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Articolul Ne higgyünk a chatbotoknak, főleg, ha azt mondják, amit hallani akarunk apare prima dată în Kolozsvári Rádió Románia.
Dans le cadre du projet Unirr, les Fonds des nations unies pour l’enfance (UNICEF) a remis, depuis quelques jours, des articles ménages essentiels à au moins 3 716 familles des retournés et de déplacés au centre de la chefferie de Tchomia, dans la province de l'Ituri.
L’ONG de mise en œuvre de ce projet, Programme de prévention des soins de santé primaires (PPSSP) a précisé que cette distribution a concerné trois aires de santé : Tchomia, Montana et Kuga.
Une affaire pour le moins inhabituelle a tenu en haleine le canton d’Agoè-Nyivé au cours de la semaine du 3 octobre 2025. Selon les informations recueillies, les restes de feu Togbui Hermann Amégnikou Koudoagbo, ancien chef du quartier Nyivémé (Agoè-Nyivé), décédé le 7 mars 1988, ont été exhumés le 3 octobre 2025 par deux de ses fils.
La profanation aurait été réalisée en présence d’un féticheur recruté à Djagblé, selon plusieurs sources concordantes.
Dans un message, Jean-Claude Koudoagbo, l’un des fils du défunt résidant en France, a exprimé son indignation face à ce sacrilège. « C’est avec amertume et pleurs que je vous fais cette annonce. Mon père est décédé en 1988. J’avais à peine 17 ans à l’époque. Les aînés nous avaient aidés à l’enterrer au cimetière d’Atchanvé. Mais, 37 ans après, certains jeunes délinquants ont découvert que son corps avait été exhumé. Ce sont eux qui ont alerté les forces de défense et de sécurité.
Grâce à leur vigilance, les auteurs ont été arrêtés et sont actuellement à la BRI de Lomé », s’est-il insurgé. Toujours selon lui, lors de leurs interrogatoires, les présumés auteurs de la profanation de la tombe auraient affirmé avoir reçu l’autorisation du chef canton d’Agoè-Nyivé. « Ils répètent que c’est le chef canton qui leur a donné l’autorisation de déterrer les restes de notre père. Je ne suis pas au pays pour vérifier, mais j’appelle les cadres du canton et les autorités à se saisir de cette affaire », a ajouté Jean-Claude Koudoagbo. Il affirme par ailleurs que le dossier est suivi par la Gendarmerie, tout en craignant des tentatives d’étouffer l’affaire.
« Nous avons élaboré un procès-verbal, mais certains veulent torpiller l’affaire pour que la vérité ne sorte pas. Les restes de mon père sont à la BRI, dans un sac. Personne n’est au-dessus de la loi », a-t- il déploré.
Contacté par notre rédaction, le président du Comité de Développement de Quartier (CDQ) de Nyivémé a confirmé l’information. « J’ai été informé de l’affaire, et je sais qu’elle est entre les mains de la BRI. Je n’ai pas plus de détails à ce stade », a-t-il précisé.
Pour sa part, le chef canton d’Agoè-Nyivé, Togbui Kodjo Hélou Aristide Edmond SEDJRO IV, cité dans le message vocal, a accepté de nous recevoir pour clarifier sa position. « J’ai appris, comme tout le monde, cette histoire sur les réseaux sociaux. Je n’ai jamais autorisé une telle exhumation. En tant que chef traditionnel, je sais qu’il existe des procédures administratives et rituelles précises avant toute exhumation. Jamais je ne pourrais approuver un acte aussi grave, surtout concernant un ancien chef de quartier », a-t-il fermement démenti.
Aux dernières nouvelles, les restes du défunt ont été de nouveau inhumés quelques jours après l’exhumation. Une information confirmée à la fois par le président du CDQ de Nyivémé et par le chef canton. Cependant, les motivations réelles ayant conduit à l’exhumation du corps de Togbui Hermann Amégnikou Koudoagbo, décédé depuis 1988, demeurent inconnues.
Joël D.
Source : Liberté N° 4045 du 21 octobre 2025
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