Agrégateur de flux

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban était ce lundi à Rome, notamment pour y rencontrer son homologue Giorgia Meloni. Preuve que les droites extrêmes européennes continuent à se parler et à se soutenir, en espérant continuer à gagner du terrain politiquement. 

À Guiaro dans le sud du pays, la gendarmerie nationale a mis fin aux activités d'un réseau local de production et de vente de chanvre indien dans plusieurs villages du département. Trois personnes ont été interpellées et les champs détruits.

Depuis quelque temps, des habitants signalaient la présence de fumeurs et même de cultures de cette plante dans des zones reculées.

Face à la multiplication des alertes, la brigade territoriale de Guiaro a décidé d'agir. C'est sur la base d'informations jugées crédibles, qu'une équipe d'enquêteurs a mené des investigations dans le village de Boli, dans le département de Guiaro.

Ces recherches ont permis, le 8 octobre 2025 à 21h26, d'interpeller un cultivateur, surpris pour production, vente et consommation de chanvre indien.

Les investigations ont ensuite permis de remonter la filière. Le 11 octobre, un second individu, a été arrêté pour vente et consommation.

Le 12 octobre 2025, une troisième personne résidant à Koumbili, a elle aussi été interpellée pour importation, culture, vente et consommation de la même substance.

Tous ont reconnu les faits, expliquant qu'ils cultivaient et revendaient le chanvre pour la consommation locale.

Conformément aux instructions du Procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Pô, les champs identifiés ont aussitôt été détruits.

Les gendarmes poursuivent leurs investigations pour identifier d'éventuels complices et mieux cerner l'ampleur du phénomène. C'est l'occasion d'interpeller la population sur la nécessité de protéger la jeunesse de cette pratique qui gagne du terrain dans certaines zones rurales.

Les citoyens sont invités à redoubler de vigilance et à continuer de signaler tout comportement suspect.

Lefaso.net
Source : Gendarmerie nationale

L’organe d’audit a sévèrement critiqué la mise en œuvre des réformes économiques financées par le plan de relance post-Covid de l’UE, pointant une mauvaise conception, un déploiement lent et incohérent, et des effets concrets encore limités.

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Qu’est-ce qui détermine le calendrier à Bruxelles ? Les vacances scolaires ou les institutions européennes ? C’est l’histoire de l’œuf et de la poule. Quelle que soit la réponse, la ville est remarquablement calme cette semaine. Bienvenue dans Rapporteur. Je suis Eddy Wax, avec Nicoletta Ionta. Vous voulez me tenir occupé ? Envoyez-moi un message, […]

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1- INTITULE DU POSTE

Chef de mission et contrôleurs de chantiers

2- NOMBRE DE POSTE :

Chef de mission : un (01)
Contrôleurs de chantier : (04)

3- LIEU DU POSTE :

Ouagadougou

4- MISSIONS PRINCIPALES :

Chef de mission

• Coordonner et superviser l'ensemble des activités de contrôle technique sur les chantiers.
• Assurer la planification, la répartition et le suivi des missions des contrôleurs de travaux.
• Garantir la conformité des travaux réalisés avec les normes, plans et cahiers de charges.
• Élaborer les plans et devis estimatifs.
• Produire les rapports techniques, comptes rendus et rapports d'avancement.
• Représenter la mission auprès du client, des partenaires techniques et des autorités compétentes.
• Assurer la qualité, la sécurité et le respect des délais sur les chantiers.

Contrôleurs de chantiers

• Effectuer le contrôle technique des travaux réalisés sur le terrain.
• Vérifier la conformité des installations et des équipements aux normes et aux plans d'exécution.
• Identifier et signaler toute non-conformité technique.
• Participer aux essais et aux réceptions des ouvrages.
• Rédiger les rapports de visite et de contrôle.
• Mise à jour du cahier de chantier
• Appuyer le chef de mission dans le suivi et la coordination des chantiers.

5- COMPETENCES ET APTITUDES REQUISES :

Chef de mission :

• Titulaire d'un BAC+5 en électrotechnique, électromécanique, génie industriel ou équivalent.
• 10 ans d'expérience avérée dans la conduite ou le contrôle de projet technique.
• Maitrise des outils de planifications et de suivi (camélia, autocards etc.)
• Connaissance des normes électrique et de sécurité.
• Conception et dimensionnement d'installation électrique.
• Supervisions et maintenance des équipements électriques.
• Lecture et interprétation de plan et schéma techniques.

Contrôleurs de travaux

• Diplôme : BTS ou licence en électrotechnique, électromécanique ou équivalent.
• Expérience : 4 à 5 ans dans le contrôle, la maintenance ou le suivi de chantier techniques.
• Lecture des plans et schémas électrique.
• Maitrise des outils de planifications et de suivi.
• Connaissance des normes électriques et de sécurité.

6- CONDITIONS SPECIFIQUES

• Être disponibles pour les déplacements fréquents.
• Avoir 02 ans d'expérience avérées en étude, supervision ou réalisation de travaux d'électrification MT/BT est un atout.
• Bonne capacité de communication et de rédaction.

7- CONDITIONS DU CONTRAT

Contrat à durée déterminé CDD (avec période d'essai de trois (03) mois.

8- COMPOSITION DU DOSSIER

• Curriculum vitae détaillé à jour.
• Une lettre de motivation avec mention de prétention salariale.
• Copies des diplômes, attestations et certificat de travail.

9- MODE DE RECRUTEMENT

Sélection sur dossier suivi d'un entretien
NB : seuls les candidats présélectionnés seront contactés pour l'entretien.

10- DEPOT DE DOSSIER

Les dossiers doivent être envoyés à l'adresse email suivante
greyholding1@gmail.com en mentionnant le poste adressé à la directrice générale du cabinet Grey holding.
Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter le : +226 67-69-18-00

Date limite de réception des dossiers : lundi 03 novembre 2025 à 17h :00

NB : aucun frais n'est exigé au candidat pour tout le processus de recrutement
(Dépôt dossier, sélection dossier, entretien et embauche)

La DIRECTION

In today's edition: CAP budget, deforestation, animal transport

09:00 – 09:20 PLENARY: Net-Zero by 2050 – The Clean Industrial Deal and its implications for Europe The European Commission’s Clean Industrial Deal will be the focus of this plenary session. We’ll delve into how it can translate into practice and its implications for European citizens and industry, exploring topics such as clean technologies, achieving […]

Le Premier ministre polonais est sous le feu des critiques pour avoir suggéré que les pays incapables de se mettre d’accord sur les réformes de la Convention européenne des droits de l’Homme pourraient envisager de s’en retirer.

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Plus Seán Clancy tells us about preparations to move EUMAM into Ukraine, and updates on drones, satellite cybersecurity, and the missing details of RESourceEU

Pierre-Yves Bournazel, élu de Paris proche d’Édouard Philippe, se prépare à recevoir le soutien du parti présidentiel, en vue des élections de mars. À 48 ans, cet adversaire résolu de Rachida Dati, ancien LR tendance Juppé passé chez Horizons, se voit en candidat «challenger» capable de créer la surprise.

Voilà un (1) an que le Seigneur a rappelé à Lui sa fille bien-aimée Bangoura N'deye, précédemment sage-femme à la Clinique Frany.

31 octobre 2024 – 31 octobre 2025

Yā ayyatuhā an-nafsu al-muṭma'innah, irji‘ī ilā rabbiki rāḍiyatan marḍiyyah, fa-dkhulī fī ‘ibādī, wa-dkhulī jannatī.

« Ô toi, âme apaisée, retourne vers ton Seigneur, satisfaite et agréée.
Entre donc parmi Mes serviteurs et entre dans Mon Paradis. »
(Sourate Al-Fajr, versets 27 à 30)

À l'occasion de ce triste anniversaire, les grandes familles Sombie, Koné, Youla, Bangoura, Traoré, Touré, Sylla,

les familles alliées Samandoulgou, Barro, Nakoulma, Wembanba, Balima, Ouédraogo,

ainsi que les amis et collègues,

à Bérégadougou, Guinée Conakry, Abidjan, France et États-Unis,

renouvellent leurs remerciements et leur profonde gratitude pour les nombreuses marques d'amitié, de sympathie, de compassion et de soutien multiforme reçues lors de son inhumation le 03 novembre 2024, suivie du Doua.

Ils vous informent qu'une cérémonie de Doua aura lieu le vendredi 31 octobre 2025 au domicile familial sis à Benogo (Cité de l'Avenir) à 7h30.

Bien que tous les enfants soient indemnes, l'attaque met en évidence la nouvelle portée de la stratégie russe en Ukraine.

But the forecasted 10% emission cut in 2035 would be insufficient to respect global warming red lines

In today’s edition: a gay rights controversy jolts the Dutch election as centrist parties eye a comeback, Pedro Sánchez’s fragile alliance unravels after Catalan separatists cut ties, and Berlin urges restraint as EU-China trade tensions escalate over mineral export curbs

In today's edition: ETS2 carbon price, critical minerals, gas flows, net-zero shipping

Les derniers médias indépendants de Serbie sont menacés. Via Telekom Srbija, le régime a pris le contrôle du groupe United Medias, auxquels appartiennent notamment la télévision N1 et le quotidien Danas. Pour les mettre au pas.

- Articles / Vucic, Médias indépendants, Serbie, Courrier des Balkans, Médias, Politique

Les derniers médias indépendants de Serbie sont menacés. Via Telekom Srbija, le régime a pris le contrôle du groupe United Medias, auxquels appartiennent notamment la télévision N1 et le quotidien Danas. Pour les mettre au pas.

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CHRONIQUE. Le cyberharcelement contre la premiere dame, aujourd'hui en proces, est bien plus qu'un fait divers. C'est un coup porte a nos valeurs communes.

Le procès de dix personnes jugées pour cyberharcèlement à l'encontre de Brigitte Macron, cible depuis 2021 d’une rumeur affirmant qu’elle serait une femme transgenre, a débuté lundi. Retour sur la genèse de cette théorie complotiste et sa propagation planétaire.

A Community Health Worker in a door-to-door campaign to vaccinate people in communities in Nanyamba village, Mtwara Region, in southeastern Tanzania. Credit: Kizito Makoye/IPS

By Kizito Makoye
DAR ES SALAAM, Tanzania, Oct 28 2025 (IPS)

When COVID-19 hit Tanzania in 2020, Alfred Kisena’s life was torn apart. The 51-year-old teacher still remembers the night he learned that his wife, Maria, had succumbed to the virus at a hospital in Dar es Salaam. He wasn’t allowed to see her in her final moments.

“The doctors said it was too dangerous, and the virus was contagious,” Kisena said, gazing at a faded photo of her hanging on the wall.

Maria’s burial took place in eerie isolation. Municipal workers dressed in white protective gear lowered her body into a tomb at Ununio Cemetery on the city’s outskirts.

“Saying goodbye to a loved one is sacred, but I didn’t get a chance,” he said.

Across Tanzania, many families endured the same pain—losing loved ones and being denied the rituals that give meaning to loss. The government imposed strict measures: banning gatherings, restricting hospital visits, and prohibiting traditional burial rites. Schools shut down, and for three months, Kisena’s five children stayed home, their education abruptly halted.

“I was not working, so it was hard to meet the needs of my family,” he said. “We survived on the little savings I had.”

Five years later, as the scars of that crisis linger, Tanzania is charting a new path toward resilience. Earlier this month, the government launched its first-ever Pandemic Fund Project, aimed at strengthening the country’s capacity to prevent and respond to health crises.

Supported by a USD25 million grant from the global Pandemic Fund and USD13.7 million in co-financing, the initiative marks a shift from reactive crisis management to proactive preparedness. It unites local and international partners—including WHO, UNICEF, and FAO—under a “One Health” framework that recognizes the interconnectedness of human, animal, and environmental health.

Learning from the Past

The memories of COVID-19 and the more recent Marburg outbreak remain vivid. When the pandemic first struck, Tanzania’s laboratories were under-equipped, surveillance systems were weak, and community health workers were overwhelmed.

Tanzania’s Deputy Prime Minister, Doto Biteko, said during the launch that the lessons from those crises shaped the country’s new determination.

“For the past 20 years, the world has battled multiple health emergencies, and Tanzania is no exception,” he said. “We have seen how pandemics disrupt lives and economies. Strengthening our capacity to prepare and respond is not optional—it is a necessity.”

That necessity has only grown as Tanzania faces rising risks of zoonotic diseases linked to deforestation, wildlife trade, and climate change. The new project aims to address these vulnerabilities by upgrading laboratories, expanding disease surveillance, and training health workers across the country.

The Human Frontlines

In southern Kisarawe District, 38-year-old community health worker Ana Msechu walks along dusty roads with a backpack containing medicine, gloves, and health records.

“Sometimes I walk for three hours just to reach one family,” Msechu said. “During the pandemic, people stopped trusting us. They thought we were bringing the disease.”

With no protective gear or transport allowance, Msechu faced villagers’ suspicion head-on. At the height of the pandemic, she lost a colleague to the virus. Yet she continued, delivering messages about hygiene and vaccination.

“Sometimes we didn’t even have masks—we used pieces of cloth instead,” she recalled.

The new initiative, she believes, could change that. Implementing partners plan to supply personal protective equipment (PPE), digital tools for data collection, and regular training sessions.

“If we get proper support and respect, we can save many lives before diseases spread,” she said.

“Community health workers are the backbone of resilience,” said Patricia Safi Lombo, UNICEF’s Deputy Representative to Tanzania. “They are the first point of contact for families and play a critical role in delivering life-saving information and services.”

UNICEF’s role will focus on risk communication and community engagement—ensuring that people in rural and urban areas understand preventive measures, recognize early symptoms, and trust the health system.

Between Fear and Duty

Hamisi Mjema, a health volunteer in Kilosa District, remembers how fear became his biggest enemy.

When the Marburg virus hit last year, his job was to trace suspected cases and educate families about isolation.

“I was insulted many times, and some families wouldn’t even let me into their homes,” he said.

Without transport or communication tools, Hamisi walked from one remote village to another with his bicycle, often relying on farmers to share their phone airtime so he could report cases to district health officials.

Under the new initiative, local health officers say community health workers will receive field kits, digital disease-reporting tools, and risk communication materials in local languages.

“It will make our work safer and faster,” he said. “When we detect something early, the whole country benefits.”

Fighting Misinformation

In a lakeside village in Kigoma, volunteer health educator Fatuma Mfaume recalls how rumors once spread faster than the virus itself.

“People were afraid,” she said. “They said vaccines would make women barren. Others believed doctors were poisoning us.”

Armed with a megaphone, Mfaume moved through villages trying to dispel falsehoods—often facing insults. But her persistence paid off. Slowly, women began bringing their children for immunization again.

With the new project, she hopes community workers like her will gain formal recognition and training in communication skills.

“Many of us work without pay,” Mfaume said. “If this project can train us properly and give us materials, we can fight not just disease but fear and lies too.”

Animal-Borne Threats

At the same time, the Food and Agriculture Organization (FAO) is strengthening animal health systems, recognizing that most pandemics originate from animals.

“By improving coordination between veterinary and public health services, Tanzania is taking vital steps to prevent zoonotic diseases before they spill over to humans,” said Stella Kiambi, FAO’s Emergency Centre for Transboundary Animal Diseases Team Lead.

These measures include upgrading veterinary laboratories, improving disease surveillance in livestock markets, and training field officers to detect early signs of outbreaks.

The World Health Organization (WHO) is also supporting efforts to strengthen human health systems—from expanding testing capacity to developing rapid response teams.

“This project marks a bold step forward in health security,” said Dr. Galbert Fedjo, WHO Health Systems Coordinator. “It advances a One Health approach that links human, animal, and environmental health.”

Rebuilding Trust and Hope

For Priya Basu, Executive Head of the Pandemic Fund, Tanzania’s project represents “an important step in strengthening the country’s preparedness to prevent and respond to future health threats.”

Across Africa, the Fund—established in 2022—has supported 47 projects in 75 countries with USD 885 million in grants, catalyzing more than USD 6 billion in additional financing.

According to the World Bank, every USD 1 invested in pandemic preparedness can save up to USD 20 in economic losses during an outbreak.

For Tanzania—a nation that lost thousands of lives and suffered deep economic shocks during COVID-19—the stakes couldn’t be higher.

“Preparedness is about saving lives and livelihoods,” said Dr. Ali Mzige, a public health expert. “It’s about making sure families don’t suffer when a pandemic strikes.”

For Kisena, the government’s new initiative is a quiet promise that the lessons of loss have not been forgotten.

“Maria’s death taught me how precious life is,” he said. “If this project can protect even one family from that kind of pain, then it will mean her death was not in vain.

IPS UN Bureau Report

 

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