue à construire le curieux cocktail hexagonal de notre relation à l’Autre musulman : sa présence dans le tissu national est prise entre l’enclume de l’islamophobie droitière, qui conteste la concurrence d’un dogme qui n’est pas celui de notre mémoire collective, et le marteau de l’islamophobie “de gauche”, qui dénonce, fût-ce de façon très sélective, l’illégitimité de la présence de la religiosité dans l’espace public.

Derrière ces deux crispations très françaises, il y a le fait que nos élites intellectuelles et politiques ont été jusqu’à nos jours enivrées par la fugitive centralité de nos « Lumières », érigées en modèle intangible et rigide d’universalité. Peut-il être « des nôtres », celui qui « ne critique pas sa religion comme nous autres » ? Nos élites sont incapables de faire un pas de côté pour observer l’histoire du point de vue des sociétés dominées et de concevoir que la référence religieuse puisse y jouer en 2016 un rôle très différent de celui qu’elle a joué chez nous au XVIIIe et au XIXe siècle. Dans une France en lutte contre l’absolutisme politico-religieux de la monarchie, la référence religieuse jouait clairement dans le camp du refus de la modernité politique. Mais dans les sociétés musulmanes aujourd’hui, elle joue un rôle substantiellement différent : dans une démarche de mise à distance de la domination que le monde occidental continue de faire peser sur elles, elle a valeur de référent identitaire. Elle est le support d’une affirmation culturelle qui prolonge et complète les volets politique et économique de la décolonisation. C’est cela que nos élites peinent à admettre : que l’histoire de la planète ne s’écrit pas, partout et toujours, avec le seul lexique de “notre” vieille révolution.

Egypte: funérailles des 24 victimes de l’attentat du Caire

Maliactu - Mon, 12/12/2016 - 11:53

Les Coptes d’Egypte célébraient lundi les funérailles des 24 personnes tuées la veille dans un attentat à la bombe dans l’église Saint-Pierre et Saint-Paul du Caire, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Plusieurs centaines de fidèles se sont rassemblés dans l’église de la Vierge Marie, où les cercueils des victimes étaient alignés près de l’autel.

Prenant la parole, le pape Tawadros II, chef de l’Eglise copte, a qualifié l’attentat de « coup dans le cœur de l’Egypte ». « Nous sommes très peinés » par la mort des fidèles « mais aussi par tout ce mal dépourvu de toute humanité », a-t-il déclaré, les larmes aux yeux.

Le bilan de l’attentat est passé lundi à 24 morts, a indiqué le ministère de la Santé égyptien, qui avait fait état d’un précédent bilan de 23 morts dimanche soir.

Par ailleurs, selon le communiqué du ministère, 24 blessés avaient quitté les hôpitaux lundi matin et 21 sont toujours hospitalisés. La plupart des victimes sont des femmes.

L’explosion a eu lieu dimanche vers 10H00 (08H00 GMT) à l’intérieur de l’église, contiguë à la cathédrale copte Saint-Marc, siège du pape Tawadros II.

La communauté copte égyptienne n’avait pas connu d’attentat aussi meurtrier depuis l’attaque suicide qui avait fait plus d’une vingtaine de morts le 1er janvier 2011 à la sortie d’une église à Alexandrie.

Les Coptes d’Egypte constituent la communauté chrétienne la plus nombreuse du Moyen-Orient et l’une des plus anciennes. Cette importante minorité, qui a fait l’objet de diverses attaques en Egypte, est faiblement représentée au gouvernement et s’estime tenue à l’écart de nombreux postes de la justice, des universités ou encore de la police.

Categories: Afrique

Ételkülönlegességek utcai fesztiválja Kolozsváron

Krónika (Románia/Erdély) - Mon, 12/12/2016 - 11:49

Ételkülönlegességeket felvonultató utcai fesztivált rendeznek Kolozsváron a héten. A Karácsonyi finomságok (Christmas Goodies) elnevezésű street food (utcai étel) fesztivált a Fogoly/Potaissa utcában tartják.
Kategória: Színes

Jogosan dobálta az égbe a kalapját Orbán?

Eurológus - Mon, 12/12/2016 - 11:46
Ha a kormány nem ragaszkodik a népszavazáshoz és az alkotmánymódosítással, talán már kinyírhatta volna a kvótát.

Jogosan dobálta az égbe a kalapját Orbán?

EU Pályázati Portál - Mon, 12/12/2016 - 11:46
Ha a kormány nem ragaszkodik a népszavazáshoz és az alkotmánymódosítással, talán már kinyírhatta volna a kvótát.
Categories: Pályázatok

Bénin : la BEI investit 30 millions d'euros dans l'approvisionnement en eau de Cotonou

Jeune Afrique / Economie - Mon, 12/12/2016 - 11:45

Après un premier projet en 2007, la Banque européenne d'investissement va financer le développement et la modernisation du réseau d'alimentation en eau potable de Cotonou afin d'en permettre l'accès à 600 000 personnes d'ici neuf ans.

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Categories: Afrique

Madagascar: l’autre pays où la pétanque est reine

Maliactu - Mon, 12/12/2016 - 11:45

Une boule d’acier vient en chasser une autre dans le claquement sec d’un « carreau » parfait. Dans les rues d’Antananarivo, la scène est commune: chez les nouveaux champions du monde de la discipline, la pétanque est une véritable religion.

Il n’est pas encore midi, en pleine semaine, et des dizaines de boulistes amateurs tirent et pointent sur un terrain de fortune au bord du majestueux lac Anosy, au centre de la capitale malgache.

L’imposante racine qui trône au milieu de ce boulodrome improvisé perturbe à peine la précision des joueurs, qui rivalisent d’ingéniosité pour faire la meilleure approche. Dans un tableau digne de Pagnol sous les tropiques, des curieux s’arrêtent pour observer et surtout commenter la partie.

« Les gens qui jouent ici sont presque tous des chômeurs. La pétanque, c’est très, très important, c’est tout pour nous ! », clame Andry Maminirina, qui a créé ce terrain sauvage il y a trois ans.

De l’autre côté du lac, au pied de la colline où les lettres Antananarivo s’étalent sur l’horizon à la manière de celles d’Hollywood à Los Angeles, l’activité bat également son plein au « Club bouliste de Tana » (CBT).

Ici, pas de racine pour compliquer les trajectoires, les terrains sont bien entretenus. Une centaine de passionnés de pétanque, hommes et femmes réunis, viennent tous les jours y taquiner le cochonnet.

A l’ombre des pins, les retraités côtoient les jeunes dans une joyeuse mixité sociale.

« J’ai joué pour la première fois à la pétanque en 1964 alors que j’étais encore dans l’armée française », se souvient Clet Ramamonjisoa, 75 ans, en rappelant que la popularité du jeu de boules est née avec la colonisation française.

Au CBT, les joueurs s’affrontent avec des boules d’occasion, souvent récupérées auprès de leurs familles expatriées en France.

« Ici, on n’a pas l’occasion d’avoir du matériel, même les boules manquent à Madagascar. Et s’il y en a, elles sont très chères », regrette Michel Ranarivelo entre deux parties.

– ‘Comme le foot au Brésil’ –

En ce vendredi de la fin novembre, l’excitation était à son comble, à une semaine du coup d’envoi à Madagascar des championnats du monde de pétanque, les premiers mondiaux tous sports confondus jamais organisés sur la Grande Ile.

Ils se sont soldés le 4 décembre par la victoire en finale de Madagascar sur le Bénin, lequel avait sorti en demi-finale la France jusque-là favorite et invaincue depuis 2001. Une sensation.

Déjà champion du monde en 1999, Madagascar ne compte qu’une vingtaine de professionnels mais le pays avait toutefois accumulé les titres de numéro 2 ces dernières années.

« La pétanque à Madagascar, c’est comme le foot au Brésil ! Au début c’était un loisir, mais la victoire de 1999 a permis de vulgariser le jeu dans les différentes villes du pays », se réjouit Beryl Razafindrainony, le président de la fédération.

Au Club bouliste de Tana, plusieurs joueurs évoquent les problèmes de « corruption » qui gangrènent la pétanque de haut niveau dans le pays, avec des finales « vendues » à des adversaires pour quelques milliers d’euros, une somme astronomique dans un pays où le salaire moyen dépasse à peine 45 euros mensuels.

Pour éviter qu’un tel scénario ne se renouvelle, les boulistes malgaches ont été mis au vert dans un lieu tenu secret avant les Mondiaux à Madagascar, leurs portables confisqués et toute communication, y compris avec les familles, interdite.

« Il y a toujours des gens mal intentionnés pour venir emmerder nos joueurs », regrette Beryl Razafindrainony. « Les joueurs sont motivés (…) Mais la suspicion est toujours là et, pour éviter tout ça, nous les mettons en recul de la société ».

La méthode semble avoir porté ses fruits.

Profitant de l’élimination en demi-finale de la France, championne en titre depuis quinze ans, Madagascar n’a pas manqué l’occasion de reprendre sa couronne: dans une affiche plutôt inhabituelle pour le sport au niveau mondial, les joueurs malgaches, portés par une ambiance digne d’une finale de football, ont écrasé le Bénin 13 à 5.

Avec ce nouveau sacre, dix-sept ans après le titre qui a lancé la fièvre de la pétanque dans le pays, l’engouement des Malgaches pour cette discipline ne semble pas prêt de s’éteindre.

Categories: Afrique

Professor George Pagoulatos writes on the rise of populists in the Sunday edition of Kathimerini, 11/12/2016

ELIAMEP - Mon, 12/12/2016 - 11:39

You can read here the article on the rise of populists, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 11 December 2016  in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.

Un colloque du CDEC sur "action militaire et souveraineté"

Lignes de défense - Mon, 12/12/2016 - 11:38

Le jeudi 19 janvier 2017, le Centre de doctrine et d’enseignement du commandement organisera un colloque sur le thème "action militaire et souveraineté". Ce colloque de pensée militaire se tiendra, de 14h à 19h, dans l’amphithéâtre Foch à l’École militaire de Paris.

Les réflexions s’articuleront autour de deux tables rondes :
- Table ronde 1 : le rapport entre les forces armées et la souveraineté est-il remis en cause ?
- Table ronde 2 : quels rôles pour les forces terrestres au profit de la souveraineté en 2017 ?

Pratique:
bureau de coordination des relations extérieures : bcri-cdt.cdef@terre-net.defense.gouv.fr

 

 

Categories: Défense

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