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Press release - MEPs: Open accession talks with Ukraine, Moldova and Bosnia and Herzegovina

Parlement européen (Nouvelles) - mer, 13/12/2023 - 13:28
In a resolution on enlargement policy, Parliament calls it one of the strongest geopolitical tools at the EU’s disposal and a strategic investment in peace and security.
Committee on Foreign Affairs

Source : © European Union, 2023 - EP
Catégories: Union européenne

Communiqué de presse - L’UE doit répondre aux efforts de la Chine pour modifier l’ordre fondé sur des règles

Parlement européen (Nouvelles) - mer, 13/12/2023 - 13:19
Les députés souhaitent que l’UE s’engage de manière pragmatique avec la Chine tout en continuant à confronter Pékin à de graves violations des droits humains.
Commission des affaires étrangères

Source : © Union européenne, 2023 - PE
Catégories: Union européenne

Communiqué de presse - Le PE soutient la création d’un espace européen des données de santé

Parlement européen (Nouvelles) - mer, 13/12/2023 - 13:15
Mercredi, les députés ont adopté leur position sur la création d’un espace européen des données de santé afin de faciliter leur accès et de favoriser leur partage sécurisé.
Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire
Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures

Source : © Union européenne, 2023 - PE
Catégories: Union européenne

Kinshasa : plaidoyer pour l’évacuation de Salomon Idi Kalonda à l’étranger

Radio Okapi / RD Congo - mer, 13/12/2023 - 13:14


 


Le consortium des ONG des droits de l’homme a plaidé, mardi 12 décembre, pour la liberté provisoire de Salomon Idi Kalonda, conseiller spécial de Moïse Katumbi.


Le porte-parole de cette structure, Dieudonné Mushagalusa a fait ce plaidoyer au cours d’une conférence de presse, tenue à Kinshasa.

Catégories: Afrique

COP28 : le monde entier s’accorde pour une “transition” hors des énergies fossiles

Toute l'Europe - mer, 13/12/2023 - 13:11
Organisée à Dubaï, la 28e COP a réuni 195 pays pour discuter de l’avenir du climat et de la transition écologique – Crédits : UNFCCC / Flickr CC BY-NC-SA 2.0 Deed

Une décision “historique pour accélérer l’action climatique”, selon le président de la COP28 Sultan Al-Jaber [France 24]. La “28e Conférence des Nations unies sur le climat” s’était ouverte “jeudi 30 novembre à Dubaï, aux Emirats arabes unis”, et après bien des négociations, le texte final a été adopté “ce mercredi 13 décembre au matin”, résume Libération.

Au cœur du compromis approuvé ce mercredi matin : la “transition” hors des énergies fossiles. C’est “un progrès significatif pour les pays qui veulent s’attaquer à la crise climatique”, estime The Guardian,  car “c’est la première fois que toutes les énergies fossiles sont citées dans un texte de COP” [Le Monde]. Et bien que les décisions de ces conférences “ne [soient] pas contraignantes pour les Etats”, “elles influencent leurs politiques climatiques et l’interprétation qu’en font les marchés et les investisseurs”, analysent Les Echos.

Nombreux sont ceux à s’en réjouir. Selon le commissaire européen chargé du Climat Wopke Hoekstra, cité par Libération, la COP28 pourrait marquer “le début de la fin des énergies fossiles”. “Nous faisons un pas très, très significatif” pour limiter le réchauffement climatique, a-t-il ajouté.

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Cet accord intervient après “des jours d’hésitation et de tension”, indique Le Monde. La réunion plénière, qui clôture l’événement, a d’ailleurs dû être repoussée plusieurs fois pour pouvoir trouver un compromis, explique le journal du soir. D’après le quotidien, les dernières négociations ont nécessité “une nuit blanche pour chercher des termes acceptables par les délégations du monde entier”.

Au total, ce sont “deux semaines de travail, de débats et de compromis” qui débouchent aujourd’hui sur un texte approuvé par “consensus”, note BFMTV. Le document, “dont chaque mot a été négocié”, appelle à “transitionner hors des énergies fossiles […] d’une manière juste, ordonnée et équitable […] afin d’atteindre la neutralité carbone en 2050 conformément aux préconisations scientifiques”, retranscrit France 24.

Le terme “transition” est le résultat “d’un compromis épineux entre les parties les plus allantes pour une sortie (phase out) des énergies fossiles à terme […] et les pays producteurs accrochés à leur modèle économique”, résume Le Monde. Les premiers rassemblaient “130 des 195″ diplomaties, dont celle de l’Union européenne, faisant face aux tenants d’une ligne plus souple : “l’Arabie saoudite, le Koweït ou l’Irak […] refusant tout accord s’attaquant aux énergies fossiles qui font leur richesse” [La Croix]. De plus, et comme le souligne Le Monde, il n’y a aucune “précision de date” sur cette transition.

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Le texte se réfère aussi aux “préconisations scientifiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)”, poursuit le journal. C’est l’UE qui a “expressément réclamé que les travaux scientifiques soient cités à plusieurs reprises” [Le Monde]. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen s’est réjouie de ce compromis, qui marque selon elle “le début de l’ère post-fossiles”, relate L’Express.

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Au-delà de ce point central, “le texte contient de multiples appels liés à l’énergie”, comme le triplement des capacités d’énergies renouvelables et le doublement du rythme d’amélioration de l’efficacité énergétique d’ici à 2030 [La Croix]. Il fait également référence au“balbutiant captage et stockage du carbone, défendu par les pays producteurs de pétrole pour pouvoir continuer à pomper des hydrocarbures”, remarque France 24.

Le texte accorde aussi au gaz un statut de carburant “de transition” au nom de la “sécurité énergétique”, constate Le Monde. C’est “une phrase codée envoyée aux Russes, mais aussi aux Américains qui produisent de plus en plus de gaz par fracturation hydraulique”, souligne le journal. Selon l’accord, soutenir le gaz permet d’assurer la sécurité “des pays en développement, où près de 800 millions de personnes manquent d’accès à l’électricité”, écrit La Croix. Dès le premier jour de la conférence, a été décidée “la mise en œuvre d’un fonds destiné à compenser les ‘pertes et dommages’ des pays vulnérables face aux désastres climatiques”, rappelle France 24.

La ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher s’est pour sa part réjouie des avancées concernant la filière nucléaire : “Pour la première fois, le texte mentionne à plusieurs reprises la contribution de l’énergie nucléaire à la lutte contre le changement climatique”, a-t-elle souligné [L’Express]. Cette énergie fait partie “des technologies à émissions nulles ou faibles” promues par la conférence, aux côtés de “l’hydrogène”, liste Le Monde.

Les autres sujets du jour Budget Economie Environnement Migrations Ukraine Vie politique des Etats membres

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Catégories: Union européenne

Keine Abstriche bei Entwicklungspolitik

Die Ampel darf im künftigen Etat nicht an der falschen Stelle sparen. Ein Gastbeitrag von Stephan Klingebiel, Leiter des Forschungsprogramms „Inter- und transnationale Kooperation“.

Keine Abstriche bei Entwicklungspolitik

Die Ampel darf im künftigen Etat nicht an der falschen Stelle sparen. Ein Gastbeitrag von Stephan Klingebiel, Leiter des Forschungsprogramms „Inter- und transnationale Kooperation“.

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Communiqué de presse - Travail via une plateforme: accord sur les nouvelles règles en matière d’emploi

Parlement européen (Nouvelles) - mer, 13/12/2023 - 13:05
Les négociateurs du PE et du Conseil sont parvenus à un accord provisoire sur un projet de loi améliorant les conditions de travail des personnes travaillant via une plateforme numérique.
Commission de l'emploi et des affaires sociales

Source : © Union européenne, 2023 - PE
Catégories: Union européenne

NSPA, EDA and OCCAR unite in trilateral meeting in Luxembourg

EDA News - mer, 13/12/2023 - 12:54

The NATO Support and Procurement Agency (NSPA), the European Defence Agency (EDA), and the Organisation for Joint Armament Cooperation (OCCAR) converged in Luxembourg for a trilateral meeting on 12 December. 

Hosted by Ms Stacy Cummings, NSPA General Manager, the gathering focused on navigating the evolving security landscape and fortifying joint initiatives to optimise use of resources and enhance complementarity.

With a candid exchange on the impact of the current security environment on their respective roles and missions, the organisations delved into strategic discussions aimed at identifying synergies and areas of collaboration. The emphasis lay on identifying common challenges and unlocking opportunities for strengthened cooperation.

Key areas of focus included brainstorming pathways to bolster collaboration and coordination, addressing concerns regarding potential competition and overlapping capabilities, and identifying objectives for unified messaging when engaging with common stakeholders.

"The current security environment challenges us to be more efficient, effective and responsive. We are stronger together, as partners. By leveraging their synergies, NSPA, EDA and OCCAR are building collective strength," stated Ms Cummings. "This meeting is a step forward as we leverage past successes and continue to join forces towards enhanced cooperation, reinforcing our commitment to enabling and supporting nations across Europe and the NATO alliance.

EDA Chief Executive, Mr Jiří Šedivý, said: “Sharing views trilaterally and identifying areas for greater synergies at this precise moment in time is much helpful and necessary. We did it in the past already, delivering tangible achievements together with the multinational multirole tanker and transport (MRTT) fleet, which was conceived in EDA, managed by the NSPA on behalf of the participating countries and supported by OCCAR in the acquisition phase.”

“While our organisations have different mandates, scope of activities, and membership, we are aiming to support our respective member states so that they can best cope with the fast-changing security environment and new capability needs”, he added.

OCCAR-EA Director, Mr Joachim Sucker confirmed: “At a time when our world is ever more disconnected, we need to work hard to find ways to connect and cooperate to achieve our common goal to provide options to deliver defence capabilities to the Nations. I am very thankful to NSPA General Manager, Ms Stacey Cummings for bringing myself and Chief Executive of the European Defence Agency (EDA) Jiří Šedivý together for the first time, trilaterally, to further develop and strengthen our joint efforts to collaborate effectively and efficiently with our individual organizations ‘strengths and capabilities.”

The outcome of this trilateral meeting shows commitment to fostering an environment of collaboration and to addressing pressing security challenges.

The NATO Support and Procurement Agency (NSPA) is NATO’s lead organisation for multinational acquisition, support and sustainment in all domains.

The European Defence Agency (EDA) is an inter-governmental organisation of the European Union (EU). Created in 2004 to support and facilitate defence cooperation in the EU, it enhances European defence capabilities through collaborative projects and initiatives.

The Organisation for Joint Armament Cooperation (OCCAR) is an independent International Organization for the management of complex, cooperative armament programmes

Catégories: Defence`s Feeds

La Roumanie a l’intention de se procurer 263 missiles antichars FGM-148F Javelin auprès des États-Unis

Zone militaire - mer, 13/12/2023 - 12:12

Produit par Raytheon et Lockheed-Martin et de type « tire et oublie », le missile antichar FGM-148 Javelin a été, pendant un temps, le symbole de la résistance opposée par l’armée ukrainienne – qui en avait reçu plusieurs milliers d’exemplaires – à l’offensive russe lancée le 24 février 2022. Certains iront même jusqu’à mettre l’échec de cette...

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Catégories: Défense

Elections 2023 : le candidat président Moïse Katumbi suspend sa campagne, après les incidents de Moanda

Radio Okapi / RD Congo - mer, 13/12/2023 - 12:08


Le candidat président Moïse Katumbi a décidé, mardi 12 décembre, de suspendre sa campagne électorale.


Dans une déclaration dont une copie est parvenue à Radio Okapi, le candidat numéro 3 a levé cette option au lendemain des échauffourées survenues lors de son meeting à Moanda (Kongo-Central).


Il a pris cette décision alors qu’il est attendu ce mercredi à Kananga au Kasaï-Central avant l’étape de Tshikapa dans le cadre de sa campagne électorale.

Catégories: Afrique

Qui est Donald Tusk, Premier ministre polonais et ancien président du Conseil européen ?

Toute l'Europe - mer, 13/12/2023 - 11:33
Le 25 octobre dernier, quelques jours après son succès électoral, Donald Tusk était à Bruxelles pour rencontrer la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen - Crédits : Dati Bendo / Commission européenne

Comme un symbole. Le 25 octobre dernier, une semaine après le succès de la coalition centriste lors des élections législatives polonaises qu’il menait, Donald Tusk était de retour à Bruxelles. En marge d’un sommet du Parti populaire européen (PPE), l’ancien président du Conseil européen a rencontré la présidente de la Commission Ursula von der Leyen avec un objectif en tête : remettre la Pologne “au centre de la scène européenne”, explique-t-il alors.

Neuf ans après avoir quitté le poste, le natif de Gdańsk est officiellement redevenu Premier ministre le 13 décembre 2023 après avoir prêté serment devant le président Andrzej Duda et présenté son gouvernement au Parlement polonais. Durant son absence, son pays s’est éloigné de Bruxelles avec la prise de pouvoir du parti conservateur Droit et justice (PiS), pendant que lui occupait des fonctions au niveau européen. De retour au pouvoir, Donald Tusk souhaite désormais y remédier.

À LIRE AUSSIPologne, Slovaquie, Pays-Bas : ces élections qui ont bouleversé le paysage politique européen Du syndicalisme à la politique

Après une scolarité classique dans sa ville natale, Donald Tusk s’oriente vers des études d’histoire durant lesquelles il prend des positions hostiles au régime communiste en place. Il se rapproche notamment du syndicat Solidarność, créé après un mouvement de grévistes sur les chantiers navals de Gdańsk en 1980. L’Association indépendante des étudiants (NZS), fondée la même année par le jeune Donald Tusk, rejoint d’ailleurs le syndicat dirigé par Lech Wałęsa.

Mais rapidement, la situation en Pologne se détériore et l’imposition de la loi martiale par le général Jaruzelski en décembre 1981 le pousse à entrer dans la clandestinité. Durant ces années, il travaille comme vendeur de pain ou encore comme ouvrier spécialisé. Mais c’est également pendant cette période qu’il se forge ses opinions politiques. Dans le mensuel “Revue politique” qu’il lance en 1983, il prône le libéralisme économique et la démocratie libérale.

Après la chute du communisme, ces réflexions vont se concrétiser sur la scène politique. Dès 1990, Donald Tusk participe à la fondation du parti du Congrès libéral-démocrate. Une initiative qui le fait entrer une première fois (1991-1993) à la Diète, la chambre basse du Parlement polonais, l’année suivante. Puis c’est au Sénat qu’il pénètre en 1997.

En 2001, des tensions éclatent dans son parti de l’époque. Il fonde alors la Plateforme civique (PO), dont il assure de nouveau la présidence aujourd’hui. Un nouveau mouvement avec lequel Donald Tusk se présente à l’élection présidentielle en mai 2005 face au parti Droit et justice (PiS) des frères Kaczynski. Arrivé en tête au premier tour avec 36 % des voix, il s’incline finalement lors du second.

C’est à la tête gouvernement qu’on le retrouve deux ans plus tard. Après les élections anticipées d’octobre 2007, Donald Tusk devient Premier ministre et y reste jusqu’en 2014. La crise économique de 2008 est notamment l’occasion pour le nouveau chef de l’exécutif de faire ses preuves en évitant la récession à son pays.

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Depuis son entrée en politique, Donald Tusk a toujours soutenu l’intégration politique et économique de son pays au sein de l’Union européenne. Une position qui tranche avec celle du PiS eurosceptique, au pouvoir depuis 2015.

Cette aspiration le conduit au poste de président du Conseil européen, où il succède à Herman Van Rompuy, premier titulaire du poste. Sa nomination en août 2014 est accueillie comme un symbole, 10 ans après l’entrée de la Pologne dans l’Union européenne. Avant lui, Jerzy Buzek - également membre de la plateforme civique - était le seul Polonais à avoir présidé une institution européenne, le Parlement européen de 2009 à 2012. Mais à l’époque, rares sont encore les représentants des pays d’Europe centrale et orientale aux postes clés de l’Union européenne. En 2017, Donald Tusk est même réélu pour un second mandat de deux ans et demi, avant de laisser sa place au Belge Charles Michel.

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Mais le Polonais ne quitte pas Bruxelles pour autant et prend ses quartiers quelques rues plus loin. Le 20 novembre 2019, il est élu président du Parti populaire européen (PPE), première force politique du Parlement européen dont est également issue la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.

Le retour au pouvoir

Donald Tusk ne résiste alors pas longtemps aux sirènes nationales. En 2021, il reprend la tête de la Plateforme civique, sept ans après l’avoir quittée. L’année suivante, il abandonne également ses fonctions à la tête du PPE pour rentrer en Pologne. Avec une échéance dans le viseur : les élections législatives d’octobre 2023.

Après huit années au pouvoir, le PiS a distendu les liens de la Pologne avec l’Union européenne, s’opposant frontalement avec Bruxelles sur de nombreux sujets : l’indépendance de la justice, la primauté du droit européen ou encore les droits des LGBT. Un conflit qui a notamment valu à Varsovie le gel de fonds issus du plan de relance européen.

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Mené par le Premier ministre sortant Mateusz Morawiecki, le parti ultraconservateur arrive en tête des élections du 15 octobre 2023 avec 36,6 % des suffrages, contre 31 % pour la Plateforme civique de Donald Tusk. Mais les bons scores de Troisième voie (13,5 %) et de la Gauche (8,6 %) placent l’opposition polonaise en bonne posture pour former une nouvelle coalition gouvernementale.

Après avoir logiquement échoué à obtenir la confiance de la Diète, Mateusz Morawiecki a donc laissé sa place à Donald Tusk. Le 11 décembre, c’est bien lui qui est parvenu à réunir une majorité de députés derrière lui (248 pour, 201 contre). Deux jours plus tard, il prête serment pour redevenir officiellement Premier ministre.

Les ambitions de son gouvernement sont élevées. Il entend par exemple rétablir le droit à l’avortement, remis en cause pendant la mandature du PiS. Mais aussi renouer les liens avec l’Union européenne.

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Catégories: Union européenne

Tanganyika : plus de 700 000 personnes attendues dans la campagne de vaccination contre le cholera

Radio Okapi / RD Congo - mer, 13/12/2023 - 11:32


Plus de 700 000 personnes sont attendues dans la campagne de vaccination contre le choléra dans les zones de santé de Kalemie et Nyemba (Tanganyika).


Le médecin chef d’antenne du Programme élargi de vaccination (PEV) à Kalemie, Dr Jean-Pierre Kitenge a dévoilé ces chiffres, mardi 12 décembre à Radio Okapi.


Cette activité vaccinale est prévue du 11 au 17 décembre courant.

Catégories: Afrique

Décès de DIBGOLONGO Kouma Augustin : Faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - mer, 13/12/2023 - 11:13

Sa Majesté le Naaba TANGA II à Bilbalogo
Les Grandes familles DIBGOLONGO, NIKIEMA, KAFANDO, COMPAORE, SIMPORE à Ouagadougou, Etats – Unis, Canada et Japon

NIKIEMA Pascal à Cissin, COMPAORE Michel à Cissin, NIKIEMA Joanna à Kologh-Naaba
NIKIEMA Simon à Bilbalogo, KAFANDO Antoine à Bilbalogo

Les familles alliées :
KABORE à Saria, Koudougou, Bobo – Dioulasso et à Ouagadougou
KABORE à Réo
SANOU à Bobo – Dioulasso et aux Etats – Unis
SAWADOGO à Ouahigouya, Ouagadougou et au Canada

Madame DIBGOLONGO née KABRE Evelyne, Assistante de Direction de la CNSS à la retraite

Ses enfants :
DIBGOLONGO Valérie, Magistrat à Ouagadougou
DIBGOLONGO Ludovic Ingénieur, Ingénieur au Etats – Unis

SANOU / DIBGOLONGO Chantal, informaticienne au Etats – Unis
SANOU / DIBGOLONGO Sylvie à CGE – BTP Ouagadougou

DIBGOLONGO Anicet, Ingénieur au Canada
Ses petits-enfants :
Daphné, Maelle, Curtis, Jordan, Urielle, Isaac, Marianne, Iann, Léa et Aaron

Ont le regret de vous informer du décès de leur frère, époux, père, beau-père, grand-père

DIBGOLONGO Kouma Augustin

Technicien supérieur de l'hydraulique à la retraite le 11 décembre 2023 de suite de maladie

PROGRAMME DES OBSEQUES

Dimanche 17 décembre 2023 :
15 h 00 mn : Levée du corps à la morgue du CMA du secteur 30 pour le domicile
20 h 00 mn : Veillée de prière au domicile du défunt à la patte d'oie

Lundi 18 décembre 2023 :
07 h 30 mn : Levée du corps au domicile
08 h 00 mn : Absoute à l'église Notre Dame des Apôtres de la patte d'oie suivie de l'inhumation au cimetière municipal de Ouagadougou (quartier Saint Léon)

« Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra. »
Jean 11 – 25

Catégories: Afrique

Chinese firms and adherence to global ESG standards in developing countries: is there potential to create common ground?

This paper focuses on analysing how Chinese firms operate in Latin America, Asia and Africa in regard to ESG (environmental, social and governance) standards and sustainability issues. How do they respond to the increasing global value chain requirement to incorporate and maintain ESG standards? Is their space for an alignment between Western development cooperation ESG policies, frameworks, strategies and practices and Chinese political and economic stakeholders in the developing world? The paper uses a variety of case studies covering Chinese firms (disaggregated into SOEs (state-owned enterprises) and large, medium and small private sector firms) operating in various sectors in countries across the developing world. It uses a three dimensional framework to analyse different types of Chinese firms in terms of value chain operations covering many of the ESG standards they are required to meet:
1. Supply chain relations (i.e. approach to supporting upgrading of local suppliers);
2. Internal firm processes (i.e. approach to local labour, training and upskilling);
3. Social licence to operate (i.e. approach to meaningfully engaging with local communities taking account of their social and economic needs).
There are examples of Chinese firms behaving according to the negative type casting that has dominated much of the literature. However, Chinese firms in developing countries are fairly flexible and more willing to adapt to ESG standards than conventionally assumed. There are sufficient instances of Chinese firms in host developing countries showing significant movement to alignment on ESG dimensions. Unlike the industrialised world, these firms are not driven by civil society socio-political pressure within China. China’s relationship to ESG has instead been driven by a) geo-political considerations involving the Chinese government’s global presence, and b) primarily economic risk considerations of Chinese lead firms operating internationally – risk relating to raising finance and ensuring that business operations in developing countries can avoid major disruption. For many Chinese lead firms operating in the developing world, ESG is increasingly being perceived as a fundamental risk mitigation tool assisting them to ensure that they are able to maintain continuous, consistent, and predictable economic operations. These tendencies can only be expected to grow much stronger as the Chinese government adopts more ESG standards within guidelines and regulatory frameworks and enforces compliance on Chinese firms operating abroad. As Chinese firms become more open to ESG compliance, this creates a foundation for potential development cooperation alignment with the Chinese government and Chinese lead firms operating in the developing world.

Chinese firms and adherence to global ESG standards in developing countries: is there potential to create common ground?

This paper focuses on analysing how Chinese firms operate in Latin America, Asia and Africa in regard to ESG (environmental, social and governance) standards and sustainability issues. How do they respond to the increasing global value chain requirement to incorporate and maintain ESG standards? Is their space for an alignment between Western development cooperation ESG policies, frameworks, strategies and practices and Chinese political and economic stakeholders in the developing world? The paper uses a variety of case studies covering Chinese firms (disaggregated into SOEs (state-owned enterprises) and large, medium and small private sector firms) operating in various sectors in countries across the developing world. It uses a three dimensional framework to analyse different types of Chinese firms in terms of value chain operations covering many of the ESG standards they are required to meet:
1. Supply chain relations (i.e. approach to supporting upgrading of local suppliers);
2. Internal firm processes (i.e. approach to local labour, training and upskilling);
3. Social licence to operate (i.e. approach to meaningfully engaging with local communities taking account of their social and economic needs).
There are examples of Chinese firms behaving according to the negative type casting that has dominated much of the literature. However, Chinese firms in developing countries are fairly flexible and more willing to adapt to ESG standards than conventionally assumed. There are sufficient instances of Chinese firms in host developing countries showing significant movement to alignment on ESG dimensions. Unlike the industrialised world, these firms are not driven by civil society socio-political pressure within China. China’s relationship to ESG has instead been driven by a) geo-political considerations involving the Chinese government’s global presence, and b) primarily economic risk considerations of Chinese lead firms operating internationally – risk relating to raising finance and ensuring that business operations in developing countries can avoid major disruption. For many Chinese lead firms operating in the developing world, ESG is increasingly being perceived as a fundamental risk mitigation tool assisting them to ensure that they are able to maintain continuous, consistent, and predictable economic operations. These tendencies can only be expected to grow much stronger as the Chinese government adopts more ESG standards within guidelines and regulatory frameworks and enforces compliance on Chinese firms operating abroad. As Chinese firms become more open to ESG compliance, this creates a foundation for potential development cooperation alignment with the Chinese government and Chinese lead firms operating in the developing world.

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1. Supply chain relations (i.e. approach to supporting upgrading of local suppliers);
2. Internal firm processes (i.e. approach to local labour, training and upskilling);
3. Social licence to operate (i.e. approach to meaningfully engaging with local communities taking account of their social and economic needs).
There are examples of Chinese firms behaving according to the negative type casting that has dominated much of the literature. However, Chinese firms in developing countries are fairly flexible and more willing to adapt to ESG standards than conventionally assumed. There are sufficient instances of Chinese firms in host developing countries showing significant movement to alignment on ESG dimensions. Unlike the industrialised world, these firms are not driven by civil society socio-political pressure within China. China’s relationship to ESG has instead been driven by a) geo-political considerations involving the Chinese government’s global presence, and b) primarily economic risk considerations of Chinese lead firms operating internationally – risk relating to raising finance and ensuring that business operations in developing countries can avoid major disruption. For many Chinese lead firms operating in the developing world, ESG is increasingly being perceived as a fundamental risk mitigation tool assisting them to ensure that they are able to maintain continuous, consistent, and predictable economic operations. These tendencies can only be expected to grow much stronger as the Chinese government adopts more ESG standards within guidelines and regulatory frameworks and enforces compliance on Chinese firms operating abroad. As Chinese firms become more open to ESG compliance, this creates a foundation for potential development cooperation alignment with the Chinese government and Chinese lead firms operating in the developing world.

Are global value chains for sale? On business-state relations in the MENA region

We use new data on political connections from the World Bank Enterprise Surveys to examine the impact of connections on firms’ participation in global value chains (GVCs) for six MENA countries (Morocco, Tunisia, Egypt, the West Bank and Gaza, Jordan, and Lebanon). In addition to political connections, we construct several measures of “political influence” based on available data on lobbying and grand corruption. We also explore whether political connections help firms overcome barriers to trade and investment and increase their participation in GVCs at the extensive and intensive margins. Our findings suggest that political connections do matter for firms’ GVC participation. The impact is more pronounced for firms that combine political connections with informal payments to influence policymaking. Our findings on the significance of trade and investment barriers for GVC participation for different categories of firms’ political influence are – however – inconclusive.

Are global value chains for sale? On business-state relations in the MENA region

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